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Entrepreneurs, gardez confiance !

Tout nous incite aujourd’hui à nous décourager. Les unes des médias multiplient les annonces de licenciements massifs. Pourtant, l’adage veut que ce sont dans les périodes de grande instabilité que les idées innovantes jaillissent. En effet, l’être humain a inscrit dans son ADN la survie mais aussi une qualité, parfois latente, la confiance en soi. La confiance en soi est si capitale que les organismes de formation remplissent leurs programmes de nombreux stages pour la développer, l’acquérir ou la maintenir quand les circonstances conduisent les personnes à une impasse. Elle est une forme de sérénité intérieure solide qui fait que, quoiqu’il arrive, nous savons que nous saurons rebondir. Ce sentiment nous permet de défendre avec conviction nos produits et notre entreprise. Il nous donne envie d’oser et de prendre des risques. Gardez confiance en soi !

Au départ, tout entrepreneur semble posséder cette dose de confiance en lui nécessaire pour oser se lancer dans la création d’entreprise. Le problème vient ensuite : comment garder cette confiance aux différents stades de la création et du développement, face aux fausses pistes, aux difficultés d’ordres divers et aux confrontations décoiffantes ?

Se définir un objectif et avancer vers lui

Amis entrepreneurs, identifiez votre bonne étoile et suivez-là ! Cette étoile n’est autre que votre motivation profonde. Celle-ci vous donne le cap à suivre. Ce cap doit ensuite être décliné en objectifs réalistes qui s’associent à un plan d’action et des indicateurs de résultat mesurables.
Entraînez-vous au début sur des objectifs à court terme. Vérifiez que les objectifs sont cohérents avec le cap que vous vous êtes fixé. Fêtez les succès chaque fois que vous atteignez vos objectifs. Prenez le temps de recenser tout ce qui a bien fonctionné et de tirer les leçons des « fausses pistes » qui ont émergé. S’habituer à agir selon cette attitude mentale s’avère très efficace et vous servira énormément pour la suite.
Anticipez ! Vous pourrez avoir confiance en votre capacité à réagir si vous savez où vous mettez les pieds. Avant un rendez-vous (en entreprise ou sur un salon), préparez-vous sur le plan technique en définissant vos objectifs, mais aussi sur le plan des émotions. Intéressez-vous à votre interlocuteur et à son cadre d’activité. Les réseaux sociaux sur le net ou les sites d’entreprise fournissent des informations précieuses.
La batterie émotionnelle est souvent le maillon faible de l’entrepreneur ! Il ou elle n’aime pas être freiné(e) dans son enthousiasme et peut, dans ce cas, passer par toutes les couleurs de l’arc en ciel : de la rancœur la plus vive à la tristesse la plus profonde.
Particulièrement au moment où les moteurs sont à fond, et où, à cause de je ne sais quels grains de sable extérieurs, la fusée ne décolle pas ! Résultat : le fameux stress négatif fait son entrée et vous ne savez plus où vous en êtes de vos talents.

Des méthodes de relaxation pour développer la confiance

Pour éliminer ce stress : respirez, bougez, chantez !

Le meilleur exutoire du stress reste le sport, sous toutes ses formes. Pour un effet optimal, l’exercice physique est à pratiquer plus d’une demi-heure par jour. Fiez-vous en au coach sportif : l’exercice physique et plus particulièrement les sports d’équipe développent l’estime de soi ! Essayez aussi le stretching, 5 minutes par jour au réveil : bénéfices garantis !

Côté respiration : voici une technique de chanteur lyrique qui permet d’affirmer sa voix et sa personnalité avant un entretien important ou une présentation en public. En position debout, un bras levé vers le plafond, paume de la main parallèle au plafond, inspirez en gonflant le ventre puis expirez le plus longtemps possible en émettant un sifflement et en tendant la paume de la main à plat le plus près possible du plafond. Répétez cela 3 fois.

Côté cœur : essayez la Cohérence cardiaque, cette méthode basée sur le contrôle de la respiration et l’intelligence des émotions. Celle-ci redonne du tonus aux relations cœur-cerveau, permettant de réduire son stress et de développer sa performance professionnelle.
Autre solution très efficace : prenez un professeur de chant ou entrez dans une chorale ! Vous en ressentirez un plaisir partagé et beaucoup de bien-être.
Toutes ces pauses physiques agissent comme des boosters pour le chef d’entreprise : elles permettent aux créateurs de traverser les moments de déserts et aux chefs d’entreprise chevronnés d’affronter avec plus de sérénité les difficultés quotidiennes.

Entrepreneurs, ne restez pas seuls !

Pour avoir confiance en soi, il faut rester branché sur les autres et sur le monde. Rester seul revient souvent à rester dans ses croyances, avec une grande anxiété. Développez vos radars, votre curiosité des autres, des lieux et vous gagnerez de l’assurance. Partagez votre projet avec d’autres.
Présentez vos activités, vos préoccupations et demandez des retours. Cela sera l’occasion de relativiser, de prendre du recul, de lever la tête du guidon et d’entendre des perceptions différentes de la sienne de son projet.
Se confronter aux autres correspond à oser regarder les choses en face pour agir à bon escient.
Incubateurs, pépinières, clubs d’entrepreneurs, réseaux de dirigeants, associations et formations sont des lieux privilégiés pour de tels échanges.

La confiance en soi, sans croyances limitantes, permet d’être ouvert aux opportunités et de les saisir. C’est là que se trouve l’avenir de l’entrepreneur !

12 excellentes raisons de créer son entreprise

Selon l’Insee, en février 2023, « le nombre total de créations d’entreprises tous types d’entreprises confondus rebondit (+2,0 % après ‑4,4 % en janvier, en données corrigées des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables). Cette hausse est due au rebond des immatriculations de micro-entrepreneurs (+3,4 % après ‑1,6 %). Les créations d’entreprises classiques diminuent très légèrement (‑0,2 % après ‑8,8 %). En données brutes, le nombre total d’entreprises créées sur les douze derniers mois (mars 2022 à février 2023) augmente de 1,1 % par rapport à celui des mêmes mois un an plus tôt (mars 2021 à février 2022). » L’horizon s’ouvre. Quelles sont les raisons de créer une entreprise ?

Dynamique, qui s’est choisi pour mission d’être le premier supporter des créateurs et dirigeants d’entreprise, évoque aujourd’hui quelles sont les 12 excellentes raisons de créer son entreprise. Celles-ci ne se trouvent pas dans les manuels théoriques mais dans le cœur du métier d’entrepreneurs. Créateur d’entreprise c’est l’oxygène de la France. Tout le monde a entendu « la France a des idées mais pas de pétrole ». Oui mais depuis quelques années, les créateurs montrent qu’ils ont non seulement des idées mais qu’ils sont en train de créer de l’emploi, de l’optimisme et bref d’être ceux qui ont la volonté de relever la France du tourment des incertitudes.

Raison 1 : De se lancer des défis jaillit la sagesse.

Choisir de naviguer en terre inconnue et accepter dès le départ de rencontrer des obstacles de toutes sortes et de les surmonter est une aventure avec bien des péripéties. Vous ne pouvez pas redécouvrir l’Amérique, c’est déjà fait. Les terres inconnues en fait sont celles de votre capacité à naviguer dans les eaux tumultueuses de la création d’entreprise.

Raison 2 : Vous  obliger à sortir des sentiers battus et à vous remettre vous-même en question.

Qui suis-je vraiment ? S’il est facile de donner des conseils aux autres et de dire à ta place je ferai, il est beaucoup plus difficile de se remettre en question et la création d’entreprise oblige tout entrepreneur à se débarrasser de ses idées reçues. Vous aviez certaines convictions qui vont se révéler justes mais de nombreuses vont vous montrer vos limites et vous apprendre à mieux analyser toute situation.

Raison 3 : Vous allez utiliser tout votre potentiel.

Vous allez devenir maître dans des domaines que vous détestiez et finir par être un ou une pro de la comptabilité, la communication, le commercial… Et oui vous êtes le chef d’un orchestre aux talents multiples. L’adversité fait ressortir le potentiel dont chaque entrepreneur a besoin pour faire de son entreprise une success story : la persévérance, la volonté, la créativité….

Raison 4 : Vous allez défier les conformistes.

Un proverbe japonais dit que « Le clou qui dépasse appelle le marteau. » Et bien oui vous allez défier la normalité celle qui veut vous faire entrer dans le rang.
Vous rencontrerez ceux qui vous diront que votre idée est excellente et vous lirez dans leurs yeux qu’ils pensent que vous êtes fou, ceux qui ne comprendront pas qu’avec vos diplômes vous ne cherchiez pas le confort, ceux qui pensent que vous n’avez pas été capable de finir vos études et que vous prétendez vous lancer dans l’aventure et vous aurez même droit à l’histoire de la grenouille qui veut se faire plus grosse qu’un bœuf et aussi à la crise, qui vous demande d’observer la plus grande prudence … Certes vous rencontrerez des soutiens mais vous allez vaincre tous ceux qui voulaient transformer votre vie en métro, boulot, dodo !!!

Raison 5 : Vous allez créer de l’emploi

Vous allez tirer une immense fierté est que vous allez être celui qui va donner du travail aux autres, qui va apporter le bonheur aux autres.

Incroyable quand vous aurez votre premier salarié, vous verrez poindre le fruit de vos efforts. Les stagiaires qui viendront rejoindre votre entreprise auront le sentiment d’une grande utilité. Leur stage ne sera pas d’être préposé à la photocopieuse mais de devenir un collaborateur. Quand ils quitteront votre entreprise, ils n’auront qu’une envie celle de créer leur entreprise.

Raison 6 : Vous allez choisir vos équipes ou presque

…Car comme vous n’avez pas beaucoup d’argent pour attirer le salariés, il vous faudra les convaincre que vous avez l’idée de génie, et là vous allez développer vos capacités commerciales et charismatiques. Finalement vous apprendrez à composer, à devenir humain et à communiquer votre passion. Cependant, beaucoup de personnes compétentes se retrouvent sans emploi. C’est le moment de faire travailler en freelance des professionnels qui vous apporteront leurs savoir-faire et leur professionnalisme !

Raison 7 : Vous allez susciter l’admiration…

…Et oui les entrepreneurs ont la côte en ce moment dans un pays où les actualités ne parlent que de chômage, de harcèlement. Ils sont perçus comme des courageux qui dans la tempête cherchent la sortie du tunnel. Les aventuriers du XXIème siècle. Quelle chance vous avez, vous allez devenir un modèle.

Raison 8 : Vous allez rencontrer de nombreuses personnes…

…Dont vous n’auriez jamais croisé le chemin aux profils les plus divers et vous allez développer vos capacités d’adaptation. Vous allez partager en coworking un bureau et rencontrer des entrepreneurs qui deviendront vos amis et alliés dans ce voyage.

Raison 9 : Comme votre trésorerie ne vous permet pas d’avoir un bureau flambant neuf…

…Vous allez protéger la terre en recyclant les bureaux, les chaises que vous trouverez sur les sites. Vous pourrez l’afficher comme une marque de noblesse.

Raison 10 :Vous allez donner du sens à votre vie, vous allez acquérir la liberté…

…Certes avec des contraintes mais la liberté qui fait que lorsque vous vous lèverez le matin, vous aurez l’impression que le monde vous appartient. Vous allez pouvoir donner du sens et de la valeur à votre travail, et donc à votre vie.

Raison 11 : Vous allez faire partie de la communauté des entrepreneurs…

…Un réseau imparable.

Raison 12 : Vous allez écrire une histoire unique car chaque créateur est unique…

…Et parce qu’il est unique la création de son entreprise ne peut être qu’une réussite.
Pour rédiger vos statuts : cliquez ici

Harmoniser les relations dans vos équipes

Les femmes et les hommes constituent la composante essentielle de l’entreprise. Développer de mauvaises relations inter-équipes peut gravement nuire au bon fonctionnement de votre start-up. Voilà quelques conseils pour y parvenir et harmoniser les relations dans vos équipes. 

La plupart des entreprises qui se démarquent aujourd’hui savent harmoniser les relations avec les équipes. Elles en font un de leurs fondamentaux. Aujourd’hui, harmoniser les relations des équipes est devenu fort complexe. Car toutes les relations traditionnelles en raison du confinement ont été remises en question.

La communication, la clef de l’harmonie 

Une bonne communication est un outil indispensable à la gestion des équipes. C’est grâce à elle que vous obtiendrez l’adhésion de vos collaborateurs et qu’ils seront plus efficaces. Ce dialogue sur les objectifs doit se faire sur la durée. Vous devez établir un plan annuel dont le but est de relayer votre stratégie et de créer du lien. Cependant, dans le contexte actuel votre plan a certainement été remis en question. Vous avez donc dû adapter une communication interne en fonction de ces circonstances exceptionnelles.

Mais il existe d’autres facteurs qui vont se profiler à court ou moyen terme : changements d’équipes, lancements ou arrêt de projets, éventuelle fusion, rachat, télétravail, etc. Le but premier reste de ne pas laisser vos collaborateurs dans l’incompréhension ni dans l’ignorance de la situation même si, vous-même, vous êtes dans une période d’incertitude. Bien sûr, il existe certaines informations qu’il ne vaut mieux pas divulguer à tout le monde. N’hésitez pas à adapter votre plan de communication en fonction de la hiérarchie de vos collaborateurs et du message à transmettre.

Quatre grandes techniques

Il existe trois grandes techniques pour vous adresser à vos équipes : la communication directe qui permet une plus grande individualisation du message (e-mails, rendez-vous en face à face, réunions de groupe), la communication « médias » (au travers d’un intranet par exemple), « événementielle » (séminaires, repas au restaurant …)  et pour finir la communication externe qui, dans certains cas, peut avoir plus d’impact sur vos collaborateurs que celle réalisée en interne. 

Donnez du sens et de la valeur. 

Après le burn-out, une nouvelle tendance voit le jour au sein des entreprises : le bore-out ou le syndrome de l’épuisement par l’ennui. Cela peut arriver lorsque votre collaborateur a l’impression de tourner en rond, que son travail n’est pas important (ou pas reconnu), voire inintéressant. Penser que moins votre employé en fait et mieux il se porte serait une erreur de votre part. Un salarié heureux est un salarié qui a l’impression de contribuer pleinement au projet de l’entreprise. Pour y parvenir, plusieurs conseils : maintenez une atmosphère dynamique et conviviale au travail en favorisant l’esprit d’équipe, afin que vos collaborateurs puissent échanger, partager et se sentir moins seuls. Donnez du sens au travail !

N’hésitez pas à expliquer et à échanger avec vos collaborateurs.

Savoir pourquoi ils travaillent, quels sont les objectifs et surtout l’impact de ce qu’ils réalisent constituent autant de facteurs qui vont contribuer à la performance de votre entreprise. Vos collaborateurs ont besoin de reconnaissance et les féliciter peut s’avérer parfois plus bénéfique que vous ne croyez. Pensez aux promotions et changements de poste pour briser la routine et à la flexibilité des horaires. Leur donner accès à des formations représente un moyen de leur éviter de tourner en rond et de permettre d’augmenter leurs chances de réussite. Vos collaborateurs sont précieux, prenez-en soin.

Sachez vous montrer ferme, mais juste. 

A contrario, réprimander ses employés n’est jamais plaisant. Cela peut parfois s’avérer nécessaire, que ce soit pour recadrer un élément récalcitrant ou pour donner l’exemple aux autres collaborateurs. S’il vous arrive de devoir faire des mises à pied, n’hésitez pas à bien expliquer la ou les raisons. Malgré les apparences, y apporter une explication est toujours dans l’intérêt de votre employé. Que vous soyez aimé ou détesté par vos salariés, ce qui fera la différence, c’est le respect. Montrez que quoi qu’il arrive, vous êtes le dirigeant et vos décisions doivent être respectées. Mais attention à ne pas tomber dans la tyrannie, soyez ferme mais n’en demeurez pas moins juste. N’oubliez pas que vos collaborateurs sont humains et qu’ils ont le droit à l’erreur, comme vous-même d’ailleurs !

N’ayez pas peur de déléguer. 

Oui, confier son « bébé » à quelqu’un d’autre peut faire peur. Cependant, il ne faut pas oublier qu’à un certain moment, vous ne pourrez plus tout gérer et qu’il vous faudra penser à la délégation. Aujourd’hui, la délégation s’impose car les équipes ne travaillent plus constamment au sein de l’entreprise et celle-ci vous offre l’opportunité d’agir autrement. Déléguer va vous faire gagner du temps, va accroître l’efficacité et le rendement.

C’est un principe de base. Pour posséder une capacité de décision efficace, le pouvoir central va devoir confier une partie de ses attributions à une autre personne afin de couvrir plus de terrain. Ce transfert de compétences va permettre de décentraliser le pouvoir et de rendre moins lourdes les prises de décisions. Cela va vous faire gagner en réactivité, ce qui est toujours apprécié, que ce soit par les partenaires ou les clients.

En termes de management et pour faire appliquer une décision prise, il s’agit là d’un principe essentiel. Mais il faut encore que cette délégation soit réalisée avec intelligence. C’est un conseil qui peut paraître tomber sous le sens. Ne confiez pas le pouvoir à n’importe qui. Confiez-le à des collaborateurs dans lesquels vous avez confiance, qui ont fait leurs preuves et qui ont les qualifications adéquates. C’est également motivant pour vos employés qui se sentent désormais décisionnaires et ne se sentent plus considérés comme de simples exécutants.

30 citations inspirantes pour vous motiver

Vous êtes démotivé. Vous venez d’apprendre que vos salariés ne pourront plus venir au travail parce qu’ils gardent leurs enfants. Vous-même, vous devez venir au travail à pied. Vos fournisseurs n’ont plus de stock et vous devez en chercher d’autres mais ils sont tous délocalisés… Bref, alors c’est le moment de chercher à vous motiver avant d’être envahi par le contexte ambiant. Voila 30 citations inspirantes pour vous motiver !!! N’hésitez pas à en choisir une et à vous la répéter en boucle au lieu de ressasser des pensées négatives.

Il est bien des choses qui ne paraissent impossibles que tant qu’on ne les a pas tentées.

André Gide

Le succès c’est tomber sept fois, se relever huit.

Proverbe Japonais

J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

Nelson Mandela

C’est à la peur qu’il surmonte qu’on mesure le courage.

Jacques Ferron

Ceux qui pensent qu’il est impossible d’agir sont généralement interrompus par ceux qui agissent.

James Baldwin

Le succès modifie les gens, tandis que l’échec révèle qui ils sont vraiment.

Mark Twain

Le meilleur moyen de prévoir le futur, c’est de le créer.

Peter Drucker

Je suis convaincu que ce qui sépare les entrepreneurs qui ont du succès de ceux qui n’en ont pas est la persévérance.

Steve Jobs

Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves.

Eleanor Roosevelt

J’aime l’impossible. La concurrence y est moins rude.

Walt Disney

L’action est la clé fondamentale de tout succès.

Pablo Picasso

Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses…

F. D. Roosevelt

Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité. Un optimiste voit une opportunité dans chaque difficulté.

Winston Churchill

Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.

Gandhi

Votre avenir est créé par ce que vous faites aujourd’hui, pas demain.

Robert T. Kiyosaki

Les erreurs sont les portes de la découverte.

James Joyce

Notre plus grande faiblesse réside dans l’abandon ; La façon la plus sûre de réussir est d’essayer une autre fois.

Thomas Edison

Quand on concentre son attention sur un seul projet, l’esprit suggère constamment des idées et des améliorations qui lui échapperaient s’il était occupé avec plusieurs projets en même temps.

P.T. Barnum

Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.

Gandhi

Votre avenir est créé par ce que vous faites aujourd’hui, pas demain.

Robert T. Kiyosaki

La vie n’est facile pour aucun de nous . Mais quoi, il faut avoir de la persévérance , et surtout de la confiance en soi. Il faut croire que l’on est doué pour quelque chose, et que, cette chose il faut l’atteindre coûte que coûte

Marie Curie

Crée la vision la plus grandiose de ta vie, parce que tu deviens ce que en quoi tu crois.

Oprah Winfrey

La différence entre les gens qui réussissent et les autres est combien de temps ils passent à se plaindre.

Barbara Corcoran

Le plus grand de tous les risques est de ne pas en prendre.

Mellody Hobson

La réussite ne se mesure pas à l’argent que vous gagnez mais à votre capacité à changer les vie des gens. 

Michelle Obama

 Je n’accepte plus les choses que je ne peux pas changer. Je change les choses que je ne peux pas accepter.

  Angela Davis

Si vous n’y arrivez pas aujourd’hui, essayez à nouveau demain, tout simplement. Commencez chaque nouvelle journée avec cet optimisme et cette détermination. 

Daisaku Ikeda

Plus épaisse est la boue et plus les fleurs qui en émergent sont splendides. Ceci s’applique aussi aux êtres humains. Plus grandes sont les difficultés et plus les fleurs du bonheur connaissent une éclosion magnifique.  

Joséi Toda 

 Les déceptions ne tuent pas et les espérances font vivre.

George Sand

Faites jaillir le courage. Plutôt que de penser aux échecs d’aujourd’hui, il vaut mieux penser aux succès de demain… Lorsqu’une porte de bonheur se ferme, une nouvelle porte s’ouvre. Mais nous restons trop longtemps les yeux fixés sur la porte fermée et nous ne regardons pas la nouvelle porte ouverte devant nous. 

Helen Keller

La digitalisation au cœur des Ressources humaines

Recruter et s’occuper au quotidien des salariés n’est guère une tâche évidente. En effet, elle demande du temps, de l’énergie et savoir-faire et savoir-être pour mieux englober toutes les péripéties. Mais à l’ère du digital, les ressources humaines des entreprises sont amenées à se transformer pour s’adapter aux exigences d’une compétition accrue et aux jeunes générations. Les RH sont-elles réellement préparées au changement lié à la digitalisation ? Réalité complexe pour les grandes entreprises. La digitalisation des Ressources humaines demande de former les salariés mais aussi de mettre en place la numérisation et de mettre au panier les vieilles habitudes.

Le 6e baromètre du digital RH de Sopra HR et L’Usine digitale , réalisé auprès de 255 décideurs RH, fin 2022, nous enseigne que 31% d’entre eux estiment que leur entreprise a un bon niveau de maturité en matière de transformation numérique (8 points de moins en un an),. Or, 36% considèrent que ce niveau est mauvais. Heureusement, 58% des entreprises prévoient d’augmenter leurs investissements dans ce type de solutions RH à l’avenir.

RH, un métier qui  entame sa révolution

Même si le poste de RH n’est pas présent dans toutes les entreprises, il fait partie intégrante des missions de l’entreprise. En effet, le recrutement des salariés, le management ou être l’interface entre les salariés et la direction des personnes sont des fonctions dont ne peut se passer aucune entreprise. Même si ce poste possède une définition explicite depuis une décennie dans les moyennes et grandes entreprises, ce métier a tendance à rester dans des habitudes traditionnelles. En conséquence la transformation digitale a du mal à s’implanter. Ces nouvelles technologies sont incontournables comme le fut internet à ses premiers pas. Toutefois, de la même façon des personnes qui rechignent à les utiliser car elles sont sécurisées par les habitudes. Le constat, c’est que beaucoup d’entreprises utilisent très peu la numérisation, les réseaux sociaux, l’automatisation et tout ce qui concerne les nouvelles technologies pour leurs salariés.

Numériser, un travail considérable

À l’échelle des grandes entreprises, le service des ressources humaines est très souvent à la traîne et la transition ne se fait pas. Les dossiers des salariés sont rarement numérisés. ils encombrent un bon nombre d’armoires, au point que trouver un document classé ou archivé, génère une perte de temps considérable. Les anciennes générations qui dirigent les services des ressources humaines rencontrent des difficultés à accélérer le changement. En effet, une telle transition demande une lourde quantité de travail en raison du nombre de salariés à gérer avec leurs dossiers. Dans la plupart des grandes entreprises, la digitalisation ne s’installe pas, comme par exemple, numériser des documents en masse relève de tâches extrêmement longues et fastidieuses. De plus, les anciennes générations rencontrent des difficultés à se familiariser avec ces technologies et freinent leur progression.

Se former et former les collaborateurs à la digitalisation

La difficulté des services RH à passer à la transformation digitale peut être contournée. Même si les anciennes générations sont un peu réticentes, elles savent que c’est un passage obligatoire. Depuis 10 ans elles vivent au quotidien l’intrusion des nouvelles technologies tant dans leur sphère professionnelle que leur vie privée. Afin de les aider, diverses formations proposent à des RH de cerner les enjeux de la digitalisation et d’appréhender les pratiques qu’elles engendrent.

Et même s’ils ne souhaitent pas participer à ces formations car ils se disent surchargés et ne veulent pas perdre de temps, beaucoup de pratiques d’e-learning se mettent en place dans les entreprises. Elles évitent les longues formations et à l’aide de MOOC (des cours en ligne), les RH arrivent à s’installer dans l’ère digitale. Que ce soit par la numérisation des documents, les lois qui en découlent ou encore les réseaux sociaux, l’apprentissage des nouvelles technologies et de leurs pratiques est une obligation pour un RH.

Le recrutement des talents, au cœur de la digitalisation

En ce qui concerne les réseaux sociaux, les ressources humaines des moyennes et petites entreprises se servent de ces outils pour le recrutement. Pour diffuser leurs annonces et parfois discuter avec des candidats avant l’entretien, les entreprises utilisent Facebook ou encore Twitter. Ces services de ressources humaines ont compris l’impact des réseaux sociaux sur les nouvelles générations. Ils peuvent donc désormais recruter des jeunes profils pour lesquels la digitalisation n’a aucun secret.

S’adapter, l’enjeu majeur

Si les entreprises font le choix de s’adapter aux nouvelles technologies et à leur pratique, c’est pour garantir une progression dans la modernité et engendrer une évolution interne. C’est pourquoi, elles font même des efforts en se spécialisant dans le digital et en utilisant les nouvelles technologies pour la formation ou encore des conférences. C’est le cas d’Orange ou de Sodexo qui se servent de l’intelligence artificielle pour la formation de leurs salariés. Non seulement l’entreprise s’inscrit dans une volonté de se digitaliser, mais le coût reste moindre par rapport à la mobilisation de plusieurs salariés en même temps et le coût de la prestation d’un formateur.

Un changement chronophage

La digitalisation des ressources humaines permet de gagner un temps considérable. Pour cela, il est nécessaire de numériser tous les documents pour ne plus s’encombrer de tonnes de papiers au quotidien. La numérisation fait aussi partie intégrante du digital. Elle permet entre autres de créer une base de données qui peut être exploitable par la suite à d’autres fins. C’est un réel gain de temps pour les services qui peuvent réaliser des études internes ou même des outils pour la gestion de l’entreprise et des salariés.

La digitalisation, au cœur du développement durable

Non seulement la digitalisation permet de gagner du temps pour les RH, mais c’est aussi une pratique écologique. Les entreprises grâce à cela se positionnent dans une transition RSE (Responsabilité Sociale des entreprises). Le fait d’imprimer de nombreuses pages très régulièrement ne contribue pas à une politique écologique. Il vaut mieux numériser les documents et les diffuser par mails, non seulement vous gagnerez du temps et de l’argent, mais vous serez aussi plus respectueux de la planète. Beaucoup d’entreprises envoient encore les fiches de paie par courrier. Cela nécessite du temps et surtout une grande quantité de papier, alors que vos salariés seront plus satisfaits de les recevoir par mails.

La digitalisation, c’est  devenir maître du temps

La mise en place de la digitalisation dans les services de ressources humaines permet un gain de temps considérable. Vous pourrez ainsi vous concentrer d’autant plus sur vos salariés et leurs attentes. Faire la transition peut demander des moyens et de l’adaptation. pourtant, elle simplifiera la vie des RH et des salariés en général ! La nouvelle ère digitale est à portée de main, alors allez-y, foncez !

Le slashing : l’avenir du travail ?

Le monde est bouleversé par la pandémie mais avec lui toute la conception du travail a été remise en cause pendant ces mois de confinement en France. Avec l’évolution des technologies et les attentes des salariés, le travail est en pleine mutation. Entre les « digital nomad », le « flex office », et autres termes anglophones pour expliciter les nombreux changements dans le travail, le « slashing » vient s’inviter lui aussi. Il signifie la pratique de plusieurs activités professionnelles et représente pour de nombreuses personnes l’avenir du travail. Dans une étude Ipsos avec Revolution@Work, 61 % des salariés déclarent voir cette pratique comme une norme d’ici quelques années. Qu’est-ce que le slashing ? Plusieurs activités professionnelles à la fois ou seulement une double casquette au sein d’un poste ? Décryptage !

La poly-activité appréciée par les jeunes

Au sein de l’enquête, 8 salariés sur 10 estiment voir bientôt une révolution du travail. Les jeunes générations comme les millennials ou encore la génération Z veulent revoir les pratiques et les habitudes au sein des entreprises. Les anciennes générations faisaient de longues carrières généralement chez un seul employeur, désormais, les moins de 35 ans veulent se diversifier avec plusieurs expériences. Mais la poly-activité défini au sein du slashing génère des sentiments bien distincts parmi les salariés. Les jeunes de 18 à 24 ans sont 64 % à le voir comme un futur standard. Pour les autres, 38 % envisagent l’avenir avec de l’insécurité en matière d’emploi et 30 % estiment une augmentation du stress dans les prochaines années. Mais le slashing possède différentes approches encore méconnues.

Pour les anglophones, le slashing ?

Selon les pays le slashing est envisagé différemment. Les anglophones par ce terme définissent la pratique de plusieurs activités professionnelles. Il s’agit d’un cumul de métiers dissemblables. Les personnes organisent alors leur temps en optant pour des temps partiels ou un statut de freelance. Pour les nouvelles générations, avoir deux ou trois emplois en même temps devient presque une norme.

Pour les Français, le slashing ?

Selon une étude menée par le SME (Salon de Micro-Entreprise), 6 % des actifs français sont aujourd’hui concernés par le slashing. Ce qui représente plus de 4 millions de personnes.

Âgées de 20 à 50 ans (et même plus), 77 % d’entre elles exercent un 2ème métier dans un secteur totalement différent de leur activité principale. Et si c’est l’aspect financier qui motive ces actifs à cumuler plusieurs jobs dans 73% des cas, 27% des slashers expliquent que cela leur permet surtout de percevoir des revenus supplémentaires grâce à leur passion.

Si auparavant des personnes multipliaient les emplois pour des raisons financières, il s’agit désormais d’une pratique courante et appréciée par une majorité des jeunes. Selon eux, elle permettrait de s’épanouir au quotidien à travers différentes tâches et responsabilités du quotidien. Il s’avère tout de même important de nuancer cette notion. En effet, les profils diffèrent et des personnes possèdent plusieurs activités pour répondre à un besoin financier et non forcément à une envie.

Le slashing , au cœur des missions free-lances.

Le slashing se généralise ces dernières années particulièrement avec le développement des missions de free-lance. Le statut de micro-entrepreneur a permis à de nombreuses personnes de se diversifier en matière d’emploi. Le développement web, par exemple, devient une activité professionnelle très pratiquée en free-lance. Il s’agit parfois de personnes employées dans une tout autre catégorie. Cette spécialisation, pouvant s’apprendre en autodidacte via de nombreux apprentissages sur Internet, permet à des individus de se former pour ensuite se lancer en tant qu’indépendant. Si le slashing est envisagé par de nombreux jeunes, une autre définition de ce terme existe.

Le slashing, cumul de plusieurs casquettes

En France, le slashing est parfois envisagé autrement, sous une forme de dérivé d’une activité. Certains considèrent cette pratique comme un cumul de plusieurs casquettes. Il y a une nette différence entre réaliser deux emplois bien distincts sans les mêmes objectifs et se diversifier dans une branche. Une personne avec plusieurs activités autour du même thème ne serait donc pas considérée comme un slasher mais plutôt comme quelqu’un d’hybride dans sa profession. La limite reste fine et les jeunes envisagent l’avenir avec cette nouvelle approche de l’emploi. Que ce soit le slashing ou simplement une multiplication des tâches au sein d’un secteur, les jeunes entre 18 et 24 ans ne sont pas réticents à cette nouveauté et considèrent même que le travail prendra inévitablement cette forme à l’avenir.

Le slashing, une nouvelle vision du travail

Si le slashing intéresse les nouvelles générations, la question préoccupe les entreprises. Il s’agit de revoir les modalités en matière d’emploi et comprendre s’il est nécessaire de s’adapter pour les prochaines années. Si certains cumulent un emploi à temps plein et des missions de free-lance, d’autres envisagent plutôt deux temps partiels ou un travail occasionnel. Les slashers refusent souvent la routine et préfèrent s’épanouir au sein de plusieurs emplois en même temps. Pour les entreprises, il s’agit de trouver des solutions pour conserver les talents et pour s’assurer de la productivité des personnes aux multiples activités. Les modes de travail connaissent une vraie révolution et elle ne devrait pas s’arrêter là.

Pour le moment, le slashing concerne encore peu de Français. Le terme commence à se faire connaître et les jeunes se déclarent optimistes sur cette pratique. Mais beaucoup la considèrent comme une tendance provenant des pays anglophones et qui devrait s’essouffler prochainement. Alors à l’avenir de nous le dire ! Mais il est tout de même essentiel pour les entreprises de se focaliser sur les pratiques à adopter en cas d’engouement pour le slashing.

Exister sur les moteurs de recherche

Avoir un site internet, c’est bien, avoir un site internet référencé correctement, c’est mieux. Le moteur de recherche, tout internaute a pris l’habitude de l’utiliser lorsqu’il se rend sur un site et qu’il est à la recherche d’un produit ou d’une information. Mais pour une entreprise se faire connaître passe par la connaissance de nombreux moteurs et recherche mais surtout de savoir les utiliser à bon escient pour exister sur les moteurs de recherche.

Qu’est-ce que le référencement et comment l’améliorer ? 

Si créer un site internet reste à la portée de tous, l’enjeu réel réside dans le référencement. Ce terme désigne l’ensemble des techniques permettant d’améliorer la visibilité d’un site web sur un moteur de recherche. Le nombre de sites existants ne cesse d’augmenter. En juillet 2022, les noms de domaine en .FR approchent des quatre millions (3 950 000). fr ! Le défi semble donc de remonter dans les classements afin que les internautes accèdent à votre site et non à un autre. Mais quelles sont les bases d’un référencement réussi ? 

La qualité du contenu avant tout 

L’audience dépend d’abord de la qualité de votre contenu. Les internautes décideront de revenir ou de rester sur votre site selon qu’ils seront captivés ou non par ce qu’il propose. Ils n’hésiteront pas à partager un texte qu’ils trouvent intéressant ou drôle. Le temps passé sur votre site fait également partie des critères pris en compte par les moteurs de recherche pour vous classer. Il apparaît donc primordial d’éditer un contenu suffisamment riche et attrayant

Mais ce n’est pas tout. Pour qu’un contenu soit jugé de qualité par les moteurs de recherche, il doit contenir les mots-clés. Mais ceux qui seront tapés par les internautes lors de leur recherche. Ainsi, si vous éditez un contenu sur le référencement, il peut être utile d’insérer « optimiser le référencement » dans votre article. Il ne s’agit surtout pas de répéter des mots-clés qui n’ont aucun sens.

En effet, vous pourriez être sanctionné par les moteurs de recherche dont les robots d’indexation savent repérer les listes de mots réalisées uniquement dans le but d’être référencé. Gardez à l’esprit également que vous ferez fuir les internautes par ce type de procédé. Mais le contenu ne se résume pas uniquement à ce qui est écrit. N’oubliez pas que les images et la qualité visuelle contribuent à augmenter le nombre de clics, le temps passé sur votre site ainsi que le nombre de pages consultées. 

La création de liens 

Les liens demeurent un facteur influençant considérablement sur le positionnement d’un site internet. Plus vous posséderez de liens de sites de qualité qui pointent vers le vôtre, plus vous aurez de chances de remonter dans les classements. De nombreuses entreprises ont ainsi mis en place des politiques de partenariats. Ces derniers incluent des demandes d’échange de liens avec d’autres plateformes.

Concernant votre contenu, vous pouvez privilégier la qualité ou la quantité. Cependant, plus le site s’avère puissant, plus vous aurez de chances de remonter dans les classements. Pour connaître la puissance d’un site, vous pouvez vous référer à son « Page Rank » qui est l’indice de confiance donné par Google. Cet indice prend la forme d’une note comprise entre 0 et 10. Plus celle-ci est élevée et plus votre site est populaire, ce qui augmente de fait votre référencement. Vous pouvez également penser aux annuaires spécialisés ou généralistes afin de vous faire référencer à l’intérieur. Attention à la stratégie quantitative qui peut se révéler contre-productive et entraîner une baisse de votre Page Rank.

Mots-clés : optimiser sa « longue-traîne »

Google met à disposition des éditeurs de sites Web des outils statistiques très pratiques. Ils vous permettent d’affiner votre contenu et d’optimiser le référencement de votre site internet. Si se baser sur les mots les plus tapés peut s’avérer une solution. Il faut bien constater que c’est également là que la compétition sera la plus féroce.

Pour vous démarquer, l’idéal reste donc de sélectionner des mots-clés qui ne soient pas trop généraux. Ainsi, vous évitez la concurrence avec des millions d’autres sites. Plus le mot-clé sera unique et spécifique, plus vous pourrez vous différencier et attirer les internautes qui recherchent un contenu ou un produit/service précis. On parle alors de travailler sur la « longue traîne » de référencement et des combinaisons de mots-clés qui attirent les visiteurs sur votre site Internet. Les demandes étant plus spécifiques, vous aurez également affaire à des internautes plus « qualifiés ». À l’inverse, on parle de « tête de traîne » pour des mots-clés très utilisés. Attention ! Toutefois à ne pas commettre l’erreur de placer des mots-clés très populaires n’ayant aucun rapport avec votre contenu, dans l’unique but d’appâter l’internaute. Cette attitude le fera plutôt fuir. Prenez également en compte que la requête moyenne d’un internaute comprend 4 mots, jonglez donc sur plusieurs mots-clés. 

Optimiser son site pour les moteurs de recherche

Google reste en France le moteur de recherche le plus utilisé, très loin devant les autres tels que Bing ou Yahoo. Il est donc conseillé de se baser sur les règles du géant américain pour améliorer votre référencement. Évitez certains formats qui ne peuvent être lus par les moteurs de recherche. Si la vidéo attire, elle ne peut être lue par les robots de Google. Pensez à rajouter quelques éléments de description pour que les moteurs de recherche puissent repérer que son contenu est relatif au sujet. Prenez bien en compte que Google ne lit pas – pour le moment – les images et que vous devrez donc en soigner le descriptif.

Balises, Titres et méta description

Chaque page que vous créez possède une balise « title » (balise-titre, ndlr) que vous pouvez renseigner. Il s’agit de l’un des 200 critères les plus importants pris en compte par l’algorithme de Google. Il vous faudra donc bien la remplir et la soigner car cela représente le titre de votre page qui apparaîtra dans les résultats des recherches. La méta description représente une phrase de 160 caractères maximum qui sera également présente dans les résultats. Elle doit donc être vendeuse et inciter l’internaute à cliquer sur votre lien pour en savoir plus. Si cette dernière n’est pas renseignée, Google affichera deux lignes au hasard dans le contenu de votre page. Or, celles-ci ne seront souvent pas les plus intéressantes. 

Faire un site « propre » et optimiser les temps de chargement 

Si les moteurs de recherche s’intéressent à la qualité de votre contenu, les robots n’aiment pas lorsqu’il existe de trop nombreuses erreurs dans votre code. Prenez donc le temps de bien concevoir votre site et sa structure pour la rendre facilement lisible. Veillez à bien fermer vos balises si vous utilisez le HTML pour votre site. De la même manière, les robots apprécient que les pages se chargent vite et que l’interface soit ergonomique. Optimisez donc votre site pour permettre aux robots d’y passer plus rapidement. 

Les sites non optimisés mobile seront sanctionnés

Google s’adapte aux nouveaux modes de consommation du web. Alors que l’utilisation du mobile pour naviguer sur Internet augmente, le géant américain va modifier son algorithme de pertinence des pages web. Les entreprises qui ont su développer un site adapté aux mobiles en plus de leur site Internet verront leur classement monter dans les résultats du moteur de recherche. En revanche, celles qui n’en disposent pas ou qui en possèdent un mal configuré, seront sanctionnées. Affaire à suivre !

Entreprises : quels sites d’évaluation choisir ?

Les sites d’évaluation publient des notes attribuées par les utilisateurs d’un produit ou d’un service afin de partager leur degré de satisfaction. On estime que 70 % des consommateurs consultent les avis avant d’adopter un produit, et 60 % d’entre eux renoncent à l’achat lorsque la note est inférieure à 3,5/5.

Google et Facebook ont la part du lion, mais il existe de nombreuses autres sites d’évaluation spécifiques pouvant accroître la visibilité d’une entreprise

Source : Pixabay 

Les sites d’évaluation de niche

Certains sites d’évaluation se concentrent sur des produits et services distincts. Le choix de la plateforme est donc fonction de votre secteur d’activité et de votre localisation géographique.

Si vous travaillez dans le domaine des voyages personnalisés, essayez des sites très ciblés comme Objectif Vie en Van qui compare les agences de location de vans aménagés. Cette plateforme liste les agences selon leur localisation, le type de fourgons disponibles, le avis des clients et les prix proposés.

Si vous vendez du matériel informatique, la plateforme hardware.fr est une bonne option. Ce site offre un forum d’échanges entre les utilisateurs de différents produits, afin de leur permettre de partager leurs expériences respectives.

Il existe également des sites d’évaluation pour les opérateurs de casino en ligne argent réel. Si vous êtes basé au Canada, vous pouvez contacter la plateforme locale CasinoEnLigne. Cette dernière se base sur des critères comme les différents types de bonus offerts, les jeux disponibles, les méthodes de paiement, le service client ou encore la sécurité des sites.

Il faut noter par ailleurs que le choix d’un site d’évaluation ne repose pas que sur la niche de votre entreprise, mais également sur un certain nombre de critères.

Les critères de choix

Une entreprise établie utilise un site d’évaluation afin d’optimiser la qualité de ses services. Et pour cette raison, elle doit s’assurer que toute campagne supplémentaire peut lui apporter une valeur ajoutée. Avant de s’inscrire sur un site d’évaluation en ligne, il faut s’attarder sur les points suivants :

La notoriété et le trafic sur le site 

Source : Pexels 

Naturellement, les plateformes les plus populaires attirent plus d’internautes que les moins connues. Dans le domaine des voyages par exemple, TripAdvisor est leader avec un trafic de 164,4 millions de visites, tandis que Kayak qui est son concurrent direct ne compte que 41,8 millions de visites.

La fiabilité 

La notoriété d’un site d’évaluation est considérée comme un critère de fiabilité. Par ailleurs, le profil des utilisateurs, la diversité des expériences, le nombre et les dates de publication sont des éléments sur lesquels il faut s’attarder.

La convivialité du site 

L’interface du site doit être claire et la navigation fluide. La convivialité s’illustre par des éléments tels que la réactivité du site et les mises à jour régulières.  La convivialité aide par exemple à augmenter le temps de visite moyen par utilisateur, tout en réduisant le taux de rebond.

Les outils d’évaluation d’entreprise visent à maintenir ou à améliorer la qualité des services offerts, mais aussi à garder ses parts de marché. De nombreuses entreprises sont engagées dans ce processus afin de booster leur chiffre d’affaires et assurer leur longévité sur le marché. 

Selon des études, une note moyenne attribuée à des produits peut augmenter de 37% les ventes d’une entreprise. Par ailleurs, il existe d’autres indicateurs permettant de mesurer la performance et d’assurer la pérennité d’une entreprise. Il s’agit des données financières, des atouts sur le plan organisationnel, de la responsabilité sociale et bien plus encore.

La Puff incite-t-elle les jeunes à démarrer la cigarette ?

Vous l’avez sûrement déjà vu dans un magasin, dans la main de quelqu’un ou peut-être avez-vous entendu son nom dans les médias ? La Puff ne manque pas de faire parler d’elle ! Cette cigarette électronique jetable, très simple d’utilisation, est un bon tremplin pour ceux qui souhaitent arrêter le tabac et se tourner vers la cigarette électronique. Oui mais voilà, la Puff inquiète car elle inciterait les jeunes à fumer. Vrai ou faux ? Il est temps de faire le point.

Qu’est-ce qu’une Puff ?

Avant d’entrer dans le vif du sujet, rappelons ce qu’est une Puff. Il s’agit d’une cigarette électronique, c’est-à-dire qu’elle fonctionne de la même manière qu’une vape classique. Elle contient du e-liquide et on trouve même des versions avec des sels de nicotine. À la différence de la cigarette électronique dont on recharge la batterie, une fois que la Puff est vide, elle se jette à la poubelle.

Pratique, simple d’utilisation, la Puff est vendue dans les bureaux de tabac, dans les magasins spécialisés dans la vape et même dans certains supermarchés.

Pourquoi la Puff est-elle décriée ?

Tout d’abord, n’oublions pas de parler des avantages de la Puff. Car rappelons qu’il s’agit avant tout d’une cigarette électronique. Jetable certes, mais une cigarette électronique quand même. Son côté pratique permet aux fumeurs qui souhaitent arrêter le tabac et se mettre à la vape de facilement essayer. Une fois convaincues, les personnes qui s’équiperont par la suite d’une cigarette électronique classique à recharger augmenteront leurs chances d’en finir avec la cigarette.

La cigarette électronique, comme la Puff, peut contenir de la nicotine et donc permettre un sevrage dans le temps. Globalement, ces deux outils restent 95% moins nocifs que le tabac, comme le rappelle bon nombre d’études sur le sujet.

Malgré cela, la Puff est décriée sur plusieurs points. Son packaging coloré, ses arômes fruités et sucrés, et la facilité à s’en procurer inciterait les jeunes à en consommer et à finir par se mettre à fumer !

La Puff et les jeunes : y’a-t-il des raisons de s’inquiéter ?

Selon une étude réalisée par l’institut de sondage BVA pour l’Alliance contre le tabac (ACT), 13% des jeunes de 13 à 16 ans interrogés avouent avoir déjà utilisé la Puff. 9% indiquent en avoir déjà acheté. Pour l’ACT, la Puff est une bombe à retardement et ne peut qu’inciter les jeunes à se tourner vers le tabac.

Il est cependant important de rappeler plusieurs points. Dans un premier temps, en France, la vente de Puffs et de cigarettes électroniques traditionnelles est strictement interdite aux personnes mineures. L’âge n’est pas systématiquement vérifié dans les bureaux de tabac ou les supermarchés ? C’est une réalité, comme le fait que la Puff connaît un vrai succès auprès des collégiens et lycéens.

Cependant, comme le rappelle le média spécialisé dans la vape Je Suis Vapoteur dans l’un de ses articles, plusieurs études démontrent que le vapotage n’aurait pas de lien avec le tabagisme chez les jeunes. Celui-ci ne cesse d’ailleurs de diminuer.

En conclusion, on peut dire que oui, la Puff réunit tous les ingrédients pour séduire les jeunes. Mais en respectant les règles – l’interdiction de vente aux mineurs – et en les éduquant au fait qu’elles ne s’adressent uniquement à un public de fumeurs et de vapeurs adultes, ne serait-il pas dommage de se passer d’un outil 95% moins dangereux que le tabac ? Comme le rapporte l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le tabac, lui, continue de faire 8 millions de morts dans le monde chaque année.

Le RGDP fait partie du quotidien de tous celles et ceux qui s’aventurent sur internet

Un bandeau s’inscrit pour chaque site ouvert. Même si vous vous êtes déjà rendu sur un site, il vous repose la même question tel un perroquet sourd à vos réponses précédentes pour obtenir votre consentement pour aller plus avant dans votre lecture. Qu’en est-il de la compréhension des Français, de l’impact de cette réglementation du RGDP qui s’est imposée à toute l’Europe ?

Qu’est-ce que les données personnelles ?

Toute information identifiant directement ou indirectement une personne physique (ex. nom, numéro d’immatriculation, numéro de téléphone, photographie, date de naissance, commune de résidence, empreinte digitale…).

Un sondage Opinionway réalisé auprès de1008 personnes représentatif de la population française âgée de18ans du 12 et 13 juin 2019 est fort révélateur du fait que le RGDP avait encore du chemin à parcourir pour être connu des Français. A travers ce sondage, il est explicite que les inquiétudes concernant la protection des données personnelles restent une préoccupation.

Quel est le constat de ce sondage ?

  • Plus de la moitié des Français pense que la protection des données personnelles n’est ni mieux ni moins garantie que par le passé. Cela perdure en 2023 malgré les sanctions.
    • Ni mieux ni moins garantie 53%
    • De mieux en mieux garantie 14%
    • De moins en moins bien garantie 31%
  • L’usage des données à des fins marketing constitue de loin la préoccupation principale des Français quant à la protection de leurs données 80%
  • Le RGPD, connu par une majorité de Français, souffre encore d’un défaut de notoriété en comparaison avec la CNIL
    • 27% qui sait de quoi il s’agit alors que pour la CNIL 52%
    • 45% n’en n’ont jamais entendu parler alors que pour la CNIL 13%

Il apparaît évident que la capacité du RGPD influe néanmoins grandement la perception de l’évolution de la protection des données personnelles. On sait que les Français se montrent disposés à utiliser chacun des droits garantis par le RGPD. Cela même si leurs modalités d’exercice restent peu connues.

Quelle réalité pour le RGDP ?

Les professionnels eux aussi commencent à appliquer la procédure

  • 2 044 notifications de violation de données en France et 89 271 au niveau européen ;
  • Plus de 19 000 délégués à la protection des données (personnes physiques ou morales) ont été désignés par plus de 53 000 organismes ;
  • Un afflux de demandes d’information de la part des professionnels souhaitant s’approprier ce nouveau cadre qui ont identifié la CNIL comme une source d’information de référence.

Pour témoignage, le site de la CNIL a cumulé plus de 8,1 millions de visites depuis un an.

L’année 2019 marque l’achèvement de la transition vers le RGPD. Il est essentiel que, désormais, les organismes appliquent complètement le nouveau texte.

Pour soutenir les opérateurs dans leur dynamique de conformité et réussir la mise en œuvre du RGPD, la CNIL va amplifier ses actions d’accompagnement à destination des professionnels :

  • La sensibilisation à destination des collectivités territoriales, via un plan d’accompagnement ;
  • L’accompagnement des start-ups grâce à des contenus dédiés sur le site de la CNIL ;
  • L’élaboration de nouveaux cadres de référence. Ceci sous la forme de référentiels, règlements type ou listes de traitements non soumis à une analyse d’impact obligatoire ;
  • Un dialogue étroit avec les professionnels.

La conclusion du sondage de 2019 est que le RGPD désormais connu par plus de la moitié des Français a un écart élevé avec la notoriété de la CNIL. Il est fondamental de développer la notoriété du RGDP mais aussi qu’il montre ses capacités à protéger les données.