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Avec le comparateur PackLink, faites des économies sur vos envois de colis !

PackLink est un comparateur de prix d’envoi de colis en France et à l’étranger. Comment cette société qui existe seulement depuis 2012 a-t-elle réussi à se positionner comme leader sur son marché ? Focus.

Packlink est née de la volonté d’offrir aux particuliers ainsi qu’aux petites et moyennes entreprises un accès facile et économique à un vaste panel de prestations dans le domaine de la livraison de colis via internet. Le site donne la possibilité de centraliser et gérer tous les envois de colis à partir d’une seule plateforme sans avoir à contacter chaque prestataire séparément.

Deux profils d’entrepreneurs complémentaires

Cette solution a pu voir le jour et se concrétiser grâce à la complémentarité de ses fondateurs. Le premier, Ben Askew-Renaut, possède un parcours en finance –il est diplômé de la London School of Economics- et une quinzaine d’années d’expérience dans l’informatique et la logistique. Quant au second, Javier Bravo Melguizo, il possède à la fois un diplôme en business marketing et également en psychologie. Forts d’expériences complémentaires et soutenus par de nombreux experts du marché du transport, les deux entrepreneurs ont eu l’idée de créer une société qui utiliserait les nouvelles technologies pour faciliter les services logistiques. L’idée d’un comparateur germe vite dans leur esprit. Ils mêlent leurs compétences techniques et décident de se lancer : la société voit le jour début 2012 en Espagne.

Cibler à la fois particuliers et entreprises

Les fondateurs entendent faire de la plateforme PackLink plus qu’un comparateur de prix. La diversité des services de livraison parvient à séduire à la fois les particuliers et les entreprises, quels que soient le volume et la fréquence d’expédition de leurs colis. Les entrepreneurs ont d’abord pensé le service pour les particuliers, en développant une interface qui se veut performante et très intuitive dans la navigation. Dans un second temps, les professionnels voient aussi dans cette solution le moyen de faire quelques économies, notamment en acheminant à moindre coût leurs produits à l’étranger. Certains services comme l’obtention d’un devis comparatif en temps réel a facilité l’adhésion des utilisateurs à cette nouvelle plateforme comparative.

Une levée de fonds et un développement rapide à l’international

Au total, depuis décembre dernier, plus d’un million de colis ont été expédiés via la plateforme vers plus de 220 destinations. La plupart des plus grandes sociétés de transport comme DHL, Chronopost ou encore UPS ont fait confiance à Packlink et travaillent en partenariat avec l’entreprise. Ces dernières offrent par ailleurs régulièrement des remises aux clients allant jusqu’à 70% du prix.

Preuve de son succès, la compagnie a clôturé en juin 2014 une levée de 6,6 millions d’euros auprès d’Accel Partners et d’Active Venture Partners.

Cette levée leur permet notamment de développer :

• Le business à l’international : PackLink a d’abord été lancé par les deux associés en Espagne, puis l’entreprise s’est rapidement implantée en Allemagne, en France et en Italie.
• Un nouveau service inédit exclusivement dédié aux entreprises qui permettra de gérer depuis une seule et même plateforme l’intégralité du processus d’expédition de colis, du choix du transporteur à la confirmation de la livraison.

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Top des entreprises expertes dans le secteur des nanotechnologies

Avec un marché estimé à plus de 1 000 milliards d’euros, les nanotechnologies représentent un énorme potentiel. Dans de nombreux domaines comme la médecine, l’informatique ou l’énergie, celles-ci profitent aux start-up. Quel avenir alors pour l’infiniment petit dans le monde de l’entreprise ?

La technologie des semi-conducteurs

Les nanotechnologies ou nanosciences regroupent l’ensemble des techniques dont le nanomètre représente l’échelle de grandeurs. Les entreprises utilisent alors ces technologies de dernière génération dans de nombreux domaines dont l’optique, la santé ou encore l’environnement ou la biologie. Les nanotechnologies sont en constante évolution depuis les années 70, et les microprocesseurs ont en premier lieu bénéficié de l’apport de ces nanosciences. La firme californienne Intel qui pèse aujourd’hui plus de 115 milliards de dollars constitue un monopole mondial du monde des microprocesseurs et composants informatiques.

Les semi-conducteurs représentent un important secteur du marché informatique, et leur évolution dépend des nanotechnologies. Toujours plus fines pour des processeurs à la puissance exponentielle, les gravures atteignent une précision hors du commun, avec moins de 22 nm contre 65 nm il y a encore seulement une décennie. Le futur rachat d’Altera par Intel pour un montant de 16,2 milliards de dollars en ferait alors le géant du secteur des semi-conducteurs.

Santé et nanotechnologies

Toujours à la pointe des technologies, les start-up spécialisées dans le secteur médical n’ont cessé d’innover au fil des années. Depuis l’invention du microscope à effet tunnel qui a valu à ses inventeurs le Prix Nobel de Physique en 1986, les avancées technologiques sont considérables. Ainsi, avec les secteurs de la biologie, de la chimie ou encore de la médecine, ce sont plus de 1 000 produits commercialisés depuis 2009 qui bénéficient des nanosciences. Bon nombre d’entreprises voient alors leur chiffre d’affaires se développer à l’instar des start-up françaises comme Nanobiotix ou Onxéo. Les nanomédicaments profitent de l’avancée des essais cliniques notamment sur la recherche contre le cancer, en développant un traitement révolutionnaire au profit des malades.

La France dote ses entreprises nouvellement créées d’un budget considérable évalué à plus de 100 millions d’euros, notamment pour la recherche et le développement. Bio-puces à ADN ou autres technologies innovantes profitent des nanotechnologies dans la recherche médicale. Les enjeux majeurs des start-up françaises et mondiales, à l’avenir, font des nanosciences un secteur-clé de la recherche et de l’innovation, avec 15 leviers attendus au cours des prochaines années.

Le futur des nanotechnologies

Robotique, traitement massif des données, sécurité civile, les domaines des nanotechnologies représenteront dans le futur des investissements massifs. Affimetrix est ainsi cotée près de 82 milliards de dollars grâce à son logiciel d’analyse des informations génétiques. Avec des estimations comprises entre 97 et 129 milliards de dollars en 2016, la nanomédecine représente une manne financière non-négligeable, d’où la multiplication des entreprises du high-tech dans la recherche et le développement. Avec son brevet du médicament NBTXR3 visant à utiliser des nanoparticules dans le corps humain, la société Nanobiotix est aujourd’hui valorisée à plus de 300 millions d’euros.

Les PME représentent ainsi une part substantielle du secteur des nanotechnologies, avec une majorité de start-up de moins de 50 salariés. Les pôles de recherche comme ceux de Grenoble ou de Toulouse font preuve d’innovation avec quelques exemples notables comme la société Nanolike spécialisée dans les nanocapteurs industriels qui a levé près de 700 000 euros de fonds, ou encore Clinatec sur les nano-implants.

L’entrepreneure qui souhaite rester jeune

Avec une licence en lettres modernes en poche, Marie-Claude Lelouch devient publicitaire chez Publicis. Pour autant, elle ne souhaite pas réaliser l’intégralité de sa carrière dans ce secteur car elle n’envisage pas de concilier sa vie professionnelle avec sa vie familiale. Elle occupe donc ce poste pendant cinq ans avant de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale avec son mari.

Une première expérience de l’entrepreneuriat

Ce dernier possède un cabinet d’opticien optométriste et s’adresse à une clientèle assez pointue. A l’époque, Marie-Claude l’aide dans ses tâches de gestion de l’entreprise. Il y a deux ans, son mari a revendu le cabinet. « Je me suis dit que c’était le moment pour moi de me lancer », explique l’entrepreneure. Elle développe alors un concept de séminaire sur l’eau mais rencontre de grandes difficultés pour lever des fonds et trouver des partenaires de haut niveau. « J’ai commencé à développer ce business à mon échelle mais les principaux budgets qui devaient m’être alloués pour les séminaires ont été supprimés. Pour poursuivre cette aventure et tenir financièrement, il m’aurait fallu investir d’autres fonds propres. J’ai donc abandonné cette voie après un an d’essai », poursuit-elle.

Se lancer dans le social business

Peu de temps après, une amie lui parle d’un nouveau modèle d’entrepreneuriat qui se développe aux Etats-Unis : le social business. « L’idée consiste à édifier un réseau de distribution en tant qu’entrepreneur indépendant avec un partenaire de niveau international présent sur 53 marchés », résume Marie-Claude Lelouch qui commence alors à travailler pour l’entreprise américaine Nu Skin. Cette société occupe une position de leadership sur la compréhension scientifique du phénomène de vieillissement s’appuyant sur une toute nouvelle science appelée l’épigénétique. « Il s’agit d’une science basée sur la compréhension et la réinitialisation de l’expressions des gènes, cause du vieillissement ».Les banques de données de plus de 30 ans de recherche sur le génome humain et les ingrédients testés ont permis de mettre au point des produits exclusifs et brevetés capables de remettre les gènes en état d’expression optimal.

En tant que partenaire, Marie-Claude Lelouch développe aujourd’hui un réseau de distribution international pour ces produits. Elle nous explique ses missions : « Je suis à la recherche de relais de croissance en France et à l’étranger. Je connecte des indépendants ou des entreprises qui souhaitent développer ce concept. Je suis notamment en contact avec des gérants de fitness, d’instituts de beauté, de spa, de professionnels de la santé qui souhaitent diversifier leur activité. Un nouveau modèle économique très souple leur permet de devenir partenaire et de diffuser nos produits, très complémentaires à leur activité. »

La flexibilité comme qualité dans le travail

Le social business, nouveau moteur économique, a tout de suite convaincu Marie-Claude car elle n’a pas eu besoin d’avancer de fonds propres ni même de lever des fonds pour se lancer. Aujourd’hui, son entreprise possède le statut d’EURL. Elle n’a aucun salarié mais gère 5 partenaires qui sont eux-mêmes entrepreneurs indépendants. « Mon bureau se situe chez moi. J’organise mon temps de travail comme je veux même si je me fixe des plages horaires. Je me déplace lorsque j’ai des rendez-vous à Paris, sinon j’organise mes entretiens sur Skype », explique l’entrepreneure qui semble très organisée.

Même si le secteur de l’épigénétique lui était auparavant inconnu, Marie-Claude semble s’être toujours reconnue dans cette démarche : rester en bonne santé, dynamique et tonique. A bientôt 60 ans, et grâce à cette nouvelle aventure professionnelle, l’entrepreneure espère retrouver une seconde jeunesse, tant sur leplan physique que professionnel !

2 questions à… Marie-Claude Lelouch

Avez-vous rencontré des difficultés au lancement de votre business ?

Oui bien sûr. L’épigénétique demeure un secteur très pointu. La principale difficulté a donc été de s’approprier le discours afin d’être la plus crédible possible face à des chefs d’entreprise. Cette crédibilité est un des facteurs essentiels à ma réussite. Elle m’a permis de convaincre et d’acquérir la confiance des autres pour être suivie dans cette aventure.

Comment voyez-vous votre entreprise dans 5 ans ?

J’espère travailler avec au moins 12 partenaires au lieu de 5 actuellement.
Je souhaite également me développer à l’international, notamment sur le continent Américain, en Europe et en Turquie.

4 start-up qui surfent sur la fête des pères

La fête des pères arrive à grands pas, certaines start-up en profitent pour proposer des produits ou services en lien avec cet événement. Voici 4 start-up qui ont su surfer sur la fête des pères.

Uber offre une virée gratuite

Dans le cadre de la fête des pères, l’application Uber et la start-up Roadstr se sont associées pour lancer Uber Vintage. Il s’agit d’une virée gratuite en voiture de collection à Lyon le 21 juin 2015. Plusieurs modèles seront disponibles, notamment Mustang, Delorean et Triumph. L’objectif est de permettre aux utilisateurs d’Uber d’offrir 30 minutes de balade à leurs pères. Ce service éphémère peut être réservé gratuitement sur l’application.

50 box de Big Moustache dans les taxis G7

Le partenariat Big Moustache et Taxis G7 est né de l’envie de donner un cachet spécial à la fête des pères en offrant aux passagers qui emprunteront un taxi G7 du jeudi 18 au vendredi 19 juin des box d’une valeur de 60 euros. Chaque box contient 1 rasoir terminator, 1 blaireau, 1 stick cicatrisant, 1 crème, 1 bol et 1 housse de transport. Il est également possible de gagner des box sur le site de G7.

Les papas branchés sont à l’honneur chez Insolites Collection

Insolites Collection, une société spécialisée dans la vente des produits high tech, propose à sa clientèle quatre nouveaux produits innovants à l’occasion de la fête des pères : Insolites Earbone1 (Casque Bluetooth), Insolites Board i-Nova (board électrique), Insolites iPower Elite (batterie externe gainée) et Insolites iSing (enceinte portable). L’objectif est d’offrir des cadeaux beaux, insolites, utiles et fun aux papas branchés et urbains. Ces produits peuvent être commandés en ligne sur le site d’Insolites Collection.

« Le kit du baroudeur épicurien » du Petit Ballon

Le site Le Petit Ballon a créé pour cette fête des pères un kit spécial en partenariat avec Opinel. Il comprend : un couteau n°10 tire-bouchon et son étui, un sac en toile de jute pour transporter sa bouteille partout, un stop-goutte pour éviter les fausses notes et un petit livret avec des petites astuces pour barouder et déguster.

Top 5 des outils informatiques indispensables pour les entrepreneurs

Les entreprises bénéficient toutes de leurs outils informatiques indispensables. Performants, ils ont été élaborés pour faciliter le fonctionnement d’une société et aider l’entrepreneur à interagir avec son environnement. Cinq outils informatiques sont devenus incontournables dans la vie de l’entrepreneur.

1. Aratel ou Abm 2000

A quoi reconnaît-on un planning d’entrepreneur ? Il est si chargé que ses journées de 24 heures et ses semaines de 7 jours ne suffisent pas. Il évolue constamment : annulations, reports ou ajouts de rendez-vous. Un vrai casse-tête qui, mal géré, peut conduire à des oublis ou des doublons. Rien de pire que de ne plus se rappeler le rendez-vous fixé avec un partenaire. Vos applications mobiles sont une première approche du planning. Un nouveau concept existe. Il vous permet de confier la gestion de votre emploi du temps à une entreprise spécialisée qui organise vos rendez-vous avec vos partenaires. Vous interagissez avec elle via une application smartphone ou un site internet. Une charge de travail en moins.

2. CamCard

La distribution de vos cartes de visite reste un atout pour votre entreprise, la faire connaître. Vous pouvez également en recevoir et ainsi agrandir votre réseau. Ce serait dommage de la perdre. CamCard vous permet de classer vos contacts en scannant toutes vos cartes de visite et de les conserver ensuite dans votre cloud. Où que vous soyez, vous pouvez les consulter depuis votre smartphone, votre tablette ou votre ordi portable. Vous pouvez également les transférer à vos contacts. Un outil vraiment indispensable pour vous aider à développer votre réseau.

3. Societe.com

Qui sont vraiment vos partenaires potentiels? Société.com vous fournit, via son application mobile, toute information légale et gratuite sur des entreprises françaises. Ainsi, plus de 10 millions de sociétés n’auront plus de secret pour vous. Les renseignements mis à jour quotidiennement vous permettront de savoir s’il faut signer ou non avec un partenaire.

4. Hangouts

Google Hangouts est l’application mobile d’Androïd et d’Ios. Cette visioconférence est intégrée au réseau social Google Plus et à la messagerie Gmail. Elle propose de passer des appels vidéo et d’envoyer des SMS. Fonctionnant avec tous les outils connectés, mobiles ou autre, elle permet donc de communiquer où que vous soyez avec tous vos contacts. Vous pouvez même organiser via Hangouts une visioconférence ou un séminaire virtuel à 10 participants (vous inclus).

5. Penultimate

Vous êtes sur un chantier, à une réunion, et vous devez prendre des notes ou faire un croquis. Penultimate vous facilite la prise de note manuscrite depuis un smartphone iOS ou une tablette. Vous pouvez intégrer des photos, des croquis ou des schémas, puis les envoyer par e-mail. Où que vous soyez, ne perdez plus vos bonnes idées, couchez les sur papier. Les notes prises sont ainsi sauvegardées et synchronisées sur DropBox, Google Drive, Box ou WebDAV. Depuis quarante ans, l’informatique envahit le quotidien des particuliers comme des entreprises.

Actuellement, le numérique propose de nombreux outils aux entrepreneurs. Il est temps de franchir le pas et d’opter pour la simplicité …en ligne!

Quels seront les futurs métiers des start-uppers dans 20 ans ?

Selon Thomas Frey « 60 % des meilleurs métiers des 10 années à venir n’ont pas encore été inventés ». De nouvelles professions, dans de nouveaux domaines vont voir progressivement le jour, révolutionnant ainsi le monde du travail et le marché des biens et des services. Dans ce contexte, les start-up sont bien souvent à l’origine d’idées novatrices. Coup de projecteur sur les futurs métiers que pourront choisir les entrepreneurs dans deux décennies.

1. Les métiers de service aux entreprises

Les services dédiés aux entreprises sont un secteur qui a beaucoup de chance de voir émerger de nouvelles professions: accompagnement des entreprises pour augmenter leur productivité, testeur d’applications professionnelles, etc. Les start-uppers sauront sans aucun doute se positionner sur ce nouveau créneau, porteur d’emplois. Il sera, en effet, possible de débuter ces activités avec des moyens humains et matériels limités, ce qui permettra aux start-uppers de se lancer.

2. Les métiers du domaine médical ou paramédical

Avec le boom des nouvelles technologies, le monde médical change considérablement, et ce n’est que le début. De plus en plus d’objets connectés sont créés pour faciliter la vie du malade. Certaines entreprises envisagent même de pouvoir guérir des maladies grâce aux nouvelles technologies, la société Elminda a fait ce pari fou de peut- être guérir la maladie d’Alzheimer et de Parkinson grâce à son scanner ultra performant baptisé BNA. D’autres se spécialisent dans la création de tissus et d’organes à l’aide d’imprimante 3D comme la start-up californienne Organovo.

3. Les start-up spécialisée dans l’assistance des personnes âgées

Nous vivons de plus ne plus vieux, en 2030, on ne comptera pas moins de 20 millions de personnes âgées de plus de 60 ans contre actuellement 15 millions. Ce secteur ne semble pas en déclin, bien au contraire. Certaines start- up se sont déjà lancées dans l’assistance aux personnes âgées comme notamment SeniorAdom et se font de plus en plus nombreuses.

4. Les métiers du coaching

Qui dit l’apparition de nouveaux métiers, dit de nouvelles méthodes de coaching à adapter. Les entrepreneurs auront de solides opportunités en créant des services ou des outils de coaching. Les consommateurs sont toujours avides de conseils personnalisés pour leurs activités physiques, leur alimentation, la décoration ou le rangement de leur logement, etc. Les start-up pourront adapter le coaching à des domaines du quotidien ou à des nouveaux métiers qui n’ont pas encore été exploités.

5. Les métiers liés aux dérives des nouvelles technologies

L’essor des nouvelles technologies a profondément révolutionné notre quotidien, dans tous les domaines. Si ce grand chamboulement a essentiellement des effets positifs, il existe certains travers que l’on commence à voir apparaître. Il existera donc dans les prochaines années un vrai marché pour les start-up, en lien avec cet essor soudain. Ainsi par exemple, les métiers liés à la cybercriminalité, à la lutte contre le piratage ou à la surveillance pourront recevoir un vrai accueil de la part des consommateurs. Des start-up pourront aisément se positionner sur ce marché.

6- Des data scientist

Les objets connectés sont de plus en plus nombreux sur le marché. En 2020, on comptera 80 milliards d’objets connectés et selon l’Association française des éditeurs de logiciels ( Afdel), ce seront pas moins de 1000 postes créés dans ce secteur en 2018. Un métier de plus en plus demandé dans les entreprises puisque le data scientist s’occupe d’analyser les données massives (Big Data) pour élaborer la stratégie de l’entreprise, et ce, dans n’importe quel secteur (aussi bien le secteur financier, assurance, marketing…)

7- Des ingénieurs de réalité augmentée

Ce métier existe déjà, mais il intéresse de plus en plus d’entreprises notamment d’architecture, du bâtiment et des transports. La société française Artefacto propose déjà cette solution de réalité augmentée ou virtuelle pour diverses projets.

8- Des start-up au service des « fermiers urbains »

Certaines start-up pourraient voir le jour afin de créer des produits innovants pour faciliter « l’agriculture urbaine ». Il existe déjà des entreprises qui se sont lancées dans ce créneau notamment Monpotager.com : il s’agit d’avoir une parcelle de potager en ligne et de se faire livrer les produits que l’on a choisi dans un point relais. Ce secteur devrait s’étendre de plus en plus d’ici quelques années, à Paris, par exemple, on prévoit 7 hectares de toits aménagés en potager d’ici 2020. Il y aura certainement de plus en plus de problématiques à résoudre surtout pour agencer au mieux et le plus possible un territoire pas vraiment adéquat pour planter des fruits et légumes.

Utiliser un serveur privé est-il une solution pour l’entreprise ?

L’essor des nouvelles technologies dans le monde de l’entreprise a complètement bouleversé les usages classiques. Les professionnels ont aujourd’hui la possibilité de dématérialiser l’ensemble de leurs données. Dans ce cadre, le recours à un serveur privé semble être une opportunité que beaucoup d’entreprises ont déjà saisie. Pourtant, d’autres restent réticentes à cette idée.

La peur du « trop technologique »

Il est certain que l’utilisation d’un serveur où toutes les données de l’entreprise, jusqu’aux plus confidentielles, seraient stockées, peut avoir quelque chose de rebutant, voire d’effrayant. Plus rien n’est conservé dans les dossiers traditionnels, tout se retrouve directement à l’intérieur de serveurs dont on ne connaît en général pas la localisation.

Pourtant, ces réticences liées à l’aspect « trop technologique » se doivent d’être dépassées. Le monde de l’entreprise a déjà fait face à des changements brutaux. Avec l’arrivée de l’ordinateur par exemple, nombre de sociétés pensaient ne pas pouvoir utiliser correctement cette machine dans le cadre de leur activité. C’est pourtant aujourd’hui une chose parfaitement commune et dont toutes les entreprises ne peuvent se passer.

L’utilisation d’un serveur privé devient ainsi de plus en plus intuitive. On constate que les interfaces de ces serveurs se simplifient progressivement, ce qui a pour conséquence de démocratiser son utilisation dans le monde professionnel. C’est notamment le cas de l’interface « Plesk » qui semble faire l’unanimité auprès de toutes les entreprises, petites ou grandes.

Des avantages dans tous les domaines

Force est de constater que l’utilisation d’un serveur privé constitue de nombreux avantages pour l’entreprise :

– un gain de temps certain pour l’archivage et le stockage des données ;
– un risque nul de perte des fichiers suite à un cas de force majeure comme une inondation ou un incendie ;
– l’obligation pour les hébergeurs de revoir leurs prix et de devenir plus compétitifs. Cela entraîne mécaniquement une baisse des tarifs pour ce type de prestation ;
– un gain en productivité manifeste dans tous les secteurs de l’entreprise.
Toutes les entités de la société ont un accès partagé à la source où sont stockées les données, ce qui accélère la réalisation des tâches et le travail collaboratif.

Des prestataires de service sérieux

Il est également important de noter que l’ensemble des hébergeurs et prestataires de services de réseaux pour les entreprises font désormais preuve d’un professionnalisme et d’un savoir-faire dont peuvent bénéficier les professionnels. Les acteurs du marché du serveur privé à l’usage des entreprises ont compris comment allier simplicité et efficacité pour séduire un plus grand nombre de sociétés prêtes à leur faire confiance et à utiliser leurs services d’hébergement de données. Des leaders commencent même à se dégager sur ce marché, à l’image d’Amen.

5 secteurs d’entrepreneuriat qui cartonnent

Pour augmenter les chances de réussite de votre entreprise, il faut cibler les secteurs porteurs. Voici donc 5 secteurs d’entrepreneuriat qui cartonnent.

1- L’aide aux personnes âgées

Les personnes âgées sont aujourd’hui indépendantes de leur famille. Nombreuses sont celles qui bénéficient d’une bonne retraite et qui souhaitent placer leur argent dans une structure qui les aidera à avoir une vie meilleure.

De plus en plus d’entreprises se sont spécialisées dans ce domaine : aide à domicile, maison de retraite privée, assistance momentanée, etc. La demande augmente progressivement, le succès de ce secteur n’est donc pas prêt de décroître de sitôt.

2- La santé électronique 

D’après un sondage de BVA effectué en 2014, plus de 21% des Français affirment avoir déjà testé un produit connecté dans le domaine de la santé. Et les chiffres continuent à croître. Accros à nos produits high-tech, nous envisageons la santé comme un secteur technologique : ceinture pour maintenir le dos, bracelet mesurant le rythme cardiaque et la pression artérielle, les applications comptant les pas effectués par jour… Rien n’est plus agréable que de pouvoir surveiller sa santé sans la contrainte du cabinet médical. L’e-santé constitue un secteur en forte progression qui risque un jour de transformer l’attente interminable des visites chez le docteur.

3- Le luxe d’occasion

Avec la crise économique, les Français renoncent aux produits chers, mais certainement pas au luxe. Pour cette raison, le domaine de la vente d’occasion de produits de luxe ne cesse de se développer. Ouvrir un site de vide-dressing devient prometteur, si l’on mesure le succès de ces espaces e-commerces qui proposent une seconde vie aux produits luxueux. Ces sites mettent en relation les vendeurs et les clients. Ils font presque la totalité de leurs gains à travers des commissions qui peuvent varier de 10 à 20 % pour une vente. Ce secteur, en plein boom, a su profiter de cette mouvance de vouloir démocratiser l’industrie VIP.

4- Les produits pour personnes allergiques

Les allergies alimentaires concernent plus de 2,4 millions de Français selon Xerfi-Precepta. Les régimes sans gluten et sans parabène connaissent aujourd’hui un succès indescriptible. Plus qu’un caprice, ces produits répondent à un réel besoin. La personne allergique est prête à investir le montant qu’il faut dans un aliment ou une préparation qui préservera sa santé et son bien-être. Le bio est partout : petite boutique de proximité, vente en ligne, vente à domicile, ce marché semble un domaine prometteur.

5- L’écologie

Dire que « l’écologie » incarne un domaine en plein essor semble une idéologie abstraite. Pourtant, les gens sont de plus en plus sensibles à l’environnement. Les équipements de recyclage, les produits de beauté bio, la voiture électrique, etc. La réussite de ces produits montre une fois de plus qu’il s’agit réellement d’un domaine qui fonctionne et qui n’a pas prévu de décliner.

Quelles sont les régions dynamiques en matière de coworking ?

En France, le coworking est un phénomène qui prend de plus en plus d’envergure. Nés en 2005 aux Etats-Unis, ces espaces de travail partagés sont aujourd’hui plus répandus en Europe, notamment en Allemagne et en France, avec plus de 1000 sites sur tout le continent. La France est d’ailleurs le 6e pays au monde à utiliser ce système de travail coopératif puisqu’elle compte environ 10 000 utilisateurs répartis sur 250 sites. Si Paris sort du lot, Lyon, Marseille, Bordeaux et Nantes suivent de près.

Paris, précurseur du coworking en France

Comme souvent, l’Ile-de-France et surtout Paris sont des précurseurs en la matière, avec plus de 92 espaces de coworking comme le Beetop à Clichy, un site qui offre plus de 6500 m² d’installations bureautiques.

Lancé en 2008 à Paris, le premier espace de coworking français a fait de nombreux émules. Cœur économique du pays, la région Ile-de-France est naturellement la plus dynamique, aussi en matière de coworking. Elle compte à elle seule plus d’un tiers des espaces de travail partagés, dont une cinquantaine pour la seule ville de Paris. La capitale a su recycler d’anciens entrepôts ou des usines abandonnées pour les transformer en nouveaux espaces de travail dynamiques. Avec un ticket d’entrée moyen de 350 euros, Paris offre des lieux et des concepts de coworking atypiques qui participent à la croissance du secteur. Un entrepôt désaffecté de la SNCF dans le 18e arrondissement, une ferme rénovée du XVIIe siècle dans le 11e arrondissement ou encore les locaux d’une ancienne société de montgolfières sont autant de lieux transformés en espaces de coworking.

En province, quatre régions se démarquent

Le développement de ces espaces a tendance à se superposer au dynamisme économique des régions. Ainsi, les régions Rhône-Alpes et PACA sont les deux plus dynamique en matière de coworking, avec respectivement 38 et 36 lieux autours des agglomérations lyonnaises et marseillaises. Ces deux villes ont développé des concepts intéressant comme la Ruche à Marseille qui offre 400m² de bureaux et une micro-crèche pour les enfants des coworkers.

La région Aquitaine arrive en troisième position avec 25 espaces de coworking présents autour de Bordeaux. Les Pays de la Loire arrivent en fin du top 5 avec plus d’une vingtaine de lieux principalement installés dans les agglomérations comme Nantes.

Des villes moyennes de lancent dans l’aventure

Si la croissance des espaces de coworking est plus faible en province, des villes moyennes se lancent tout de même dans l’aventure. Le Nord-Pas-de-Calais dispose d’environ une quinzaine d’espaces répartis entre les villes de Lille, Roubaix et Calais.

Suivent l’Alsace, la Bretagne et la région Midi-Pyrénées avec chacune une dizaine de lieux de travail partagés. Si les villes moyennes disposent de moins d’espaces de coworking, leur succès est au rendez-vous et leur développement reste très dynamique. À Strasbourg, la Plage digitale créée en 2012 s’est récemment agrandie sur plus de 2000m² et propose désormais deux espaces de coworking, ce qui témoigne de son succès.

Créer sa Boîte en Alsace – Edition du Haut-Rhin

Descriptif de l’événement

Les CCI de Colmar et du Centre-Alsace et Sud-Alsace Mulhouse, ainsi que la Chambre de Métiers d’Alsace organisent conjointement cet évènement unique dans le Haut-Rhin. Cette manifestation rassemble le même jour, en un même lieu, les acteurs incontournables de la création et de la reprise d’entreprise, répartis en espaces thématiques : « accompagnement», « aides et financements », « implantation et équipement », « juridiques et réglementaires », « reprise », « marketing et communication »…

Des conférences et micro-conférences sont également au programme. Elles sont autant d’occasions de faire un zoom sur des questions spécifiques que se posent tout créateur ou repreneur.

Lieu de l’événement

Parc des Expositions de Colmar

Dates et horaires de l’événement

18 novembre 2015 de 9h00 à 17h00

A qui s’adresse cet événement ?

Le salon s’adresse non seulement aux créateurs et repreneurs dans les secteurs du commerce, de l’industrie et des services, mais également aux entrepreneurs dans les secteurs de l’artisanat.
Ouvert à tous, cet événement a pour objectif de permettre aux entrepreneurs de demain de bâtir, développer et matérialiser leur projet dans les meilleures conditions.

Frais de participation

Entrée libre et gratuite

Site internet

http://www.creer-sa-boite-en-alsace.fr

Lien d’inscription

http://www.creer-sa-boite-en-alsace.fr