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Ces start-up qui ont axé leur politique d’entreprise sur le bien-être de leurs collaborateurs

Les start-up ont bien souvent une image jeune et dynamique, et on imagine aisément que la bonne ambiance et le bien-être des collaborateurs préoccupe leurs dirigeants. Si chaque entreprise est différente, voici quelques exemples de start-up dans lesquelles le bien être des salariés est une priorité.

1. Couchsurfing

Chez Couchsurfing, le leader de l’hébergement temporaire et gratuit, le bien-être et la détente des salariés sont considérés comme des moteurs essentiels à leur productivité. Du décor des locaux, fait uniquement de cartes postales et de photos de destinations toutes plus exotiques les unes que les autres, aux réunions se déroulant autour d’un canapé, en passant par les deux semaines de vacances, tous frais payés, offertes aux salariés pour aller découvrir le monde, ou à la table de ping-pong au sein des bureaux, tout est fait pour que les collaborateurs se sentent bien dans leur entreprise. Couchsurfing a bien compris que le bien-être des salariés est indispensable à un travail de qualité, et s’en donne les moyens.

2. Bureaux à Partager

La jeune entreprise spécialiste du partage de bureaux pour les professionnels a pris conscience qu’il est indispensable de valoriser ses salariés pour qu’ils se sentent bien et pour encourager leur créativité. Pour cela, la start-up a choisi d’agir de façon simple mais efficace. Chaque semaine, le collaborateur ayant eu la meilleure idée pour le développement de l’entreprise se voit récompensé d’un petit cadeau. Une initiative simple, peu coûteuse mais qui permet de valoriser le travail et d’encourager les idées novatrices.

3. Prestashop

Chez Prestashop, créateur français de logiciel d’e-commerce, les dirigeants accordent énormément d’importance à la convivialité, tant pour leurs clients que pour leurs collaborateurs. Un espace détente appelé La Plage, comprenant des jeux, un espace bungalow destiné à la sieste, une cafétéria lumineuse, design et conviviale et des locaux accueillants sont les ingrédients choisis pour assurer le bien-être des salariés. En échange, la charge de travail demandée est importante. Mais un salarié heureux sera toujours plus productif et plus investi, alors la recette fonctionne.

4. Linkbynet

Chez Linkbynet, coup de cœur du jury 2015 des Prix de la Convivialité, on mêle amusement et bien-être pour des collaborateurs heureux. Un aquarium géant décore les locaux et des toboggans permettent de rejoindre l’espace de réunion. Mais au-delà de ces amusements qui peuvent faire sourire, l’entreprise a choisi de prendre en compte la principale nuisance dont se plaignent les salariés : le bruit. Grâce à des mesures de réductions des nuisances sonores dans les espaces communs tels que la cafétéria, ou un logiciel de réduction du bruit lors des appels téléphoniques, l’entreprise permet d’augmenter grandement la sensation de bien-être de ses collaborateurs.

5. Les autres exemples

D’autres mesures sont mises en place depuis un certain nombre d’années par de nombreuses start-up pour faciliter le quotidien de leurs collaborateurs et ainsi augmenter leur bien-être : crèche d’entreprises pour résoudre les problèmes de garde, solutions de stationnement pour les vélos afin d’inciter à utiliser des modes de transport alternatifs, cours de sport, de yoga ou de théâtre à la pause déjeuner pour permettre aux salariés de décompresser, etc. Autant de solutions faciles à mettre en œuvre qui permettent de fidéliser les salariés et d’augmenter leur bien-être.

Ces émissions TV qui font la part belle aux start-up

Parfaitement intégrées au paysage national, les start-up bénéficient désormais d’une bonne exposition médiatique. Il s’agit d’un moyen pour les entrepreneurs de présenter leurs activités et pour les téléspectateurs ou les internautes de découvrir les dernières innovations. Quelles sont donc ces émissions TV ou en ligne qui mettent en avant les start-up ?

Hello Startup

En partenariat avec Orange, l’émission Hello Startup est un rendez-vous privilégié pour les entrepreneurs travaillant dans les secteurs innovants. Diffusée en fin de semaine sur BFM TV et BFM Business (radio et TV), cette émission hebdomadaire présente dans chacun de ses numéros un dirigeant ou un représentant de start-up, qui dévoile son projet, sa vision et ses ambitions pour l’avenir de sa société. L’émission est née de la volonté d’Orange, déjà impliqué dans le domaine des nouvelles technologies via son Technocentre, de donner une exposition nationale aux start-up françaises et européennes les plus prometteuses. Elle est présentée chaque semaine par le journaliste Stéphane Soumier.

Tech&Co

Diffusée sur BFM Business, Tech&Co est l’émission la plus complète consacrée aux start-up en France. Au rythme de quatre numéros par semaine du lundi au jeudi, cette émission lancée en février 2015 propose pendant près d’une heure de décrypter l’actualité et les grandes tendances du marché numérique. Présentée par Sébastien Couasnon, elle est réalisée en partenariat avec le site spécialisé dans l’informatique et le high-tech 01Net. Des invités sont appelés à commenter les évolutions du marché et les dernières innovations, en mettant en valeur les jeunes entreprises qui comptent. L’émission est également accessible en podcast sur le site du groupe BFM.

Start-up TV

Disponible en ligne chaque mercredi, Start-up TV est une émission en ligne sur le monde de l’entreprise hébergée par le site du journal économique et financier La Tribune. Cette web TV dédiée aux start-ups vise à faire découvrir aux internautes de jeunes entreprises innovantes, mais a également pour but de leur dispenser des conseils pour lancer ou développer leur propre activité. L’émission fonctionne sur le principe d’interviews d’un ou deux invités par semaine, le plus souvent des fondateurs de start-up à même de faire profiter leur expérience en la matière au public. Des questions précises sont également soulevées, pour aiguiller au mieux les entrepreneurs en quête de conseils en business.

L’Art D’être Entrepreneur

Cette émission fait partie des programmes de la société de production Décideurs TV, le premier réseau social vidéo des entreprises. Celle-ci consacre plusieurs émissions aux start-up, dont L’Art D’être Entrepreneur, qui revient en détail sur la carrière de différents chefs d’entreprise. Le principe est simple : offrir, lors d’une longue interview, la possibilité à des entrepreneurs chevronnés de détailler leur parcours en évoquant aussi bien leurs réussites que leurs échecs en matière de start-up.

Start-up Show

Start-up Show est une web TV consacrée à la présentation des activités des start-up de la Côte d’Azur. Les émissions, d’une durée de trente minutes environ, sont accessibles sur le site éponyme et fournissent un panorama complet de la situation occupée par les nouvelles technologies dans la région. Ces rendez-vous interactifs sont principalement consacrés à des rencontres avec des créateurs de start-up et des experts du secteur qui livrent un regard professionnel sur le sujet.

Tout savoir sur la nouvelle aide en faveur des TPE pour l’embauche d’un premier salarié

A l’issue d’un conseil restreint qui s’est tenu le 9 juin 2015 à l’Elysée sur les TPE et PME, Manuel Valls a présenté 18 « mesures fortes pour lever les freins, les incertitudes, simplifier la vie des TPE et des PME et donc encourager l’embauche ».

Le Premier ministre en a détaillé 5 lors d’une conférence de presse, « les plus emblématiques, les plus puissantes », dont une aide exceptionnelle de 4 000 euros à l’embauche du premier salarié. Cette aide se concrétise à travers la parution au Journal Officiel du 4 Juillet dernier du décret n°2015-806 du 3 Juillet 2015, dont les dispositions sont d’ores et déjà en vigueur.

Ce nouveau dispositif devrait aider les chefs d’entreprises des très petites entreprises (TPE) à franchir le cap de « la première embauche » (aujourd’hui, il existe en France 1,2 million d’entreprises individuelles sans salarié).

Qui est concerné ? 

Sont concernées les TPE embauchant leur premier salarié. L’entreprise ne doit pas appartenir à un groupe. Attention : les particuliers employeurs ne sont pas éligibles à l’aide. 

Quelles sont les conditions à remplir ? 

Les TPE peuvent demander le bénéfice d’une aide financière de l’Etat pour l’embauche d’un premier salarié lorsqu’elles remplissent les conditions cumulatives suivantes :

1- Elles embauchent un salarié en contrat à durée indéterminée ou en contrat à durée déterminée de plus de douze mois ;

2- La date d’effet du contrat de travail est comprise entre le 9 juin 2015 et le 8 juin 2016 ;

3- Elles n’ont pas été liées, dans les douze mois précédant l’embauche du salarié, à un salarié par un contrat de travail poursuivi au-delà de la période d’essai.

Par dérogation au troisième alinéa, l’entreprise reste éligible à l’aide, au titre d’un nouveau contrat de travail, lorsqu’un premier contrat de travail conclu pour une date d’effet comprise entre le 9 juin 2015 et le 8 juin 2016 a été rompu pour motif de rupture de la période d’essai, de retraite, de démission, de licenciement pour faute grave, de licenciement pour faute lourde, de licenciement pour inaptitude ou de décès.

Quel est le montant de l’aide ?

Le montant de l’aide est égal à 4 000 euros, à raison de 500 euros pour une période de trois mois d’exécution du contrat de travail. Le cas échéant, le montant de l’aide est proratisé en fonction de la durée du travail du salarié, lorsque cette durée est inférieure au temps plein.

L’aide est versée à l’échéance de chaque période de trois mois civils d’exécution du contrat de travail. Elle n’est pas due pour les périodes d’absence du salarié sans maintien de rémunération.

Le montant de l’aide dû au titre des premier et dernier mois d’exécution du contrat de travail est versé au prorata des jours d’exécution du contrat, attestés par l’employeur.

Suivant quelles modalités ?

L’aide est gérée par l’Agence de Services et de Paiement (ASP), à laquelle la demande de l’employeur doit être adressée dans un délai maximal de six mois suivant la date de début d’exécution du contrat de travail.

Cette demande peut être effectuée en remplissant en ligne le formulaire correspondant, sur www.asp-public.fr

Le versement de l’aide est interrompu lorsque l’employeur ne produit pas, dans le délai d’un mois, les documents permettant de contrôler l’exactitude de ses déclarations. En cas de constatation par l’ASP du caractère inexact des déclarations de l’entreprise, les sommes indûment perçues par l’employeur devront être reversées. L’aide ne peut se cumuler avec une autre aide de l’Etat à l’insertion, à l’accès ou au retour à l’emploi versée au titre du même salarié.

Ces start-up spécialisée dans l’univers de la presse

La nouvelle ère numérique bouleverse les modèles traditionnels de la presse et des médias. L’accès à l’information est désormais plus rapide et les facilités de publication par internet génèrent de nouvelles formes de journalisme qui tendent à changer radicalement les pratiques éditoriales. Cette révolution dans les médias offre des opportunités à saisir pour de jeunes entrepreneurs. Quelles sont donc ces start-up qui investissent l’univers de la presse avec des idées nouvelles ?

1. La démocratisation de l’information avec Blendle

Bendle est une jeune start-up néerlandaise qui a mis au point une application permettant d’acheter à l’unité des articles de presse, au sein d’un très large panel de journaux et de magazines. Ces créateurs ont fait le pari que beaucoup de lecteurs des journaux en ligne n’ont pas envie d’accumuler les abonnements numériques couteux et qu’ils préféreraient avoir la possibilité d’acheter des articles à l’unité. Avec un prix moyen de 20 centimes d’euro par article, fixé avec l’accord des éditeurs, Blendle propose un service particulièrement compétitif. En témoigne l’intérêt que lui ont apporté le groupe Axel Springer et le New York Times qui viennent d’investir 3 millions d’euros dans cette start-up prometteuse.

2. Thank You Motion pour s’approprier les contenus audiovisuels

Créée cette année par Hélène Fromen et Nicolas Silberman, tous deux anciens employés de grands groupes de presse comme Le Monde et Mediapart, la start-up Thank You Motion propose aux internautes un nouveau mode de partage des vidéos mises en ligne par les médias. Il s’agit de pouvoir capturer et partager à loisir n’importe quelle séquence vidéo à travers la réalisation de petits clips instantanés. L’objectif est de favoriser la diffusion personnalisée de l’information par le public. Le groupe Le Monde et l’Express se sont montrés intéressés par cette application et vont bientôt la proposer sur leurs sites respectifs.

3. Brief.me : la newsletter personnalisée

Cette jeune start-up propulsée par Laurent Mauriac et Damien Cirotteau, des anciens de Rue89, permet de renouveler l’utilisation des courriels. Ils proposent à leurs utilisateurs de concevoir des newsletters personnalisées combinant les contenus de divers médias selon les centres d’intérêts de chacun. La Start-up entend par ailleurs diversifier ses activités, notamment en faisant de l’évènementiel et en développant des services de communication.

4. La plateforme Babbler renouvelle les relations de presse

Créée en 2012 par Hannah Oiknine et Sarah Azan, la start-up française a mis en place une plateforme destinée aux médias et leur permettant de visionner des contenus ciblés et de suivre en temps réels les publications des journalistes. Le service s’ouvre également aux entreprises qui peuvent accéder à des informations techniques sur les produits de nombreuses marques.

5. ePressPack, l’interface entre les médias et les entreprises

La jeune firme ePressPack a développé toute une suite de systèmes permettant aux entreprises d’accéder facilement aux médias afin d’optimiser leurs stratégies commerciales ou tout simplement de fournir à la presse des informations rapides et ciblées sur les évolutions de leur activités. Grace à ePressPack, il est possible de publier des communiqués de presse audiovisuels en quelques dizaines de minutes seulement. La start-up a aussi conçu des salles de presse virtuelles très ergonomiques pour aider les médias et les entreprises à se rencontrer lors de conférences de presse en ligne. Le succès a été au rendez-vous puisqu’elle compte des grands groupes comme L’Oréal, Louis Vuitton, Meetic ou Orange parmi ses clients.

Espaces de coworking : classement en fonction du prix

Il existerait à l’heure actuelle plus de 3 000 espaces de travail dans le monde dont la majorité est située en Europe, surtout en Allemagne et en France. À Paris, on en compte à l’heure actuelle une trentaine avec des tarifs d’abonnements très divers. Voici le top 10 des meilleurs espaces de coworking disponibles dans la capitale.

1. Espace « 50 Partners – Le Loft » (75001, 62 rue Jean-Jacques Rousseau) 

Le Loft 50 Partners est certainement pour le moment l’espace de coworking le moins cher dans la capitale. Sur plus de 620 m², 90 postes de travail sont disponibles en open space et en espaces fermés. L’établissement propose deux salles de réunion, des outils multimédias et la gestion du courrier ainsi que des lieux de détente et une cuisine. Son petit plus ? La déco de ce loft, une ancienne corderie, avec un plafond en verre. L’abonnement mensuel est possible à partir de 190 euros/ mois. Il faudra par contre partager une grande table pour bénéficier de cette offre à prix réduit. Pour y avoir un bureau fixe attitré, comptez plutôt 390 euros/ mois. Le plus ? Il n’y a pas d’engagement de durée.

2. Espace « La Mutinerie » (75019, 29 rue de Meaux)

Différents abonnements sont possibles. Une journée d’essai permet de se décider pour l’un d’entre eux. Avec 290 euros HT/mois, les entrepreneurs ont un accès illimité et disposent d’un poste à temps plein (pour 95 euros HT/mois, ils peuvent disposer d’un quart temps avec 5 jours/ mois). Les services comprennent la mise à disposition d’une salle de réunion, l’utilisation de l’imprimante et autres outils comme scanners et photocopieuses, le wifi évidemment, mais aussi des casiers pour y laisser ses affaires et le café est offert.

3. Espace « Numa » (75002, 71 rue du Faubourg Saint-Martin)

Cet espace de coworking appelé DevFloor, est spécialement destiné aux abonnés mensuels. Il est ouvert 24/24 et propose 25 places au calme et la possibilité d’y accueillir ses partenaires ou clients pour 300 euros HT/mois. Son atout ? La fibre optique.

4. Espace « DojoCrea »(75 003, 24 rue Béranger )

Dans le quartier de République, Dojocréa propose un espace de 70 postes de travail, 3 salles de réunion, 2 espaces détente et 2 cuisines, ouvert 7J/7 et 24H/24, même les jours fériés. Il existe également deux autres lieux sur Paris et en région parisienne. Il faut compter 388 euros / mois et par bureau. Les coworkers bénéficient d’un casier dès leur arrivée et aussi de la fibre. Le petit plus:  chaque semaine Dojocrea organise des apéros pour ces adhérents.

5. Espace « Start-Way »(à Montrouge, 87 rue Gabriel Péri)

L’espace de 330 m² est design et très lumineux et il est possible d’y avoir une place pour 329 euros/mois (24h/24 et 7j/7). Tous les outils sont disponibles et à partager avec les autres résidents. Le plus ? Sa facilité d’accès (tout près de la Porte d’Orléans).

6. Espace « BeCoworking – La Jonquière » (75017, 60 rue de La Jonquière)

Sur 460 m², les entrepreneurs y disposent de bureaux fixes, nomades ou même de pass à la journée. Pour un abonnement mensuel, il faut compter 350 euros HT pour un poste fixe avec mise à disposition d’espaces détente, restauration, bar et de salles privatisables. Le plus ? La possibilité de bénéficier des conseils des partenaires et des experts de « premier ordre »

7. Espace « Le Lawomatic »(75010, 21 rue Sainte-Marthe)

L’abonnement est à 370 euros HT /mois. Il s’agit d’un tarif unique avec un accès 24/24, un bureau fixe, des salles de réunion et les outils adaptés pour y donner des conférences. Une petite cafétéria et une kitchenette sont à disposition des abonnés et les bureaux sont modernes et designs.

8. Espace  » La Ruche » ( 75010, 84 rue Jemmepas)

Créé en 2008, cet espace de 600 m² est surtout destiné aux entrepreneurs sociaux. Pour 395 euros HT/ mois, ils peuvent y disposer d’un poste à temps plein. S’y installer, c’est profiter de nombreux avantages dont le « buzz » du vendredi, une cloche qui permet aux adhérents de se rejoindre pour discuter et développer leur réseau. Le hic ? Pour être accepté, il faut être un résident.

9. Espace « Nextdoor » (Issy-les-Moulineaux, 43 rue Camille Desmoulins)

Cet espace de travail est l’un des plus intelligents et les résidents peuvent y avoir un bureau à partir de 480 euros HT/mois pour une accessibilité 24h/24 et 7j/ 7. À ce tarif, ils ont accès à tout le matériel pour développer leur activité.

5 start-up spécialisées dans la sécurité internet

On l’évoque de plus en plus : la sécurité sur internet est devenue un enjeu fondamental pour les entreprises qui sont exposées au vol de données, au piratage, à l’espionnage industriel.

D’après le responsable de l’ingénierie des systèmes de Cisco, Den Sullivan, le marché de la sécurité numérique s’élève à 95 milliards de dollars en 2015, avec des projections de croissance allant jusqu’à 8% par an jusqu’en 2018. Il s’agit donc d’un enjeu majeur du développement des nouvelles technologies et des risques qui y sont associés. Quelles start-up prometteuses émergent comme les futurs leaders de ce marché ?

Bluebox Security : protéger les données personnelles pour les applications mobile

Cette jeune start-up américaine fondée en 2014 développe un système pour les smartphones fonctionnant avec IOS et Android, et qui permet d’isoler et de protéger les données des utilisateurs afin qu’ils puissent utiliser les applications qu’ils souhaitent de manière sécurisée. Il s’agit de permettre aux employés d’entreprises utilisant leur téléphone professionnel de ne pas être exposés au piratage via des applications qu’ils installent pour des raisons personnelles et qui se mêlent dans le téléphone à des applications professionnelles. On compte déjà Netflix et Zion’s bank parmi les clients de Bluebox Security. La start-up, fondée par Caleb Sima, a pu réaliser une levée de fond de 27.5 millions de dollars grâce à des fonds de capital-risque.

Cybereason pour une collecte d’information raisonnée sur les failles de sécurité

La start-up a innové en développant un moyen de détecter et de collecter de manière intelligente toutes les informations relatives à des menaces concernant la sécurité des logiciels et des systèmes informatiques. Son logiciel veille particulièrement au repérage de toute attaque pouvant entraîner un vol de données confidentielles pour les entreprises. Créé à Boston par Lior Div, la start-up a déjà reçu 4.6 millions de dollars du fonds Charles River Ventures et prévoit de développer ses services pour les systèmes d’Apple et de Linux dans le futur.

Défendre un site internet contre des attaques avec Shape Security

Voilà une start-up qui a de l’avenir. Son application, appelée ShapeShifter, permet de protéger les sites internet contre les attaques en tout genre, dont le très utilisé « déni de service », en introduisant dans chaque page HTML des sites de légers codes sans cesse différents qui perturberont le bon déroulement de ces attaques et maintiendront le site en ligne. L’un de ses fondateurs, Sumit Agarwal, était anciennement conseiller spécial auprès du département américain de la défense en matière de cyber-innovation. Une première levée de fonds a permis de récolter 26 millions de dollars, dont une partie est issue du fonds d’investissement Google Ventures.

Bitglass pour traquer les fuites de données

L’application développée par Bitglass procède à une veille sensible dans l’utilisation de divers équipements informatiques et marque l’historique d’utilisation de chaque utilisateur d’une empreinte unique. Le but est de repérer qui a potentiellement pu délivrer des informations à la concurrence ou à des pirates informatiques. Son fondateur et PDG, Anurag Kahol, a déjà récolté 10 millions de dollars pour développer Bitglass.

Zimperium, la sécurité intelligente

Start-up israélienne implantée également en Californie, Zimperium travaille sur un programme qui serait capable d’apprendre de lui-même à détecter des intrusions et des malwares, grâce à des algorithmes intelligents. Pour l’instant développé pour Android, son logiciel sera par la suite disponible pour les tablettes. Différents investisseurs individuels ont déjà financé la start-up à hauteur de 8 millions de dollars.

Les start-up présentées ici ne sont qu’un fragment de cet immense marché en développement que représente la sécurité sur internet. Enjeu crucial de la protection des données, la sécurisation des nouvelles technologies est le creuset d’innovations essentielles au bon usage d’internet pour les entreprises et les particuliers.

5 start-up qui cartonnent dans le domaine sportif

Le monde du sport et celui des start-up se découvrent des affinités. Dynamisme, esprit d’équipe, envie de gagner… les deux secteurs ne manquent pas de points communs ! 

Pas étonnant que les jeunes pousses se lancent à l’assaut de l’univers du sport pour développer des technologies pour sportifs accomplis et passionnés, sportifs du dimanche ou simples spectateurs. À la veille de l’Euro 2016 et de la candidature de Paris aux JO 2024, le moment semble propice. Quelles sont donc ces start-up qui cartonnent dans le domaine sportif ? En voici 5 qui ont décroché plusieurs prix et ciblent l’international.

1. VOGOSPORT 

Créée en juin 2013, la start-up de Montpellier conjugue plusieurs innovations avec son application mobile pour smartphones et tablettes. Elle offre aux spectateurs d’événements sportifs des expériences enrichies. L’entreprise propose aux fans connectés de visionner les matchs sous tous les angles depuis les gradins des stades intelligents en choisissant la caméra. En raison du peu de travaux nécessaires pour faire fonctionner le système (l’outil ne nécessite pas l’installation d’une infrastructure informatique importante), le ROI de l’application paraît intéressant. Cette dernière permet de générer des revenus supplémentaires pour les stades et les associations sportives. L’entreprise a levé 4 millions d’euros pour se développer à l’international et la société a ouvert un bureau près de Montréal dans le but de conquérir le marché nord-américain.

2. Green-Wave Notox 

Fondée en 2010 sur la côte Basque, cette start-up fabrique des planches de surf nouvelles générations uniques au monde, éco-responsables et ultra-performantes. Elles sont fabirquées à partir de matériaux non nocifs comme la résine de lin et produisent moins de déchets. En 2012, la société a réalisé 230 000 € de chiffre d’affaires (dont 15 % à l’international et en particulier au Japon) et fabriqué 400 planches. Les entrepreneurs à l’origine du projet développent désormais un concept pour externaliser leur « lab » de fabrication et se développer à l’échelle mondiale.

3. Wise Pack

Les emballages révolutionnaires et écologiques de wise-pack (société créée en octobre 2014) sont comestibles et leur usage vise donc à limiter les déchets. Ainsi, les sportifs pourront tout à fait améliorer leur performance de manière responsable, en emportant par exemple une dose hydratante ou énergétique au lieu d’une bouteille plastique ou d’un gel. Dans ce secteur concurrentiel mais en fort développement (le marché mondial de l’emballage alimentaire représente 325 milliards de dollars), Wise Pack détient un potentiel certain.

4. Seaters 

Lancée en février 2014, cette start-up belge a mis sur pied une plateforme en collaboration avec sponsors et organisateurs d’événements sportifs pour que les 2 à 10% de places restant libres le jour J trouvent des occupants parmi les fans. La start-up vise l’Euro 2016 et possède déjà une croissance exponentielle.

5. Mac-Lloyd Sport 

Cette jeune pousse née en janvier 2013 poursuit au sein du Tremplin, l’incubateur parisien, le développement de deux produits : Sport-Tracking et Fit-Tests. Ces derniers sont destinés aux sportifs de haut niveau pour répondre à leur recherche de performances. Le mouvement des sportifs sur le terrain ainsi que leurs réactions physiologiques peuvent désormais être analysés grâce aux données des capteurs présents dans les vêtements connectés. Vendus respectivement 3000 € et 990 €, les systèmes développés par l’entreprise présentent un avantage certain, à la fois en termes de taille (les boîtiers sont miniatures) et de coûts. Ils s’adressent en priorité à des athlètes de haut niveau mais peuvent aussi intéresser les clubs de sportifs amateurs.

Top 4 des entreprises spécialisées dans les feux d’artifice

La fête nationale est sans doute la période où l’on peut observer le plus de feux d’artifice, mais certaines sociétés françaises ont profité de ce créneau et se sont spécialisées dans la vente de feux d’artifices, permettant ainsi aux particuliers de devenir eux-mêmes de véritables pyrotechniciens en herbe.

1. RUGGIERI :entre tradition et odernité

Cette société créée par les frères Ruggieri depuis le XVIIIe siècles, réalise des spectacles à la Cour de Versailles. Depuis 1997, elle a fusionné avec un de ses concurrents: le  groupe Étienne Lacroix. Lacroix-Ruggieri deviendra simplement  Ruggieri, en 2012 et aura  pour slogan : « Les peintres du ciel ».

Avec un chiffre d’affaires de plus de 100 millions d’euros, l’entreprise Ruggieri, gérée par Jean-Michel DAMBIELLE, a montré ses talents en France notamment lors de la tournée de Johnny Hallyday en 2012, l’inauguration du Viaduc de Millau ou l’embrasement de la Cité de Carcassonne.

À l’international, elle a brillé pour le 850e anniversaire de la ville de Moscou (Russie), le centenaire de la Statue de la Liberté à New-York (États-Unis) ou encore le 10e anniversaire de la chute du mur de Berlin (Allemagne). 

2. EFC ÉVÉNEMENT : pour des pyrotechnies de qualité

La provenance de leurs feux d’artifice est européenne (Italie ou d’Espagne), ce qui leur permet d’être de bonne qualité. Les organisateurs de ces pyrotechnies proposent même de les installer dans des bateaux en mouvement ou lors de conditions extrêmes. EFC Évènement organise des feux d’artifice ou des pyromélodies dans le Sud de la France. EFC Évènement a participé à l’inauguration de l’aéroport Marseille Provence ou encore à des festivités au Grau-du-Roi (Gard) ou à Saint-Tropez (Var). L’entreprise fut créée en 2004, avec Eric HARFI à la barre, pour un chiffre d’affaires d’un million d’euros environ.

LES MAGICIENS DU FEU : les vendeurs de pyrotechnie

Que seraient les feux d’artifice s’il n’y avait pas de vendeurs ? Les Magiciens du Feu qui ont pour slogan : « Et le ciel vous appartient » se spécialisent dans la vente même si le site internet possède sa propre page événementielle.

Créant des produits de qualité depuis 1960, l’entreprise propose des produits de qualité en travaillant depuis Saint-Ouen l’Aumône (Val-d’Oise). Avec un chiffre d’affaires de 373 000 euros, la société fait peu à peu sa place grâce à des événements comme la finale de la Coupe du Monde de football en 2006, le 50e et 60e anniversaire du 6 juin 1944 ou par les lancements de nouveaux produits.

Prochainement, elle participera à quelques fêtes nationales comme celles prévues dans la ville d’Osny, à Deuil-la-Barre (Val-d’Oise) ou à Tournan-en-Brie (Seine-et-Marne).

3. ARTS’I CONCEPTS : des peintures dans le ciel

C’est l’un des plus grands fournisseurs français de feux d’artifice depuis sa création en 1994, dirigée depuis 2014 par Gérald GONZALES. Elle est aussi associée à une société qui organise des spectacles de pyrotechnie, située dans la ville de Bordeaux depuis ses débuts. L’entreprise Arts’i Concepts a réalisé environ quatre-vingts spectacles à l’année et elle est située à Moulon (Gironde) pour un chiffre d’affaires de 89 200 euros.

4. FEU D’ARTIFICE AUTOMATIQUE : des fusées pour particuliers 

Une petite entreprise, numéro un en France dans la vente de feux d’artifice automatiques. C’est une bonne alternative pour les événements de moins grande envergure comme les mariages, les soirées ou les anniversaires. Les clients peuvent eux-mêmes allumer leurs feux d’artifice, tout en respectant certaines consignes de sécurité présentes dans le mode d’emploi. Il est mentionné par exemple la nécessité de prévenir la mairie et le propriétaire des lieux si vous louez un local destiné aux festivités. Le fondateur, Philippe ROIDOR, gère sa société depuis Paris, avec un capital de 10 000 euros.

5 anciens sportifs de haut niveau devenus entrepreneurs

Nombreux sont les anciens sportifs de haut niveau qui choisissent de devenir entrepreneurs. Challenge, reconversion ou encore défi personnel, les motivations varient autant que le domaine concerné. Ainsi l’on retrouve des grands noms du sport dans des structures très éloignées de celles dans lesquelles ils avaient l’habitude d’évoluer.

1. Laurent Bernard

Cet ancien basketteur professionnel, sélectionné en équipe de France de basketball puis à Salt Lake City, a décidé de mettre fin à sa carrière après 19 ans sur le terrain. Une évaluation et une remise à niveau de ses connaissances plus tard, il crée avec l’aide d’un ami la société ACDE. Depuis 2008 cette entreprise spécialisée dans le domaine du bâti, bilan énergétique, état parasitaire ou étude d’accessibilité aux personnes en situation de handicap, ne cesse d’innover et de se développer. Un succès donc pour ce reconverti.

2. Alain Bernard

Cet ancien nageur professionnel a quant à lui a choisi de rester dans un domaine étroitement lié à celui du sport en proposant des services de coaching personnalisés. Lancée en 2014 à Antibes, son entreprise « Alain Bernard Concept » compte déjà plusieurs salariés dont un kinésithérapeute et des coaches, mais l’ancien champion olympique n’entend pas s’arrêter là et prévoit d’ouvrir des franchises. Dans un espace de 250 m2 équipés de machines dernières génération ou encore d’une salle détente avec séances de pilates, Alain Bernard met son savoir et son expérience au service de ceux et celles qui souhaitent se remettre en forme.

3. Gwendal Peizerat

Ancien patineur médaillé d’or en 2002, il a lancé sa propre société en 2004. Soléus est spécialisée dans le contrôle des équipements sportifs. L’entreprise, qui compte de nombreux clients comme des collectivités locales ou encore des parcs de loisirs, a vu son chiffre d’affaire s’envoler (300 000 euros en 2005).

4. Mickaël Merz

A seulement 28 ans, Mickaël Merz a décidé de tirer un trait sur sa carrière professionnelle dans le handball. Malgré sa passion pour le sport et ses 10 années à évoluer sur le terrain, c’est dans le domaine de l’entrepreneuriat qu’il se sent aujourd’hui le plus à son aise. Aux côtés de son père Claude, lui aussi ancien sportif de haut niveau, il dirige depuis 2009 la société immobilière Sporting. Mais il ne s’arrête pas là puisqu’il est associé avec l’ex-rugbyman Xavier Garbajosa à la tête d’une entreprise de communication et une autre dédiée à la rénovation de logements.

5. Éric Blanc

Il est certainement l’un des exemples de réussite les plus frappants. Cet ancien rugbyman sacré en 1990 a décidé de lancer Eden Park en 1988 avec l’aide de Franck Mesnel, un ancien coéquipier. Une réussite puisque la marque a franchi les frontières et se vend aujourd’hui dans le monde entier. En 2013 la société affichait un chiffre d’affaire dépassant les 45 millions d’euros et comptait plus de 180 salariés.

Les anciens sportifs de haut niveau semblent trouver la voie de la reconversion en empruntant les chemins de l’entrepreneuriat. Et il semblerait que les valeurs apportées par la pratique du sport, volonté, détermination et motivation en première ligne, soient des moteurs de réussite.

Location moyenne durée : les avantages pour les professionnels

La location moyenne durée d’un véhicule consiste à louer un véhicule sur une période courte allant de 1 à 24 mois. A l’issue de cette période, le véhicule est repris par l’organisme chargé de la location, et un nouveau véhicule plus récent est mis à votre disposition. À mi-chemin entre la location journalière et la location longue durée, quels sont les avantages réels de cette solution pour un professionnel par rapport à un achat classique ?

L’achat : pratique trop coûteuse et dépassée ?

Ce n’est plus un secret pour personne, l’achat d’un véhicule, même s’il est indispensable pour la majorité des activités professionnelles, est un investissement en pure perte, y compris pour un professionnel. L’obsolescence rapide ainsi que la perte à la revente conduisent de nombreux professionnels à se tourner vers la location moyenne durée, une formule relativement récente mais qui a déjà fait ses preuves.

Des économies de taille

L’achat d’un véhicule se fait sur fonds propres ou en recourant à un crédit, tandis que la location moyenne durée constitue une dépense en frais de fonctionnement, lissée sur toute la période d’utilisation du véhicule. De plus, l’achat d’un véhicule génère de nombreux frais annexes qui peuvent s’avérer lourds à supporter pour une entreprise, surtout au tout début de la phase d’achat. Maintenance, pneu, assistance… Autant de dépenses que toutes les entreprises ne peuvent pas nécessairement se permettre.

Des formules « all-inclusive »

Pour une utilisation irrégulière, de faibles kilométrages, ou pour un besoin ponctuel, la location moyenne durée est reconnue comme étant la formule la plus adaptée, car vous ne payez que ce que vous consommez réellement. La quasi-totalité des offres de location moyenne durée incluent en effet tous les frais annexes, de l’entretien aux pneumatiques en passant par le dépannage. C’est ce qu’on appelle les offres « all inclusive », qui constituent un gage d’économie pour les professionnels.

Une flexibilité essentielle

Dans le cadre d’un usage professionnel, l’utilisation des véhicules peut s’avérer très irrégulière. Ainsi, un véhicule peut être indispensable à certains moments mais devenir inutile durant quelques mois. La formule de location moyenne durée présente l’avantage d’être flexible, car elle permet de s’adapter à chaque situation particulière des entreprises. Si vous avez besoin d’un véhicule durant quelques mois pour un nouvel employé en CDD ou que vous devez avoir à votre disposition une voiture seulement pour une durée d’un à deux mois pour vos missions saisonnières, c’est la solution idéale. La location moyenne durée vous permet de disposer d’un véhicule à chaque fois que vous en avez besoin. Chez la plupart des loueurs, vous disposez par ailleurs d’un large choix en termes de gammes de véhicules, pour répondre au mieux à vos besoins : citadine, berline, véhicule tous terrains.

Il vous reste plus qu’à choisir !