Accueil Blog Page 897

Ces sociétés qui utilisent des robots

De nombreuses sociétés utilisent des robots, principalement dans l’industrie, et pour des usages très variés. Apparus progressivement depuis le début des années soixante, les robots se sont rendus incontournables, mais quelle place occupent-ils réellement dans le paysage industriel ?

Dans l’automobile, des bras par milliers

En France, le principal utilisateur de robots industriels reste le secteur automobile. Des cohortes de bras articulés et re-programmables, quasiment à l’infini, assemblent chaque jour des dizaines de milliers de véhicules. L’ancienne régie nationale des usines Renault fut d’ailleurs parmi les pionnières en créant une division robotique en son sein (ACMA, aujourd’hui absorbée par un des leaders mondiaux : ABB).

Paradoxalement, ces robots, capables de manipuler des charges dépassant la tonne, d’enchaîner les points de soudure sans relâche, de peindre et d’être insensibles à la répétitivité des tâches qu’on leur assigne, ont contribué à préserver l’emploi dans le secteur automobile en augmentant la productivité globale des usines (et donc leur rentabilité). Sans robot, on peut supposer qu’on ne fabriquerait plus de voiture en France en raison du faible coût de la main d’œuvre en Corée par exemple.

Des technologies high tech pour préserver les traditions

D’autres secteurs bénéficient eux aussi d’un apport important de la robotique : l’industrie horlogère en Suisse, pays réputé pour la cherté de sa main d’œuvre. Patrick Fleury, PDG de la société CLA à Delémont (spécialisée dans l’automatisation pour l’horlogerie et dans la micro-technique) l’affirme : il n’aurait pas été possible à l’industrie horlogère helvète de prospérer et de développer l’emploi local sans l’apport des solutions robotiques.

Une autre entreprise suisse, Crevoisier Sa aux Genevez, a même développé un robot polisseur programmé par vidéo : un opérateur humain exécute le polissage parfait d’une pièce sous les caméras, puis le robot est capable de reproduire le geste à l’infini. Face à la pénibilité du métier de polisseur et à la difficulté de trouver du personnel pour ces tâches, le robot apporte une solution idéale. Ainsi, l’horlogerie, activité de tradition en Suisse romande, perdure et prospère dans un contexte mondial pourtant difficile.

Les robots : de précieux auxiliaires

Dans la logistique, les activités de conditionnement pénibles et fastidieuses conduisent à de nombreux troubles musculo-squelettiques (première cause d’arrêt de travail). La robotisation de ces activités permet de résoudre ce problème tout en permettant d’augmenter les cadences de travail.

Les robots humanoïdes dans notre quotidien

La société française Aldebaran, passée sous contrôle japonais, a conçu Nao : un petit humanoïde de moins de soixante centimètres de haut et capable d’interagir verbalement avec les humains. Nao n’est pas le seul robot humanoïde, puisqu’en 2009, est créé son grand frère Roméo nettement plus grand, capable de venir en aide aux personnes âgées et en 2014 c’est le robot Pepper, capable de reconnaître les émotions.

Ces machines donnent naissance à une nouvelle ère en quittant le monde de l’industrie et de la logistique pour entrer dans celui des services. Dans nos pays occidentaux vieillissants, les robots seront amenés à prendre en charge toujours plus de choses. Dès cet été, l’hôtel Henn-na au Japon, accueillera ses clients avec des humanoïdes !

Doit-on percevoir ces humanoïdes comme une menace pour les humains ? Peuvent-ils les remplacer ? Si on considère les aspirations toujours plus grandes à une société du bien-être et des loisirs, la réponse est non. Laisser les machines travailler aux taches peu gratifiantes, n’est-ce pas l’idéal ?

La protection de la marque sur Internet

Le « squat » des noms de domaines reste une pratique courante sur le web. Il est donc essentiel de préserver votre marque des « cyber-squatteurs » qui risquent de nuire au succès de votre société. Pourquoi et comment protéger votre marque sur Internet ?

Pourquoi faut-il protéger sa marque sur internet ?

Les « cyber-squatteurs » peuvent aisément choisir un nom de domaine qui se rapproche du vôtre. Ils s’imposent alors en tant que concurrents directs en optant pour une nouvelle extension. Par exemple, si vous avez en votre possession « Transportmaritime.fr », ils peuvent choisir « Tranportmaritime.com ou .org » en toute impunité.

Ainsi, vous devez prendre au sérieux la protection de votre marque pour éviter :

  • que vos concurrents se positionnent mieux que vous sur les moteurs de recherche en utilisant votre marque.
  • que vos clients se dirigent sur le site de vos concurrents par erreur en pensant qu’il s’agit de votre société.
  • que vos clients soient victimes de « pishing » en tombant sur un « site-piège » identique au vôtre, mais conçu pour voler leurs informations personnelles.

Si les « cyber-squatteurs » s’approprient votre marque, ils peuvent vous la revendre à des prix très élevés, alors qu’elle vous revient en premier lieu. Insensé et déloyal ! Mais sachez que cela peut arriver.

Comment protéger sa marque sur internet ?

Pour protéger votre marque sur internet, il faut, dans un premier temps, l’enregistrer à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI).
Cependant, le véritable travail de protection concerne précisément le nom de domaine.

  • Conseil n°1 : achetez le plus grand nombre d’extensions

Pour contrer le travail des « cyber-squatteurs », il est essentiel de réserver un maximum d’extensions pour votre marque (.com, .fr, .eu, .biz, .info, .org, etc.). Sachant que le prix moyen d’un nom de domaine ne peut pas dépasser les 20 euros par an, n’hésitez pas à réserver tous ceux qui se rapportent à votre marque. Cet investissement peut ainsi vous éviter d’avoir à perdre du temps pour trouver les solutions à ces problèmes. Combien et quelles extensions faut-il choisir ? Vous pouvez opter pour un service d’experts. Par exemple, l’hébergeur Amen vous accompagne sur la protection de la marque et la gestion personnalisé d’un portefeuille de nom de domaine.

  • Conseil n°2 : examinez régulièrement les noms de domaines libres

Sachez que les noms de domaine peuvent être réservés un jour et se retrouver libres le lendemain. Il est important de bien les surveiller afin d’acheter celui qui correspond à votre marque dès qu’il est de nouveau disponible. Plusieurs services de surveillance de noms de domaines comme cscglobal ou Namebay sont disponibles pour vous aider à vous tenir au courant des nouveaux enregistrements.

Quelles sont les démarches pour protéger
sa marque sur internet ?

Si surveiller les noms de domaines reste essentiel pour la protection de votre marque, vous devez également connaître des démarches juridiques qui préservent vos droits.

Pour mieux protéger les cyber-entreprises, un organisme a été mis en place. Il s’agit de l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), qui vous permet de signaler l’appropriation illégale de votre marque par quelqu’un d’autre. Cette procédure extrajudiciaire vous garantit les droits de propriété de ce qui vous revient, même si la procédure peut coûter assez cher : entre 1000 et 5000 dollars.

Attention : la France ne réserve aucune sanction pénale pour ce type de « squattage ». Néanmoins, en cas de conflits entre commerçants, un affrontement devant le tribunal de commerce ou le tribunal de grande instance peut être envisagé.

Par ailleurs, notez qu’il existe deux services fondamentaux en matière de protection de marque sur internet : le TMCH (Trademark Clearinghouse) et le DPML (Domains Protected Marks List). Il s’agit de deux dispositifs distincts qui permettent de protéger sa marque sur internet. Le premier, le TMCH, est une base de données géante qui va centraliser, authentifier, stocker et diffuser les informations relatives aux droits de marques. Quant au dispositif DPML, il s’agit d’un service payant qui permet aux marques déjà enregistrées par la TMCH de bloquer l’ensemble des labels identiques à la marque avec toutes les nouvelles extensions.

Top 5 des entreprises basées sur la sécurité

En pleine expansion, le secteur de la sécurité entraîne dans son sillage bon nombre de créations d’entreprise et d’emplois. Il s’agit d’un domaine désormais bien implanté en France, qui profite à quelques grands groupes qui ont su tirer leur épingle du jeu. Quelles sont ces entreprises qui dominent le marché de la sécurité ?

Securitas AB

Firme suédoise fondée en 1934, Securitas AB est aujourd’hui le numéro 1 du secteur de la sécurité privée au niveau mondial. Le groupe occupe une position dominante avec une implantation dans plus de cinquante pays et près de trois cent mille collaborateurs dans le monde. En France, 130 agences de proximité ont été ouvertes pour mener des actions dans le domaine de la surveillance humaine et de la télésurveillance, de la sûreté aéroportuaire et en entreprise. Elle assure la sécurité des biens et des personnes avec une expertise reconnue, qui lui a permis de devenir le numéro un du marché de la sécurité privée.

Samsic Sécurité

Samsic Sécurité est une enseigne de sécurité privée qui emploie 3 400 salariés en France, pour un chiffre d’affaires de deux cent cinquante millions d’euros. La société s’est spécialisée dans la prévention des risques à destination du monde de l’entreprise. Elle assure des missions de surveillance, installe de l’équipement de télésurveillance, intervient pour des évènements et réalise également de la sécurité aéroportuaire. Il s’agit d’une des enseignes leaders de sécurité privée dans son domaine, susceptible d’intervenir dans n’importe quelle entreprise.

Safran SA

Le groupe industriel Safran, au chiffre d’affaires de quinze milliards d’euros en 2014, a développé ses activités dans le cadre des métiers de la sécurité. En se positionnant très tôt sur le marché du high tech, l’entreprise a pu devenir le leader mondial dans le secteur des technologies biométriques. La firme œuvre dans le domaine de la sûreté intérieure, en assurant la sécurité d’un grand nombre d’institutions, de frontières et d’aéroports. L’entreprise répond à la fois au besoin de sécurité des entreprises et des états, en commercialisant des systèmes d’identification et de détection des substances toxiques.

Axis Communication

Bien que le marché mondial de la vidéosurveillance soit dominé par les firmes chinoises, le groupe Axis Communication se place au deuxième rang des entreprises spécialisées dans ce secteur, en détenant près de 5 % du marché mondial à lui seul. L’enseigne a fait de la sécurité sa priorité industrielle en développant des produits de vidéosurveillance à destination des groupes privés et des collectivités. Avec ses caméras performantes adaptées au bâti urbain, Axis Communication assure la vidéo-protection des villes, des lieux publics et des immeubles d’affaires, en permettant l’identification des personnes et des véhicules même avec une très faible luminosité.

123 Alarme

Créée en 2005, la société française 123 Alarme occupe un rôle important dans le domaine de la sécurité sur le territoire national : elle est le leader du marché de la vente d’alarmes sur internet. Elle commercialise en ligne les systèmes de sécurité de toutes les grandes marques dont des caméras et des coffres destinés tant aux particuliers qu’aux professionnels. Ses produits assurent la sûreté aussi bien des domiciles que des entreprises grâce à des équipements de vidéosurveillance et des caméras de dernière génération.

Top 5 des entreprises qui facilitent le quotidien

Améliorer le quotidien des utilisateurs est l’objectif de nombreuses entreprises. Qu’elles proposent des produits innovants ou des services, certaines d’entre elles ont su se démarquer efficacement de la concurrence. Quelles sont ces sociétés qui ont trouvé le succès tout en facilitant le quotidien ?

Epson

Le groupe Epson, géant japonais de l’électronique au soixante-quinze mille employés à travers le monde, et dont le chiffre d’affaires dépasse le milliard et demi d’euros, s’est lancé depuis 2014 sur le marché des objets connectés. Le principe est simple : mettre à la portée de tous des objets intelligents, véritables trésors de technologie permettant de faciliter le quotidien. La marque se concentre sur deux produits majeurs : des lunettes connectées permettant de visualiser à tout moment du contenu HD et en 3D, et des montres connectées intégrant un capteur de foulée et un moniteur GPS pour modifier totalement son expérience du footing.

Samsung

Samsung, le conglomérat coréen spécialisé dans le domaine de l’électronique, a décidé de développer ses efforts dans le secteur de l’électroménager high tech. L’entreprise au chiffre d’affaires de trois cents milliards de dollars propose à présent une solution innovante avec le principe de la maison intelligente, permettant à chacun d’optimiser son mode de vie. Depuis n’importe quel smartphone de la marque, il devient possible de gérer l’ensemble des appareils domestiques Samsung : un service novateur, appelé à révolutionner le quotidien.

Loxone Electronics

Créée en Autriche en 2008, la marque Loxone Electronics développe des solutions pour mettre à la portée de tous, la domotique et le concept de smart home. Son objectif est de développer une stratégie globale pour faire de la maison connectée une réalité. L’idée est de faciliter la vie des personnes au quotidien, en leur donnant la possibilité d’ouvrir des volets roulants, d’activer une alarme ou d’allumer n’importe quelle lumière de la maison en toute simplicité depuis un smartphone. Ce marché semble porter ses fruits puisque la société a réalisé un chiffre d’affaires de vingt millions d’euros en 2014.

Conciergerie privée

Conciergerie privée est un réseau de conciergeries basé sue l’ensemble du territoire, qui propose de nombreux services pour accompagner au quotidien les particuliers, les entreprises et les vacanciers. La marque se classe au premier rang en France dans ce secteur d’activités. Elle cherche à faciliter au maximum la vie de ses clients, en prenant en charge tout ce qu’ils ne souhaitent pas accomplir eux-mêmes : transports, réservations, achats ou encore livraisons, L’enseigne offre également des services à la carte et une gamme exclusive de prestations de conciergerie de luxe.

Axeo

La société Axeo, forte de ses cent cinquante agences sur l’ensemble du territoire, se positionne comme le leader du marché français du service à la personne. Elle rencontre un succès croissant, avec un chiffre d’affaires de quarante millions d’euros en forte augmentation (20 % sur un an). L’entreprise propose une vaste offre de services pour venir en aide aux particuliers comme aux professionnels, au quotidien. Les services de proximité comprennent l’entretien de la maison, la garde d’enfants et l’accompagnement de personnes âgées. Pour les entreprises, il s’agira entre autres du nettoyage de locaux ou de l’entretien d’espaces verts.

Top 4 des entreprises qui pourraient guérir ou accompagner certaines maladies

Ces dix dernières années, la mondialisation a permis un progrès spectaculaire des technologies qui ont un impact non seulement sur les communications ou la vie quotidienne, mais aussi sur la santé et le traitement de maladies qui, avec le vieillissement et l’accroissement de la population mondiale, devient la priorité de chacun. Des entreprises travaillent au quotidien pour améliorer notre santé et celle des générations futures.

Perfint Healthcare

Cette entreprise basée en Inde a pour but d’aider les médecins pendant les opérations de chirurgie en leur apportant une aide robotisée. Le dernier-né, appelé Maxio, est capable d’aider les médecins notamment pour le traitement des tumeurs en indiquant aux médecins comment insérer l’aiguille dans la tumeur, en la guidant dans le corps du patient … Il s’agit d’une aide médicale qui permet de soulager le travail des chirurgiens, mais aussi d’éviter des complications au cours de l’opération et de traiter plus efficacement et plus rapidement la tumeur. Ce robot a déjà été testé aux Etats-Unis, en Inde, en Allemagne et en Russie et s’apprête à être commercialisé au Japon, en Corée et en Chine.

Elminda

Notre cerveau est un peu comme un réseau autoroutier. Les connexions entre les neurones sont des routes et les neurones des points de passage à partir desquels l’information se transmet. La société Elminda a mis au point le scanner BNA et grâce à 256 électrodes placées sur la tête d’un patient, on peut visualiser la carte de notre cerveau et déterminer à quels endroits les informations sont les mieux transmises ou au contraire là où les neurones n’accomplissent pas leur travail. Il s’agit là d’une véritable révolution pour les maladies dégénératives comme Alzheimer ou Parkinson, car on sera susceptible d’identifier les zones à traiter et on pourra déterminer l’effet de différents médicaments sur ces zones grâce à la carte du cerveau fournie par le scanner.

Organovo

Les médicaments passent par plusieurs tests cliniques : il y a d’abord les tests dans une boîte de Pétri, pour observer leurs effets, puis chez les souris et enfin chez l’Homme. De nombreux médicaments passent avec succès les deux premières phases, mais échouent au test clinique sur les humains. Cela ralentit énormément la recherche et empêche des médicaments très efficaces d’être mis sur le marché avant au minimum 10 ans. Organovo s’est spécialisé dans la recherche biologique alliée aux dernières prouesses technologiques comme l’imprimante 3D pour concevoir un corps qui reproduirait à l’identique le fonctionnement d’un vrai être humain sur le plan physiologique. Elle a réussi à répliquer des cellules et à les organiser comme dans un corps pour observer les effets de médicaments sur l’organisme. Cette invention pourrait révolutionner la recherche pharmaceutique en accélérant le processus d’essai clinique et en permettant à des médicaments d’être mis très rapidement sur le marché dans le cas d’une épidémie par exemple. La prochaine étape d’Organovo est de créer des organes à partir de l’imprimante 3D afin de combler la pénurie d’organes disponibles et ainsi sauver de nombreuses vies.

Hemarina

Le manque de sang est un frein à l’accès aux soins médicaux dans les pays pauvres, mais aussi dans les pays riches puisque 100 millions de litres de sang manquent dans le monde chaque année. La start-up Hemarina promet donc une véritable révolution dans le monde médical avec la découverte d’un liquide sécrété par un petit ver marin contenant des molécules pouvant transporter l’oxygène à la manière des globules rouges. Tous les avantages sans les inconvénients : n’étant entouré d’aucune cellule, cette molécule ne possède pas de groupe sanguin ou de rhésus et est donc universelle. De plus, elle est plus petite qu’un globule rouge classique et peut donc apporter de l’oxygène là où l’accès est difficile (traumatisme crânien, hémorragies…). Il s’agit donc d’une découverte qui pourrait considérablement bouleverser le monde de la médecine.

Quels sont les outils à utiliser pour le travail collaboratif ?

Le travail collaboratif ne se décrète pas, il se prépare. Au-delà des formations à mettre en place pour le personnel, l’adoption d’outils performants s’avère être la clé de cette organisation des tâches.

Qu’est-ce que le travail collaboratif en entreprise ?

Au sein d’une entreprise, un groupe de personne participe à l’élaboration et la réalisation de chaque étape d’un projet en vue de sa réalisation. Son organisation repose sur trois grands axes :

  • tous les collaborateurs doivent garder à l’esprit que chaque tâche fait l’objet d’une amélioration continue ;
  • le travail peut être divisé en séquences auxquelles chacun apporte sa compétence ;
  • les informations doivent circuler rapidement et être modifiables par tous.

L’intérêt du travail collaboratif consiste à associer les capacités de création de tous pour obtenir de meilleurs résultats. La motivation des différents acteurs joue un rôle essentiel. Il faut donc des outils à la mesure de l’ambition affichée.

Quels sont les outils les plus appropriés au travail collaboratif ?

L’organisation et le suivi d’un planning, d’un budget, d’enquêtes ou d’études de marché font parties des tâches que vos collaborateurs auront à gérer. Chaque mission est particulière et ne peut se faire sans outil adéquat. Les fichiers en ligne (agenda, documents word, excel) ont l’avantage d’être consultables et modifiables à distance. Ils peuvent être lus par tous types d’appareils et mis à jour simultanément.

Parmi les agendas gratuits sur internet, on trouve Google Agenda, l’application calendrier sur Outlook.com ou encore l’agenda de Yahoo Mail. Certains comme celui de Google permettent de disposer d’un code couleur, ce qui simplifie l’organisation globale. L’application d’Outlook permet quant à elle de s’abonner aux plannings d’autres utilisateurs ou encore de donner une priorité à telle ou telle tâche.

En matière d’outils collaboratifs en ligne, les plateformes qui permettent le partage, le stockage et l’actualisation en temps réel de documents font partie des plus usités chez les professionnels. On répertorie entre autres Google Drive, Dropbox et Onedrive. Les outils bureautiques traditionnels comme Microsoft Office 365 développent eux aussi progressivement des versions cloud et des applications pour partager et modifier tous types de documents, par tous les collaborateurs, à partir de tous les postes.

Les points importants à respecter

Un outil efficace devra tenir compte des phases de travail synchrones (vidéoconférence, audioconférence, chat, web conférences…) et asynchrones (partage ou rédaction de documents) propres à l’entreprise dans laquelle le travail collaboratif est mis en œuvre.

La maîtrise des technologies de l’information et de la communication (TIC) est au cœur de la mise en place d’une stratégie de travail collaboratif. Quel que soit votre choix, il faut donc garder à l’esprit que votre outil de travail doit à la fois rester facile d’utilisation et le plus complet possible afin d’éviter une multiplication des logiciels et des technologies utilisés.

Enfin, la motivation et l’implication de tous les collaborateurs demeurent des points déterminants dans le but de réussir la mise en place d’une stratégie de travail collaboratif. Pour que l’équipe donne le meilleur d’elle-même, il convient de lui faciliter la tâche par l’adoption d’un logiciel performant, simple d’utilisation, lisible sur différents appareils, modifiable par tous et sécurisé, dans le but de conserver précieusement les informations confidentielles de l’entreprise.

Top des entreprises qui fonctionnent à l’énergie solaire et qui cartonnent

Plus pérenne que le pétrole et le gaz, moins polluante que le charbon et moins dangereuse que le nucléaire, l’énergie solaire est sans conteste la ressource énergétique de demain. Certaines entreprises l’ont bien compris, et ont décidé d’utiliser l’énergie photovoltaïque au sein de leurs structures. Quelles sont ces entreprises qui ont fait le pari audacieux de l’énergie solaire ?

Google

Le géant américain a décidé de franchir le pas dès 2006, en se lançant dans une installation de panneaux solaires à l’ampleur inédite. La firme californienne a fait poser sur le site de Mountain View, où se trouve son siège social, un parc privé comptant près de dix mille panneaux high tech équipés de cellules photovoltaïques. Cet ensemble d’équipements démesuré permet de produire une quantité d’énergie considérable, estimée à 1,6 mégawatt, qui dépasse largement les besoins de Google sur le site. La branche Google Energy a été créée par la suite pour revendre la surproduction d’électricité solaire à l’État de Californie. Par son geste, Google a voulu témoigner de son intérêt profond pour les énergies renouvelables, tout démontrant une nouvelle fois son souci d’innovation.

Steria

On ne saurait trouver un exemple aussi frappant en France, mais il faut néanmoins souligner la démarche de la firme Steria, cinquième entreprise des services du numérique sur le marché français. Elle a fait construire à Meudon son nouveau siège social, des locaux de dernière génération entièrement dédiés aux énergies propres, fournis en électricité d’origine exclusivement solaire. Ce premier immeuble à énergie positive de France, élaboré par la société Bouygues, fonctionne à l’aide de dizaines de panneaux photovoltaïques. Ceux-ci sont disposés selon plusieurs angles différents sur les toits du bâtiment, au-dessus des parkings et sur les façades sud et ouest de la construction. L’énergie produite, bien trop importante pour n’alimenter que le bâtiment de la firme, est ensuite revendue au réseau EDF.

Casino

De manière moins spectaculaire mais tout aussi concrète, le groupe de grande distribution Casino s’est lui aussi engagé sur la voie de l’énergie solaire via une stratégie globale innovante. L’entreprise développe, depuis 2007, l’ambition de devenir l’un des principaux groupes industriels français à utiliser de manière massive l’énergie solaire. La filiale Green Yellow a été créée et a permis de développer une nouvelle stratégie basée sur les énergies renouvelables. L’enseigne Casino a concentré ses dernières implantations commerciales dans des zones de fort ensoleillement, tout en investissant de manière importante dans la filière photovoltaïque pour équiper ses supermarchés. On peut citer notamment l’exemple du centre commercial de Pessac, à proximité de Bordeaux, qui est entièrement alimenté par l’énergie que fournissent ses treize mille panneaux solaires.

Michelin

Il est bon d’évoquer enfin les ambitions similaires du groupe Michelin, qui cherche lui aussi à se positionner dans ce secteur en plein essor. L’enseigne a frappé un grand coup en 2011, en alimentant son site industriel du Puy-en-Velay, en Haute-Loire, par une gigantesque installation solaire. Ce véritable toit photovoltaïque, rassemble près de dix-sept mille panneaux solaires sur une superficie de trois hectares et demeure à ce jour l’un des équipements les plus vastes à l’échelle européenne dans ce secteur.

Top 5 des entreprises basées dans la recherche pour sauver la planète

La défense de l’environnement, les modes de consommation alternatifs, la lutte contre le réchauffement climatique et la prévention des pénuries sont autant de préoccupations majeures dans le domaine de la recherche scientifique. Sur ce créneau si particulier de la sauvegarde de la planète, quelles sont les entreprises qui ont su tirer leur épingle du jeu ?

Remosa

Remosa est une société espagnole en plein essor, dont les activités se concentrent sur le traitement des eaux usées et la récupération de l’eau de pluie. Fondée en 1981 à Barcelone, elle s’est développée dans le domaine de la défense de l’environnement, au point d’ouvrir de nouveaux sites dans une dizaine de pays à travers le monde. L’entreprise occupe la place de leader sur le marché de l’assainissement de l’eau. Parmi les produits-phares, des récupérateurs d’eau pluviale constituent une solution écologique notable.

Mugo Paysage

Créée en 2009, la société Mugo Paysage propose des initiatives originales pour concourir à la défense de la biodiversité. L’entreprise passe des partenariats avec des enseignes engagées pour la défense l’environnement, en fabriquant et en installant des ruches sur les sites des entreprises et des collectivités. Cette démarche assure la survie d’un grand nombre d’espèces de plantes et de fleurs menacées par les activités de l’Homme, puisque les abeilles sont à l’origine de la reproduction de la flore à l’échelle de la planète. Il s’agit d’un projet novateur qui connaît déjà un beau succès et contribue, à sa mesure, à la sauvegarde de l’environnement.

SeaBird

La protection des espaces marins trop souvent victimes de la pollution est un autre point important lorsqu’il s’agit de préserver la planète. C’est là l’objectif avoué de la société SeaBird, qui entreprend de mettre à profit ses compétences technologiques au service du respect de l’environnement. La firme fabrique des produits en bioplastique à utiliser dans le secteur de la pêche, mais ne comportant aucune matière plastique non-biodégradable. Conçus en biopolymère, les équipements mis au point par la société ne sont pas une menace pour l’écosystème maritime, et permettent ainsi de diminuer le nombre de déchets plastiques.

Horus Environnement

Les mêmes problématiques occupent les réflexions du groupe Horus Environnement, dont les activités sont entièrement dédiées à la préservation de l’eau et de l’air. Pour cela, l’entreprise fournit des solutions techniques adaptées afin d’optimiser les procédés industriels utilisés par leurs clients. Leurs services ont pour objectif de rendre ces activités humaines moins polluantes, plus respectueuses de la nature. La recherche scientifique et l’innovation technologique servent ici à protéger efficacement l’environnement, en procédant notamment à un assainissement notable de l’air et à un traitement des eaux résiduaires industrielles.

Pluri Ingénierie

Fondée en 2006, Pluri Ingénierie est une société faisant de la préservation du milieu naturel son cheval de bataille. Celle-ci met en œuvre toutes ses compétences techniques pour épauler les entreprises comme les municipalités souhaitant faire un geste pour la planète. Par des solutions innovantes, le groupe pratique le drainage des sols pollués, des traitements visant à améliorer la qualité de l’air ou encore des solutions à base d’énergie propre pour les entreprises, autant de démarches ayant un impact réel sur la situation environnementale des sites.

Les imprimantes 3D au service des entreprises

En plein essor depuis ces dernières années, l’impression 3D séduit de nos jours de plus en plus de personnes notamment dans le domaine professionnel. Mais jusqu’où cette nouvelle technologie peut-elle aller pour aider les entreprises dans leur domaine d’action ?

Un aspect innovant

Les imprimantes 3D font beaucoup parler d’elles depuis un certain temps. Beaucoup de personnes s’intéressent à cette technologie et plusieurs entrepreneurs ont franchi le cap en investissant dans ce produit. Idéales pour les start-up et les micro-entrepreneurs qui recherchent à créer de nouveaux produits rapidement, les imprimantes tridimensionnelles permettent de créer un modèle 3D en quelques heures tout au plus. Dernièrement en Chine, il n’a été question que de 24 heures pour imprimer 10 maisons.

Les principaux avantages

Outre le gain de temps non-négligeable pour réaliser un modèle en trois dimensions, les imprimantes 3D offrent de nombreux avantages pour les entreprises. Lorsqu’une PME a besoin de fonds, elle peut facilement convaincre ses investisseurs en présentant un prototype concret fait à partir des différentes matières que proposent ces machines. Il en est de même pour ses clients.

Le système Open source permet d’étendre cet engouement à travers le monde entier. Les modèles sur internet peuvent se retrouver utiles pour n’importe quelle société. Il est possible de trouver certains moules représentant des parties du corps interne d’animaux ou simplement des modèles de bâtiments connus ou en voie de construction. Lors de la fabrication de son produit, l’entreprise peut faire appel à l’impression 3D pour finaliser son bien ou pour concevoir une pièce unique qui en ferait partie. Une pièce faisant office de lien entre deux autres modules en est un bon exemple.

Un système grand public

Si la prise en main des logiciels 3D se fait de plus en plus simplement, il existe néanmoins des sites internet mettant en relation des entrepreneurs souhaitant produire avec des « makers » maitrisant la modélisation en trois dimensions. Des entreprises se spécialisent même dans la conception de produits en 3D que souhaitent vendre d’autres sociétés qui n’auraient pas le temps ou les connaissances de le faire. C’est notamment le cas des sites Sculteo, Duplication-3D ou Quick Prod.

Le seul frein possible à la mise sur le marché d’un produit conçu par impression 3D resterait ce système d’open source qui permettrait aux particuliers de produire leur propre objet. La seule différence notable concernera la qualité de ce dernier qui sera en relation avec la technologie utilisée.

Un marché florissant

Même si cet appareil semble encore un peu cher, il n’en est pas moins innovant et utile dans les secteurs d’activités tels que la médecine pour la réalisation de prothèses, le bâtiment pour la modélisation de nouvelles infrastructures ou encore la vente. Il est important de savoir que le prix de cette nouvelle technologie a été divisé par 10 en 5 ans. Selon une étude réalisée en fin d’année 2014, la croissance de ce procédé devrait croître de 20 % par an. La principale raison est que les brevets déposés vont entrer dans le domaine public.

Les imprimantes tridimensionnelles vont être un outil indispensable dans les années futures. Le prototypage n’en est que plus facile et cette technologie permet de réduire significativement le temps de sa fabrication. Comme tout produit innovant, la qualité ne cessera d’augmenter avec le temps et les procédés de fabrication utilisés par de grands groupes de l’industrie (précision, matériaux…) seront à la portée des entreprises naissantes. Les sociétés de R&D, les cabinets d’architectes ou autres bureaux d’étude ne vont bientôt plus pouvoir se passer de cette nouvelle technologie, au même titre que les ordinateurs il y a quelques années.

Ces espaces de coworking insolites où il fait bon travailler

Le coworking est à l’entreprise ce que la colocation est au particulier. Il importe donc que la dimension humaine soit prise en compte et que la cohabitation se fasse le plus agréablement possible pour tous. Les lieux et leurs aménagements sont donc importants. Existe-t-il des espaces de coworking insolites ?

Le phénomène est tout nouveau en France puisque seul 30% des espaces de coworking ont plus de 3 ans. Il importe donc que les travailleurs se sentent bien dans ces locaux. Souvent, les coworkers organisent des événements en commun. Les parties communes sont de ce fait très importantes. Bâtiments neufs ou réhabilités, avec ou sans cuisine, avec ou sans atelier, les formules sont multiples et pleines d’idées.

L’imagination au pouvoir

A Marseille, The Carrosserie est un ancien atelier automobile situé en plein centre-ville dans lequel on a gardé béton brut et charpentes apparentes, en mariant le tout à un mobilier très design. Le public y vient pour bruncher le dimanche. A Paris, on trouve aussi bien une ferme du XVII° siècle dans le 11ème arrondissement, la Factory, qu’une ancienne fabrique de montgolfière, l’Atelier, dans le 19ème avec une hauteur et des verrières impressionnantes. A Bordeaux, Darwin a pris possession d’une ancienne caserne militaire et y a implanté, en plus d’un espace de coworking, une épicerie et un restaurant bio, une ferme et un skate-park !

La réhabilitation de bâtiments anciens ouvre de nombreuses perspectives

Le coworking s’adapte facilement aux grands espaces de bâtiments abandonnés. Certains retrouvent ainsi une seconde jeunesse. C’est le cas d’une ancienne fabrique de peinture à Marseille qui abrite la Fabulerie, un espace de coworking associé à un espace de comaking qui propose des machines-outils et une menuiserie. C’est le cas également de Work&Co, à Dunkerque, installé dans une ancienne filature de toile de jute, très lumineuse, qui dispose d’un open-space et de bureaux mais aussi d’une micro-crèche et d’un café design.

Ailleurs dans le monde

Apocapoc, situé à Barcelone, a également fait preuve d’imagination puisque, dans son bâtiment entièrement rénové et écologique, le mobilier de bureau et la décoration proviennent exclusivement de matériaux de récupération venus des rues de la ville, ce qui ne nuit pas à l’ensemble bien au contraire ! Le Cristal Hub, à Seraing en Belgique, est quant à lui installé dans un ancien palais abbatial du XVIII° siècle, le Château du Val Saint Lambert, qui constitue toujours le siège d’une cristallerie réputée. Un lieu prestigieux où les coworkers n’hésitent pas à inviter leurs clients dans les nombreuses salles de réunion disponibles. A New-York, Paragraph est un espace de coworking réservé aux écrivains. Il dispose d’une bibliothèque et d’un salon très confortable, en plus d’espaces individuels réservés à l’écriture. On peut également citer l’exemple insolite de Hubud, en Indonésie, qui a été entièrement construit en bois et en roseaux, ce qui apporte une ventilation et une fraîcheur bienfaisante dans ce pays tropical.

Même si les lieux insolites en la matière sont encore assez rares, tous ces espaces de coworking peuvent accueillir les travailleurs nomades à l’heure ou à la journée et permettent de nombreuses rencontres. A essayer lors d’un prochain déplacement, pour se faire une idée !