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Le jeu des 6 familles d’entrepreneurs

Un instant de détente. Même si vous ne vous retrouvez pas dans le jeu des 6 familles. Au moins vous vous serez détendu quelques instants. Vous reconnaissez-vous dans l’un de ces 6 portraits types d’entrepreneurs ? Il vaudrait peut-être mieux pour vous que ça ne soit pas le cas… ! Proposez-vous la 7ème famille pour que nous puissions nous détendre quelques instants…

Le Terminator-preneur

Vos concurrents ? Même pas peur ! C’est plutôt eux qui devraient trembler face à votre invincible détermination à conquérir le marché (ou, comme vous le dites : « à dézinguer tous ceux qui oseraient se mettre sur votre passage » !). L’entrepreneuriat, vous l’abordez en « mode bazooka », c’est-à-dire sans vous préoccuper de ce que peuvent penser vos concurrents. Sans d’ailleurs réfléchir à ce que pensent vos clients. D’ailleurs, ils ont intérêt à adopter vos produits, et plus vite que ça, sinon ça va chauffer, compris ?

Le clown-trepreneur

Vous ne manquez jamais d’apporter vos accessoires indispensables à chaque rendez-vous avec votre banquier : coussin péteur et fausse mouche à glisser dans le verre de votre interlocuteur. Étonnamment, votre banquier semble faire toute confiance en votre projet : il ne veut jamais vous voir, c’est bien la preuve ! Votre meilleur souvenir : avoir participé à un concours de pitch avec vos fausses dents de lapin. Vous n’avez juste pas compris pourquoi, malgré la grande qualité de votre projet, le jury ne vous a pas sélectionné. Autre coup de génie, votre dernière soirée networking, au cours de laquelle vous avez eu la brillante idée de lâcher une boule puante pour détendre l’atmosphère. Malheureusement vous ne pourrez plus recommencer : vous êtes désormais blacklisté de tous les évènements entrepreneuriaux. Dommage pour eux… et pour votre business !

Le geek-preneur

Vous avez été biberonné à World of Warcraft, vous connaissez par cœur toutes les répliques de Star Wars et vous vénérez votre dieu vivant, le sulfureux Kim Dotcom ? Pas de doutes, vous êtes un geek, un vrai. Même limite un asocial. L’avantage de l’entrepreneuriat ? Vous n’avez pas besoin de dire bonjour le matin à votre patron, ni à vos collègues d’ailleurs. Vous vous forcez tout de même à esquisser un « salut » à votre seul ami : Pacman, votre poisson rouge carnivore. Un conseil : allez hop, enfilez votre plus beau costume (non… pas votre costume de Dark Vador !) et confrontez-vous à la vraie vie, celle dans laquelle évoluent vos prospects.

L’héritier millionaire-preneur

Vous êtes un peu le Paris Hilton de l’entrepreneuriat. Grâce à votre détermination et à vos efforts inlassables, vous avez réussi à pérenniser votre start-up, à la sueur de votre front. Bon ok, le capital de départ de 10 millions offert par vos parents n’est pas sans lien avec votre succès. Mais, même avec ce petit pactole, tout n’a pas été facile pour vous : il vous a fallu beaucoup travailler pour réussir à recruter un super directeur général capable de tout faire à votre place. Fatigué par tant de labeur, vous avez décidé de prendre un peu de repos, sous les cocotiers, six mois. À votre retour, tout bronzé, vous pourrez donner des interviews dans lesquelles vous dénoncerez la difficulté d’entreprendre en France.

Le truand-trepreneur

Grâce à Jojo La Débrouille, votre ami de toujours que vous avez rencontré dans les couloirs de Fleury-Mérogis, vous connaissez tous les bons plans pour développer votre entreprise sans soucis. C’est vrai qu’il est malin Jojo : grâce à lui, vous savez comment esquiver l’IS, comment truander sur les charges sociales, et enfin comment passer sous silence certains contrats pour vous en mettre plein les poches. Il vous a également appris tous les secrets pour bien réussir vos recrutements de salariés non déclarés, et sans papiers bien entendu. Un conseil : anticipez et préparez dès maintenant votre future cavale dans les îles Caïman !

Le fifils à sa maman-trepreneur

Le secret de votre réussite ? Les bonnes tartines de confiture que vous prépare tous les matins votre gentille môman avant de partir en rendez-vous. C’est qu’elle croit vraiment en votre projet votre maman : pour vous encourager, elle vous a même tricoté une housse en laine pour que votre iPad n’attrape pas froid ! Votre maman est votre plus grande conseillère pour le développement de votre entreprise : elle vous recommande parfois d’envoyer à vos clients un télégramme ou même un fax (et oui, votre mère sait avancer avec son temps !). Elle vous a également conseillé d’arrêter de vous focaliser sur cette technologie obscure et que personne ne connaît qu’est Internet et de plutôt proposer un service Minitel à vos clients. Vos prospects ne semblent pas très réceptifs à votre offre… Heureusement maman est là pour vous consoler avec un bon bol de chocolat au goûter !

Pour la 7ème famille, nous attendons avec impatience vos suggestions !

Pétition : les salariés en proie à l’inquiétude sur le démantèlement de Casino

Les salariés de Casino sont inquiets quant à l’avenir du groupe. Les secousses financières qui bouleversaient la maison-mère du géant de la distribution alimentaire, Rallye ont poussé son PDG, Jean-Charles Naouri, à la placer en procédure de sauvegarde.

L’heure est à la négociation entre Rallye et ses créanciers et risque d’aboutir à un démantèlement. Une pétition a été lancée par les syndicats de Force Ouvrière pour protéger les employés.

Risque de démantèlement pour Casino

Rallye, la maison-mère de Casino, dirigée par Jean-Charles Naouri, fait face à une importante crise financière. Ses dettes sont estimées à presque 3 milliards de dollars. Pour pouvoir gagner du temps et renégocier ses dettes auprès de ses créanciers, le PDG a placé la société en procédure de sauvegarde pour une période de six mois et renouvelable à deux reprises. Un gain de temps qui laisse au groupe une plus grande marge de manœuvre.

Le plus gros risque pour les 75.000 salariés de l’enseigne Casino est que les négociations aboutissent à un démantèlement. En effet, les créanciers, qui comptent des banques françaises et des fonds d’investissement étrangers, sont en droit d’exiger le remboursement des dettes à échéances. Tout l’enjeu des négociations est donc d’éviter la vente rapide du groupe, au risque d’un drame social d’envergure.

Une pétition pour mobiliser les pouvoirs publics

Pour prévenir le risque d’un démantèlement, les salariés de Casino, le syndicat Force Ouvrière (FO) et la Fédération Générale des Travailleurs de l’Agriculture, de l’Alimentation, des tabacs et des services annexes (FGTA FO), ont lancé une pétition. Disponible sur change.org, elle souhaite mobiliser les pouvoirs publics compétents comme le Ministère du Travail et le Ministère de l’Économie pour qu’ils puissent sécuriser « la procédure de sauvegarde de la société Rallye, maison mère du groupe Casino ».

Les syndicats précisent sur la page internet de la pétition que « si la Société Rallye devait céder des parts à des fonds prédateurs pour rembourser la dette, il y aurait un vrai risque de démantèlement du groupe avec un fort impact sur le social ».

Les enjeux professionnels prioritaires d’ici 5 ans

Le monde a changé et avec le monde professionnel. En à peine une décennie les enjeux professionnels ne sont plus les mêmes : nouvelles technologies, concurrence accrue avec le web, innovations permanentes qui bousculent toutes les prévisions.

Face à ces profondes mutations du monde professionnel, L’IFOP et Freelance.com se sont associés pour réaliser une étude détaillée sur les actifs et les nouvelles formes de travail et étudier les enjeux professionnels prioritaires dans un horizon de 5 ans.

Quels sont les desideratas pour les salariés ?

Concilier vie privée et professionnelle et s’épanouir dans le travail font partie des leitmotivs. En effet, 69% des actifs occupés citent en premier soit la possibilité de concilier vie privée et vie professionnelle (35%) soit l’épanouissement au travail (34%). L’équilibre entre vie privée et vie professionnelle est plébiscité et donc montre que le salariat est un point essentiel 53%. Quant à l’épanouissement professionnel : 51% estiment que le salariat est lui aussi un point essentiel.

Freelance, nouvelle manière de travailler ?

Si on se projette sur un horizon de 5 ans, on peut constater qu’un changement dans la répartition des statuts va s’installer progressivement. Le salariat ne serait plus la norme. Ces chiffres sont le reflet du contexte économique où les licenciements impactent fortement les anciennes habitudes d’emploi dont le salariat à vie et obligent les salariés à penser à l’avenir pour ne pas se trouver démunis.

À l’heure actuelle 70% des actifs en poste déclarent être salariés auxquels s’ajoutent 16% de fonctionnaires (qui sont des salariés de la fonction publique). Ce statut de salarié est dominant et réduit donc pour l’instant  la place des autres statuts que ce soit les «  travailleurs indépendants, Freelance, auto-entrepreneurs » (5%), les « artisans, commerçants ou exploitants agricoles » (4%), les « intérimaires » (3%) ou encore les « professions libérales » (1%).

Aujourd’hui salarié, demain freelance ou indépendant

Le statut de salarié est challengé dans un horizon de 5 ans au bénéfice d’une progression de celui de Freelance.  Dans cette logique des limites perçues du salariat, travailler en entreprise n’apparaît pas incompatible avec le fait d’expérimenter de nouvelles formes de travail comme le télétravail ou le recours au coworking. Cette association semble même complémentaire : 80% des interviewés ayant expérimenté de nouvelles formes de travail reconnaissent le rôle épanouissant de l’entreprise (contre 71% en moyenne) et 77% des bons connaisseurs du portage salarial. D’ailleurs, l’impact de nouvelles formes de travail est très nettement considéré comme bénéfique que ce soit pour les actifs et, plus largement, pour l’économie française.

Seuls 19% des actifs occupés ont en effet déjà expérimenté ces nouvelles formes de travail contre 40% qui pourraient l’envisager dans les 5 prochaines années et 41% qui ne l’envisagent pas.

Il se apparaît de façon explicite une organisation du travail autour d’une activité en entreprise qui s’affranchirait du salariat.

Trois mesures en 2019 pour les freelances

Depuis le 1er janvier 2019, plusieurs mesures favorisent ce statut, ainsi que celui d’auto-entrepreneur  et qui ne sont pas des moindres :

  • La mise en place d’une année blanche de cotisations sociales pour tous les créateurs d’entreprises ayant un revenu annuel inférieur à 40 000 euros lors de leur première année d’exercice, 
  • Les nouveaux freelances dépendront des Caisses Primaires d’Assurance Maladie pour leur couverture maladie (mesure élargie à tous les travailleurs indépendants en 2020),
  • Le congé maternité pour les indépendantes ne sera plus de 74 jours, mais bien de 112 jours, comme pour n’importe quelle salariée.

Des initiatives qui permettraient enfin aux freelances potentiels d’oser se lancer. En effet, selon une étude IPSOS pour l’Observatoire du travail indépendant, 57 % des Français voient le travail indépendant comme une activité porteuse d’avenir.

Source : Enquête IFOP pour Freelance.com, menée auprès d’un échantillon de 1502 personnes, représentatif de la population française active, selon la méthode des quotas. 

Unow, l’entreprise de formation qui a su arriver au bon moment !

Yanick Petit, cofondateur et CEO de Unow, relooke l’image traditionnelle et poussiéreuse de la formation professionnelle grâce au digital en s’adaptant aux nouveaux besoins des entreprises.

Quand est-ce que vous est venue l’idée de Unow ?

A la base en 2011, j’avais envie d’apprendre à coder et j’ai suivi plusieurs MOOC en ligne pour apprendre. C’est comme cela que j’ai découvert le secteur mais il n’existait pas alors d’offre en France. En 2012, j’ai participé à l’incubation du premier MOOC français avec l’école centrale de Lille car j’avais fait mon mémoire de master sur le sujet. Ce MOOC a eu des résultats incroyables dès la première édition. A ce moment-là, nous nous sommes rendu compte que les cours en ligne avaient une forte attractivité et qu’ils étaient en train de se développer de manière exponentielle aux Etats-Unis. Notre entreprise, que nous avons créée en 2013, proposait une offre de création de formation en ligne et de MOOC sur-mesure pour les grandes écoles et les entreprises.

Avez-vous commencé seul ou à plusieurs ?

J’ai démarré avec un ami que j’ai rencontré sur les bancs de l’école de commerce. Nous avions tous les deux très envie d’entreprendre et c’était notre premier projet de création. Au début, nous ne nous répartissions pas vraiment les tâches et nous travaillions sur les mêmes sujets. Petit à petit nous nous sommes répartis les rôles et je me suis spécialisé sur le produit et lui plus sur le commercial.

Est-ce que cela a marché dès le début ?

Oui. Nous avons bénéficié d’un super « Time to Market » puisque la plupart des écoles et des entreprises avaient vu l’intérêt des MOOC et voulaient en mettre en place. Les demandes affluaient et pendant 2 ans nous n’avons fait que cela. Cela nous a permis de développer toutes les équipes métiers : une équipe pour la vidéo, une pour le logiciel, une pour l’animation de la communauté et une pour l’ingénierie pédagogique. Nous avions dû recruter toutes les équipes pour créer des formations en ligne haut de gamme. Ceci pour réaliser une centaine de projets souvent pour de grands comptes.

Vous avez changé de business model par la suite ?

En 2015, nous avons observé une forte opportunité de réaliser un pivot et de passer d’une activité de service pour créer des formations sur-mesure à une activité d’organisme de formation. Nous voulions créer notre propre formation et nos propres cours en ligne et les vendre aux différentes entreprises. A l’époque nous avons constaté que le secteur de la formation professionnelle était hyper poussiéreux, très réglementé et très fragmenté, ce qui fait que les innovations étaient absentes. Il n’y avait pas de digital et, aujourd’hui, 90 % des formations restent du stage physique de deux jours. Cela peut paraître hallucinant à l’heure du digital, nous avions donc une opportunité à disrupter le secteur.

Comment avez-vous choisi les formations ?

Nous nous sommes appuyés sur les demandes des clients puisque nous avions réalisé plusieurs fois des projets sur des sujets presque similaires et notamment les soft skills. Nous avons donc commencé par des formations sur la communication, la prise de parole, la gestion du stress ou de projet. Tous les domaines qui étaient très demandés par nos clients quand nous faisions du service. Nous nous sommes mis d’accord sur 6 formations et il y avait notamment initiation à SCRUM qui a obtenu d’excellents résultats !

Que se passe-t-il par la suite ?

Nous avons continué sur notre lancée jusqu’en 2016, moment où nous avons racheté la société WINDIE qui avait développé une technologie LMS qui est un logiciel spécifique pour faire de la formation. Jusqu’alors nous utilisions uniquement les technologies open source, qui ont le mérite d’être gratuites mais avec l’inconvénient de n’être pas toujours au top coté UX ou parfaitement adapté aux exigences. Nous avons racheté cette société basée à Lyon qui est devenue le cœur technique de l’entreprise. Aujourd’hui ils sont 15 alors qu’ils étaient 5 à l’époque. Par la suite, en 2017, il y avait pas mal de traction notamment sur la partie BTOB sur le modèle économique de vendre des licences de formation aux entreprises. Nous avons levé 3 millions d’euros à ce moment-là avec des fonds d’investissements français.

Pourquoi avoir levé des fonds ?

Nous avions effectué un amorçage deux ans auparavant mais c’était moins significatif car nous avions levé seulement 500 000 euros. Si vous parlez de la seconde levée de fonds, il s’agissait d’investir sur le produit c’est-à-dire la technologie, le logiciel de formation mais aussi sur le catalogue. Il fallait que nous passions de 10 formations à un nombre beaucoup plus important pour atteindre la taille critique et chercher de la croissance. Il fallait faire grossir l’équipe notamment pour le commercial. Nous étions alors une quinzaine et nous sommes passés à une vingtaine. Nous sommes encore dans la phase d’exécution de la série A. Il y aura peut-être une nouvelle levée de fonds l’an prochain mais ce n’est pas évident que nous en ayons vraiment besoin. Si jamais, nous le faisons ce serait pour étoffer toujours plus l’offre qui compte déjà 50 formations et partir à l’international.

Vous avez l’air de surtout travailler avec des grands groupes ?

Tout à fait mais nous formons à des compétences qui sont transverses comme la gestion du temps, le design thinking, …qui sont des compétences tout aussi importantes dans les petites entreprises. Il y a le même besoin mais cela a été un choix commercial.

Quel a été votre facteur clé de réussite ?

Je pense que c’est le « time to market » autrement dit le fait d’arriver au bon temps sur le marché. Il était vraiment propice à l’entrée d’un acteur qui allait digitaliser car les entreprises ont des besoins de plus en plus fréquents. Il y a une nouvelle tendance au niveau du marché du travail comme le fait que de nombreux métiers sont en train d’apparaître. La demande est en croissance et la réglementation a énormément évolué.

Avant, cette dernière contraignait beaucoup le secteur et freinait le digital alors qu’aujourd’hui c’est l’inverse notamment la loi sur la réforme de la formation professionnelle l’année dernière et qui est en cours d’application. Ensuite, ce qui nous favorise c’est que les nouvelles populations qui entrent sur le marché du travail ont des rapports différents avec les entreprises et le travail. Les carrières sont beaucoup moins linéaires qu’avant et il y a souvent des changements d’emploi et d’employeur, voire de statut professionnel. C’est tout le secteur de la formation professionnelle qui est dans une perspective dynamique.

Finalement en quoi se distingue vos formations ?

Par rapport à la formation traditionnelle, nos formations sont plus efficaces que la formation présentielle. Nous utilisons la modalité SPOC (Small Private Online Course). En résumé, il y a un expert coach qui va accompagner les participants pendant qu’ils sont sur leur parcours de formation avec des vidéos, des activités à réaliser. Tout cela se passe avec un petit groupe de 30 personnes qui vont progresser au même rythme tous les mois à raison de 2 à 3 heures par semaine. Nos formations sont calibrées pour des gens qui travaillent et qui veulent profiter de leurs meilleurs moments pour se former durant leur semaine et développer une nouvelle compétence. Elle est étalée sur 4 semaines.

Le deuxième point est que nous collectons toutes les données de suivi des participants et nous pouvons intervenir quand ils n’ont pas compris et sont en situation de décrochage pour s’assurer qu’ils vont bien au bout de la formation et monte en compétences. Je pense aussi que nous avons un avantage sur la logistique puisque dans le cas d’une formation classique le salarié doit bloquer 2 jours et se rendre sur le lieu de formation. Tous les coûts logistiques sont réduits à néant. Nous pouvons former beaucoup plus de monde. En plus, elles sont certifiées !

Avez-vous rencontré des difficultés et comment les avez-vous surmontées ?

Oui carrément ! Parmi les difficultés que nous avons rencontrées, nous avons voulu appréhender plusieurs domaines et nous nous sommes dispersés. Comme notre produit répondait à un besoin très large, nous avons voulu nous attaquer dès le début à tous les types d’entreprise et finalement nous ne faisions rien d’efficace pour aller chercher de la croissance. C’était vraiment dur de faire ces choix qui allaient nous positionner sur un marché précis. Nous nous disions que c’était dommage de ne pas les attaquer tous de front mais nous surestimions trop nos ressources. Enfin, nous nous sommes rendu compte qu’il fallait avoir une approche basée sur le fait de résoudre un problème particulier par exemple dans l’inefficacité des formations car avec le digital nous pouvons en mesurer l’efficacité et de manière plus accessible. Nous avons fait le choix de relever un challenge à la fois.

Comment vous voyez l’avenir ?

Notre mission est de développer les compétences qui comptent pour rester employable, être performant et épanoui dans son travail. Ce sont souvent des compétences qui aident à mieux collaborer avec les autres, mieux communiquer, avoir confiance en soi. Ce sont souvent des compétences non techniques négligées par les employeurs et même par les salariés. Les soft skills représentent vraiment un enjeu majeur.

Il s’agit de former un maximum de personnes sur celles-ci. Notre ambition à horizon sur 5 ans est de former un million de français car nous nous sommes aperçus que nous pouvions vraiment changer la vie des gens. C’est d’ailleurs cela qui nous motive aujourd’hui. Il s’agit aussi de continuer à innover et après la France, nous voudrions réaliser une expansion européenne pour avoir un rayonnement encore plus fort. L’enjeu que nous avons maintenant est de recruter des vendeurs, des business des développeurs, développeurs et des créateurs de contenus.

Quelle a été votre meilleure surprise depuis le début ?

Je pense que les recrutements sont le point qui m’a le plus surpris. J’ai eu d’excellentes surprises en travaillant bien les recrutements et en voyant qu’ils pouvaient vraiment faire la différence. Nous avons appris à le faire car au début nous recrutions surement trop vite. Désormais nous avons appris à mettre le bon niveau d’énergie même si nous avons essuyé les plâtres comme tout le monde quand on démarre.

L’entrepreneuriat c’est quoi pour vous ?

C’est la création d’un produit qui répond à un vrai problème. Il s’agit de sortir du cadre pour trouver des solutions à des problèmes existants. Cela va demander énormément d’itération et d’agilité pour trouver les bonnes solutions. Il y a certes des tâtonnements, des essais et des erreurs pour trouver la bonne solution. Pour moi c’est aussi un challenge, je suis un grand généraliste donc je m’intéresse à de multiples de sujets et j’aurais surement fait un très mauvais spécialiste. Nous nous intéressons à des sujets différents : la communication, le produit, les ventes, les ressources humaines. C’est pour moi celui qui m’offrait une courbe d’apprentissage maximale alors que je démarrais ma carrière. Et puis, nous rencontrons de nombreux entrepreneurs.

« Notre ambition à horizon sur 5 ans est de former un million de français car nous nous sommes aperçus que nous pouvions vraiment changer la vie des gens. C’est d’ailleurs cela qui nous motive aujourd’hui. »

3 Conseils de Yanick Petit

  • Choisir un secteur qui vous passionne : vous allez y passer quelques années donc si vous n’êtes pas passionné par votre secteur, cela peut se révéler ardu.
  • Apprendre à recruter et y accorder une vigilance extrême : l’équipe est le premier facteur de succès d’une organisation sur le long terme.
  • Garder à l’esprit que 20 % des causes ont 80 % des effets : c’est la loi de Paretto que j’observe partout, tout le temps et tous les jours. C’est toujours complexe à appliquer mais pour ne pas disperser c’est essentiel.

La croissance par la diversification et le rachat

Créée en 1986, l’entreprise DGF, aujourd’hui leader français de la conception et distribution d’ingrédients et produits pour les métiers de bouche, vient de finaliser une levée de fonds de 8 millions d’euros afin de renforcer son plan de développement. Zoom sur une entreprise qui connaît le plein essor. 

Aujourd’hui, DGF est devenue un distributeur de matières premières haut de gamme pour les professionnels des Métiers de Bouche, avec 1 500 produits à marque propre, accompagnée de recettes de mises en œuvre, le tout au service des professionnels : Boulangers, Pâtissiers, Chocolatiers, Glaciers, Traiteurs et Restaurateurs, etc. Retour sur son histoire et ses développements stratégiques.

Un début comme groupement de DISTRIBUTEURS boulangers-pâtissiers.

Si l’entreprise depuis 2017 dirigée par Stéphane Corthier est spécialisée dans la conception et distribution d’ingrédients et produits pour les métiers de bouche, son métier s’est élargi au cours des années. Elle voit le jour en 1986 par l’initiative d’un groupe de passionnés et notamment Jackie Gillet, ancien cadre de chez Cacao Barry. L’idée ? Fédérer un réseau de distributeurs radicalement différent des groupements d’achats habituels. Dès le départ, le souhait n’est pas uniquement de mutualiser les achats de produits mais de proposer aux boulangers-pâtissiers de vendre des produits à marque propre. Le but ? Mettre en avant une qualité avec une image haut de gamme et proposer une sélection élargie de produits.

Une volonté rapide d’avoir des marques en propre.

Dès 1987, l’entreprise crée donc ses propres marques et DGF Royal, DGF Service et DGF Coeur Sauvage, afin de commercialiser la première gamme de chocolats notamment au travers de la marque DGF Royal. Deux ans plus tard, l’entreprise souhaitant poursuivre son développement au travers de la qualité constitue une équipe de chefs. Jean-François Langevin, Meilleur Ouvrier de France Pâtissier-Confiseur 1982, rejoint ainsi DGF, afin de « renforcer l’innovation à travers son action en Recherche & Développement ». Cette tradition du savoir-faire se renforce par l’arrivée de Bruno Pastorelli, en 1996, lui aussi Meilleur Ouvrier de France Pâtissier-Confiseur (1989). D’autres chefs arrivent ainsi tout au long de la vie de l’entreprise qui poursuit son développement.

Une diversification opérée.

L’entreprise commercialise en 2000, son 1 300ème produit à marque DGF mais c’est en 2003 qu’un premier grand changement survient avec l’intégration du concept Four A Idées afin de « répondre aux nouveaux besoins des consommateurs » ainsi qu’une plateforme de 10 000m² à Thiais (94). L’entreprise ne se contente pas de rester sur son cœur de métier et doit prendre en compte les nombreuses mutations du secteur de la boulangerie-pâtisserie.

Ainsi, DGF développe une gamme de produits liés à l’avènement du snacking et de la restauration commerciale comme nous le confie son actuel dirigeant : « nous devons prendre en compte les évolutions du marché. Certaines tendances de fonds se présentent et vont bouleverser le marché. Je pense notamment à des mouvements de fonds comme le snacking, le vegan ou encore le sans gluten ». Pour suivre ces tendances, l’entreprise s’appuie sur la recherche et développement qui représente l’un des « atouts de l’entreprise. Nous innovons sans cesse au travers de nos laboratoires qui nous permettent de suivre ces tendances de fonds ».

L’excellence comme base.

Pour s’illustrer dans le domaine et montrer sa volonté de se diversifier, l’entreprise lance en 1994, la première école internationale culinaire pour les professionnels, l’International Culinary School. Ceci pour « Marquer sa différence en combinant excellence, simplicité et convivialité ». Par la suite, l’action se poursuit notamment au travers d’un concours international de pâtisserie : Le Mondial Des Arts Sucrés. Le concours qui se déroule tous les 2 ans durant le salon EUROPAIN, est d’ailleurs aujourd’hui reconnu comme l’une des plus grandes compétitions internationales dans le domaine. Une manière d’affirmer une volonté certaine.

Une poursuite de la croissance à l’international.

L’activité export démarre également très rapidement puisque dès 1989, elle est lancée en commençant par le Canada. DGF s’étend rapidement à d’autres pays et devient au fil du temps une « marque de référence représentant le savoir-faire à la française » comme nous l’indique Stéphane Corthier. L’entreprise poursuit son développement et signe, en 2005, son 35ème partenariat de distribution à l’export et anime désormais 30 distributeurs en France. Sa couverture sur l’ensemble du territoire national reste essentielle, considérant qu’il s’agit d’ « un atout majeur dans le développement du réseau ».

Aujourd’hui la marque est représentée dans 80 pays et utilise de nombreux distributeurs spécialistes des Métiers de Bouche. Même si elle a pour ambition de se développer encore et toujours plus dans des « zones où elle n’est pas présente », elle doit prendre en considération les contraintes réglementaires qui peuvent changer rapidement comme nous le confie le dirigeant. « Régulièrement un pays va interdire un ingrédient, parfois simplement parce qu’ils rentrent en conflit avec un autre pays qui est un grand producteur. Il faut donc bien prendre en compte les changements réglementaires et s’adapter rapidement ».

Une logistique DéCISIVE.

Pour fluidifier les flux logistiques et faciliter l’accès à l’intégralité de la gamme, DGF dispose également d’une plateforme de distribution de 15 000 m² à Chanteloup-les-Vignes où environ 100 personnes contribuent chaque jour au succès de l’entreprise. Avec plus de 90 % de ses produits élaborés et produits en France, DGF entend aussi « bénéficier de cet enracinement local pour intensifier son activité à l’export », où elle promeut déjà la tradition culinaire française. La chaine logistique représente d’ailleurs un des grands enjeux de l’entreprise comme nous le confie Stéphane Corthier : « il s’agit avant tout de revoir la chaine  logistique afin de toujours l’optimiser. Elle constitue un des grands paramètres de réussite pour l’entreprise. »

Donner du sens aux équipes.

Si la marque connait un fort développement, Stéphane Corthier, reste conscient de « l’enjeu de donner du sens » pour emmener ses équipes. Celui-ci privilégie d’ailleurs la transmission de sa motivation au travers de réunions et de déplacements dans toute la France. L’enjeu ? « Je mets au centre de ma préoccupation le fait de transmettre que notre premier critère doit être la satisfaction client et à tous les niveaux. Il ne s’agit pas seulement d’avoir de bons produits mais de cerner tous les paramètres qui sont liés à sa satisfaction. Les délais de livraison sont par exemple un autre paramètre. J’ai mis en place un grand nombre d’indicateurs afin de la mesurer. »

La volonté de la levée de fonds.

Récemment, l’entreprise a réalisé cette levée de fonds souscrite par ses actionnaires historiques (21 Invest France, Amundi Private Equity Funds et NCI) afin de se « donner les moyens nécessaires à la dynamisation de sa croissance », nous explique Stéphane Corthier. Il s’agit de compléter les « capacités financières actuelles du groupe et d’accélérer notre plan de développement ambitieux grâce à des investissements dans de nouveaux sites de distribution et, éventuellement, dans de nouvelles acquisitions, afin de poursuivre notre stratégie de croissance externe dynamique – 9 acquisitions sur les 5 dernières années ». S’il arrive que l’entreprise rachète certains indépendants du réseau, Stéphane Corthier nous confie qu’ « il ne s’agit pas d’une priorité même si cela a été le cas par exemple à Île de France. Si cela peut arriver, par exemple lorsqu’un indépendant veut partir à la retraite ou encore transmettre son entreprise, je n’en fais pas une priorité ».

« L’un des atouts de l’entreprise. Nous innovons sans cesse au travers de nos laboratoires qui nous permettent de suivre ces tendances de fond »

4 manières de réduire ses coûts sans toucher à la qualité

Pour que vous puissiez garder la même croissance, il vous faut songer à réduire les coûts. Mais vous le savez mieux que quiconque, il ne faut jamais toucher à la qualité car vous prenez le risque de perdre vos clients. Voici 4 manières de réduire vos coûts sans qu’il y ait un impact sur la qualité de vos produits et services.

Renégociez vos tarifs fournisseurs

Avant toute chose, vérifiez toutes vos dépenses effectuées sur les matières premières, fournitures et services. En effet, les prix  fournisseurs  donnés ne sont pas définitifs. Si vous traitez avec un fournisseur depuis un an ou plus les prix initiaux peuvent avoir été établis sur une prise de risque avec vous ou sur un petit volume de commandes. Donc à vous de renégocier vos tarifs fournisseurs. Vous réduirez ainsi vos dépenses tout en gardant les mêmes biens et services. Il vous faudra bien étudier ce que propose la concurrence. Vous ferez certainement des économies substantielles.

Analysez les compétences des salariés

Effectuez une « évaluation » sur vos salariés afin de déterminer lesquels sont ceux les mieux formés ou pas. Une fois les deux groupes identifiés mettez les salariés les plus compétents aux postes clés et essentiels, pour le deuxième groupe il ne vous reste qu’à développer leurs compétences pour qu’ils puissent devenir performants. Dites-vous que c’est un investissement à long terme et que celui-ci vous évitera de prendre du temps pour recruter de nouvelles personnes.Évitez les primes sur les heures de travail  qui pourraient pousser les employés à traîner sur leurs tâches pour effectuer des heures supplémentaires bien rémunérées, privilégiez les primes sur les objectifs atteints ou la qualité du travail (moins de pertes ou d’erreurs)Ces deux points vous permettront de réduire vos rébus et d’améliorer la qualité de vos produits.

Ne jamais négligez la maintenance

Il vous arrive de réparer plusieurs fois les mêmes équipements (imprimantes, ordinateurs, grosse machine…) ? Il faudrait commencer à vous poser des questions et aller à la racine du problème. Une fois la cause du problème trouvée essayez de la résoudre ou de remplacer tout simplement votre équipement  défectueux et ensuite créer un calendrier de maintenance. En gardant un équipement fiable vous ferez une économie d’argent tout en évitant des retards de production et en maintenant la qualité de vos produits.

Comparez votre assurance avec celle des concurrents

Selon le Small Business Administration il se peut que vous payiez plus que ce que vous avez en termes d’assurance ou que vous soyez porteur services dont vous n’avez pas besoin qui vous coûtent cher. Passez donc en revue votre couverture et contactez les assurances concurrentes pour avoir de meilleurs tarifs et une offre plus adaptée à vos besoins. De cette manière vous pourrez réduire vos coûts sans qu’il n’y ait d’impact sur la qualité. Aujourd’hui, plus besoin d’attendre la date anniversaire pour résilier son assurance, une nouvelle loi permet de résilier son assurance selon sa convenance en respectant cependant le délai de résiliation. Les comparateurs de prix permettent d’avoir une idée précise de ce que proposent les concurrents.

Cosmo Tech, la diversité comme fer de lance de l’innovation

Hugues de Bantel, co-fondateur et directeur général de Cosmo Tech, entrepreneur dans l’âme, nous livre les secrets de sa société innovante. L’entreprise, qui connaît un vif succès avec une levée de fonds de 18 millions d’euros, propose de mettre aux services des dirigeants d’entreprise des logiciels d’intelligence augmentée intégrant expertise humaine et intelligence artificielle. 

Quel est votre parcours ?

J’ai suivi mes études dans une école de commerce Neoma et j’ai fait le MBA très international de l’IMD à Lausanne. J’ai commencé par travailler au sein de grands groupes mais j’ai rejoint rapidement des PME technologiques médicales. Ensuite, j’ai passé 7 ans à l’international en Asie du sud-est puis au Japon à créer des sociétés qui distribuaient des produits médicaux fabriqués en France et distribués en Asie. Je suis revenu en France en 2002 pour prendre la direction générale de la société médicale technologique dans laquelle je travaillais qui était basée à Lyon. J’y suis resté jusqu’en 2008 avec un business dont les marchés étaient situés un peu partout dans le monde : en Europe, en Asie et en Amérique du nord.

Qu’avez-vous fait par la suite ?

En 2008, j’ai quitté la société pour développer une activité de conseil dans le but d’aider des sociétés moins matures et même parfois pas encore créées à se développer ou permettre à des entreprises de se créer. Mon objectif était d’utiliser mon expérience professionnelle et de la proposer à d’autres entrepreneurs de sociétés technologiques en France qui sont des leaders mondiaux dans leur technologie. Un an plus tard, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Michel Morvan dont les idées ont fait écho aux miennes.

C’est donc l’idée qui vous a rapproché ?

J’ai été mis en contact avec Michel Morvan par l’intermédiaire d’un organisme l’ADERLY (Agence pour le développement economique de la région lyonnaise) reliée à la CCI. Celui-ci avait rencontré l’équipe qui développait une technologie qui leur a paru posséder un réel intérêt pour l’avenir et comme j’aidais des entreprises à se développer et à s’implanter sur le marché, ils ont été convaincus que nous pourrions collaborer. Nous nous sommes rencontrés et son approche m’a persuadé de collaborer avec lui à la création de notre entreprise. Il pensait que le 21ème siècle serait un siècle comportant davantage de complexité avec des choix de plus en plus difficiles à faire dans un environnement très incertain. Michel était convaincu qu’il faudrait de nouvelles technologies et méthodologies pour aider les dirigeants à prendre des décisions optimales. Je partageais cette conviction. J’ai quitté mon activité de consulting pour m’engager dans l’aventure en 2010.

Que propose Cosmo Tech ?

Cosmo Tech propose des logiciels d’aide à la décision pour les dirigeants des équipes de direction de groupes industriels sur leurs sujets les plus complexes et qui sont souvent stratégiques pour eux par ailleurs. A partir d’une approche que l’on appelle l’intelligence augmentée qui permet de combiner de la donnée avec l’expertise humaine pour créer des modèles et proposer plusieurs scénarios.

Ces logiciels de simulation s’appliquent en particulier à l’optimisation des actifs industriels. Pour illustrer de manière concrète l’apport de nos solutions, celles-ci vont permettre à des acteurs comme RTE dans la transmission électrique de piloter leur politique d’investissement et de maintenance sur les réseaux électriques. Ils peuvent ainsi décider des meilleurs investissements et de la maintenance adéquate en analysant l’impact de leurs choix à court, moyen et long terme. Un industriel de l’automobile confronté à une complexité et une incertitude grandissantes peut optimiser sa chaine de valeur, sa supply chain par exemple, en comparant différents scénarios pour faire les meilleurs choix avec un impact business immédiat.

Proposait-elle cela dès le début ?

Pour les grands groupes industriels, l’enjeu est que nous évoluons aujourd’hui dans un monde complexe et que pour évoluer dans celui-ci seule l’approche systémique permet d’appréhender toutes les facettes d’un sujet. Jusqu’à présent ils réfléchissaient à chaque problématique par silo c’est-à dire qu’ils pouvaient séparer les sujets. Cependant, dans ce monde connecté tous les aspects s se relient et ont un impact les uns sur les autres. Iil n’est donc plus possible de les séparer et il faut appréhender l’avenir d’une manière totalement différente.

Le deuxième enjeu c’est que les décisions étaient prises à partir de l’intuition et de l’expérience des dirigeants donc sur des données de l’expérience passée. Or, les données du passé ne suffisent plus pour anticiper les diverses transformations auxquelles font face les grandes entreprises industrielles. Il n’est plus possible de prendre seulement des décisions à partir des habitudes et méthodes développées antérieurement. Pour anticiper dans un environnement complexe, il est essentiel de combiner les données avec l’intelligence collective : c’est ce que nous appelons l’intelligence augmentée.

Quelles ont été vos grandes phases de développement ?

En 2010, nous avons créé une société de services en proposant notre solution pour aider les grands groupes dans leurs prises de décisions stratégiques. Puis en 2014, nous avons réalisé une première levée de fonds pour finaliser le développement de notre plateforme de simulation. En 2018, nous avons réalisé une nouvelle levée de fonds de 18 millions d’euros pour créer des solutions logicielles pour aider les décideurs à prendre les meilleurs décisions pour optimiser la productivité de leurs actifs.

Quelles sont les principales difficultés rencontrées ?

Quand on rejoint une start up, on a beaucoup de passion et il en faut pour traverser les hauts et les bas de la vie d’une startup technologique ! La principale difficulté et c’est ce qui fait l’intérêt de la chose puisqu’on travaille avec des grands groupes industriels, c’est que le temps n’est pas le même pour les deux types de société. Pour une startup la piste de décollage est très courte alors que pour un site industriel elle peut s’inscrire dans des temps un peu plus longs, voire très longs. Cette confrontation entre les deux demeure la principale difficulté à laquelle nous sommes confrontés en tant que start-up. Un mois d’une startup représente un an voire plus dans un grand groupe.

Quelle est votre clé de succès ?

La diversité culturelle ! Une vision commune que nous partageons Michel Morvan et moi-même. Aujourd’hui, chez Cosmo Tech, nous sommes environ 90 personnes avec 15 nationalités ! Ce n’est guère anodin ! Le fait de mettre ensemble des personnes avec des parcours académiques, des parcours d’ingénieurs et aussi avec des nationalités et des cultures différentes, est notre choix. Cela vient surement de mon expérience personnelle. J’ai toujours été amené à travailler avec des équipes très diverses, avec des asiatiques, des distributeurs qui venaient de tous les pays, des salariés issus de différentes nationalités. J’ai géré des sociétés innovantes dans lesquelles l’innovation venait du fait que l’on travaillait avec des nationalités différentes.

Et la diversité hommes-femmes, il me semble ?

Nous avons aussi appliqué la diversité dans la répartition hommes femmes. Même si nous sommes dans un environnement technologique qui est généralement masculin, nous avons 30 % de femmes ce qui est beaucoup dans un environnement logiciel tel que le nôtre. Nous sommes proactifs sur ce sujet pour créer et susciter cette diversité qui est une réelle opportunité et nous continuerons à le faire. La diversité est une source d’enrichissement incontestable, car elle permet d’appréhender des sujets complexes avec des regards différents et générer des idées innovantes pour anticiper. La richesse de la diversité fait partie de notre ADN et de notre richesse d’innovation.

La diversité est-elle toujours positive ?

Certes, c’est plus facile si vous avez une équipe très homogène, tout le monde a la même culture et donc va s’entendre sans difficultés. L’obtention du consensus sera plus aisée. Mais quand la perception est identique, cela ne va pas forcément créer de l’innovation. Attention tout de même car la diversité peut devenir négative si vous ne mettez pas en place les processus et un esprit d’entreprise basé sur la reconnaissance des différences. A un moment, il faut reconnaître ces différences pour les mettre en exergue et faire de leur reconnaissance une valeur pour chaque collaborateur. Nier la différence peut amener l’effet inverse.

Cela doit être plus dur de fédérer vos collaborateurs ?

Je pense que le plus important est le sens de notre mission. Elle est en phase avec les nouvelles générations qui arrivent sur le marché du travail. Nous avons une moyenne d’âge de 31 ans et les jeunes qui nous rejoignent sont plein d’enthousiasme, de savoir-faire et de compétences. Ils recherchent du sens et notre vision leur parle. Elle entraîne nos équipes qui s’enthousiasment pour ce que l’on fait.

Quelle importance donnez-vous aux réseaux ?

Michel Morvan et moi-même, nous nous impliquons dans des associations ou instituts comme l’Institut de recherche technologique SystemX qui réunissent des académiques, des startups et des industriels ou Think Smartgrids qui a pour objectif de développer la filière Réseaux électriques intelligents (REI) en France et de la promouvoir en Europe comme à l’international. Dans ces centres d’innovations, vous donnez et recevez. Vous renforcez naturellement votre réseau mais vous y consacrez du temps parce que vous croyez à la transformation de l’industrie et que votre conviction est que la France a un rôle à y jouer.

Comment conciliez-vous votre vie personnelle et professionnelle ?

Je suis dans une passion à plein temps mais la sagesse est de se réserver des plages pour soi. Je le fais au travers d’autres passions comme ma famille et d’autres champs qui m’intéressent beaucoup comme la culture. Il est primordial de préserver ses jardins secrets, sources d’inspiration et de respiration dans ce monde d’incertitudes et d’y consacrer du temps.

« Pour une startup la piste de décollage est très courte alors que pour un site industriel elle peut s’inscrire dans des temps un peu plus longs, voire très longs. Cette confrontation entre les deux est la principale difficulté »

4 Conseils de Hugues de Bantel

  • La diversité est un choix qui génère l’innovation.
  • L’ouverture d’esprit vers d’autres mondes.
  • L’enthousiasme qui donne du sens au travail et qui relie les équipes.
  • Regarder devant soi pour anticiper et apporter les meilleures solutions.

La trottinette électrique, devenue star mondiale, parle et dit des obscénités

Les trottinettes électriques font ce qu’elles veulent quand elles le veulent. Elles sont si indisciplinées qu’elles se garent quand l’endroit leur plaît aux risques de faire chuter les passants. Elles roulent où elles le veulent sur les trottoirs mais aussi sur la route en enfreignant les usages du code de la route.

Mais, en Australie, des hackers les ont piratés !

Elles sont devenues si séduisantes qu’en Australie, des hackers ont piraté des trottinettes Lime dans le but de leur faire prononcer des phrases les plus inattendues dont la plupart sont à caractère sexuel. Il faut savoir que la société Lime propose la location de trottinettes électriques dans plusieurs villes de l’Australie. Des trottinettes connectées afin de suivre leur disponibilité et leurs déplacements pour les retrouver en cas de perte mais aussi dans le but de limiter les vols. C’est sa connexion et son système sonore qui a séduit des pirates informatiques et qui les ont comme par magie rendues bavardes mais tendance sexy. Heureusement pour nos chastes oreilles, ils leur font proférer les propos obscènes en anglais.

« Si vous voulez me chevaucher, il faut me tirer les cheveux » ou « Ne m’emmenez pas, parce que je n’aime pas me promener ». Une autre trottinette de Lime s’est également mise à parler en déclarant : « non, où allez-vous ? », lorsqu’elle a été déposée par son utilisateur. Un comble !

Plusieurs vidéos ont été publiées par des internautes sur les réseaux sociaux.

Ainsi, dans une séquence diffusée sur le compte Twitter de la chaîne d’information 7 News Brisbane on peut entendre la plainte d’une flotte de trottinettes stationnées sur le trottoir : « Ne m’emmenez pas, je n’aime pas être chevauchée ».

La société Lime a donc dû retirer une dizaine de trottinettes du parc de la ville de Brisbane à la suite des informations transmises par les utilisateurs. Nelson Savanh, le responsable des affaires publiques de Lime pour l’État du Queensland, n’apprécie guère la blague. « Ce n’est pas intelligent, ce n’est pas drôle », a-t-il indiqué au Brisbane Times. Avec une pointe d’humour, il aurait pu s’en servir pour conduire les utilisateurs à s’en amuser mais bon on imagine sa stupéfaction et son obligation à retrouver d’où vient la faille et de rechercher le pirate qui a peut-être des idées ingénieuses à lui proposer.

En France, tout le monde se moque de la trottinette .

En France, la trottinette est devenue l’objet de nombreuses conversations pour se plaindre de leur insolence. Vincent Lindon, le célèbre comédien dont l’humour nous enchante, invité par Yan Barthès sur TMC lundi 18 mars, s’est exprimé avec fougue entre autres sur les trottinettes qu’il considère comme un fléau « né selon lui d’une requête d’un hôpital réclamant son « quota d’accidents » : les trottinettes. « Une trottinette où on roule très vite, de préférence avec un enfant de 3 ou 4 ans qui est en retard pour aller à l’école, boulevard Sébastopol à 25 à l’heure entre deux bus et surtout, je le demande à tous les Parisiens, sans gants, sans casque. »

C’est dire que si les trottinettes qui rencontrent un véritable engouement pour s’extraire des bouchons, ne font pas l’unanimité.

Mesdames les trottinettes, vous devriez le savoir, votre liberté vit ses derniers jours. Bientôt une armée de contrôleurs va vous épingler des contraventions, vous intimer l’ordre de rejoindre les parkings à trottinettes encore inexistants et de rouler selon les usages du code de la route. Peut-être un hacker va vous donner la parole pour séduire les contrôleurs mais nous ne savons pas quand cette connexion aura lieu. Dynamique se fera un plaisir de vous informer.

Le droit d’interdire le portable personnel au travail ?

L’utilisation du téléphone portable au travail est une question qui se pose depuis le téléphone portable est devenu un objet quotidien. Certes les communications ne coûtent rien à l’entreprise et l’employeur ne peut pas justifier le refus de l’utiliser pour une raison de charges. Le salarié vient au travail avec sa ligne personnelle qui fait partie de sa vie privée ! Mais peut-il vraiment faire ce qu’il veut ?

La véritable question à se poser préalablement est : « Pourquoi un dirigeant aurait-il besoin d’interdire le portable ? »

Tout simplement parce que le temps pris pour téléphoner à des fins personnelles est un temps pris sur le travail et que le salarié est venu pour travailler et non pour passer de coups de fils personnels ! Et de plus les répercussions sur le travail ne sont guère négligeables : absence de concentration sur le travail, réponse parfois en pleine réunion par l’intermédiaire de texto, immixtion de la vie privée du salarié dans la sphère professionnelle, concentration des autres salariés diminuée…

Cependant, l’employeur  peut apporter des restrictions mais qui doivent être justifiées par la nature de la tâche à accomplir, et proportionnées au but recherché (Code du travail, art L. 1121–1).

Comment s’y prendre ?

Alors le plus simple c’est dès le départ d’être clair sur l’utilisation du portable, dès l’entretien d’embauche, il faut évoquer le sujet sans détours et poser des questions pour que le salarié lui-même fasse son autocritique et décide de prendre une nouvelle attitude.

« A ton avis tu as répondu à combien de coup de téléphone cette semaine (ne dites pas hier car il vous dira que c’est exceptionnel : la rougeole du petit, la fuite d’eau…) ». N’oubliez pas que l’objectif c’est d’essayer de trouver un terrain d’entente.

Le portable dans les espaces partagés

Ainsi vous pourrez instaurer le fait qu’il privilégie les pauses pour téléphoner et qu’il s’isole pour ne pas déranger ses collègues. Le fait même de quitter son poste de travail le conduira à écourter ses conversations car sa place vide retiendra l’attention de ses collègues. « Jamais là, Où est-il encore passé ? Il n’est jamais là quand on a besoin de lui ».

Mais soyez vous-même un modèle

Cependant, il faut être soi-même un modèle !!!! Ce que vous demandez aux salariés vous devez aussi vous l’imposer. Votre responsabilité ne vous donne pas tous les droits et elle commence par le respect.

Quelles limites peut-on finalement imposer ?

Est-ce qu’on peut l’interdire ? En fait non !!!! Mais on peut en limiter l’utilisation. Car chaque salarié a droit au respect de sa vie privée même sur le temps et le lieu du travail. Certes dans l’entreprise, l’employeur est en droit d’attendre des salariés qu’ils consacrent leur temps de travail au travail et il peut légalement en limiter l’usage à caractère privé.

Une interdiction évidente pour certains postes

Toutefois, On peut l’interdire dans les métiers qui nécessitent une attention de tous les instants pour la protection des personnes et pour les métiers qui accueille public afin de garantir la qualité du service à la clientèle ou aux usagers par exemple.Dans ces situations, l’employeur est dans son droit d’interdire à des salariés d’utiliser leur portable ou de recevoir des communications personnelles, sauf en cas d’urgence ou de gravité exceptionnelle. Pour des raisons de sécurité, il est possible d’interdire l’utilisation des téléphones, par exemple lors de la conduite d’engin, la manipulation de produits dangereux, en cas de risque de perturbations d’appareils électroniques come dans les hôpitaux etc.

De l’utilité d’un règlement intérieur ou d’une note de service

Par le règlement intérieur ou par une note de service il est possible de réglementer l’usage du téléphone portable indiquant ainsi clairement les modalités d’usage dans votre entreprise Mais ce qui sera sanctionné en fait c’est l’abus d’appels à caractère privé.

Les astuces pour améliorer sa mémoire

Ces derniers temps, vous avez tendance à oublier de nombreuses informations comme le prénom de la personne que vous venez de rencontrer. La mémoire peut vous être utile dans de nombreuses situations et valorise la personne en face de vous. Quelques astuces utiles pour permettre d’améliorer
votre mémoire et la faire travailler.

Les astuces pour améliorer sa mémoire

Ces derniers temps, vous avez tendance à oublier de nombreuses informations comme le prénom de la personne que vous venez de rencontrer. La mémoire peut vous être utile dans de nombreuses situations et valorise la personne en face de vous lorsque vous l’appelez par son nom ou prénom. Quelques astuces utiles pour permettre d’améliorer votre mémoire et la faire travailler.

1/ La concentration c’est la base

Contrairement à la pensée commune, la mémoire n’est pas un muscle. C’est en réalité votre concentration qui vous permet de mieux mémoriser. Forcez-vous à l’être au maximum et essayez de vous répéter ce que vous souhaitez retenir. Plus vous le ferez, plus votre cerveau va devoir stocker l’information, un peu comme quand vous étiez enfant et que vous vous répétiez plusieurs fois votre poésie jusqu’à l’apprendre par cœur. Si vous souhaitez mémoriser quelque chose, concentrez-vous quelques secondes dessus.

2/ Se créer une image visuelle

Vous souhaitez vous rappeler d’un événement ou d’une situation. Créez-vous une image qui illustre ce que vous souhaitez retenir. Cette technique est notamment utile lorsque vous souhaitez mémoriser une information comme un événement majeur. Plus celle-ci est étrange, plus vous aurez tendance à la retenir. Si vous souhaitez enfin où vous avez mis vos clés par exemple, vous pouvez imaginer des lingots d’or qui tombe sur votre bureau.

3/ Les nombres par groupe.

Cela peut notamment vous être utile pour les numéros de téléphone par exemple. Plutôt que d’essayer de retenir d’un coup le numéro de téléphone vous pouvez associer les différents chiffres. Par exemple, vous aurez 06 qui donne le mois de juin, 12 les urgences, … Il vous suffit que pour vous de mettre un sens à chaque chiffre afin de les mémoriser beaucoup plus facilement. Vous pouvez même vous créer une image qui vous permettra de garder en tête ces numéros en positionnant les différents symboles de gauche à droite. Ceci est particulièrement utile pour vos numéros de comptes, vos identifiants s’ils sont numériques…

4/ Les acronymes pour mémoriser plusieurs éléments

Si vous souhaitez mémoriser une liste de choses, vous pouvez créer un acronyme qui rassemble l’ensemble des éléments de votre liste. Par exemple, si on vous a donné une liste de courses avec des pizzas, du beurre, de la menthe, des olives et un livre, vous pouvez prendre l’ensemble des premières lettres, P B M O L, est en faire un seul mot comme PLOMB.

5/ Les acrostiches pour un ordre

La plus connue de toutes demeure celle de l’ordre des planètes. « Mercredi, viendras-tu manger avec Jules sur une nappe propre ». En l’occurrence Mercure, Vénus, Terre, Mars, La ceinture d’Astéroïdes, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton (même si celle-ci est désormais considérée comme une planète-naine). Vous pouvez créer ce type d’acrostiche qui vous permettra de mémoriser à peu près tout et très longtemps.

6/ Écrire pour mémoriser

Certains d’entre nous mémorisent mieux quelque chose quand elle est écrite. Par ailleurs, votre cerveau est stimulé par l’écriture. Il devient alors plus facile de mémoriser ce que vous souhaitez apprendre. L’écriture sur papier reste plus efficace pour mémoriser donc n’hésitez pas à prendre un bloc note avec vous. Si vous écrivez mal, c’est mieux. Tentez de vous déchiffrer. Votre cerveau devra faire un effort dessus et vous aurez une meilleur mémoire.

7/ Faites appel à vos sens pour vous rappeler.

Vous pouvez utiliser vos différents sens pour vous rappeler. Vous pouvez par exemple, utiliser l’ouïe en vous répétant oralement l’information ou qu’un certain son a été fait au moment où on vous donnait l’information, la vue en l’écrivant ou en associant quelque chose que vous avez vu avec elle, l’odorat en associant une odeur à un prénom par exemple, …

8/ Mettez les objets dans une position anormale

Si vous souhaitez vous rappeler que vous devez faire les courses par exemple, n’hésitez pas à déplacer une chaussure en plein milieu de votre couloir. En l’apercevant dans cette position, vous saurez que vous avez quelque chose à faire et vous aurez des chances de vous le rappeler si vous avez associé ce que vous devez faire avec ce déplacement. Ceci est particulièrement utile si vous avez des actes à faire régulièrement comme allez faire des courses.

9/ Répétez le à voix haute

Si par exemple vous souhaitez enfin vous rappelez des prénoms de votre interlocuteur, répétez le à voix haute. Par exemple, si vous venez d’être présenté à un Olivier et qu’il vient de vous donner son prénom. N’hésitez pas à dire « Bonjour Olivier, ravi de faire te rencontrer ». N’hésitez pas à vous répéter son prénom dans votre tête plusieurs fois. Au bout de huit secondes de concentration, vous devriez l’avoir imprimé dans votre mémoire. N’hésitez pas à renouveler l’expérience au bout de quelques minutes.

10/ Faites du sport et déstressez

Avec le sport, vous améliorez votre circulation sanguine et donc votre cerveau reçoit plus d’oxygène. De nombreuses études appuient que même de manière modérée (une simple marche à pied), vous allez améliorer votre mémoire.

Vous êtes également moins stressé, ce qui vous permet de retenir plus facilement les choses et de vous concentrer plus facilement. Le stress n’est pas bon pour votre cerveau donc double raison de vous y mettre. Vous pouvez également penser à la méditation.

11/ Dormez, le sommeil est une des clefs de la mémoire

Le sommeil améliore votre capacité à vous souvenir. Moins vous dormez, plus vous aurez du mal à retenir des informations. Il vous faut au moins de dormir 7 heures pour que celui-ci aide votre cerveau.