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Planifier les vacances de votre community manager

Évidemment, comme tout le monde, le community manager a également le droit de profiter des festivités à venir, que sont les fêtes de Noël et le jour de l’an. C’est un moment où tout le monde aimerait bien passer les fêtes en famille ou entre amis, pour lâcher complètement la pression. Mais le problème c’est que sans le community manager, rien ne va plus sur les réseaux sociaux. Ce serait donc une vraie perte pour une entreprise, notamment en termes de fidélisation client et de prospect.

Les soucis à prendre en compte

Le problème c’est que pour une entreprise, il n’existe bien souvent qu’un seul community manager. C’est ce qui fait que les choses sont compliquées. Evidemment, les réseaux sociaux fonctionnent en continu et ne sont pas sujets aux heures de bureau. Ces réseaux sociaux pullulent de lecteurs potentiels (vos cibles) susceptibles de se connecter à des heures très improbables. Autre problème, ne rien publier signifie perdre en crédibilité. Une page fan vide renvoie une mauvaise image de l’entreprise. Une vitrine vide laissera toujours une marque.

Comment faire, dans ce cas ?

Pour le community manager, les vacances sont proches et il faut s’apprêter à partir. Pour ce faire, il vous suffit de prendre certaines mesures. La première chose à faire est de planifier. En de telles circonstances, Facebook prévoit la possibilité de planifier les interventions. Le community manager doit ainsi rentrer une heure et une date de publication précise et tout est en ordre. La seconde chose à faire est de gérer l’urgence. Tous les messages reçus depuis une page sociale ne requièrent pas toujours une réponse dans l’heure. Un tri entre les requêtes accessoires et les demandes essentielles doit être réalisé par le manager.

Dans le même ordre d’idée que la planification et la gestion d’urgence, il faut savoir trouver un rythme de publication, et potentiellement le ralentir un peu pendant les fêtes. Cela permet au community manager de mieux s’organiser, et ce dernier doit juger s’il est en mesure ou non de poster des billets et à quelle fréquence. Pour recevoir instantanément des alertes, misez tout sur votre Smartphone, un appareil indispensable pour un community manager pour agir rapidement.

Ce qu’il faut savoir

Il est important de noter qu’il existe des comptes qui ne supportent pas une interruption momentanée des activités. Dans le cadre d’un compte qui présente plusieurs interactions journalières, comme Twitter, il serait plus judicieux de remplacer le community manager pour éviter de couper le service. Vous le savez sûrement, la confiance des internautes s’acquiert dans la constance et la durée

Chefs d’entreprise, célébrez Noël au bureau !

Les fêtes de fin d’année débarquent. Bien que Noël soit considéré depuis longtemps comme une fête familiale, les entreprises le célèbrent également. Pour certaines personnes, c’est une fête très amusante, pour d’autres, il est difficile de devoir passer ce moment avec leur dirigeant et leurs collègues. Avant de célébrer Noël au sein de votre entreprise, prenez en compte ces quelques conseils.

Pourquoi célébrer Noël au bureau ?

Si vous faites partie des dirigeants qui pensent que célébrer la fête de Noël au sein de l’entreprise n’est pas important, c’est le moment de changer d’avis. Vous devez savoir que la célébration de cette fête entre collègues peut vous apporter beaucoup de choses. La fête de Noël dans votre entreprise est l’occasion parfaite pour rassembler tous les employés. C’est un des moments au cours duquel vous pouvez faire connaissance avec chacun d’entre eux et aussi faire en sorte que personne ne se sente exclu. C’est aussi le moment parfait pour créer des liens avec vos employés. Cette occasion est également le moyen le plus approprié pour leur adresser votre reconnaissance dans le but de les motiver encore plus.

Les préparations pour une fête réussie 

Pour transformer votre bureau en un lieu très convivial et faire vivre à vos employés la magie de Noël, il est important de bien se préparer. 

  • Bien choisir les conditions : certaines personnes aiment se noyer dans la décoration, d’autres préfèrent rester dans un endroit plutôt simple, mais qui rappelle dans tous les cas que c’est Noël. Mettez des sapins avec les décorations appropriées pour faire de votre bureau un endroit convivial. En ce qui concerne le « dress-code », il ne faut pas exiger que tout le monde se mette sur son 31. Il faut juste que cela soit quelque chose de chic et de charmant. Pas besoin de porter une tenue trop chic, ni de venir déguisé en Père Noël. Soyez simples.
  • Évitez d’en faire trop : durant les fêtes de Noël entre collègues, une enquête a révélé que la plupart des personnes se saoulent et se donnent en spectacle. Pour éviter que cela n’arrive dans votre bureau, il est important pour tout le monde de maintenir une certaine modération sur l’alcool. Il est toujours important de garder une bonne image professionnelle, surtout en tant que dirigeant. Dites-vous que vous êtes néanmoins toujours au bureau et qu’il est important de bien se comporter. Il est important de maintenir une certaine retenue pour éviter les regrets au moment où vous reverrez vos collègues à la rentrée !
  • Quelques conseils : pour éviter que votre fête ne tourne à la beuverie, il est important de prendre quelques initiatives dès le début. Essayez de ne pas faire profiter à vos employés d’un open-bar. Vous pouvez également servir des boissons non alcoolisées pour éviter les débordements. N’oubliez pas également de faire en sorte que vos employés mangent suffisamment pour ne pas boire l’estomac vide. Bonnes fêtes !

Quel revenu pour le dirigeant ?

Le revenu d’un dirigeant dépend généralement de la forme de son entreprise et du régime fiscal qu’il a choisi. Bien qu’il soit le chef de l’entreprise, le dirigeant ne peut pas se payer lui-même comme il l’entend. Il faut qu’il suive les procédures qui sont conformes à la loi en vigueur. Toutefois, malgré ses limites, il existe une diversité de choix qui permettent aux dirigeants de choisir le mode de rémunération qui lui convient le mieux.

Quelles sont les options ?

Les dirigeants qui payent l’impôt sur les sociétés ont le droit de toucher une rémunération indépendante des bénéfices sociaux. Par contre, pour une entreprise individuelle ou en nom collectif qui est assujettie à l’impôt sur revenu, le dirigeant tire ses rémunérations des bénéfices de l’entreprise. Pour les dirigeants des entreprises qui sont assujettis aux impôts sur les sociétés, ils peuvent choisir entre la rémunération sous forme de salaire ou de dividende. À ces deux formes de rémunération s’ajoutent d’autres avantages comme des intérêts de compte courant, des revenus fonciers pour les propriétaires du local de l’entreprise et des avantages en nature comme les logements ou la voiture de transport. Dans certains cas, l’entreprise peut également participer au financement de la retraite du dirigeant.

Percevoir un salaire ou attendre les résultats ?

Les dirigeants salariés recevront une déduction forfaitaire de 10 %. Cela couvre les frais de déplacement, la restauration, les frais de documentation ou de formation. Mais si cela n’est pas suffisant pour le dirigeant, il peut demander une déduction des frais réels. Dans ce cas, il faut qu’il justifie sa demande. Il faut ajouter dans ces demandes les indemnités ainsi que les remboursements de frais en nature. La rémunération en dividende est plus avantageuse dans le sens où l’impôt sur le revenu sur les résultats est plus léger que le salaire d’un même montant. Pour distribuer ou classer les dividendes, il faut obtenir la décision de l’assemblée générale. Les dividendes sont soumis à différents impôts et abattements sur les revenus. Suite à cela, les bénéfices ne sont pas tout de suite partagés aux actionnaires, la loi impose aux dirigeants d’effectuer certaines réserves. On peut citer l’exemple de la réserve légale, de la réserve statuaire, de la réserve réglementée et de la réserve facultative. C’est seulement après que l’entreprise peut placer des parts dans leur capital ou dans d’autres investissements et partager le reste aux dividendes. 

Choisir la forme la plus avantageuse pour l’entreprise

Toutefois, les dividendes que le dirigeant perçoit ne sont soumis à aucun impôt ni cotisation sociale. Il est donc assez difficile de définir quelle stratégie est la plus avantageuse, car si le dirigeant opte pour un salaire régulier, celui-ci ainsi que les charges sociales qui sont liées aux salaires sont déductibles aux résultats de l’entreprise, ce qui permet de diminuer les impôts sur les revenus de la société. Il faut donc effectuer le calcul et voir si l’impôt sur le revenu imputé à l’entreprise est plus lourd que les impôts et les charges sociales que subissent les salaires des dirigeants.

Le coworking : un mode de travail en plein essor

Nouveau mode de collaboration professionnelle insufflé par la technologie, le coworking ou travail coopératif est un nouveau concept développé à San Francisco en 2005. Il regroupe deux notions. Le coworking est à la fois un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs, ce qui encourage l’échange et l’ouverture. Le coworking couvre maintenant les cinq continents et l’on compte près de 2000 espaces dans le monde.

Des conditions de travail conviviales

Le coworking est fréquenté par différentes catégories de travailleurs qui veulent rompre leur solitude et leur isolement ! Les centres sont souvent remplis de développeurs, concepteurs, blogueurs, architectes web, consultants commerciaux ou auto-entrepreneurs. Les espaces de coworking sont appréciés pour l’harmonie et la convivialité qui s’en dégage.

La précarité du monde du travail d’aujourd’hui a renforcé le réseau de la solidarité et de partage pour pouvoir se maintenir dans l’emploi et partager des outils dédiés à cette forme de travail. En tant qu’espace de travail, les espaces de coworking ont joué un rôle prépondérant en favorisant la structuration d’un véritable réseau de cotravailleurs facilitant les échanges, la coopération et la créativité.

Ils offrent la possibilité de travailler plus efficacement et de mêler les expériences et compétences de chacun au sein de l’espace. Les professionnels qui partagent les mêmes bureaux peuvent ainsi travailler de façon collaborative sur des projets en commun. Cette situation impose des règles.

On y partage plus que de l’espace 

En tant que concept et en tant qu’espace, les coworkers baignent complètement dans le partage. Ces espaces offrent un type d’organisation du travail qui permet de partager els compétences d’un réseau de travailleurs, ce qui améliore l’échange et l’ouverture sur autrui. Puisqu’il est né de la multiplication du nombre de travailleurs indépendants souhaitant partager un lieu d’exercice de leur activité́, il facilite la créativité́ et il permet de partager bien plus que de l’espace. 

On peut tirer nombreux profits du coworking. Avant tout, il peut être un véritable atout pour les entreprises. Ces dernières ont tout à gagner en testant la formule. Pour les collaborateurs désireux de travailler à distance, le coworking fournit une solution adaptée à leurs attentes s’il se trouve à proximité de leur domicile. 

Le coworking permet également aux entreprises de s’implanter sur un autre continent, mais sans y être physiquement présente. Il permet à l’entreprise de limiter leurs dépenses immobilières et de faciliter la gestion. Avec le coworking, une entreprise peut éviter de contracter un bail. 

Les membres ont tout à gagner aussi. Leurs complémentarités permettent à chacun un accès facile, naturel et enrichissant à des ressources variées. On y trouve les pôles de compétences principaux de l’entreprise comme les créatifs, les managers, les communicants. D’où la naissance de l’échange et des collaborations.

L’avocat qui donne un coup de jeune au secteur du droit

De par son vécu, Jean-Philippe Touati est un entrepreneur inspiré et réfléchi. En partant de l’expérience de la dématérialisation de son propre cabinet il y a 5 ans, ce professionnel du droit a développé une nouvelle méthode de travail basée sur les nouvelles technologies. Avec certains de ses confrères, il vient de fonder le réseau AvocatSphère, réseau innovant d’avocats, actuellement en phase de lancement. Parcours.

Jean Philippe Touati, inscrit au Barreau de Paris depuis 20 ans, est un entrepreneur-avocat. En 2009, il quitte ses associés et se lance dans une expérience inédite en créant le cabinet e-touati.com, avocat 2.0, dédié au monde de l’entreprise. « L’idée était de repenser entièrement la manière dont j’exerçais mon métier en y intégrant toutes les possibilités offertes par les nouvelles technologies afin d’être non seulement plus efficace mais aussi plus proche de mes clients, plus réactif et compétitif ». À 46 ans, il affiche délibérément l’objectif de faire bouger les lignes, d’innover et de participer activement à la mutation que sa profession est en train de vivre.

Élément déclencheur

C’est une situation peu commode qui a poussé Jean-Philippe Touati à innover sur le plan professionnel. Travaillant dans un cabinet à taille humaine, il décide d’acquérir en 2007 avec ses associés de l’époque des locaux professionnels dans un immeuble ancien du VIIIème arrondissement de Paris. Mais les travaux prévus pour ne durer que deux à trois mois vont en fait perdurer pendant près de deux ans.

« Durant cette période, je me suis retrouvé à devoir payer une infrastructure d’avocat qu’il m’était impossible d’utiliser. Mon bureau était un véritable champ de ruines. Il m’a fallu trouver du jour au lendemain une solution alternative pour continuer à exercer mon activité. J’ai alors mis en place une organisation relevant du système D afin de pouvoir travailler à distance et me suis rendu compte assez rapidement qu’il existait potentiellement une autre façon d’exercer ma profession, d’autant qu’en dépit de conditions de travail très difficiles, j’avais réussi à maintenir mon chiffre d’affaires. Je suis alors passé du système D au concept en créant de nouveaux outils dédiés à la profession d’avocat ».

En 2011, Il crée et lance la plate-forme web « vacations-avocats.fr » permettant notamment à chaque avocat inscrit sur le site (environ 1.500 actuellement) de mettre en ligne son agenda d’audiences.

Un avocat est « un chef d’entreprise à part entière ». Cette prise de conscience a d’ailleurs conduit le Barreau de Paris à créer « le Barreau entrepreneurial » ». Mais à présent, Jean-Philippe Touati a décidé d’aller plus loin dans le concept de la dématérialisation du cabinet d’avocat. « Il m’a fallu du temps avant de maîtriser toutes les étapes menant à cette dématérialisation. Mais à présent, je dispose d’outils performants et efficaces que j’ai en partie conçus et perfectionnés avec le temps. Le cœur de mon cabinet est notamment constitué d’un outil de gestion électronique de documents full web répondant aux normes de sécurité les plus exigeantes. Le nouveau mode d’organisation que j’ai adopté m’a permis notamment de réduire mes charges fixes ». Mais il ouvre la voie, selon ses dires, à de formidables opportunités. « Les avocats doivent non plus se considérer comme des concurrents entre eux mais comme de possibles partenaires. Le droit se complexifie chaque jour davantage. Pour répondre aux besoins de nos clients, il faut savoir faire appel aux compétences des uns et des autres pour traiter un dossier dans son ensemble ».

Des avocats 2.0 en réseau

C’est sous cet angle qu’est née l’idée du réseau AvocatSphère. Le but : pouvoir travailler ensemble sans partager nécessairement les mêmes locaux en disposant des outils technologiques et d’une organisation adaptée au travail collaboratif. AvocatSphère est né également de la volonté de proposer aux clients et prospects une sorte de guichet unique où ces derniers n’ont plus à se soucier de savoir si tel ou tel avocat a bien toutes les compétences nécessaires pour traiter leurs dossiers. La raison est simple : chaque avocat du réseau, recruté pour ses compétences et son éthique, possède la capacité de former une équipe de confrères de confiance disposant du savoir-faire et de l’expérience requise dans chaque secteur du droit considéré.

« Ce mode de fonctionnement permet à chaque avocat de travailler en mode projet et de décupler ainsi son potentiel, par la mise en œuvre d’associations éphémères entre confrères, le temps d’un ou plusieurs dossiers, selon les besoins. Le client s’y retrouve puisque les frais fixes sont bien moins importants que ceux inhérents aux infrastructures traditionnelles d’avocats regroupés par compétences au sein d’un même bâtiment ».

Les clients de Jean-Philippe Touati se sont habitués à travailler en étroite collaboration avec leur conseil par écrans interposés, « ce qui n’empêche pas de se voir physiquement pour discuter de vive voix d’une affaire ou d’une stratégie à arrêter », nous précise l’avocat. « La dématérialisation du cabinet n’est pas la dématérialisation de l’avocat »

Jean-Philippe Touati a décidément pris le train de l’innovation en marche pour l’appliquer à son secteur d’activité. Une profession en pleine mutation auquel contribue l’avocat, enthousiaste pour l’avenir.

Trois questions à … Jean Philippe Touati 

Quel regard portez-vous sur votre profession ? 

Le métier d’avocat doit évoluer pour s’adapter aux exigences d’un monde en transformation permanente. Je conçois le fait de travailler en mode dématérialisé comme l’ouverture d’un nouveau champ des possibles, permettant aux avocats de collaborer avec les membres d’autres professions (experts-comptables, notaires, huissiers, consultants, etc.) afin de proposer une gamme de services dépassant le simple périmètre du droit.

Comment voyez-vous l’avenir d’AvocatSphere ? 

Très vite, ce réseau devrait être présent aux côtés des entrepreneurs qui ont envie de « changer le monde » et deviendra pour les avocats qui en font partie la source d’échanges fructueux, d’opportunités de travail, de partages et d’associations durables.

Depuis quand êtes-vous passionné de droit ? 

Je n’étais pas passionné au départ mais c’est véritablement venu avec le temps. Je trouve cette aventure entrepreneuriale exaltante. Ce n’était pas forcément le cas au démarrage lorsqu’il s’agissait de mettre mes pas dans ceux des confrères qui m’avaient précédé jusque-là. Il y a désormais de nouvelles pages à écrire qui laissent une place importante à la créativité. J’exerce un très beau métier et suis heureux d’apporter ma petite pierre à l’édifice pour innover dans ce secteur en plein changement.

Dialogue social en entreprise : la négociation s’enlise

La négociation autour du dialogue social en entreprise patine. Malgré les nombreuses réunions organisées pour faire évoluer le projet, rien n’a réellement avancé. Si cela fait du surplace, c’est surtout à cause d’un manque d’organisation dans les marges de négociations. Pendant plus de six heures la semaine passée, les syndicats ont souligné leurs propositions et leurs commentaires, sans que le projet n’apparaisse tangible. Explications.

Un accord à trouver d’ici la fin de l’année

Voilà maintenant plusieurs jours que la négociation sur le dialogue social en entreprise se poursuit, sans pour autant atteindre son but. Le 11 décembre dernier, le patronat et les syndicats se concertaient dans l’optique de faire bouger cette négociation. Pour rappel, il s’agit d’une discussion autour de l’efficacité du dialogue social dans l’entreprise et l’amélioration de la représentation des salariés, proposée par Manuel Valls. Or, jusqu’à présent, rien n’a été officiellement décidé. Ils sont au total, cinq confédérations syndicales représentatives et trois organisations patronales (Medef, CGPME et UPA) à vouloir trouver une entente et un espace de progression pour le projet. Manuel Valls a par ailleurs donné un ultimatum (jusqu’à la fin de l’année) aux représentants pour faire avancer la négociation. Le premier Ministre s’attend à ce que l’effort émane de tous les côtés pour concrétiser le projet une bonne fois.

Une négociation difficile

Cette négociation devrait donc être bouclée d’ici la fin de 2014, mais qu’en pensent les syndicats ? Selon Marylise Léon de la CFST, « La balle est dans le camp du patronat, Si on voit que sur les grands principes on peut avancer ensemble, mais que c’est compliqué d’aboutir avant la fin de l’année, il faudra une date en janvier ». Pendant que certains tentent de rester positifs, Marie-Alice Medeuf-Andrieu, représentante de Force ouvrière, ne serait pas du même avis. Le fait de devoir tout boucler dans deux semaines aura déclenché comme une vague de colère et elle confirme donc son absence des prochaines rencontres.

3 outils pour communiquer à distance

Vous êtes parfois amené à vous déplacer pour une durée plus ou moins longue et par conséquent à vous absenter de votre lieu de travail habituel. Voici 3 outils pour communiquer à distance.

Cet éloignement vous stresse parce que vous craignez de perdre le contrôle de votre entreprise. Pour vous déplacer en toute sérénité, certaines mesures s’imposent. La veille de votre départ, distribuez les tâches à votre équipe en expliquant de manière précise la quantité et la qualité attendues. N’hésitez pas à user d’une démonstration en segmentant les étapes clairement. Selon la durée de votre absence, établissez un planning sur un ou plusieurs jours. Inutile de demander à vos salariés plus de travail qu’ils ne pourront accomplir, d’autant plus que cela pourrait les décourager. Mais soyez tout de même prudent en envisageant un décalage de quelques jours sur la durée prévue de votre séjour.

Déléguez à un collaborateur vos fonctions et légitimez son autorité auprès des autres salariés en annonçant votre décision à ces derniers. Dans vos bagages, prenez les coordonnées de votre remplaçant temporaire afin de vous tenir informé de l’évolution des tâches laissées et de contrôler le suivi de vos recommandations. En cas de doute sur le bon déroulement des tâches, intervenez avec délicatesse mais fermeté. N’oubliez pas d’emmener avec vous les documents nécessaires lors de votre séjour externe. Vérifiez les date, heure et lieu de vos rendez-vous et envisagez toujours de pouvoir contacter vos correspondants en cas d’imprévu. Communiquer à distance lorsque vous vous déplacez reste une bonne solution, mais il est probable que ce soit les autres personnes qui désirent faire avec vous une réunion, une conférence, etc… Dans ce cas, n’omettez aucun détail concernant l’accueil de vos « convives ». De bonnes conditions de travail passent par votre capacité à fédérer. Faites preuve d’efficacité du point de vue de la synchronisation pour éviter de perdre et faire perdre du temps. À cet effet, sachez qu’il existe des outils pour communiquer à distance de manière simple et économique.

Skype

Vous fait bénéficier d’appels gratuits entre utilisateurs Skype vers des lignes fixes et mobiles dans le monde à des tarifs très économiques. Ce logiciel vous permet d’organiser des conférences à distance de 3 à 10 personnes. Pour passer un appel vidéo, allez dans vos contacts, vérifiez la présence en ligne de la personne et cliquez sur son nom puis sur « Appel Vidéo ». www.skype.com

Gotomeeting

Ne requiert aucune formation préalable d’utilisation. Vous pouvez contacter en toute sécurité votre équipe, vos clients, etc… disséminés dans le monde. Ce site permet de planifier et organiser des conférences en ligne, réunions, etc. avec maximum de 25 participants. Démarrez une réunion en cliquant sur « Se réunir maintenant » dans la fenêtre de démarrage GoToMeeting. www.gotomeeting.fr

Mikogo

Vous évite de transférer vos fichiers sur Internet avant de commencer une session de partage de bureau. Cette multiplateforme vous permet de diffuser sur le web n’importe quel contenu affiché sur votre écran d’ordinateur. Quel que soit le type de documents, tous les participants de votre réunion ou conférence en ligne pourront voir ce que vous effectuez en temps réel. www.mikogo.fr

Les chemises du PAF !

Les trois jeunes cofondateurs de Hast se sont lancés dans un produit ordinaire : les chemises. Aujourd’hui, la marque habille la moitié des animateurs TV, et leur réussite, rapide, impressionne. La classe ! 

Samy, Thomas et Emmanuel ne proviennent pas du tout du monde de la mode.
Ils ont un goût sûr pour l’élégance et le « chic » parisien, mais travaillent dans le milieu du commerce et de la finance. C’est à force de devoir porter le « costard-cravate » quotidiennement qu’ils se rendent compte d’une difficulté.
« Il est impossible pour quelqu’un, qui doit travailler tous les jours en chemise et cravate, de s’habiller de manière élégante et accessible à cause de l’absence de milieu de gamme. » observe Samy. Les trois amis s’unissent pour proposer des chemises de haute qualité, classiques, à un prix très abordable.
La marque Hast vient de s’implanter sur le marché, en se positionnant ainsi entre le low-cost et le haut-de-gamme.

Un rapport qualité/prix

Pour arriver à ces prix défiant toute concurrence pour une telle qualité, les cofondateurs réduisent les marges et se limitent au e-commerce, ce qui allège les charges fixes. Ils décident de s’autofinancer pour gagner en liberté. « Pour un projet comme le nôtre, il suffit de réunir entre 20 000 et 30 000 €. On a utilisé nos économies personnelles et fait un peu appel à la famille. Il faut alors aller très vite, sinon rester libre de son développement devient impossible ». Et pour aller vite, Samy&co  optent pour un positionnement clair, en étant totalement transparent dans leur communication.
Leur slogan « Simple/Efficace/Accessible » fonctionne et les ventes décollent.
Notamment grâce au bouche à oreille. « Cela reste le meilleur outil de communication » affirme l’entrepreneur.

Des blogs au Paysage Audiovisuel Français (PAF)

Avoir confiance en son produit et le tester. C’est la stratégie qu’adoptent les 3 amis, qui envoient leurs chemises aux blogs de mode masculins. Ces derniers testent le vêtement et proposent leurs conclusions aux internautes. Plus qu’un moyen de communication, ces blogs permettent à Samy, Thomas et Emmanuel de suivre la satisfaction client et d’opérer une étude de marché continuelle. Ils s’inspirent aussi des commentaires des internautes pour dessiner les prochaines collections. Au bout de seulement 4 mois d’existence, une styliste de Canal+ les contacte pour obtenir plusieurs modèles. De Yann Barthès à Laurent Ruquier, jusqu’à Antoine de Caunes plus récemment, Hast devient « la plus belle chemise du PAF » ! Le « coup de pub’ » est total, et réaffirme la marque comme jeune, moderne et élégante. L’entreprise existe maintenant depuis un an et demi et a bouclé le dernier exercice avec un chiffre d’affaires positif vis-à-vis des investissements fournis. Environ mille chemises sont vendues chaque mois, c’est une réussite sur mesure.

Retards de paiement : un obstacle à la croissance des PME

Les chefs d’entreprises de PME sont inquiets. Selon ces derniers, les retards de paiements représentent de grands obstacles dans leur économie. En effet, selon une étude menée par Ipsos pour American Express en novembre dernier, il se trouve que le non-respect des délais de paiement est un phénomène qui touche de plus en plus d’entreprises. Explications.

Deux tiers des chefs d’entreprises touchés

Lorsqu’Ipsos s’est penché sur le sujet des retards de paiement pour les PME, le cabinet d’études était loin de se douter que les résultats allaient être négatifs. De cette analyse ressort le chiffre suivant : au moins deux tiers des chefs d’entreprises participant à l’enquête disent avoir affaire à des situations de retards de paiements. Parfois, il arrive même que les clients ne paient pas du tout, ce qui freine complètement les activités et l’économie de l’entreprise en question. Si 46% des patrons de PME ou d’ETI affirment avoir des soucis financiers, c’est surtout à cause de ce phénomène qui nuit tout doucement à la santé de leurs entreprises. Le retard de paiement est devenu un facteur de crise majeur, détrônant la chute des ventes et la réduction des marges. En effet, plus de 38% des patrons affirment que les retards affectent considérablement leur trésorerie.

Et sur ces 12 derniers mois…

L’étude d’Ipsos pour American Express a également étudié les soucis de trésorerie des PME sur ces 12 derniers mois. Ils sont donc au moins 40% à avoir rencontré des problèmes financiers, pendant que 10% affirme que les retards de paiement ont mis leur business en péril. Enfin, ils sont 45% à faire face à des situations inacceptables, où les clients refusent de payer et laissent ainsi un trou dans le budget de l’entreprise. À savoir que les délais de paiement des clients sont estimés à 43 jours et qu’en moyenne, le client paie à compter de 49 jours.

3 outils pour mieux organiser ses tâches

Comme tous les entrepreneurs, vous n’avez qu’une phrase à la bouche : « je n’ai pas le temps ». Et s’il s’agissait juste de trouver les bons outils pour mieux organiser ses tâches ?

Bien gérer le temps de votre activité professionnelle commence déjà par la veille. Même si vous vous hâtez de rentrer chez vous à la fin de la journée, ne quittez pas votre lieu de travail sans penser à planifier votre journée du lendemain. Avant d’aller dormir, préparez vos vêtements et vérifiez que tous vos dossiers se situent dans votre sacoche. Vous devez organiser votre planning suivant un ordre logique auquel vous vous tiendrez. De cette manière, si vous ne savez pas comment vous y prendre pour effectuer certaines tâches, vous aurez la soirée et la nuit de sommeil pour réfléchir (pas trop quand même !). D’ailleurs évitez de vous coucher tard pour être frais et dispos le lendemain. Le matin, commencez par arriver en avance sur votre lieu de travail. Cela vous permettra de travailler dans le calme et d’éviter les embouteillages. Vous êtes moins dérangé par vos salariés ou par des coups de téléphone incessants et vous pouvez avancer sur votre travail : consultez vos mails, révisez votre planning, préparez votre réunion, relisez votre discours de présentation, etc. Organisez-vous en répartissant chacune de vos tâches suivant ce qui est « à faire », « en cours » et « fini ».

Pesez chacune d’elle tant par son importance que par le temps qu’elle nécessite. Occupez-vous des dossiers prioritaires et ne vous dispersez pas. Attention, vous devez effectuer ce qui est important et non pas seulement ce qui est pressé. Pour cela, définissez ce qui est prioritaire et ce qui est urgent. Finissez ce que vous accomplissez avant de commencer un autre travail. N’hésitez pas à vous rendre indisponible pendant un certain temps. N’ayez pas de scrupule à laisser sonner le téléphone ou à refuser un service à un de vos collaborateurs. Profitez également de l’explosion des outils qui permettent de gagner du temps de travail en entreprise.

Tom’s Planner

Est un logiciel de diagramme de Gantt en ligne extrêmement intuitif et facile d’utilisation. Vous pouvez créer une liste de vos projets et la partager via le web. Vous pouvez aussi gérer vos tâches en route d’un iPad ou iPhone sans nécessiter d’application. Vous pouvez établir des dépendances temporelles entre les diverses tâches par un simple glissé de souris. www.tomsplanner.fr

Evernote

Permet la création de notes, manuscrites, audio ou vidéo. Celles-ci peuvent être triées dans des carnets de notes, annotées, éditées, commentées et retrouvées via un module de recherche. Avec votre téléphone vous pouvez créer de nouvelles notes et profiter de l’appareil photo pour vous remémorer des infos utiles. Bénéficiez de 4 Go par mois pour gérer tous vos projets. www.evernote.com

Remember the milk

Est une interface intuitive permettant de définir précisément les dates d’échéances de vos tâches, qu’elles soient récurrentes ou non, et rapidement grâce aux raccourcis clavier. Vous pouvez créer un nombre illimité de listes de tâches, les organiser avec l’étiquetage et stocker des notes ajoutées. Recevez des rappels par e-mail, SMS et messagerie instantanée.
www.rememberthemilk.com