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Le plafond de chiffre d’affaires des auto-entrepreneurs double en 2021

Selon les indications du gouvernement, le statut de micro-entrepreneur s’applique tant que le chiffre d’affaires annuel (effectivement encaissé au cours de l’année civile) ne dépasse pas les seuils du régime fiscal de la micro-entreprise. A noter que le dépassement des seuils de chiffre d’affaires des auto-entrepreneurs n’a pas d’incidence sur son statut juridique, il reste entrepreneur individuel.

La micro-entreprise, avec la crise sanitaire, attire un nombre grandissant de porteurs de projets. En fait, ils souhaitent créer leur entreprise ou d’indépendants à la recherche d’un revenu complémentaire.

La micro-entreprise permet de bénéficier d’une gestion comptable simplifiée et d’obligations administratives allégées. Par ailleurs, sa création peut se faire en ligne, en quelques clics,  ce qui est vraiment un atout.

Un seuil variable à ne pas dépasser

En cas de création d’entreprise et en l’absence d’option pour un régime réel d’imposition, vous bénéficiez de plein droit du régime du micro-entrepreneur, communément appelé auto-entrepreneur au titre de l’année de la création.

Les années suivantes, pour bénéficier de ce régime au titre d’une année N, votre chiffre d’affaires HT N-1 ou N-2, ajusté s’il y a lieu au prorata du temps d’exploitation, ne doit pas avoir dépassé un certain seuil. Ainsi, pour les années 2020 à 2023, le seuil est de :

  • 176 200 € pour les activités de vente de marchandises, de vente à consommer sur place et de fourniture de logement (hors location meublée autre que meublé de tourisme ou chambre d’hôte) (1ère catégorie) ;
  • 72 600 € pour les prestations de services relevant de la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou des bénéfices non commerciaux (BNC) (2ème catégorie).

Si vous exercez une activité mixte (ventes et prestations de service) : votre chiffre d’affaires global annuel N-1 ou N-2 ne doit pas avoir dépassé 176 200 € et la partie relative aux activités de service ne doit pas avoir dépassé 72 600 €. Les seuils de chiffre d’affaires ou de recettes à ne pas dépasser sont désormais déconnectés de ceux de la franchise en base de TVA qui ont fait l’objet d’une révision triennale le 01/01/2020.

Pour rappel, le micro-entrepreneur ne facture pas de TVA jusqu’à certains niveaux de chiffre d’affaires :

85 800 € (seuil limite) et 94 300 € (seuil majoré) pour les ventes de marchandises ;

34 400 € (seuil limite) et 36 500 € (seuil majoré) de chiffre d’affaires pour les prestations de services.

 Les conséquences du dépassement

Le dépassement des seuils conditionnant le bénéfice de la franchise en base de TVA n’implique donc pas nécessairement la remise en cause du statut de micro entrepreneur.

  1. Sur le plan juridique. Le dépassement des seuils de chiffre d’affaire conditionnant le bénéfice du statut de micro entrepreneur est sans incidence sur le statut juridique choisi initialement pour votre activité (entreprise individuelle (EI), entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL), ou entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL)). Toutefois, il est possible d’opter pour une structure juridique différente (exemple : une société).
     
  2. Changement de régime fiscal. Vous passez du régime de micro-entrepreneur au régime réel d’imposition pour les bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou au régime de la déclaration contrôlée pour les bénéfices non commerciaux (BNC).

4 méthodes pour mieux s’organiser et gagner du temps

« Le temps, c’est de l’argent ». Les entrepreneurs le savent, pour gagner du temps, il faut une organisation en béton ! La planification des tâches ainsi que la gestion de temps et de projets, sont pourtant loin d’être évidentes pour tous. Voici donc quatre méthodes pour mieux s’organiser et gagner du temps et vous aider à y voir plus clair.

Le mindmapping pour schématiser ses idées

Le mindmapping, carte heuristique en français, consiste à « dessiner » ses idées. Pensé par Aristote, ce concept prend forme dans l’ouvrage du psychologue anglais Tony Buzan, « An Encyclopedia of the Brain and Its Use » (en français, « Encyclopédie du cerveau et de son utilisation », ndlr). Cette méthode permet de mettre en place une stratégie ou de dresser un état des lieux à travers une schématisation très simple, réalisable avec un logiciel ou même une feuille et quelques stylos de couleur. La carte heuristique se construit comme suit : au centre se trouve le thème principal, en mots et en image.

Depuis ce centre, partent des branches de couleur, qui elles-mêmes mènent vers des idées principales en relation avec ce thème, toujours sous forme de mots-clés et de dessins. Ces idées conduisent à d’autres branches présentant des idées secondaires… et ainsi de suite. La manière la plus simple de les schématiser consiste à inscrire chaque mot-clé dans un cercle et à relier ces cercles entre eux.

Cette schématisation peut tout à fait s’opérer à plusieurs, il suffit de la poser sur un grand tableau ou sur une grande feuille pour qu’ensuite, des personnes participent à sa construction. Très utilisée au cours de brainstorming, cette technique sert, entre autres, à clarifier sa réflexion, à identifier des mots et notions clés, à visualiser des idées complexes et à structurer un projet. Réalisable par écrit, il existe également des logiciels de mindmapping, tels que Framindmap, VUE ou Wisemapping, ou encore Lucidchart, Bubbles.us ou Pearltrees, qui rendent possible un travail collectif.

Organiser son projet dans le temps avec le diagramme de Gantt

Popularisé par l’ingénieur américain Henry L. Gantt, cet outil met en image la progression chronologique d’un projet. Véritable tradition en gestion de projet, le diagramme de Gantt constitue une aide précieuse pour visualiser l’état d’avancement de chaque tâche. Cette méthode détient un double objectif : une visualisation optimisée et la communication d’un planning établi. Concrètement, sur ce diagramme figurent les dates de début et de fin de chaque projet, les marges de temps envisageables sur certaines tâches ainsi que le retard pris dans d’autres.

Ce schéma se construit simplement avec, en abscisse, le temps, et en ordonnée, le poste de travail ou le nom de la tâche. La durée de celle-ci se représente avec une barre horizontale allant de sa date de début à la date de fin escomptée ou effective. Présenté ainsi, le diagramme n’indique que le temps mais il permet, d’un rapide coup d’œil, de constater le retard ou l’avance pris sur une tâche. Des flèches reliant chaque étape à la suivante permettent d’agrémenter et de préciser le diagramme et l’organisation du projet, ce que propose la méthode PERT (outil de gestion de projets basée sur le diagramme de Gantt). Des logiciels en ligne créent et adaptent d’ailleurs cet outil en fonction des besoins de chacun, comme AstaPowerproject, Gantter, Open Workbench ou Taskjuggler.

La méthode PERT pour faciliter la gestion de projets

Cette technique, mise au point par la marine américaine en 1950, se base sur le diagramme précédent pour optimiser la gestion et la panification de projets. La méthode PERT (Program evaluation and review technique, ou évaluation de programme et analyse technique, en français, ndlr) part également des dates de début et de fin pour l’ensemble des tâches et vise à définir un chemin critique menant à une estimation de la date de fin du projet. Le but est de trouver la meilleure organisation possible pour qu’un projet se termine dans les meilleurs délais et d’identifier les tâches critiques, c’est-à-dire celles qui ne doivent souffrir d’aucun retard sous peine de retarder l’ensemble du projet.

Pour définir cette durée le plus précisément possible, il faut d’abord établir, pour chaque tâche, la date au plus tôt, celle à laquelle une activité pourra se terminer au plus tôt en tenant compte des étapes précédentes. Il faut aussi déterminer la date au plus tard, à laquelle l’activité devra impérativement être finie sous peine de ralentir le projet. Ces étapes sont reliées entre elles par des flèches et la forme finale du schéma présente leur enchaînement chronologique le plus rapide : le chemin critique. Les tâches annexes susceptibles de retarder le projet sont représentées sur le côté et rattachées aux principales par d’autres flèches, et rejoignent toujours la ligne de déroulement principale.

Définir ses objectifs avec la méthode OVAR

Imaginée et créée par trois professeurs de l’école HEC, OVAR se présente comme un outil de pilotage sous forme de tableau de bord conçu pour élaborer et déployer des stratégies à tous les niveaux hiérarchiques de l’entreprise. Définir les variables d’action constitue le but principal de cette méthode, qui prend la forme d’une grille. Comme l’acronyme l’indique, ce tableau présente à la fois les Objectifs, les Variables d’Action et leurs Responsables. Il se remplit collectivement en cinq étapes : partage des informations contextuelles, élaboration individuelle des buts à atteindre, partage des perceptions, définition des indicateurs et mise en place du tableau de bord. Les indicateurs servent à trier les variables d’action, qui peuvent appartenir à différentes catégories et servir divers objectifs. Ils sont pour cela regroupés en résultats, impact et efforts. Une grille OVAR, téléchargeable gratuitement sur internet en format Excel, permet ainsi de clarifier ses objectifs et d’ordonner ses projets.

L’écrit : le passeport de la relation clients, des investisseurs et des partenaires

Dans cette période où les e-mails sont devenus le moyen de communication omniprésent, il est devenu incontournable de maîtriser l’écriture professionnelle. L’entrepreneur ou le dirigeant rencontre l’écrit à chaque moment de la vie de son entreprise. L’écrit doit devenir son allié et non une angoisse permanente. Combien d’articles de presse ont annoncé la mort de l’écrit lors de l’apparition d’internet à l’appui des thèses les plus argumentées. Aujourd’hui, l’écrit fait partie intégrante de la vie de chacun et occupe une place cruciale.

L’écrit, le passeport de la relation clients

L’entrepreneur imagine et met au point des nouveaux produits performants avec tous leurs circuits de vente ; il a déjà dépassé les méandres complexes de la gestion mais se retrouve inévitablement confronté au périlleux exercice d’écriture. Il a très rarement, au départ, une merveilleuse secrétaire qui lui rédige ses e-mails et ses lettres ou une assistante spécialisée dans la rédaction administrative. Sur le chemin d’un créateur d’entreprise une des premières étapes se trouve dans une simple phrase magique, jetée à la volée par un client, un fournisseur, un investisseur : « Confirmez-le-moi par mail » et bien sûr la réponse sera : « Pas de problème ! » Le premier outil à maîtriser, c’est donc l’e-mail. Comment débuter un e-mail et quelle formule de politesse utiliser ? Est-il trop familier ou trop direct ? Et la faute d’orthographe, cette fameuse faute qui guette tous ses écrits telle une vieille ennemie.

Surtout, il faudra apprendre à se contrôler face à la touche « envoyer ». Cette touche qui, si j’en crois mes oreilles, est celle que tout le monde regrette d’avoir appuyée trop vite. Le créateur doit donc acquérir au plus tôt les talents d’écriture de la perle rare qu’il pourra engager quand le développement de société le lui permettra.

Les secrets de l’écriture administrative

Sans oublier la rédaction de ces fameuses lettres (e-mails) qui demandent précision et belles tournures de phrases avec des formules de politesse venues d’un autre temps. Ces lettres se doivent d’être efficaces et soignées. Eh bien oui ! La France a conservé des structures administratives auxquelles sera confronté notre entrepreneur. Pour obtenir subventions et aides, l’entrepreneur sera contraint de naviguer dans les méandres de l’écriture administrative. Si une lettre(e-mail)est pertinente, rédigée efficacement, elle retiendra certainement l’attention et donnera à son destinataire l’envie de répondre.

L’exercice du power point

Il faudra au créateur la maîtrise du Power point. « Simplement quelques diapositives » me direz-vous. Oui, mais une présentation performante remportera l’accord des partenaires financiers, des investisseurs qui vont accompagner son projet. Certes, lorsqu’il pensera l’avoir peaufinée, il ne faudra pas qu’il la gâche par une suite de textes illisibles au contenu excessif ou par des fautes de goût dans le choix des polices de caractère ou la couleur des fonds d’écran. Le fichier Power Point devra posséder les éléments clefs qui leur permettra de passer la barrière du doute ou du scepticisme. Mais oui, reconnaissons que la présentation Power Point demande un savoir-faire. Envoyez-moi votre plaquette !

Pour qu’un projet prenne vie, il faut aussi réaliser la fameuse plaquette promotionnelle. Sa conception et sa réalisation par une agence est bien souvent hors de portée de la bourse de notre créateur. Il devra donc faire appel à des outils informatiques et à des techniques bureautiques qui lui permettront pourtant de la réaliser à moindre frais. Mais là encore, l’écriture journalistique et publicitaire lui demandera de déployer de nouveaux talents : choisir le vocabulaire adéquat, choisir les mots qui vont mettre en valeur le produit et l’esprit de service ; mettre en exergue la qualité de nouveaux services sans emphase présente une réelle difficulté. Une plaquette publicitaire est le passeport qui démontre qu’une entreprise passe d’un stade virtuel de conception à une manifestation concrète de son existence. C’est pourquoi un processus d’accompagnement se révèle indispensable pour lever toutes les inhibitions liées à la pratique de l’écriture.

Article par Aline Nishimata

Des outils pour gagner en efficacité

Vous vous demandez peut-être pourquoi certains entrepreneurs semblent plus efficaces que vous et plus actifs ? Que vous soyez dirigeant, chef de service, consultant, entrepreneur… Vous devez être au maximum de vos capacités personnelles pour mener à bien vos missions. Les outils pour gagner en efficacité vont vous servir à développer, vous concentrer sur l’essentiel et gagner du temps tout en étant plus productif et efficace.

PandaDoc

Un outil simple mais pratique puisqu’il permet, en plus d’organiser vos documents sur une plateforme, de créer une signature électronique qu’il est ensuite possible d’apposer sur ces derniers.

Slack

Cette plateforme de travail collaboratif facilite la rationalisation des e-mails ainsi que la gestion de la communication entre les membres de votre équipe.

HootSuite

Compatible avec 35 réseaux sociaux, cette solution permet de simplifier la gestion avec ce type de canaux en repérant les éléments les plus influents, selon votre activité, et en automatisant vos stratégies marketing inhérentes.

Enfusen

Basée sur le modèle du Cloud, cette solution vise à automatiser l’ensemble de vos process de ventes et de marketing.

Infusionsoft

Leader dans les domaines de la vente et du marketing, il permet de piloter la gestion de la relation client mais aussi de gérer les campagnes de type emailing.

Jira 

Cet outil de gestion propose plusieurs versions, à choisir selon la nature de son projet. Jira Sofware est conçu de sorte que chaque membre de votre équipe de développement puisse planifier, suivre et livrer d’excellents logiciels. À la version originale Jira Software, s’ajoute par exemple la variante Jira Core, destinée aux équipes métiers ; ou la version Jira Align pour ceux qui travaillent en méthode Agile.

10-logiciels-et-applications-pour-améliorer-son-efficacité-en-2021

Take a Break, Please

Take a Break, Please est une application web fonctionnant sur Mac qui permet de programmer l’heure de chaque pause et sa durée. Lorsque la pause programmée commence, l’appli assombrit votre écran et vous invite à faire un break.

10-logiciels-et-applications-pour-améliorer-son-efficacité-en-2021

Miro

La plateforme de tableau blanc collaboratif en ligne pour rassembler les équipes, à tout moment, n’importe où. Cette plateforme permet en effet de créer, de modifier et d’échanger visuellement, à distance et en temps réel du contenu, avec vos collègues, votre équipe…

Dashlane

Dashlane, vous permet de créer, enregistrer et saisir automatiquement vos mots de passe, mais ce n’est pas tout il vous permet aussi de stocker gratuitement jusqu’à 50 mots de passe, au sein d’une même plateforme, complètement sécurisée.

Evernote

Cet outil permet de gérer tous vos projets : vos notes, tâches et plannings sont tous au même endroit. ainsi de stocker au même endroit tout type de contenu (photos, textes, croquis…) et d’organiser ses collectes d’infos.

RescueTime

Le logiciel RescueTime Outil de gestion et d’analyse du temps basé sur le web pour les travailleurs du savoir qui veulent être plus efficaces et productifs. Il permet de mesurer et d’analyser le temps passé sur chaque site. 

Cleanfox

C’est l’outil idéal pour nettoyer votre boîte mail gratuitement et de ne plus recevoir des spams et de newsletters. Ainsi, Cleanfox fonctionne avec tous les services de messagerie (gmail, yahoo, orange…). c’est le service le plus sûr, le plus responsable, et le plus efficace pour vider votre boite mail des emails indésirables !

Zapier

Zapier vous aide à automatiser des actions entre les différentes applis web que vous utilisez quotidiennement.

Toggl

Toggl permet de savoir précisément le temps passé sur chaque projet / chaque dossier. Notamment, très utile quand vous êtes freelance et travaillez sur la base d’un tarif horaire.

Dayboard 

Dayboard est une extension Chrome qui génère des to-do-list, pour se fixer des objectifs quotidiens et rester concentrer sur cinq tâches à effectuer dans la journée.

5 choses à savoir avant de monter sa boite

Avant de créer votre entreprise, il faut que vous soyez conscient de vos objectifs. Vous devez vous préparer à mettre en place une stratégie efficace pour assurer la réussite de votre projet. De ce fait, vous devez posséder les connaissances sur votre secteur, établir une stratégie pour pénétrer votre marché, définir un budget adapté et connaître les meilleurs moyens d’optimiser vos ressources pour le développement de vos activités.

Un entrepreneur, quels que soit son savoir-faire, ses compétences et son expérience peut faire des erreurs. Même avec une stratégie précise, bien analysée et adaptée à son projet, vous pouvez toujours faire des erreurs …et c’est normal. Dans la majorité des cas, elles ne sont que des petits détails mais peuvent provoquer chez l’entrepreneur un sentiment d’instabilité. Vous risquez d’oublier les priorités et de vous épuiser rapidement. Pour l’éviter, vous ne doit pas perdre de vue votre vision et vos objectifs.

Le lancement du premier produit ou service ne constitue qu’un début

Le lancement du premier produit ou du premier service devrait être, dans l’idéal, un succès pour assurer la pérennité de l’entreprise. Il peut exiger des mois de préparation (recherches de financement, études et analyses du projet…) et il représente souvent une étape cruciale. Mais la confrontation au marché permet avant tout de connaître les exigences de vos clients et leurs réactions. Il est souvent recommandé de lancer rapidement son produit afin de mieux cerner les points à améliorer sur ses offres. C’est souvent votre capacité à prendre en compte les besoins réels et surtout réagir qui mène au succès. Criteo qui a changé plusieurs fois de business model en est un bel exemple.

Préciser la cible : une meilleure façon d’optimiser sa stratégie marketing

Votre cible (vos clients) joue un rôle déterminant dans la stratégie marketing de votre entreprise. Le choix a un impact sur l’ensemble du projet. La généralisation de la cible n’est souvent pas une bonne option pour la création d’une entreprise.
Il est primordial de déterminer avec précision le type de consommateur que vous souhaitez viser. Vous économiserez du temps, de l’argent et de l’énergie en évitant les clients qui ne sont pas susceptibles de consommer votre produit ou service.

Avoir un sens relationnel aigu pour trouver les meilleurs alliés

S’isoler constitue l’un des pièges les plus fréquents pour un entrepreneur. La conséquence sur le produit est considérable. Parfois, le fait de s’isoler risque d’entrainer certaines incompréhensions entre l’entrepreneur et son entourage. De ce fait, vous risquez de rater les meilleurs conseils que vous pourriez obtenir. Pour atteindre le succès, vous devez élargir vos horizons et trouver des personnes d’expériences pour vous épauler, vous conseiller même si toutefois vous restez le seul maître à bord. Rapprochez-vous de vos clients pour connaître leur besoin et développez votre sens relationnel (ou l’un de vos associés).

Songer à déléguer : pour mieux appréhender les nouvelles opportunités

Refuser de déléguer ou vouloir tout contrôler, constitue une des pires erreurs. En refusant de déléguer, vous risquer de devenir rapidement débordé. Cette situation peut paralyser vos activités et vous faire rater de nouvelles opportunités. Pour y remédier, vous devez essayer de trouver les bonnes personnes pour vous aider et avec qui vous pouvez travailler en toute confiance. La délégation exige une étude sérieuse de la personne à qui vous allez déléguer. Des mauvais choix peuvent peser lourdement sur l’entreprise.

Les astuces pour faire des économies au quotidien

La trésorerie est le nerf de la guerre. Parfois, on fait des économies de bouts de chandelle qui font perdre beaucoup de temps car chronophages. Parfois on a tendance à la négligence et rien de plus  dangereux pour le budget. Les économies cela se pense de manière réfléchie !!! et pas selon ses humeurs !!! Lorsque l’on est entrepreneur, on a tendance à s’inquiéter, à tort ou à raison, pour la santé financière de son business. Faire des économies peut vite devenir une obsession. Voici quelques astuces pour faire des économies au quotidien qui peuvent parfois vous coûter cher.

Faites preuve de bon sens

Comme le veut l’expression, les petits ruisseaux font les grandes rivières. Pour faire des économies et limiter les dépenses superflues, il va falloir que vous, et vos employés si vous en avez, repensiez totalement vos habitudes. Il s’agit simplement de faire preuve de bon sens, mais certaines choses peuvent être changées facilement. Aussi bien pour la planète que pour votre porte-monnaie, évitez d’imprimer des documents qui ne sont pas essentiels. De même, utilisez l’outil informatique et toutes ses innovations autant que vous le pouvez, car cela fera baisser les dépenses en matière de fournitures (par exemple, utilisez l’agenda ou le bloc-notes de votre téléphone). Ne laissez pas non plus vos ordinateurs ou tablettes en veille si vous ne les utilisez pas ou que vous n’avez pas l’intention de les utiliser dans les heures qui suivent.
Ces outils sont de grands consommateurs d’énergie. Or l’énergie est un poste de dépense important pour les entrepreneurs, qui aimeraient faire baisser significativement la facture.

Pensez durable

Vous devez faire des achats pour faire avancer votre business. Quitte à dépenser un peu d’argent, essayez de le faire de façon intelligente. Il s’agit de réaliser des investissements qui soient le plus durable possible. Ainsi, il est préférable de payer une imprimante un peu plus chère à l’achat, mais qui sera plus économe en énergie ou en cartouches d’encre. Sur le court terme, vous ne verrez sûrement pas la différence, mais à long terme, vous ressentirez sans aucun doute les économies réalisées grâce à ces achats durables.

Soyez à la page : misez sur l’économie de partage

Connue sous le nom de « sharing economy » dans les pays anglo-saxons, l’économie de partage s’utilise surtout à l’échelle des ménages, mais elle peut également constituer un bon moyen pour les entrepreneurs de faire des économies. Ce système peut se mettre en place non seulement au sein de l’entreprise elle-même (par exemple, pourquoi acheter deux tablettes qui seront peu utilisées alors que l’achat d’une seule tablette partagée entre deux commerciaux pourrait suffire ?) mais aussi entre les entreprises. En effet, il est parfois intéressant d’oser demander de l’aide à une autre petite entreprise, à condition que chacun y trouve son compte. Bien sûr l’entreprise en question ne doit pas sse réléver un concurrent direct. L’achat d’une imprimante pour plusieurs entreprises peut être la source d’économies conséquentes, de même pour l’achat d’un véhicule de fonction par exemple.
L’idéal pour ce genre de pratique se trouve ainsi dans une pépinière d’entreprises, afin de pouvoir partager les coûts plus facilement.

Un shopping tech qui peut vous intéresser

Acheter les dernières innovations nous fait souvent gagner un temps précieux dans nos tâches. Focus sur quelques innovations shopping tech qui peut vous intéresser.

Xiaomi, un chargeur capable de charger une batterie de smartphone en 8 minutes

Xiaomi dévoile un chargeur capable de charger une batterie de smartphone en 8  minutes


Le constructeur Xiaomi a dévoilé une nouvelle technologie de recharge rapide nommée HyperCharge. Cette technologie est désormais la plus rapide jamais présentée pour un smartphone. Cette recharge rapide de 200 W permettra de recharger intégralement la batterie d’un smartphone avec 4 000 mAh, le tout en l’espace de même pas 8 minutes ! Le deuxième c’est un chargeur sans fil et permet de recharger une batterie de 4 000 mAh en 15 minutes seulement grâce à sa puissance de 120 W. Soit plus de deux fois moins que le temps nécessaire pour recharger le Mi 11 Ultra. Xiaomi a déjà commercialisé son chargeur sans fil 80 W en France au moment de la sortie du Xiaomi Mi 11 Ultra, au prix de 149,99 euros. Il permet de recharger le smartphone haut de gamme en environ 35 minutes. 

Les premières montres de Huawei


Huawei a dévoilé ses deux premières montres Huawei Watch 3 et Watch 3 Pro. Les deux montres sont dotées d’une dalle Oled de 1,43 pouce de diamètre, avec une densité de 326 pixels par pouce. L’écran des deux montres peut monter jusqu’à 1 000 cd/m², de quoi consulter son poignet sans problème, même en plein soleil. Les montres possèdent un capteur de rythme cardiaque, d’un système de détection en cas de chute avec un appel d’urgence, et même d’un capteur de température de la peau. Les deux montres permettent également un suivi du stress, du sommeil et de la saturation en oxygène dans le sang. Elles intègrent aussi des puces GPS.

Si la 4G n’est pas activée l’autonomie pour la Watch 3 est de deux semaines et 18 jours sur la Watch 3 Pro. En effet, l’autonomie chute de trois jours pour la Huawei Watch 3 et à 5 jours pour la Huawei Watch 3 Pro, avec la data activée. La Huawei Watch 3 Pro se veut plus luxueuse avec un verre saphir pour protéger l’écran, un boîtier en titane et de la céramique au dos. La montre est par ailleurs plus large que la Huawei Watch 3 classique. Les deux montres sont disponibles en précommande sur le site avec des Huawei FreeBuds 4i. La Huawei Watch 3 Active à 345 euros et la Huawei Watch 3 Pro à 450 euros. 

Playdate, une petite console portable de Panic

Playdate : une mini-console qui se commande… avec une manivelle !


Panic a annoncé sa console portable, la Playdate, une anti PS5, avec une manivelle. Pour développer la Playdate, les éditeurs de jeux de Firewatch ou encore Untitled Goose Game ont travaillé avec Teenage Engineering pour la création de la console et en partenariat avec des grands noms des studios et développeurs, pour développer les jeux, comme : Keita Takahashi (Katamari Damacy), Bennett Foddy (QWOP), Shaun Inman (Retro Game Crunch) ou encore Zach Gage (Ridiculous Fishing). La console intègre un écran monochrome en noir et blanc, d’une taille de 2,7 pouces et d’une définition 400 × 240 pixels.

Son boitier est très compact, 74 x 76 x 9 millimètres, soit environ la moitié de la taille d’un smartphone. Playdate inclut également une connectivité Wi-Fi et Bluetooth, ainsi qu’une prise casque et un connecteur USB-C pour charger la batterie. La console sera disponible en précommande en juillet, avec une première saison qui inclut 21 jeux exclusifs et vous recevrez chaque semaine deux jeux sous la forme de téléchargements gratuits sur une période de 12 semaines. Le prix est de 179 dollars HT (environ 150 euros). 

Un téléviseur QLED 4K UHD de le géant chinois Hisense

Le TV 4K QLED 50 pouces de Hisense ne coûte pas plus de 400 € aujourd'hui


Hisense propose une TV 4K UHD, modèle 55U65QF, de 55 pouces disposant d’une dalle QLED compatible Dolby Vision. La qualité d’image est mise en valeur par l’apport du processeur Hi-View développé par Hisense. Celui-ci permet un uspsacle naturel de l’image si elle n’est pas en 4K UHD nativement. La TV compte aussi sur une compatibilité avec les meilleurs standards HDR : Dolby Vision, HDR10, HDR10+ et HLG. Hisense a misé sur une émulation Dolby Atmos pour une meilleure qualité du son et plus d’immersion, quel que soit le contenu regardé.

Elle comporte deux ports USB, une sortie audio optique, une prise casque, un port Ethernet, une entrée antenne et une entrée satellite.Hisense a développé son propre OS « VIDAA U », pour la majorité de ses TV, qui donne accès à plusieurs applications populaires comme Netflix, Prime Video ou YouTube. La TV QLED 4K se retrouve en promotion en ce moment à seulement 542 € avec 150 euros de réduction sur son prix initial. 

3 traits de caractère pour devenir un entrepreneur à succès

Entreprendre et réussir demande une certaine force de caractère. Il ne suffit pas d’avoir une bonne idée pour que votre entreprise connaisse le succès comme par magie même si certains aiment le faire croire. Voici trois traits de caractère pour devenir un entrepreneur à succès.

Avoir de la conviction.

Il y a autant de personnalités que d’entrepreneurs. Néanmoins, la plupart de celles et ceux qui ont connu le succès possèdent au moins un point commun : la conviction dans son projet. Et pour cause, lorsqu’on se lance dans l’entrepreneuriat, il est absolument indispensable de croire à 100 % à son projet ! Nombreux seront ceux à vous dire pourquoi cela ne marchera pas et il vous faudra parfois savoir persévérer malgré les réticences. Cet état d’esprit est notamment nécessaire lorsqu’il s’agit de convaincre des investisseurs et qui vous permet de résister à des vents contraires même pendant que le doute pourrait s’installer. 

L’exemple de Stéphanie Pélaprat, fondatrice et PDG de Restopolitan en est une excellente illustration. A seulement 23 ans, elle se retrouve face à des financiers pour une première levée de fonds. Alors jeune et sans expérience entrepreneuriale, elle aurait pu abandonner son projet par défaut de crédibilité auprès de ses trésoriers. Mais en fait : elle a fait tout le contraire ! Elle s’est présentée avec un business model cohérent, un pitch percutant et a prouvé qu’elle « en voulait ». En y réfléchissant bien, cet état d’esprit est tout à fait logique : pourquoi quelqu’un croirait-il en votre projet si vous n’y croyez pas vous-même ?

Attention tout de même car il ne s’agit pas d’une conviction aveugle mais plutôt en lien avec la réalité du projet. Il pourra vous arriver de transformer le business model en fonction des éléments de terrain qui apparaissent au fur et à mesure de votre aventure. 

Être résilient face aux échecs.

Tout échec est bon à prendre, dans la mesure où il est bien analysé et surmonté : ils sont avant tout des expériences qui peuvent vous dire ce qui ne marchent pas et pourront vous servir par la suite. Ce qui compte c’est de ne pas reproduire sans cesse les mêmes erreurs sans en tirer les apprentissages. Voilà une devise qui a fait le succès de nombre d’entrepreneurs célèbres : Richard Branson (patron de Virgin), Walt Disney (fondateur de la multinationale des dessins animés), Soichiro Honda (fondateur du géant japonais de l’automobile), etc. 

Cette capacité de résilience a été particulièrement remarquable chez l’inventeur de l’ampoule électrique, Thomas Edison. Lorsqu’il était jeune, ses professeurs lui disaient qu’il était trop stupide pour apprendre quoi que ce soit. Ses débuts dans le monde du travail furent pour le moins chaotiques puisque l’inventeur en devenir a été renvoyé de ses deux premiers emplois en raison de son manque de productivité. Qu’à cela ne tienne, il s’est nourri de ses échecs et a commencé à travailler sur son concept d’ampoule. Il lui faudra 1 000 prototypes pour arriver à en fabriquer une qui marche. A ceux qui lui ont demandé comment il avait réussi à appréhender tous ses échecs, il répondra : « Je n’ai pas échoué mille fois. J’ai simplement découvert mille façons de ne pas faire une ampoule électrique. » A méditer.

Prendre du plaisir et être passionné.

« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ». Cette célèbre maxime du penseur chinois Confucius est souvent évoquée par les entrepreneurs à succès. Ceci, avec peut-être une nuance : n’importe quel travail n’est pas synonyme de plaisir chaque jour, en ce qu’il demande des efforts et comporte parfois des frustrations passagères. 

Néanmoins, on peut retenir de cette philosophie une chose : la passion d’un entrepreneur contribue au succès de son entreprise. Et ce n’est pas Richard Branson, patron iconoclaste du groupe Virgin qui nous dira le contraire. Sur son compte LinkedIn, il explique sur un de ses posts : « Si vous prenez du plaisir, cela accroîtra les chances de créer une atmosphère positive d’innovation et votre affaire sera florissante ».

Par ailleurs, vous n’irez pas à reculons chaque jour au travail mais bien parce que vous ressentez une forme d’épanouissement à réaliser celui-ci. Il en va de même pour vos équipes où vous devrez parfois trouver le moteur de chacun pour faire en sorte que la flamme ne s’éteigne pas. De préférence, entreprenez dans un domaine qui vous passionne et, à défaut, trouvez les métiers qui vous passionnent et que vous souhaitez développer.

fr.statista.com

Savoir reconnaître une erreur face à son équipe

« L’erreur est humaine ». Cette expression s’applique également aux managers et dirigeants ! Bien évidemment ! Entre le stress et les milliers de choses à accomplir et à gérer, il arrive parfois que chacun fasse des « bourdes ». Même s’il n’est jamais évident de reconnaître ses erreurs, il s’agit avant tout de rester crédible. Un capitaine qui joue la carte de la franchise est nettement plus respecté qu’un manager qui refuse d’avouer qu’il s’est trompé. Zoom sur quelques situations et la manière d’assumer et reconnaître ses erreurs face à son équipe.

L’erreur de casting

Prenons un exemple : un réalisateur peut éventuellement se tromper lors d’un casting et doit donc revenir sur sa décision. Comme il est l’auteur de la décision, il aura souvent tendance à éviter le sujet. Or, il s’agit souvent de la pire attitude à avoir. 

Dans ce cas de figure, il s’avère souvent judicieux de partager son échec avec le groupe puisqu’ils seront nombreux à penser la même chose que vous. Allez-y directement et tentez de rester factuel et authentique à chaque fois. Expliquez à votre équipe que vous avez tiré une leçon pour l’avenir sur le type de profil qui ne correspond pas à un poste ou sur un élément auquel chacun devra être sensible lors des prochains recrutements. Vous pouvez également décider de changer le processus de recrutement en associant les collaborateurs concernés et  qui auraient pu détecter un manque de compétences par exemple. 

Les félicitations mal ciblées

La précipitation a tellement fait parler d’elle, que le manager s’est complètement trompé dans les félicitations. Au lieu de récompenser Caroline, le chef a félicité Chloé, ce qui peut arriver. L’une a reçu des lauriers, tandis que l’autre a été ignorée. Mais comment sauver cette situation ? 

C’est assez simple en réalité. Il vous suffit de jouer sur la transparence et d’être le plus réactif possible pour éviter que le malaise ne vienne envahir le quotidien. Présentez vos excuses auprès de l’intéressée si vous êtes à l’origine de l’erreur. Rassurez vos troupes sur le fait qu’il ne s’agit que d’une erreur et que vous avez bien conscience de la personne qui a effectué la performance. N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec la personne lésée et à la féliciter en privé si vous êtes le dirigeant en lui montrant que vous avez bien conscience qu’elle est à l’origine du travail qui mérite les éloges.

Les mauvaises accusations

Ah, les mauvaises accusations (ou plutôt les accusations infondées) ! Il faut bien entendu à tout prix les éviter car elles sont relativement destructrices et difficiles à admettre une fois le mal fait.  

Au cas où cela arriverait, vous devez faire profil bas et admettre vos torts. Bien entendu, pour cela, il faut aller en parler à l’employé concerné. Commencez évidemment par lui dire que vous êtes sincèrement désolé et que vous n’êtes pas fier de ce que vous avez fait. Même si vous avez des raisons qui vous y ont conduits, il s’agit avant tout de votre erreur ! 

Pour éviter que la situation ne s’envenime, vous devez revenir sur les indices et les idées reçues qui vous ont conduit à cette erreur et lui faire comprendre que cela ne se reproduise plus. Vous devez garder à l’esprit que cette situation est particulièrement blessante pour l’employé, qui risque de bouder vos arguments et qui n’auront que peu de poids. La prochaine fois, assurez-vous surtout de bien entamer vos vérifications avant d’accuser le premier venu.

L’information qui sort toute seule… ou presque

La gaffe : vous avez dit à un de vos employés qu’il y aurait des changements à venir au cours des prochains mois alors que le timing était très mauvais et qu’il pourrait répandre la rumeur. 

Pour rectifier le tir, il existe plusieurs méthodes. Vous pouvez jouer la transparence et lui dire que vous vous êtes trop avancé et que vous venez de réaliser que l’information est totalement confidentielle et qu’elle pourrait nuire au bon fonctionnement de l’entreprise. « Je compte sur vous pour ne pas répandre la nouvelle, ne faites surtout pas comme moi (rires) ». 

Vous pouvez également positiver votre faux pas en lui faisant part du fait que vous lui donnez cette information en amont car vous comptez sur son soutien ou que vous souhaitiez tout simplement prendre son avis en tant que pièce angulaire dans l’entreprise. Il s’agit d’un processus courant qui consiste à prendre la température, ce que certains salariés apprécient grandement. 

Enfin, vous pouvez tout simplement rebondir en lui disant que vous avez entendu cette rumeur qui circule et que vous vouliez savoir s’il la pensait fondée même si le procédé reste un peu bancal. 

Il reste évident que la transparence reste la meilleure méthode même si la deuxième façon de faire est tout à fait envisageable si la personne représente effectivement un élément clé de l’entreprise

Restons dans le fils d’actualités des idées innovantes

Pour un entrepreneur s’enrichir des idées innovantes lui permet parfois de faire jaillir une idée innovante pour son entreprise et de prétendre pourquoi pas à devenir la star d’un concours ou bien être celui qui nourrira l’ensemble de la population avec des idées qui ne sont pas dans nos habitudes culturelles. Quelques actualités des idées innovantes à ne pas sous-estimer.

Bambuser, la nouvelle pépite et égérie récompensée par LVMH

Pour la 5e édition du LVMH Innovation Award, les 28 startups finalistes (sur 850 dossiers de candidatures) ont présenté leur conception de l’expérience client de demain, devant les experts du secteur et le grand public, dans le cadre de Viva Technology, selon LVMH. La startup Bambuser, spécialisée dans le Live Stream Shopping, a été désignée vainqueur sur décision de Bernard Arnault, p.d.-g. de LVMH, de Toni Belloni, directeur général délégué de LVMH, et du comité de sélection du Groupe.La start-up suédoise a remporté le grand prix LVMH décerné lors de Vivatech. Cette jeune pousse propose une plateforme de shopping en vidéo streaming.

Le concept, hérité du téléshopping, permet aux e-commerçants et marques d’organiser des moments de rencontre avec leurs clients durant lesquels ils peuvent interagir et acheter les produits montrés. LVMH utilise déjà cette solution, notamment pour Parfums Christian Dior et Make Up For Ever et grâce à cette récompense, il accompagnera Bambuser lors des six prochains mois  au sein de l’accélérateur du Groupe LVMH ‘ La Maison des Startups ‘, basée à la Station F depuis 2018.

La start-up Ynsect construit une ferme verticale à Amiens pour ses produits à base d’insectes

Bowery Farming, spécialiste des fermes verticales, lève 300 millions de  dollars

la pépite Ynsect construit sa troisième ferme verticale spécialisée dans la production d’insectes, d’une superficie de 45 000 mètres carrés. une capacité de production à terme de 200 000 tonnes d’ingrédients par an. Elle devrait être opérationnelle à compter de la fin 2021. Après les plantes et les animaux, cette jeune pousse souhaite conquérir le marché de l’alimentation humaine. La construction de cette future ferme a été rendue possible grâce à la subvention européenne BBI JU portée par un consortium d’acteurs européens dans le cadre du projet FarmYng et à un financement public-privé porté par la Banque des Territoires de la Caisse des Dépôts & Consignations, Bpifrance et par un pool de banques françaises. A terme, la société ambitionne de déployer un réseau de plus de 100 fermes verticales dans le monde. 
Ynsect transforme les insectes en ingrédients pour nourrir les animaux, les plantes, et demain les êtres humains. Une nouvelle étape rendue possible grâce à l’obtention d’une « opinion favorable » de l’Autorité européenne de la sécurité alimentaire (EFSA) sur l’utilisation du ver de farine à destination de l’alimentation humaine en janvier dernier. Ynsect emploie aujourd’hui 150 salariés et a levé plus de 425 millions d’euros depuis sa création en 2011 à Paris. En octobre dernier, il a levé 224 millions de dollars portant le total de sa levée de fonds en série C à 372 millions de dollars.

Le CNRS et Bpifrance s’allient pour stimuler la création de deeptech issues de la recherche publique

A l’occasion du salon Viva Technology, Bpifrance et le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ont signé le 16 juin une convention de coopération. Elle vise à mobiliser leurs moyens et leurs compétences pour amplifier le transfert des résultats de la recherche publique en particulier pour la création de deeptech, ces start-up qui travaillent sur des technologies de rupture. Cette collaboration s’inscrit dans le plan « Deeptech » de Bpifrance mis en place en janvier 2019 ont l’objectif est de doubler le nombre de deep tech, d’assurer leur croissance ainsi que de développer et de renforcer cet écosystème un peu particulier. En 2020, 220 millions d’euros ont servi à financer près de 400 start-up (soit 30% de plus qu’en 2019), et ce financement a doublé en 2021.

D’après le décompte de la banque publique d’investissement, les start-up qualifiées de deep tech constituaient 28% du French Tech. 120 et captaient 20% des montants levés avec 1,1 milliard d’euros en 2020. Cette même année ce sont plus de 200 start-up deep tech qui ont été créées soit 40% de plus qu’en 2018. L’écosystème français des deep tech est donc plutôt dynamique. La preuve en est de la levée de fonds de 75 millions d’euros de la spin-off de l’Institut Curie, centre de référence de lutte contre le cancer, Mnemo Therapeutics il y a quelques jours. La biotech a développé une technologie visant à identifier de nouvelles cibles antigéniques du cancer pour créer des traitements immuno-oncologiques.