Accueil Blog Page 772

Comment devenir un orateur hors pair ?

Vous avez une présentation orale à faire et vous désirez progresser dans ce domaine ? Vous trouvez que vos prestations ne sont pas à la hauteur du travail effectué ou tout simplement vous désirez sortir du lot ? Quelques conseils utiles pour devenir un orateur hors pair qui va marquer les esprits et vous améliorer.

En amont de votre présentation

1/ Bien préparer votre message

Une bonne présentation commence par une bonne préparation. Pour commencer, vous devez avoir préparé votre sujet afin de passer la ou les bonnes informations à votre public. Définissez votre ou vos messages clés dès la base. Il ne s’agit pas de noyer votre public sous un flot d’information qu’il ne retiendra pas. Choisissez judicieusement maximum 3 grands messages à passer. Il s’agit en général de donner une information qui n’a pas été entendue ailleurs pour susciter l’attention de votre public mais aussi qu’il se rappelle que c’est vous qui lui avez appris cette information.

2/ Soignez vos slides

Si vous avez des slides, faites en sorte qu’elle ne soit pas trop chargée et qu’il n’y ait pas de phrase trop longue à lire. Les personnes doivent être concentrées sur ce que vous dites et ne doivent pas passer leur temps à lire. Vos slides sont là pour vous appuyer et non pas pour concentrer l’attention sur elles … même si cela vous rassure. Ecrivez des mots clés afin de vous rappeler ce que vous à dire.

3/ Insérez une histoire ou une anecdote

Pour bien commencer, vous devez accrocher votre public. Quoi de mieux qu’une petite histoire personnelle pour bien commencer ? Non seulement vous attirez l’attention mais en plus raconter une anecdote vous permet de vous enlever du stress. Le public adore qu’on lui raconte une histoire alors ne le décevez pas. N’oubliez pas qu’elle doit être en lien avec ce que vous allez raconter. Vous pouvez aussi bien commencer par votre petite histoire et finir sur une autre. Gardez à l’esprit qu’il s’agit de respecter le thème de votre présentation. Pensez que votre sujet peut être abordé sous différents angles.

4/ Répétez !

Une fois votre road map établie vous pouvez passer à la répétition. Attention tout de même, il ne s’agit pas de répéter comme un robot ! Vous devez rester naturel mais aborder tous les points clés qui vous intéressent.

Surtout, ne lisez pas vos slides, rien de plus désagréable que d’avoir quelqu’un qui ne fait que retransmettre en audio, ce que vous lisez. Tout au long de votre présentation, vous devrez balayer votre public des yeux afin qu’ils se sentent concernés et vous n’aurez pas le temps de les regarder.
Si nécessaire filmez-vous afin de voir vos tics de langage mais surtout votre gestuelle. Vous communiquez énormément d’information par vos gestes et votre ton, ils sont donc à travailler pour emporter le public. Lors de la répétition, n’oubliez pas que vous devrez occuper l’espace. Evitez donc de commencer en croisant les bras pour éviter de rester dans cette position pendant toute votre conférence. Adoptez une position d’ouverture qui vous permettra dès le début d’être sur le bon chemin.

N’oubliez pas lors de votre préparation de mesurer le temps que vous prenez. Vous avez un timing à respecter !

5/ Vérifiez votre matériel

Alors cela peut paraitre bête mais vérifier que tout fonctionne avant votre présentation vous évitera énormément de soucis. Regardez si votre slide fonctionne, si la vidéo se lance, si la télécommande a bien été rechargée ou encore les micros. Ces soucis de dernière minute peuvent vite vous déstabiliser alors prenez-les en compte.

6/ Travaillez votre diction

Au-delà de choisir un bon message, de bien le faire passer au travers de vos gestes, la diction peut se travailler au travers de nombreux exercices. N’hésitez pas à faire des exercices pour être plus facilement audible. Avec un peu de travail chaque jour, vous aurez un maximum de résultats !

Lors de la présentation

1/ Déstressez

Etre stressé est normal ! Au bout de quelques minutes, même si vous avez des symptômes comme le tremblement des mains ou de la voix ou encore les mains qui chauffent, ceux-ci vont disparaître. Vous allez rapidement être dans votre sujet et redevenir à la normale alors  inutile de paniquer. Dites-vous que votre public est rempli d’amis ou imaginez que tout le monde soit nu… Peu importe la technique mais arrêtez de vous mettre la pression, vous ne jouez pas votre vie sur cette présentation. N’hésitez pas à prendre votre temps et à boire une gorgée d’eau avant de commencer.

2/ Etre passionné et dans l’humour

Votre passion se communique. Même si le sujet n’est pas le plus passionnant du monde, vous devez être à fond dedans. Il s’agit de transmettre votre énergie au public et de faire en sorte qu’il voit que vous lui parlez de votre passion. N’hésitez pas à mettre des touches d’humour pour que le public ne s’endorme pas mais aussi qu’il ait de vous une image amicale. Attention tout de même à ne pas faire de l’humour douteux qui pourrait se retourner contre vous.

3/ Interpellez votre public

Le public n’est pas votre ami, bien au contraire. Il se peut qu’il soit un peu fatigué et donc que son écoute ne soit pas à son paroxysme alors réveillez-le ! N’hésitez pas à lui poser des questions simples, tels que « est-ce que cela vous est déjà arrivé ? » en racontant une anecdote. Faites en sortes de le faire tout au long de votre conférence afin de réveiller leur attention qui ne dure pas plus de quelques minutes. N’hésitez pas à le faire intervenir afin qu’ils posent ses questions.

4/ Soyez modeste

Vous avez beau être le génie que le monde attendait, restez humble ! Vous devez communiquer des émotions positives et non pas attirer haine et jalousie. Ce n’est pas parce que vous souhaitez mettre en avant quelque chose que vous devez forcément mettre en avant que vous êtes le meilleur partout.

5/ Mettez un espion dans le public

Avoir une personne dans le public, qui note les réactions du public à vos différentes interventions, représente une bonne pratique. Elle peut vous dire les messages qui ont particulièrement interpellés votre auditoire de manière positive ou négative. Si elle n’a pas écouté votre présentation au préalable, elle peut également vous faire un retour sur ce qui l’a surpris, elle. Une personne dans le public peut même se révéler un atout en mettant l’ambiance pour vous !

Bonne présentation !

L’autorité au travail

On entend souvent parler de l’autorité au travail et des problèmes qui en découlent. Nous n’avons pourtant pas tous la même notion d’autorité. Si elle peut paraître parfois juste, sa légitimité pose parfois question au sein des entreprises. Et les discussions sur ce que deviendra l’autorité dans l’avenir vont bon train.

Une autorité définie par les décisions

Pour tous les Français la définition de l’autorité n’est pas la même. Pour 60% d’entre eux à peine, il s’agit de prendre des décisions. La manière de voir l’autorité diffère même si elle consisterait d’abord à faire respecter les règles (45%). La gestion de projet à la part belle puisque 42% estime que diriger un projet va dans ce sens.

Plus subtilement 36% pensent qu’elle est utile pour faire progresser les autres salariés et s’occuper des conflits internes (32%) ou encore amener à suivre une hiérarchie (25%)

De manière plus moderne, ils sont déjà 23% à estimer que l’autorité est là pour inspirer les autres salariés, démontrer une expertise (22%) ou encore gérer la relation client (18%). Le fait de donner des ordres est reléguer à 19% ;

Une autorité légitimée par les compétences.

On peut se dire souvent que l’autorité provient de la fonction. En réalité son fondement est bien différent puisque l’immense majorité pense qu’elle provient des compétences (72%).

Le leadership (30%), le soutien des dirigeants de l’entreprise (24%), l’ancienneté dans l’entreprise (22%), la performance commerciale (16%), les diplômes (13%), le titre (11%), ou encore l’âge (8%) viennent loin derrière.
Vous pouvez donc agir sur ces derniers mais comme moyen. Autrement dit, il vaut mieux faire monter en compétences vos managers et l’autorité devrait venir naturellement.

L’autorité va changer

Déjà, il faut noter que 92 % des Français pensent que ma manière d’exercer l’autorité va changer. Et pour cause : 88% d’entre eux pensent qu’il y a trop de « petits chefs qui abusent de leur autorité en entreprise ». A une heure où me management évolue, on voit bien que cette écrasante majorité représente un souci pour les salariés. Malgré tout, ils sont près de 79% à la respecter et 77% à estimer qu’il est nécessaire de la respecter pour réussir en entreprise.

Si elle peut paraître contraignante, elle ne doit pas pour autant disparaître puisqu’ils sont 67% à penser qu’ils en ont besoin pour progresser. Paradoxalement, le stress ayant deux côtés, elle est source d’anxiété pour 59%, peut nuire à l’épanouissement personnel des salariés pour 44% et pire être contreproductive pour 39%

Celle-ci aurait tendance à disparaître puisque 30% estime qu’elle n’existe plus et 44% pensent que les dirigeants ne l’exercent plus. Une forme de management moderne qui serait différent. On peut se demander s’il n’y aurait pas une forme d’abandon…

L’avenir de l’autorité en entreprise

S’ils sont nombreux à craindre l’autorité et en même temps à penser que l’autorité va disparaître, ils sont peu nombreux à savoir ce qu’elle va devenir. Ils sont seulement 19% à penser qu’elle va reposer sur la confiance mutuelle entre le salarié et l’employeur. Et elle devra dans « l’avenir récompenser davantage le mérite (13%), impliquer davantage le salarié dans la prise de décision (13%), respecter davantage les salariés (13%), permettre à chacun de s’exprimer (8%), favoriser la circulation de l’information et la transparence (8%), accorder plus d’autonomie aux salariés (5%), faire tomber les barrières entre les différentes équipes d’une entreprise (5%) ». Certains estiment qu’elle ne devrait plus être lié à l’âge, au titre, ou à l’ancienneté

Les domaines où l’autorité devrait être transférée

Si vous souhaitez mettre en place un management moderne, sachez que la définition des missions prioritaires (liées à leur poste) et leur manière de travailler avec leurs collaborateurs est pour près de 80% d’entre eux la priorité.

Les technologies ont la part belle puisqu’ils souhaitent choisir celles qu’ils utilisent pour 72% d’entre eux. Plus surprenant mais logiquement, ils souhaitent aujourd’hui définir la culture de l’entreprise (71%). La liberté représente un facteur déterminant dans l’avenir puisqu’ils voudraient pour 70% avoir le choix sur le temps de travail et 66% sur le lieu.

Tous ces critères montrent la volonté des salariés d’avoir un management différent qui a du sens et qui délègue des responsabilités.
Résultats selon un sondage OpinionWay pour Dropbox de mai 2019 sur l’ « autorité au travail » réalisé sur un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18ans et plus et selon la méthode des quotas ,

Transparence sur l’étiquetage, un incontournable

Les français sont devenus exigeants à la suite des nombreux scandales qui ont touché toutes les catégories de produits alimentaires mais aussi parce qu’ils sont maintenant conscients que les produits viennent de nombreuses provenances. Fabriqués en France, étiquetés en France… Internet et les médias regorgent d’histoires les plus édifiantes sur certains produits portant vantés par les marques.

Plus d’1 Français sur 2 a déjà renoncé à un achat à cause d’un manque d’information sur un produit alimentaire et c’est d’ailleurs dans ce contexte Alkemics et OpinionWay ont cherché à savoir comment et à quelles fins les Français les recherchent ? Comment les jugent-ils ? Quelles sont leurs attentes quant à l’étiquetage alimentaire ? Quelles sont les incidences de l’étiquetage alimentaire en termes de comportements d’achat ?

Comment s’informer ?

Les inscriptions sur l’emballage sont une source d’information qui intéressent particulièrement les consommateurs (64%).  Cependant, on peut constater que selon le budget et l’âge le comportement se modifie :  48% des foyers dont le revenu mensuel ne dépasse pas 1 000€ recherchent des informations sur un emballage alimentaire contre 74% des foyers dont le revenu dépasse 3500€. Les 65 ans et plus demeurent également attentifs aux inscriptions sur un emballage (78%) contre 58% des 18-24 ans.

Même s’ils sont moins nombreux avec un budget restreint à prendre en considération les informations, ils sont quand même 48% qui montrent que le budget n’est pas un frein à l’intérêt qu’ils portent aux informations des produits alimentaires.

Quelles sont les informations recherchées ?

Près d’1 Français sur 2 focalise prioritairement son attention sur la composition, la provenance et la DLC (date limite de consommation)  d’un produit alimentaire. Le Nutriscore, Programme National Nutrition Santé,  lancé dans le cadre de la loi de modernisation du système de santé en 2016 et encore très peu déployé, attire déjà 9% des consommateurs qui déclarent y être attentifs lors de l’achat d’un produit alimentaire. Enfin, 10% de Français affirmant être attentifs aux scores d’applications mobiles telles Yuka ou Foodvisor, l’usage de ces dernières ne semble pas encore majoritairement répandu mais elles font partie de nouvelles habitudes qui vont certainement s’insérer dans le paysage et elles devront cependant pour cela être des applications qui ne cachent pas un intérêt financier avec une marque. Les français sont très vigilants aux raisons de leur déploiement.

Les 3 critères : qualité, made in France et santé !

Trois critères qui sont à prendre en compte pour les dirigeants : l’origine du produit, sa composition et ses bénéfices auxquels s’ajoutent les considérations d’ordre éthiques et environnementales. 88% des personnes interrogées considèrent qu’être mieux informées leur permet de consommer des produits de meilleure qualité, de connaître leur origine (85%) ou encore de privilégier le made in France (87%).

Des consommateurs avisés

Seulement 53% jugent les informations fiables, 37% suffisantes, 35% transparentes et 34% complètes. Les Français regardent avec circonspection l‘étiquetage.

Plus de 70% des Français font confiance aux informations sur la traçabilité, la composition ou encore l’apport nutritionnel d’un produit. Il s’agit là d’indications factuelles inhérentes au produit ne pouvant être sujettes à interprétation.

Les consommateurs ne sont pas dupes

Ils ne croient pas tout ce qui est écrit. Ainsi, les allégations nutritionnelles du type « faible teneur en graisse » ou encore « riche en fibres », souvent considérées comme un argument marketing bien qu’encadrées juridiquement, ne remportent pas l’adhésion du public. En effet, seuls 49% des Français ont confiance dans ce type d’affirmation. Il en va de même des informations en lien avec le respect animal dont seulement 49% des consommateurs déclarent avoir confiance.

Local et commerce physique, gages de confiance

Si les informations diffusées par les producteurs locaux (90%) ou les marques françaises (82%) remportent la confiance des consommateurs, cette dernière s’effrite avec les marques distributeurs (66%) et s’effondre avec les marques étrangères (35%). En matière alimentaire, le local fait foi. Concernant les lieux de vente, le commerce physique remporte la palme. Ainsi, 82% des Français font confiance aux informations produits dans les commerces de proximité, 74% dans les magasins bio ou encore 73% sur les marchés et 67% en GSA. A l’inverse, moins d’un Français sur deux fait confiance aux informations émanant de sites internet. Avec 56%, les sites marchands de GSA (Grandes Surfaces Alimentaires) font un peu mieux.

Quel étiquetage souhaitent-ils ?

Alors que l’intérêt des Français pour l’étiquetage alimentaire se recentre principalement sur trois informations, à savoir l’origine du produit, sa composition et des considérations d’ordre éthiques et environnementales, il en va de même pour leurs attentes.

Ainsi, les consommateurs souhaiteraient que l’affichage d’informations d’un produit soit plus gros pour les catégories suivantes :

ORIGINE

  • Provenance du produit (54%)
  • Traçabilité des ingrédients (44%)

COMPOSITION

  • Composition du produit (52%)
  • Informations nutritionnelles (39%)
  • Présence d’allergènes (37%)

ETHIQUE & ENVIRONNEMENT

  • Respect du bien-être animal (39%)
  • Impact environnemental (34%)

Pas ou peu d’informations : pas d’achat

Si le consommateur souhaite que marques ou commerçants fassent preuve de diligence quant à leur obligation d’information, un défaut de leur part peut se traduire sous la forme d’un renoncement à l’achat d’un produit alimentaire.

Ainsi, 54% des Français ont déjà renoncé à l’achat d’un produit en raison d’un manque d’information sur la DLC (date limite de consommation) ou la provenance et 53% pour manque d’information sur la composition.

Enfin, 56% des Français ont déjà renoncé à l’achat d’un produit étranger pour manque d’information, 51% à l’achat d’un plat préparé ou d’un produit de premier prix.

Cette étude a été réalisée sur un échantillon de 1057 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus réalisée du 17 au 18 avril 2019.

En revanche, l’étiquette rêvée des Français réduirait ou ferait totalement disparaître la marque du produit (25%), les allégations nutritionnelles (type « faible teneur en graisse », « riche en fibres » … – 22%) mais aussi les conseils sur la préparation du produit (20%) ou le type d’emballage (recyclé, recyclable, suremballage… – 20%).

 

Alfipa.fr, l’entreprise spécialiste de l’aluminium

La société Alfipa, fondée en 1994, s’est spécialisée dans les feuilles d’aluminium, de cuivre, d’acier inoxydable et de plastique, de papier et de feuilles composites minces destinées au secteur de l’emballage et au marché de l’isolation. Zoom sur une entreprise qui bénéficie de l’expérience de 40 ans de son fondateur.

L’origine de l’entreprise

Karl Quadt commence sa carrière en tant que Business Development Manager au sein de l’entreprise VAW à Grevenbroich (aujourd’hui HYDRO) et noue des contacts étroits avec la production. Il intègre ensuite des postes dans la vente et dans la direction au sein de National Luxembourg Aluminium (aujourd’hui EUROFOIL) et de Aluminiumfolie Merseburg (aujourd’hui MFC). Constatant un manque de produits sur-mesure destinés aux secteurs de l’emballage et de l’isolation, il décide de monter l’entreprise en 1994.

Une entreprise qui se spécialise

Pour se démarquer de la concurrence, il se spécialise dans les formats inhabituels et les quantités réduites, qui sont par ailleurs difficiles à se procurer notamment grâce aux contacts du dirigeant qui lui assurent de pouvoir se trouver les matériaux difficiles à se procurer. Il offre ainsi la possibilité d’opter pour une fabrication spécifique et personnalisée même quand le marché ne peut fournir les dimensions dont le client a besoin. Comme pour le métro parisien pour lequel Alfipa a livré les plaques d’aluminium.

Afin de se démarquer toujours plus de ses concurrents l’entreprise propose des conseils techniques gratuits afin d’aider les clients à déterminer quels matériaux correspondent le mieux à leurs demandes.

Pour le dirigeant, pas de doute, il faut miser sur la « qualité des prestations » et pouvoir « produire la quantité de produits selon les besoins, que la quantité demandée soit petite ou moyenne » et mettre une toute particulière attention à livrer dans les temps. Attachant de l’importance au service client, au dynamisme de son équipe et au respect des normes européennes comme le DIN EN546-4., l’entreprise connaît un essor rapide.

Une spécialisation qui reste large

Si l’entreprise a une particulière appétence pour l’aluminium c’est parce qu’en réalité, il est utilisé dans différents secteurs industriels. La feuille d’aluminium, qui possède différentes caractéristiques est souvent destinée à emballer les denrées alimentaires. Elle est également utile dans le secteur pharmaceutique afin de conditionner les médicaments. Le film en aluminium offre l’avantage de préserver la qualité des produits jusqu’à la date de péremption.

L’aluminium reste compatible avec l’impression, le laquage et la combinaison avec des matériaux composites. Il sert aussi de revêtement d’isolants afin de garantir une bonne isolation thermique, phonique et frigorifique.

Finalement, les produits proposés par Alfipa peuvent être utilisés dans plusieurs domaines d’activité tels que le transport, la science ou encore le bâtiment.

Et il faut dire qu’ils peuvent servir à réaliser de nombreuses choses : emballages alimentaires, de boissons ou de médicaments, matériaux composites comme revêtements dans beaucoup de domaines, isolants, recouvrir du bitume ou des panneaux de mousse…

Pour en savoir plus sur l’entreprise ou obtenir un devis, vous pouvez vous rendre sur site d’Alfipa

15 voyages en train pour vous faire gagner du temps

Nous avons tendance à penser que l’avion est beaucoup plus rapide et moins cher que les autres moyens de transport. Et pourtant, ce n’est pas aussi évident, il n’est pas rare de retrouver des itinéraires bien plus rapides en train que par l’intermédiaire d’un vol. D’autant plus que les enjeux environnementaux viennent désormais s’immiscer dans un voyage. Tour d’horizon autour de 15 trajets en train pour faire gagner du temps tout en réduisant votre empreinte carbone.

Voyager en train plus aisément en Europe

Les voyages en train à l’étranger ne sont pas toujours évidents, à cause de la barrière de la langue. Il est vrai que pour réserver un billet de train en Allemagne n’est pas facile pour celui qui ne parle pas l’allemand, malgré la monnaie unique en Europe. Par ailleurs, voyager en train est une manière bon marché et éco-responsable. Sans compter que l’on peut réserver son billet en français et payer en euros pour des billets partout en Europe. En effet, ils sont nombreux à s’être interrogé si de voyager en train n’était pas la meilleure des solutions pour gagner du temps tout en pensant à notre planète. Le voyage en avion est très régulièrement perçu comme le moyen de transport le plus compétitif dans son rapport au temps. Et pourtant dans bien des cas, le train est le moyen de transport le plus intéressant. Et les 15 trajets à venir en sont les illustres exemples.

15 itinéraires pour gagner du temps tout en préservant la planète

Le classement prend en compte trois éléments importants : le dioxyde de carbone économisé, la consommation d’énergie économisée et le temps gagné par trajet.

Trajet 1 : Entre Munich et Vienne. Le dioxyde de carbone économisé est de 122,9 kg, la consommation d’énergie économisée est de 49,1 litres et le temps gagné est de 15 minutes.

Trajet 2 : Entre Marseille et Lyon. Le dioxyde de carbone économisé est de 121,1 kg, la consommation d’énergie économisée est de 43,7 litres et le temps gagné est de 1h27 minutes.

Trajet 3 : Entre Bruxelles et Paris. Le dioxyde de carbone économisé est de 118,8 kg, la consommation d’énergie économisée est de 44,4 litres et le temps gagné est de 2h38 minutes.

Trajet 4 : Entre Bruxelles et Londres. Le dioxyde de carbone économisé est de 111,6 kg, la consommation d’énergie économisée est de 40 litres et le temps gagné est de 2h08 minutes.

Trajet 5 : Entre Londres et Manchester. Le dioxyde de carbone économisé est de 109,6 kg, la consommation d’énergie économisée est de 44,2 litres et le temps gagné est de 1h21 minutes.

Trajet 6 : Entre Londres et Paris. Le dioxyde de carbone économisé est de 106,3 kg, la consommation d’énergie économisée est de 37,5 litres et le temps gagné est de 9 minutes.

Trajet 7 : Entre Bruxelles et Francfort. Le dioxyde de carbone économisé est de 102,8 kg, la consommation d’énergie économisée est de 41 litres et le temps gagné est de 43 minutes.

Trajet 8 : Entre Munich et Francfort. Le dioxyde de carbone économisé est de 102,8 kg, la consommation d’énergie économisée est de 42,6 litres et le temps gagné est de 21 minutes.

Trajet 9 : Entre Valence et Barcelone. Le dioxyde de carbone économisé est de 102,6 kg, la consommation d’énergie économisée est de 39,8 litres et le temps gagné est de 16 minutes.

Trajet 10 : Entre Milan et Zurich. Le dioxyde de carbone économisé est de 102,2 kg, la consommation d’énergie économisée est de 39,8 litres et le temps gagné est de 15 minutes.

Trajet 11 : Entre Barcelone et Toulouse. Le dioxyde de carbone économisé est de 101 kg, la consommation d’énergie économisée est de 39,4 litres et le temps gagné est de 1h07 minutes.

Trajet 12 : Entre Barcelone et Madrid. Le dioxyde de carbone économisé est de 98,2 kg, la consommation d’énergie économisée est de 34,7 litres et le temps gagné est de 1h15 minutes.

Trajet 13 : Entre Paris et Francfort. Le dioxyde de carbone économisé est de 98,2 kg, la consommation d’énergie économisée est de 27,9 litres et le temps gagné est de 22 minutes.

Trajet 14 : Entre Madrid et Valence. Le dioxyde de carbone économisé est de 97 kg, la consommation d’énergie économisée est de 36,9 litres et le temps gagné est de 1h28 minutes.

Trajet 15 : Entre Manchester et Édimbourg. Le dioxyde de carbone économisé est de 94,3 kg, la consommation d’énergie économisée est de 37,4 litres et le temps gagné est de 21 minutes.

Quelles activités externaliser ?

Il est rare qu’une entreprise s’occupe de tout et que d’internaliser l’ensemble des activités. Que ce soit par manque de compétences ou de temps confier certaines activités à des prestataires externes s’avèrent souvent judicieux même si parfois cela représente un certain coût. Quelles sont activités à externaliser ?

Il est clair qu’à vouloir tout faire, on risque souvent de ne rien faire. Même si vous avez le sentiment que contrôler l’ensemble des éléments est essentiel, certaines activités vous font perdre du temps et vous n’êtes pas rentable quand vous vous en chargez. Un exemple courant ? La paie. Editer vous-même vos fiches de paie demande un savoir-faire qu’il est rare de maîtriser étant donné le nombre de règles qu’il existe dans le domaine. Déléguer la paie représente souvent un gain de temps et d’argent. Le but reste donc de libérer vous ou vos équipes de ces tâches qui ne concernent pas vos missions stratégiques et de simplifier votre organisation.

Les tâches à externaliser

Pour déterminer les tâches qui sont à externaliser, vous pouvez commencer par vous poser cinq grandes questions pour guider vos choix. Quelles sont les activités :

  • qui  me prennent du temps et qui ne concernent pas directement le fait de pouvoir livrer ma prestation ou mon service ?
  • qui n’ont pas de valeurs ajoutées pour celui-ci ?
  • pour lesquelles, je n’ai pas les compétences en interne ?
  • qui mobilisent des ressources déjà utiles pour développer mon activité ?
  • qui me coûtent plus cher que de les faire externaliser ?

A l’aide de ces quatre questions, vous pourrez rapidement cerner les activités à déléguer tout de suite.

Les principales activités qui sont déléguées

Même si toutes les entreprises ont leur spécificité, la plupart des entreprises délèguent souvent les tâches suivantes en premier :

1- La comptabilité : il s’agit d’un métier qui demande de maîtriser des compétences qui s’acquièrent avec une formation de comptable. En externalisant, vous quittez la crainte d’avoir mal calculé votre TVA et de vous retrouver en difficulté par exemple avec l’Urssaf. Le fait que votre comptabilité soit externalisée vous permet également de de montrer que vous êtes transparent.

2 – La paie : une tâche qui s’avère très complexe à gérer car les lois évoluent tout le temps et donc les calculs de cotisations ne sont jamais les mêmes à prendre en compte. Elle demande une réelle expertise afin de ne pas commettre d’erreurs.

3 – Le juridique : de nouvelles lois vient le jour constamment et afin d’être en conformité avec elles tant sur le plan des ressources humaines que de la sécurité, externaliser à un juriste compétent peut se révéler utile. Surtout si sa présence au sein de l’entreprise ne s’avère pas nécessaire.

4 – Le centre d’appel / prospection téléphonique : s’il est courant de faire ses rendez-vous soi-même, vous pouvez externaliser votre prospection téléphonique à des sociétés comme JobPhoning qui représente ne alternative moderne et rentable pour externaliser ses campagnes de téléprospection à des professionnels indépendants du secteur et qui possèdent des équipes dédiées à ce travail.

5 – L’accueil et la prise de rendez-vous téléphonique : cela vous permet de répondre à votre clientèle  et de donner une excellente image de l’entreprise grâce à la présence constante des assistantes sans embaucher une personne à temps plein.

6 – La livraison : les acteurs spécialisés permettent de réaliser des gains de temps et d’argent : ils répondent à chaque demande spécifique (coursier pour un document, livraison de gros colis qu’ils viennent chercher dans l’entreprise à des prix compétitifs et font des économies d’échelles.

7 – Les ressources humaines : le recrutement est un art difficile et chronophage. Il vous détourne parfois des tâches stratégiques. La sélection qu’elle soit au niveau des curriculum vitae ou des entretiens réalisés par un cabinet de recrutement vous permet de gagner un temps considérable.  Vous pouvez ainsi uniquement rencontrer des candidats qui conviennent au poste que vous proposez. S’il n’est pas rare de le réinternaliser par la suite, il peut représenter pour vous une difficulté toute particulière au début. Il demande une expertise qui s’acquiert au fil des années.

8 – La rédaction : Il s’agit d’un véritable métier et il faut écrire bien et vite. Passer trop de temps dans la rédaction peut vite s’avérer chronophage et peu rentable. Rédiger des plaquettes, des brochures demandent un savoir-faire pour se démarquer de la concurrence.

8 – La communication : Il faut pouvoir déterminer comment bien communiquer et connaitre l’ensemble des dispositifs, leurs avantages et inconvénients pour que vos campagnes restent rentables et pertinentes. Les professionnels vous aident à choisir les supports adéquats mais également peuvent travailler votre communication pour qu’elle soit efficace.

10 – Les Relations Presse : connaitre les journalistes prend du temps et la connaissance des sujets qui les intéresse représente un véritable métier. Pour réaliser des interviews qui développent votre notoriété, les communiqués de presse, sélectionner les rencontres pertinentes… Faire appel à eux peut se révéler judicieux.

11 – Le community management : Il faut savoir comment animer et y passer du temps. Pour ne pas avoir des réponses intempestives qui peuvent nuire à votre réputation et à celles de l’entreprise ou encore ne jamais laisser un commentaire sans réponse, l’externalisation peut devenir une solution ?

A noter que rien ne vous empêche d’internaliser par la suite ces différents domaines si votre activité se développe.

Zoom sur le portage salarial

Le portage salarial se révèle être une solution performante de plus en plus utilisée par les entreprises. De par ses caractéristiques, il se distingue de l’intérim, qui gère lui aussi une relation tripartite entre une société cliente, un salarié et la société d’intérim. Petite explication sur ce procédé qui fait fureur et qui convainc nombre d’entreprises d’y faire appel.

Le portage salarial est fortement utilisé par les entreprises, notamment pour tout ce qui touche à l’informatique. Il permet notamment de faire intervenir une expertise externe pointue et de disposer d’un cadre juridique qui sécurise l’ensemble. Il concerne un indépendant (qu’on appelle freelance) qui va effectuer une mission au sein de l’entreprise. La société de portage se charge de toutes les démarches administratives en contrepartie d’un pourcentage du chiffre d’affaires réalisé. Son succès s’explique en partie par sa flexibilité pour l’entreprise cliente qui lui offre l’opportunité de profiter d’une expertise pointue, sans pour autant avoir recours à un contrat de travail classique.

Le portage salarial, des avantages certains pour l’entreprise

Tout d’abord, il faut noter que le premier avantage réside dans la souplesse de la gestion, notamment administrative : l’entreprise cliente ne réalise pas de fiches de paie, puisque c’est la société de portage salarial qui est en charge de les éditer. Toutes les démarches administratives sont simplifiées et vous pouvez ainsi vous alléger des contraintes et des coûts. Vous n’avez donc pas à gérer d’éventuelles formations pour découvrir ces méandres administratifs.

Par ailleurs, vous pouvez adapter vos effectifs à vos besoins parce que vous n’êtes pas sous le joug d’un contrat de travail.

Contrat qui s’avère idéal, notamment si vous ne souhaitez pas avoir de lien de subordination. Le porté reste libre et cela vous évite de passer votre temps à gérer un rapport avec un salarié puisqu’il n’est pas le vôtre.

Le contrat de portage salarial permet surtout de faire appel à une expertise à très forte valeur ajoutée, qu’il est souvent difficile d’avoir en interne. Il ne s’agit pas d’une embauche et vous gagnez donc un temps considérable. En général, l’objectif est d’externaliser des tâches non stratégiques. De plus, vous n’avez pas besoin de procéder à une embauche qui s’avérerait chronophage et vous pourrez obtenir la collaboration d’un expert dans un délai très court. Vous pouvez ainsi gérer une demande particulière ou ponctuelle, comme l’organisation d’un événement ou lorsque vous souhaitez mettre en place un système d’information par exemple.

L’évaluation du coût est également facile à connaître, puisque vous achetez une prestation. Vous n’aurez donc pas de coûts supplémentaires qui viendront se greffer. Le porté reste responsable de la bonne livraison de sa prestation.

Vous pouvez également utiliser ce processus pour proposer à vos ex-collaborateurs de les aider à développer une nouvelle activité en devenant leur premier client. De nombreuses entreprises ayant des cellules d’essaimage y font d’ailleurs appel.

Les entreprises concernées par le portage salarial

Toutes les entreprises ne sont évidemment pas concernées par le portage salarial. Il s’agit en général de sociétés ayant un besoin spécifique ponctuel ou qui ne peuvent pas recruter de nouveaux salariés. Vous pouvez solliciter ce type de service si vous souhaitez sous-traiter une partie de vos services ou acquérir des compétences qui ne sont pas dans votre domaine d’activité, par exemple dans le cadre d’un coaching ou d’une étude de nouveaux marchés. Cette technique est particulièrement utile si vous n’avez pas de service de ressources humaines qui puisse gérer votre montée en puissance d’effectifs.

Des exceptions à prendre en compte

Il faut être conscient que le portage salarial sert surtout à réaliser une mission de prestations de services intellectuels. Toutes les professions n’ont pas accès au portage salarial, notamment pour les professions dites réglementées en France comme les professions de santé, les activités de service à la personne, les activités de négoce, l’exécution dans le BTP, les métiers du transport ou encore les avocats, experts-comptables ou huissiers de justice.

Portage salarial ou intérim : quelles différences ?

Le portage salarial concerne un travailleur indépendant qui effectue une prestation de service pour une entreprise. Il possède un statut de salarié, puisqu’il signe un contrat de travail avec une société de portage, qui à son tour signe un contrat de prestation de service avec l’entreprise cliente.

Le travail intérimaire ou « intérim » fonctionne un peu de la même manière. Il s’agit ici de mettre à disposition d’entreprises clientes des salariés de manière provisoire. Ces salariés touchent également une rémunération par l’entreprise de travail intérimaire et signent un contrat de mission. Il y a donc ici une relation triangulaire, puisqu’il y a également un contrat de mise à disposition entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise.

A priori, la différence est fine entre les deux notions et on peut se demander quelles sont les différences entre ces deux contrats qui semblent au final être la même chose, avec des appellations différentes.

Tout d’abord dans le cas du portage, il s’agit d’un expert de son domaine à qui on fait appel de manière ponctuelle. Il remplit une mission qui n’est pas habituelle dans l’entreprise. Son contrat peut être autant un CDD qu’un CDI. Contrairement à l’intérimaire, il dispose d’une grande autonomie sur sa mission, qu’il négocie avec l’entreprise cliente, tant en termes de rémunération que de cadre. Il n’existe pas de lien de subordination entre l’entreprise cliente et celui qui fait appel au portage.

L’intérim s’utilise en général lors d’un accroissement ponctuel de l’activité ou d’un remplacement et remplit une mission habituelle dans l’entreprise. Son contrat est un CDD et il ne dispose pas d’une autonomie sur sa mission ni même sur sa rémunération, puisque c’est l’entreprise d’intérim qui se charge de la négociation. Les rémunérations sont en général indexées sur la grille tarifaire de l’entreprise. Autre point clé : l’intérimaire devient salarié de l’entreprise pendant sa mission et le lien de subordination existe bien avec l’entreprise cliente. Il faut également prendre en compte que l’intérim revient plus cher à l’entreprise que le portage salarial si les salaires sont identiques.

Êtes-vous concerné par l’obligation de mettre un défibrillateur ?

Vos collaborateurs sont essentiels pour que votre entreprise se développe et personne n’est à l’abri d’un accident ou d’un problème de santé, y compris vous-même. Si, installer un défibrillateur ne s’avère pas forcément être une obligation dans toutes les entreprises, prévenir reste toujours mieux que de guérir.

Les ERP, les premiers concernés.

Depuis une loi adoptée par l’assemblée nationale le 13 octobre 2016 sur l’obligation pour les ERP de s’équiper en défibrillateur, sa promulgation et le décret étaient attendus. Promulguée le 28 juin 2018 par le Président de la République et de nombreux ministères (loi sur l’obligation de s’équiper d’un défibrillateur), elle impose l’installation de défibrillateur au sein des Établissements Recevant du Public (ERP). Cette loi dispose en l’occurrence que « Art. L. 123-5. – Un décret en Conseil d’État détermine les types et catégories d’établissement recevant du public qui sont tenus de s’équiper d’un défibrillateur automatisé externe visible et facile d’accès, ainsi que les modalités d’application de cette obligation.» et que « Art. L. 123-6. – Les propriétaires des établissements mentionnés à l’article L. 123-5 sont tenus de s’assurer de la maintenance du défibrillateur automatisé externe et de ses accessoires conformément aux dispositions de l’article L. 5212-1 du code de la santé publique. ». Le décret, publié le 19 décembre 2018 au Journal Officiel détermine ainsi les types et catégories d’ERP qui sont tenus de s’équiper.

Les catégories d’ERP concernées

Les ERP concernés par l’installation de DAE (Défibrillateur Automatisé Externe) sont presque tous concernés puisqu’il s’agit des catégories 1 à 4. Sur le court terme, les établissements étant amenés à recevoir plus de 300 personnes sont les premiers concernés puisqu’elle oblige à le mettre en place dès le 1er janvier 2020, ainsi que tous les ERP de la liste suivante : « a) Les structures d’accueil pour personnes âgées ; b) Les structures d’accueil pour personnes handicapées ; c) Les établissements de soins ; d) Les gares ; e) Les hôtels-restaurants d’altitude ; f) Les refuges de montagne ; g) Les établissements sportifs clos et couverts ainsi que les salles polyvalentes sportives ». A partir du 1er janvier 2021, les ERP de moins de 300 personnes seront également concernés. Cette loi a pour origine  une recommandation du Conseil français de réanimation cardio-pulmonaire et de l’Académie de médecine. Si vous n’accueillez pas plus d’une poignée de personnes par jour, vous n’êtes pas concerné par cette obligation.

Les entreprises n’accueillant pas de public

Pour faire court, vous n’êtes pas obligé légalement d’installer un défibrillateur mais il vous faut prendre en compte qu’un accident cardiaque demeure considéré comme un accident de travail. Vous serez donc obligé de verser des indemnités journalières de manière automatique qui sont loin d’être négligeables : frais médicaux, hospitalisation et pharmacie, indemnisation forfaitaire de l’éventuelle incapacité permanente, … Une fois installé, n’oubliez que vous devez l’entretenir, le contrôler de façon périodique ainsi que former vos salariés à son utilisation.

Attention tout de même car la présence du défibrillateur est laissée à l’appréciation du juge. Votre responsabilité peut être engagée le cadre de votre obligation générale santé et de sécurité et notamment au terme de l’article 121-3 du code pénal qui dispose que : « les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer. ». Il vous faudra donc prendre en compte la moyenne d’âge, la fréquentation, l’état de santé notamment si on vous a signalé des antécédents cardiaques, des demandes du CE ou du CHSCT, … pour déterminer si vous devez le mettre en place.

Ce n’est pas obligatoire mais…

Même si l’obligation n’est pas légale, vous équiper peut sauver des vies. Sachant que plus l’intervention est rapide, plus vous avez de chances de sauver un membre de vos équipes, son installation s’avère en proportion peu coûteuse. Alors quand on sait qu’en cas d’arrêt cardiaque et en l’absence de dispositif, le taux de réanimation est très faible (environ 4 %) alors qu’il augmente énormément (40%) dans le cas contraire, la question ne se pose que si votre trésorerie ne le permet pas…  Et un client à qui vous sauvez la vie est un client qui sera fidèle !

Idée cadeau d’entreprise : Le tote bag, le sac publicitaire à offrir sans modération

Vous cherchez des idées de cadeaux personnalisés à offrir à vos clients et prospects ? ou à augmenter votre notoriété et faire parler de vous ? Vous organisez un évènement et vous souhaitez distribuer des goodies ? Ou tout simplement aider un client à transporter ses documents alors que vous venez de lui transmettre votre proposition commerciale ? Le tote bag personnalisé pourrait bien être la solution.

Le tote bag publicitaire est aujourd’hui de plus en plus utilisé et il remplace le sac publicitaire en plastique. Zoom sur cet objet publicitaire très tendance.

Ses avantages par rapport à d’autres objets publicitaires

Ce sac en coton tendance a l’avantage d’être un goodies pas cher qui vous offre une surface de personnalisation importante pour véhiculer votre message et afficher votre logo en grand.

Marqué de votre logo, le tote bag personnalisé avec anses langues sera porté à l’épaule toute l’année par vos clients, prospects ou collaborateurs. Que vous soyez une agence, une startup, une boutique de mode, une association ou un organisateur d’événements, le tote bag en coton naturel est devenu le goodies promotionnel indispensable pour marquer les esprits.

 

Contrairement au sac plastique, il sera facilement conservé car sa résistance lui permet même d’être adapté pour des poids relativement lourds. Pour vous assurer de sa robustesse, prenez en compte le grammage au mètre carré, qui détermine son épaisseur mais également sa qualité. Plus celui-ci est épais plus sa durée de vie sera longue et plus sa capacité à porter des charges lourdes sera grande. Il est généralement compris entre 100 et 330 g/m².

Existant également en coton 100% bio certifiés GOTS (Global Organic Textile Standard), vous pouvez en profiter pour afficher une image éco-responsable en adéquation avec votre marque.

Un objet personnalisable selon vos besoins

Il reste disponible en plusieurs couleurs, formes et grammages. Mais vous pouvez surtout le personnaliser facilement avec une impression en sérigraphie (de 1 à 3 couleurs d’impression), en quadrichromie (4 couleurs d’impression), en broderie (multi couleurs) … Les tote bags personnalisés s’adaptent à vos besoins pour bien diffuser l’image de votre marque ainsi que votre identité visuelle.

Profitez des tarifs dégressifs par quantités en anticipant vos commandes et en planifiant un stock en avance. Choisissez différentes formes et couleurs et faites plaisir à tous vos clients car ils le garderont pour longtemps, ainsi vous bénéficierez d’une large visibilité auprès de votre cible !

My traiteur, un service haut de gamme et en ligne

C’est en 2014 que Julien Mancadiang décide de s’associer à Benoit Lazarotto, un ami du lycée et fils d’un ancien grand traiteur parisien pour lancer un service en ligne dans le secteur, haut de gamme, qui propose des produits frais exclusivement.

Pour les deux entrepreneurs, pas de doute sur le positionnement, il faut que « ce soit bon, c’est une évidence ! Cela évite de gérer des problèmes de qualité. La qualité fait partie de notre ADN et nous ne nous voyons pas nous positionner autrement. Notre meilleur argument de vente reste de faire goûter nos produits. Cela apparaît comme une évidence de vouloir goûter les mets lorsque vous organisez un grand évènement, même si la dégustation est payante sauf dans le cas où l’entreprise valide la prestation, ce qui fait partie des habitudes traditionnelles dans le secteur afin d’éviter les abus. ».

Une digitalisation immédiate

La digitalisation est immédiatement au cœur de leur préoccupation. L’ambition dès le début ? Proposer un site internet qui permet d’obtenir, en 5 minutes et en quelques clics, des devis compétitifs, exhaustifs et complets. MyTraiteur veut devenir la référence en ligne du traiteur à Paris. Les entrepreneurs ont particulièrement mis un point d’honneur à s’attacher à la transparence des prix et à un service accessible notamment pour les primo-accédants. Pour parfaire leur business, pas de doute pour Julien ou pour Benoit, l’une des clés du succès de l’entreprise réside « dans la réactivité et dans la prise en charge. Le client attend rapidement une réponse et n’hésitera pas à solliciter plusieurs acteurs. Heureusement pour nous, notre site est très rapide et simple d’utilisation, je vous invite d’ailleurs à le tester ».

Les entrepreneurs développent leur site internet et lancent l’activité, jusqu’à la fin 2017. S’ils étaient rentables dès le début et avaient réinvesti leurs gains pour développer leur site internet, l’arrivée de Mathieu Hordesseaux dans l’équipe comme nouvel associé et CTO afin de développer la plateforme est un tournant évident. Ce dernier développe rapidement une nouvelle version plus fonctionnelle et rapide permettant à l’entreprise de poursuivre son développement. La satisfaction du dirigeant ? Le nombre de « personnes capables de payer des prestations aujourd’hui sur le digital à des montants relativement élevés. »

Aujourd’hui, l’entreprise a déjà réalisé plus de 500 évènements et accompagne essentiellement les entreprises même s’ils ont acquis également quelques particuliers pour organiser leurs évènements personnels et pour répondre à leurs besoins quotidiens en termes de prestations de traiteur. L’entreprise connaît un succès grandissant avec une multiplication du chiffre d’affaires par 3 et par 4 en termes de volume en 2018.

Une gamme large de prestation

L’entreprise commence son aventure par les cocktails-réceptions qui représentent encore aujourd’hui 85% de leur chiffre d’affaires. Au menu : fêtes internes, séminaires, lancements de produit, conférences de presse, Christmas ou summer party, pots de départs… Elle organise des grands évènements qu’ils peuvent adapter sur mesure avec des thématiques comme la Bretagne, le restaurant en altitude, l’Asie… mais les évènements de plus petite taille ne sont pas laissés de côté avec l’organisation d’afterworks sushis party, bar à cocktail, dégustation de vin, etc.

Pour poursuivre leur développement, ils décident de lancer en septembre 2018, les petits déjeuners pour des réunions plénières, conférences, formations ou encore un évènement hebdomadaire ou team building. Afin de conserver une qualité optimale, ils décident d’ailleurs de s’associer à un laboratoire tenu par un meilleur ouvrier de France.

Les entrepreneurs ne s’arrêtent pas là puisque début 2019, ils renouvellent l’expérience en se lançant dans les plateaux-repas ou plateaux en réunion, dernière nouveauté de l’entreprise.

Leur plus grand défi ? Se faire connaître pour pouvoir développer encore davantage leur entreprise.

www.mytraiteur.com