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Améliorer son positionnement à l’achat : la gestion des frais généraux

Les achats de frais généraux ou les achats hors production rassemblent des dépenses très variées : fournitures, informatique, télécoms, prestations intellectuelles, intérim, maintenance, sécurité, voyages, accueil, logistique, emballages, énergies, etc. Ces achats sont souvent « le premier poste de dépenses de l’entreprise. Pourtant, c’est le moins organisé et contrôlé – du fait de sa dispersion : dispersion en familles hétérogènes d’une part et en points de consommation d’autre part ». (Xavier Leclercq, « Acheter mieux que ses concurrents »)

Des années de bouleversements

Cette dernière décennie, les directions achats ont su faire face à de nombreuses crises successives (Covid, guerre en Ukraine, inflation, etc.) qui ont impacté leurs approvisionnements et redéfini leurs relations fournisseurs. Acheteurs comme fournisseurs ont été pris dans la tourmente des tensions sur la supply-chain, des menaces de ruptures d’approvisionnement au regard du contexte géopolitique et sanitaire. Il s’agissait d’assurer la survie de son entreprise. En 2024, les relations entre fournisseurs et directions achats ont affronté de nouvelles complexités.

La publication de la 15ème édition de leur enquête « Tendances et priorités des Départements Achats », AgileBuyer et le Conseil National des Achats met en relief le fait que  la priorité des services achats se  situe dans la réduction des coûts, ainsi que leurs leviers et indicateurs de performance… 

En ce qui concerne, le secteur privé, les entreprises industrielles (automobile, métallurgie, textile, énergie…) ont dans leur ADN cet objectif en raison du fait que les achats représentent 75 à 95 % du chiffre d’affaires pour les entreprises industrielles, contre 35 à 65 % pour les entreprises de services.

En ce qui concerne le secteur public, il est devenu une priorité en raison des budgets qui sont restreints.

Le processus d’optimisation de l’efficacité achat

Un processus correct d’augmentation de l’ « efficacité achat » commence par une analyse des ressources humaines et financières concernées. Elle continue par l’élaboration d’une stratégie d’achats en s’appuyant sur un certain nombre de leviers d’actions : professionnalisation des achats hors production, standardisation et, implicitement, le regroupement des achats, baisse des prix par la négociation, rationalisation du portefeuille fournisseurs, modification des spécifications pour un produit ou service, etc.

Quelle que soit la taille de l’entreprise, la mise en place d’un plan de réduction des frais généraux est une opportunité pour fonctionner avec des moyens plus économiques et améliorer son positionnement à l’achat de frais généraux.

Les limites de la négociation en interne

Le concept de positionnement achat est ambigu et peu usité. À l’opposé des ventes qui se caractérisent par une certaine transparence, les achats fonctionnent toujours sous un régime de confidentialité. Cependant, après avoir recours à tous les leviers d’amélioration de la performance reste toujours la question – est-ce que j’achète mieux ou au moins au même prix que mes concurrents ? 

Des solutions pour se renseigner sur le niveau des prix obtenus par les concurrents n’existent vraiment pas. Mais une solution pour acheter à des prix identiques à ceux des autres acteurs du marché existe. Il s’agit de la mutualisation – une stratégie d’achat moderne, flexible, qui dépasse les limites de la négociation en interne.

La mutualisation : des économies substantielles jusqu’à 50%

Grâce à la massification de volumes, la mutualisation offre aux grands groupes, aux PME ou aux TPE l’accès à des conditions tarifaires très intéressantes et à une bonne qualité de service, en facilitant la réalisation d’économies substantielles (jusqu’à 50% sur certaines familles d’achats par rapport au prix du marché). Au-delà des gains économiques directs, la mutualisation permet de réaliser aussi des économies indirectes par la diminution des coûts cachés (temps passé, manque d’expertise sur un domaine, risque juridique etc.). 

N’attendez pas que votre entreprise soit en difficulté pour penser à la réduction des coûts et, notamment, à la mutualisation. Les opportunités d’un projet de mutualisation sont nombreuses et variées, vous permettant d’intégrer un réseau actif de professionnels, de partager de bonnes pratiques, de découvrir des solutions adaptées à des problèmes collectifs, de confier la négociation à une structure collective pour se concentrer sur son métier principal. Et cela en gardant à 100% votre autonomie achat.

A vous maintenant de voir si vous désirez optimiser !

Comment motiver son équipe autrement que par le salaire ?

Un travail rémunérateur ne suffit pas à motiver une équipe au sein d’une entreprise. Les salariés qui la composent constituent une communauté à part entière. Cette communauté joue un rôle considérable dans le développement de la société. Pour qu’elle puisse pleinement assurer son rôle, il faut la motiver. Différents moyens permettent d’y parvenir.

L’enquête Salary Budget Planning de WTW révèle une prévision médiane d’augmentation salariale de 3,5% en France en 2025.  En 2024, l’augmentation médiane des salaires a dépassé l’inflation prévisionnelle (2%), atteignant 3,8%, malgré une baisse par rapport à 2023 (4,3%). Ce chiffre reste supérieur à la moyenne observée entre 2010 et 2020 (2,5%). Cependant, près de 47% des entreprises ont réduit leurs budgets d’augmentation, influencées par une inflation en recul et des résultats financiers moins favorables.

En France, seules 25% des entreprises prévoient des hausses dépassant 3,9%, tandis qu’un quart envisagent moins de 3%.

La communication

Toutes les stratégies de motivation se basent sur la communication. Entre collaborateurs de même statut, cette communication se passe facilement. Ce qui n’est pas le cas pour le dirigeant ou le manager et ses subordonnées. Le manager doit savoir communiquer avec ses employés pour que ceux-ci puissent s’impliquer à fond dans un projet, que ce soit dans le cadre de son établissement, de sa mise en œuvre ou de son suivi.

La confiance

Le succès de l’entreprise repose sur l’existence d’une relation saine non seulement entre collaborateurs, mais surtout entre le manager et ses subordonnées. Pour instaurer une telle relation, ils doivent se faire confiance. Des experts en psychologie recommandent aux managers d’accorder leur confiance à leurs subordonnés de sorte que ceux-ci puissent profiter d’une vie professionnelle épanouie, et ainsi cultiver un degré de motivation élevé, afin de générer des conséquences positives sur la vie de l’entreprise.

La responsabilisation

En principe, un employé intègre à qui le manager a accordé sa confiance se sent systématiquement responsable. Ainsi, incité et encouragé, il sera plus enclin à fournir plus d’efforts et à travailler avec efficacité et fiabilité. De son côté, le manager doit créer des tâches permettant à ses collaborateurs de se sentir utiles et indispensables dans le développement de l’entreprise. La forte implication d’un salarié dans la réalisation d’un projet quelconque constitue une garantie non seulement pour lui, mais surtout pour le manager.

La mise en place d’une relation sociale harmonieuse

Il n’y a rien de plus motivant que de travailler au sein d’une entreprise dotée d’un environnement sain et harmonieux. L’adoption d’une attitude positive, dynamique et très sociable s’avère indispensable pour le manager, et il doit savoir les transmettre à ses collaborateurs. Aussi, la transmission de ces impulsions ne suffit pas, il faut qu’il manifeste une reconnaissance par rapport aux efforts fournis par ses subordonnés en leur octroyant des journées de repos ou en organisant des repas ou des soirées entre collègues. 

Motiver son équipe en période de crise

Les stratégies à adopter en période normale diffèrent de celles que le manager doit mettre en place en temps de crise. Quand l’entreprise traverse des difficultés, les salariés ont besoin de faire l’objet de remobilisation. Le manager doit établir de nouveaux programmes permettant de concilier les intérêts de la société et ceux de ses collaborateurs. Les difficultés de l’entreprise affectent directement le personnel. Dans ce contexte, le manager doit disposer d’un sens de partage de sorte à ce que ses collaborateurs puissent comprendre la réalité au sein de l’entreprise. Aussi, il doit leur expliquer clairement ce que l’entreprise attend d’eux. Le soutien du manager s’avère indispensable pour encourager les collaborateurs à continuer à assurer leur rôle et à respecter leur engagement. À la fin, le suivi de l’évolution de la situation demeure incontournable.

Attirer et retenir les talents 

En 2025, attirer et fidéliser les talents reste un défi majeur pour les entreprises.  Pour relever ces défis, les entreprises multiplient les initiatives stratégiques. L’amélioration de l’expérience des salariés constitue une priorité pour 80% des employeurs, tandis que 73% investissent dans des programmes d’équité, de diversité et d’inclusion. 

Ces efforts vont surement s’intensifier avec la Directive Européenne sur la transparence des rémunérations, qui renforcera les exigences d’équité salariale d’ici 2026. 

Par ailleurs, 66% des entreprises misent sur la formation et le développement des compétences, essentiels pour répondre aux attentes des talents.

Le travail flexible, une solution ?

Le travail flexible, notamment le télétravail, séduit également les employeurs : 55% adoptent des pratiques adaptées pour les collaborateurs et les managers. Ces stratégies, combinées à une augmentation des dépenses salariales, visent à renforcer l’attractivité des entreprises. 

En 2025, la clé réside encore une fois dans l’agilité des entreprises : elles doivent allier rémunérations attractives, politiques inclusives et opportunités d’évolution pour rester compétitives.

Les 10 astuces pour créer une forte identité de marque

Nous constatons depuis un certain temps que certaines marques qui se trouvaient en haut du podium grâce à leur identité de marque se retrouvent honnies et doivent parfois même changer de nom et de slogan. Mais quels sont les  principes essentiels à respecter ?

L’identité de la marque est un  passeport

Celui-ci permet à une marque d’être reconnue instantanément quel que soit le lieu où l’on se trouve mais aussi d’être reconnue par les clients seulement à l’évocation de votre nom ou à la vision de votre logo. C’est-à-dire son importance cruciale

Tout entrepreneur désirant s’installer sur un marché doit bénéficier, au départ, d’une identité pour sa marque qui va l’asseoir auprès du public de manière durable.

S’appuyer sur des valeurs

Pour développer une identité, il est bon de promouvoir certaines valeurs. L’entreprise a un objectif de profits tout à fait logique. Néanmoins, elle reste une activité humaine qui doit être porteur de sens, en interne comme auprès de ses clients et prestataires. Cela peut être le développement durable, l’innovation, l’authenticité selon l’activité pratiquée.

Faire simple

Pour une identité de marque efficace, il faut la penser en termes de clarté. L’idéal, c’est qu’à partir du nom, le public puisse déjà imaginer le service proposé, ce qui a l’avantage de sélectionner tout de suite une clientèle potentielle. Cela va peut-être limiter son impact en termes de quantité, mais chaque personne sensibilisée mémorisera d’autant plus l’identité véhiculée.

Slogan ou pas ?

Songer à un slogan, une signature, est très commun et souvent efficace. Toutefois l’idée peut rapidement alourdir la campagne de visibilité. Si le nom de l’entreprise annonce déjà l’activité, ou que graphiquement le message passe déjà bien sans slogan, on peut s’en passer. Avoir une signature en tête pour définir l’identité n’implique pas de devoir forcément la faire figurer.

Le visuel

Le travail graphique est essentiel à toute identité. Aujourd’hui l’information passe vite et capte de moins en moins l’œil humain. Il faut être percutant et assez original pour rester dans la mémoire. Une entreprise ne saura faire l’économie d’un logo graphiquement moderne.

Quels professionnels choisir ?

Une grande professionnalisation caractérise les métiers de la communication. Un concepteur-rédacteur n’est pas un graphiste, un web designer n’est pas forcément un designer. Par rapport à l’ambition initiale et aux supports destinés à recevoir l’identité de la marque, l’entrepreneur va devoir choisir à quel type de professionnels s’adresser selon ses besoins, pour éviter de perdre du temps et/ou d’être déçu.

De la cohérence

L’identité visuelle de la marque ne doit pas être pensée seulement  de façon graphique. Il faut cependant que cela réponde à une stratégie de communication. Est-ce que des indications sur l’activité doivent intégrer le design, le nom doit-il entièrement faire partie du logo, quelles couleurs vont parler au client ? Tout cela dépend du marché sur lequel on compte agir et de la concurrence qui y règne.

Penser dans le temps

Une identité de marque est attachée à l’entreprise, certes. Il est quand même nécessaire de prendre en compte le besoin d’évolution du graphisme. Ainsi, au moment de son élaboration, il est bon d’imaginer quelles peuvent être les éléments perfectibles par la suite, même si l’on ne prévoit pas de changement avant de longs mois. Au moment où, pour une raison ou une autre, le logo sera amené à être modifié, on saura déjà quels espaces peuvent être malléables.

L’utilité des déclinaisons

Dans la même veine, il peut être intéressant de prévoir des déclinaisons possibles pour l’identité de la marque. Pour une entreprise agissant auprès de plusieurs marchés, ou qui pourrait être amenée à le faire, le logo doit suivre. Chaque corps de métier (ou support, selon la destination des déclinaisons) va se voir attribuer une personnalisation à partir d’un même logo, qui va le rattacher à l’entreprise originelle tout en reconnaissant sa spécificité. 

Généraliser son utilisation

Dès que l’identité graphique est définie, il faut s’en servir partout. Elle doit résolument s’attacher à l’entreprise. Plaquettes de présentation, papier à en-tête, signature de mailing, icônes sur les réseaux sociaux, c’est à ce prix qu’elle sera promue, jusqu’à devenir une évidence pour le public. 

Se protéger de toute défaillances juridiques

Ce n’est pas forcément évident, mais il existe des instruments juridiques permettant de se protéger du plagiat. Une identité de marque est une œuvre, conçue à partir d’une idée et qui est propre à l’utilisateur. Même si le risque apparaît incertain, il ne faut pas hésiter à définitivement rattacher cette image à son entreprise.

Se construire avec le freemium

Le freemium est une opportunité de business qui n’est guère à sous-estimer. Il permet sans dépenser davantage de publicité de proposer des offres alléchantes et ainsi de tisser un lien pérenne avec les clients Nombreuses sont les entreprises à se développer en se basant sur la gratuité pour tester leur concept. Encore faut-il savoir comment le mettre en place. 

Le freemium s’est imposé comme stratégie pour fidéliser des clients.

Rendre addictif les clients au produit ou service, tel est le pari de plus d’une entreprise. D’ailleurs, si vous avez goûté à un logiciel pour votre sécurité, il vous sera proposé de manière systématique d’acquérir une protection plus grande grâce à un abonnement modeste supplémentaire. Il en va de même de la presse qui après vous avoir alléché par un début d’article très intéressant vous incite à continuer votre lecture par un abonnement ou par une donation. Le freemium est un modèle très prisé ces derniers temps. 

Comment définir le freemium au juste ?

Le freemium trouve son origine dans le mot « free » qui signifie « gratuit » et « premium » qui renvoie à une offre haut de gamme. Ce modèle économique repose sur la mise à disposition d’un produit ou service. Il est à la base gratuit afin d’attirer un maximum d’utilisateurs. Le concept ne s’arrête pas là ! En proposant des fonctionnalités plus étendues, il vise à transformer un simple utilisateur en client pour le même type d’offre mais plus évoluée et surtout, payante. L’essor de l’innovation mais aussi des nouvelles technologies permet l’émergence de ce business model. Le modèle freemium est devenu le modèle le plus utilisé par les entreprises sur le web, Internet étant le meilleur canal de distribution pour ce type de fonctionnement.

Les différents types de freemium

Celui de la durée dans le temps donne droit aux utilisateurs d’utiliser le service sans réserve pendant un temps donné. Le consommateur doit toutefois se rendre compte rapidement de l’intérêt de l’offre de façon à adhérer à l’offre payante, c’est ce que propose par exemple le leader des logiciels graphiques : Adobe. Un autre type de freemium repose sur la restriction de certaines fonctionnalités. La version gratuite doit être intéressante. Elle reste limitée dans son utilisation de manière à pousser l’acheteur à adopter celle plus évoluée pour acquérir des fonctions plus avancées. Ce modèle est très prisé des jeux vidéo en ligne comme onlinefootballmanager qui permet de faire payer les joueurs les plus férus.

La limitation en volume consiste à faire payer les consommateurs au-delà d’un certain volume utilisé : on y reconnaît les logiciels d’envoi emailing comme SendinBlue. Plus subtil, un autre type de freemium, passant par une offre numérique, vise à inciter l’utilisateur à acheter la version physique du produit ou service proposé. C’est le cas des e-books qui font découvrir divers ouvrages. Le consommateur achètera la version papier pour son aspect authentique. Plus récemment , des plateformes proposent seulement des extraits de livres ou de musiques. Pour avoir accès à la totalité du contenu, l’utilisateur doit payer un complément. Un autre principe découle de l’appel aux dons. Il est question de mettre l’ensemble du contenu à disposition des internautes et de leur proposer de faire des donations dont ils peuvent choisir le montant comme Wikipédia. Notez que ces modèles peuvent être financés entièrement ou partiellement par la publicité.

Les conditions de la mise en place d’un business model freemium

Tout d’abord, l’offre doit toucher un grand nombre d’utilisateurs. La base de référence de consommateurs gratuits doit être la plus étendue et la plus large possible afin de maximiser les chances d’obtenir, sur ce modèle, un taux de conversion important. Plus ils utilisent le service gratuit, plus les probabilités pour qu’ils adhérent à celui payant sont élevées. Mais ce n’est pas le tout. Vous ne devez pas oublier que si l’acquisition est difficile, la fidélisation représente également un défi.

Un modèle qui détient ses limites

La majorité des échecs sur la base d’un modèle freemium, ont pour origine une cause similaire. Le seuil de rentabilité est long à atteindre. Le taux de conversion croît lentement au début en raison du faible nombre de personnes utilisant le service. Sa croissance dépend en effet de l’évolution de sa viralité. Il faut donc prendre en compte le temps de retour sur investissement, ce qui n’est pas toujours facile à gérer pour l’entreprise. S’ajoute à cela le coût d’acquisition de nouveaux utilisateurs : campagne de communication… Vous devez ainsi garder à l’esprit qu’opter pour ce type de modèle demande de la patience avant d’atteindre le seuil de rentabilité. De nombreuses entreprises échouent car elles ne parviennent pas à maintenir l’équilibre financier durant cette phase cruciale.

Quand le freemium sort du web …

Récemment, plusieurs entreprises ont adopté ce modèle, et ce, hors de la sphère d’Internet. Le coût engendré par la gratuité du service n’est toutefois pas négligeable. Pour permettre une certaine viabilité du modèle choisi, ce coût doit osciller aux alentours de zéro, mais il doit aussi décroître. Autrement, pour compenser, vous serez obligé d’augmenter le prix du service payant afin de couvrir ces dépenses. Un prix trop élevé baisserait considérablement le taux de conversion et donc le nombre de clients. Cette augmentation viendrait impacter le développement de votre entreprise, son chiffre d’affaires remettant en cause fortement la viabilité du business model.

Les bonnes résolutions 2025 à prendre !

Nous sommes en 2025 ! Enfin ! Toute l’équipe de Dynamique Entrepreneuriale vous souhaite une belle et heureuse année ! Pour bien commencer 2025, voici 50 exemples de bonnes résolutions que vous pouvez prendre pour faire fleurir votre business.

ChatGpt offre de nombreuses opportunités et donc n’hésitez par à l’utiliser dans toutes vos résolutions

Les ventes 

  1. Développer les ventes. 
  2. Mettre en place un CRM efficace / un suivi client efficace
  3. Améliorer vos techniques de vente
  4. Mettre à jour votre fichier client
  5. Fidélisez davantage vos clients. 
  6. Développer un nouveau canal de vente. 
  7. Améliorer la performance de vos outils commerciaux
  8. Mieux vous former à la vente
  9. Identifier vos clients clés
  10. Obtenir un fichier commercial de qualité / Créer un fichier client efficace

La gestion 

  1. Mettre en place des processus
  2. Tenir tous vos documents à jour
  3. Convoquer rapidement l’assemblée générale 
  4. Clôturer vos comptes rapidement
  5. Mettre en place des indicateurs de performance
  6. Vous augmenter 
  7. Vérifier vos marges
  8. Automatiser certaines tâches
  9. Mettre en place un outil comptable 
  10. Dématérialiser certaines de vos actions

Vos salariés

  1. Mieux traiter mes salariés
  2. Diminuer votre turn over
  3. Recruter des profils excellents 
  4. Augmenter vos salariés
  5. Mettre en place des avantages comme les titre restaurants / Chèque cadeau
  6. Créer un CE 
  7. Acheter des éléments de décoration pour une bonne ambiance
  8. Créer un évènement d’entreprise / faire un teambuilding
  9. Développer une cellule du bonheur
  10. Renforcer l’esprit d’équipe. 

La communication

  1. Vous faire enfin connaître et passer dans les médias
  2. Développer une belle image de marque
  3. Faire le buzz 
  4. Mettre en place des outils de communication interne
  5. Créer un nouveau logo qui cartonne 
  6. Devenir un orateur hors pair
  7. Participer à davantage de conférence en tant qu’intervenant
  8. Développer une newsletter
  9. Amplifier votre présence sur les réseaux sociaux
  10. Mettre en place une charte graphique

Le niveau global de l’entreprise 

  1. Faire en sorte que l’entreprise devienne plus rentable
  2. Mettre davantage l’entreprise en cohérence avec ses valeurs
  3. Faire en sorte que votre entreprise contribue à améliorer le monde
  4. Développer davantage de sens
  5. Développer votre entreprise à l’international
  6. Renforcer votre présence locale
  7. Devenir le leader incontestable de votre domaine
  8. Faire en sorte que votre entreprise soit considérée comme la meilleure au monde
  9. Améliorer votre produit/ prestation 
  10. Devenir un exemple à suivre

Cette liste est loin d’être exhaustive et vous pouvez penser à tous les domaines de l’entreprise. Mais celle que nous vous souhaitons de réussir est la suivante : être heureux et rendre les gens heureux !

Aménager le temps de travail des salariés

Si l’entreprise rencontre des périodes de haute et de basse activité, elle peut aménager les temps de travail, sur une période supérieure à la semaine et fixée au maximum à 3 ans. Durant cette période, le salarié peut être conduit à travailler plus ou moins de 35 heures par semaine, en fonction de l’activité de l’entreprise. Cependant, la mise en place de l’aménagement des horaires dépend de l’existence ou non d’un accord collectif.

Attention ! La crise sanitaire a joué un rôle important.

Selon la DARES, en 2020, 10 760 textes conclus au niveau entreprise, dont 76 % d’accords et avenants, sont relatifs à la crise sanitaire liée au Covid-19. Cela représente 13,5 % des textes enregistrés entre mars et décembre. Un tiers de ces textes sont conclus par des entreprises employant moins de 50 salariés. La part de décisions unilatérales de l’employeur est plus importante que pour les textes non liés à la crise. Parmi les accords et avenants, la proportion de ceux qui sont approuvés à la majorité des deux-tiers des salariés est plus faible. Le temps de travail est abordé dans plus de la moitié des accords, avec une grande majorité consacrée à la fixation des congés. Le thème salarial concerne un texte sur cinq.

Les accords prévus en 2008

Il faut tenir compte des accords prévus avant le 21 août 2008 et après le 21 août 2008, date de la nouvelle réglementation. Tout accord collectif de répartition des horaires de travail conclu avant le 21 août 2008 reste applicable tant qu’il n’est pas remis en cause par les organisations qui l’ont signé. L’accord signé prévoit le travail par cycle, ou la modulation du temps de travail, ou des journées de réduction du temps de travail (RTT).

Aménager le temps de travail par accord collectif

Selon la loi du 20 août 2008, applicable dès le 21 août, un chef d’entreprise peut négocier un accord collectif pour organiser la répartition des heures de travail de ses salariés, pour une période supérieure à la semaine mais n’excédant pas l’année. Cet accord collectif doit stipuler :

  • Les délais d’information des changements de durée ou d’horaires de travail, ainsi que les conditions y afférentes,
  • Le mode de décompte des heures supplémentaires,
  • Les conditions de rémunération des employés,
  • Les conditions de prise en compte des arrivées, des départs et des absences durant la période donnée.

Le comité d’entreprise et l’affichage

Ce dispositif doit impérativement être avalisé par le comité d’entreprise ou les délégués du personnel, dès sa première application et pour chaque modification. L’employeur est tenu d’afficher cet accord collectif dans son entreprise et bénéficie d’un délai de prévenance de 7 jours pour chaque changement de durée ou d’horaire de travail.

Les variations de temps de travail

Selon la réglementation, l’aménagement du temps de travail prévoit une durée et des horaires de travail selon les semaines. Par exemple, en cas de forte activité durant une période connue à l’avance, le salarié peut être amené à travailler plus de 35 heures durant certaines semaines, puis moins de 35 heures les semaines suivantes.

Ces variations de durée du travail sont prévues sur une période, appelée période de référence, dont la durée est fixée dans l’accord. Cette période de référence est supérieure à la semaine et ne peut pas dépasser 1 an. Toutefois, si un accord de branche le prévoit, la période de référence peut être supérieure à 1 an, dans la limite de 3 ans.

L’aménagement à bien considérer

L’aménagement du temps de travail ne peut pas être considéré comme une modification du contrat de travail. Ainsi, la modification des horaires de travail ne peut pas être refusée par le salarié.

Aménagement du temps de travail sans accord collectif

Si l’employeur n’a pas recours à l’accord collectif, il peut toutefois aménager le temps de travail de ses salariés sur des périodes de travail n’excédant pas 4 semaines. Il est alors tenu d’établir ce que l’on appelle un programme indicatif de la variation de la durée du travail, programme, qui tout comme l’accord collectif, doit obtenir l’aval du comité d’entreprise ou des délégués du personnel avant sa première application et pour toute modification.

Quel est le délai de prévenance ?

Le délai de prévenance pour chaque changement d’horaires de travail est d’au moins 7 jours ouvrables avant mise en œuvre. Une fois par an minimum, le chef d’entreprise est tenu de présenter un bilan de la mise en œuvre de son programme indicatif au comité d’entreprise ou aux délégués du personnel.

Modulation du temps de travail

La modulation du temps de travail permet de répartir la durée du travail sur tout ou partie de l’année, en fonction de l’activité. Les horaires de travail sont augmentés en période de haute activité et réduits en période de basse activité. La durée de travail ne doit pas dépasser 1 607 heures par an (ou moins, si la convention ou l’accord le prévoit).

Lissage des salaires

Bien que leurs horaires de travail puissent donc fluctuer, le lissage des salaires a été prévu afin de garantir une rémunération stable aux employés. L’accord collectif doit alors prévoir un salaire à l’année, qui sera divisé et perçu chaque mois par l’employé. En cas d’absence d’accord collectif, la rémunération mensuelle des salariés est indépendante de l’horaire réel et est calculée sur la base de 35 heures hebdomadaires.

Horaires individualisés

À la demande de certains salariés, notamment les personnes handicapées ou celles accompagnant des personnes handicapées, âgées ou dépendantes dans leur sphère privée, l’employeur peut déroger aux horaires collectifs de travail et donner droit à des horaires individualisés.

Cet aménagement d’horaires individualisés doit préalablement être soumis au comité d’entreprise ou aux délégués du personnel, ainsi qu’à l’inspection du travail. Le salarié pourra ainsi être libre de ses heures d’arrivée et de départ du bureau, tout en respectant la durée légale de travail, et pourra bénéficier de reports. Les heures reportées par choix du salarié ne sont ni comptées, ni rémunérées en heures supplémentaires. Les horaires individualisés peuvent entraîner des reports d’heures d’une semaine sur l’autre.

Ces reports sont déterminés par accord collectif d’entreprise ou d’établissement (ou, à défaut, une convention ou un accord de branche). En l’absence d’accord ou de convention, le nombre d’heures pouvant être reportées d’une semaine à une autre est fixé à 3 heures maximum. En cas de cumul, le nombre maximal d’heures pouvant être reportées est fixé à 10. Toutefois, un accord collectif d’entreprise ou d’établissement (ou, à défaut, une convention ou un accord de branche) peut prévoir un nombre maximal d’heures reportées différent (supérieur ou inférieur).

Faites confiance à vos équipes

Si une entreprise était le rassemblement de clones, elle ne pourrait pas se développer. En effet, chaque poste requiert des qualités différentes. Ainsi un comptable devra être rigoureux et un créatif posséder de l’imagination.  Or faire confiance à des personnes si différentes et parfois à l’opposé de son caractère a pour condition sine qua non n’est guère une chose aisée. Focus pour établir une confiance sans faille dans vos équipes.

Difficile de faire confiance aux autres quand votre personnalité vous incite à tout contrôler

Faire confiance à ses équipes dépend de multiples facteurs aussi bien sur le plan personnel, sur le plan de l’organisation du travail que celui de développer un management efficace et performant qui vous oblige à devenir un leader que l’on a envie de suivre. Votre confiance se situe déjà dans le choix du recrutement et implique d’engager dans la diversité pour avoir le maximum d’idées novatrices et de ne cesser de se remettre en question pour inspirer ses équipes. 

Engagez meilleurs que vous.

Une entreprise qui marche, c’est avant tout une entreprise avec des collaborateurs qui sont efficaces. Quand vous pensez recrutements, n’oubliez pas qu’il s’agit d’investissements et qu’il faut souvent s’entourer des meilleurs pour que l’entreprise aille plus vite. Laissez votre égo de côté et ne cherchez pas des profils qui ne feraient que vous remplacer sans apporter de valeur ajoutée. Dans tous les cas, vous ne pouvez pas être le plus compétent partout et vous ne pouvez pas tout faire. Choisissez, parmi les candidats qui se proposent à vous, ceux qui possèdent des compétences ou savoir-faire que vous ne possédez pas. Si l’idée peut effrayer certains entrepreneurs, ces nouveaux éléments vont vous permettre de challenger votre boite et lui apporter des améliorations et progrès auxquels vous n’aviez peut-être pas songé.

Gardez à l’esprit que la performance ne reste pas le seul critère et que les nouvelles recrues devront partager les mêmes valeurs que vous. Le recrutement demeure un choix difficile et il vous faudra vérifier que les nouveaux collaborateurs sont également un excellent apport dans la dynamique d’équipe. Surtout ne recrutez pas des personnes qui ne s’adapteraient pas à la culture d’entreprise et à vos valeurs.

N’oubliez pas qu’une entreprise est avant tout un groupe de personnes.

Une entreprise ne se caractérise pas simplement par ses locaux ou encore son business model. C’est dans l’exécution globale qu’elle prend toute sa dimension. Elle demeure avant tout un groupe de personnes qui œuvre dans une même direction. Les hommes et les femmes qui la composent créent la valeur des services ou des produits. Au risque de répéter à nouveau ce qui a été dit précédemment, les dirigeants ne doivent pas uniquement porter leur attention sur la rentabilité de la société, si importante soit-elle !

Le management représente une des clés de la réussite des entreprises et les rapports au sein d’une équipe conditionnent souvent son efficacité. Doutes, frustrations, jalousies, problèmes personnels, questions… peuvent rapidement affecter la performance de l’entreprise. Pour éviter une perte de productivité, injectez de la bonne humeur et faites en sorte que les agrégats de personnalités et d’égos ne détruisent pas votre entreprise. Mettez en place des activités qui fédèrent vos équipes. Vous ne savez pas comment évaluer ? Le pourcentage de turnover constitue souvent un bon indicateur.

Faites un minimum confiance à votre équipe.

Une chose est sûre, vous ne pouvez pas tout faire et tout contrôler ! Plus la structure grandit, plus il vous sera difficile de savoir ce que chacun accomplit. Apportez votre confiance à votre équipe peut la stimuler et intensifier son envie de travailler pour vous montrer qu’elle est digne de votre confiance. Un entrepreneur est avant tout quelqu’un qui sait déléguer les tâches pour lesquelles il ne sera pas efficace. Mais la délégation peut être un art compliqué car la perte de contrôle est toujours anxiogène.

Si vous n’arrivez pas à faire immédiatement confiance, commencez par déléguer étapes par étapes certaines tâches qui vous paraissent les moins risquées. Regardez si l’exécution se déroule bien et si vos salariés s’exposent à la prise de risque. Puis donnez des tâches de plus en plus importantes au fur et à mesure que la confiance s’installe. N’oubliez pas de communiquer ouvertement et honnêtement avec chacun des membres, tout en leur accordant la même liberté. Ne soyez pas intransigeant et laissez le droit à l’erreur.

Essayez de ne plus être indispensable.

Aussi étrange que cela puisse paraître, votre but doit être de créer une entité qui puisse fonctionner sans vous. Pourquoi ? Parce que si votre structure dépend trop de vous, il se pourrait bien qu’elle ne survive pas ou qu’elle se porte mal quand vous êtes en vacances ou bien si vous tombez malade. Prenez d’abord en compte que « Personne n’est irremplaçable », y compris vous. Si cela ne vous dédouane pas ou ne doit pas vous permettre de fuir vos responsabilités, vous devez comprendre comment autonomiser votre business et le rendre flexible en toute occasion. Ceci afin que chacun de vos départs à l’étranger ou chacune de vos absences ne se transforme en véritable calvaire pour vos équipes et que vos vacances vous permettent véritablement de vous ressourcer.

Identifiez les personnes compétentes

Pour y arriver, vous devrez d’abord identifier les personnes de votre équipe qui sont compétentes et auxquelles vous pouvez déléguer certaines tâches. Prenez en compte qu’une entreprise qui tourne sans son dirigeant demeure une entreprise saine qui a appris à marcher avec ses deux pieds. Lâchez prise afin que l’entreprise tourne correctement quand vous n’êtes pas là et que vous puissiez vous consacrer au futur développement et à l’analyse de la stratégie.

Inspirez votre équipe.

Pour que vos équipes vous suivent et vous aident dans le développement de l’entreprise, n’oubliez pas qu’ils doivent adhérer à vos valeurs. Inutiles de les inventer et d’en avoir une pléthore, elles doivent être le reflet d’un vrai sens des valeurs que vous incarnez et ont pour fonction de soutenir la stratégie de l’entreprise mais servent à les conduire dans une direction. Pour renforcer votre impact, racontez-leur l’histoire de la vie de l’entreprise.

Utilisez le storytelling afin de montrer le succès de votre entreprise auprès de vos clients, des investisseurs, des médias mais encore plus auprès de vos équipes ! Elles seront amenées à se rassembler autour d’un même projet et d’une même vision ! Les histoires font voyager beaucoup plus loin que vous ne le pensez et vous projettent dans l’avenir. En créant une aventure dont ils font partie, vous leur donnez de l’audace. Pour cela vous devrez rendre savoureuse votre histoire afin d’attiser chez vos collaborateurs l’envie de participer à écrire la suite et d’en faire partie.

Rentrée : partez sur de nouvelles bases avec votre équipe

Revenir au bureau après les vacances de Noël et du jour de l’an peut se révéler éprouvant car chacun se souvient d’une fin d’année sous  pression. Changement de rythme et d’état d’esprit : il faut se préparer. Avec une bonne préparation, il est quasi impossible que vous succombiez au stress de la rentrée. L’idéal est de capitaliser toute cette énergie pour ajuster l’organisation ou mettre en place d’autres règles, le tout dans la bonne humeur. Voici 5 étapes pour y parvenir.

1. Prendre vous-même le temps de redéfinir les priorités

La veille de la reprise au plus tard, réfléchissez à ce qui fonctionne ou pas dans l’entité. Vous devez remettre les choses à plat par écrit. Par la suite, dégagez des objectifs accessibles et réalisables en trois mois. Vous devez donc bien choisir les objectifs qui vous semblent le plus réalisables par votre équipe, autrement dit, des objectifs essentiels pour votre entreprise. Évitez de projeter sur le long terme, trois mois sont largement suffisants. Vous devez donner à votre équipe les moyens de pouvoir atteindre leurs objectifs et par la même occasion repérer les aménagements prioritaires : améliorer la circulation de l’information, dynamiser les réunions, organiser des groupes de travail, mieux partager l’administratif.

2. Engager chacun à se mettre à la tâche 

Le premier jour est crucial pour votre équipe. Vous devez donc faire en sorte de limiter le bavardage ‘vacances’. Tout le monde aura surement quelque chose à se raconter et pour éviter cela, vous devez leur envoyer un mail pour leur souhaiter un bon retour puis un deuxième mail pour leur demander à quelles tâches, ils vont s’atteler dès aujourd’hui et dans la semaine. Vous canaliserez ainsi à votre profit leur tonus et leur excellente disposition d’esprit. Ainsi, chacun se met au travail sans perdre un instant. Vous pouvez proposer de se retrouver le lendemain pour un petit déjeuner studieux. Vous pouvez aussi lancer un projet neuf, et expliquer le rôle de chacun. 

3. Faire des « entretiens de reprise »

Afin de maintenir la dynamique, vous devez trouver le temps de faire un échange avec tout le monde dans la première semaine. L’entretien durera au minimum 20 minutes. Vous parlerez de ce que votre collaborateur doit encore faire pour devenir plus performant afin de le recentrer sur une attitude plus collaborative. Vous pouvez inciter le collaborateur à contribuer davantage au projet dont il est responsable et lui demander d’être force de propositions.

4. Se tenir à un contrôle rigoureux

Vous devez penser à cette devise : « Je ne respecte que ce que j’inspecte ». Dans l’état d’esprit du convivial, vous pouvez décider avec l’équipe de prendre 10 minutes tous les derniers jeudis du mois par exemple. Vous serez par exemple autour d’un café et d’un croissant pour faire le point. Prévoyez aussi une suite aux entretiens de reprise. En deuxième semaine, en fin de mois, puis plus tard, évaluez les progrès de chacun. Allez droit au but sur les absences en réunion, les retards le matin ou la contribution à tel ou tel sujet.

Soyez toujours à la recherche de nouvelles idées et nouvelles opportunités et pendant les vacances les collaborateurs y ont certainement réfléchi. Profitez pour dialoguer avec eux pour que vos échanges soient fructueux et que vous repartiez vers de nouveaux horizons prometteurs.

5. Réaliser un brainstorming avec vos équipes

Rien de plus efficace que de réaliser un mind mapping pour obliger chaque personne de vos équipes de s’impliquer et de leur permettre d’exprimer de nouvelles idées. Trouver ainsi les failles qui empêchent l’entreprise de se développer avec brio. Certes,, la remise en question pour vous risque d’être douloureuse mais avec le temps, elle fera partie des piliers du développement.

Imprimantes portables : un nouveau standard pour la productivité mobile

Que votre entreprise opère dans l’industrie électronique, la logistique ou encore le secteur télécom & datacom, l’adoption d’outils performants fait partie des stratégies à adopter pour vous offrir une longueur d’avance sur vos concurrents. Peut-être est-il temps de faciliter et d’automatiser certaines opérations relativement chronophages. Lorsqu’il s’agit d’étiquetage et de traçabilité de vos produits certaines solutions en plein essor pourraient bien vous séduire. Parmi elles, l’imprimante portable tire son épingle du jeu. Nous avons passé en revue pour vous, les meilleures options.

Les étiqueteuses portables pour smartphone

L’utilisation de l’imprimante pour smartphone se généralise dans de nombreux secteurs industriels. Quel que soit le milieu (logistique, maintenance, télécom ou électronique), cette nouvelle façon de marquer permet aux professionnels de gagner du temps et de la flexibilité. Bien plus compactes que les modèles fixes, une étiqueteuse bluetooth garantit un déploiement rapide pour tous types de projets d’identification.

Contrairement aux idées reçues, la qualité d’impression n’a plus rien à envier aux appareils plus imposants. Les imprimantes de nouvelle génération produisent des étiquettes intelligentes avec une excellente résolution, tout en restant faciles à manipuler. C’est une avancée majeure pour les équipes terrain, qui peuvent désormais travailler efficacement sur des chantiers, des entrepôts ou des sites industriels, sans sacrifier la lisibilité des marquages.

Pourquoi adopter une imprimante connectée en milieu industriel ?

Vous hésitez encore à investir dans une imprimante portable ? Voici quelques raisons qui pourraient vous faire changer d’avis :

  • Gain de temps : contrairement à une imprimante fixe, l’imprimante légère pour techniciens peut être emportée partout et utilisée à une main, permettant aux opérateurs de travailler plus vite et plus efficacement.
  • Polyvalence : la connectivité sans fil (Bluetooth ou Wi-Fi) facilite l’intégration de ces appareils à vos systèmes existants.
  • Ergonomie : leur poids plume et leur format réduit permettent une utilisation à une main, idéale pour des environnements contraignants.
  • Adaptabilité : que vous imprimiez des codes-barres, des étiquettes standard ou des marquages spéciaux (comme les manchons thermorétractables), l’imprimante portable répond à des besoins variés.

Des entreprises comme Brady figurent parmi les pionnières de ces solutions. Leur expertise en matière de marquage industriel garantit des appareils robustes et fiables, adaptés aux contraintes de l’industrie 4.0.

RFID et étiquettes intelligentes : la clé de l’industrie 4.0

Au-delà de la simple impression, la technologie RFID et les solutions rfid associées révolutionnent le suivi des produits sur la chaîne logistique. Les étiquettes intelligentes équipées de puces RFID permettent une lecture à distance et simultanée de multiples articles, sans nécessiter un contact visuel direct.

C’est un atout majeur pour :

  • La traçabilité : chaque étape du cycle de vie du produit est aisément identifiable.
  • La sécurisation : les données stockées sont moins sujettes aux erreurs que les codes-barres classiques.
  • L’optimisation : l’accès en temps réel aux informations de stock ou d’historique de maintenance facilite la prise de décision.

Comment choisir la solution d’impression la plus adaptée ?

La sélection de votre imprimante bluetooth ou de son équivalent, imprimante Wi-Fi portable, dépendra de plusieurs critères :

  • Robustesse : privilégiez des modèles testés en conditions extrêmes (poussière, chocs, températures).
  • Qualité d’impression : assurez-vous que l’appareil gère différents matériaux (vinyle, polyester, etc.).
  • Compatibilité logicielle : vérifiez si l’imprimante peut être pilotée depuis votre smartphone, tablette ou ordinateur sans difficulté.
  • Évolutivité : si vous envisagez d’adopter la RFID à terme, optez pour un modèle capable de prendre en charge cette technologie.
    Vous l’avez compris, les imprimantes portables s’imposent comme un nouveau standard pour la productivité mobile. Grâce à des technologies comme la RFID, aux étiquettes intelligentes et à des experts du domaine, vous savez comment gagner du temps dans votre activité industrielle. Il ne vous reste plus qu’à trouver la solution qui répond le mieux à votre organisation et à profiter pleinement de ces innovations.

10 façons de faire connaître son entreprise

Faire connaître votre entreprise dans ce monde de communication tous azimuts.  Les moyens de communication sont à portée de votre main c’est-à-dire qu’en quelques clics vous pouvez obtenir  des résultats exponentiels. Votre entreprise est enfin créée, il vous faut maintenant penser à la faire connaître. Votre objectif est de faire parler d’elle et donc de développer votre chiffre d’affaires. Ceci induit notamment l’image de la société, ses produits/services ainsi que sa réputation. Pour vous aider à développer votre notoriété, focus sur les 10 techniques qui sont infaillibles bien que certains les négligent à tort. 

Amis et famille à ne jamais omettre

Cela fait quelques jours que vous avez monté votre entreprise, l’heure est venue de passer à la phase essentielle de la communication. Demandez à vos amis ainsi qu’à votre famille de devenir vos ambassadeurs. Transmettez-leur un argumentaire et quelles sont vos missions et perspectives et votre passion. D’ailleurs, une bonne présentation avec les réponses aux objections qu’ils pourraient rencontrer les aidera pour convaincre des clients, et très vite, ces derniers en parleront autour d’eux à bon escient et de manière pertinente.

Le salon professionnel, une caverne d’Ali Baba

L’entrepreneur, c’est vous ! Pour bien le faire comprendre à votre entourage, pensez à faire un saut au sein des salons professionnels. Très efficaces, ces derniers vous offrent la chance de vous constituer une notoriété auprès d’autres entrepreneurs/entreprises mais aussi auprès de votre public cible. Également en liste, les apéros, les networking et les rencontres d’entrepreneurs. Vous pourrez facilement tisser des liens avec de futurs partenaires.

La communication version 2.0,  les réseaux sociaux

Alors que les méthodes traditionnelles font toujours leurs preuves, il se trouve que la communication version 2.0 détient un impact considérable. Entre l’animation des réseaux sociaux, les systèmes d’e-mailing et les outils Adwords, il est clair qu’en utilisant Internet et ses diverses possibilités, vous parviendrez à vous faire connaître rapidement. Qui plus est, cette méthodologie est adoptée au sein de nombreuses entreprises et a clairement fait ses preuves en un rien de temps et si vous l’ignorez risque de vous écarter des nouvelles tendances performantes en matière de communication.

Mais attention, il faut être maître des réseaux sociaux et utiliser les réseaux sociaux adaptés à votre entreprise. Il vous faudra les sélectionner pour obtenir un maximum d’efficacité. 

L’évènementiel sous toutes ses formes

Comment faire connaître son entreprise à travers l’événementiel ? La question ne se pose plus ! Il n’y a qu’à voir les nombreux évènements organisés autour de vous. Disons que vous vendez des produits bios, dans ce cas, mettez en place un marché spécialisé dans la production bio. Dans tous les cas, n’hésitez pas à participer. L’évènementiel est loin de se limiter à de grands évènements. Il faut profiter de toutes les opportunités, même modestes, qui vous ouvrent un canal de sympathie. Étudier ce que font vos concurrents mais aussi des entreprises qui ne sont pas dans votre secteur d’activité vous donnera des idées qui peuvent se révéler judicieuses.

Les échantillons, un attrait jamais contesté

Véritable attrape client, la distribution d’échantillons constitue l’un des piliers du marketing. Qu’il s’agisse de produits ou de services, proposez à vos clients des échantillons qu’ils pourront distribuer à leurs propres clients. De ce fait, vous parviendrez à faire parler de votre entreprise et les retours devraient être plus que positifs !

Les partenariats, des possibilités d’ouvrir des perspectives

Il faut savoir que les partenariats sont parfaits pour développer la notoriété de son entreprise. La première étape consiste à analyser et identifier les potentiels partenaires, en étant sûr que ces derniers ne soient pas des concurrents directs. Proposez-leur une collaboration suivant une logique « gagnant-gagnant ». Si par exemple vous concevez des robes de mariées, tentez d’approcher les organisateurs de fêtes et trouvez ensemble un moyen de collaborer ou bien d’un fabricant d’accessoires qui sera bien heureux de trouver des possibilités de vendre ses produits.

L’utilisation de votre base de données 

Vous êtes déjà connu et souhaitez accentuer cette notoriété ? Rien de plus simple. Utilisez votre base de données de clients déjà existante. En parcourant les coordonnées de vos clients, vous pourrez les relancer ou leur parler de votre nouveau produit/service. Vous pouvez d’ailleurs tout simplement leur demander s’ils sont satisfaits et comment vous pouvez améliorer ce rouage.

Le bouche à oreille, toujours performant

Un autre moyen d’accroître la notoriété de son entreprise consiste à utiliser la technique du bouche-à-oreille. En échange de cadeaux ou de rabais, proposez du parrainage à vos clients. Pour chaque nouveau client amené, il reçoit un cadeau ou bénéficie d’une offre spéciale. Cette méthode est connue pour diversifier la clientèle et bien entendu, pour faire parler de votre société.

La distribution de flyers

Méthode peu coûteuse, la distribution de flyers dans la région est connue pour ramener du monde. Même si cette technique ne requiert pas beaucoup d’effort, il se trouve que les résultats sont visibles sur le long terme. Boîtes aux lettres comme voies publiques, mettez en place une équipe spécialement dédiée à la distribution de tracts.

Les médias

Lorsque vous faites le marketing de votre entreprise, pensez à attirer les médias vers vous. Du moment que vous proposez du contenu intéressant mais surtout qui présente un caractère attractif, ils seront enclins à le diffuser.