Accueil Blog Page 127

Comment récolter les idées

Vous souhaitez récolter les idées mais vous ne savez pas comment faire en dehors de la traditionnelle boîte à idées. Certains fondamentaux sont à considérer avant de vous lancer dans l’application des méthodes. 

Pour accueillir les idées, faites preuve d’un maximum d’ouverture d’esprit et n’écartez jamais une idée sans l’avoir étudiée et analysée. En effet, une attitude désinvolte nuirait à votre objectif. Si dans le cadre d’une innovation provoquée, il n’est pas rare de fixer une thématique, vous devez la plupart du temps laisser le champ libre à l’expression de chacun. Attention à bien indiquer à vos managers que les idées doivent être traitées avec équité. Surtout ne les freinez pas. En fait, il s’agit d’en recueillir un maximum sans a priori et de ne pas porter de jugements pour favoriser la spontanéité essentielle à la créativité.

Le brainstorming incontournable et l’esprit critique 

La méthode  du brainstorming, « remue-méninges », consiste à produire spontanément le plus grand nombre possible d’idées sur un sujet donné. Vous pouvez le faire seul mais aussi le mettre en place avec un groupe pour maximiser son efficacité. Ainsi, vous pouvez rechercher les insatisfactions existantes dans l’usage d’un produit, dans le recours à un service ou dans le fonctionnement d’une institution. L’objectif est d’ améliorer, voire de perfectionner : 

  • recenser tous les défauts, inconvénients ou faiblesses d’un produit ou d’un service ;
  • les classer en fonction de certains critères ;
  • puis rechercher des solutions d’amélioration ou de suppression de ces éléments insatisfaisants.

Les incontournables de la démarche

Si vous souhaitez récolter un maximum d’idées, vous devez avoir une démarche bien structurée. Un processus en 4 étapes est généralement utilisée pour ne pas tomber dans de mauvais travers qui sur long terme pourraient nuire à la démarche :

  • Recueil et écoute d’idées : votre objectif est d’obtenir un maximum d’idées et d’avoir un processus clair pour que chaque idée soit bien écoutée / reçue.
  • Sélection des idées et feedback : vous n’allez pas mettre en place toutes les idées et il vous faudra en sélectionner certaines. Cependant, vous ne devez pas oublier de faire un retour à ceux qui les ont émises afin qu’ils comprennent pourquoi vous avez décidé d’aller plus loin sur une idée ou pourquoi vous ne le faites pas pour une autre.
  • Validation des innovations : si l’idée en question a été sélectionnée, vous devez le faire savoir et éventuellement impliquer l’auteur dans sa mise en œuvre. Il reste souvent conseillé d’accorder le temps, les moyens ainsi qu’un soutien technique à la personne à l’origine de l’idée.
  • Réplication : si une innovation sert pour un corps de métiers, elle est souvent duplicable ailleurs. Prenez le temps de bien traiter les innovations judicieuses.

Les fondamentaux à ne pas oublier

Pour obtenir un maximum d’idées, respectez plusieurs « fondamentaux » :

  • Mettre en place des animateurs liés à l’Innovation Participative. Ils peuvent aider l’encadrement et le soutenir dans le développement des idées innovantes mais aussi aider le management à se former aux techniques.
  • Définir un processus. Celui-ci ne s’arrête pas à la collecte de l’idée mais se poursuit lors de l’étude et de la prise de décisions. Ainsi, il détaille de manière précise le processus de sélection.
  • Établir un délai. Une idée ne doit pas rester sans réponse trop longtemps. C’est pourquoi, vous devez explicitement définir un délai maximum pour traiter une idée.
  • Donner de l’information. Prendre en compte ou non n’est pas fondamental à partir du moment où vous fournissez une information argumentée.

Les processus généraux pour bien traiter les idées. Pensez à :

  • Créer un recours si l’idée est rejetée ;
  • Définir le processus de mise en œuvre des idées acceptées ;
  • Mettre en place un suivi des mises en œuvre ;
  • Communiquer sur les idées à dupliquer ;
  • Suivre ces réplications ;
  • Créer des indicateurs de résultats généraux ;
  • Développer un processus d’amélioration continue de la démarche ;
  • Regarder les aspects des dépôts de brevets …

Comment attirer les bons profils ?

Difficile d’attirer les bons profils dans ce monde où les grandes entreprises annoncent des plans de licenciement massifs et où nombre d’entreprises récentes annoncent leur défaillance. Ceux-ci sèment le doute dans l’esprit des candidats qui recherchent un travail qui ne soit pas remis en cause du jour au lendemain. Alors comment faire ?

Les codes de recrutement ont changé. 

Ce qui faisait l’attrait des grandes entreprises, les réseaux sociaux en ont montré la face sombre et ce sont les petites entreprises, les start up avec leurs valeurs d’innovation et de bien-être qui attirent les bons profils. Elles leur font concurrence car leurs caractéristiques ne sont-elles pas de mettre l’humain au centre ? Dans un monde où l’isolement malgré les nouvelles technologies est devenu un fléau.  Les dirigeants de petites entreprises pensent que leur taille est un désavantage et que la plupart des bons profils se tournent naturellement vers les grandes boîtes qui leur proposent de nombreux avantages inaccessibles aux start-ups. Mais les jeunes entreprises ont également bien des atouts pour dénicher des candidats de qualité… si jamais elles procèdent avec tact.

Dépasser la barrière du faible salaire

Pas facile pour David de se battre contre Goliath ! Les start-ups ne peuvent pas rivaliser avec les grands groupes dans les rémunérations qu’elles proposent. Mais il ne faut pas perdre de vue que les start-ups bénéficient également d’attraits  que n’ont pas les grandes multinationales et qui peuvent aussi représenter des arguments de poids pour attirer de bons profils : possibilité de toucher à plusieurs métiers, sans rester cantonné à une tâche unique, la satisfaction de voir le fruit concret de ses efforts, l’impression de participer activement à la construction d’un projet passionnant, une ambiance souvent plus décontractée, la possibilité d’exprimer plus intensément sa créativité…

Toujours des avantages ?

La petite start-up a également la possibilité de proposer au salarié de s’intégrer à la genèse d’un projet capable potentiellement de prendre une très grande ampleur. Dans ce cas, les salariés des premiers jours en sont les premiers récompensés ! Il n’y a qu’à voir l’exemple des collaborateurs embauchés au lancement de Facebook.
Bénéficiant d’une partie de leur rémunération par l’intermédiaire de part du capital de l’entreprise, certains sont depuis devenus millionnaires, à l’instar d’une des premières secrétaires de l’entreprise ! Un argument convaincant, mais dont il ne faut pas non plus trop abuser… La rémunération que vous allez proposer au candidat devra être suffisamment élevée pour qu’il ait le sentiment que l’entreprise fait un effort financier pour l’embaucher, tout en ne dépassant pas une somme mettant en péril la trésorerie.

Certaines petites entreprises font le choix, risqué, de proposer des salaires assez élevés compte tenu de leurs moyens afin d’attirer des profils qualifiés, censés apporter un bon retour sur investissement. D’autres start-ups assument le fait de ne pas pouvoir proposer un salaire mirobolant, mais s’arrangent pour offrir une meilleure qualité de vie comme par exemple le télétravail. Ces suppléments permettent au salarié de gonfler tout de même leur pouvoir d’achat (titres restaurants, notes de frais, téléphone professionnel servant également à un usage personnel…). 

Où trouver vos futurs salariés ?

Votre futur salarié ne viendra pas un beau jour sonner à votre porte… Il va vous falloir partir activement à sa recherche ! Pour cela, procédez avec méthode et sélectionnez bien les biais par lesquels vous allez entamer votre quête. Vous pouvez choisir de publier votre offre sur Internet, sur l’un des nombreux sites d’offres d’emploi qui fleurissent sur la toile. L’intérêt de cette technique est qu’elle vous permettra de recueillir rapidement beaucoup de CV, parfois gratuitement.
L’inconvénient est que les CV reçus ne seront pas tous parfaitement en adéquation avec les besoins. Pour des CV plus qualifiés, nécessitant des savoir-faire techniques, l’idéal est de poster son annonce sur des sites spécialisés sur le domaine d’activité.

La publication des annonces ?

La publication des annonces sera en général plus chère, mais vous gagnerez du temps. Pensez également aux sites disposant de CVthèques en libre consultation. Toujours sur le Net, pensez à consulter les réseaux sociaux professionnels tels que Viadeo ou LinkedIn. Vous pourrez y consulter des profils qui pourraient bien « matcher » avec vos besoins et contacter ces futurs candidats à débaucher. La clé ?
Vous pourrez en apprendre beaucoup sur le candidat en scrutant son profil sur les réseaux ainsi que son implication dans votre secteur d’activité. Pensez également, si vous disposez du budget nécessaire, à faire appel à une agence de recrutement. Ces dernières vous aideront à sélectionner les profils les plus qualifiés en vous permettant de gagner du temps.

Les agences de placement et France Travail 

Ne négligez pas les agences de placement de candidats et le classique Pôle Emploi appelé aujourd’hui France Travail. Ceux-ci peuvent présélectionner pour vous des profils correspondant plus ou moins à vos besoins. Enfin, pensez également à passer par votre réseau pour trouver la perle rare. Par le bouche à oreille, vous pourrez trouver des profils qui correspondent à vos besoins et dont les compétences et le savoir-être auront été validés par vos contacts.

Le bouche à oreille ?

N’hésitez pas à demander à vos partenaires s’ils connaissent des profils qui pourraient vous convenir. Une technique qui se développe de plus en plus est de passer par ses followers sur Twitter pour une mise en relation avec des profils qualifiés. La technique du bouche à oreille se révèle souvent judicieuse, mais il ne faut néanmoins pas faire reposer toute sa confiance sur la recommandation de vos contacts. Cherchez tout de même à vous faire une bonne idée par vous-même en soumettant les candidats aux mêmes processus de recrutement que les autres personnes, non recommandées.

L’annonce : à travailler avec le plus
grand soin

Premier contact entre votre entreprise et le candidat, l’annonce est d’une importance cruciale pour attirer de bons profils. Mais la rédaction de cette annonce n’est pas excellente. En conséquence, le chef d’entreprise reçoit de trop nombreux CV, dont la plupart ne conviennent pas réellement à l’offre, et qu’il mettra beaucoup de temps à classer. Petit retour donc sur les éléments indispensables que doit comporter cette annonce, et sur les choses à ne surtout pas faire paraître (ou réaliser), sous peine d’être en infraction avec la loi. Commencez déjà par présenter l’environnement du poste dans lequel le futur salarié évoluera. Présentez l’entreprise, son secteur d’activité, son évolution sur le marché et le type de prestataires ou clients avec qui elle travaille. Profitez de l’annonce pour mettre en valeur la position et le dynamisme de votre entreprise.

Le rôle des annonces

N’oubliez pas que l’annonce d’offres d’emploi représente pour l’entreprise un biais non négligeable de communication, prouvant au marché et aux clients la vitalité de votre start-up. Passez ensuite à une présentation du poste à pourvoir : le type de contrat envisagé, les tâches à réaliser, le rôle du poste dans le fonctionnement de l’entreprise, les outils mis à disposition du salarié, les personnes avec qui il devra travailler au sein de l’entreprise ou en externe, la place du futur recruté dans l’organigramme et enfin les conditions de travail (salaire, avantages en nature, horaires, lieu de travail….). Le profil recherché doit être clairement défini : type de formation requise et niveau d’étude, l’expérience nécessaire, les compétences techniques obligatoires ainsi que les qualités humaines impératives à la bonne réalisation des tâches demandées (esprit d’équipe, résistance au stress…).

Attention aux règles juridiques !

Vous devez porter une attention toute particulière au respect strict des règles juridiques en lien avec la législation du recrutement. L’offre d’emploi ne doit ainsi pas comporter de limite d’âge pour le poste ou contenir des allégations fausses ou susceptibles d’induire en erreur le candidat. Bien entendu, il vous faut bannir totalement toute référence à des critères discriminatoires : sexe, apparence physique, nationalité, opinion politique, religion, situation de famille….
Veillez à rédiger une annonce « séduisante ». Celle-ci peut même être atypique dans son ton, voire drôle. Elle doit refléter l’état d’esprit qui règne dans votre entreprise. Un ton décalé vous permettra de vous démarquer des autres annonces et d’attirer des profils correspondant vraiment à vos valeurs.

Les qualités du manager idéal

Très souvent, ce sont les idées préconçues qui dominent les relations entre les collaborateurs et le manager. Si j’étais à sa place, je ferais ou je ne ferais pas… Mais le manager n’est pas à la place de l’autre. Il peut cependant en instaurant des dialogues constructifs aller à la rencontre de l’autre et trouver avec lui les solutions auxquelles il n’aurait pas songé. Certes, il connaît les compétences nécessaires au poste mais les collaborateurs sont des êtres humains et certains sont aigris par la vie, désabusés et le manager par son attitude empathique peut conduire son équipe à s’investir et à dépasser ses limites.

« Un leader… est comme un berger. Il reste derrière le troupeau, laissant les plus adroits aller devant, après quoi les autres suivent, sans réaliser que, tout le long, ils ont été dirigés par-derrière. » 

Nelson Mandela.

Le manager idéal doit répondre à plusieurs critères. Ces derniers ne se limitent pas seulement à son expérience et sa capacité à maîtriser les activités exercées par son entreprise. La principale mission du manager consiste à diriger une équipe de sorte à ce qu’elle puisse assurer le développement de l’entreprise. Pour assurer cette mission avec efficacité et fiabilité, le manager doit disposer de certaines qualités. 

Engagement personnel

Le manager idéal reconnaît l’importance de la contribution de ses collaborateurs dans la réalisation des objectifs de l’entreprise. Il s’engage personnellement envers son équipe et veille au succès du projet. Pour ce faire, il partage ses compétences et son savoir-faire avec ses collaborateurs afin qu’ils puissent évoluer et développer aisément leurs connaissances. Il a pour but principal d’assurer l’épanouissement et la satisfaction de son équipe au travers d’un travail bien mené. Cette situation favorise le respect de l’engagement de la part de chaque membre du personnel. Parfois, le manager peut se montrer strict dans ses décisions, mais essaie toujours de fournir des explications sur les raisons de celles-ci. 

Exemplarité et confiance

Un bon manager est celui qui s’engage de manière personnelle à garantir la mise en œuvre du projet d’entreprise et incite son équipe à donner le meilleur d’elle-même. Il doit montrer le bon exemple pour que ses collaborateurs puissent exceller dans leurs missions. Outre son expérience et sa capacité à maîtriser parfaitement son métier, il incarne l’image parfaite de l’entreprise. Attentif et organisé, il s’intéresse aux besoins de ses collaborateurs, et connaît leurs points forts mais aussi leurs faiblesses. 

Le sens de délégation

Quelle que soit la dimension du projet d’entreprise, le manager possède l’art de déléguer ses fonctions. Certes, avec ses compétences et son expérience, il peut assurer ses responsabilités. Vouloir tout gérer soi-même peut néanmoins constituer un risque pour le projet. Le manager doit déléguer certaines de ses responsabilités à ses collaborateurs pour éviter la paralysie de l’entreprise. Le choix de la personne à qui il va attribuer ces responsabilités mérite une mainte réflexion. 

“Le meilleur manager est celui qui sait trouver les talents pour faire les choses, et qui sait aussi réfréner son envie de s’en mêler pendant qu’ils les font.” Theodore Roosevelt

Aisance dans la prise de décisions

En tant que dirigeant d’une équipe, le manager dispose d’un pouvoir plus étendu que celui de ses collaborateurs. Il est amené à prendre des décisions quant à des questions importantes concernant son équipe et le projet soumis à sa responsabilité. Apte à peser le pour et le contre, il détient une capacité d’analyse irréprochable quand il s’agit de mesurer les enjeux qui se présentent à lui. Toutes ses décisions doivent être prises de manière objective, pour le bien de l’entreprise et de ses collaborateurs. Il doit pouvoir prévoir les risques associés à ses décisions et les anticiper afin d’éviter de porter préjudice à l’entreprise.

Capacité de communication très développée

La communication constitue l’essence même de la force d’une équipe. Le manager doit savoir communiquer avec ses collaborateurs. Cette capacité facilite la transmission des consignes et assure le succès du projet d’entreprise. Il est d’ailleurs plus facile d’instaurer un environnement harmonieux au sein de la société si le manager et son équipe s’entendent bien et se comprennent facilement. Un environnement sain et harmonieux ne peut que générer un impact favorable à l’entreprise, car cela constitue une source de motivation non négligeable pour les salariés.

“La meilleure façon d’imposer une idée aux autres, c’est de leur faire croire qu’elle vient d’eux.” Alphonse Daudet

Comment gérer une force commerciale mobile ?

Aujourd’hui le manager bénéficie de nombreux outils pour dialoguer, communiquer avec ses équipes soit en face à face, soit lors de réunions qui réduisent toutes les distances. Gérer la force commerciale mobile est certes complexe. Aux difficultés de l’encadrement technique et humain s’ajoutent la délocalisation et l’éclatement des membres du groupe avec les conséquences sur ses performances. En 2025, le responsable d’une force commerciale mobile doit avoir des qualités de management pour permettre à la force commerciale mobile de ressentir un lien de proximité mais il faut le reconnaître, le manager a à sa disposition un certain nombre d’outils essentiels pour gérer avec performance son équipe à distance.

Les qualités indispensables du manager d’une force commerciale

Comme tout bon manager, le responsable d’une équipe commerciale mobile doit savoir bien s’entourer. Un bon recrutement est donc impératif afin de constituer une équipe aux compétences requises et sachant s’adapter aux spécificités du marché et aux types de produits ou de services vendus. Lors de la constitution des groupes sur le terrain, il saura tout particulièrement associer les différentes personnalités de ses collaborateurs en jouant sur la complémentarité. Une fois les objectifs fixés, le bon manager d’équipe commerciale donnera ses directives et ses conseils tout en laissant à ses salariés la liberté de manœuvre possible dans le cadre fixé. Il doit avant tout savoir déléguer sans pour autant abandonner totalement ses employés. En établissant un plan d’action cohérent, il devra trouver les bons moyens de contrôle lui permettant d’intervenir en cas de manquement au tableau de marche.

Les outils à la disposition du responsable d’une force commerciale mobile

Les outils classiques à la disposition du manager pour renforcer ses équipes et augmenter ses performances demeurent la formation et l’amélioration des compétences. Bien souvent dispensés sur un thème précis, les stages de formation professionnels permettent de répondre à la demande. Les organismes spécialisés en proposent individuellement ou collectivement. Renforcer la cohésion d’une équipe au cours d’un séminaire de team building est un parfait exemple de stage utile pour une équipe de vente mobile.

Mettre l’accent sur la cohésion de l’équipe

C’est en effet fondamental pour un responsable d’équipe car les différents membres se voient finalement très peu. L’organisation d’un tel séminaire est souvent l’occasion unique pour tous les membres de l’équipe de se retrouver au moins une fois par an dans un cadre sortant de l’ordinaire.

Enfin, le manager doit disposer d’outils efficaces pour gérer son travail à distance. Aujourd’hui, les moyens de communication comme Internet, le téléphone portable ou la visioconférence permettent à un responsable d’assurer un suivi très régulier des tâches avec ses troupes réparties partout dans le monde. Pour une équipe mobile, assurer une bonne communication et un reporting régulier est essentiel et sans doute l’une des clés de la réussite professionnelle.

Le CRM, mais aussi les plateformes collaboratives

Ils permettent aux managers et aux commerciaux de réaliser des webconférences en ligne, de partager des documents, par exemple et donc de supprimer l’isolement qui était la caractéristique de la vie des commerciaux, il y a encore peu de temps. De plus, les objets connectés sont un appui considérable pour la relation entre le manager et le commercial. Certaines tâches administratives chronophages sont désormais automatisées et les équipes commerciales gagnent un temps considérable. De plus, le manager a une visibilité en temps réel sur les dossiers et les clients et peut intervenir pour soutenir le commercial dans les cas de négociation difficile. Le CRM mobile permet au commercial de garder un lien étroit avec le siège et cela s’avère un atout.

Les entrepreneurs peuvent-ils s’inspirer des écrivains pour rédiger du contenu de marque ?

Séduire, conquérir les clients, c’est faire appel à leur imaginaire. Les publicités recèlent de trésors inspirés par la lecture, les voyages et la culture livresque entre autres des rédacteurs. Pour leurs textes publicitaires,  les marques font parfois appel à des écrivains qui acceptent volontiers de rédiger en raison de la rémunération qui leur permet de poursuivre leur création littéraire sans souci financier. Perrier a recruté Paul Valéry, Pierre Mac Orlan, Colette et Jean Giono entre autres, pour rédiger des textes publicitaires. Conseiller de s’inspirer des grands écrivains pour rédiger le contenu de marque n’est pas faire un plagiat.

Se servir de phrases inspiratrices pour dérouler son contenu

Il est parfois aisé à partir d’une phrase célèbre, d’un proverbe d’en suivre le fil conducteur pour développer sa créativité. Les fables de la Fontaine en sont une excellente illustration pour expliquer, parfois justifier et acquérir l’attention de son public. Les citations sont ainsi des outils de communication efficaces. Elles peuvent être utilisées pour décrire une situation.

Les entrepreneurs se tournent de plus en plus vers le contenu de marques (blog, brand content…) afin de mettre en valeur leur entreprise. Dans ce cadre, s’inspirer des techniques d’écrivains à succès pour rédiger du contenu marketing, qu’il soit diffusé par voie de blog, par livre blanc électronique, ou sur une communication papier type flyers, semble une bonne solution pour améliorer son impact auprès du consommateur.

Les conseils de Steve Alten

L’écrivain américain de science-fiction Steve Alten a par exemple mis en place un ensemble de stratégies éditoriales tout au long de son expérience professionnelle, ce qui peut constituer une série de conseils à l’attention des spécialistes du marketing de contenu.

Se concentrer sur l’objectif

Selon l’auteur, ce qui est important, c’est ce que les gens veulent lire. Les entrepreneurs devraient donc se concentrer sur un sujet qui attirera le lecteur. Ainsi, inutile de produire du contenu seulement à partir de son imagination, car cela demeure beaucoup trop limitatif. Selon Steve Alten, effectuer des recherches sur un sujet permet d’atteindre un type d’écriture beaucoup plus intéressant, et enrichit considérablement le contenu et l’attractivité de la cible.

S’inspirer tout le temps

La lecture à tout niveau et de manière intempestive semble aussi un bon moyen pour développer des idées novatrices et des sujets originaux à traiter. Il est aussi important de prendre note de ses idées dès qu’elles surviennent, au risque de les voir disparaître très rapidement.

Travailler la productivité de l’écrit

Côté rapidité, l’établissement d’habitudes de travail ou de rituels est aussi important pour gagner en efficacité afin de pouvoir rédiger des articles dans les plus brefs délais. Se définir des objectifs est aussi important, car cela encourage l’activité créative et permet de développer une capacité à écrire constante. Écrire chaque jour semble être particulièrement important pour parvenir à établir son rythme de croisière et développer une écriture de qualité.

Revenir en permanence sur ses textes, et comprendre les attentes du lecteur

Retravailler ses textes est aussi particulièrement important. La plupart des écrivains qui travaillent particulièrement leur langue, écrivent beaucoup plus qu’ils ne publient, afin de perfectionner leur langue autant que possible. Si votre contenu doit être diffusé sur un blog, il est par exemple essentiel de travailler en utilisant le retour de ses lecteurs, pour essayer de correspondre à leurs attentes ou de comprendre quels éléments de l’écriture auraient pu les laisser indifférents.

Autant de conseils pratiqués par les écrivains que l’on retrouve dans la production d’écrits à toute échelle, qu’il s’agisse de contenu marketing ou non.

Psychologiquement, comment gérer la nécessité de changer de business model ?

Changer de business model devrait faire partie des réflexions que doit mener tout entrepreneur.

Il suffit d’observer l’évolution des transports comme le vélib’, la trottinette, le scooter qui en un décennie ont vécu chacun à leur tout leur heure de gloire puis d’être délaissés selon les réglementations, les  aléas  et les crises. Pour les entrepreneurs, quelles sont donc les méthodes à appliquer pour faire accepter ce changement par leurs équipes et leurs partenaires ?

S’adapter, le maître-mot

Avec l’évolution rapide des marchés, les entreprises sont contraintes de s’adapter sous peine de perdre du terrain et de se retrouver dans une situation financière qu’il sera sans aucun doute difficile à redresser. La concurrence peut devenir telle qu’une idée innovante peut devenir obsolète en peu de temps. Dans ce contexte, changer de business model est un choix difficile mais s’avère souvent nécessaire

Un exemple probant

L’exemple de Gillette qui affiche 4,7 milliards de pertes au 4e trimestre 2018-2019 selon le dirigeant de la marque en raison de la mode de la barbe, permet de penser que Gillette doit être en pleine réflexion pour trouver un nouvel angle pour conquérir ses clients. De nouvelles habitudes peuvent au contraire permettre de développer un business florissant comme celui des ongleries et la mode des tatouages qui ont fleuri en un flot incessant.

S’approprier le changement

Dans l’optique d’un changement de business model, quelle que soit la taille de l’entreprise, fédérer les salariés est une étape indispensable pour que le nouveau modèle économique prôné porte ses fruits. Changer les mentalités peut apparaître comme un frein ou une contrainte : les entrepreneurs devront donc faire preuve de volontarisme pour présenter cette innovation comme une opportunité. Ce processus doit offrir à chaque employé les moyens d’en devenir acteur et non spectateur. En permettant aux salariés d’explorer de nouvelles possibilités, les dirigeants les impliquent ainsi pleinement dans le changement de business model.

Repenser la politique managériale

L’innovation de modèle économique se heurte très souvent à des difficultés au niveau des personnes en charge du management. Elle peut avoir du mal à s’imposer face à l’immobilisme des cadres ou aux rapports de force en interne. Il apparaît alors nécessaire de développer une communication adéquate, mettant le changement au cœur du projet de l’entreprise. Les équipes doivent comprendre que développer de nouveaux produits est inutile si l’organisation de la société n’est pas repensée.

Dépasser le cadre du produit

Pour parvenir à se réinventer avec succès, l’entreprise doit dépasser les idées reçues, notamment celle qui veut que le produit soit roi. Lorsqu’un marché évolue, le produit n’est plus maître, quelle que soit l’histoire de l’entreprise dans son secteur. Leader du domaine des baladeurs musicaux, Sony a aujourd’hui totalement disparu du marché pour s’être entêté à commercialiser des Walkmans alors que le numérique prenait le dessus avec l’iPod d’Apple. Toutes les forces de l’entreprise doivent assimiler qu’il est crucial d’être en accord avec les évolutions actuelles.

Voir plus loin que les contraintes initiales

Aux premières difficultés, les dirigeants préfèrent revenir à leur modèle traditionnel. La raison la plus souvent invoquée est d’ordre technique. Les départements informatiques ne souhaitent pas repenser tout leur système pour s’adapter au nouveau modèle économique. Les enjeux sont tels qu’il est nécessaire de passer outre ces réticences. Des moyens doivent être mis en place afin de faire franchir le cap psychologique du changement aux salariés les plus directement touchés au quotidien.

Envisager les retombées à long terme

Un autre frein récurrent est la peur du risque de cannibalisation. En effet, les changements adoptés peuvent affecter une source de revenus notable de l’entreprise. C’est ce qui a poussé Kodak à ne pas prendre le virage du numérique, de crainte de voir diminuer ses bénéfices dans le développement des films photos : un choix catastrophique, qui a causé la perte de l’entreprise. Même si les décisions prises diminuent les revenus perçus à court terme, il ne faut pas remettre en question le changement. Les entrepreneurs devront donc savoir mettre en avant l’énorme potentiel économique à long terme que recèle toute évolution.

Stratégie et plan de communication : comment s’y prendre ?

Le plan de communication est le cœur d’une communication réussie. Ce n’est pas le fruit du hasard si de nombreuses universités et écoles de commerce y consacrent une partie de leur temps de formation. Sans plan de communication, le dirigeant et ses équipes naviguent sans boussole. Choisir de communiquer sans avoir établi une réflexion stratégique en amont montre un amateurisme qui fera que l’entreprise sera ballottée par les circonstances qu’elles soient bonnes ou mauvaises et les communications liées à l’urgence donnent en général des impacts négatifs. Une erreur qui peut coûter cher, d’autant plus qu’il n’est pas toujours évident de déterminer l’objet exact. Analyse.

Le plan de communication, en quelques mots !

Au même titre que les ressources humaines, financières ou légales, la communication constitue un outil de gestion. Qu’il s’agisse de résoudre un problème, lancer une idée ou gérer un changement, elle se place comme un pilier de l’organisation et doit être composée d’un plan. Alors, qu’est-ce qu’un plan de communication ? Il s’agit d’une manière d’organiser la diffusion de tout un système de messages adressés à des destinataires bien définis, autrement dit votre public cible. Et ce, qu’il se positionne comme interne ou externe à l’entreprise. Il est important de noter que le plan de communication fait suite à l’établissement du plan marketing, plan stratégique dans votre organisation. 

Pourquoi est-ce indispensable d’établir un plan de communication ?

Un plan de communication demeure primordial pour toute entreprise quelle que soit sa taille. Il permet de conférer à votre activité une existence publique et la faire ainsi reconnaître au même titre que vos produits et services. Cet outil vous démarque de vos concurrents et vous crée une place auprès des partenaires, pour autant que votre stratégie de communication soit solide et efficace ! Par ailleurs, le « plan de comm’ » constitue un pilier majeur dans la gestion des problèmes au sein de l’entreprise. 

Qui est concerné par ce plan ?

Votre cible se divise en trois catégories. D’un côté, votre plan de communication s’adresse à un public interne à l’entreprise et notamment vos salariés. Il s’agit pour eux de posséder une trame sur laquelle ils peuvent s’appuyer afin de répondre à la stratégie de communication que vous avez mise en place. De l’autre, vos clients, fournisseurs et partenaires externes sont eux aussi touchés par ce plan, puisqu’il s’agit de ceux qui véhiculeront à l’extérieur l’image de votre société. Enfin, n’oubliez pas les médias, qui restent les principaux destinataires dans le cadre de votre stratégie de communication. 

Justement, quelle stratégie à adopter ?

La nature de la méthode employée est primordiale afin de rédiger mais aussi de structurer convenablement votre plan de communication. Cette méthode doit vous permettre d’aborder une planification efficace et d’atteindre vos résultats prévisionnels. Il est question de définir clairement vos objectifs ainsi que vos différentes cibles. Les stratégies que vous mettez en place doivent varier en fonction de la nature de vos cibles. En respectant ce principe simple, vous serez à même d’utiliser des outils spécifiques adaptés pour toucher vos différentes cibles et ainsi atteindre vos objectifs en matière de communication. 

Comment alors garder le cap ? 

Pour que votre stratégie soit optimisée et pertinente, il est important que votre plan de communication intègre quatre questions : sur quelles bases repose la structure du plan ? Quelles sont les perspectives d’amélioration ? Comment mettre en place ces changements ? Quels outils de vérification utilisez-vous pour vérifier si les objectifs sont atteints ? Après y avoir apporté une réponse, lancez-vous ! 

4 stratégies s’offrent à vous

Si toutes apparaissent bien différentes les unes des autres, sachez qu’il n’en existe pas de meilleure. C’est à vous de choisir. 

La stratégie de coopération

Tout d’abord, pensez à adopter une stratégie de coopération avec vos clients. Il s’agit d’établir un dialogue avec ces derniers et d’échanger un maximum d’informations afin qu’ils se sentent concernés par le projet sur lequel vous désirez communiquer, et qu’ils s’en fassent les ambassadeurs.

La stratégie d’opposition

 Vous pouvez également emprunter une stratégie d’opposition. Cette dernière se matérialise par le fait de rester campé sur ses positions et de ne pas changer de discours face à ses clients ou face à la presse. 

Refuser le dialogue peut aussi constituer une stratégie pour votre société. Cette méthode concerne principalement les entreprises qui bénéficient déjà d’une certaine notoriété et qui ne souhaitent pas communiquer tous azimuts afin de ne pas créer un mauvais buzz, qui serait de fait nuisible pour l’entreprise. Cependant, cela compromet le plus souvent la vente des produits et services puisque vos clients n’entendent presque plus parler de votre marque. 

La stratégie d’influence

Enfin, la stratégie d’influence prend la forme d’un débat entre votre société et vos clients. L’objectif étant de convaincre le consommateur par l’intermédiaire de moyens de communication forts et ciblés, et notamment les médias. Ne vous contentez pas de suivre une seule stratégie. 

N’hésitez pas à passer de l’une à l’autre selon l’environnement dans lequel vous vous situez, et selon la situation de communication à laquelle vous faites face. Il apparaît évident que communiquer en période de crise ne constitue pas du tout le même exercice qu’accompagner le lancement d’un nouveau service, pour ne prendre que cet exemple… En bref, l’une des forces essentielles à la vie de votre entreprise réside au cœur de votre stratégie de communication. C’est elle qui influe sur votre notoriété et de fait sur la réussite de votre organisation.

Les critères pour créer un bon nom de marque

Choisir son nom de marque n’est pas un exercice aussi facile qu’il y paraît. Les entrepreneurs prennent souvent leur décision dans les plus courts délais et à faire au gré des disponibilités aujourd’hui des noms de domaine. Zoom sur les principaux critères à prendre en compte avant de vous décider.

Penser sa marque à l’international

De nombreuses marques sont obligées d’opérer un changement de nom quand elle passe à l’international. Leur marque est difficilement compréhensible ou prononçable à l’étranger, ce qui peut devenir un véritable frein à l’expansion. Si les noms peuvent paraître séduisants en français et vous apporter une plus-value pour vous faire comprendre sur le territoire national au début, il se peut que celui-ci provoque l’inverse sur le long terme. Les marques sont très nombreuses à avoir dû changer leur fusil d’épaule et dépenser des sommes astronomiques lors du changement de nom pour ne pas perdre des clients, les informer et se faire de nouveau connaître. Prendre en compte les différentes traductions fait partie des premières actions à mettre en place car vous pourriez avoir une déconvenue dans d’autres langues avec par exemple une signification peu valorisante. Covoiturage.fr représente un excellent exemple en devenant BlablaCar.

Pensez à rechercher l’histoire des différents noms de marques célèbres, vous y  trouverez une source d’inspiration. Cherchez à connaître les noms de marques françaises à l’international, vous pourrez capter les raisons qui les ont conduits à changer de nom et vous en inspirer aussi.

Ainsi, 

  • GDF Suez –> Engie. …
  • France Telecom –> Orange. …
  • TGV –> InOUI. …
  • Petit Déjeuner –> BelVita. …
  • PPR –> Kering. …
  • La Laugaraise –> Spanghero. …
  • Thomson CSF –> Thales. …
  • Chèque Déjeuner –> Groupe Up.

A vous d’étudier les raisons !

Vérifier la cohérence du nom par rapport aux marques du groupe

Si vous développez plusieurs marques, avoir une cohérence de groupe s’avère être une bonne pratique. Penser à une uniformité de l’ensemble de vos marques pour éviter qu’une marque ne se retrouve isolée des autres et que vous deviez changer de nouveau de nom permet d’établir une cohérence qui aura des retombées sur toutes les marques. Il s’agit souvent pour les entreprises de se rassembler pour apporter une lisibilité sur les différentes offres de votre entreprise. Les utilisateurs d’une marque unique ou quasi unique auront tendance à utiliser les autres produits de la marque. Il n’y a qu’à observer le changement de nom de la SNCF (InOui, Ouigo, OuiCar, …) pour comprendre comment décliner l’ensemble sous une même bannière. 

Avoir un nom relativement mémorisable

Créer un nom trop long ou dont on ne sait pas comment l’écrire peut représenter une véritable difficulté. Il reste difficile à vos clients de parler de vous ou de les inciter à promouvoir votre service s’ils n’arrivent qu’avec difficulté à écrire ou prononcer  votre nom. Il vous faut donc penser à un nom qui soit facile à écrire et qui soit facile à prononcer. Quelques marques ont décidé d’aller à contresens de ce principe mais possédaient des moyens colossaux de communication, ce qui ne sera pas forcément votre cas. Dans le même état d’esprit, vous pouvez penser à un nom relativement court. Les entreprises qui ont dû changer de nom car il était trop long sont légions. Jerry and David’s Guide to the World Wide Web devenu Yahoo! représente un bon exemple. 

Un mot clé pour les moteurs de recherche

Si les moteurs de recherche risquent de vous mettre en avant avec un mot clé, il s’agit d’une pratique qui peut s’avérer également contreproductive. Vous pouvez vous retrouver noyé dans un nombre de sites plus puissants que le vôtre et ne jamais apparaître en premier de la liste. Autre désavantage, l’internationalisation est rarement possible dans ce genre de cas. Attention également que ce mot soit protégeable car il ne doit pas être descriptif de votre activité pour pouvoir l’être et suivre l’ensemble de la règle des protections des marques. Vous pourriez vite déchanter en pensant avoir protégé votre nom de marque alors que celui-ci ne l’est pas. 

L’utilisation de la première lettre de l’Alphabet

Bon, certes, cela ne sert plus vraiment à grand-chose depuis notamment la disparition des annuaires ou tout le monde se battait pour commencer par la lettre A ou le chiffre 1. Aujourd’hui, l’utilité est très restreinte et la plupart des marques ne soucient plus guère de ne plus être à la première lettre de l’Alphabet. 

Penser à un terme qui fait penser à ce qu’apporte votre entreprise

Certains termes peuvent reprendre vos valeurs ou encore l’objectif de votre entreprise. Pour citer à nouveau BlablaCar, il est facile de comprendre qu’il s’agit de Blabla + Car et donc que le nom de l’entreprise représente ce que font les voyageurs et leur état d’esprit ainsi que le moyen utilisé. Une bonne manière de faire traduire l’activité de votre entreprise au travers de sa marque. Il est d’ailleurs souvent utile de vérifier que votre nom n’a pas une connotation qui fait penser à un autre secteur que le vôtre. Certaines entreprises ont eu beaucoup de mal à capter l’attention à cause de nom similaire ou proche dans d’autres secteurs. 

Votre nom de marque ne doit pas exister dans le même domaine 

Alors oui cela peut sembler évident mais une vérification s’impose quand on choisit son nom de marque et notamment sur le fait de sa disponibilité dans les classes souhaitées, ce que vous pouvez contrôler par vous-même à l’INPI. Attention car ce n’est pas parce qu’il ne s’écrit pas pareil qu’un autre qu’il ne peut pas porter à confusion. Vous devez prendre en compte également sa prononciation et il ne doit pas induire en erreur les autres consommateurs. La marque Orange en a fait l’expérience même si l’affaire s’est bien terminée. 

Vérifier l’adresse internet disponible

Vous pouvez également vérifier que son adresse internet est encore disponible. Vous pourriez à défaut avoir des difficultés à récupérer le nom de domaine, ce qui pourrait vous conduire à changer par la suite de nom pour ne pas perdre de temps. 

Si vous doutez encore de la pertinence de votre nom de marque, rien ne vous empêche de faire un brainstorming avec tous les gens de votre entourage afin de connaître leur opinion. Prenez tout de même des personnes de confiance ou gardez le résultat secret pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Lean Start-up : kézako ?

Créer son entreprise c’est mettre sur le marché un service ou un produit. Mais vous n’êtes pas devin et vous devez donc mener une réflexion qui vous conduise à la réussite. Vous recevrez certainement de nombreuses suggestions de votre entourage mais Dynamique vous propose de réfléchir au Lean Start-up afin de réunir en avant de se lancer toutes les chances de réussir sans investir un budget que vous regretteriez. Trouver une solution après un cuisant échec, c’est le principal fondement de la théorie Lean Start-up. Pendant la phase de lancement d’un projet, le principal souci des start-up est le temps ! C’est parce qu’elles prennent trop de temps à lancer leurs produits que les entreprises échouent le plus souvent. Pour éviter que ce genre de déconvenue ne se produise encore et encore, des théoriciens ont eu l’idée de créer la méthode Lean start-up !

Qu’est-ce que le Lean start-up ?

Nombre d’entreprises innovantes utilisent actuellement la méthode dite « Lean ». Il s’agit d’une technique qui a été créée aux États-Unis en 2008 par Éric Ries. Avec cette méthode, les jeunes entrepreneurs apprennent à diminuer les coûts de lancement d’un projet et à éliminer le plus tôt possible tous les superflus, et cela, en faisant tester le produit aux cibles ou aux clients potentiels. Bien avant que le produit n’existe, le jeune entrepreneur peut instaurer des relations avec son futur client ! Il lui sera ainsi facile de cerner les lacunes du produit en analysant les feed-back provenant des clients. C’est aussi un signe qui prouve que l’entreprise porte une attention particulière à ce que les consommateurs attendent. 

Cette méthode permet non seulement d’attirer l’attention de la cible avant même que le produit ne soit en vente, mais elle permet aussi de connaître l’avis immédiat, la satisfaction et les attentes de la cible. Si le produit proposé n’est pas apprécié, autant le savoir le plus rapidement possible. Cela diminuera le coût et les pertes. L’entrepreneur peut se rattraper en corrigeant les côtés déplaisants du produit, voire le changer radicalement. 

Zoom sur les différentes techniques du Lean

Il faut commencer par tester le produit ou le service auprès des cibles. Un feed-back du client vous permettra de connaître plus rapidement les points faibles de vos produits, plutôt que d’attendre les résultats donnés par votre chiffre d’affaires. Cette méthode permet de « se tromper plus vite », pour ensuite se lancer à nouveau à moindre coût. Si vous désirez appliquer cette stratégie, vous devez être très méticuleux. La première action c’est de définir vos cibles. Si plus de la moitié des clients ont apprécié le produit, vous pouvez de suite le lancer. 

À l’inverse, demandez aux personnes réticentes pourquoi le produit ne leur plaît pas. Lorsque vous aurez trouvé le problème, essayez de les résoudre et faites-leur tester une fois de plus. Cela vous offrira l’opportunité d’adapter plus facilement  votre produit au besoin réel du marché. Cette méthode est simple, efficace et moins coûteuse, mais la majorité des entrepreneurs sont si confiants de leur projet qu’ils pensent ne pas avoir besoin de cette méthode. 

Les différentes phases du Lean

Les étapes de la phase 1 :

  • définir avec précision vos cibles
  • Faire tester le produit/service aux cibles sélectionnées
  • Analyser avec rigueur le retour, les critiques des clients.

Les étapes de la phase 2 :

  • une majorité des clients a apprécié le produit/service, alors allez-y.
  • le produit/service ne leur convient pas, remettez-le en cause et servez-vous des critiques émises pour le modifier. Associez vos clients à votre démarche, ils deviendront vos coachs en quelque sorte. Puis proposez-leur de tester le nouveau produit/service. 

Pour voir son entreprise prospérer, une start-up doit effectuer constamment un feed-back. Ce dernier ne doit pas seulement être effectué pendant le lancement du produit ou du service, il doit être réalisé régulièrement pour connaître en temps réel les besoins actuels des clients.

10 astuces pour réussir ses cartes de visites

La carte de visite, loin d’être un objet ringard, a encore toute son utilité. En effet, elle ne se noiera pas dans le fichier de votre mobile mais s’imposera par sa présence. A l’heure du tout numérique et du monde planétaire, des échanges internationaux, des networking et la carte de visite sur laquelle figurent vos coordonnées se révèlent toujours indispensables ! Aujourd’hui, de nombreuses options sont disponibles pour embellir vos cartes de visites et ainsi vous démarquer. Alors comment donner envie aux autres de la regarder et surtout de la garder ?

Une carte de visite mais vous allez vous esclaffer « j’ai mon mobile » et « je vous envoie mes coordonnées par mail ».  Celles-ci après une conférence se noieront dans les e-mails et difficile pour que votre interlocuteur se souvienne de vous, à moins qu’il ait quelque intérêt à vous rechercher. Au Japon, elle fait partie des usages de politesse et dans nombre de pays Internet n’est pas constamment à la portée de tous et à chaque instant est surtout au moment opportun.. Sans carte de visite, qui donne votre fonction et votre titre, vous serez décrédibilisé. La carte de visite est donc à étudier sous toutes ses coutures et donc selon les coutumes de chaque pays.

A chaque situation, cessez de penser selon vos habitudes personnelles, adaptez-vous à votre interlocuteur et présentez-lui une carte de visite qui retiendra son attention et qui lui permettra de se souvenir de vous !

Une question de taille 

Sachez d’abord que la taille standard d’une carte visite est de 8,5 x 5,4cm. Et sur ce point-là, il vaut mieux ne pas trop vouloir faire dans l’originalité. Certains sites proposent de nouvelles formes (plus grandes, carrées…) mais gardez à l’esprit que le format n’a pas été normalisé pour rien. Il correspond à la taille d’une carte bancaire et sera donc plus approprié pour être inséré dans n’importe quel portefeuille ou porte-cartes. Une carte de visite trop grande sera pliée, perdue ou jetée car encombrante.

Horizontal ou vertical ? 

En ce qui concerne l’orientation, pensez que la plupart des cartes du quotidien sont d’un format horizontal donc celui-ci reste le plus naturel aux yeux de vos interlocuteurs. Vous opterez plutôt pour l’horizontal si vous êtes chef d’entreprise, cadre, journaliste… Rien ne vous interdit cependant de tester la carte verticale. Les informations devront alors être disposées les unes sous les autres. Ce côté original peut être le bienvenu si votre entreprise propose un produit ou des services atypiques.

Le verso de la carte

Certaines cartes peuvent être écrites à la fois sur le recto et sur le verso. Comment savoir si cela vous conviendrait ? Pour répondre à cela, énumérez le nombre d’informations qui apparaîtront sur votre carte de visite. En général, un recto suffit à placer les informations vous concernant et concernant votre entreprise. Le verso permet d’en ajouter à condition qu’elles soient utiles tels que les tarifs si vous vendez un produit en particulier, les activités de l’entreprise si elles sont multiples, les horaires s’ils sont particuliers… Mais sachez que l’interlocuteur utilise parfois le dos de la carte pour prendre quelques notes. Il vous faut donc une réelle nécessité pour insérer des compléments d’informations au verso. Gardez à l’esprit qu’il est important quoiqu’il arrive d’aérer le texte pour une lecture facile et une impression de clarté. Enfin, évitez le texte trop proche des bords de la carte, une marge montre plus d’élégance.

Pensez à la lisibilité

Optez pour une police d’écriture simple, sobre (Times New Roman, Calibri, Arial…) et n’utilisez pas plus de deux tailles différentes sur une même carte. En revanche, vous pouvez jouer avec la taille : ne mettez pas toutes les informations à la même taille, cela permet de les hiérarchiser. Et choisissez une taille minimum de 7,5 pt. Pour se démarquer ici, variez entre l’italique et le gras. Et les polices les plus grosses doivent correspondre aux éléments importants.

Finie l’époque du noir et blanc

Si votre entreprise dispose d’une charte graphique, il est conseillé de l’appliquer afin de conserver une certaine cohérence visuelle. Utilisez de la couleur mais avec modération. Le fond de couleur doit être assez porteur de sens et rappeler le secteur d’activité (vert pour les paysagistes, gris pour le bâtiment, jaune pour les boulangers…). Cela contribue à créer une ambiance agréable pour le destinataire.

Une carte qui vaut de l’or

Préférez un papier de qualité, avec un toucher agréable. Cela a son importance et donne une bonne image de vous et de votre entreprise. Choisissez un papier mat ou brillant (souvent plus cher qu’une qualité standard mais cela en vaut la peine). Le vernis des cartes de visite au fini brillant leur donne un aspect haut de gamme. Notez qu’il est aussi possible d’utiliser « le vernis sélectif » que vous choisissez d’appliquer seulement sur certains éléments de votre carte (image, logo…).

Les sites web les plus récents peuvent également vous proposer d’autres matières (cuir, caoutchouc…), dans l’optique de vous faire paraître différent des autres mais ne tombez pas dans le piège de vouloir « en faire trop ». Il ne s’agira plus d’une carte de visite mais d’un objet publicitaire, qui peut être trop encombrant et mal venu. Préférez le traditionnel mais qui rime ici avec rationnel. Bannissez l’impression et le découpage « maison » et le papier trop fin (souvent bas de gamme, peu cher sur les sites).

Le choix des informations 

Votre carte de visite doit renseigner de manière rapide sur son propriétaire, sa marque, mais cela ne doit pas non plus se transformer en plaquette commerciale. C’est bien connu : trop d’informations tue l’information. Il faut donc que vous sélectionniez et surtout que vous hiérarchisiez ! Une carte dite classique est censée indiquer la raison sociale de votre entreprise, vos nom et prénom, votre fonction et vos coordonnées. Vous pouvez inscrire à la fois celles permettant de joindre l’entreprise et vos coordonnées directes. L’adresse e-mail et le numéro de téléphone portable sont indispensables et vous pouvez également ajouter l’adresse du site web de la société. Si possible décrivez en deux ou trois mots sous le nom de l’entreprise ce que l’on appelle votre « Unique Selling Proposition » c’est-à-dire l’argument qui fait que votre société est différente des autres…

L’ajout d’images

Si vous avez un logo faites-le figurer sur la carte, c’est l’élément visuel qui permet à votre interlocuteur de se souvenir de vous et de votre entreprise en un coup d’œil. Si ce n’est pas le cas vous avez la possibilité de choisir un élément graphique dans la base de données des sites web. Mais prenez garde à ne pas tomber dans le cliché de la truelle pour représenter le bâtiment. Ce n’est pas très original. Préférez à la rigueur une photo prise par vos soins, reflétant votre entreprise (un bâtiment en construction par exemple). Adaptez la taille du logo ou de l’image pour que cela n’écrase pas le texte.

Une carte personnalisée

N’oubliez pas qu’il vous est possible de faire plusieurs cartes. Les informations peuvent ne pas être les mêmes selon votre destinataire (client, investisseur…). Au lieu de vouloir absolument tout mettre, adaptez vos informations et ne faites pas une carte « passe-partout ». Pour un client vous pourrez mettre en avant les services proposés, les produits que vous vendez… Et pour un investisseur, préférez l’ajout d’informations sur l’entrepreneur et le projet.

Une carte 2.0

Dernier conseil : aujourd’hui la communication passe beaucoup par le numérique. Même si la carte de visite a encore de belles années devant elle, montrez que vous êtes adepte des nouvelles technologies et enrichissez votre carte avec un QR code qui permettra au destinataire de pouvoir accéder directement depuis son smartphone ou sa tablette à votre site web ou à votre profil professionnel. Les sites dédiés vous proposent de le faire rapidement et gratuitement, et vous êtes sûr de vous montrer original et à la pointe de la technologie.

Et n’oubliez pas de vous conformer aux usages de chaque pays !