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Comment Google met-il tout en œuvre pour garder le monopole ?

Issus de la prestigieuse Université de Stanford, Larry Page et Sergueï Brin sont les fondateurs de Google. Moteur de recherche à la position monopolistique insolente, quels sont les outils et techniques que la firme californienne Google, utilise pour conserver ce monopole ?

Les outils Google

Google détient plus de 90 % du marché des moteurs de recherche, et son chiffre d’affaires s’élève à 66 milliards de dollars pour un bénéficie annuel, en 2014, de plus de 14 milliards de dollars. C’est en découvrant AltaVista, l’un des premiers moteurs de recherche des années 90, que Larry Page a inventé le fameux PageRank qui a largement contribué au succès mondial de la firme outre-Atlantique.

En perfectionnant au fil des années, ce PageRank et en améliorant ses algorithmes, Google a introduit le référencement qualitatif des liens des utilisateurs à l’aide du calcul récursif. Le moteur de recherche gère aujourd’hui plus de 300 000 milliards de pages indexées. D’une importance fondamentale pour les professionnels, Google a encore perfectionné ce PageRank en introduisant Google +, fin 2011.

En cumulant moteur de recherche et indexation, mais aussi boîte mail avec Gmail, gestionnaire de réseaux sociaux et autres applications multimédias comme le partage de photos, le cloud et la compatibilité tablettes et smartphones, Google a encore renforcé sa position dominante avec plus de 500 millions de membres et 1,5 milliard de photos mises en ligne.

Une diversification des tâches

AdWords lancée en 2000 a permis à Google de pénétrer le marché publicitaire en vendant des espaces et mots-clés aux annonceurs et spécialistes du secteur. Les professionnels se sont alors vite engouffrés dans la brèche, mais Google se réserve le droit d’annuler une campagne Adwords, peu importe son trafic généré, si celle-ci ne rentre pas dans ses critères !

Les applications innovantes à l’instar de Google Books, Google Play, Google Maps et de nombreuses autres, ont fait de Google un acteur majeur du numérique et des technologies de l’information. Bien plus qu’un simple moteur de recherche, la firme californienne cherche à monopoliser tous les secteurs. Ainsi, avec Android, elle s’est offert une place de choix sur le marché des iOs de smartphones et tablettes tactiles, avec plus de 1,5 million d’activations quotidiennes d’Android.

Des projets à long terme

Google Play et ses 50 milliards d’applications téléchargées, Google Chrome et ses 750 millions d’utilisateurs, Google Analytics avec 15 millions de sites suivis, le bouton Buy qui concurrence Amazon. Google Drive et ses 10 millions d’utilisateurs; la nébuleuse Google investit tous les foyers et tous les ordinateurs. Récemment, elle complétait son service streaming avec Google Play Music qui offre des stations de radio en streaming sans frais sur internet, faisant de l’ombre à Deezer, Apple Music…

Largement décriée par les autorités européennes, la firme est sujette régulièrement à de nombreux procès et amendes avec des sommes record.

Google investit également le monde de la recherche médicale avec de nombreux partenariats sujets au génome humain. Dénommée, Google Genomics puis aujourd’hui le projet Baseline et ensuite 23andMe, la firme californienne possède même sa propre base de données et d’outils d’analyse du génome.

Google aurait à l’heure actuelle comme projet de faire travailler ses ingénieurs sur l’apprentissage automatisé ainsi que le traitement du langage. Première étape vers l’intelligence artificielle, c’est à Raymond Kurzweil qu’il incombe de réduire la fracture existant entre l’homme et la machine. Celui-ci s’est ainsi fixé comme objectif de créer à l’horizon 2045, la toute première intelligence artificielle de l’Histoire renforçant encore un peu plus l’hégémonie mondiale de Google.

Les destinations de vacances qui semblent séduire les entrepreneurs

Bien que de nombreux chefs d’entreprise hésitent à partir en vacances, couper durant un temps avec son activité peut s’avérer salutaire. Prendre quelques jours pour soi n’est jamais une mauvaise chose, surtout lorsque son lieu de vacances offre un réel dépaysement. Ainsi, quelles sont les destinations de vacances phares du moment retenues par les entrepreneurs ?

L’Amérique du Nord

Avec près de neuf cadres sur dix qui partent en vacances chaque année, un certain nombre de destinations privilégiées se détachent. Parmi elles, l’Amérique du Nord bénéficie toujours d’un attrait particulier. Les roads-trips, ces excursions synonymes de liberté, ont plus que jamais le vent en poupe. Les Etats-Unis et le Canada sont les deux pays les plus appréciés par les cadres et les dirigeants. Ils se tournent également vers les grandes métropoles américaines, au rang desquelles New-York occupe toujours la première place. Ils se tournent également vers les grandes métropoles américaines, au rang desquelles New-York occupe toujours la première place.

Les Maldives

Même si 80 % des chefs d’entreprises avouent travailler même pendant leurs vacances, nombre d’entre eux cherchent avant tout à se ressourcer en s’éloignant de la grisaille du quotidien. À ce titre, les Maldives constituent une destination récurrente dont l’intérêt ne se tarit pas au fil des ans. Avec ses décors de carte postale, son eau turquoise et ses plages magnifiques, les Maldives permettent de se changer complètement les idées, ce qui explique l’intérêt porté à cette destination de rêve. L’île Maurice ou les Seychelles sont également plébiscitées pour les mêmes raisons, de même que des pays ensoleillés offrant à la fois les charmes du farniente et la possibilité de pratiquer les sports nautiques, comme la République Dominicaine.

L’Asie

L’attrait de l’exotisme est un facteur important dans le choix des destinations de vacances des entrepreneurs. Mêlant culture et nature, favorisant les rencontres humaines et la découverte, les pays asiatiques promettent un dépaysement total. Si Bali et la Birmanie sont appréciés, c’est surtout la Thaïlande que les chefs d’entreprise plébiscitent. Le pays offre un parfait cadre de détente, des tarifs bas ainsi qu’un réseau internet particulièrement développé, idéal pour ne pas totalement couper avec le travail. La 3G et la 5G sont accessibles sur tout le territoire et chaque lieu touristique possède le WiFi. Avec ses plages paradisiaques et ses hôtels de luxe, la Thaïlande constitue une destination privilégiée par les entrepreneurs.

Le Sud de la France

Avec seulement 58 % des dirigeants de PME et TPE qui avouent partir en vacances chaque année, et à peine plus de la moitié d’entre eux qui reconnaissent ne prendre qu’une semaine annuelle de repos, le choix d’un lieu de vacances se trouvant à proximité de l’entreprise est tout à fait compréhensible. La France demeure donc un lieu de vacances toujours attractif pour les dirigeants d’entreprise. Le Sud offre un cadre de vie idéal avec ses plages, ses lieux de détente et ses sites touristiques animés. Les dirigeants s’orientent volontiers vers des régions où il fait bon vivre comme le Pays basque, la Corse ou la Côte d’Azur, à quelques heures de trajet à peine de Paris.

Si un marché fonctionne en France, doit-on penser à le lancer immédiatement aux États-Unis ?

Beaucoup de start-up françaises, fortes de leur succès dans l’hexagone, entreprennent de se développer sur le marché américain. Bénéficiant d’une image attractive en termes de fiscalité et pour les levées de fond, les États-Unis apparaissent souvent comme un eldorado très prisé. Mais quelles sont les conditions pour réussir à conquérir le marché américain ? Que faut-il considérer afin d’éviter un échec qui peut s’avérer coûteux ?

Les États-Unis : un marché dont il faut connaître les atouts et les risques

Le succès d’une start-up en France n’est pas reproductible de manière mécanique aux Etats Unis. C’est un peu l’enseignement que l’on peut tirer de l’arrivée des conférences de Failcon, un rendez-vous des entrepreneurs qui viennent parler en public de leurs échecs. L’évènement s’est déroulé dans plusieurs villes françaises. A de nombreuses reprises, l’attraction parfois illusoire pour la Silicon Valley a été mentionnée.

 A Grenoble, Martin Génot, investisseur et entrepreneur, a évoqué sa société, Inspirationnal Stores, dont le modèle original fondé sur du commerce en ligne s’est avéré dysfonctionnel. Malgré une levée de fond importante, l’entreprise n’a pas pu percer. Elle a dû changer son business model et se restructurer pour partir sur de nouvelles bases. Les raisons de l’échec sont multiples : des difficultés propres à l’implantation à l’étranger (fiscalité, droit social, mode de vie sur place) aux difficultés propres au projet (contraintes et limites mal définies).

Les États-Unis attirent pour la facilité de trouver des financements grâce aux fonds de capital-risque, largement plus développés outre atlantique, et pour une fiscalité avantageuse. Et pourtant, ces facilités peuvent aussi constituer un piège : elles s’accompagnent d’une concurrence accrue qui nécessite une compétitivité plus importante. Dans ces conditions, on ne peut que conseiller de se faire aider, et pour cela, des dispositifs sont mis en place pour les jeunes start-up françaises.

De nombreux programmes d’aide à l’implantation

De nombreux systèmes d’aides aux jeunes entreprises existent en France. Citons par exemple le programme Netva (New Technology Venture Accelerator), pour lequel un jury franco-américain sélectionne une vingtaine de jeunes start-up qui recevront une aide gratuite pour s’implanter en Amérique. Plusieurs start-up dont le chiffre d’affaire ne dépasse pas quelques millions d’euros ont ainsi pu bénéficier d’une aide ciblée, très utile pour se constituer un carnet d’adresse aux États-Unis et pour développer leurs connaissances de son marché. Parmi ces entreprises, on retrouve par exemple Mathym (secteur des nanotechnologies) ou Otosense (logiciels)…

Du côté des acteurs institutionnels, de jeunes entrepreneurs peuvent bénéficier de l’expertise de la Banque Publique d’Investissement (BPI). Cette année, huit start-up ont été sélectionnées pour dix semaines d’immersion dans le milieu dynamique de la Silicon Valley. Des rendez-vous importants ont été programmés avec de potentiels gros clients. Netva a déjà connu un succès certain l’année dernière, car 6 des 8 start-up participantes ont signé des contrats aux Etats-Unis et y poursuivent désormais leur implantation.

En somme, si le marché américain comporte ses risques, il offre aussi des opportunités essentielles au développement d’une entreprise. Véritable foyer d’innovations, s’y implanter peut rapporter beaucoup à une jeune start-up, à condition que cela soit fait avec intelligence, où le bon dosage entre appétit pour le risque et prudence sera crucial pour une réussite durable.

Ces idées de business qui vont (vraiment) changer le monde

On ne compte plus les révolutions qui changent nos modes de vie et transforment notre travail : qu’elles soient numériques, écologiques, biotechnologiques ou encore robotiques… De nombreux domaines sont touchés par des innovations qui font évoluer notre économie et notre société, construisant jour après jour un avenir radicalement différent. Quels secteurs d’activité sont à l’œuvre dans ces nouvelles dynamiques historiques ?

1. Impression des pièces jointes en 3D

Au sein du fourmillement d’innovations à même de changer radicalement notre économie, l’impression 3D fait de plus en plus parler d’elle. La plupart des secteurs industriels sont ici concernés par la possibilité de concevoir et commander par ordinateur l’impression de nombreuses pièces qu’il suffira ensuite de monter. Au début de cette année 2015, des astronautes à bord de la Station Spatiale Internationale ont pu ainsi imprimer en orbite un outil mécanique dont les schémas leur avaient été envoyés par mail, depuis la surface terrestre : une prouesse qui a de l’avenir !

2. Aux portes de l’intelligence artificielle

Une autre révolution se prépare aussi du côté de l’informatique, par les progrès incessants réalisés en direction de l’invention d’une intelligence artificielle. Tous les géants de l’internet s’y emploient : Google, Facebook, Amazon, mais aussi de très nombreux laboratoires autour du monde (par exemple à Grenoble, en France). On n’obtiendra pas de robot conscient de lui-même si facilement, les progrès en la matière se faisant graduellement. L’ampleur des changements induits ici se mesure à celle des fantasmes et des peurs qu’ils génèrent : des questions éthiques fondamentales se poseront sur la route de ses innovations.

3. Les énergies renouvelables à la conquête du monde

On ne les présente plus, tellement elles font l’objet d’attentes et d’espoirs multiples. Mais qui dit électricité solaire, dit aussi machines électriques, lesquelles peinent à émerger dans les transports. C’est pour se débarrasser des carburants fossiles que le fabricant américain Tesla a pu concevoir les véhicules électriques les plus rentables et les plus performants à ce jour. Convaincu de son modèle économique, son PDG, Elon Musk, va jusqu’à offrir publiquement ses brevets, dans l’idée de faire naître des concurrents pour diminuer les coûts et encourager ce secteur naissant !

4. La finance coopérative pour soutenir une économie plus juste

C’est un secteur à forte croissance dont on ne parle pas souvent et c’est dommage. Car il tend à redistribuer de manière plus citoyenne la richesse par une gestion transparente de l’activité bancaire. Représenté en France par le  » Crédit Coopératif  » ou la « Nef, il s’agit d’investir l’argent du client dans des activités qui obéissent à des exigences environnementales et sociales précises et connues. Ici, le client et son banquier s’associent au-delà de la relation commerciale, dans un engagement commun pour soutenir un secteur d’activité ou une association humanitaire.

5. Possibilité de vivre bientôt dans l’espace ? 

SpaceX, Orbital Science, Boeing, Virgin Galactic, Sierra Nevada Corporation, EADS Astrium… La liste des start-up et des entreprises investissant dans l’espace est devenue très longue en quelques années. La réduction des coûts d’accès à l’orbite prépare une révolution sur le moyen terme et dont on ne parle que trop peu. L’homme dans l’espace, c’est pour bientôt, et ce ne sera pas que l’affaire de quelques touristes fortunés. Elon Musk, également président de SpaceX, affirme vouloir fonder une cité d’un million d’habitants sur la planète Mars d’ici deux décennies. Une ambition qui témoigne de l’importance que va prendre l’espace ces prochaines années, de la colonisation de Mars aux mines d’astéroïdes…

Ces 5 entreprises françaises qui cartonnent dans le secteur aéronautique

L’industrie aéronautique est un secteur qui ne connaît pas la crise. Avec 75% de son chiffre d’affaires réalisé à l’export, il s’agit du premier secteur français d’exportation. Outre le groupe EADS, qui représente le leader international du secteur, voici 5 exemples d’entreprises françaises qui cartonnent dans le domaine.

1. Airbus Helicopters

Cette filiale d’Airbus constitue le premier concepteur d’hélicoptères civils dans le monde et l’un des principaux constructeurs d’hélicoptères militaires. L’entreprise a remporté récemment un contrat colossal qui vise à équiper l’armée polonaise de 50 hélicoptères multirôles, ce qui représente une victoire importante face à son concurrent américain Sikorsky. Lors du salon du Bourget, le groupe Airbus a réussi à faire état de 124 commandes fermes pour un montant total de 16,3 milliards de dollars.

2. Dassault aviation

Entreprise familiale présente sur les 5 continents, Dassault aviation constitue le dernier groupe dans le monde appartenant encore à la famille de son fondateur. Elle est à la seule entreprise à produire différentes sortes d’avions : avions d’affaires (le Falcon) et avions de combat (le Mirage ou le Rafale). La société a rencontré un franc succès avec l’avion de chasse Rafale, un avion de combat de quatrième génération considéré comme l’un des appareils les plus performants. Preuve de la bonne santé de l’entreprise, une commande de 36 avions a été passée récemment par l’Inde et un contrat de vente de 24 Rafale a été signé avec l’État du Qatar.

3. SNECMA

SNECMA conçoit, développe, produit et commercialise des moteurs pour des avions civils et militaires ainsi que pour les lanceurs spatiaux et satellites. Une gamme complète de services pour les moteurs aéronautiques est également proposée aux compagnies aériennes et aux armées. Son excellence et sa performance sont reconnues dans le monde entier. L’entreprise, grâce à sa recherche et sa technologie, développe des moteurs de plus en plus économes et silencieux.

4. Thales Aliena Space

C’est une entreprise franco-italienne, filiale du groupe Thalès, dont le siège est basé à Cannes. En fin d’année 2014, son PDG Jean-Loïc Galle a déclaré avoir réalisé une très belle année commerciale en concluant environ 2,2 milliards de prises de commandes. La plus grande part du chiffre d’affaires de l’entreprise concerne la commercialisation des satellites de télécommunications. Thales Alenia Space emploie près de 8000 personnes au total sur treize sites industriels.

5. Arianespace

Cette société française est chargée de la commercialisation des systèmes de lancement spatiaux développés par l’Agence spatiale européenne. Créée en 1980, elle compte aujourd’hui 21 actionnaires de 10 Etats européens. Elle a lancé plus de 370 satellites et 400 contrats de services de lancement ont été conclus au total. Actuellement, près des deux tiers des satellites en action dans le monde ont été lancés par Arianespace. La société dispose aujourd’hui d’un carnet de commandes de plus de 40 satellites à lancer.

5 outils originaux utiles à l’entrepreneur

Diriger une entreprise n’est jamais chose évidente. Fort heureusement, il existe divers outils originaux utiles, simples et économiques susceptibles de venir en aide aux entrepreneurs et dirigeants de TPE et de PME au quotidien. En voici 5.

1. Myfacture.com : une facturation simplifiée

Afin de tenir les comptes de son entreprise, il est nécessaire de posséder un outil de gestion performant. De nombreux programmes sont disponibles sur le marché, mais ils se révèlent bien souvent difficiles d’utilisation et onéreux. Myfacture.com constitue une solution pratique et économique. Ce service en ligne conviendra à tous les entrepreneurs, quelle que soit la taille de leur structure. Il permet de gérer ses comptes avec une interface ergonomique, en créant des comptes clients et des factures personnalisées. La version gratuite peut être testée pendant un mois, et la version payante est résiliable à tout moment.

2. AVG Air Space : un outil de sauvegarde

Gérer une entreprise requiert de contrôler les données qui s’y rapportent. Tout dirigeant de PME en a fait l’expérience, il faut sans cesse copier les informations relatives à son activité (rapports, factures, fichiers clients, etc.). Un même outil peut assurer tout cela : AVG Air Space. Il s’agit d’un logiciel de sauvegarde et de synchronisation des données, qui permet de naviguer aisément à travers tous vos répertoires de sauvegarde. Les données sont conservées automatiquement, et classées de manière simple et lisible.

3. Team Lab : l’aide à la gestion de projets

La collaboration et la gestion de projets sont deux éléments-clés dans toute entreprise. Afin de pouvoir superviser les différentes étapes de vos projets, vous pouvez utiliser Team Lab. Ce programme garantit le suivi détaillé des projets, avec une interface épurée et une prise en main rapide. Il est possible de l’utiliser pour définir toutes les tâches au sein d’un même projet, les répartir entre différents collaborateurs et y joindre des fichiers. Un must dans son domaine, entièrement gratuit qui plus est !

4. CRM : la modernisation de la relation client

Zoho CRM est un outil particulièrement utile pour les entrepreneurs. Il est en mesure de gérer les données de vos fichiers clients, pour vous fournir une efficacité optimale au quotidien. Le programme réunit sur une seule interface listes de contacts et rapports, en centralisant l’historique rattaché à vos clients. Quelques clics suffisent pour visualiser l’ensemble des informations qui s’y rapportent, permettant de donner à chacun une réponse personnalisée adaptée à ses besoins. Utilisable en version gratuite, le programme peut être accessible par trois collaborateurs à la fois.

5. MailChimp : le perfectionnement des campagnes e-mailings

Les entrepreneurs le savent, les campagnes d’e-mailings constituent une étape nécessaire pour dénicher de nouveaux clients puis fidéliser vos acheteurs. Cet élément de base de toute approche marketing réclame beaucoup d’organisation et de vraies connaissances informatiques pour se révéler efficace. Il existe cependant des outils qui sauront donner un coup de pouce aux entrepreneurs, comme MailChimp. Ce programme permet de gérer facilement tout votre dispositif e-mailing, y compris les newsletters. Il est possible de créer des designs pour personnaliser vos e-mails, puis d’analyser les retombées de vos envois. Un outil précieux, qui facilitera grandement votre prospection en ligne.

Quels impacts va avoir la recherche vocale sur le référencement ?

Google Now, Cortana, Siri : les géants du secteur de l’informatique affinent leurs solutions d’assistance vocale. Bien que balbutiantes, ces technologies impactent progressivement les habitudes de recherche sur le web. Un changement fondamental est donc en œuvre, de plus en plus pris en compte par les techniques de SEO. Que va changer la recherche vocale en matière de référencement ?

La recherche vocale, une technique en plein développement

Voici quelques années, les recherches vocales étaient encore marginales. Une récente étude de Google démontre que celles-ci sont désormais devenues monnaie courante. Ainsi, 55 % des adolescents américains utilisent la recherche vocale au moins une fois par jour (pour 41% des adultes) et une écrasante majorité d’entre eux – 89 % – estiment qu’il s’agit du futur de la recherche Web.
L’adoption de cette technique par le grand public, et plus particulièrement par les jeunes est due à deux facteurs principaux. D’une part, Apple, Microsoft et Google investissent massivement dans cette technologie tout en l’améliorant continuellement. D’autre part, l’explosion du marché des smartphones : 2014 est l’année où, pour la première fois, les recherches de terminaux mobiles dépassent celles des ordinateurs fixes et portables. Or, la recherche vocale sur mobile a une place prépondérante. Les analystes du secteur lui prédisent une forte croissance dans les prochaines années.

Conséquences de la recherche vocale sur les requêtes

L’impact de la recherche vocale sur la nature et la formulation des requêtes est important. Si le recul manque pour une analyse fine de l’ensemble des conséquences, quelques enseignements peuvent déjà être tirés.
Les requêtes ont tendance à s’allonger avec les recherches vocales. Les mots-clés, si chers aux techniques de SEO, pourraient perdre de leur importance au profit de phrases ou d’expressions complètes. Quand les préposions sont souvent omises lors d’une recherche au clavier, celles-ci le seront donc beaucoup moins à la voix.

Par ailleurs, la bonne syntaxe et l’orthographe juste sont mieux représentées. L’assistant de recherche vocale reformule avec un taux d’erreur de plus en plus faible (8 % seulement pour Google Search anglophone soit 3 fois moins qu’il y a trois ans.)
Les recherches vocales sont privilégiées par les utilisateurs en mobilité et favorisent ainsi les recherches circonstanciées : transport, adresses, itinéraires.

Les requêtes effectuées vocalement sont davantage du ressort de la conversation. Ainsi, par exemple, les questions tiennent une place conséquente dans ce type de recherche.

Des solutions simples pour le référencement

Le SEO doit donc s’adapter à cette nouvelle donne. Le plus rapidement possible en ce qui concerne des sites dont la cible est jeune et habituée aux nouvelles technologies.Quelques solutions simples peuvent répondre à ce défi. Tout d’abord, rédiger davantage de contenu répondant à de simples questions, par exemple : « comment réparer ma voiture de marque X ? » ou « quelle est la capacité du disque dur Y ? ».

Une autre solution serait de développer les espaces de conversation, comme les forums ou des espaces de questions/réponses. Le langage naturel, proche de la conversation dans ce genre de structure, favorisera l’adéquation avec les recherches vocales.
Les requêtes s’allongeant et se diversifiant, privilégient les stratégies de référencement répondant à l’effet de « longue traîne » qui sont déjà bien connues des professionnels.

Les recherches vocales bouleversent d’ores et déjà le référencement et ce n’est vraisemblablement que le début. Le mot-clé va perdre de son importance et les techniques de SEO devront s’adapter au plus vite, à ce changement fondamental pour profiter de cette évolution et non la subir.

Quels métiers vont disparaître avec les nouvelles technologies ?

Avec l’avènement des nouvelles technologies et du numérique, bon nombre de métiers sont vouées à disparaître. Marche inéluctable vers le progrès, quelles sont cependant ces professions qui n’ont pas su ou pu s’adapter aux changements dus au virage technologique ?

Du manuel à l’intellectuel : tous les secteurs sont touchés

Les secteurs les plus touchés sont indéniablement l’industrie, l’agriculture, les différentes administrations et les services aux entreprises. Les secteurs liés aux nouvelles technologies comme l’informatique, le numérique et la robotique ont transformé radicalement le monde du travail. Forcées d’évoluer ou de disparaître, de nombreuses professions sont ainsi en pleine mutation. Ce sont près de 3 millions d’emplois en France qui pourraient disparaître d’ici 2025. Ainsi, entre 1980 et 2012, le secteur industriel a observé une chute de 40 % du nombre d’employés avec une probabilité de voir 42 % des emplois français automatisables.

À l’instar de ce secteur et des manufacturiers, la robotique a permis une automatisation des tâches et une meilleure productivité. Les métiers ont été peu à peu remplacés par des robots.

99 % des téléconseillers sont amenés à disparaître, de même que les techniciens en informatique et les assureurs qui font partie des professions les plus menacées selon le magazine Challenges. 99 % des couseuses subissent aussi de plein fouet l’automatisation, tout comme les généalogistes. D’autres métiers comme les réparateurs de montres, les développeurs photos et les techniciens de saisie informatique font aussi partie de la liste. Sur 702 métiers étudiés par les chercheurs de l’Université d’Oxford, 47 % de ces métiers pourraient être supprimés rien qu’aux États-Unis entre 2020 et 2030.

De même, les professions intellectuelles supérieures ne sont pas épargnées, et les agents de bourse et traders souffrent du développement exponentiel de logiciels gérant des algorithmes complexes. Il n’est pas inenvisageable que voir disparaître 3 millions d’emplois, d’ici 2022 selon les chercheurs d’Oxford et d’Harvard.

Le secteur du numérique et de la robotique

La robotique industrielle pourrait atteindre un niveau record à l’horizon 2020. Ainsi, des robots magasiniers vont peu à peu remplacer les manutentionnaires, les postiers sont également voués à disparaître à l’avenir. Il devrait y avoir près de 1 659 500 unités dans la robotique industrielle en 2016 selon l’International Federation of Robot, ce qui générerait un chiffre d’affaires de près de 22,7 milliards d’euros.

La disparition à terme des informaticiens est aussi envisageable et selon l’économiste Tyler Owen : seuls 15 % de ceux-ci seraient épargnés par la destruction de l’emploi.

L’impression 3D, l’avènement du cloud et des services connectés, sonnent le glas des agents de production, des commerces de proximité et de nombreux services à la personne. Le télétravail, la vidéo-conférence, le cloud et le big data, représentent alors une opportunité non-négligeable et les entreprises qui ne s’adaptent pas à la dématérialisation sont en voie de disparition.

Le secteur du e-commerce impacte directement les commerces et boutiques traditionnelles, aux coûts plus élevés. Paiement en ligne, prix de plus en plus bas et concurrence féroce sur Internet, jouent en faveur du consommateur. Celui-ci n’a alors plus à se déplacer grâce aux smartphones et tablettes numériques qui permettent d’acheter à moindres coûts une grande majorité de produits et services.

Les domaines technologies de l’information et de la communication

Le secteur du recrutement souffre aussi de la concurrence des réseaux sociaux spécialisés. Facebook, Twitter, Instagram et surtout Viadeo et LinkedIn, représentent des relais idéals. Nul besoin de faire appel à une société, quand, d’un clic,  des milliers d’offres permettent d’être en relation avec les professionnels.

Les technologies numériques et de l’information possèdent cet avantage de simplifier les contacts et la mise en relation, tout en épargnant des coûts aux entreprises. Ainsi caissiers, machinistes, conducteurs d’engins compteront de moins en moins de recrutements. Les outils multimédias permettent de facilement remplacer les documentalistes et archivistes, grâce à des programmes de classement et d’archivage de plus en plus perfectionnés. Avocats et juristes pourraient également subir de plein fouet la concurrence des nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Les robots vont-ils remplacer les salariés ?

Le stock mondial de robots ne cesse de se multiplier. Des machines ultra-performantes/sophistiquées, capables d’une certaine diversité de fonctions pourraient venir menacer le poste de certains salariés. Certaines d’entre elles ont déjà été programmées pour disposer d’une totale autonomie de décision.

L’essor de la robotique : pour le meilleur ou pour le pire ?

Les entreprises du secteur robotique créent des emplois, c’est indéniable. Elles en auraient créé une dizaine de millions en 2013 et le chiffre devrait d’ailleurs continuer de croître. Mais la robotique en détruira également. Les géants du marché robotique affirment pour la plupart aujourd’hui qu’un robot est moins cher et plus productif qu’un employé. Un argument qui touche de plus en plus d’entreprises, tous secteurs confondus. Les chiffres évoquent plusieurs millions d’emplois menacés. Une étude prospective réalisée par des chercheurs de l’Université d’Oxford démontre que d’ici 2020, plus de 45% des employés aux États-Unis seront ainsi remplacés par des machines.

Quels métiers en péril ?

Aujourd’hui, l’utilisation des robots augmente de 5% chaque année pour atteindre un inventaire mondial de plus d’un million de robots en 2016. Face à cet essor du marché robotique, quels sont les métiers qui sont amenés à disparaître ?

– Magasinier
Amazon utilise aujourd’hui des centaines de robots magasiniers. Ces machines s’occupent de la préparation des commandes. Ils se déplacent pour aller trier les produits pour ensuite les apporter d’un point A (zone de stockage) à un point B (zone d’expédition). De nombreuses autres entreprises envient cette technologie et ne devraient pas tarder à l’adopter.

– Chauffeur de taxi/autobus
Tout roule pour les voitures dites « autonomes », c’est-à-dire celles capables de circuler sans chauffeur. Les hommes font de plus en plus confiance à la robotisation et certaines sources concordantes évoquent le fait qu’il existe aujourd’hui 89% de probabilités que les chauffeurs de taxi ou autobus soient amenés à disparaître. Pour l’instant, Google est l’une des rares entreprises à utiliser les voitures autonomes (avec la Google Car, ndlr), mais cette tendance devrait s’accélérer dans les années à venir.

– Astronaute
Et si l’exploration spatiale pouvait se faire sans astronaute à bord ? C’est d’ailleurs déjà le cas, car la NASA affirme avoir développé des robots astronautes qui n’attendent qu’à être envoyés dans l’espace. Dans les prochaines années, on pourrait compter trois robots pour un astronaute.

– Agent de sécurité
Les caméras ont depuis longtemps remplacé les yeux des hommes. Bientôt, leur présence pourrait être complètement remplacée par celle d’un robot. Les constructeurs conçoivent des agents de sécurité robotisés de plus en plus performants, à l’image du K5 de Knightscope.

Les entreprises impactées par le nouvel algorithme Google

Le célèbre moteur de recherche Google a lancé le 21 avril son nouvel algorithme « mobile-friendly » donnant la priorité aux sites adaptés aux Smartphones. Deux mois après, quels sont les sites perdants du « mobilegeddon »», comme l’a surnommé le journal The Guardian ?

91,5 % des clics s’effectuent sur la première page Google, ce manque de visibilité sur celle-ci peut avoir de lourdes conséquences et provoquer une baisse considérable du trafic : les chiffres peuvent se compter en plusieurs millions de dollars pour certains contributeurs. En revanche, un site « mobile-friendly » apparaîtra devant ses concurrents, avec un meilleur référencement, davantage de visibilité, de flux et bien sûr de recettes (publicitaires notamment) ou de ventes. Or selon l’analyse du spécialiste du référencement Yooda, 64 % des sites en français ne sont pas au point sur l’affichage mobile et qui ne correspondent pas aux règles du nouvel algorithme. Voici 5 sociétés qui en ont fait les frais.

1. www.premiere.fr. 

Le spécialiste du cinéma est en tête des pertes de visibilité avec – 25.7 % au lendemain de la mise à jour puis 22 % une semaine plus tard. Le site n’est clairement pas «mobile-friendly » avec ses liens rapprochés et son contenu flash. De son côté, la société ne semble pas réagir et continue ses avancées dans le monde des Smartphones via son application.

2. Le site Canalplus.fr 

Canalplus.fr perd plus de 19 % de visibilité ce qui est particulièrement marquant lorsque l’on connaît l’implication du groupe Canal dans les médias. Leur site n’est pas du tout optimisé pour les portables et dans l’immédiat, ils semblent vouloir se focaliser sur leur application tout comme Premiere.fr

3. BNP-Paribas

Ici, le problème ne vient pas du site, mais de l’algorithme lui-même. Lorsque vous sollicitez bnpparibas.net via un Smartphone, vous arrivez sur une page d’accueil demandant si vous désirez continuer vers l’application ou si vous préférez la version mobile optimisée de leur site. Google ne prenant pas en considération cette page choix, son algorithme estime qu’il n’est pas « mobile-friendly ». Avec ce problème de page qui n’est pas prise en compte, le site bancaire perd 14.4 % de visibilité. Ils attendent une mise à jour de Google.

4. Le Bon Coin 

Le site Le Bon coin cède 14 % de visibilité. Il a pourtant un espace mobile optimisé, mais qui n’invite pas l’internaute (qui navigue sur leur site via un mobile) à aller vers l’application ou le site optimisé. Une erreur qui devrait être réparée rapidement.

5. Le Crédit Mutuel

Le site du Crédit Mutuel a perdu 10 % de visibilité en raison des différents facteurs qui ne le rendent pas pratique aux yeux du consommateur : contenu flash, liens peu visibles obligeant l’utilisateur à zoomer pour comprendre les titres… La société ne compte pas modifier son site internet et se repose davantage sur son application.