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Les 5 excuses qui vous empêchent de devenir un entrepreneur success story

Au sein d’une entreprise, un entrepreneur se doit de fixer un objectif afin d’exceller dans son domaine d’activité. Devenir un entrepreneur success story exige donc de la persévérance, et implique de bannir certaines excuses de votre vocabulaire. C’est la faute à, à cause de… doivent disparaître définitivement aussi bien de votre esprit que de vos propos. Décryptage des excuses à écarter pour prendre un nouvel élan.

Je n’ai pas les ressources financières nécessaires

L’argent demeure l’excuse la plus courante chez les chefs d’entreprises. En tant que dirigeant, il est indispensable de discerner les bons investissements afin d’éviter de louper une occasion. Avancer un problème d’argent n’est pas toujours la meilleure excuse pour ne pas entamer un projet ou une évolution qui permettra, sans doute, à votre entreprise de faire un bénéfice plus important.
Un grand dirigeant dispose, en effet, d’une mentalité qui lui permettra de passer au-delà d’un obstacle financier aussi grand qu’il soit. Arrêtez donc de vous dire constamment que vous ne pouvez rien entreprendre faute d’argent, creusez un peu plus ou focalisez-vous sur les ressources disponibles, y compris vos ressources humaines.

Cela dépasse mes capacités

Souvent, un dirigeant refuse de prendre une initiative en vue d’un changement pouvant privilégier son entreprise sous prétexte qu’il n’est pas assez compétent. Ne pas vous lancer vous empêchera de découvrir vos réelles compétences, d’autant plus que cela ne vous aidera pas à l’amélioration de vos capacités. Au contraire, la prise de décision et l’action contribueront largement à la découverte de certains atouts cachés. En cas d’échec, vous aurez également l’occasion de comprendre vos défaillances et vos faiblesses. Usez des différentes méthodes mises à votre disposition pour être plus compétent et cherchez à apprendre des autres. Vous voyez les domaines dans lesquels vous n’êtes pas compétent mais, comme vous le savez des prestataires,  sont prêts à vous apporter leur expertise.

J’ai peur de prendre des risques dans la situation actuelle

Cette sensation reste non seulement source de souffrance et de doute, mais elle vous détournera également des véritables opportunités. Vous gagnerez à surmonter votre peur au quotidien. Cette fonction requiert, effectivement, une prise fréquente de risque, étant donné qu’il s’agit de l’unique façon de percer sur le marché. Évidemment, celui qui ne tente rien ne parviendra à rien.
Comment connaître le succès d’un projet si vous ne prenez pas le risque de le lancer ? Il faudra vous mettre en tête que même si l’action peut ne pas aboutir à un résultat positif, vous en sortirez toujours gagnant.

Mon équipe n’est pas assez qualifiée

Certains chefs d’entreprises ont tendance à limiter l’épanouissement de leurs équipes parce qu’ils ne croient aux capacités de ces dernières. Votre équipe n’est peut-être pas parfaite, mais vous pouvez faire en sorte qu’elle le devienne. Commencez donc à voir en elle ce que les autres ne distingueront jamais et cherchez à valoriser vos collaborateurs en leur accordant d’avantage de responsabilités.

Mon entreprise n’est pas aussi solide que les autres

Discerner les forces de ses concurrents permet incontestablement de mieux se positionner sur le marché, mais la comparaison ne devra pas être source de découragement. Essayez de vous focaliser sur vos points forts et améliorez-les.

10 licornes européennes fort inspirantes

Les licornes, ce terme symbolique dans la littérature et l’art, désignent les start-up et l’émergence de celle-ci dans le Top des entreprises. Pour être une licorne, une start-up doit être valorisée à hauteur de 1 milliard de dollars. En Europe, elles commencent à prendre une place qui n’est guère neutre et à s’imposer face aux Américaines. La France est aujourd’hui en train d’occuper une place non négligeable avec ses 18 licornes européennes fort inspirantes. En quelques années, elle s’impose avec des entreprises innovantes.

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1. Spotify (Suède)

Ce leader mondial de musique en streaming a annoncé posséder plus de 70 millions d’abonnés lui procurant une avance légendaire sur son concurrent Apple Music aux 30 millions d’abonnés. La start-up suédoise serait désormais valorisée à hauteur de 19 milliards d’euros, se plaçant en première place des licornes européennes. La start-up rencontre un engouement engendrant même une demande d’introduction en Bourse, selon le site d’information Axios. Malgré sa popularité Spotify, n’arrive toujours pas être rentable depuis sa création. 

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2. Zalando (Allemagne)

Numéro un des ventes d’habillement en Europe, la start-up berlinoise a réussi à séduire les clients. Son chiffre d’affaires a bondi de plus de 20% en 2017, dépassant les 4 milliards d’euros. En ce début d’année 2018, elle souhaite miser sur son expansion au lieu de maintenir sa rentabilité. Valorisée à plus de 11,5 milliards de dollars, Zalando s’impose parmi les 3 licornes européennes, pouvant envisager peut-être une future place de titan (50 milliards de dollars de valorisation). 

3. Supercell (Finlande)

Créée en 2010, cette entreprise finlandaise est un studio de création de jeux vidéo. La start-up reste la 3ème licorne d’Europe avec une valorisation de 10 milliards de dollars. Sa notoriété s’est particulièrement établie grâce au célèbre jeu sur mobile : Clash of Clans. Supercell enregistrait 2,3 milliards de chiffre d’affaires en 2016, à la suite du rachat du géant Chinois Tecent. L’entreprise rencontre quelques difficultés à séduire avec ces nouveaux jeux, mais les deux géants Clash Royal et Clash of Clans maintiennent le cap de cette licorne européenne. 

Improbable

4. Improbable (Royaume-Uni)

Quatrième licorne européenne grâce à ses 502 millions de levée de fonds en 2017, Improbable continue de séduire avec la réalité virtuelle. Le premier produit développé par la start-up est un système d’exploitation permettant de créer des mondes virtuels aux multiples détails. Improbable se destine aux créateurs de jeux vidéo et aux autres domaines comme les acteurs de la santé, de la cyberdéfense et les collectivités locales, grâce à la réalité virtuelle permettant tous les possibles. Sa levée de fonds grandiose lui a permis de s’élever au rang de licorne en très peu de temps. 

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5. Farfetch (Royaume-Uni)

Créé en 2008, Farfetch se présente comme une e-boutique proposant des produits de luxe. L’engouement fut très rapide et désormais l’entreprise compte des bureaux dans 11 pays. Grâce à sa notoriété, l’entreprise a travaillé avec les plus grands comme Vogue dans le secteur du luxe. Farfetch se prépare aussi à rentrer en Bourse. La start-up au projet fulgurant a réalisé une levée de fonds de 397 millions d’euros grâce au Chinois JD.com.

File:Unity Technologies logo.svg - Wikimedia Commons

6. Unity (Danemark) 

Fondée en 2004, elle a fait le choix de se lancer dans la commercialisation de moteurs de jeux vidéos. L’entreprise a réalisé une levée de fonds de 400 millions de dollars en mai 2017 par le fonds Silver Lake ayant déjà participé à des levées de fonds pour Alibaba, GoDaddy ou Skype. Sa grande notoriété, a permis au PDG John Riccitello de rappeler à Bloomberg « Dans l’absolu, nous n’avons pas besoin de tout ce capital ». Cette licorne européenne prend son temps pour s’imposer au sein de son secteur.

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7. Deliveroo (Royaume-Uni)

Reconnue dans le secteur de la FoodTech, Deliveroo est une licorne depuis peu de temps. Elle est valorisée à hauteur de 2 milliards de dollars et se trouve placée derrière certaines licornes européennes. Sa dernière levée de fonds s’élève à 385 millions de dollars. La start-up présente dans 12 pays et plus de 150 villes connaît un vrai succès, mais rencontre des difficultés à être rentable. Elle a affiché une perte de 141 millions de livres sterling avec un chiffre d’affaires s’élevant seulement à 128,56 millions de livres sterling. 

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8. Trivago (Allemagne) 

Cette entreprise installée dans le secteur du tourisme a su se démarquer de ses concurrents et s’imposer comme une valeur sûre en tant que comparateur de prix. L’entreprise a été rachetée à 60% en 2013 par Expedia pour un montant de 477 millions d’euros. Trivago exploite plus de 55 plateformes, disponibles dans 33 langues pour le plus grand plaisir des voyageurs. Elle est dernièrement devenue une licorne valorisée à hauteur de 4,7 milliards de dollars. 

9. Blablacar (France)

Une des trois licornes françaises dans le classement européen, Blablacar rencontre un large succès, en tant premier site français de covoiturage. Le site, fondateur du concept avec 30 millions d’utilisateurs s’est développé dans 22 pays. L’entreprise a réussi à lever plus de 335 millions d’euros de capital. Récemment, le fondateur de Blablacar, Frédéric Mazella a investi aussi dans des petites entreprises pour leur permettre d’obtenir un jour peut-être, le rang de licorne. 

Logo Vente-Privée - CSE

10. Vente-privée (France)

Site de revente en ligne, Vente-privée se démarque comme l’un des pionniers du secteur en France. Elle est une des premières licornes françaises et son site rencontre toujours un franc succès. Son chiffre d’affaires de 2016, s’élevant à plus d’un milliard prouve que la marque se porte bien et arrive à convaincre de nombreux partenaires pour son site de revente en ligne. En 2017, Vente-privée a investi dans un incubateur de start-up intitulé Impulse qui permet à des jeunes entreprises d’évoluer au sein de Station F. 

La Coopérative d’Activités et d’Emploi (SCOP et CAE ,un binôme )

La Coopérative d’Activités et d’Emploi (CAE) est une entreprise multi-activités qui rassemble de 20 à plus de 400 personnes. Ouverte à tous, elle s’adresse à toutes celles et ceux qui souhaitent poursuivre un projet entrepreneurial sans pour autant vouloir créer une entreprise.

Dans la création d’une SCOP, vous pouvez opter pour la création dans le cadre d’une CAE – Coopérative d’Activités et d’Emploi-. Vous serez créateur de votre entreprise Vous aurez en même temps le statut de salarié (de la CAE). Par ailleurs, vous bénéficiez ainsi d’un CDI (Contrat à Durée Indéterminée), et donc du régime social protecteur des salariés. Vous pourrez donner les orientations de votre choix à votre entreprise, même si les prestations de votre société seront facturées par la CAE.

Chaque entrepreneur(e), au sein d’une Coopérative d’Activités et d’Emploi (CAE) développe son activité économique en toute autonomie. Mais dans une entreprise qui correspond à ses aspirations, qu’il partage avec d’autres entrepreneur(e)s ayant des compétences et des projets très diversifiés. Il est entrepreneur-salarié.

Une entreprise ouverte à tous…

Il n’existe pas de sélection des projets selon des critères de rentabilité économique. On rejoint la CAE dès que l’on se sent prêt à se lancer. La plupart de projets relèvent de cinq grands secteurs. Notamment, les NTIC, les services aux entreprises, le commerce, l’artisanat et l’artisanat d’art, les services aux particuliers.

Quel accompagnement ?

Chaque entrepreneur bénéficie d’emblée d’un accompagnement individuel et collectif pour l’aider à mettre son activité sur les rails et à commercialiser, sous sa propre marque, ses produits ou services. Cet accompagnement est financé conventionnellement par les partenaires publics de la coopérative, collectivités territoriales ou services de l’état, comme n’importe quel autre dispositif d’aide à la création entrepreneuriale. Dès les premières facturations, la CAE contracte avec l’entrepreneur un CDI. Le salaire, qui est fonction de son chiffre d’affaires, est faible au départ mais stable et lissé dans le temps. Il est revu à la hausse d’un commun accord, chaque fois que l’on constate un développement de l’activité. L’accompagnement s’inscrit dans la durée, de même que le développement du projet. L’entrepreneur apprend son « métier d’entrepreneur » en le pratiquant, avec l’appui de l’équipe qui anime la coopérative, et celui d’autres entrepreneurs salariés (c’est « l’accompagnement mutuel »).

Juridiquement et socialement, les entrepreneurs sont des salariés. C’est la coopérative qui facture, encaisse les règlements et porte la responsabilité juridique sur tous leurs actes professionnels. Chaque entrepreneur verse 10 % de son chiffre d’affaires dans le « pot commun » afin de participer aux frais de fonctionnement de l’entreprise partagée.

Parvenu à un régime de croisière économique, il ou elle peut choisir de faire durablement de la CAE le cadre d’exercice de son métier. IL devient ainsi associé (la CAE est juridiquement une SCOP). Il entérine ainsi son engagement dans cette entreprise collective qui est la sienne. Bien entendu, chacun est également libre de quitter la coopérative à tout moment, parfois pour créer sa propre entreprise. La CAE lui aura alors permis de tester et lancer l’activité en toute sécurité et de le préparer à la gestion de son entreprise.

Les CAE font partie du réseau Coopérer pour entreprendre.

Les avantages à entreprendre en CAE

  • Ne pas être isolé. Les entrepreneurs sont accompagnés par l’équipe qui anime la CAE et s’épaulent les uns les autres, au travers d’apprentissages mutuels. Ils bénéficient ainsi de conseils professionnels adaptés et d’importants effets réseaux. De nombreuses rencontres, réunions, ateliers, formations… sont organisés pour améliorer les compétences de chacun. Mais aussi on peut tisser des liens privilégiés avec les autres entrepreneurs.
  • Pouvoir se concentrer sur la commercialisation de ses produits ou services. Tous les aspects administratifs, comptables, fiscaux, assurantiels ou juridiques de l’activité sont mutualisés à l’échelle de la coopérative.
  • Sécuriser la démarche entrepreneuriale. Le cadre du salariat en CDI permet de développer son activité à son rythme, en toute sécurité, sans perdre d’éventuels droits sociaux et en lissant ses revenus et ses charges dans le temps. M aussi elle permet des couvertures mutuelles de trésorerie entre activités.
  • Autoriser la multi-activités. Les chiffres d’affaires tirés de deux ou trois savoir-faire différents peuvent se cumuler et contribuer à la création durable de l’emploi salarié de l’entrepreneur.
  • Se procurer une couverture sociale protectrice. Sur son chiffre d’affaires, l’entrepreneur finance sa propre protection sociale (retraite, maladie, chômage…) à hauteur de celle de tout autre emploi salarié.
  • Mutualiser certaines charges : le projet d’entrepreneuriat collectif permet de mutualiser les efforts et certaines charges.
  • Autoriser des collaborations professionnelles souples et des fonctionnements de réseaux. Les sous-traitances réciproques ou les collaborations, au sein d’une même entreprise juridique, sont rendues simples et souples. Elles t permettent l’expansion des activités sans à-coups et sans risques.

Au-delà de la poursuite de son projet individuel

– celui qui lui permet de gagner sa vie – l’entrepreneur est bien partie prenante d’une entreprise collective. A mesure qu’elle grandit et se renforce, la CAE met aussi en place des mécanismes de mutualisation, de protection et d’apprentissage mutuels. Notamment accords de participation et d’intéressement, incubateurs de projets collectifs, locaux partagés, actions commerciales communes, outils financiers de développement, actions de prévention des risques professionnels, etc.

Optimiser le temps du dirigeant

Les deux dernières années ont multiplié les tâches des dirigeants qui ont dû s’adapter à de nouvelles réalités complexes. Le nouveau fonctionnement de l’entreprise avec le télétravail, les obligations des gestes barrières et la réorganisation des espaces de travail entre autres les ont obligés à optimiser le temps pour éviter de faire un burn out et d’en provoquer un chez leurs collaborateurs déjà bien secoués par la pandémie. Parmi les grands défis du dirigeant, le manque de disponibilité est sans doute le plus manifeste. En effet, et particulièrement dans les PME, le dirigeant conditionne souvent sa responsabilité au fait d’être présent et actif sur tous les fronts. Il se retrouve donc rapidement submergé par la quantité de tâches qu’il doit effectuer ou piloter.

Dirigeants, restez motivés malgré les difficultés !

Le manque de temps du dirigeant est un fait préoccupant pour l’entreprise car celui-ci devrait bénéficier de moments de réflexion pour mener une stratégie performante et durable. Le temps du dirigeant est donc l’un des rouages fondamentaux du succès de l’entreprise, voici 5 conseils pour l’optimiser.

Refléter la stratégie dans les priorités d’agenda

L’allocation de son temps par le dirigeant traduit auprès des collaborateurs ce que sont ses véritables priorités et donc ce qu’il considère comme stratégique. Par conséquent, l’organisation de son agenda relève pratiquement du domaine de la communication interne. L’agenda ne doit pas être figé mais évoluer en fonction de l’état d’avancement des activités stratégiques. Un dirigeant a toujours intérêt à se référer à son plan stratégique pour ne pas se disperser.

Déléguer et mettre en place des réunions d’équipes

Il est important que le dirigeant sache demander de l’aide lorsqu’il voit qu’il ne s’en sort pas seul ou qu’il délègue les tâches qui ne nécessitent pas son engagement, même si elles sont importantes pour l’entreprise. Un bon manager doit apprendre à « faire faire » et donc à perdre une partie du contrôle sur l’entreprise, à accepter d’impliquer les autres et à leur faire confiance. En parallèle, pour suivre l’avancée des travaux de chacun sans perdre de temps en réunion one-to-one, le dirigeant doit mettre en place une réunion d’équipe hebdomadaire avec l’ensemble de ses responsables fonctionnels.

Planifier les tâches

Le dirigeant doit être capable de planifier ses tâches qui sont, en général, de deux types : les activités importantes et stratégiques et les activités quotidiennes, parfois dans l’urgence. Il faut donc hiérarchiser les tâches, selon leur priorité en croisant par exemple leur degré d’urgence avec leur degré d’importance et établir chaque semaine, voire chaque jour, une To-Do list afin de ne rien perdre de vue.

Savoir utiliser les nouvelles technologies

La synchronisation entre son téléphone et ses mails permettra au dirigeant de gagner du temps en traitant certains courriers ou en planifiant son emploi du temps dans les transports par exemple. Par ailleurs, l’utilisation des plateformes internet de conférence téléphonique permet l’organisation de réunions virtuelles, particulièrement bénéfiques en termes de gain de temps.

Définir des plages de temps non interruptibles

Toutefois, afin d’être efficace, il est indispensable pour le dirigeant d’aménager des séquences de travail sans interruptions pour une concentration optimale. Entre la pression des collaborateurs et celle des moyens de communication multiples et instantanés, le dirigeant doit s’obliger à garder des temps de réflexion totalement tranquilles en éteignant son portable et en acceptant d’être indisponible pour ses équipes (idéalement une heure par jour).

Le cadeau d’affaires pour conquérir une clientèle malmenée

Après des mois de confinement, le retour des événements grand public et professionnels se dessinent. Si beaucoup pense à utiliser la communication par le cadeau d’affaires, des pénuries ou des retards de livraison sont à prévoir. C’est le moment d’agir pour conquérir ou reconquérir votre clientèle qui a sûrement été malmenée par la pandémie. 

Selon la 2FCPO (Fédération française des professionnels de la communication par l’objet), le déconfinement et le pass sanitaire vont marquer le retour des événements grand public et professionnels (salons, séminaires, etc.). Pour les mois de septembre et octobre certains évènements ont déjà pris une option. C’est la raison pour laquelle les annonceurs vont utiliser de l’objet publicitaire afin d’offrir des cadeaux à leurs publics. Pourtant devant les incertitudes du marché la 2FPCO leur suggère d’anticiper leurs besoins. Lors de la reprise, il y aura un afflux de demandes simultanées, combiné à des délais de fabrication allongés et une logistique mondiale encore perturbée par la pandémie. 

Ainsi, Antony Villéger Vice-Président de la Fédération confirme : « Nous avons des remontées de la part de nos adhérents, la demande repart de manière significative. Et nous constatons que cette demande est directement liée au retour des évènements en présentiel. En effet, les annonceurs souhaitent être très visibles dès les premiers instants qui permettront d’échanger physiquement avec leur public ». 

De plus, il met en exergue que « Cette fenêtre peut être à la fois une opportunité de consolider une relation qui a été distante pendant près de 2 ans, et une opportunité de conquête, car les entreprises concurrentes n’auront pas assez entretenu des liens clients fragilisés. Les annonceurs souhaitent marquer le coup et témoigner à leurs clients de l’importance de leur relation. Leur offrir un objet média qui les accompagnera dans leur quotidien est un bon moyen d’y parvenir ». 

Attention à la pénurie dans vos choix

Bois, métaux, plastique, verre, composants électroniques… la crise de la Covid-19 a généré une pénurie de certaines matières premières et désorganisée les chaines d’approvisionnement mondial. Par ailleurs, cette pénurie s’accentue en raison d’ une demande forte sur certains matériaux (équitables, recyclables…) liée à la volonté des annonceurs d’offrir des objets publicitaires plus durables et plus responsables. Antony Villéger, confirme : « La demande est également très forte sur les produits Made In France, mais les capacités de production ne suivent pas forcément. ». 

La pénurie de certaines matières premières qui touche l’ensemble des industriels, combinée à des capacités de production insuffisante, contribue à allonger les délais de fabrication des produits. 

Des difficultés d’approvisionnement à prévoir

A la pénurie, il faut également vous préparer à avoir une chaine de logistique mondiale encore perturbée par la pandémie. Tous ces facteurs réunis conduisent la 2FPCO à inviter les annonceurs à se rapprocher des acteurs de l’objet média dès à présent pour être prêts pour leurs évènements de la rentrée.

Une situation inédite

Comme toute l’industrie des biens de consommation, la filière de l’objet média doit faire face à une situation inédite avec des augmentations de prix inhérentes aux problématiques économiques mondiales actuelles. Elle est surtout confrontée à une augmentation considérable des coûts de fret, qu’il soit maritime (surtout), ferroviaire ou aérien, et à des retards de livraisons importants pour diverses raisons : augmentation des volumes et des contraintes de capacité (pénurie de conteneurs), retard accumulé dans la plupart des ports dans le monde entier voire fermetures temporaires de terminaux, ports ou même de certains pays dues notamment à la résurgence de la covid-19 (variants).

Antony Villéger poursuit « Un grand nombre d’objets médias sont fabriqués en Asie et arrivent en France par voie maritime. Depuis la pandémie, les délais de transports se sont allongés. Il faut compter minimum 7 à 8 semaines de transport, avec des prix de containers qui ont triplé en quelques mois passant de 1500 dollars à plus de 10 000 dollars pour une prestation dégradée. » 

A noter que les coûts des matières premières sont en augmentation sur presque tous les produits, que ce soit le coton, le métal, le pétrole ou les composants électroniques. Cette augmentation est en partie due à la reprise forte et brutale de la demande et de la consommation après des mois « en sommeil ».

Les cadeaux professionnels présentent de nombreux atouts. Ils permettent de créer et fidéliser la clientèle et s’inscrivent dans leur inconscient sans qu’ils s’en rendent compte. Ils peuvent également bénéficier d’une exonération fiscale déductible du résultat imposable et dans certains cas, faire l’objet d’une déduction de la TVA. 

Je suis mineur(e) et je souhaite créer mon entreprise

Créer son entreprise est le rêve de nombreux jeunes et parmi les jeunes nombreux sont ceux qui sont mineurs. De nombreux organismes sont dédiés à la création d’entreprise pour les jeunes mineurs. (100 000 entrepreneurs, Associations jeunes entrepreneurs…).

Vous vous demandez : je suis mineur et je souhaite créer ou reprendre une entreprise ? Possible ou impossible ? Trois facteurs sont essentiels : l’activité à exercer, la forme sociale en cause et l’émancipation ou non de l’intéressé(e).

Il faut savoir qu’un  mineur de 16 ans peut être émancipé par mariage ou à la  suite à d’une décision du juge des tutelles après une demande en ce sens mais qui doit être formulée par ses représentants légaux.

Être associé(e) ou être membre

Pour la mineure ou le mineur émancipé

La mineure émancipée ou  mineur émancipé  peut soit être  associé ou être membre des structures sociales suivantes :
EURL, SASU, EIRL, SARL, SA, association, SNC et société civile.

Dans le cas de la SCS et de la SCA, il peut être commandité sous certaines conditions  et commanditaire. La mineure émancipée ou le mineur émancipé doit posséder la capacité juridique pour devenir commerçant, ce qui correspond soit au jour de la décision d’émancipation prise par le juge des tutelles, soit à la période entre l’émancipation et la majorité sur autorisation du président du tribunal de grande instance.

Pour la mineure ou le mineur non émancipé

La mineure émancipée ou le mineur non émancipé peut être  associé ou membre des structures sociales suivantes : EURL, SASU, EIRL, SARL, SA et société civile . La mineure émancipée ou le mineur non émancipé peut être associé(e) des sociétés ci-dessus mais il ne peut agir à titre personnel. Il appartient alors à ses représentants légaux d’agir en son nom. Ainsi, dans le cas d’une société civile, il est recommandé à la mineure émancipée ou au mineur émancipé associé(e)d’obtenir l’accord du juge des tutelles, cette forme juridique se traduisant par une responsabilité indéfinie des associés à l’égard des dettes sociales.

Dans le cas de la SCS et de la SCA, il ou elle peut être commanditaire mais en aucun cas commandité. De même, les fonctions d’associé(e) ou de membre de SNC lui sont interdites et sa participation à la vie d’une association est soumise à conditions . La mineure émancipée ou le  mineur non émancipé peut être membre d’une association s’il ou si elle  dispose d’une capacité de discernement suffisante et s’il ou si elle ne réalise aucun acte de disposition, soit aucun apport en nature ou en numéraire au profit de ladite association.

Les fonctions de direction ?

Une mineure ou un mineur peut exercer des fonctions de direction au sein d’une association mais il arrive que l’administration y soit réticente.

Pour la mineure ou  le mineur émancipé

La mineure émancipée ou le  mineur émancipé peut assumer  des fonctions de direction au sein des structures sociales suivantes : EURL, SASU, SARL, SA , association, SNC, SCS/SCA et société civile.

Dans le cas de l’EIRL et s’il ou si elle a qualité de commerçant, il convient de respecter certaines conditions. Il en va de même dans le cas de l’entreprise individuelle classique s’il est commerçant, artisan ou professionnel libéral . Des activités libérales demandent d’être majeur pour leur exercice ou excluent les personnes en dessous d’un certain âge.

Pour la mineure ou  le mineur non émancipé

La mineure émancipée ou le mineur non émancipé se voit interdire d’occuper des fonctions de direction au sein des structures sociales suivantes : SARL, SA, SNC, SCS/SCA et société civile.

En revanche, il ou elle peut, sous conditions, occuper de telles fonctions au sein d’une association et d’une EURL, SASU ou EIRL. Tout dépend des actes accomplis. Concernant les actes d’administration, une mineure ou un mineur peut en effectuer s’ils sont jugés nécessaires à la création et à la gestion d’une société unipersonnelle ou d’une EIRL si  cette mineure ou ce mineur bénéficie d’une autorisation en ce sens de ses deux parents exerçant en commun l’autorité parentale. À noter que cette autorisation doit être donnée par acte sous seing privé ou notarié et porter mention des actes autorisés.

S’agissant des actes de disposition, ils ne peuvent être accomplis que par les deux parents du mineur, ce qui renvoie à son tuteur sur autorisation du conseil de famille ou à son administrateur légal sous contrôle judiciaire avec autorisation du juge des tutelles.

Source : service public

Un client vous trouve trop cher, comment réagir ?

Parmi les nombreuses objections que l’on peut vous opposer lors d’une opération commerciale, le fameux « ça coûte trop cher ! » reste un grand classique. Le prix ne représente pourtant souvent qu’un élément mineur dans la vente. Voici quelques pistes pour faire en sorte que votre client change d’avis.

Déjà, ceux qui vous disent « C’est trop cher » et vous assurent qu’ils pourront trouver moins cher ailleurs n’iront certainement pas courir les rues pour dénicher cette fameuse « bonne affaire ». S’ils discutent avec vous, c’est bien que ce que vous proposez les intéressent et qu’ils ne vous ont pas exclus directement. Il convient d’abord d’être certain que la proposition que vous leur faites tient debout, qu’elle constitue pour eux une source de « richesse » qu’ils n’ont pas et qu’au regard de son originalité et de la plus-value qu’elle offre, qu’elle n’est finalement pas si chère que cela.

Leur faire baisser la garde

La plupart des gens ont peur de se faire arnaquer. Pour beaucoup, « c’est trop cher » reste un simple réflexe de protection et de sécurité. Il ne s’agit pas forcément d’une réalité et il faut donc prendre la remarque avec des pincettes. Primo, ne soyez pas désarçonné par cette remarque. Secundo, continuez d’argumenter sur votre proposition commerciale et non sur le prix. Il s’agit de répondre avant tout à : « Qu’apporte-t-elle à votre interlocuteur ? »

Insistez sur le fait que vous lui proposez une offre clé en mains ou différenciée par exemple. Il se peut que malgré le prix qu’elle coûte, elle rapporte davantage ou encore qu’elle simplifie la vie de votre client, la rendre plus confortable ou plus belle, etc. Votre offre doit être créative de valeur pour lui et synonyme d’amélioration.

Est-ce vraiment trop cher ? 

C’est trop cher ? Oui, mais par rapport à quoi ? Tout est relatif. Demandez donc à nouveau poliment à votre interlocuteur s’il estime réellement que votre offre est trop chère. Deux cas de figure se présente à vous :

  • Soit, il confirme définitivement que vous ne rentrez pas dans son budget et il faut en général reporter la vente. Mais vous pouvez aussi voir si vous pouvez vous adapter à son budget dans la limite du raisonnable. Il s’agit alors de lui demander le budget qu’il compte allouer à votre offre avec tous les avantages qu’elle présente. 
  • Soit, il hésite. Ce qui est déjà le signe qu’il est attentif à votre offre et que sa résistance à lâcher son argent diminue. Enumérez alors les bénéfices qu’il pourra tirer de votre offre en contrepartie du prix. N’hésitez pas à le mettre déjà dans la peau de l’utilisateur ou du propriétaire. Détaillez tout ce qu’il pourra faire une fois votre proposition commerciale acceptée et comment il pourra l’exploiter. C’est en construisant un rapport affectif avec le client et en présentant soigneusement votre offre que vous écarterez au fur et à mesure l’objection du prix.

Ne pas se montrer trop pressant

Rien de plus anti-commercial que de vouloir absolument conclure une vente. Votre désir de vendre immédiatement peut être réel mais il sera ressenti différemment par votre prospect. Il peut avoir le sentiment que vous lui mettez le couteau sous la gorge. 

Si vous insistez trop, il prendra peur, se fermera comme une huître et la négociation s’arrêtera là. Il peut camper sur ses positions et vous pouvez alors jouer sur la carte du « le produit le moins cher, n’est généralement pas le meilleur ». Il s’agit de faire comprendre à votre interlocuteur qu’il est certainement vrai qu’il pourra trouver moins cher ailleurs, mais que cela ne sera pas à qualité égale. Confirmez-lui (il le sait déjà) que les produits les moins chers sont généralement ceux qui ne tiennent pas dans le temps, donnent moins davantage et surtout ne répondent pas à leur besoin : ils se feront plaisir immédiatement, au risque d’être déçu sur le long terme.

Le service en plus

Insistez avant sur la qualité de votre service, votre présence, le fait que vous serez son interlocuteur privilégié et qu’il ne tombera pas sur une plateforme téléphonique implantée à l’étranger par exemple si c’est le cas. 

Les clients ont généralement trois critères en tête au moment de l’achat : la qualité, le service et le prix. Faites-lui comprendre qu’il n’existe aucun produit et aucune offre qui, à prix plancher, réunit la qualité et le service. Demandez-lui quel est, parmi ces principaux critères, celui qu’il considère comme le plus important et surtout faites-lui comprendre la plus-value de votre offre. Est-il prêt à renoncer à tous les avantages pour un surcoût ? Il est peu probable qu’il vous réponde qu’il veuille négliger la qualité et le service au profit de la diminution de prix. Tout cela aide fortement à minimiser l’objection.

Quel est le coût usage/jour ?

Enfin, s’il persiste dans la négation, demandez-lui à combien il estime la partie trop chère de l’offre ? Et à partir de sa réponse, redéfinissez sa valeur et faites des calculs pour lui prouver la rentabilité de votre proposition. Il s’agit d’entrer dans le détail et qu’il perçoive pourquoi il paie plus. Le service de base que vous vendez possède un coût mais ce n’est pas le seul élément. 

Vous pouvez aller jusqu’à ramener le coût à un usage/jour. Ce qui devrait définitivement le convaincre que votre proposition n’est finalement pas si chère que cela notamment au regard de ce qu’il lui apporte au quotidien.

Comment faire pour oser se lancer dans un domaine tabou ?

Pour arracher leur place sur le marché, les entreprises se spécialisent désormais dans des domaines insolites et inattendus. Plus encore, on voit de plus en plus de start-up qui orientent leur activité vers le tabou : le sexe, la mort, etc. Comment ces entreprises osent-elles s’aventurer dans ces secteurs, pour le moins controversés ? Comment faire pour oser se lancer dans un domaine tabou ?

Pourquoi les domaines tabous sont-ils aussi prometteurs ?

Plus de 20 ans après le boom universel d’internet, les entreprises doivent innover pour attirer l’attention d’une audience. Certains domaines sont même devenus saturés et n’accordent aucune place à la concurrence, surtout aux start-up naissantes qui ne peuvent prouver leur compétence face aux géants du net déjà en place depuis plusieurs années voire des décennies. En termes de marketing, le positionnement du produit sur le marché est l’une des étapes incontournables lorsqu’on essaie de lancer une entreprise. Choisir un thème tabou est alors une stratégie de positionnement efficace qui capte l’intérêt de l’internaute. Prenons l’exemple de « Jacquie et Michel », leader du porno amateur dans notre pays. Sachez alors que cette entreprise, qui a vu le jour en 1999, attire plus de 10 millions de visites par jour et que son chiffre d’affaires a atteint les 10 millions d’euros. Un pari gagnant qui, pourtant, n’était pas gagné d’avance !

Se lancer dans un domaine tabou : une aptitude psychologique en premier lieu

Plus que dans n’importe quel autre domaine, choisir un produit ou un service tabou pour son entreprise est une démarche difficile. Beaucoup essaieront de vous en dissuader en ayant pour arguments :

  • Un domaine qui manque de sérieux
  • Une idée qui nuit à l’éthique
  • Un secteur qui dérange l’opinion générale

Néanmoins, gardez en tête qu’en optant pour cette filière, il faudra :

  • Etudier l’idée de votre business : son potentiel, votre audience, vos clients potentiels, vos concurrents.
  • Proposer une perspective innovante : Quel que soit domaine choisi, spécialisez-vous dans un secteur précis pour viser avec une clientèle cible.
  • Croire en votre idée : Pour dépasser le tabou, il faudra étudier votre sujet en termes de bénéfices et de profits. Evitez les jugements d’ordre moral.
  • Faire preuve d’audace : Préparez-vous aux critiques qui seront plus acerbes que dans n’importe quel autre domaine. Faites-en votre force et utilisez cela pour vous faire connaitre.

Les domaines tabous qui comptent des entreprises en pleine croissance

Même s’ils sont nombreux, les tabous occidentaux tournent autour de 3 thématiques générales à savoir le sexe, le corps humain et la mort :

  • la mort : Près de 550 000 décès annuels en France, un chiffre important et qui devrait monter à 682 000 d’ici 2030 avec le vieillissement de la population. Dans ce domaine, citons Movieternity qui propose de filmer un message vidéo dévoilé aux proches après le décès. Voici donc une start-up qui a su défier le tabou pour en faire une réelle réussite !
  • le sexe : Dans ce secteur, les ténors sont nombreux. Citons MindGeek, la 1ère multinationale du sexe avec un chiffre d’affaires de 400 millions de dollars, ou encore LiveJasmin, un site cam to cam avec un chiffre d’affaires estimé à 350 millions d’euros.
  • l’adultère : La France compte près de 450 sites dédiés aux rencontres conjugales comme rencontreadultere, oseztromper, Miss Madison, Affairland, etc.
  • l’incontinence : Des entreprises ont commercialisé des ceintures « Brightly » et « D-Free » qui se placent autour de l’abdomen et alertent es personnes incontinentes lorsqu’ils ont un besoin pressant.
  • le mariage polygame : Plusieurs sites en ligne se sont spécialisés dans les rencontres polygames comme rencontre-polygamie.com. La plupart du temps, ils s’adressent à des personnes dont la religion autorise ce type de relation.

Ces 10 entrepreneurs, qui a moins de 30 ans ont révolutionné le monde de l’entreprise

Se lancer dans l’entreprenariat ne nécessite pas d’être mature et avoir plus de 30 ans. Certains grands créateurs n’étaient même pas encore trentenaires lors de la création de leur entreprise. À l’image de Mark Zuckerberg qui avait seulement 19 ans lors de la création de Facebook, ou encore Larry Page et Sergey Brin qui venaient tout juste de compter 23 printemps au tout début de Google. L’entreprenariat n’arrête pas les plus jeunes et ils sont désormais nombreux à se lancer. Ces 10 entrepreneurs, qui a moins de 30 ans ont révolutionné le monde de l’entreprise.

Pourquoi entreprendr avant 30 ans ?

Pourquoi entreprendre ? 60 % estiment que c’est un moyen de faire bouger le monde, selon une enquête menée par Opinonway pour France Active .  » Les projets portés par les jeunes comportent une dimension sociale et environnementale « , selon Denis Dementhon, directeur général France Active.  42,5% des 18-30 ans déclarent avoir envie de créer leur propre entreprise. Plus d’un jeune sur 2 trouve qu’il est plus motivant d’être entrepreneur que d’être salarié. Une réponse à la crainte de s’ennuyer au travail (43% d’entre eux).
Cependant, 55% disent hésiter à se lancer pour des raisons financières, 37% à cause de la complexité des démarches. A noter que seuls 20% d’entre eux redoutent Ils sont 30 % à envisager un modèle où tous les salariés seraient décisionnaires, 25 % à privilégier un projet lié au développement durable ou à l’environnement.  » Les générations précédentes créaient des entreprises pour gagner de l’argent, aujourd’hui c’est différent. L’environnement, l’économie circulaire, le recyclage font partie de leur business model « , souligne  Émeric Oudin.

1. Jean Charles Varlet et Crème de la Crème.

Le jeune homme de 26 ans a fondé sa start-up Crème de la Crème en 2015. Cette plateforme permet de mettre en contact des étudiants freelances avec des entreprises. La plateforme propose la mise en relation de 20 000 étudiants avec 5 000 entreprises. Dans son panel de proposition, elle possède déjà Bouygues, Accor, Linkedin ou encore LVMH. En juin 2017, la start-up a pu lever plus de 600 000 euros.

2. Anaïs Barut et David Siret pour DAMAE Médical

Jeunes gens de 26 ans, ils sont fondateurs de DAMAE Médical. Créée à partir de recherches médicales innovantes, cette entreprise a pour objectif de dépister un cancer de la peau sans biopsies. Cette technique relève d’une association entre une imagerie haute résolution et des algorithmes pour dépister rapidement un cancer de la peau. En avril 2017, cette entreprise a réalisé une levée de fonds de 2 millions d’euros. DAMAE Médical devrait commercialiser sa technologie courant 2018.

3. Nicolas Bustamante et Doctrine.fr

À l’âge de seulement 22 ans, Nicolas Bustamante apparaît comme un très jeune mais très ambitieux entrepreneur. Il est le fondateur et président du site doctrine.fr, un moteur de recherche du milieu juridique. Plus de 7 millions de décisions de justice sont répertoriés sur son site qui se situe comme le premier moteur de recherche du milieu juridique et laisse loin derrière lui ses concurrents. Seulement deux mois après sa création, l’entreprise a pu lever 2 millions d’euros et envisage de faire 10 millions de chiffre d’affaires en 2 ans et demi.

4. Antoine Dematté et Dropy

Entrepreneur depuis l’âge de 15 ans, Antoine Dematté, 25 ans maintenant a créé Dropy, une entreprise permettant aux sites d’e-commerce de confier la gestion des stocks et des livraisons aux fournisseurs. Cette plateforme relevant du marketplace, propose aux e-commerçants de vendre des produits qu’ils n’ont pas en stock. Le site a désormais 450 boutiques à son actif donnant accès à plus de 400 000 produits.

5. Antoine Baschiera et Early Metrics

À l’âge de 26 ans, Antoine Baschiera est le fondateur de Early Metrics, une agence de notation des start-up. Cette entreprise travaille avec des grands groupes et commence à s’imposer dans le secteur. Avec son partenariat avec LCL Banque des entreprises et la SNCF, Antoine Baschiera a fait de son entreprise une référence. Early Metrics attribue des notes aux start-up. Ces notes sont considérées comme fiables par les grands groupes et permettent de détecter des perles.

6. Elsa Hermal et Epicery

Cette jeune femme de 27 ans a créé Epicery, une start-up proposant la livraison de produits issus de commerçants de proximité et tout cela livré en une heure seulement. Grâce à cette idée innovante, plusieurs parrains du web ont investi dans Epicery. Il s’agit de Michaël Benabou (vente-privée), Marc Menasé (ex- Nextedia et ex-Menlook) et Xavier Niel. À ses débuts, l’entreprise a réalisé une levée de 700 000 euros et par la suite a créé un lien avec Monoprix, grâce à un partenariat qui se révèle fructueux.

7. Benoit Blancher et Equisense

Jeune homme de 26 ans, il est à la tête de l’entreprise Equisense spécialisée dans les outils numériques pour contrôler la santé et la performance des chevaux. Au lancement de cette entreprise, l’équipe comptait seulement trois personnes, désormais, ils sont plus de vingt. Benoit Blancher a réussi à lever 3 millions d’euros pour son projet et compte atteindre 10 000 clients dans un avenir proche. Déjà active dans 20 pays, Equisense poursuit sa lancée vers la réussite.

8. Kim Giaoui et Firsty

À l’âge de 23 ans, cette jeune femme a lancé son application nommée Firsty. Celle-ci est dédiée aux Parisiens souhaitant découvrir de nouveaux bars sans se ruiner. Avec 9,99 euros par mois, il est possible de consommer un cocktail par jour gratuitement dans les bars partenaires de l’application. Cette idée rafraîchissante a su séduire les adeptes des cocktails. À seulement 23 ans, la fondatrice prévoit de déployer son offre pour 1000 membres avec une carte de 100 à 200 bars disponibles.

9. Charles Boes et Foodvisor

Charles Boes est cofondateur et président d’une application fournissant les informations nutritionnelles d’un plat à l’aide d’une simple photo. Elle permet aux utilisateurs d’adapter un régime alimentaire particulier à travers l’application. Téléchargée, plus de 50 000 fois en quelques semaines, l’application a su convaincre les utilisateurs. L’intelligence artificielle leur a permis de se développer de manière exponentielle. Les co-fondateurs espèrent s’ouvrir à l’international dans les prochains mois, grâce à une possible levée de fonds.

10. Camille Azoulai et Funky Veggie

Co-fondatrice de 24 ans, Camille Azoulai a voulu miser sur une mission claire, rendre l’alimentation vegan attractive. A la suite d’une campagne de crowdfunding cette petite start-up est née. Elle distribue désormais ses produits dans des magasins Franprix grâce à la réussite d’un concours dédié aux start-up. Sous forme de boule vegan, la start-up a su se différencier de ses concurrents. Avec plus de 25 000 followers sur Instagram, Camille a fait de son entreprise une référence en matière de boule vegan.

L’entreprenariat n’est pas donc seulement réservé à une tranche d’âge, les jeunes apparaissent comme un moteur de l’innovation et des idées nouvelles et ils deviennent de plus en plus nombreux à se lancer dans l’entrepreneuriat et à s’imposer comme des références incontournables.

Comment gérer un client pénible ?

Le travail au service de la clientèle entraîne parfois la gestion de situations compliquées, notamment la gestion d’un client pénible. Selon l’adage, le client est roi mais il faut parfois se séparer des indésirables qui vous coûtent plus qu’ils ne vous rapportent tant moralement que sur le plan financier. Il reste primordial d’en satisfaire un maximum et de savoir gérer même les clients pénibles. Zoom sur les indispensables de la gestion client.

L’écoute avant tout

La prise au sérieux des problèmes du client passe d’abord par une écoute. Il s’agit avant tout de bien comprendre sa problématique. En effet, chaque client qui se plaint n’est pas forcément un mauvais client. Pour cela, vous devez être à l’écoute. Surtout ne l’interrompez pas avant de saisir complètement l’étendue de son problème ou de ses exigences. 

Cette écoute peut être ponctuée de quelques hochements de tête lorsque vous êtes en face à face pour lui dire que vous l’écoutez ou que vous comprenez. Si le client énonce un fait qui vous semble correct et même si vous êtes en tort, il reste fondamental de le regarder dans les yeux. L’empathie est votre alliée dans la gestion d’un client pénible, qu’il soit en colère, indécis ou simplement exigeant. L’emploi du « nous » est à privilégier. Vous devez faire en sorte de bien cerner le problème quitte à reformuler sa plainte pour être sûr de bien comprendre. 

Le contrôle de la situation par une attitude calme

Ayez toujours à l’esprit que d’autres clients auront connaissance de votre échange avec ce client, que ce soit immédiatement par leur présence à proximité de votre interaction ou plus tard, par le compte-rendu qu’en fera le client autour de lui. 

Rien de pire que de rentrer dans votre client pour calmer une situation. Vous devez rester posé et mettre de côté vos émotions. Une attitude calme entraîne souvent une réponse de la même nature. Il est possible que votre client retrouve son calme au contact de votre voix lente et posée. Même s’il peut avoir quelques résurgences au cours de votre échange, votre manière de faire génèrera qu’il modifie la sienne. On ne peut pas s’énerver indéfiniment tout seul. 

Vous emporter reste la pire attitude et n’arrangera pas la situation. Il peut être opportun de s’excuser au nom de la société. Si possible, appelez le client par son nom. Cette petite attention sera perçue comme une preuve de votre intérêt pour son cas personnel. Par ailleurs, face à un client aux exigences pointues, essayez de le rassurer. Montrez-lui que votre société est à même de lui apporter la qualité recherchée.

La concertation avec un associé

La communication entre associés est importante dans ce genre de situations. Une réflexion concertée amène des solutions auxquelles vous n’auriez sans doute pas songé autrement. Si vous ne disposez pas d’associé, vous pouvez vous en remettre aux conseils d’autres professionnels qui vous sont proches. 

L’avis de l’associé ou de quelqu’un d’autre ne peut pas être forcément immédiatement donné. Vous devrez parfois faire attendre le client afin de lui apporter la meilleure réponse. S’il s’est déplacé, il s’agit de proposer, dans la mesure du possible, un endroit confortable (une salle d’attente par exemple) et des rafraîchissements afin que son attente soit le plus agréable possible. N’hésitez pas dans le cas inverse à fixer un entretien ultérieur au client . Dites-lui que vous vous chargez personnellement de la situation. 

Ne pas se laisser déborder par le client pénible

Certes, la courtoisie est essentielle. Toutefois, il est également essentiel de fixer les limites : ne laissez jamais un client vous toucher ou vous insulter ! Il y a des limites à ne pas dépasser même quand on est client. En effet, au fond chacun reste un être humain. 

N’hésitez pas à faire appel à la sécurité du magasin ou directement à la police si la situation devient ingérable. En outre, si vous vendez des services, n’hésitez pas à démontrer avec raison et diplomatie au client que ses exigences dépassent l’entendement et que le prix qu’il paie ne justifie ni son comportement ni son exigence. 

La gestion d’un client pénible demeure un aspect important dans les entreprises de services ou le frontière peut vite être franchie. Si aucune solution n’est trouvée au problème du client, il est primordial qu’il parte sur une note positive, dans la mesure du possible. Il s’agit donc de lui demander ce qu’il estimerait nécessaire que vous fassiez pour qu’il soit satisfait. Si vous ne pouvez répondre à sa demande ou si elle vous semble disproportionnée, n’hésitez pas à lui demander ce qui pourrait être fait afin que vous partiez en bons termes.