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Devenir Steve Jobs ? Non merci !

Steve Jobs est présenté comme le modèle de l’entrepreneur. Cependant, il est souvent critiqué pour avoir oublié de placer l’humain au centre de ses préoccupations. Faut-il à tout prix vouloir révolutionner son secteur ou changer le monde pour entreprendre ? Certains entrepreneurs arrivent très bien à se faire une place sur leur marché sans afficher une ambition démesurée.

Les pensées de Steve Jobs

Pour parler de Steve Jobs, nous avons choisi de vous proposer des citations extraites de différentes conférences ou de ses écrits.

« L’innovation, c’est une situation qu’on choisit parce qu’on a une passion brûlante pour quelque chose. »

Steve Jobs

« Soyez insatiables. Soyez fous. »

Steve Jobs

« Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire. »

Steve Jobs

« Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure. »

Steve Jobs

« Voulez-vous passer le reste de votre vie à vendre de l’eau sucrée, ou voulez-vous changer le monde ?. »

Steve Jobs

« Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d’autrui. »

Steve Jobs

« Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre. »

Steve Jobs

« Je suis convaincu que la moitié qui sépare les entrepreneurs qui réussissent de ceux qui échouent est purement la persévérance. »

Steve Jobs

« Être l’homme le plus riche du cimetière ne m’intéresse pas. Aller coucher le soir en me disant que j’ai fait des choses extraordinaires aujourd’hui, voilà ce qui compte. »

Steve Jobs

Insatiable sur l’innovation

« Innover, c’est savoir abandonner des milliers de bonnes idées. »

Steve Jobs

« Si vous vivez chaque jour comme si c’était le dernier, un jour viendra qui vous donnera raison. »

Steve Jobs

« Souvent, les gens savent que c’est le produit qu’ils veulent seulement une fois qu’on le leur a présenté. »

Steve Jobs

« J’échangerai toute ma technologie pour un après-midi avec Socrate. »

Steve Jobs

« Parfois, quand vous innovez, vous faites des erreurs. Il est préférable de les admettre rapidement, et se concentrer sur l’amélioration de vos autres innovations. »

Steve Jobs

 « L’innovation, c’est ce qui distingue un leader d’un suiveur. »

Steve Jobs

Être un repère

« Cela a été un de mes mantras – Focus et simplicité. Faire simple peut être plus difficile que de faire complexe car vous devez travailler dur pour épurer votre façon de penser, et concevoir un produit simple. »

Steve Jobs

« Soyez un repère de qualité. Certaines personnes ne sont pas habituées à un environnement où on s’attend à l’excellence. »

Steve Jobs

 « Me faire virer d’Apple a été la meilleure chose qui pouvait jamais m’arriver. Le poids du succès a été remplacé par la légèreté d’être à nouveau un débutant. Cela m’a libéré pour entrer dans l’une des périodes les plus créatives de ma vie. »

Steve Jobs

 « Mon modèle pour le business, ce sont les Beatles. C’était quatre gars qui  maintenaient les tendances négatives des uns des autres sous contrôle. Ils s’équilibraient les uns les autres, en quelque sorte. Et le total était plus grand que la somme des individualités. Les grandes choses dans le business ne sont jamais réalisées par une seule personne. Elles sont accomplies par une équipe. »

Steve Jobs

« Les choses les plus précieuses dans ma vie ne coûtent pas d’argent. Et il est évident que la ressource la plus précieuse que nous avons c’est le temps. Inventons demain plutôt que de passer notre temps à nous soucier de ce qui s’est passé hier.“

Steve Jobs

« Si vous êtes charpentier et que vous fabriquez une magnifique commode, vous n’allez pas utiliser un morceau de contre-plaqué pour l’arrière du meuble, même si il est contre le mur et personne ne va le voir. Vous saurez que ce sera là. Donc, vous allez utiliser une magnifique pièce de bois. Pour que vous dormiez bien la nuit, l’esthétique, la qualité doivent être des impératifs de bout en bout. »

Steve Jobs

« Si vous êtes obnubilé par le profit, vous allez négliger le produit. Mais si vous vous préoccupez avant tout de faire des produits vraiment bons, les profits vont suivre. »

Steve Jobs

D’autres moteurs à l’entrepreneuriat.

Selon l’INSEE, les motivations pour créer une entreprise sont principalement : la volonté d’être indépendant, le goût du challenge ou la nécessité de créer son propre emploi. 

Pour Steve Jobs, la première raison d’entreprendre semblait provenir de la volonté de changer le monde. Pourtant, cela ne paraît pas constituer une généralité pour nombre de ses congénères. Vouloir changer le monde n’apparaît pas comme une fin en soi ni comme la première motivation pour la grande majorité des porteurs de projets. Une étude de l’INSEE  mettait en exergue le fait que la première raison qui pousse les entrepreneurs (hommes et femmes confondus) à créer leur entreprise en France est de devenir indépendant pour 60,7 % d’entre eux. La seconde raison, qui pousse 44,2 % des interrogés à lancer leur business, est d’affronter de nouveaux défis. Viennent ensuite l’augmentation des revenus, qui est une raison valable de lancer sa boîte pour 27 % des interrogés, la volonté de créer son propre emploi (24 %) et la simple opportunité de créer une entreprise (22 %).

Les personnes interrogées ne sont que 14 % à lancer leur business parce qu’elles ont une idée nouvelle de produit, de service ou de marché. Preuve que malgré l’aspect révolutionnaire et disruptif qu’incarnent les grands entrepreneurs du 21e siècle, Steve Jobs y compris, les motivations des créateurs semblent en grande partie encore se situer ailleurs.

Partir simplement d’un besoin ou d’une passion.

Loin des réussites entrepreneuriales exponentielles obtenues à coup d’idées novatrices et copieusement décrites par les médias, l’univers micro-économique regorge d’histoires d’entrepreneurs à succès qui n’ont pas spécialement établi de révolution ou de rupture de modèle. C’est le cas d’Alain Coumont, fondateur de l’entreprise Le Pain Quotidien, qui a suivi un parcours similaire. Fils et petit-fils d’épiciers, l’entrepreneur belge étudie à l’école hôtelière de Namur de 1977 à 1981 et travaille pendant une petite dizaine d’années au service de restaurants étoilés.

Restaurateur de métier et de passion, il décide de retourner à Bruxelles en 1987 et de lancer son affaire. Il ouvre « le Café du Dôme » mais fait rapidement face à la difficulté de trouver du bon pain à Bruxelles. Faut-il l’importer de France ? Trop cher ! L’entrepreneur décide d’acheter un four et de le fabriquer lui-même. Progressivement, il finit par servir la plupart des restaurants des environs. La marque Le Pain Quotidien voit le jour en octobre 1990. En 2014, l’enseigne comptait 215 boulangeries-restaurants répartis dans 17 pays, pour un chiffre d’affaires de 250 millions d’euros au total.

Ne pas se retrouver obsédé par son projet.

« Devenir Steve Jobs » n’est sans doute pas un moteur pour tous les entrepreneurs. D’autant qu’en ce qui concernait le gérant de la marque à la pomme, l’entrepreneuriat ne constituait plus un métier ou une vocation, mais relevait presque d’une obsession. À ce stade, il devient difficile d’avoir une vie professionnelle qui n’empiète pas sur la vie personnelle. Vie de famille, vacances, week-end deviennent rares voire inexistants. Bill Gates, principal « ennemi » du PDG d’Apple avouait ne pas avoir eu de journée « off » depuis 20 ans.

Quant à Mark Zuckerberg, il confiait travailler 50 à 60 heures par semaine. Pour devenir de tels géants de l’entrepreneuriat, inutile de préciser que de nombreux sacrifices demeurent nécessaires. Jusqu’à son dernier souffle, même sur un lit d’hôpital, Steve Jobs réfléchira à la manière dont il pouvait encore changer le monde, même s’il l’avait déjà accompli en modifiant profondément notre rapport à la technologie. S’ils doivent rester conscients de l’implication nécessaire à tout projet d’entreprise, pas sûr que tous les entrepreneurs en herbe aient réellement envie d’en arriver là… 

Les points de vigilance pour nouer des partenariats commerciaux efficaces

Un partenariat réussi permet de développer crédibilité, visibilité et notoriété. Chaque partenaire devient  l’ambassadeur de l’autre partenaire comme des vases communicants. Mais un partenaire déçu en fait fuir dix et dix satisfaits en font venir un. La difficulté de nouer des partenariats efficaces et pérennes est résumée dans cette phrase. Quels sont les points de vigilance à connaître en amont pour que ce partenariat devienne fructueux ?

Nouer des partenariats apparaît comme la panacée. Mais l’expérience montre que si ceux -ci n’ont pas été mûrement réfléchis, ils risquent de produire l’effet contraire à celui escompté. Il faut mener une analyse objective.

Pour développer une entreprise, il est parfois judicieux d’établir des partenariats commerciaux. « Partenariat » signifie que les 2 parties vont mettre en commun leurs ressources et forces afin d’atteindre un objectif commun qui est le développement de leur business, de leur visibilité et de leur notoriété.

Analyser les raisons d’un partenariat

Un bon partenaire doit être utile. Si vous vous associez avec une entreprise qui dispose des mêmes compétences que vous et n’apporte aucune plus-value, vous risquez d’y perdre. Votre partenaire peut-il vous apporter un réel bénéfice ? Lequel ? Avec un grand groupe, il est avantageux de s’associer, mais que pouvez-vous leur apporter qu’ils n’aient déjà ? Quels sont les risques que vous courrez ? Les bénéfices en valent-ils la peine ? Autant de questions que vous devez vous poser au préalable !

Dans les premiers temps, c’est le sérieux qui prime

Lors des premiers entretiens avec un partenaire, c’est le sérieux des deux parties qui est analysé. L’entreprise avec laquelle je souhaite m’associer est-elle capable de gérer son activité correctement, de répondre au téléphone régulièrement et de transmettre dans les temps indiqués les documents demandés ? L’organisation de la structure, son sérieux, son accueil sont des atouts de séduction. Si votre partenaire ne peut répondre à des questions simples d’organisation, c’est qu’il n’est pas fiable.

Crédibiliser son offre commerciale commune

Avec un nouveau partenaire, vous allez pouvoir conquérir de nouveaux marchés. Encore faut-il accepter quelques remises dans vos prix, histoire de graver dans le marbre cette collaboration. Si d’emblée vous êtes trop cher, même en étant très compétent et recherché, il y a de bonnes chances pour que vous perdiez des marchés et que l’essai en reste là. Bien entendu, votre partenaire devra en faire de même. Même si ce n’est pas une règle absolue, il faut que, sur le plan commercial, vos prix groupés soient au moins égaux si ce n’est inférieurs à vos prix isolés. Cela permet de crédibiliser votre offre commune auprès du marché et de montrer au consommateur que votre partenariat débouche sur un avantage.

Apprendre à travailler ensemble

Avec le temps, vous pourrez progressivement adapter votre façon de travailler ensemble, voire imposer votre vision sur certains points. La qualité qui est particulièrement appréciée d’un partenaire sont l’anticipation. Si vous savez déjà quel interlocuteur et collaborateur il pourra dédier à vos activités en commun, si vous voyez qu’il a déjà pensé à téléphoner au client que vous prospectez et à demander des informations, si vous observez qu’il commence à répondre à des appels d’offres et qu’il n’attend plus spécialement votre aval pour entériner des contrats ou prendre des initiatives, c’est déjà bon signe.

Le top est le moment où vos employés et ceux de la structure partenaire commencent à nouer des liens privilégiés. Cela prouve que le partenariat fonctionne bien au niveau opérationnel, et que vous tenez là un partenaire à la culture d’entreprise similaire à la vôtre. Lors d’une réunion groupée, vous devrez être en synergie, avoir la même vision du projet ou des demandes du client. Si ce n’est pas le cas, parlez-en en privé. Ne remettez jamais en cause le travail de votre partenaire en public.

Évoluer vers une forme de solidarité

Un partenariat s’entretient, il se cultive. Avec le temps, des attentions toutes particulières peuvent être apportées entre partenaires. Dans une situation délicate, il appréciera que vous lui tiriez une épine du pied ou preniez le relais pour montrer qu’il n’est pas seul (remplacement d’urgence pour une réunion alors que vous n’avez pas le mandat, construction de la réponse à un appel d’offre s’il n’a pas de temps…). La plupart du temps, dans un partenariat qui fonctionne, chacun demande le minimum de travail à l’autre et l’exécution des tâches coule de source !

Les signes avant-coureurs de la démission d’un collaborateur

Croire que les menaces incessantes de licenciement vont fidéliser davantage vos collaborateurs est loin de la réalité. Aujourd’hui à portée de clics, les entreprises de recrutement proposent des postes et vos concurrents lorgnent sur vos collaborateurs d’autant  plus que si ces collaborateurs possèdent des compétences, ils peuvent constater que leur profil est recherché.

Le premier réflexe est de se pencher sur les statistiques de chômage. Si votre salarié est un profil recherché par les recruteurs, en raison de ses compétences spécifiques, vous devez en être conscient. La formation d’un salarié est chronophage et donc entraînera pour vous ou vos collaborateurs une surcharge de travail. Vous ne devez jamais sous-estimer ce fait.

Croire que les avantages que vous offrez à votre collaborateur vont l’inciter à ne pas vous quitter est un leurre et de plus si vous imaginez que ces avantages sont liés à sa vie familiale, à son temps de transport… et donc que vous ne pensez pas une minute que votre collaborateur regarde les opportunités qui pourraient se présenter ailleurs est un manque de perspicacité ou de naïveté. Pourtant, il existe des signes avant-coureurs qui doivent vous alerter sur son projet de vous donner sa démission. Quelques conseils de dynamique.

Une observation et une analyse s’imposent !

Dans un premier temps, il vous faut vous reporter à vous-même et vous demander quel a été votre comportement, lorsque vous avez souhaité partir vers une autre société ou même lorsque vous avez eu le projet de créer votre entreprise. Vous pouvez ainsi établir établir une liste de questions qui vous servira de référentiel. Comme tous les salariés n’adoptent pas le même comportement que vous, la deuxième phase sera d’interroger votre entourage et de leur demander ce qu’ils ont eu comme comportement quand ils ont quitté leur société. Attention, il vous faudra choisir des personnes de sexe, d’d’âge et d’environnement professionnel différents. Avec cette base, vous allez pouvoir observer le comportement de vos salariés et par votre observation, évitez de perdre un salarié clef de votre entreprise.

Et puis, il faudra vous pencher sur les entretiens d’évaluation qui sont souvent révélateurs du manque de satisfaction ou des desideratas des salariés : le salarié a-t ’il manifesté quelque souhait que vous n’avez pas pris en compte, le salarié lors de la dernière évaluation n’avait pas de souhait pour son évolution de carrière dans votre entreprise ? à sa demande d’augmentation de salaire ?  De prime alors que vous l’avez donné à d’autres ? lui avez-vous imposé des dates de vacances ? ….

Mais quels sont les signes avant-coureurs classiques ?

Le premier signe d’alerte : les absences

Un salarié a des absences qu’ils n’avaient pas auparavant, arrive plus tard au bureau ou part plus tôt du bureau ? C’est peut-être le signe qu’il se rend à des entretiens d’embauche. Certes, toute absence inhabituelle n’est pas un signe de départ, mais pour répondre à un entretien, il faut une demie journée ou une journée entière, comme vous le savez-bien. Et parfois, le fait de choisir de partir plus tôt est aussi associé à un entretien. Ce sont seulement des signes !

Le deuxième signe d’alerte :  le changement de comportement du salarié

  1. Son enthousiasme pour exécuter les tâches est en berne et sa productivité en quantité et en qualité n’en est plus le reflet.
  2. Le salarié se met en retrait, s’isole des conversations ou est peu expressif lors des réunions.
  3. Le salarié ne participe plus aux pauses ou aux déjeuners entre collègues.
  4. Le salarié se plaint régulièrement de sa charge de travail.
  5. Le salarié affiche sa mauvaise humeur envers son manager ou ses collègues.
  6. Le salarié sort pour passer des coups de fil.

Tous ces changements sont des signes de l’insatisfaction d’un salarié.

Le troisième signe : son engouement soudain pour les réseaux sociaux

Le salarié met à jour son profil sur les réseaux sociaux et particulièrement ceux qui sont liés aux entreprises (LinkedIn, Viadeo …), une augmentation des connexions soudaines est forcément le signe qu’il recherche à se mettre en valeur.

  • Et puis posez-vous les questions suivantes !
  • Est-il moins enclin à se porter volontaire pour des projets ?
  • Est-il moins enclin à participer aux réunions d’équipe ?
  • Ses relations avec son équipe se sont-elles dégradées ?
  • A-t-il des difficultés pour atteindre ses objectifs ?
  • N’est-il plus force de proposition ?
  • Est-il critique envers son travail ? envers son manager ? ses collègues ?
  • Autant de questions et d’autres qui vous permettront d’être attentif.

Que faire face aux signes annonciateurs du départ d’un salarié ?

Pour en savoir plus, engagez un dialogue avec lui, faites-lui part de vos observations puis écoutez-le. Soyez attentif, observez et dialoguez : vous éviterez peut-être de perdre un collaborateur qui est une des forces de votre entreprise.

IPhone 13 reconditionné, une seconde vie pour une technologie de pointe

L’arrivée d’un nouveau modèle d’iPhone suscite toujours excitation et enthousiasme, et l’iPhone 13 n’a pas dérogé à la règle lors de sa sortie en 2021 ! Avec ses avancées en termes de performances, de photographie et de design, il incarne l’innovation à sa manière. Cependant, au-delà de son éclat en termes de technologies, il faut désormais prendre en compte l’impact environnemental de celui-ci. Et comme voie alternative, le reconditionnement arrive en pôle position notamment avec Back Market le pionnier dans ce domaine, qui offre une plateforme mondiale pour l’achat et la revente d’appareils technologiques reconditionnés de haute qualité. 

Innovation et durabilité pour l’iPhone 13

L’iPhone 13, ce joyau de la technologie mobile, incarne une fusion entre l’innovation technologique et l’engagement envers la durabilité. Au cœur de cette prouesse se trouvent des caractéristiques techniques impressionnantes qui repoussent les limites de la performance. Son processeur puissant, issu d’une ingénierie de pointe, garantit une fluidité dans l’exécution des tâches les plus exigeantes. De même, l’amélioration de la caméra offre des capacités photographiques grandioses en capturant chaque instant avec une netteté et une précision remarquable.

Cependant, l’iPhone 13 intègre des avancées qui marquent un véritable tournant vers la durabilité. La marque à la pomme a désormais fait de la réduction de son empreinte environnementale une priorité, et cela se reflète dans la conception de l’iPhone 13. En utilisant des matériaux recyclés, tels que l’aluminium et le verre, dans sa construction, Apple réduit significativement la demande de ressources naturelles tout en minimisant les déchets associés à la production de ses appareils.

Mais ce n’est pas tout. L’iPhone 13 adopte aussi une approche modulaire, qui facilite ainsi la réparation et le remplacement des composants individuels. Cette conception intelligente prolonge la durée de vie utile du téléphone et évite le remplacement prématuré en cas de dysfonctionnement. Vous l’aurez compris, entre progrès technologiques et durabilité à long terme, l’iPhone 13 s’impose comme un choix judicieux. 

Optez pour une alternative responsable grâce au reconditionnement 

Alors que l’iPhone 13 continue de briller de mille feux sur le marché du neuf, certains préfèrent considérer les avantages économiques et environnementaux offerts par l’achat d’un iPhone reconditionné.

Back Market se positionne comme un acteur majeur dans ce domaine grâce à sa plateforme diversifiée et fiable pour l’achat d’iPhone 13 reconditionnés. Chaque appareil est soumis à un processus de vérification rigoureux, qui garantit son bon fonctionnement. Cela assure aux acheteurs une transaction sereine et sans souci, avec la certitude d’acquérir un produit de qualité à un prix souvent très compétitif.

Choisir un smartphone reconditionné présente plusieurs avantages. Tout d’abord, le choix d’un iPhone 13 reconditionné représente une option très avantageuse pour… votre portefeuille !  En effet, les produits reconditionnés bénéficient de prix souvent nettement inférieurs à ceux des appareils neufs, vous pouvez donc réaliser des économies conséquentes tout en ayant accès à des fonctionnalités haut de gamme, bien que sur Back Market vous pouvez acheter à des prix attractifs toute l’année ! 

De plus, cela permet de prolonger la durée de vie utile d’un appareil déjà existant, en réduisant ainsi la demande de nouveaux produits et donc en contribuant à freiner le cycle de surconsommation. Réutiliser des appareils déjà fabriqués permet d’éviter également le gaspillage de ressources précieuses et de limiter la quantité de déchets électroniques souvent envoyés dans les décharges, ce qui contribue à préserver notre environnement… et celui des générations futures.

Le travail collaboratif, la panacée

Le travail collaboratif s’est imposé avec les nouveaux outils numériques mettant au pilori certaines fonctions de l’entreprise liées à la hiérarchie traditionnelle. Il se révèle un véritable enjeu pour les équipes et possède ses exigences qui ne sont guère à sous-évaluer comme celle d’une organisation rigoureuse mais aussi d’un management des équipes qui met l’humain au centre. Le développement du télétravail qui trouve sa source dans de multiples raisons (bien-être, transport, familial…) a fait du travail collaboratif un pilier d’un nouveau mode de fonctionnement.  

En 2024, le travail collaboratif est devenu une évidence. D’après une étude de McKinsey, l’utilisation efficace des outils collaboratifs peut augmenter la productivité des employés de 20 à 25%. Par ailleurs , le développement des plateformes tout-en-un, qui offrent une intégration de multiples  fonctionnalités comme les communications, la gestion de projet et le partage de fichiers.

Quels sont les enjeux du travail collaboratif ?

Gagner du temps en éliminant les réunions

D’après une étude d’Opinionway effectuée en 2017, les réunions sont trop nombreuses et loin d’être toujours productives. En effet, les salariés assistent en moyenne à plus de 2 réunions par semaine, pour une durée totale cumulée de 4 heures et demie. Une moyenne qui varie très fortement selon le statut (4,3 réunions / semaine pour les cadres) et le type d’organisation (4,1 réunions pour les organisations matricielles). Au total, ce sont donc 3 semaines par an que les salariés passent en réunion et plus du double pour les cadres. A peine la moitié (52%) d’entre elles sont pourtant considérées comme productives.  Le travail collaboratif grâce à sa centralisation des données permet de faciliter la communication des informations, les mises à jour d’état par l’intermédiaire d’un outil informatique efficace et les réunions consacrées au dispatching des tâches deviennent alors obsolètes.

Partager sans rétention les informations

Partager  des informations et des idées est la clef pour un travail efficace. Pour que ce partage soit effectif , il est nécessaire de  développer la transparence c’est-à-dire savoir, en temps réel, qui travaille sur quoi. Non pas dans un objectif de contrôle et surveillance  mais afin que l’information circule et que les projets avancent. Mais aussi pour permettre à chacun d’être responsable en cas de difficultés et donc de s’impliquer pour résoudre le problème..

Gagner du temps en supprimant le fléau des e-mails

Le nombre d’emails en interne dans une entreprise est considérable, une plateforme collaborative permet de supprimer les e-mails puisque tout se trouve sur la plateforme et simplifie le travail d’équipe.

Développer le partage des savoirs

Un travail collaboratif permet aux équipes de développer de nouvelles idées et de les faire partager et donc à chacun d’être force de proposition. Il permet le partage des savoirs, la coopération et la capacité à décloisonner les modes de fonctionnement, l’implication de chaque collaborateur dans les équipes constituées autour d’un projet.

Travailler à distance sans frontières

Les équipes dispersées sur plusieurs sites et même dans un autre pays ont besoin d’échanger sur divers projets. La web-conférence réduit les déplacements des collaborateurs et supprime les distances et permet une mise en relation directe sans nécessiter la mise en place d’une infrastructure complexe. Les ressources de l’entreprise doivent être accessibles depuis n’importe quel terminal, à tout moment et quel que soit le fuseau horaire.  Le Cloud a permis la mise en place de solutions de traitement de fichiers ou de prise de notes collaboratives qui offrent l’opportunité aux salariés de travailler ensemble sur un même fichier et de prendre connaissance en temps réel des modifications de leurs collègues.

Quel est selon vous l’avantage le plus pertinent du travail collaboratif en entreprise ? (Source Mindjet)

  •  Mieux contribuer aux objectifs de l’entreprise 24.9%
  • Meilleure compréhension de la stratégie et des processus 13.7%
  • Accroissement des performances 21.9 %
  • Stimulation de l’innovation 12.9%
  • Partage des savoirs 35.7%
  • Meilleure qualité du travail au quotidien 25.3%
  • Meilleur relationnel avec ses collègues 20.7%.
  • Les réponses permettent de constater que l’humain est mis au centre.

Une limite aux outils collaboratifs ?

Mais des précautions sont à prendre pour sécuriser l’infrastructure informatique. Le travail collaboratif peut devenir une source d’erreur (suppression accidentelle d’un fichier ou de certaines modifications, etc.). Les entreprises qui ont dû affronter ce genre d’erreurs savent combien elles sont chronophages et qu’elles peuvent mettre en péril l’entreprise. Des sauvegardes automatiques fréquentes sont à préconiser. L’utilisateur doit toujours pouvoir récupérer une version antérieure de son document qui permet de limiter les pertes. Cependant, la principale inquiétude se situe au niveau de la sécurisation des données, et particulièrement pour les outils collaboratifs en ligne et la protection contre les éventuels piratages est une priorité. Il ne faut pas non plus omettre les pannes de réseau informatique ou des sites internet qui se révèlent une vraie nuisance dans le travail puisqu’elles empêchent l’accès aux données et donc empêchent le travail des collaborateurs.

Exemple d’un espace de travail collaboratif

http://www.digne.cci.fr/IMG/pdf/Fiche_47_-_Technos-Les_outils_du_travail_collaboratif.pdf

Exemple de portail regroupant des espaces de travail collaboratif

http://www.digne.cci.fr/IMG/pdf/Fiche_47_-_Technos-Les_outils_du_travail_collaboratif.pdf

Comment s’autodiscipliner en télétravail ?

Qu’on se le dise, si le télétravail s’est généralisé dans les entreprises ou est déjà une pratique bien ancrée chez les indépendants, et l’autodiscipline joue un rôle majeur. Il est fréquent de subir une baisse de motivation au fil du temps. Aussi, il vous faudra acquérir les réflexes adéquats si vous souhaitez ne pas vous retrouver confronté à un ralentissement néfaste de productivité. Zoom sur quelques bonnes pratiques pour s’autodiscipliner en télétravail.

Le télétravail c’est ne plus avoir un cadre imposé par la vie en entreprise mais un cadre que l’on va s’imposer même si pour le salariés, il existe des contraintes, des horaires. Cependant, les tentations sont nombreuses et donc pour être performant, il va falloir jouer d’ingéniosité pour ne pas tomber dans des pièges, qu’il est facile de contourner.

Créer un espace de travail

Pour commencer, vous pouvez vous créer un espace dédié au travail dans votre maison/appartement. Le but est de disposer de tout le matériel nécessaire à votre activité et que vous puissiez rapidement accéder au matériel indispensable pour exécuter vos tâches. Pour cela, commencez par faire une liste de tout ce dont vous avez besoin et stockez-les le plus rapidement possible pour ne pas vous retrouver bloqué par un matériel manquant. N’hésitez pas à avoir vos consommables à l’avance pour ne pas vous confronter à une rupture de stock ou à devoir interrompre vos tâches pour acheter ce qui vous manquerait. 

Faire un to do List

Pour bien travailler à la maison et exécuter toutes vos tâches, rien de mieux que de faire une to do List que vous pourrez prendre dans l’ordre. Pour éviter de vous disperser, vous pouvez même associer des horaires devant chaque tâche pour être sûr de ne pas céder à la tentation d’allumer votre télévision par exemple. Plus votre to do List sera précise, plus vous enchaînerez les tâches sans prendre des pauses superflues. La grande difficulté de travailler chez soi reste de résister à la tentation et de se mettre dans le bain sans tergiverser. N’hésitez pas à prévoir vos temps de repos dans votre to do List et de bien délimiter vos temps de pause. Vous devrez vous mettre la pression car personne ne le fera pour vous. 

Adopter des horaires de bureau

Ce n’est pas parce que vous bosser de chez vous que vous ne devez pas adopter des horaires de bureau. Mieux vous pouvez profiter des horaires dans lesquels vous êtes habituellement dans les transports pour gagner quelques heures et ainsi devenir plus productif. Vous pouvez aussi rajouter quelques moments de détente étant donné que vous gagnez en amplitude horaire ou décider tout simplement de raccourcir vos horaires. Dans tous les cas, évitez de trop décaler vos horaires car si vous n’êtes plus contraint par ceux-ci, les autres entreprises ont, elles, des heures où vous pouvez les joindre et d’autres où ils ne seront pas présents ou mettront du temps à vous répondre.

Avoir des rappels à l’ordre

Vous pouvez vous imprimer des messages motivants qui vous rappellent que ce n’est pas parce que vous êtes chez vous que vous devez faire n’importe quoi. Quelques petits messages comme « Les horaires sont les horaires » par exemple peuvent vous remettre le pied à l’étrier. Vous pouvez également programmer des alertes pour vous inciter à vous concentrer si nécessaire. N’hésitez pas à installer des alertes afin de ne pas vous disperser trop longtemps lors de vos pauses. 

Vous isoler phoniquement

Il est parfois tentant lorsque vous avez vos proches à la maison de lancer une discussion qui n’a rien à voir avec le travail donc autant ne pas vous disperser. Une bonne solution si vous avez quelqu’un de bavard à la maison ou si vous êtes trop tenté de lui parler reste l’isolation phonique. Vous pouvez écouter de la musique ou avoir un casque isolant. L’idéal comme nous l’avons vu plus haut reste d’avoir une pièce séparée dédiée au travail. Des fonds sonores spécifiques existent et qui n’affectent pas la concentration et que vous pourrez trouver sur la toile. 

Vous lancer des défis

Corollaire de la to do List, le fait de vous lancer des défis de vitesse ou de performance peut contribuer à améliorer votre concentration. Plus vous avancerez rapidement, plus vous aurez un sentiment de satisfaction qui peut vite booster votre productivité. Evitez de vous interrompre trop souvent et lancez-vous rapidement dans vos tâches afin de ne pas céder à la tentation. Plus vos défis seront élevés (mais atteignables) plus vous aurez tendance à ne pas céder à la tentation. Alors n’hésitez pas à imposer des objectifs ambitieux qui vous porteront toute la journée et vous forceront à ne pas perdre trop de temps. 

Avoir quelqu’un qui vous motive

Si vous n’arrivez pas à rester concentré ou que vous savez que vous aurez tendance à vous disperser, rien ne vous empêche d’avoir un ami ou un membre de votre famille qui vous régule et vous motive à vous lancer dans une tâche. Si la personne est dans les mêmes conditions vous pourriez bien avoir une interaction positive et réciproque. Elle constitue un garde-fou et pourra d’ailleurs vous inciter à faire plus car vous pourrez vous fixer de faire au moins autant qu’elle. Evidemment, il s’agit de s’adresser à une personne de préférence elle-même rigoureuse afin de bénéficier de sa motivation dans vos temps mous et non l’inverse. 

Les geeks salariés : qui sont-ils et qu’attendent-ils ?

Il est facile de dresser un portrait empli de préjugés et d’idées préconçues sur les geeks salariés, leur comportement, mais aussi en fait leurs convictions et visions de l’entreprise et de l’avenir. On les imagine souvent réfractaires à l’entreprise et à leurs collègues et vivants dans un monde détaché du réel ou en parfaite opposition à la société.

Les nouveaux outils numériques et leur diktat favorisent certains talents qui dans le contexte précédent des entreprises n’auraient pas trouvé leur place. L’intelligence artificielle nous fait percevoir une autre approche du travail et surtout des tâches à réaliser. Zoom sur ces geeks qui nous interpellent.

BCG Platinion a réalisé avec Viavoice une étude « dans la tête d’un geek », sur les liens des geeks avec l’entreprise. Qu’en attendent-ils ? Que pensent-ils du management ? Pour réaliser cette étude, 732 personnes du monde entier ont été interrogées de septembre à octobre 2018 : ingénieur data, scientific data, coordinateur IT, ingénieur en machine learning, architecte analytics… c’est-à-dire des « personnes travaillant dans les secteurs de l’IT et du digital ».

Quelle est la vision des geeks sur l’entreprise ?

Les geeks ont une image positive du monde de leur société et de l’entreprise en général. En effet, 69% des geeks ont non seulement une image positive du monde de l’entreprise mais aussi 86% ont une image positive de leur firme. Cette idée est bien loin des images stéréotypées qui les montraient en rupture avec l’entreprise.

Pourquoi les geeks aiment-ils leur boîte ?

En fait, les spécialistes du recrutement les recherchent en raison de leurs compétences spécifiques, contrairement aux préjugés. Ils apparaissent comme de perles rares. En quelques mots, s’ils restent dans une entreprise, c’est parce qu’elle correspond à leurs attentes car quitter l’entreprise ne les laissera pas au chômage. Bien au contraire.

Quelles sont les entreprises qui les attirent ?

Les geeks ont des goûts plutôt classiques en matière d’employeur idéal. Comme l’ensemble des actifs, ils veulent travailler dans une entreprise privée (44%) normale, 15 % deviendraient volontiers indépendants et 14% rejoindraient une start-up. Ils ne sont que 4% à exprimer le désir travailler pour un géant du numérique de type GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). Mais pour corroborer cette idée, l’étude du BCG Platinion indique aussi que 37% des geeks souhaiteraient décrocher un CDI dans une entreprise (la proportion est de 57% pour l’ensemble des actifs âgés de 18 à 30 ans), 22% rêvent de diriger leur entreprise. Ils sont 20% à souhaiter travailler ponctuellement sur des missions et 18 % à vouloir être indépendants. Les chiffres sont éloquents de leur souhait de vivre en conformité avec la dimension sociale.

Le binôme gagnant : la mission et les collègues

Pour les geeks ce qui est essentiel dans leur travail, c’est le binôme, l’intérêt de la mission et les collègues. Seulement 7% trouvent important de se connecter à une communauté relative à leurs compétences dans l’entreprise et 2%de se connecter à une communauté relative à leurs compétences hors de l’entreprise.

Le management ?

La question portant sur les contraintes de l’entreprise, « un management inadapté ou illégitime » arrive en tête avec 47% des réponses. Suivent ensuite la lourdeur des process et du reporting (38%) et l’organisation (29%). Juste derrière arrive le manque de sens, cité par 24% des répondants. Pour garder sur le long terme les talents des geeks, il faudra que les entreprises leur proposent un management adapté.

Leurs souhaits et leur vision de l’avenir

59% souhaitent un meilleur équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle, avoir l’opportunité d’innover et d’être force de proposition selon 42% des geeks tandis que 35% veulent davantage d’autonomie dans le travail.  Certes ils possèdent les compétences, mais en ce qui concerne l’avenir, 47 % se disent pessimistes quant à l’avenir de la société et du monde, 50% sont donc optimistes. Cette vision est bien sûr liée à l’obsolescence des compétences qui les obligent à sans cesse s’adapter et il apparaît évident que dans leur choix d’intégrer une entreprise la possibilité de développer leurs compétences sera un atout clef.

Recruter des atypiques : la nouvelle tendance des entreprises !

Frédéric Vezon, président et cofondateur d’ASPertise est un serial entrepreneur porteur du syndrome d’asperger. Il remet en cause les préjugés et nous montre que les atypiques peuvent se révéler une véritable force pour les entreprises. Pourquoi ne pas se mettre à penser différemment ?

Selon le dirigeant « la plupart des équipes ont des biais cognitifs communs, une même structure mentale. Pour enrichir le groupe, il faut intégrer des gens câblés différemment, qui voit ce qu’on ne voit pas. ». Elément qui serait d’autant plus vrai en termes de « cyber-sécurité où l’on sait que la plupart des hackers pensent autrement ». Autre atout selon le dirigeant : « En termes de concentration, un atypique est capable de se concentrer beaucoup plus intensément qu’une personne ordinaire sur certains sujets ! ».

Il nous confie ainsi « les atypiques ont une relation intime avec l’informatique, les chiffres, une facilité. L’hypothèse est que l’informatique a été créée par des Aspergers pour des Aspergers. Plus on va vers les langages de première génération, plus ils sont forts et s’éclatent ! ». Mais c’est surtout dans la capacité à innover dans ce domaine que résiderait leur apport : « la différence cognitive permet d’avoir une approche différente des problèmes et des solutions innovantes. Microsoft fait tous les ans des recrutements auprès des Aspergers. il se dit que la SiliconValley a été bâtie par des atypiques ».

Bien connaître ses concurrents

Les entrepreneurs se concentrent, en général, sur leur produit plus que sur celui de leurs concurrents. Mais étudier la concurrence reste essentiel pour les entrepreneurs. Pourtant un entrepreneur lorsqu’il crée son entreprise est souvent inspiré par la réussite  des leaders de son marché. Connaître ses concurrents fait partie intégrante de l’ADN de l’entrepreneur, qu’il soit en train de créer son entreprise ou dirigeant d’une entreprise en plein développement de son activité. Découvrez les raisons qui font que vous devez scruter ces derniers.

Les concurrents ce n’est pas seulement ceux qui sont visibles parce qu’ils proposent les mêmes produits ou services que vous. Parfois, un consommateur peut changer d’avis et choisir d’autres produits ou services selon leur budget. Prenez attention à tous les détails

Connaître les prix des concurrents

Avoir étudié la grille des prix proposés par la concurrence vous permet de définir le meilleur prix pour votre produit/service. Vous pouvez ensuite adopter différents types de stratégies concernant le prix : plus cher que vos concurrents pour faire valoir la qualité de votre offre ou plutôt moins cher afin d’attirer des clients dont le porte-monnaie fait grise mine ? A vous de voir mais n’oubliez pas que si vous pouvez faire moins cher, votre concurrent aussi…

Proposer  un positionnement inédit

Si vous souhaitez vous faire remarquer des clients, pourquoi faire comme tous vos concurrents et risquer, ainsi, de vous noyer dans la masse ? Vous gagnerez souvent à proposer un positionnement inédit sur le marché, sans toutefois en faire trop et ainsi vous décrédibiliser auprès des clients. Parfois, apporter une simple touche originale peut vous permettre de présenter un positionnement très différenciant sur le marché. Et ainsi conquérir les clients !

Savoir répondre à la question essentielle

« pourquoi devrais-je choisir votre produit/service plutôt qu’un autre ? ».

Que ferez-vous si vous ne savez pas précisément quoi répondre ? Observer la concurrence peut vous apporter une précieuse mine d’éléments qui vous permettront de construire une argumentation solide et convaincante en faveur de votre produit/service. Un benchmark approfondi n’est pas une perte de temps car il sera dans bien des cas l’élément qui vous permettra de toucher de nouveaux clients.

Savoir défendre son projet face aux investisseurs.

Tout investisseur a besoin qu’on le rassure et qu’on lui explique pourquoi il ne risque rien – et à tout à gagner- en investissant dans votre projet. Pour cela, montrez-lui que vous maîtrisez parfaitement l’offre proposée par la concurrence et que, grâce à cela, vous êtes en mesure de vendre un produit/service qui a tout pour réussir à s’imposer sur le marché.

Proposer un produit/service meilleur que celui de vos concurrents.

Il n’y a pas de secrets, ce qui attire les clients et provoque les ventes reste la qualité de l’offre proposée. Bien connaître les produits/services des concurrents vous permet de définir les améliorations qui sont possibles afin de surprendre le client par un niveau d’offre supérieur et, ainsi, de le fidéliser. Vous-même, à prix égal, ne préférez-vous pas acheter le meilleur produit proposé ? Connaître ses concurrents, leurs atouts et leurs  talons d’Achille, est primordial pour s’adapter à leur stratégie et aux changements économiques actuels et aux imprévus qui sont de toute nature. L’entrepreneur peut utiliser des logiciels de questionnements pour trouver ses concurrents, réaliser une étude de marché et mettre en place une veille concurrentielle car  l’entreprise évolue sur un marché qui ne cesse d’évoluer même pour celles qui avaient pignon sur rue depuis plusieurs décennies. Fait partie intégrante

E-commerce : les méthodes de fidélisation

Dans ce monde de grands bouleversements, toutes les stratégies élaborées soigneusement par les services de communication et de marketing ne semblent ne plus avoir le même impact. Il faut donc cesser de croire que le client est figé dans des idées préconçues. Par ailleurs, qu’il est impossible de lui demander de s’adapter. L’exemple le plus flagrant se trouve dans le confinement mondial accepté par les populations et qui a modifié leurs habitudes par exemple d’achat.

Investir dans une relation client de qualité, ce n’est pas seulement pour se différencier des concurrents, c’est surtout pour développer sa croissance !

Le marché du commerce électronique montre l’importance que la qualité de la relation client doit être optimum. Le prix n’est pas le seul facteur déterminant. La qualité des produits et des services joue un rôle majeur dans le processus de décision d’achat. Tous les cybermarchands qui ont développé une activité rentable ont mis la relation client au centre de leur préoccupation.

Avec une relation client de qualité, le client satisfait sera fidèle et la rentabilité augmentera.

8 bonnes pratiques pour développer une relation client de qualité

1. Réduire au maximum les barrières avec le client potentiel.

Par exemple, les vendeurs de chaussures en ligne comme Sarenza ou Zalando donnent à leurs clients la possibilité de renvoyer la marchandise sans frais dans les 100 jours. Des vendeurs en ligne comme Microsoft Store, Pixum ou Topdeq se démarquent par la qualité et rassurent leurs clients avec un label de qualité et des garanties de remboursement.

2. Diversifier vos produits

Se contenter d’avoir un seul produit ne permet pas de conserver la clientèle. N’hésitez pas à ses services et les accessoires afin de mettre en valeur votre créativité.

3. Prendre en compte la customisation des produits.

Vos produits doivent toujours attirer l’œil par leur packaging et donc susciter l’envie de commander. Réunissez vos équipes pour y réfléchir et peut être apporter des modifications.

4. Mettre en place une interactivité du contact

Celle-ci peut se révéler un élément fort dans une relation client. Simplicité et accessibilité sont les maîtres mots. Le client veut pouvoir naviguer sur le site simplement et pouvoir poser des questions facilement. La convivialité et la simplicité d’utilisation sont indispensables. Si le site est peu clair, la navigation compliquée et trop longue, le consommateur n’y reviendra jamais.

5. Connaître et comprendre la culture de ses clients.

Les sites récupèrent des informations sur les consommateurs lors de leurs précédents achats pour réaliser des pushs à leur attention correspondant à leur intérêt.
Attention, en plus de l’achat, il faut impérativement travailler sur le « post-achat », et être à l’écoute du client, l’aider, l’orienter, pour augmenter sa loyauté et sa confiance.

6. Prêter une attention particulière à la communauté.

Avec la montée en puissance des réseaux sociaux, la communauté est incontournable. Par exemple, Facebook ou X constituent des canaux privilégiés pour pouvoir informer les consommateurs sur leurs nouveaux produits, les sonder,… et pour se démarquer de la concurrence afin de transformer ses clients en fans. Cette base peut vite se transformer en réseau avec une interactivité créant une grande base loyale.

7. Proposer de multiples moyens de paiement et avantages

Ainsi, les cartes et chèques cadeaux, points de fidélité, réductions et avantages, wallets, etc rencontrent toujours l’adhésion des clients. Pour rester performants, il est indispensable de proposer un véritable choix de moyens de paiement afin que chaque client puisse payer avec facilité au moment où il conclut un achat. Au moment du paiement, moment incontournable pour l’acheteur, si on l’accompagne de s’accompagne de réduction, cash back, cash front, avantages ciblés…), la confiance est gagnée et a des répercussions sur la relation client.

8. Développer sa notoriété, visibilité et crédibilité

Votre communication doit se révéler performante. Le caractère d’une société reste le point fort d’une relation client efficace. Il faut marquer les esprits avec son image, la marque, le graphisme et le logo de la société. Mais aussi n’hésitez pas à participer à des conférences, à proposer votre expertise aux journalistes, à multiplier les contacts.

Comment rendre vos salariés fans de votre entreprise ?

S’il existe bien une source de promotion de l’entreprise, ce sont bien vos salariés. Oui mais voilà, vous vous demandez peut-être comment faire en sorte qu’ils le deviennent car, bien évidemment, vous ne pouvez pas les forcer à devenir de vrais fans. Certaines entreprises ont réussi ce challenge et disposent d’un esprit d’entreprise hors du commun. Zoom sur ces bonnes pratiques qui peuvent vous permettre de faire de vos salariés des fans de votre entreprise.

Il apparaît que certains produits ou services récoltent plus facilement l’adhésion de salariés et que d’autres sont moins funs. Ainsi, votre entreprise doit devenir une entreprise où il fait bon vivre et travailler. Vous devez donc bien réfléchir tant sur le plan des horaires que des avantages à ce qui leur donnerait envie de devenir des fans et qui contribueront spontanément à votre notoriété.

Recruter des personnes déjà fans

Cela peut paraître tout simple mais si vous souhaitez avoir des fans, vous pouvez recruter parmi ceux qui vous suivent et aiment particulièrement ce que vous faites. Vous pouvez ainsi utiliser vos réseaux sociaux pour lancer vos annonces d’emplois ou encore mettre au défi ceux qui postulent afin de voir si leur motivation est hors du commun pour votre entreprise.

Parmi les pratiques remarquées, celles d’envoyer des vidéos mettant en scène vos fans avec vos produits pour postuler ou encore de faire dans l’originalité notamment pour tous les postes créatifs. Vous pourrez ainsi faire un tri entre les personnes qui ne sont pas motivées et celles qui le sont vraiment. Plus une personne passe de temps à vous créer une candidature spécifique, plus cela signifie qu’elle a un véritable intérêt pour votre entreprise. Lors de l’entretien, n’hésitez pas à vérifier ses connaissances sur votre société ou vos produits ainsi que sur les raisons   qui la motivent à vous rejoindre.

Cultiver un esprit d’équipe à tout prix

Pour que vos salariés deviennent fans de votre entreprise, encore faut-il qu’ils l’apprécient réellement. L’esprit d’équipe joue un rôle fondamental dans le bien-être des salariés. Personne n’aura envie de promouvoir une entreprise où il n’est pas heureux de venir ou des produits qu’il déteste. Vous devez faire en sorte que votre équipe soit le plus soudée possible et que l’entente soit la plus cordiale. Chacun doit venir avec le baume au cœur le matin au travail même si ce n’est pas toujours facile et pour cela pas de doute, vous devez faire en sorte que vos managers soient motivants et bien formés.

N’oubliez pas de mettre du sens et des valeurs

Pour qu’une personne devienne fan de votre entreprise, il faudrait déjà qu’elle ait envie que celle-ci atteigne ses objectifs et pas seulement accomplir son travail. Pour cela vous devez clairement indiquer quelle est la mission de l’entreprise c’est-à-dire le but qui va au-delà de faire tout simplement toujours plus de ventes et qui est enviable par chacun.

Si votre but est de faire en sorte de mettre du bonheur dans la vie de chacun par le biais de vos prestations ou encore de réduire la pauvreté dans le monde, c’est cela qu’il faut mettre en avant. Chacun doit vouloir que la mission de l’entreprise se réalise. De préférence, elle doit également adhérer aux valeurs de l’entreprise car celles-ci doivent lui parler au quotidien lors de la réalisation de ses différentes missions. Mettre en adéquation valeurs de la personne et missions de l’entreprise représente un des facteurs qui peuvent la rendre fan.

Faire dans la qualité

On peut dire tout ce que l’on veut mais rendre des personnes fans de votre entreprise, c’est également les rendre fans de vos produits/services. S’ils peuvent ne pas tout aimer, ils auront du mal à faire la promotion de ceux-ci s’ils les trouvent complètement nuls. Pas de doute, il vous faut miser sur la qualité et qu’ils soient fiers de pouvoir parler de vous à leurs amis ou à leurs familles.

Plus votre notoriété de marque sera forte et ce que vous vendez de qualité, plus ils pourront y adhérer. Même s’ils rencontrent des personnes qui dénigrent vos produits, certains n’hésiteront pas à se faire l’avocat de votre entreprise et pas seulement parce qu’ils y travaillent. Faites toujours en sorte que votre rapport qualité/prix soit optimal si vous voulez les rendre fans. Pas besoin de faire du luxe, il faut juste que ce dernier soit excellent ou que ce qui est à côté, le soit.

Créer une ambiance hors du commun

C’est bien ici la partie la plus difficile si vous souhaitez rendre vos salariés fans de votre entreprise. Il s’agit de créer une ambiance qui ne soit pas comme les autres avec une émulation sans pareille. Si vous pouvez bien sur travailler sur l’ambiance de vos locaux, les team-buildings et tout ce qui touche à la fédération, il s’agit de créer une véritable âme qui va au-delà de la normalité. Michel et Augustin ont su maîtriser presque parfaitement cet art et ils représentent un bon exemple de bonnes pratiques. Si tout n’est jamais parfait, vous pouvez en tout cas grandement vous en inspirer sur de nombreux points.

Que chacun y mette sa patte

Plus importants même que cette ambiance qui peut régner au sein de l’entreprise, vous pouvez également travailler sur l’appropriation de la société par chacun. Il ne suffit pas de vous contenter de faire en sorte que le but final soit désirable ou encore que chacun se retrouve dans les valeurs mais d’aller encore plus loin en faisant en sorte que la société soit une partie d’eux. Pour cela, rien de mieux que de confier des projets, de mettre en avant le droit à l’échec et de laisser chacun être force de proposition ou d’inviter à ce qu’ils en fassent.

Chacun doit contribuer à la réussite à sa manière en s’appropriant celle-ci si vous souhaitez pousser l’exercice plus loin. Ce travail peut aller de choisir tout simplement la décoration de l’entreprise ou certains objets jusqu’à en décider en partie la direction. Pour récompenser cette participation, rien ne vous empêche de donner des parts, de mettre en place de l’intéressement ou encore d’essayer de partager le bénéfice avec tous ceux qui sont véritablement impliqués.

Vous l’aurez compris, pour faire en sorte que vos salariés deviennent fans de votre entreprise, il ne suffit pas qu’ils cliquent sur le bouton « like » de Facebook mais véritablement qu’ils adhèrent à celles-ci et à ce que vous réalisez. Au-delà ils doivent se sentir bien dans l’entreprise et qu’elle soit un peu d’eux-mêmes. N’oubliez pas de partager avec vos fans 😉