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Etudiant-entrepreneur : un statut qui attire de plus en plus de jeunes

Les jeunes entrepreneurs qui ont eu par le passé beaucoup de difficultés à mener convenablement études et projet d’entreprise, peuvent trouver une nouvelle dynamique avec le nouveau statut d’étudiant-entrepreneur instauré par le gouvernement depuis la rentrée. 

Un mois après son entrée en vigueur, le dispositif avait déjà retenu l’attention d’une trentaine de jeunes localement, en région Centre. Ce nouveau statut a été jugé utile pour les jeunes diplômés et les étudiants qui veulent créer leur propre boîte, ceci, au moyen d’un accompagnement personnalisé. Pour ce faire, ces futurs patrons de structure innovante ou de start-up n’ont plus qu’à se tourner vers les Pôles Etudiants Pour l’Innovation, le Transfert et l’Entrepreneuriat (PÉPITE), un dispositif mis en place par le gouvernement.

Disposer à la fois d’un diplôme et d’un statut

Aujourd’hui, les jeunes ont libre cours de faire leur choix de parcours. Il y a ceux qui choisissent de se consacrer aux études, certains qui sont indécis dans leur choix et d’autres qui veulent à la fois un diplôme et un statut. En fait, le statut d’étudiant-entrepreneur donne l’opportunité aux jeunes qui sont encore en phase d’études de mener en parallèle leurs projets d’entreprise tout en jouissant encore de leur droit d’étudiant comme le transport, la restauration, la couverture sociale et autre.
Trois possibilités pour ces jeunes : soit ils sont inscrits dans un cursus universitaire appelé « Création d’entreprises innovantes et entrepreneuriat », soit ils continuent à étudier en demandant un agencement d’emploi du temps, soit le projet d’entreprise vient intégrer la formation par l’attribution de crédits ECTS.

Bientôt 100 à 200 jeunes qui vont se lancer…

Dans ce contexte, le pôle entrepreneuriat étudiant régional du Centre s’est fixé un objectif ambitieux. Il s’agit d’attirer, en cette année universitaire, 100 à 200 jeunes dans la filière de création d’une société. Actuellement, il existe sur le territoire près de 29 structures pour pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, dont une en région Centre. Avec ce dispositif et face aux différents privilèges dont peut bénéficier tout étudiant qui désire jouir du statut d’étudiant-entrepreneur, ces étudiants ont toutes les chances de leur côté pour réussir et pour monter de belles entreprises. 

Un avantage conséquent

Les efforts du gouvernement, les engagements des universités et les supports dont bénéficient ces étudiants-entrepreneurs constituent un avantage conséquent qui leur donne la chance de faire progressivement mûrir leur projet et de le transformer en entreprise multinationale. De plus en plus de jeunes sont séduits par cette idée d’entreprendre tout en suivant ses études, sans oublier le diplôme !

Comment déposer une marque ?

Trouver un nom, un logo, une marque pour une entreprise est une procédure importante, car votre griffe vous permet de vous différencier de vos concurrents.

En quoi consiste un dépôt de marque ?

Le dépôt d’une marque permet de la protéger des copieurs et usurpateurs. En déposant votre marque, vous en devenez le propriétaire légal. Que vous soyez un particulier ou le représentant d’une personne morale comme une entreprise ou une association, vous avez le droit de déposer la marque. Vous pouvez le faire vous-même ou passer par un mandataire professionnel qui vous assiste dans les démarches nécessaires.

Le signe verbal, que l’on peut énoncer comme tel : mot, nom, lettre, slogan, chiffre, sigle… peut être déposé en tant que marque. Vous pouvez aussi le faire pour les signes figuratifs, comme par exemple : logo, hologramme, dessins, formes, reliefs, nuances authentiques ou assemblage de couleurs. Sans oublier les phrases musicales que l’on peut traduire matériellement, les sons. Bref, tout ce qu’on appelle signe sonore. 

L’intérêt de déposer une marque pour une entreprise

En déposant une marque, une entreprise permet de la protéger en : 

  • interdisant la production par d’autres personnes : vous ne voulez sans doute pas que le nom de votre marque ou de votre produit soit utilisé par d’autres. Il est donc primordial de déposer votre marque auprès de l’INPI même si votre entreprise n’est pas encore tout à fait en activité. Si vous n’avez pas pu déposer votre marque durant la création de votre entreprise, vous pouvez encore le faire a posteriori. Sachez que vous pouvez toujours le faire parce qu’il n’est jamais trop tard tant que la marque reste inoccupée. Il ne faut jamais confondre dépôt et nom de domaine sur internet. Ce dernier ne protège pas la marque en tant que telle.
  • évitant d’interdire la multiplication par d’autres : le fait de déposer votre marque vous en donne la possession. Vous êtes légitimes vis-à-vis des personnes qui tentent de produire un nom semblable et/ou similaire et qui veulent également déposer la marque.

Les étapes à suivre pour déposer une marque

Pour déposer une marque, vous devez suivre ces étapes essentielles :

  • Décidez du produit et/ou service garantit par le dépôt : la protection dépend du dépôt effectué. Il est donc important de formaliser le besoin.
  • Vérification de la disponibilité de la marque : pour ce faire, vous pouvez visiter le site de l’INPI http://bases-marques.inpi.fr/ .
  • Remplissez le formulaire de dépôt : vous pouvez prendre le formulaire chez l’INPI ou le télécharger sur son site.
  • Dépôt du dossier : une fois rempli, vous devez le déposer à l’INPI et payez ensuite les redevances, après, vous recevrez un accusé de réception qui possède la date et le numéro national de votre dépôt.
  • L’étape suivante est la publication de du dépôt de votre marque au BOPI (Bulletin officiel de la Propriété industrielle)
  • Au moment de l’examen de votre dossier, l’INPI peut faire des remarques ou des répliques ou pire des objections.
  • La prochaine étape que vous devez faire est de répondre à ses objections.
  • Il reste à publier l’enregistrement de votre marque au BOPI
  • La dernière étape demeure l’envoi du certificat d’enregistrement.

Affirmer sa présence sur les réseaux sociaux : un impératif pour 2015

Les périodes au cours desquelles les entreprises n’utilisaient que de la publicité pour se faire connaître sont aujourd’hui révolues. Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Google+ font désormais partie intégrante du plan de communication d’une entreprise. Ces réseaux sociaux touchent un public varié, ce sont des outils à ne pas négliger.

Les raisons pour faire connaître une entreprise sur les réseaux sociaux

Généralement utilisés par le grand public, les réseaux sociaux sont indubitablement une aubaine pour les entreprises. Ils permettent à une entreprise de se faire beaucoup d’audience. Avec un peu de chance, l’entreprise aura l’opportunité de toucher presque toutes les tranches de la population. Ces médias électroniques possèdent également des espaces spécialement dédiés aux professionnels afin de pouvoir interagir avec les potentiels clients. L’entreprise peut donc très bien en profiter pour faire de la promotion sur un produit, une marque et cela quasiment gratuitement. En somme, c’est la meilleure façon de se faire un coup de pub à moindre coût. Ces réseaux permettent également de bâtir une connexion durable avec les internautes et les clients potentiels. Toutefois, la prudence est toujours de mise, car les réseaux sociaux sont aussi connus pour détruire des réputations.

Les stratégies de communication à adopter

Être présent sur les réseaux sociaux ne garantit pas la réussite ou l’expansion de votre entreprise. Il est donc essentiel d’adopter une politique bien définie pour attirer les internautes. La première étape à faire est de créer une page sur le ou les réseaux de votre choix. Ensuite, vous devez bien choisir les idées ou les contenus que vous devez mettre sur la page. Pour ce faire, il est important que votre page soit un outil reconnu par beaucoup de personnes et que les personnes aient envie de la visiter. Vous devez inviter plusieurs personnes autour de vous à rejoindre votre page et également à la partager sur leurs profils respectifs pour susciter leur intérêt autour de vous. Votre page doit également s’ouvrir à tout le monde, vous devez faire participer les internautes. Vous devez également l’actualiser le plus souvent possible en communiquant des informations fraîches sur votre entreprise.

Comment choisir ses réseaux sociaux pour 2015 ?

Les réseaux sociaux sont très nombreux, certes, ils sont là pour faire durer le marketing, mais il est impératif de bien s’en servir. Comme une entreprise ne peut pas développer ses activités sur tous les réseaux existants, il est essentiel de bien les choisir. En tout premier lieu, il faut que vous sachiez si le réseau peut diffuser le message que vous souhaitez transmettre. Vous devez également mener une enquête sur les types de personnes qui fréquentent le réseau.

Quoi qu’il en soit, en 2015, votre entreprise doit être impérativement présente sur 3 réseaux sociaux. Facebook reste le réseau social le plus utilisé au monde et en France. Il touche le grand public de façon très large, et il est impératif d’y avoir sa page pour être visible. Le deuxième est Twitter, avec plus de 2,3 millions d’utilisateurs actifs en France aujourd’hui. Avec son format concis de statuts, il est un moyen efficace pour partager une actualité rapidement autour de soi, et également d’attirer les journalistes. Enfin, Google+ demeure un réseau important par son impact et au vu de la crédibilité de son créateur (Google) sur le marché du web en général…

PME : quelles solutions de financement en cas de difficultés ?

Depuis déjà un bon moment, nombre d’entreprises n’ont plus accès à un crédit suffisant. Le contexte économique actuel en est certainement responsable. En attendant la nouvelle réglementation bancaire sur les accords de Bâle III, les entreprises doivent rapidement trouver d’autres solutions de financement afin de pouvoir fonctionner convenablement.

Le climat économique et financier des entreprises est des plus délicats. Il est désormais plus que difficile de gagner la confiance des institutions financières. Des solutions à court terme arrivent à point nommé pour aider les entreprises dans le besoin et la difficulté.

Un bref rappel des réalités

Selon une récente étude de l’OCDE sur le financement des entrepreneurs et des PME, 74 % des financements réalisés dans la zone euro proviendraient des institutions financières. Pourtant aux États-Unis, il ne dépasse pas les 24 %. Ce chiffre est encore plus étonnant en France avec plus de 90 % des cas. Ce qui représenterait près de 200 milliards d’euros pour les crédits de trésorerie bancaire. Selon les experts, ce volume doit être réduit de 10 à 20 % avec les accords de Bâle III. C’est dans ce contexte que les organismes financiers se montrent plus sévères et plus stricts dans leurs critères d’attribution. Ceci, puisque l’activité crédit leur coûte plus cher.

Une aide de l’État

Collectivités territoriales et pouvoirs publics viennent en aide aux entreprises en apportant quelques-unes des nombreuses solutions prévues par l’État.

  • Prêt départemental et régional pour la gestion et la prévention des difficultés financières : ce sont des prêts offerts à titre de relance, en vue d’aider les entreprises en difficulté financière.
  • Le médiateur de crédit, un dispositif pour contourner le refus des institutions de crédit bancaire : l’État met en place un médiateur dans le but d’aider les chefs d’entreprises, face aux différents problèmes liés aux soucis de trésorerie et de financement, qui n’ont pas été satisfaits auprès des institutions financières.
  • Répartir le paiement de ses charges fiscales et sociales : un guichet unique dédié aux entreprises en difficulté est mis en place par la Direction générale des finances publiques pour régler tout retard de paiement de leurs obligations sociales et fiscales, selon des « plans de règlement de créances » qui conviennent à la situation de chaque entreprise.
  • Les avances de trésorerie pour une aide aux entreprises sont des aides allouées par Oséo. Oséo est une agence publique de l’État qui se veut d’accompagner et de financer les PME en difficultés. Accessibles à court terme, ces avances servent à compléter vos finances. Elles financent également les créances professionnelles.

D’autres solutions à court terme

  • L’affacturage : c’est un moyen de financement qui convient aux PME qui œuvrent dans le BtoB. Ainsi, les entreprises se voient d’externaliser leur poste client et faire appel à un spécialiste. Les banques orientent plus de dossiers vers cette activité presque sans contraintes réglementaires.
  • La titrisation : un financement qui s’adresse aux PME-PMI. Il est question de vendre des créances clients à des investisseurs sur les marchés. Cela apporte plus de cash aux entreprises.
  • Subventions et crédits bail : il s’agit pour certaines entreprises de faire appel au crédit-bail immobilier ou mobilier. Il est donc question d’un contrat réalisé avec une entreprise qui met un bien à la disposition d’un client où ce dernier s’engage à la location sur une durée déterminée, en contrepartie de loyers.
  • Le lease-back : c’est un moyen pour une entreprise de revendre à une société financière un actif immobilisé afin de générer de la trésorerie. Cela engendre un important avantage fiscal.

Temps partiel pour la création d’entreprise : quelles formalités ?

Le droit de congé ou le temps partiel est accordé à tous les salariés désirant se consacrer à un projet. Le temps partiel est toujours en rapport avec la création ou la reprise d’une entreprise. C’est un congé d’un an maximum avec une possibilité de prolongation. En tant que salariés, les fonctionnaires disposent également de cet avantage, mais il faut suivre différentes procédures.

Les procédures à suivre

Pour jouir de ce droit d’un temps partiel, le salarié doit avoir au moins une ancienneté de 24 mois dans l’entreprise, ne pas avoir pris de congé au cours de 3 dernières années.

La procédure est simple : faites une demande dans laquelle figure la date du début et la période de travail à temps partiel envisagé. Précisez bien la durée de congé ou de la période de travail à temps partiel envisagée. Notez aussi la nature de l’activité que vous allez entreprendre. Une fois que la demande est reformulée, le salarié doit la remettre à son employeur en main propre. Il est obligatoire d’informer l’employeur 2 mois à l’avance.

Il est à noter que vous pouvez ne pas préciser vos futurs projets dans votre demande. Toutefois, l’employeur peut demander plus de détails, mais il ne peut pas l’exiger. N’oubliez pas que vous pouvez tout à fait refuser ce complément d’information. Après avoirs lu et examiné votre demande, l’employeur doit vous faire part de sa décision. Ainsi donc, il vous informe également par une lettre recommandée ou remise en main propre, sa réponse. L’attente de la réponse ne doit pas dépasser 30 jours à compter du jour de réception de la lettre. Une non-prononciation équivaut à une acceptation.

Les 2 possibilités de réponses

Vous pouvez vous attendre à deux possibilités de réponses : l’une concerne le report et l’autre le refus de votre demande. Dans le premier cas, l’employeur peut retarder votre départ dans la limite de 6 mois à compter de la présentation de sa réponse. Il n’a pas besoin d’une justification pour mettre en exécution sa décision. L’employeur a aussi le droit de refuser votre demande de congé s’il juge que votre absence portera atteinte à son entreprise ou qu’il estime que vous pouvez devenir son concurrent. Dans ce cas, il vous avertira de son refus par une lettre recommandée ou remise en main propre. Si vous souhaitez contester cette décision, vous avez 15 jours à partir de la date de réception de ladite lettre de présenter votre contestation devant le conseil de prud’hommes.

En cas d’acceptation, y a-t-il possibilité de renouvellement ?

La réponse à cette question est positive. Si vous voulez renouveler la durée de votre congé, vous devez prévenir votre employeur, 2 mois avant le terme du congé, de la même manière que vous avez demandé votre congé. Vous avez droit à une prolongation maximale de 2 ans. Comme à la première demande, vous allez vous confronter aux trois réponses possibles : l’acceptation, le report et le refus de votre prolongation. En cas de report, l’employeur peut repousser jusqu’à 6 mois à compter de la date de renouvellement. Il peut également refuser votre demande. En tout cas, que ce soit l’acceptation, le report ou le refus de votre prolongation, tout nouvel avenant au contrat de travail doit être signé.

Plan de formation : un impératif pour 2015

Selon le Code du travail, tout employeur a une obligation envers ses employés en ce qui concerne la formation professionnelle. Les dirigeants doivent offrir une formation adéquate à leurs salariés ne serait-ce que pour les maintenir dans le coup. Avec un bon plan de formation, les employés n’auront aucun mal à suivre l’évolution et la mutation de leur poste.

Faire appel à des consultants

Pour mettre en place un plan de formation, l’entreprise peut faire appel à des consultants externes, ou se charger elle-même de l’organisation. Sachez qu’aucune loi n’exige la réalisation de ce plan de formation, mais il s’agit bel et bien d’un levier pour la compétitivité de l’entreprise.

En quoi consiste un plan de formation ?

Le plan de formation regroupe les actions de formation déterminées dans le cadre de l’administration des salariés au sein d’une entreprise. Ce plan de formation est également adopté pour faciliter certaines obligations, comme le bilan de compétences et l’approbation de l’expérience des employés. C’est l’employeur qui est en charge de mettre en œuvre le plan de formation. Les représentants des salariés ou le comité de l’entreprise doivent spécialement être avisés sur le projet pour l’année suivante. Ceci doit être fait une fois que les administrations de la formation dans une entreprise sont consultées. Le plan de formation de chaque entreprise doit être formalisé à chaque fin de l’année.

Les intérêts de mettre en œuvre un plan de formation

Un plan de formation offre plusieurs avantages au sein d’une entreprise. Il permet de reconnaître au préalable les opérations de formations que l’entreprise doit mettre en œuvre. Il rassemble également toutes les démarches que l’entreprise vient de mettre en place. C’est l’outil idéal pour mieux s’organiser. Avec un plan de formation net et clair, les personnes concernées sauront tout de suite ce qui les attend.

Les critères pour élaborer un plan de formation

En général, chaque plan de formation doit être fait à partir de deux critères. Le premier est la priorité sur l’estimation des nécessités en formation que l’employeur trouve au sein de son entreprise. En ce qui concerne le second critère, la demande doit émaner des salariés eux-mêmes. Ces demandes ont été faites soit lors des conversations entre professionnels durant l’année de travail, soit par l’intermédiaire des représentants du personnel au sein de l’entreprise.

Les étapes à suivre pour réaliser un plan de formation

Pour réaliser un plan de formation, il est important de suivre ces étapes. La première chose à faire est de développer une stratégie de formation. Ce qui doit mettre le lien entre les actions prises et la politique de l’entreprise. Après, il faut reconnaître les exigences sur la compétence et choisir les actions les plus adaptées à ce besoin. Ensuite, il faut connaître les conditions de réalisation de la formation comme les coûts, le délai et la qualité de la formation. Une fois ces étapes terminées, l’employeur doit savoir choisir le moment crucial pour la réalisation de la formation. Enfin, il faut mettre en place des stratégies de suivi et l’évolution. Ce qui permettra de mieux élaborer le prochain plan de formation.

Tout savoir sur le véhicule de fonction

Le véhicule de fonction est un véhicule de la société mis à la disposition des salariés. Il est considéré comme un avantage en nature accordé au bénéficiaire. Ce dernier peut l’utiliser aussi bien pour ses déplacements professionnels que personnels. Le véhicule de fonction est différent du véhicule de service qui n’est accessible que dans le cadre de déplacements professionnels. Le salarié qui utilise un véhicule de service doit le rapporter à la fin de la journée de travail.

L’importance du contrat

Comme tout avantage, le véhicule de fonction est inscrit dans le contrat de travail, il doit être déclaré aux services fiscaux et aux impôts. L’évaluation des charges sociales est fonction des dépenses réelles engagées par le véhicule, c’est-à-dire le coût d’acquisition, les frais kilométriques, les entretiens, les assurances, l’amortissement. L’évaluation est également fonction de l’estimation forfaitaire annuelle du véhicule qui se base sur le coût d’achat du véhicule et la taxe. Bien sûr, l’entreprise s’engage à assumer tous les coûts directs, à savoir l’achat ou la location de ces véhicules, la carte grise, les assurances, le carburant, les entretiens et les coûts indirects comme les impôts société. Sans oublier la cotisation foncière des entreprises et les charges sociales patronales dues sur le montant de l’avantage en nature.

Pour les bénéficiaires

Les bénéficiaires du véhicule de fonction doivent savoir que l’usage de ces véhicules doit être mentionné dans le contrat de travail. La restitution de ce véhicule n’est pas possible sans le consentement du salarié bénéficiaire. À nous de rappeler que l’annulation ou la suppression de l’usage d’un véhicule de fonction doit faire l’objet de modification du contrat et doit être remplacée par une revalorisation salariale. Pour faire court, la mise à la disposition du véhicule constitue un avantage dont il ne saurait être privé sans être indemnisé.

En tout cas, le bénéficiaire devrait connaître tous ses droits en ce qui concerne l’utilisation de ce véhicule. En cas de suspension de contrat de travail, il peut toujours bénéficier de ce véhicule. Même si la cour de cassation estime que le salarié licencié est disposé à effectuer son préavis, il a le droit de ne pas restituer le véhicule, même si l’employeur s’engage à lui verser une indemnité compensatrice en contrepartie, avant le terme du contrat. Ainsi donc, l’utilisation de ce véhicule est conforme à l’exécution normale du contrat qui ne prend fin qu’au terme du préavis.

Pour les employeurs

Les employeurs désireux de dispenser des véhicules de fonction à leurs salariés doivent bien décrire dans les clauses du contrat les règles auxquelles les salariés doivent se conformer en cas de suspension, qu’importe la raison. À défaut, le salarié peut continuer à bénéficier du véhicule pendant la période de suspension du contrat de travail.

3 outils pour rendre performant votre site Internet

Votre site internet est votre première vitrine et vous l’avez compris. Oui mais voilà le trafic n’augmente pas et vous ne savez pas pourquoi. Voici 3 outils pour rendre performant votre site Internet. 

Mots clés, titre, description, contenu ou encore lien pointant vers votre site, autant d’éléments qui influent sur le positionnement de votre site internet sur les moteurs de recherche. Afin d’avoir un site performant qui soit bien référencé, il vous faut bien connaître les règles. Le référencement naturel représente une très large partie du trafic des sites Internet et vous évite d’utiliser des campagnes qui peuvent rapidement devenir un coût significatif. De nombreux éléments peuvent nuire à ce fameux positionnement. Certains outils permettent de mieux analyser votre site Internet afin d’en corriger les défauts, d’améliorer votre référencement sur les moteurs de recherche et d’augmenter votre trafic de manière naturelle.

Ces analyses peuvent porter sur le poids de la page, des ressources qui ne sont pas accessibles, la taille des images, les codes commentaires, des redirections malvenues, la longueur d’un titre, les scripts trop longs, le nombre de recherche DNS, des cookies trop longs, des tirets dans l’url… Ces outils, très pratiques pour être bien référencés, vous aideront à corriger ces défauts et à mettre en place une véritable politique de référencement avec les personnes de votre équipe qui s’en occupent. Mais n’oubliez pas que c’est tout de même l’intérêt que vous portent les utilisateurs qui reste déterminant dans leur choix de venir sur votre site ou non. Vous ne pourrez pas négliger l’acquisition directe (sans passage par un moteur de recherche) ou encore l’optimisation de la navigation à l’intérieur de celui-ci. Ils pourront être déterminants sur le « fameux » taux de transformation. Vous n’avez pas encore testé ce type de logiciel ? N’attendez pas car vous pourriez être surpris par le nombre d’éléments que vous négligez et de petites erreurs alors que vous pensiez votre site parfait.

Dareboost

analyse la performance et la qualité des sites web. Vous obtiendrez un rapport intégrant les métriques liées à votre site web (temps de chargement, poids de la page…) et des conseils experts, sur l’ensemble des problèmes qui ont été détectés, personnalisés selon les technologies utilisées par votre site. Vous avez notamment la possibilité de tester la version mobilex. www.dareboost.com/fr

Myposeo

permet de connaître quotidiennement la position de votre site sur les moteurs de recherche, sur 10 pages de résultats et plus de 300 extensions de moteur. L’analyse des données de cet outil est très précise et mise en forme dans de nombreux graphiques et visualisations. La synthèse des données permet ainsi de constater et exporter les évolutions de votre référencement. fr.myposeo.com

Ranks

vous donne un tableau récapitulatif des positions de vos mots clés sur les moteurs de recherche, d’examiner la performance de chacun de vos sites à travers différents indicateurs dont vous pouvez visualiser graphiquement l’évolution sur une période donnée. Le suivi permet l’analyse détaillée du référencement de vos concurrents et le classement des acteurs de votre marché. www.ranks.fr

Comment calculer les congés payés ?

La simple définition attribuée au mot « congés » n’est autre que l’autorisation accordée à un salarié de cesser le travail. C’est également la période pendant laquelle il y a interruption de travail, à l’occasion d’une fête, des vacances ou d’une maladie. Il est à noter que c’est l’employeur qui organise les départs de congés selon les règles internes de l’entreprise.

Durant les jours de congés, l’employeur verse une indemnité de congés payés au salarié. En contrepartie, le salarié n’a pas le droit de travailler pour le compte d’un autre employeur ni d’avoir une quelconque activité rémunérée pendant ses jours de congés. En principe, la durée des congés n’est pas prolongée bien que le salarié tombe malade pendant ses jours libres. Il doit se rendre à son travail et demander à se mettre en arrêt maladie.

Le droit de congés est attribué à tous les salariés quels que soient leurs catégories ou leurs qualifications, la nature de leurs rémunérations et leurs horaires de travails. Le salarié à temps partiel a les mêmes droits que le salarié à temps complet. Généralement, les salariés ont droit à 30 jours de congés chaque année, soit 2,5 jours par mois.

Conditions d’obtention des congés

En signant le contrat de travail, un salarié doit respecter les règles fixées par le code de travail, les conventions et les accords collectifs. Pour avoir droit à des congés payés, le salarié doit effectuer au minimum 10 jours de travail effectifs chez l’employeur. Il doit prévenir son employeur au moins un mois à l’avance de la date de départ. La date de congés doit avoir le consentement des deux parties : l’employé et le salarié. Entre autres, le salarié ne peut prendre des congés à une date fixée par lui-même et ne pourrait pas partir sans l’autorisation de son employeur. Et une fois que la date est fixée, ni l’employeur ni le salarié n’ont le droit de la modifier. Toutefois, un seuil de tolérance est accordé aux conjoints ou aux personnes liées par un pacte civil de solidarité qui travaillent dans le même établissement. Ces personnes ont le droit de prendre un congé en même temps. Les nouvelles recrues peuvent prendre des congés qu’ils ont acquis sans attendre la fin de la période de référence. Un salarié a donc le droit de prendre un congé de 24 jours ouvrables, mais les congés payés ne dépassent pas 12 jours ouvrables. Tous les congés dépassant 12 jours peuvent être fractionnés par l’employeur.

Comment les calculer ?

Le principe est simple. Le décompte des jours de congés se faits en jours ouvrables, c’est-à-dire lundi au samedi. En cas d’horaire étalé, on considère quand même comme jours ouvrables les jours non travaillés.

Pour calculer les congés payés : vous devez additionner le nombre de jours ouvrables compris entre le premier et le dernier jour de congés. Mais les jours d’arrêt maladie et les jours de congés de maternité ne doivent pas être pris en compte. En ce qui concerne le calcul d’indemnité de ces congés payés, il se base sur deux les deux modes qui sont les suivants : le premier est égal à la rémunération perçue comme si le salarié avait continué à travailler. Le second est égal au 1/10ème de la rémunération totale brute perçue pendant la période de référence ; cela inclut les primes, les majorations pour heures supplémentaires.

Planifier les vacances de votre community manager

Évidemment, comme tout le monde, le community manager a également le droit de profiter des festivités à venir, que sont les fêtes de Noël et le jour de l’an. C’est un moment où tout le monde aimerait bien passer les fêtes en famille ou entre amis, pour lâcher complètement la pression. Mais le problème c’est que sans le community manager, rien ne va plus sur les réseaux sociaux. Ce serait donc une vraie perte pour une entreprise, notamment en termes de fidélisation client et de prospect.

Les soucis à prendre en compte

Le problème c’est que pour une entreprise, il n’existe bien souvent qu’un seul community manager. C’est ce qui fait que les choses sont compliquées. Evidemment, les réseaux sociaux fonctionnent en continu et ne sont pas sujets aux heures de bureau. Ces réseaux sociaux pullulent de lecteurs potentiels (vos cibles) susceptibles de se connecter à des heures très improbables. Autre problème, ne rien publier signifie perdre en crédibilité. Une page fan vide renvoie une mauvaise image de l’entreprise. Une vitrine vide laissera toujours une marque.

Comment faire, dans ce cas ?

Pour le community manager, les vacances sont proches et il faut s’apprêter à partir. Pour ce faire, il vous suffit de prendre certaines mesures. La première chose à faire est de planifier. En de telles circonstances, Facebook prévoit la possibilité de planifier les interventions. Le community manager doit ainsi rentrer une heure et une date de publication précise et tout est en ordre. La seconde chose à faire est de gérer l’urgence. Tous les messages reçus depuis une page sociale ne requièrent pas toujours une réponse dans l’heure. Un tri entre les requêtes accessoires et les demandes essentielles doit être réalisé par le manager.

Dans le même ordre d’idée que la planification et la gestion d’urgence, il faut savoir trouver un rythme de publication, et potentiellement le ralentir un peu pendant les fêtes. Cela permet au community manager de mieux s’organiser, et ce dernier doit juger s’il est en mesure ou non de poster des billets et à quelle fréquence. Pour recevoir instantanément des alertes, misez tout sur votre Smartphone, un appareil indispensable pour un community manager pour agir rapidement.

Ce qu’il faut savoir

Il est important de noter qu’il existe des comptes qui ne supportent pas une interruption momentanée des activités. Dans le cadre d’un compte qui présente plusieurs interactions journalières, comme Twitter, il serait plus judicieux de remplacer le community manager pour éviter de couper le service. Vous le savez sûrement, la confiance des internautes s’acquiert dans la constance et la durée