Êtes-vous conscient des pépites cachées en vous ? Êtes-vous conscient que lorsque vous êtes aligné avec vous-même, lorsque vous respirez votre mission de vie, lorsque vous vivez votre message… et qu’il est enveloppé dans une attitude positive, constructive et tournée vers les autres, vous attirez les personnes qui ont envie de travailler avec vous, qui sont sensibles à la vie et l’énergie que vous dégagez ? En bref, que vous attirez votre clientèle idéale ?
De nombreuses personnes n’attendent qu’un encouragement pour faire émerger et exprimer ce qu’elles ont et ce qu’elles sont.
Un mot d’ordre : Oser
Il s’agit parfois simplement d’avoir une prise de conscience autour du « lâcher prise » et du « oser ». Oser être vous-même. Oser vous faire confiance. En outre, Oser rechercher l’excellence plutôt que de vouloir à tout prix atteindre la perfection. L’apprentissage en la matière n’est peut-être pas encore terminé mais à chaque étape il deviendra plus facile.
Une confiance nourrie par la confiance
Votre premier support marketing, c’est VOUS ! En prendre conscience représente déjà une première victoire car il est nécessaire de se faire confiance pour réussir. Vous devez commencer par convaincre une seule personne de sa capacité et c’est vous.
Il faut le faire car la confiance engendre tout simplement de la confiance. C’est au fur et à mesure que vous aurez accepté de vous faire confiance et de vous lancer dans une tâche qui peut vous paraître difficile que vous réaliserez qu’en fait vous en étiez parfaitement capable. Plus les tâches que vous réussirez vous auront paru en amont difficile, voire impossible, plus vous serez convaincu du fait qu’il suffit d’oser le faire pour soulever des montagnes et que vous en êtes capable.
Il vous faut tout simplement oser
Pourquoi vous raconter ceci ? Simplement pour vous inviter, où que vous en soyez dans le développement de votre activité, à toujours oser être vous-même… Vous avez des pépites en vous… Même si vous le savez avec votre tête, même si on vous l’a dit…
Il peut vous arriver d’en douter mais souvenez-vous que votre première mission est de vous faire confiance… d’oser montrer et transmettre vos richesses pour en faire profiter les autres. Il faut libérer pleinement votre potentiel, vivre votre métier, votre passion, en toute authenticité.
C’est cela le marketing authentique… Vos prospects pourront ainsi vous dire : « Vous rassurez. On voit que vous vivez ce que vous dites. Même dans votre façon de parler de vos processus… Ça donne envie de travailler avec vous… »
Le plus important est de cesser de vous dénigrer et de vous sentir légitime. Vous attirerez la confiance des autres parce qu’ils se sentiront en sécurité avec vous.
Vous avez pris la décision de céder votre entreprise. Ceci est un évènement professionnel important après de nombreuses années passées à la diriger, ne le ratez donc pas. Afin de vendre votre entreprise au meilleur prix et à la meilleure personne, il est indispensable de s’y préparer à l’avance.
La nécessité d’identifier l’acquéreur
Il convient d’ores et déjà d’identifier l’acquéreur. Il ne suffit pas de fixer un prix pour que la vente se passe bien. Vous devez ainsi faire la liste des repreneurs potentiels parmi lesquels figurent souvent :
salarié de l’entreprise
un enfant ou un membre de la famille
un ami ou une connaissance
un concurrent
des investisseurs….
Concernant votre futur repreneur, il conviendra dans le même temps de s’assurer :
qu’il a les compétences nécessaires ?
qu’il aura la capacité à prendre votre suite (en interne et vis-à-vis des clients et des fournisseurs)
qu’il est bien conscient de la charge de travail et des responsabilités qui l’attendent
que sa famille est prête à accepter un changement de vie (baisse éventuelle de rémunération, perte du droit au chômage…)…
Identifier les forces et faiblesses de votre entreprise…
Bien évidemment il est nécessaire d’identifier les forces mais aussi les faiblesses de votre entreprise, même si vous les connaissez surement déjà. Parfois il est intéressant d’avoir un avis de professionnels externes à l’entreprise, qui vous feront état de leurs points de vue sur :
votre marché, votre clientèle, vos produits/prestations
votre organisation interne (êtes-vous bien informatisé, votre équipe est-elle compétente, votre mode production est-il perfectible …)
votre équipe (âge, compétence, productivité, sur effectif ou sous-effectif, appel à l’intérim, rémunérations élevées des salariés…)
votre outil de travail (machines âgées, outil de travail inadapté…)
la revue des contrats et actes juridiques (revue des baux, revue des contrats de travail…)
la revue des comptes de votre entreprise et de votre rentabilité passée et à venir (comptabilité, contrôle de gestion, suivi des marges, tableaux de bords…)…
… afin d’améliorer les points faibles et bien mettre en valeur les points forts et donc de mieux la vendre.
Ces deux étapes sont déterminantes. Il conviendra d’anticiper bien à l’avance l’audit de vos forces et de vos faiblesses qui peut prendre du temps. Il ne faut pas y réfléchir la veille pour le lendemain.
Bien entendu, les points forts seront les atouts de votre entreprise qu’il faudra mettre en valeur auprès du futur acheteur, mais il serait dommage que tous vos atouts soient ramenés à néant à cause de quelques points faibles qui auraient pu être corrigés à temps.
Il est crucial de vous préparer à la cession de votre entreprise, car l’acquéreur ne manquera pas de vous faire part des points « faibles » et donc de revoir votre prix de vente à la baisse.
A qui s’adresser ?
Si vous ne savez pas à qui vendre votre entreprise et surtout à qui vous adresser pour vous aider dans cette démarche, sachez qu’il existe des sites sur internet dédiés à la vente d’entreprises, mais aussi des professionnels dans les CCI.
Le fait d’accorder de l’importance au bien-être des collaborateurs ne peut être un slogan prononcé à la légère. Il est certes possible par une présence constante sur les réseaux sociaux ou par des interviews d’afficher des faux semblants. Cependant, les entreprises sont de plus en plus conscientes que présenter une image, qui se révèle être une imposture pour les salariés, peut se retourner à la longue contre l’entreprise.
Les éléments mesurables du bien-être des collaborateurs restent l’absentéisme, le turn-over. Mais aussi les échos des clients car ils mettent en exergue la relation qu’ils entretiennent avec vos collaborateurs ainsi que la confiance qu’ils accordent à votre entreprise.
Les collaborateurs, jamais dupes !
L’expérience vécue par tous les collaborateurs est le socle sur lequel repose la performance de l’entreprise dans tous les domaines. Des collaborateurs impliqués dans leur entreprise fournissent des efforts supplémentaires et même, bien au-delà, lorsque les crises arrivent. Si vous pouvez essayer de présenter une image de bien-être factice à l’externe, vos collaborateurs vivent au quotidien la réalité dans votre entreprise. Inutile donc d’essayer de mentir car ils constatent chaque jour ce que vous faites vraiment. S’ils sont sous le joug d’une ambiance délétère, ils se tairont dans la plupart des cas. Toutefois, ils ne feront pas la promotion de votre société et même auront tendance à la dénigrer.
Un engagement qui se concrétise
On a pu constater l’impact de l’engagement des salariés notamment pendant la crise sanitaire que nous venons de traverser. Nous le vivons encore aujourd’hui dans l’autre crise que nous sommes en train de traverser. Il apparaît de plus en plus évident que l’implication a des effets quelles que soient les équipes (âges, profils…) et qu’elle demeure une pierre angulaire pour développer l’innovation. Bien entendu, les bonnes recettes ne s’appliquent pas en un claquement de doigts . Elles doivent être adaptées aux multiples secteurs et prendre en compte leurs caractéristiques. Les entreprises ne peuvent et ne doivent jamais imposer un modèle type qu’elles suivraient aveuglément. Celui-ci deviendrait un carcan qui ne permettrait pas d’exprimer ses opinions
Le classement des Best Workplaces
Certes, les palmarès se multiplient sur la toile mais paraissent parfois surfaits ou fondés sur des critères peu objectifs. Les dés semblent joués d’avance et instaurent finalement la méfiance. Le classement des Best Workplaces répond aux besoins des entreprises et de ses collaborateurs. Or, le point essentiel du palmarès Best Workplaces demeure qu’il est sans compromission et qu’il est reconnu pour sa fiabilité. D’abord parce que les investigations menées en amont établissent la confiance par leur sérieux, qui chacun le sait par expérience, ne se décrète pas. Il se construit au fur et à mesure du vécu.
L’environnement de travail à ne jamais laisser de coté
Durant le confinement, il est apparu de manière flagrante que nombre de collaborateurs avaient envie de retourner dans leurs entreprises. Ce fait s’est révélé particulièrement le cas dans celles où il fait bon vivre. Il est donc nécessaire de porter attention à l’environnement de travail. S’il est vrai que de nombreux salariés préfèrent rester dans le cocon de leur domicile, il leur est donc difficile de passer 8 heures d’une journée dans un lieu austère qui n’est guère facteur de motivation. Si la présence d’un babyfoot ou d’une salle de yoga sont accessoires, la décoration ou leur présence peuvent cependant aider à renforcer la convivialité. Néanmoins, ils ne doivent pas être considérés comme essentiels. Ils représentent un élément supplémentaire mais ne remplacent pas les pratiques managériales.
Les pratiques managériales
Elles sont de plus en plus fondées sur la confiance entre le collaborateur et ses managers ou dirigeants. Elles sont au cœur de l’expérience du collaborateur. Elles permettent à chaque membre de l’entreprise de déployer pleinement son potentiel, surtout dans un monde où ce n’est plus tellement le nombre d’heures que vous passez au travail qui compte mais la productivité réelle. La plupart des entreprises sont passées à un management par objectifs d’ailleurs. La reconnaissance, le feedback, l’évaluation du potentiel, l’équité, la fierté par rapport à son travail donnent désormais du sens à l’action. Elles offrent surtout la possibilité aux salariés de s’impliquer en toute confiance.
Trouver des talents pour rendre son entreprise pérenne
Avec les réseaux sociaux, la recherche de talents est devenue complexe. Les entreprises se trouvent confrontées à ces derniers. Ces derniers peuvent faire la pluie et le beau temps en termes de réputation. Dans ce contexte, que ce soit pour obtenir de la visibilité, de la crédibilité ou de la notoriété, les palmarès sont une occasion incontournable et une preuve irréfutable.
A noter que si aujourd’hui, quel que soit leur âge, les candidats ont à leur portée de main le site des entreprises. Il leur suffit de quelques clics pour qu’ils obtiennent une multitude de renseignements. De plus, ils savent que dans leur entretien, les recruteurs leur demanderont s’ils ont fait des recherches Ils seront même challengés sur le niveau d’intérêt qu’ils ont porté à l’entreprise. L’information est souvent tellement volumineuse qu’il est difficile d’avoir des informations fiables. Parmi ces informations, celles fournies par les palmarès avec des critères qui ne laissent pas la place à des informations erronées, comme celle de Great place, peuvent faire la différence. A noter que ceux qui connaissent le palmarès auront même tendance à postuler directement. Ils s’adresseront aux entreprises qui y sont incluses.
La Franchise serait-elle une voie idéale pour les cadres en reconversion, un moyen sécurisé pour se créer son propre avenir quand on a décidé de quitter le salariat et qu’on souhaite entreprendre sans risques. Cette vision n’est pas tout à fait exacte même si la franchise diminue évidemment les risques puisqu’elle se base sur des modèles déjà éprouvés.
Quelques raisons qui la rendent attractive
Tous les acteurs reconnaissent à ce mode de développement un effet d’accélérateur important, une logique d’expansion liée à la mutualisation des ressources, et une saine émulation au sein des réseaux, synonyme de « bouclier anticrise ».
D’abord, il faut considérer que la franchise permet de bénéficier d’un savoir-faire qui vous évite de tout devoir commencer de zéro. Si elle connaît un succès, c’est d’abord parce que le modèle économique a généralement été vérifié et qu’elle vous permet de faire l’impasse sur quelques erreurs que vous auriez pu commettre, que ce soit en termes de gestion ou de rodage de votre offre.
Dans certains cas, l’entreprise dispose d’une notoriété forte et n’aura aucun problème à trouver des clients comme c’est le cas par exemple pour les franchises McDonald’s. Vous bénéficiez de l’image de marque de l’entreprise et cela peut donc être un atout dès le début.
Il reste évidemment à étudier le projet, se faire conseiller sur les aspects contractuels du contrat de franchise, mais on le voit, la Franchise est un mode de création d’entreprise facilité. Et sécurisé dans la mesure où on se sent plus fort à plusieurs.
Des coûts importants
Droits d’entrée, stock, locaux… Il faut de l’argent pour se lancer. Le coût reste d’ailleurs le principal frein à la création en franchise. Les enquêtes sur le sujet montrent que le coût d’installation est souvent inférieur à 100 K€, même s’ils peuvent parfois dépasser les 200 K€ avec un apport personnel qui tourne souvent autour de 38%, une somme donc tout de même assez importante au démarrage. Ce niveau d’apport correspond peu ou prou au niveau observé dans les reprises d’entreprise. Le retour sur investissement s’effectue souvent sur une durée de 2 à 4 ans, ce qui est somme toute un délai raisonnable.
Etude de marché et business plan
Si la question revient toujours dans les projets de franchisés, c’est que la loi pointe précisément cet aspect. La loi qui réglemente la Franchise, la loi Doubin, énumère l’obligation d’information des franchiseurs à l’égard des franchisés.
En sens inverse, deux domaines sont des écueils, l’étude de marché et le business plan. Il est déconseillé aux franchiseurs de s’immiscer dans ces informations chiffrées, sauf à endosser une responsabilité trop grande en cas d’échec. C’est donc au franchisé, assez naturellement, de « s’y coller ».
L’étude de marché, on pourrait s’y perdre. Il reste conseillé par les experts de faire simple : se mettre à la place des clients. Refaire le parcours client. Comprendre les attentes et les frustrations. Comprendre le cycle de vie du marché dans lequel on s’installe. Pas besoin de beaucoup d’argent, mais en revanche, du temps et beaucoup d’écoute.
Quant au business plan, c’est une incontournable feuille de route. On sait qu’il sera faux, mais ce n’est pas grave. L’important, c’est d’avoir posé des hypothèses et de s’être assuré de la cohérence, de l’alignement, avec les ressources humaines et financières.
Ensuite, tout l’effort doit reposer sur le business model. La recette de chaque entrepreneur pour gagner de l’argent. Les deux sujets sont indissociables. Le business model est au business plan ce que la tranche de jambon est au sandwich !
Transformation digitale
Quelle place fait le business model aux technologies et au digital ? Cette réflexion est capitale avant de refermer tout dossier de création. Technologies, réseaux sociaux, mobilité, data… c’est par ces nouveaux usages que se créent de nouveaux espaces d’affaires, de nouveaux flux de revenus, des positionnements innovants. Le multicanal est d’ailleurs devenu une préoccupation majeure dans le choix des réseaux de franchisés.
Concluons avec Maxime Aiache, fondateur d’Acadomia et de Shiva : « monter son affaire est bien plus sécurisant que de rester salarié ». En période de crise, la Franchise peut être une piste à étudier !
Vous êtes salarié et vous souhaitez parallèlement vous lancer dans une nouvelle activité à votre compte ? Il est possible de créer sa propre société, tout en étant employé dans une autre entreprise. Cependant, la réussite d’un tel projet demande de l’organisation et le respect des dispositions légales qui l’encadrent. Comment créer son entreprise en tant que salarié ?
Les avantages de cumuler une activité salariée et votre propre entreprise
Cumuler une activité salariée et la création de sa propre entreprise présente de nombreux avantages. Tout d’abord, vous pouvez profiter régulièrement de revenus supplémentaires grâce aux bénéfices que génère votre nouvelle société. Il s’agit d’un moyen pratique pour atteindre rapidement l’indépendance financière. La création d’entreprise en tant que salarié vous permet également de tisser plusieurs relations avec des professionnels et d’enrichir ainsi votre carnet d’adresses.
De plus, en cumulant une activité salariée avec la création de votre entreprise, vous pourrez profiter d’une exonération des cotisations sociales. Ceci peut s’étendre sur un ou trois ans selon la forme juridique que vous aurez choisie. Par ailleurs, créer son entreprise en étant salarié vous permettra de conserver votre emploi et de limiter les risques liés à la mise en œuvre de votre nouvelle activité.
Comment créer votre propre société tout en conservant votre emploi salarié ?
Pour créer son entreprise tout en étant salarié, plusieurs solutions s’offrent à vous.
Faites la demande d’un congé de création d’entreprise
La législation du travail autorise tout salarié à demander auprès de son employeur un congé de création d’entreprise. Néanmoins, pour être valable, cette demande doit nécessairement remplir certaines conditions. Vous devez avoir au moins 24 mois d’ancienneté au sein de l’entreprise (sauf lorsque vous avez l’accord d’un employeur favorable).
Vous devez informer votre employeur de la durée du congé et de la date à laquelle vous souhaitez le prendre. Notez que la durée maximale pour un congé de création d’entreprise est d’un an, renouvelable une seule fois. La demande de congé doit être transmise au moins 2 mois avant la date de départ effectif en congé. De plus, le salarié est tenu d’informer son employeur de la nature de l’activité qu’il souhaite développer ou reprendre dans l’entreprise à créer.
Gardez à l’esprit le fait que lorsque vous prenez un congé de création d’entreprise, vous perdez votre rémunération sur toute la durée du congé. Toutefois, vous pourrez reprendre votre ancien poste à l’issue du congé, si le projet d’entreprise ne fonctionne pas.
Investissez en intrapreneuriat
Cette solution consiste à entreprendre dans la structure qui vous emploie. L’intrapreneuriat est très en vogue au sein des grands groupes, car il offre de nombreux avantages, tant pour l’employeur que pour le salarié qui entreprend. L’intrapreneuriat permet de garder son autonomie d’entrepreneur tout en laissant libre cours à son imagination en tant que salarié.
Faites appel à une société de portage salarial
Le portage salarial est une pratique très appréciée dans le rang des entrepreneurs. Lorsque vous envisagez de créer votre entreprise, tout en étant salarié, rejoindre une société de portage salarial est une solution bénéfique sur de nombreux plans. Elle vous offre un parfait équilibre entre les contraintes du salariat et l’indépendance de l’entrepreneuriat. Vous êtes, en effet, libre de décider des conditions de vos missions, des tarifs de vos prestations ou du prix de vos ventes. Vous avez même la liberté de choisir les missions sur lesquelles vous interviendrez.
Rejoignez une Coopérative d’Activités et d’Emploi (CAE)
Une CAE est un regroupement de plusieurs entrepreneurs qui mettent leurs compétences en commun pour offrir des services et simplifier la gestion des tâches comptables, administratives et juridiques. En appartenant à ce type de groupe, vous apportez votre part au chiffre d’affaires de la coopérative et vous recevez une part de bénéfice proportionnelle qui est reversée sous forme de salaire.
Néanmoins, toutes les activités ne sont pas pertinentes dans une CAE. Il faut faire très attention au moment de choisir le type d’activités à pratiquer pour que cette solution soit adaptée à votre situation.
Quel statut juridique choisir pour votre nouvelle entreprise ?
Pour créer une société alors que vous êtes employé dans une entreprise, vous avez le choix entre plusieurs statuts juridiques.
La micro-entreprise
Ce statut juridique permet de limiter les contraintes et les formalités dans le cadre de la création d’une nouvelle entreprise. Cette forme de société est ouverte à toute personne. En choisissant la micro-entreprise, vous aurez une parfaite liberté d’action. La comptabilité est également simplifiée avec cette forme juridique.
L’entreprise individuelle
Ce statut vous offre la possibilité de lancer votre activité personnelle sans être obligé de créer une personne morale. La notion de capital social n’existe pas pour ce type d’entreprise et vous pourrez donc la créer n’importe quand. L’entreprise individuelle est une forme juridique adaptée aux activités libérales, industrielles et commerciales. Vous n’êtes pas obligé de rédiger des statuts pour la société à créer.
La Société à Responsabilité Limitée (SARL)
En choisissant ce statut juridique pour votre entreprise, votre responsabilité est limitée à la valeur de vos apports. Vous avez également la possibilité de vous associer à d’autres personnes. Aucun seuil de chiffre d’affaires ne vous est imposé.
Les coûts associés à la création de votre société
La création d’une entreprise en tant que salarié implique des coûts variables selon certains critères. Il s’agit notamment de la forme juridique choisie pour l’entreprise et de la nature de l’activité exercée. Les principales formalités payantes dans le cadre de la création d’une entreprise sont : l’immatriculation et la publication dans un Journal d’Annonces Légales (JAL).
Les coûts associés à la création d’une micro-entreprise
L’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS) est gratuite pour cette forme juridique, tant pour les activités commerciales que pour les activités artisanales.
Les coûts associés à la création d’une SARL
Dans ce cas, les frais d’immatriculation s’élèvent à 37,45 euros pour les activités commerciales et à 45 euros pour les activités artisanales. La publication dans un JAL coûte en moyenne 144 euros. Par ailleurs, l’entreprise est soumise à l’impôt sur les sociétés, ce qui vous exonère du paiement des taxes sur les bénéfices réalisés.
Les coûts associés à la création d’une entreprise individuelle
L’immatriculation est la seule formalité payante dans ce cas et elle coûte 25,34 euros. L’entreprise est soumise à l’impôt sur le revenu. Vous serez dispensé du paiement des impôts durant les premières années.
Quels sont les défis que vous pouvez rencontrer en cumulant vos deux activités ?
En cumulant une activité salariée et une activité d’entrepreneur, vous devrez faire face à certains défis. Le tout premier consiste à respecter le temps et l’énergie que vous deviez consacrer autrefois à votre emploi. En effet, vous aurez tendance à prioriser le développement de votre nouvelle entreprise. Cela peut donc réduire considérablement votre rendement au travail et constituer un frein à votre carrière. Pour relever ce défi, il faut établir une meilleure organisation de votre temps pour atteindre les objectifs de vos deux activités.
L’un des grands défis consiste aussi à fixer les règles de votre nouvelle entreprise et à les faire respecter. Il s’agit d’une tâche souvent contraignante et difficile à mettre en œuvre pour de nombreux entrepreneurs. N’hésitez pas à prendre conseil auprès de personnes qualifiées pour vous assister.
Par ailleurs, les conditions de votre emploi représentent aussi un défi auquel vous ferez face. Pour cela, avant de vous lancer dans l’entrepreneuriat, il faut vous assurer, par exemple, que vous n’êtes pas soumis à une clause d’exclusivité ou de confidentialité. Lorsque c’est le cas, vous n’êtes pas autorisé à exercer une autre activité.
Que l’on parle d’un contrat ou d’un devis que vous allez signer ou faire signer, certaines clauses doivent généralement être présentes. Il existe une logique globale qu’il faut comprendre pour que ceux-ci soient valables. Ces clauses constituent une armature essentielle. Zoom sur celles auxquelles vous devez porter une attention particulière.
Bien entendu, vous pouvez faire appel à des juristes pour rédiger vos contrats ou devis pour vous assurer de ne pas faire n’importe quoi et de ne pas commettre d’erreurs. Certaines entreprises de solution de contract managementvous permettent d’en suivre la bonne exécution mais vous ne devez pas vous dispenser de vérifier les différentes clauses.
Le destinataire ou l’identité des parties
Cela peut paraître évident mais il s’agit d’un des points à vérifier quel que soit le contrat. Les parties prenantes d’un contrat doivent généralement être bien définies si vous souhaitez que votre contrat soit valable. En général, la base est d’avoir le nom et le prénom ou la dénomination sociale ainsi que l’adresse pour que la personne soit bien identifiée. D’autres éléments peuvent également être nécessaires pour certains contrats comme la date et le lieu de naissance, le lieu d’habitation/l’adresse du siège social, le numéro de SIRET, le numéro de TVA intracommunautaire… La logique reste que chaque partie soit bien identifiée et qu’aucune confusion ne puisse s’opérer.
La description de la mission / prestation
Dans un contrat de travail, vous devez définir la qualification et la durée du travail (hebdomadaire, mensuelle, ou annuelle) a minima ainsi que le secteur géographique du lieu de travail. Dans les devis, la prestation attendue ou le livrable doivent être bien définis. Il s’agit de pouvoir observer s’il y a une exécution correcte. Il faut donc souvent se baser sur des éléments vérifiables pour savoir si la tâche a bien été exécutée ou non. Dans tous les cas, toutes ces clauses vous permettent de manière objective de savoir si la prestation ou la mission rentre bien dans le cadre du contrat.
Certaines clauses peuvent revêtir une importance fondamentale alors que d’autres dépendent des contrats. On considérera comme fondamental, la date du début de la relation de travail dans un contrat de travail ou encore parfois la date de livraison des produits / la date d’exécution de la prestation. Elles doivent donc dans certains cas nécessairement figurer dans les contrats et s’avérer être relativement précises.
La rémunération et ses composantes / le prix
Le prix ou la rémunération et ses composantes est, bien entendu, un élément à vérifier dans vos contrats puisque, de manière générale, vous souhaitez travailler pour une certaine rémunération ou avoir une prestation à un certain prix. Sans ces clauses ou cette mention, il est fort probable que votre contrat ne soit pas valable. Le prix n’est pas forcément fixé dès la base mais doit pouvoir être déterminé en fonction d’éléments figurant dans des clauses.
Certaines clauses sont interdites
Vous ne devez pas oublier le fait qu’il n’est pas possible d’insérer certaines clauses dans vos contrats puisque certaines seraient nulles et d’autres sont tout bonnement interdites. Sans rentrer dans les détails, elles doivent de manière globale, respecter « l’ordre public social » et ne peuvent déroger à la loi ou aux conventions collectives si ce n’est dans un sens plus favorable pour l’une des parties.
Dans tous les cas, vos clauses ne doivent pas être contraires aux libertés fondamentales. Comme il n’existe pas une liste précise de toutes les clauses interdites, il s’agira souvent de se référer à la jurisprudence pour en vérifier la validité mais vous pouvez déjà partir du principe que les clauses discriminatoires ont peu de chances d’être valables, tout comme celles portant atteintes aux droits et libertés.
Si on peut se dire qu’un fournisseur en vaut bien un autre, ce n’est pas le cas. Certains critères sont à prendre en compte quand vous le choisissez et qui peuvent largement influer sur le succès de votre entreprise. Votre sélection est d’autant plus essentielle quand vous allez faire des commandes en gros et notamment si elle concerne des vêtements. Zoom sur les critères à prendre en compte quand vous devez choisir un grossiste de vêtements en France.
Vous pouvez évidemment passer par des commerçants classiques pour acheter un vêtement si vous n’avez qu’une pièce à acheter. Dans le cas où vous avez une commande avec un volume important, achetez des vêtements en gros. Vous réaliserez de belles économies.
Quelques analyses préalables
Avant de vous ruer sur internet pour rechercher l’ensemble des sites internet des grossistes de vêtements en ligne, vous devez d’abord cerner votre besoin afin de déterminer les critères qui vont être les plus importants lors de votre commande. Le premier travail consiste à bien identifier votre cible car vous ne pourrez pas vous permettre de faire appel au même fournisseur si votre clientèle cherche du haut de gamme ou si elle cherche les premiers prix. Il en est de même si votre cible concerne la jeunesse ou les seniors car les fournisseurs ont tendance à avoir une clientèle adaptée à une catégorie. C’est également le cas si votre recherche concerne des cadeaux pour des clients. Il s’agit donc de bien connaître votre positionnement avant tout et de vous interroger sur la qualité désirée. Il s’agit de pouvoir avant tout avoir un cahier des charges qui liste vos critères par importance. Si le prix et la qualité sont souvent deux critères majeurs, d’autres éléments sont à prendre en compte comme les délais de livraison.
Le prix : un critère qui peut être trompeur
Si souvent on a tendance à rechercher le moins cher à niveau de qualité égal, il faut prendre tous les coûts en compte. Certains fournisseurs ont ainsi des prix relativement bas mais quand vous arrivez au moment des frais de livraison ceux-ci peuvent exploser et donc ne plus du tout vous permettre d’être concurrentiels. Certains n’hésitent pas à se rattraper sur les frais de livraison alors que d’autres vous les offriront en étant un peu plus cher à la base mais vous offrent des prix nets et donc vous facilitent la tâche.
Le prix est également trompeur car deux vêtements qui peuvent paraître identiques n’ont pas forcément le même niveau de qualité. Ceci peut prêter à rire notamment lorsque certaines commandes sont faites à l’étranger et que vous voyez celle-ci arrivée mais qu’elles ne ressemblent pas du tout à votre achat, si ce n’est vaguement sur une photo et là vous constatez que les coutures sont mal finies. Or, il s’agit d’un critère essentiel dans les commandes de votre clientèle.
La qualité : un vrai critère
Deux fournisseurs qui ont pourtant le même métier ne fournissent pas un niveau de qualité similaire. Dans le cas d’achat en gros, mieux vaut ne pas se tromper au niveau de celle-ci car la perte générée se multiplie. Généralement vous pouvez vous assurer de la qualité d’un grossiste en regardant ses partenariats avec des marques réputées qui n’auront pas tendance à vouloir vendre à tout prix. De la manière identique, rien ne vous empêche de vérifier que votre grossiste possède un catalogue varié, ce qui vous permet d’avoir le choix mais également de comparer différentes offres. Un autre critère de sélection réside dans le fait que la marque respecte les standards européens. Si vous n’êtes toujours pas rassuré, vous pouvez aller vérifier les avis sur Google notamment et globalement faire quelques recherches sur la réputation du grossiste.
D’autres critères à prendre en compte
Les délais de livraison ne sont pas à négliger. Certains fournisseurs ne possèdent pas de stock et il vous faudra attendre longtemps avant de recevoir votre commande, ce qui peut évidemment ne pas correspondre à vos attentes. Rien ne sert de commander des vêtements en gros qui n’arriveront que plusieurs mois plus tard si vous n’avez pas de stock ou si vous en avez besoin dans quelques jours. Les saisons ont une grande importance en France et donc si votre commande destinée à l’hiver vous arrive au printemps ou à l’été vous aurez une perte sèche. De manière identique, les conditions d’expédition souvent également à regarder à la loupe si vous ne souhaitez pas avoir de mauvaises surprises. Dans le cas où vous faites fabriquer vos vêtements, vous pouvez jeter un œil sur la capacité de production.
Pour éviter toute mauvaise surprise, vous pouvez également regarder la garantie ou vérifier la présence d’une assistance technique. Il n’est souvent pas inutile de pouvoir vous rendre sur place ou au moins de pouvoir joindre facilement un correspondant que ce soit par téléphone ou par tchat. N’hésitez d’ailleurs pas à la contacter pour vérifier qu’ils répondent avant de commander. S’ils ne sont pas réactifs au moment de l’achat, vous pourrez rapidement en déduire la qualité du service après-vente.
Pourquoi est-ce que la réunion est considérée comme la principale perte de temps pour 75% des cadres ? Et pourquoi sont-ils en même proportion à répéter qu’elles sont indispensables ? Tout simplement parce que les réunions sont souvent mal préparées et partent dans tous les sens.
Si les fourmis faisaient des réunions
Par exemple, la fourmi est un formidable animal social et ne vaut pas grand-chose individuellement … l’être humain c’est exactement l’inverse ! Imaginez l’efficacité des réunions dans l’organisation des fourmis. Tout le monde est à l’heure. Les sujets prévus sont abordés, les décisions sont prises, les résultats et les écarts passés en revue, les actions sont définies clairement et à la fin prévue, chacune des fourmis repart immédiatement au travail en sachant très bien ce qu’elle a à faire. Et puis… pas de trou noir entre les réunions ! Pas de plans d’actions perdus dans les boites email ! Tout est traduit en phéromones et l’info est accessible à tout moment.
Les raisons qui rendent les réunions indispensables
Les réunions sont indispensables parce que dans une entreprise, par définition, on doit avoir un jeu collectif. Or chacun d’entre nous, aujourd’hui, joue de moins en moins collectif ! Les multiples accès à l’information immédiate, les réseaux sociaux et la société de consommation dont nous faisons partie ont profondément modifié notre relation à l’entreprise et à l’autorité. Cependant, la création de valeur passe par un jeu collectif qui fonctionne. Les multiples réunions qui jalonnent nos organisations sont de fait un formidable outil pour créer un esprit de corps et un alignement managérial sur toute la pyramide de l’organisation.
Des réunions pourtant mal gérées
Mal gérées, elles deviennent un fléau, source de perte de temps pour certains, défouloir pour d’autres, sans qu’aucune action concrète n’en sorte et en espérant que d’hypothétiques actions aient lieu d’ici la prochaine réunion.
Vous en êtes satisfait ? Vous ne voulez pas changer ? Ne changez rien surtout, imaginez juste le coût de la masse salariale qui se réunit … pour rien. Imaginez l’impact négatif sur des forces vives qui, en majorité, sont pleines de bonne volonté. Surtout oubliez que pendant ce temps-là, vos concurrents directs, les pays émergents et autres acteurs de votre marché avancent eux, avec un esprit de corps et des actions qui se réalisent jour après jour.
Des questions à se poser pour changer
Posez-vous la question de ce qui détermine le fréquentiel de vos réunions : l’habitude ? Oui, mais encore ? La nécessité d’avoir de la visibilité sur l’avancement des actions. Quelle gabegie ! Pourquoi ne pas avoir un système qui permette d’éviter ce fameux trou noir entre deux réunions ? Qui donne de la visibilité sur l’avancement, faisant remonter les points d’alertes et autres commentaires, permettant de gérer par exception sans avoir à attendre de découvrir ce qui n’est pas fait ?
Notre monde évolue, on le sait, profitons-en, nous entrons dans l’ère des applications ! D’abord à usage privatif, les applications entrent dans le monde du travail. Ces logiciels des temps modernes, appelés solutions quand elles sont dans le cloud, sont aujourd’hui simples, visuelles, rapides et permettent de pallier la déficience des organisations en améliorant la méthode de travail.
La réunion est une formidable source d’amélioration. Prenez un outil qui va borner la méthode, laissant la créativité et les forces vives respirer à l’intérieur d’un cadre vertueux. Automatisez tout ce qui peut vous aider à gagner du temps. Ainsi un cadre d’ordre du jour, un standard de compte rendu exportable en PDF en un clic, un système de suivi des plans d’actions qui permet de mesurer l’avancement entre deux réunions, ou que vous soyez.
Gagner du temps et obtenir un jeu collectif tout au long de l’organisation est possible, sans bouleversement, en regardant ce que la technologie permet de faire aujourd’hui. Notamment, vous offrir les meilleures pratiques dans une application au service de tous.
Le recrutement est une des préoccupations essentielles des entreprises d’autant plus que certains secteurs rencontrent une pénurie qui les obligent à changer leur manière de recruter. Il faut donc aux entreprises séduire les candidats et le palmarès qui suit met bien en exergue que des entreprises ont su les conquérir ou vont les conquérir, parce qu’elles offrent ce qu’attendent leurs futurs collaborateurs.
1 – Swile
Une entreprise française, spécialisée dans le titre-restaurant, fondée par Loïc Soubeyrand. En 2016, Son volume d’affaires devrait atteindre quelque 850 millions d’euros en 2021. Prévision d’embauches : 300 personnes
2 – Qonto
Une entreprise française de services financiers destinée aux entrepreneurs et petites entreprises, fondée par Alexandre Prot, Steve Anavi. L’entreprise a lancé son service en France en juillet 2017 et s’est étendue en Espagne, en Allemagne et en Italie en 2019.Grâce à ce rachat, Qonto va regrouper 300 000 clients et 900 salariés. Prévision d’embauches : 200 personnes
3 – PayFit
Fondée en 2015 par Firmin Zocchetto, Ghislain de Fontenay et Florian Fournier. L’entreprise débute officiellement son activité en avril 2016. A l’issue d’une nouvelle levée de fonds achevée en janvier 2022, pour un montant de 254 millions d’euros, Payfit devient la 22ème licorne française. Prévision d’embauches : 500 personnes
4 – Ankorstore
Fondée il y a un peu plus de deux ans, la place de marché met en relation commerçants indépendants et fournisseurs. Elle a été créée par trois anciens responsables d’ Etsy en Europe Nicolas Cohen, Pierre-Louis Lacoste et Nicolas d’Audiffret, ainsi que Mathieu Alengrin, qui a dirigé le développement informatique d’une autre licorne : Vestiaire Collective. Prévisions d’embauches : 1 000 personnes
5 – Lhyfe
Fondée à Nantes en 2017 par Matthieu Guesné, dont l’objectif est de produire de l’hydrogène vert, En mai 2022, Lhyfe lance son introduction en Bourse sur Euronext Paris, visant une levée de 200 millions € pour financer ses 93 projets en développement. Prévision d’embauches : doubler ses effectifs et atteindre 170 personnes
6 – Polène
Une maison de maroquinerie parisienne créée en 2016 par un trio composé d’Antoine, de Mathieu et d’Elsa Mothay, deux frères et une soeur également petits-enfants du créateur de la griffe normande de prêt-à-porter Saint James.
7 – Silvr
Lancée en 2020 par Nima Karimi et Grégory Tappero, la start-up Silvr développe une solution de financement destinée aux e-commerçants. Silvr a réalisé une levée de fonds de 18 millions d’euros le 12/02/2022 afin de financer sa croissance. Prévision d’embauches : 100 personnes
8 – Masteos
Spécialisée dans l’investissement locatif, la startup Masteos, fondée en 2019 par Maxime Hanquier et Thierry Vignal. Objectifs : ouvrir 24 villes supplémentaires. Prévision d’embauches : 200 à 300 personnes
9 – Greenly
Fondé en octobre 2019 par deux anciens collaborateurs de Withings, Alexis Normand et Matthieu Vegreville, avec Arnaud Delubac, ex-chargé de communication digitale à Matignon. Greenly est une application mobile qui incite les consommateurs à réduire l’empreinte carbone de leurs dépenses. Prévision d’embauches : 100 personnes
10 – Beanstock
Fondée en 2020 par Emma Malha et Alexandre Fitussi, une plateforme d’investissements locatifs qui permet d’acheter, de financer et de gérer des biens d’investissement en ligne.
Froid, mauvais temps, rayons de soleils prometteurs vite chassés par la pluie… brrrr La fatigue, la nervosité, la morosité, la démotivation et les doutes sont les humeurs qui peuvent nous habiter en période hivernale où le climat saisonnier ne nous aide pas à garder le moral. Et nous le savons, c’est bien souvent l’état d’esprit dans lequel nous nous trouvons qui nous permet de faire la différence !
Ne laissons pas notre environnement extérieur prendre les rênes de notre mental et (re)devenons acteur de nos vies ! Pour vous aider à rester motivés voici quelques méthodes éprouvées qui vous aideront à rebooster votre mental.
Lorsque l’on est entrepreneur, les préoccupations sont nombreuses et on n’arrive souvent pas à prendre du temps pour nous car on ne considère pas cela comme une priorité. Mais où se situe donc la priorité si vous n’avez plus d’énergie pour vous lever le matin, pour donner le meilleur de vous-même en rendez-vous client, pour manager vos équipes, pour passer des moments de qualités avec les gens que vous aimez, pour vous regarder avec fierté et plaisir ? A votre avis, quel est votre meilleur outil de travail ? Votre propre corps bien sûr ! Bien plus qu’une enveloppe, c’est ce corps qui vous porte, qui vous fait avancer. Il est votre allié au quotidien, et pour la vie.
1/ Prenez rendez-vous avec vous-même :
En clair, pensez à vous et reconnectez-vous avec votre corps et votre mental. En tant qu’entrepreneur, on peut vite s’oublier en se perdant dans son travail. Retrouver un bon équilibre entre votre vie personnelle et votre vie professionnelle est la première étape qui vous aidera à retrouver l’énergie dont vous avez besoin pour maintenir votre motivation.
Prenez le temps de vous aérer le corps et l’esprit en sortant de votre environnement (physique et mental) de travail.
Voici une liste non exhaustive de toutes sortes d’activités qui en plus de vous apporter du fun, stimuleront votre créativité !
sortir vous balader seul, en famille, avec votre conjoint, avec vos amis…
cuisiner
lire
écrire
(re)écouter votre album préféré
Bricoler
sortir entre amis, et rire un bon coup !
partir en week-end à quelques kilomètres de chez vous, ou dans un pays étranger
vous offrir un massage
programmer vos prochaines vacances
2/ Profitez pleinement de l’instant présent
C’est bien beau de s’accorder quelques moments pour soi, encore faut-il y être pleinement présent. Pendant ces moments essayez d’oublier vos préoccupations. Vous aurez bien assez le temps d’y penser lorsque vous y reviendrez.
Si vous partez vous balader, restez attentif à ce qu’il se passe autour de vous plutôt que de penser à ce qui vous attend à votre retour ou ce que vous auriez pu faire différemment lors de votre dernier rendez-vous professionnel.
Hier, c’est de l’histoire – Demain, c’est du mystère – Aujourd’hui est un cadeau. C’est pourquoi on l’appelle « le présent »
3/ Faites la liste de vos réussites…
Saviez-vous que votre cerveau – aussi sophistiqué soit-il- ne peut pas construire deux émotions contradictoires en même temps. Essayez d’être euphorique et pessimiste en même temps… c’est assez difficile.
Alors inversez la tendance de la morosité en vous reconnectant avec vos réussites. Nous avons tous dans notre vie des succès marquants, des réalisations personnelles dont nous sommes fiers. Faites-en une liste et continuez chaque semaine à l’enrichir et à la relire régulièrement (carnet, Word, note sur mon téléphone…)
Pour vous aider à démarrer, commencez par cette phrase : « Je me souviens avoir éprouvé de la fierté lorsque … » :
J’ai gagné mon premier tournoi de tennis
J’ai surmonté ma peur en affirmant mes idées en réunion
J’ai décroché mon premier contrat
J’ai mis mon enfant au monde…
Ces fiertés et réussites concernent toutes les sphères de votre vie, alors ne vous censurez pas !
4/ …et de vos talents !
Puisque vous êtes sur une bonne lancée, demandez-vous quels sont ces talents que vous avez mobilisés tout au long de vos expériences réussies.
Voici une liste non-exhaustive des talents humains existants sur notre planète : le courage, la persévérance, la générosité, la créativité, l’enthousiasme, la fiabilité, l’endurance, l’humour, la curiosité, la bienveillance, la prudence, l’anticipation, l’organisation, la loyauté, le charisme, la concentration,….
Quels sont les vôtres ? Soyez généreux avec vous-même ! Si vous en êtes là aujourd’hui, c’est que vous avez de nombreux talents. Alors reconnaissez-les !
5/ Chassez vos pensées négatives
« Je n’y arriverai pas, c’est trop difficile, je ne suis pas doué pour ça, tout s’acharne contre moi, je n’ai pas de chance… »
Nous envoyons beaucoup de messages négatifs à notre cerveau, de manière consciente ou inconsciente. Le pessimisme est contagieux et consomme notre énergie, d’autant plus que si on y regarde de plus près, il n’a pas d’autres effets que de faire baisser notre estime de nous-même.
Quant à l’optimisme, il est aussi contagieux mais à l’inverse il nous remplit d’énergie et il booste notre confiance en nous.