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Comment rester un bon compétiteur même en temps de crise ?

La crise s’est imposée avec son traîneau d’angoisses et d’incertitudes. Au lieu de vous morfondre, de vous plaindre et d’accuser la terre entière, c’est le moment de vous concentrer pour rester non seulement dans la course mais aussi pour être au top. Certes, la concurrence fait rage sur tout le marché, aussi bien pour les PME et les TPE que pour les grands groupes. De plus, avec cette crise qui persiste, dont il est difficile de cerner les soubresauts, adopter des stratégies efficaces est plus que vital à l’entreprise pour rester un bon compétiteur et garder une place intéressante sur le marché. 

Ne créez pas un produit nouveau, perfectionnez celui que vous avez

Pendant une période de crise, la stratégie de la création d’un nouveau produit n’est pas recommandée, sauf pour le cas des entreprises dans le secteur de la technologie et du web qui se positionnent particulièrement sur le créneau de l’innovation. Au lieu de lancer un nouveau produit, il est donc plus pratique de perfectionner celui que vous avez déjà lancé sur le marché. 

Un service après-vente de qualité doit suivre cette amélioration de produit. Pour cela, faites du suivi de la satisfaction clients une priorité, donnez de l’importance aux services après-vente comme les conseils techniques, les garanties ou encore les boîtes à idées qui permettront aux clients de s’exprimer et de vous faire un retour constructif. Une qualité de service et de produit engendrera surement la satisfaction du client, qui sera de fait fidélisé, quel que soit l’effet de la crise que vous traversez. Aussi, un client satisfait d’un produit aura tendance à le recommander à une autre personne, ce qui constitue une publicité gratuite pour l’entreprise. 

 Impliquez davantage vos salariés

Toutes les techniques utilisées pour la mobilisation de la motivation des salariés sont recommandées en période de crise. Ne misez plus sur la quantité de la production, mais plutôt sur la qualité de vos produits et services. Toutes les entreprises doivent connaître l’importance des salariés dans le développement de son entreprise. Pour cela, effectuez vos devoirs sociaux envers eux, mettez-les au cœur de la compétition et récompensez leurs efforts une fois le travail effectué. Cela peut vous apparaître comme des dépenses supplémentaires en temps de crise, néanmoins, vos salariés sont les piliers qui assureront la viabilité de l’entreprise. 

Devenir une entreprise « apprenante »

Afin de devenir une entreprise « apprenante », le dirigeant de l’entreprise doit mettre en place un projet basé sur la culture de l’apprentissage et le partager à tous ses salariés. Pour commencer, l’organisation du travail doit
être revue. En ce qui concerne cet aspect, vous devriez analyser les compétences de vos salariés par rapport au travail ainsi qu’aux besoins de l’entreprise. Une bonne communication avec vos équipes favorisera les échanges qui vous permettront de trouver les groupes de qualité, les points forts de vos salariés ainsi que les points à améliorer. Il faut voir quels sont les désirs de chaque employé, leurs compétences, leurs actions et analyser ce que cela représente pour l’organisme entier. C’est seulement après que vous donnerez des formations à ceux qui en ont besoin et réorganiserez ce qui ne va pas dans le système d’organisation de l’entreprise

Concernant la réorganisation et les formations, chaque entreprise possède sa façon de procéder. Certaines entreprises effectuent des exercices techniques quotidiennement. Pour cela, un manager ou un tuteur encadre le personnel tous les jours dans ses tâches. Certains dirigeants, comme c’est le cas de Jacques Chaize lorsqu’il a dirigé l’entreprise Socla, ont opté pour le « work café », concept qui proposait au manager et aux salariés de se retrouver dans un endroit convivial où ils y changeaient les compétences et se posaient certaines questions en rapport avec l’activité. Toutes les entreprises possèdent leur technique, mais l’essentiel est de connaître ses salariés pour tirer le meilleur d’eux, et ne pas oublier de récompenser leurs efforts !

Ne pas sacrifier son prix !

Toute entreprise qui sacrifie ses prix et qui a l’intention de devenir pérenne ne peut le faire sans avoir une stratégie calculée. Pourtant, l’hameçon est de vous dire qu’après la première commande, il va vous en faire d’autres et même plus importantes. Mais si celui a besoin de gagner aussi sur ses marges, il ne mordra à l’hameçon que pour prendre l’appât et vous allez être berné.

En cette période de crise profonde qui touche la majorité des secteurs d’activités, de nombreuses entreprises sont tentées de réduire leurs prix pour conserver leurs clients et en recruter de nouveaux. Mais attention à cette fausse solution qui n’est pas sans risque pour la pérennité de votre entreprise, même si elle a séduit plusieurs de vos concurrents.

Un risque évident à court terme

Dans le contexte économique actuel, où les budgets des clients sont de plus en plus serrés, certaines entreprises ont la fausse bonne idée de réduire leurs prix, ce qui a entre autres pour conséquence de réduire leurs niveaux de marge. Bien entendu, il n’est jamais évident d’apporter un refus à un client ou un prospect, notamment au regard de la concurrence ardue sur les marchés. Il convient de prendre le temps de la réflexion pour apporter une solution à votre interlocuteur qui puisse aussi maintenir le niveau de marge suffisant et la rentabilité nécessaire au fonctionnement de votre entreprise. Néanmoins, refuser une baisse de prix inconsidérée et préjudiciable à l’entreprise peut être bénéfique pour son avenir, même si vous laissez filer un client à court terme.

Le risque de nuire à votre image à moyen terme

Dans les faits, il n’existe pas de recettes miracles qui permettent aux concurrents de brader leurs prestations ou services. Bien souvent, soit ils ne savent pas calculer leurs marges, soit ils jouent sur la qualité de leurs services, et notamment en utilisant des fournitures ou de la main-d’œuvre moins chères, pour pouvoir proposer des prix plus bas.

Ils ne vendent donc pas la qualité dans leurs prestations. Par exemple, dans le secteur du bâtiment : pour un ravalement par exemple, il arrive parfois que le crépi utilisé sur certains chantiers perde de son étanchéité ou se disloque très rapidement, du fait de la qualité insuffisante du produit. Il n’est pas rare, dans ce genre de cas, que le client, qui avait évincé votre proposition, revienne vers vous pour faire appel à vos services. Sur le moyen terme, des prestations ou services de qualité moindres ne peuvent que nuire à l’image de votre entreprise.

Un risque à ne pas prendre  à long terme

Il va sans dire qu’une entreprise proposant des prix qui ne sont pas en mesure de satisfaire à un niveau de qualité suffisant, perdra très rapidement des clients, avec parfois même des cas conflictuels pouvant aller jusque devant les tribunaux. En mettant en péril ses prestations ou services, elle met en péril son avenir. Malheureusement, de nombreux entrepreneurs sont dans cette situation et doivent fermer leur société à plus ou moins long terme, et parfois avec des dettes. Pour éviter d’en arriver à ce constat d’échec, il convient de vous faire accompagner par un professionnel, qui pourra vous aider à établir votre seuil de rentabilité et vous informer sur les aides auxquelles vous pouvez prétendre en cas de difficultés financières.

La solution, savoir vendre son prix

Votre principal atout, face à un client qui vous demande de baisser votre prix, est de savoir le vendre. En effet, même si le prix est un critère de décision important pour les clients, ils portent un regard de plus en plus attentif à la qualité des prestations ou services. En tant que chef d’entreprise, vous êtes un multi-spécialiste, à la fois technicien, gestionnaire, manager ou encore commercial, et vous devez, à ce titre, avoir établi votre argumentaire de vente.

Votre approche commerciale doit intégrer cette notion de prix, que vous justifiez auprès de votre client par votre professionnalisme. Ce concept est primordial, il garantit de votre technicité et de votre expertise, et de la rigueur et de la qualité que vous apportez à vos prestations ou services. Laissez donc à vos concurrents cette guerre des prix, et différenciez-vous avec des prestations ou services au juste prix valorisés par vos compétences et votre culture du résultat. N’hésitez pas également à vous faire accompagner pour affiner votre argumentaire commercial, par le biais de la formation par exemple.

Le pacte d’associés une boussole face aux tempêtes et imprévus !

Dans les moments de turbulences comme celui de la pandémie et ses conséquences économiques, il est plus d’un entrepreneur qui se voit contraint de regarder avec attention le pacte d’associés et qui regrette de ne pas avoir envisagé les situations difficiles qui font que le pacte d’associés ne répond pas au besoin actuel. Zoom sur ce pacte d’associés pour qu’il devienne pour vous un précieux soutien en cas d’intempéries.

Le pacte d’associés : passage obligé

« C’est bon, nous sommes meilleurs amis depuis le collège, nous savons que nous resterons soudés dans cette entreprise quoi qu’il arrive, pas besoin donc de faire un pacte d’associés ! ». Savez-vous que c’est par cette simple petite phrase qu’ont démarré bien des galères inextricables menant à la liquidation d’une entreprise et à la fin d’une amitié, qui paraissait pourtant si solide ? Pour ne pas connaître les mêmes problèmes que ces entrepreneurs qui militent désormais farouchement en faveur du pacte d’associés, prenez les devants et rédigez un texte précis, balayant tous les scénarii possibles. Maître Éric Kopelman, avocat associé du cabinet d’affaires Kopelman & Seletzky, explique que le pacte d’associé « a pour vocation de régir les relations entre associés et est d’autant plus important dans le cas d’une association dans laquelle les fondateurs se sont partagés le capital à 50/50.

Quels mécanismes pour sortir de l’impasse ?

Le pacte d’associés peut stipuler des mécanismes de sortie permettant d’éviter la paralysie lorsque les deux associés ont d’importantes divergences de vue et que la situation se trouve de fait bloquée. ». L’avocat précise : « Lorsque l’on crée une entreprise, il est fréquent que l’apport en capital soit faible. Les associés se disent qu’au pire, ils perdront simplement leur mise de départ. Or, ce qu’ils ne savent pas c’est que, la plupart du temps, les soucis arrivent quand le projet commence à bien fonctionner. » Pour illustrer cela, il cite l’exemple d’une jeune entreprise faisant face à une situation de blocage très délicate : la start-up se développe bien, à tel point qu’un grand groupe la sollicite pour la racheter. L’un des associés, désireux d’encaisser un gros chèque et de passer à une autre étape de sa vie professionnelle, est déterminé à vendre l’entreprise.

L’autre associé, pour sa part, est très attaché à son entreprise et à l’indépendance de celle-ci. Il n’accepte donc pas de céder sa société. Les deux associés se trouvent face à une situation très complexe… Celle-ci aurait pu être évitée s’ils avaient dès le départ prévu des clauses relatives à ce type de problématique dans un pacte d’associés. Maître Kopelman conclut : « Le risque qu’encourent les deux associés aujourd’hui, s’ils n’arrivent pas à dépasser cette crise, est la paralysie et in fine la dissolution pure et simple de l’entreprise. ». Dommage pour une jeune entreprise promise à un fort développement…

Les clauses à ne pas oublier

Le pacte d’associés doit être le plus complet possible. Certaines clauses sont des classiques à ne surtout pas oublier dans la rédaction du pacte d’associés pour protéger à la fois les fondateurs, mais aussi et surtout l’entreprise. La clause de non-concurrence est prévue pour empêcher un des associés de quitter l’entreprise pour monter un projet concurrent. La clause de préemption prévoit qu’un associé pourra acquérir en priorité des actions qu’un autre associé projetterait de céder à un tiers.

Enfin, la clause d’agrément permet de contrôler l’actionnariat d’une société en soumettant les cessions d’actions à l’agrément des actionnaires en place. Par exemple, si un nouvel associé souhaite entrer au capital, il doit pour cela bénéficier de l’agrément des autres actionnaires. La clause d’inaliénabilité prévoit, sur une période donnée, l’engagement d’un des associés de ne pas céder ses actions. La clause dite « de la roulette russe » permet à un actionnaire qui souhaite vendre ses actions à un autre actionnaire d’en fixer le prix de vente. Si ce dernier refuse, le vendeur devra acheter ses actions au prix proposé et deviendra alors acquéreur de nouveaux titres.

Bien définir le territoire de chacun

La clé de la réussite d’une association ? Faire en sorte que les associés ne se marchent pas sur les pieds ! Définir très clairement des zones de responsabilité correspondant aux aptitudes de chacun des associés est le B.a.-ba de la bonne gestion d’une association. En clair, si un des associés se charge du développement du produit par exemple, les autres associés pourront donner leur avis, mais ils ne seront en aucun cas les décisionnaires. Délimiter ainsi précisément le champ d’action de chacun des associés évite les disputes à répétition.

Attention donc à bien respecter la zone de compétence des autres associés et à ne pas chercher à s’imposer sur tous les pans de la société. Le secret pour y arriver : accepter de faire totalement confiance en son associé et de lâcher prise et lui laisser la main, tout en étant bien entendu au courant des actions qu’il mène. Partant de cette idée, il est pertinent de définir précisément qui sera « le patron », le décisionnaire final, dans l’entreprise. Une structure à deux patrons a en effet tendance à déstabiliser les salariés. Autre élément important : veiller à ne jamais afficher de désaccord ou se critiquer mutuellement en public, c’est-à-dire devant les salariés, clients, fournisseurs ou autres. Les associés doivent afficher une forte cohésion, sous peine de diluer ou carrément décrédibiliser le management ou le message porté par l’entreprise.

Du dialogue, encore du dialogue, toujours du dialogue !

Stress, fatigue, poids des responsabilités, peurs face à la prise de risque… les facteurs pouvant créer des tensions au sein de l’association sont multiples. Le secret pour que chaque mini-tension ou incompréhension qui commence à germer se résolve ? Le dialogue ! Celui-ci doit être franc sincère et surtout très régulier. Le dialogue reste la meilleure arme pour désamorcer des prises de bec ou des malentendus pouvant avoir à terme de lourdes conséquences.

Certains associés conseillent de faire des points réguliers en privé et, de préférence en dehors de l’entreprise, sur un terrain neutre. À travers ces échanges plus ou moins formels selon les situations, il faut apprendre à être dans une véritable écoute de l’autre, de son point de vue, de sa sensibilité. Partir dans un dialogue avec la détermination farouche de convaincre l’autre de la validité de son point de vue promet de mener invariablement à l’impasse. Attention à ne pas confondre monologue et dialogue ! Dans un dialogue digne de ce nom et véritablement constructif, pas de place à l’égo ! Faites preuve d’empathie et d’ouverture d’esprit pour appréhender l’état d’esprit de ou des autres associés, sans porter de jugement. Facile à dire, mais moins facile à faire, surtout quand il y a de lourds enjeux derrière…

Epargne salariale : déblocage anticipé

Un déblocage anticipé du plan d’épargne salariale est aujourd’hui possible pour les victimes de violences conjugales selon le décret publié au JO du 6 juin 2020.  Celui-ci actualise et précise également diverses dispositions relatives à l’épargne salariale, dont les modalités de dépôt des règlements des plans d’épargne.

Le texte crée un nouveau cas de déblocage lié à une situation de violence conjugale commise à l’encontre d’une personne par son conjoint, son concubin, son partenaire de Pacs mais également par son ancien conjoint, son ancien concubin ou son ancien partenaire de Pacs. Attention ! Ce déblocage est applicable aux demandes présentées postérieurement à son entrée en vigueur, le 7 juin 2020.

Quels justificatifs ?

Il faudra que la victime : 

  • présente une ordonnance de protection ait été délivrée par le juge aux affaires familiales au profit de l’intéressé ;
  • que les faits relèvent de l’article 180 du code pénal et donnent lieu à une alternative aux poursuites, à une composition pénale, à une information par le procureur de la République, à une saisine du tribunal correctionnel, à une mise en examen ou à une condamnation pénale, même non définitive.

A savoir !

La demande de déblocage anticipé doit être présentée dans un délai de 6 mois à compter de la survenance du fait générateur. Ce nouveau cas de déblocage peut être sollicité à tout momen

A savoir 

L’épargne salariale , Kesako ?

L’épargne salariale permet à la fois de fidéliser et motiver vos équipes en les impliquant directement aux résultats de la société mais aussi de bénéficier de certains avantages fiscaux et sociaux non-négligeables en tant que chef d’entreprise.

Qui est concerné par ce dispositif ?

Le plan d’épargne salariale concerne toutes les entreprises à partir d’1 salarié. Il s’applique à tous les secteurs et à toutes les formes d’entreprises (SA, Entreprises individuelles, professions libérales, GIE, SARL….). Par ailleurs, tous les salariés en bénéficient, qu’ils soient en CDD, CDI. Seule une durée minimale d’ancienneté, qui ne doit en aucun cas être supérieure à trois mois, peut être exigée dans l’accord. Le dirigeant peut aussi épargner si l’effectif de la société n’excède pas 250 personnes et qu’il se définit comme employeur de main d’œuvre.

Comment ça marche ?

Si vous avez décidé de mettre en place une épargne salariale, chacun d’eux peut percevoir une part sur les résultats de l’entreprise (intéressement) ou des bénéfices (participation). Notamment, les sommes attribuées peuvent, au choix du salarié, lui être versées directement ou être déposées sur un plan d’épargne salariale. Les modalités de cette dernière sont préétablies par un accord conclu entre vous et vos salariés (et à la demande du salarié). Cependant, dans le cas du PEE, si aucune entente n’est trouvée entre les deux parties, vous pourrez l’instaurer de manière unilatérale. Il existe deux sortes d’épargne salariale : le Plan d’épargne d’entreprise (PEE) qui est un dispositif collectif permettant d’épargner au sein de l’entreprise et le PERCO.

Dans le premier cas, les cotisations ne sont accessibles qu’au bout de 5 ans sauf dans le cas d’un déblocage anticipé concernant certains cas particuliers (mariage naissance, surendettement, décès, ou divorce) ou si votre employé a précisé au préalable de percevoir la somme dans l’immédiat. Pour le PERCO (plan d’épargne pour la retraite collectif), il représente un investissement au profit de vos salariés pour constituer une épargne-retraite. Celle-ci ne sera disponible que lors du départ à la retraite sauf dans certains cas où il peut être perçu avant (surendettement, invalidité ou de décès). À noter que les plans d’épargne PEI et PERCOI suivent le même principe sauf qu’il s’agit d’investissements entre plusieurs entreprises.

Les différentes possibilités pour alimenter l’épargne de vos salariés. 

Vous pouvez proposer à vos salariés différents moyens d’alimenter leur épargne salariale.

La participation 

Doit être prévue au préalable par un accord qui doit être validé par les 2/3 des salariés. Ce dispositif est facultatif sauf si votre entreprise atteint un effectif de 50 salariés et plus, où dans ce cas, il devient obligatoire. Selon l’accord qui a été défini au préalable, soit vos salariés perçoivent tous la même prime, soit la somme est déterminée en fonction de leur salaire brut et du temps passé dans l’entreprise.

L’intéressement 

Est une prime versée par l’entreprise à vos salariés et calculée selon une formule liée à la performance ou aux résultats de l’entreprise. En outre, le montant global de l’intéressement ne peut excéder 20 % de la totalité des salaires bruts versés. De manière individuelle il ne peut dépasser 50 % du plafond annuel de la Sécurité sociale, ce qui correspond pour 2020 41 136 € soit 20 568 €.

L’abondement

En tant qu’employeur, vous pouvez décider d’abonder les sommes investies sur les plans d’épargne salariale de vos salariés. Le plafond des versements représente 8 % du plafond de la Sécurité sociale dans cas du PEE. Cela correspond à la somme de 3 290,88 € € et 16 % du plafond de la Sécurité sociale pour le Perco, soit 6 581,76 € par salarié.

Pourquoi opter pour l’épargne salariale ?

L’épargne salariale comporte certains avantages fiscaux et/ou sociaux non-négligeables pour votre société. La mise en place de la prime de participation vous permet d’être exonéré de taxes sur les salaires et la somme prévue pour la participation est déductible de l’impôt sur les sociétés ou sur le revenu. Dans le cas où vous proposez à vos salariés la prime d’intéressement, elle est déductible du bénéfice imposable de l’entreprise et vous êtes exonéré des taxes sur les salaires et des charges patronales. Concernant l’abondement, il est également déductible des impôts, mais est soumis au régime de la CSG et de la CRDS.

L’obligation d’information du dirigeant

En tant que dirigeant, vous avez l’obligation de communiquer sur les différents plans d’épargne, mais aussi sur les différentes possibilités de gestion des investissements au sein de votre entreprise (participation, intéressement…) Chaque employé doit bénéficier d’un livret d’épargne salariale et connaître les différents accords et règlements mis en place, ainsi que leur évolution. En cas de non-respect de cette obligation d’information, vous serez tenu pour responsable des préjudices encourus sur vos salariés.

Quelles sont les raisons de déblocage de PEE, de PEG, de PEI

Il est possible d’obtenir le remboursement de son épargne salariale placée sur un PEE ou un dispositif d’épargne salariale assimilé (PEG, plan d’épargne groupe, et PEI, plan d’épargne interentreprise) avant la période légale de blocage de 5 ans

  • mariage du bénéficiaire ;
  • conclusion d’un Pacs (pacte civil de solidarité) par le bénéficiaire
  • naissance ou adoption d’un 3ème enfant, d’un 4ème enfant, etc.
  • divorce (sous conditions)
  • rupture de Pacs (sous conditions)
  • séparation (sous conditions)
  • invalidité du bénéficiaire (sous conditions)
  • invalidité du conjoint, du partenaire de Pacs, d’un enfant (sous conditions)
  • décès de l’épargnant
  • décès du conjoint ou du partenaire de Pacs
  • cessation du contrat de travail
  • création d’entreprise
  • reprise d’entreprise
  • achat immobilier (résidence principale uniquement)
  • construction de la résidence principale
  • agrandissement de la résidence principale (sous conditions)
  • travaux de remise en état de la résidence principale suite à une catastrophe naturelle
  • surendettement du bénéficiaire.

A Savoir dans le cadre de l’épidémie

Report de la date limite de versement de l’intéressement et de la participation

Dans le cadre des mesures d’urgence prises pour faire face à l’épidémie de covid-19, la date limite de versement des sommes attribuées au titre d’un régime d’intéressement ou de participation est reportée au 31 décembre 2020.

Comment font les relations presse pour capter l’attention des médias ?

Les médias sont un vecteur de communication gratuit pour les entreprises. Avec un article, vous pouvez attirer un nombre considérable de lecteurs. Oui mais l’enjeu est complexe car les journalistes recherchent avant tout l’information qui va âtre lue par le plus grand nombre et non pas par un petit comité. Il faut donc que celle-ci soit digne d’intérêt et qu’elle corresponde à ses lecteurs. Ils savent vite discerner par expérience ce qui est susceptible d’intéresser leur lectorat ou leurs auditeurs. Chaque jour, ils reçoivent un nombre considérable d’e-mail et leur intérêt est capté par l’objet.

Les médias ne répondent pas à vos communiqués de presse ? Vous avez l’impression d’être ignoré malgré votre produit qui, selon vous, révolutionnera le marché ? Trouvez ici quelques conseils de la rédaction pour séduire les médias. 

Qualifier votre base de journalistes

Certaines personnes chargées des relations presse s’amusent à envoyer l’ensemble de leurs communiqués de presse sans discernement à tous les journalistes de leur base. Malheureusement, vous n’êtes pas les seuls à le faire et les journalistes que vous sollicitez reçoivent des dizaines voire des centaines d’e-mails par jour. Un conseil : arrêtez de harceler les journalistes avec des informations inutiles, qualifiez votre base ! À défaut, vous pourriez vite être relégué au stade d’expéditeurs indésirables et voir votre prochaine information pertinente finir dans les filtres anti-spams. Commencez par déterminer les médias susceptibles d’être intéressés par votre information. Identifiez les bons journalistes, ceux qui s’occupent de la rubrique qui vous intéresse. Vous pouvez trouver leurs noms dans l’ourse des journaux ou magazines, dans la rubrique contacts pour les sites Internet, ou sur ceux des émissions radio et télé. 

Personnaliser votre communiqué de presse

Pour que votre communiqué soit lu, personnalisez-le le plus possible. Il doit être rédigé en fonction des médias et des rubriques que vous ciblez. Vous pouvez ainsi très bien désigner une catégorie lorsque vous effectuez votre demande en la faisant apparaître dans l’objet de votre e-mail. Vous aiderez ainsi le journaliste à classer l’information dans le répertoire adéquat s’il n’en a pas l’utilité immédiate. Certaines catégories étant plus convoitées que d’autres, prenez-le en compte lors de votre demande. Évitez les e-mails trop longs pour ne pas décourager le journaliste à le lire entièrement. Pour alléger vos courriers électroniques, créez des liens sans toutefois en abuser. 

Trouver une information originale ou surfer sur l’actu

Quoi de mieux qu’une information originale ou liée à l’actualité pour séduire les médias ? Chacun cherche l’information qui séduira le lecteur. Trouvez en quoi le concept que vous présentez demeure insolite ou innovant. Les levées de fonds sont également des actualités appréciées de certains médias. Si vous en faites une, n’hésitez pas à la leur communiquer. Par ailleurs, prenez en compte l’actualité et réagissez sur cette dernière en utilisant les qualités du produit ou service que vous avez à présenter. La géniale créatrice de vêtements pour femmes enceintes Anne-Laure Constanza, fondatrice du site « Envie de fraises », avait ainsi surfé sur le fait que Carla Bruni était enceinte (ou non), en publiant sur le compte Facebook de l’entreprise : « Alors Carla, envie de fraises ou pas ? ». Par la suite, elle s’est offerte une publicité dans un journal afin de créer le buzz. 

Rédiger des tribunes d’expert

À défaut de posséder un média, vous pouvez valoriser votre expertise à travers eux. Résumez l’ensemble de vos domaines d’intervention au cas où les journalistes auraient besoin de vous. En se positionnant comme un expert sur de nombreux sujets, vous aurez peut-être la chance d’être interviewé et de donner votre point de vue dans la presse, mais aussi à la radio ou à la télévision. Plus chronophage que d’autres, cette technique a l’avantage de vous faire bénéficier d’un important rayonnement à l’instant T. Autre solution qui se rapproche d’une tribune d’expert : le témoignage. Certains médias publient sur leurs réseaux sociaux voire sur leurs sites des demandes de témoignages avec un type de profils prédéfinis pour des sujets qu’ils vont ou qu’ils sont en train de traiter. Abonnez-vous à ces flux d’informations et contactez-les rapidement lorsque la demande apparaît. 

Publier des sondages et des livres blancs

Quoi de plus simple que d’être à l’origine de l’information pour obtenir une médiatisation soudaine ? Publier des sondages, baromètres ou livres blancs réalisés par votre entreprise représente un moyen efficace de faire parler de votre société. Ceux-ci permettent de montrer votre expertise dans le secteur et doivent être liés à l’actualité. N’hésitez pas à être force de proposition par rapport aux problématiques professionnelles dont vous faites le constat au quotidien. Dans l’esprit des journalistes, vous deviendrez ainsi la référence de votre secteur.

Attiser la curiosité 

Recherchez l’originalité afin de vous distinguer d’autres communiqués de presse. Cela pourrait attiser la curiosité du journaliste qui serait alors susceptible d’écrire un article sur votre entreprise, ce qui vous ferait gagner en visibilité. Démarquez-vous par le ton de l’accroche, le contenu même du communiqué et surtout, soyez inventif. Certains n’hésitent pas à faire preuve d’originalité comme l’entreprise PayPlug qui avait envoyé un communiqué de presse annonçant le développement d’une nouvelle technologie, un paiement par bio-puce sous-cutanée. Accompagné de photos et de commentaires détaillés, ce communiqué finissait par dévoiler qu’il s’agissait d’un faux communiqué, qui avait pour seul objectif d’alerter les journalistes sur les nouvelles technologies de paiement qui remettent en cause l’utilisation même de la carte bancaire. 

Relancer par téléphone si l’information est très pertinente

Une fois le communiqué de presse envoyé, vous allez faire face à une étape plus difficile. Il s’agit de relancer les journalistes. Plus votre information demeure pertinente, plus votre relation avec le journaliste constitue une force et plus vos chances d’aboutir sont grandes. Une fois que vous les avez au téléphone, synthétisez votre argumentaire et dites immédiatement en quoi l’information est susceptible de les intéresser et quelle catégorie vous souhaitez viser. Évitez le blabla, car certains journalistes reçoivent de nombreux appels tous les jours… Et doivent aussi prendre le temps de rédiger des articles dans leur emploi du temps chargé ! 

Dirigeant, vous êtes le 1er vecteur de communication !

La communication avec le confinement a changé toutes les habitudes. Plus de salons, plus de conférences, plus de rencontres, plus de networking. Le confinement a obligé tout un chacun a cherché à remplacer tant bien que mal tout ce qui avait été prévu en amont. Le webinaire est devenu le nouveau moyen de communication et présente ses avantages comme ses inconvénients. Mais il faut garder à l’esprit que le premier vecteur de communication reste le dirigeant de l’entreprise lui-même particulièrement lorsqu’il s’agit de start up. Il peut par de nombreux moyens aider son entreprise à acquérir de la visibilité et de la notoriété. Il suffit de regarder les exemples des dirigeants de blabla car, d’Allo resto, du bon coin, de Wonderbox, Open Class Room, Vides Dressing , Michel Et Augustin, Restopolitan…qui multiplient les occasions de mettre en valeur leur entreprise. Oui mais comment ? 

Parlez de votre entreprise à vos amis

Une des manières de faire parler de votre entreprise consiste à en parler vous-même à vos amis. Oui mais voilà. à trop vouloir en faire ou à en parler tout le temps, vous pourriez rapidement les faire fuir. Plutôt que de les « saouler » avec votre réussite ou votre projet, le plus simple mais évident est de leur demander de vous faire des suggestions. Si vous estimez qu’elles ne sont pas adaptées à votre problématique, écoutez-les et dites que vous allez réfléchir.

Écouter les autres oblige à établir son auto-critique mais aussi à rendre vos amis acteurs de votre aventure. En agissant ainsi, ils seront conduits à parler de votre projet et à en faire une vraie publicité. Parlez de votre entreprise sur un ton humoristique. N’agissez surtout pas comme celui qui a tout compris : la modestie s’impose. Préparez une anecdote que vous pourrez ressortir à votre cercle amical afin qu’ils vivent la conversation, non comme une torture mais comme un moment d’amusement. 

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Faites des interviews

N’attendez pas que les médias s’intéressent à vous quand vous serez au sommet de la réussite. N’hésitez pas à communiquer afin de partager votre expertise, réagissez à une actualité ou tout simplement témoignez de votre expérience dans un domaine. Sollicitez les médias qui savent mettre en valeur les start-ups et qui par leur originalité attire l’attention de lecteurs.

Soyez présent dans des clubs

L’endroit où vous pouvez parler de votre entreprise sans détours : les rencontres web ! N’hésitez pas à adhérer à un club d’entrepreneurs et à participer aux événements organisés par celui-ci. Préparez votre pitch car toute intervention de votre part devra être impactante et originale. Travaillez-le bien car vous n’aurez que quelques secondes pour convaincre votre auditoire que vous êtes professionnel, sympathique et concis. Rien de plus désagréable que d’écouter une personne sans avoir compris un mot de son entreprise ou projet ou de ses idées. Quelle qu’en soit la complexité, vous devez pouvoir l’intéresser aux trois premières phrases maximum.

Si vous avez des doutes sur votre présentation, la meilleure solution est de vous entraîner devant vos amis ou par des entraînements visioconférences et de leur demander de ne pas vous faire de compassion sur la qualité de votre discours. Écrivez votre pitch et répétez-le jusqu’à le connaître sur le bout des doigts. N’oubliez pas que quand vous vous présentez, il est plus intéressant de dire ce que vous apportez comme solution à un problème et non de vous égarer dans des explications incompréhensibles.

Ecrivez un blog personnel / un livre

Pour vous faire connaître et indirectement votre entreprise, rien ne vous empêche de créer un blog dans lequel vous partagez vos réflexions sur l’entrepreneuriat ou encore les expériences que vous vivez. Vous n’êtes bien sûr pas obligé d’écrire un billet chaque jour . Cependant, celui-ci devra être de qualité pour donner envie de vous lire. N’hésitez pas à parler de l’actualité ou à raconter vos expériences vécues dans les derniers mois voire années et les synthétiser. Sachez cependant ne pas vous engouffrer dans des déclarations que vous pourriez regretter. Autre élément vous permettant de faire parler de vous : écrire un livre. Celui-ci vous crédibilise même s’il reste parfois difficile de convaincre de vous éditer et que d’écrire un livre est chronophage !!!

Utilisez les réseaux sociaux 

Les réseaux sociaux comme Twitter et Facebook, constituent d’excellents moyens pour développer la notoriété de votre entreprise. Vous pouvez soit écrire des réflexions liées à votre aventure entrepreneuriale, soit émettre des idées sur des sujets d’actualité qui peuvent être reprises et contribuer ainsi à mettre en exergue votre marque. Les réseaux professionnels comme LinkedIn ne sont pas en reste et peuvent vous aider à établir des liens avec une cible bien identifiée et professionnelle. N’hésitez donc pas à les utiliser pour vous faire connaître de vos prospects, fournisseurs…

Faites des conférences et présentations lors des manifestations virtuelles

Les conférences représentent d’excellents moyens de faire parler de votre entreprise. Que vous soyez témoins ou conférenciers, elles vous aident à gagner en visibilité. Oui mais voilà. Seulement, une conférence réussie ne s’improvise pas. Travaillez donc votre Power Point pour éviter de faire tomber vos spectateurs dans un ennui mortel. Soyez clair ! Vos slides ne doivent pas ressembler à un livre : elles doivent être épurées au maximum et contenir uniquement vos idées fortes. On doit vous écouter et non passer son temps à vous lire. Vos slides de présentation doivent par ailleurs être cohérentes et suivre un plan logique. Établissez une charte graphique pour mettre en valeur votre société (logo de la société à chaque slide), gardez une similitude de caractères pour acquérir plus de clarté… Évitez les thèmes de base trop simples et prenez des couleurs sobres.

N’oubliez pas qu’une bonne présentation passe aussi par votre attitude : restez humble et confiant car vous devez attirer la sympathie auprès de ceux qui vous écoutent. Mais avant de vous lancer, un bon conseil : allez à des conférences et étudiez bien les interventions des conférenciers ainsi que leur présentation, regardez avec attention comment ils captent l’attention du public. Au bout de quelques conférences, vous trouverez le ton juste pour entrer vous-même dans l’arène. 

L’abonnement, une excellente opportunité de business

L’abonnement a envahi tous les secteurs grâce aux avantages notoires qu’il procure. Tous les secteurs sont impactés : que ce soit dans le domaine du transport, celui de la culture ou du sport… Bien qu’il ne soit pas récent, il ne semble pas avoir perdu de ses couleurs. Il ne date pourtant pas d’hier. Il aurait pris ses racines au 17ème siècle avec le développement de la presse écrite et de la si célèbre « La Gazette » en 1631. Selon Forbes ce marché, deviendra un marché de 220 milliards en 2022 ! 

Si vous souhaitez mettre en place au sein de votre entreprise la stratégie de l’abonnement vous devez en amont vous poser la question sur l’adaptation de ce business model aux besoins de votre entreprise. Il vous faudra prendre en considération les coûts (le prix de vente par unité actuel et les coûts de service et de production entre autres) ainsi que le portefeuille éventuel de clients.

L’abonnement sans engagement

Il est devenu le facteur clef des abonnements avec un prix d’appel et sans engagement. Dans les médias notamment, à force d’être privé de la suite passionnante d’un article, le lecteur de guerre, lassé, s’abonne. Il ne le regrette pas car il n’est plus frustré. Aujourd’hui, habitué à se servir gratuitement sur internet les lecteurs ont cependant des difficultés à s’abonner. Il faut également penser que ce business model à une tare puisque les priver de la lecture revient aussi à se priver, par exemple, des annonceurs qui regardent bien le nombre de vues. Il a connu un essor pour les clubs sportifs et bien sur les abonnements internet et mobiles … Une fois l’abonnement enclenché, la tendance du client est de rester fidèle. En effet, l’abonnement lui facilite l’accès et il peut même enregistrer ses codes pour plus avoir aucun effort à faire.

Les secteurs où l’abonnement occupe une place prépondérante 

– La musique et la vidéo en ligne (Spotify, Deezer, Netflix…)

– Les jeux vidéo 

– Les solutions informatiques pour lesquelles le mode SaaS (Software as a Service) qui évite l’achat de logiciel qui sont rapidement obsolètes 

– La culture (musées, théâtres, cinémas) 

– Les clubs de sport et de fitness qui proposent des offres d’adhésion mensuelles avec un principe de récurrence et avec différents niveaux de services 

– Le transport telle que Vélib’, trottinettes 

– Les relations humaines (Tinder, Meetic..)

– Les capsules de café 

– L’animalerie (accessoires pour vos animaux domestiques, aliments)

– L’alcool avec notamment le Petit Ballon un abonnement pour recevoir du vin chaque mois à domicile. 

Les chiffres à retenir

Pour la troisième année consécutive, Kantar dévoile son étude internationale DIMENSION, élaborée sur le principe d’un double point de vue : celui des leaders de l’industrie et celui des consommateurs qu’ils visent.  

Selon cette étude la principale raison invoquée par les consommateurs connectés pour s’inscrire à un service de télévision online est liée au contenu (« l’abonnement offre des programmes de télévision, des émissions et des films que vous ne pouvez pas obtenir ailleurs »). 51% en convenaient en 2018, et encore 48% en 2019. 

52% déclarent être abonnés à un service de télévision ou vidéo online payant.  38% avoir accès à un service d’abonnement non payant. Ainsi 59% des consommateurs connectés ont accès à un service d’abonnement TV/vidéo, qu’il soit payant ou gratuit. Dans le cas des médias audio (y compris les services de streaming musical) : 47 % déclarent s’abonner parce que le service est adapté à leurs besoins ; 36 % déclarent que le fait d’éviter les publicités est un facteur déterminant.  39 % des abonnés à des journaux évoquent la personnalisation.  En ce qui concerne les magazines, 43 % citent la personnalisation.

Les points du système d’abonnement 

Pour l’entreprise, l’anticipation de la demande client et la gestion de trésorerie (notamment pour les abonnements avec engagement) sont véritablement les points forts de ce modèle économique. Aussi, il génère un flux régulier et prévisible d’affaires, confortable pour l’entreprise puisque cela lui permet une meilleure gestion prévisionnelle. 

Du point du vue du consommateur, l’abonnement est un modèle particulièrement pratique et simple d’utilisation : on paye une somme tous les mois en  contrepartie d’un service ou produit que l’on utilise selon ses besoins. 

En un clic, je peux résilier : surtout le jour où le bénéficiaire n’est plus satisfait, un clic suffit pour résilier. 

L’abonnement est particulièrement pratique et simple d’utilisation ; on paye une somme souvent modeste par mois, et on reçoit un bien ou service qu’on va utiliser et en un clic on peut résilier ! Les avantages pour une entreprise sont la fidélisation du consommateur et la  sécurité financière  due aux paiements récurrents mais aussi la réduction du nombre d’impayés et ne n’est pas une gageure car elle évite les relances).

Réagir face à l’arrivée d’un nouveau concurrent

La fin du confinement ne signifie pas la disparition des concurrents. Bien au contraire vous allez certainement voir l’arrivée d’une nouvelle entreprise dans votre secteur d’activité implique de prendre certaines mesures afin de ne pas vous laisser dépasser. Quand le circonstances changent c’est le moment de faire preuve de créativité et de laisser au placard les habitudes et stratégies de routine. Innover, surtout la force c’est au contraire de relever le challenge. Un nouveau concurrent sur un marché propose en général un produit ou service déjà existant à moindre prix et parfois plus performant. Comment surmonter cette étape ? Quelques clés.

Identifiez la menace. 

Une nouvelle entreprise dans le même secteur d’activité que le vôtre ne constitue pas forcément un concurrent. Posez-vous les bonnes questions afin de savoir si oui ou non ce nouvel entrant est susceptible de vous faire de l’ombre. Propose-t-il un produit innovant ? Affiche-t-il des prix imbattables ? à quelle cible s’adresse-t-il ? De quelle qualité sont ses produits ? Jaugez l’engouement du public – en particulier vos clients – pour cette offre naissante.

Prenez du recul sur votre activité.

Examinez en profondeur vos résultats, votre cote de popularité, vos tarifs, la qualité de vos produits ou services… L’objectif consiste à se demander quelles sont les clés de réussite de votre entreprise ? Quelles sont les causes de son bon fonctionnement ? Pour les analyser, procédez à une enquête de satisfaction auprès de vos clients, réalisez une étude de marché ou un audit interne. Vous recevrez sûrement des informations essentielles sur votre entreprise qui vous aideront à améliorer votre business. 

(Re) Déterminez votre avantage.

Comparez votre entreprise au marché déjà existant. Attardez-vous sur les concurrents qui réalisent de meilleurs résultats et essayez de déterminer s’ils les doivent à leur ancienneté, leurs prix ou à la qualité de leurs produits et cherchez pourquoi vos clients vous préfèrent à vos concurrents. De manière générale, un schéma concurrentiel tend à se répéter au sein d’un même secteur : vos clients vous sont fidèles car ils vous apprécient. Les chances pour qu’ils se tournent vers vos concurrents restent donc minimes. En revanche s’ils n’apprécient que vos offres, un produit à meilleur prix ou de meilleure qualité pourra suffire à les convaincre.

N’agissez que si nécessaire.

L’arrivée d’un concurrent sur son secteur n’induit pas nécessairement un passage à l’action. Si vous estimez que cette jeune entreprise ne représente pas de réel danger pour vous, ou qu’elle semble incapable de tenir sur le long terme, il paraît préférable pour vous de continuer à agir comme à votre habitude. Dans ce cas de figure, l’exemple le plus parlant reste Coca-Cola, resté totalement neutre au moment de l’arrivée de Virgin Cola. La stratégie s’est clairement révélée payante étant donné que ce dernier n’a jamais réussi à convaincre les adeptes de la célèbre boisson gazeuse américaine et a été contraint d’arrêter la production.

Élargissez votre gamme.

Contrairement aux apparences, baisser ses prix n’est pas forcément une bonne stratégie face à l’émergence d’un jeune rival. Le premier danger reste que votre concurrent peut appliquer lui aussi cette même stratégie, ce qui n’aura pour simple effet que de diminuer votre chiffre d’affaires. Pensez également qu’une réduction de vos tarifs implique de réaliser plus de ventes si vous ne voulez pas voir votre chiffre d’affaires baisser. Cela nécessitera alors plus de travail au sein de votre entreprise. À un moment où vous devez vous concentrer sur l’arrivée de ce nouveau concurrent, cela n’est peut-être pas la meilleure idée… Élargissez plutôt votre palette de produits ! Votre nouveau rival n’étant pas encore bien installé sur le marché, il devra se concentrer sur une gamme précise, ce qui vous permet de proposer des produits et services plus variés, de meilleure qualité et à un tarif plus élevé. 

Servez-vous de votre expérience.

Votre ancienneté sur le marché vous apporte des avantages non négligeables que vous devez utiliser. Pour s’imposer, vos concurrents ne disposent ni de vos moyens, ni de votre expérience et ni de votre réseau ! De cette manière, vous pouvez adopter une stratégie offensive, grâce à des offres promotionnelles par exemple ou via des nouveaux partenariats établis avec des membres de votre réseau. L’objectif consiste à éclipser votre concurrent sur le marché. Votre expérience vous permettra également de vous adapter aux demandes des clients plus rapidement que le nouvel entrant. 

Adaptez votre offre marketing. 

Pour convaincre vos clients de vous rester fidèles, vous pouvez recourir au « marketing de combat ». De manière simple, cette stratégie consiste à ne plus seulement montrer que vos produits ou services sont de bonne qualité, mais à prouver à quel point ils sont mieux que ceux de vos concurrents. L’un des exemples de « Warketing » les plus connus reste la mise en place par le groupe Leclerc de la plateforme Quiestlemoinscher.com, dont l’objet est de comparer les prix des produits dans les différentes enseignes de grandes surfaces. Une stratégie offensive dont le but demeure clairement de montrer sa supériorité face aux autres géants du secteur comme Carrefour. Citer directement un concurrent ne paraît cependant pas adapté aux petites entreprises. Il semble plus avisé de montrer la supériorité de vos produits par rapport au marché en général.

Avant tout, anticipez !

N’oubliez pas que le point le plus important pour faire face à un nouveau concurrent demeure l’anticipation. N’attendez pas l’arrivée d’une nouvelle entreprise sur le marché pour fidéliser vos clients et vous maintenir à la pointe de l’innovation dans votre domaine ! Anticipez, c’est le maître-mot !

Quel grand entrepreneur français êtes-vous

Il est vrai que lorsque l’on crée en entreprise, on cherche à s’inspirer de ceux qui ont réussi. Et cela s’avère une idée judicieuse car au travers de leur histoire, de leurs actions face aux difficultés, de leurs choix stratégique, de leurs capacités à profiter des opportunités, il est possible de développer une stratégie innovante. Au regard des valeurs actuelles et des circonstances, on peut décider de choisir une nouvelle ligne pour construire l’avenir de demain. Quel grand entrepreneur français êtes-vous ?

Aliza Jabes, fondatrice de Nuxe

La passionnée. Bien plus qu’une businesswoman, vous êtes « l’entrepreneure totale ». Dotée de diplômes solides, votre ambition n’a pas de limites, et vous ne vous voyez pas reléguée à un simple rôle national. Votre produit va marcher, c’est une certitude, et va surtout courir pour enjamber toutes les frontières ! Vous êtes autant saluée pour votre réussite que pour votre « parcours », qui ne souffre d’aucune tâche. La patience, la lucidité et l’esprit de famille vous permettent de tout gravir. Ce que vous construisez n’a pas pour but de vous rendre riche, mais épanouie. Vous vous musclez les épaules pour arriver à tout endosser : chef d’entreprise, épouse, mère… et modèle. Un atout majeur : vous êtes passionnée par votre domaine d’activité. Votre réelle envie de satisfaire le marché ressemble presque à un besoin d’aider son prochain. C’est exagéré ? à peine. Vous vous adressez à ceux qui vous ressemblent, et ça marche. What else ? 

Marc Simoncini, fondateur de Meetic

L’entrepreneur-né. L’entrepreneuriat, vous ne l’avez pas appris, vous l’avez dans le sang. Tout jeune, vous lancez votre première boîte, et depuis, plus personne ne vous arrête. Le virus du challenge vous pousse à toucher à tout, et vous entreprenez dans des secteurs d’activité variés. Vous devenez un leader européen. Mais, insatiable et fort de votre réussite, vous vous muez en investisseur. En tant que Business Angel, vous vous intéressez à de nombreuses petites entreprises pour les faire réussir. Vous trempez un peu partout, et votre soif ne s’épuisera pas. Bref, vous êtes un caméléon qui a faim. Votre compte en banque vous permettrait de passer le reste de vos jours dans un transat sur une plage exotique, avec un rhum coco à la main. Mais vous préférez vous lever à l’aube pour voir l’une de vos entreprises grandir. En gros, vous profitez de votre argent en le réinvestissant. Enfin, et ceci explique peut-être cela, vous êtes un travailleur acharné. 20 h par jour depuis de nombreuses (et courtes) années. Et personne ne miserait 1 € sur votre retraite…

Pierre Kosciusko-Morizet, cofondateur de PriceMinister

Le roux ténébreux. Le contexte dans lequel vous avez grandi est particulier : des entrepreneurs ou des politiques, habitués au succès. Et vous apprenez très vite… Déjà sur les bancs de la fac, vous aviez conscience des enjeux et des difficultés du monde moderne, ce qui vous permet de choisir un secteur d’activité, d’y réussir, et de vous y impliquer à fond (associatif, investissement, etc.). Vous êtes habitué au bruit et aux flashs. Comme Batman, vous avez donc appris à avancer dans l’ombre. Pas un poil de travers, vous incarnez le politiquement correct.
Vous vous confectionnez une image lisse mais barbue, et créez un personnage qui ne ressemble pas à un chef d’entreprise. Mais, tout comme votre image, votre babil est léché : vous êtes un terrible rhéteur. Cette aisance à l’oral fait aussi de vous un jeune patron charismatique. Replié, discret, mais percutant ; vous êtes l’Homme qui pèse chacun de ses mots.

Martin Bouygues, PDG de Bouygues

Le Big Boss. Si vous êtes devenu entrepreneur, c’est pour devenir grand et incroyablement riche (on va dire dans le top 10 des fortunes du pays). Comme au bon vieux temps, vous le devez à votre sueur versée. Vous ne correspondez pas à l’opportuniste actuel, qui sent les bons coups et qui se lance sans avoir de Business Model. Vous, vous êtes plutôt une force de travail, qui n’a pas eu besoin d’accumuler les diplômes, mais qui est né avec un marché. Autodidacte, vous avez été PDG très jeune, et le CAC 40 ne vous a pas fait peur du tout. Vous possédez toutes les qualités inhérentes à la direction : capacité à déléguer, écoute, curiosité et adaptabilité. Mais votre talon d’Achille est aussi propre à votre espèce : vous exécrez l’exposition médiatique, ce qui peut vous rendre fragile en période de surexposition. Vous restez tout de même le dinosaure qui finira par enterrer tout le monde.

Jacques-Antoine Granjon, cofondateur de vente-privee.com

L’artiste. « Oh, lui, c’est un vrai personnage ! » s’expriment les gens autour de vous. Votre look, kitsch et assumé impressionne. Mais dans le fond, vous êtes un commercial naturel accompli, et faites du plus vieux métier du monde quelque chose de résolument novateur. En utilisant sciemment les possibilités libérées par Internet, vous vendez, vendez, vendez… Comme JAG, vous forgez votre propre mythe, pour qu’on ne puisse distinguer la frontière entre entreprise et homme.
Des coups de communication complètement décalés vous remettent régulièrement en lumière, et vous aimez vous entourer de personnalités. Ces caractéristiques offrent une sympathie publique à votre société. Fort de votre statut de « géant du web », vous vous permettez d’investir dans tout ce qui vous intéresse (ou qui vous amuse). Ce qui est sûr, c’est que vous marquerez votre (demi) siècle.

Xavier Niel, fondateur de free

Le requin décontract’. Vous avez grandi avec Internet, en observant attentivement l’explosion progressive de la bulle. Dès l’adolescence, vous trouviez des possibilités avec le Minitel et vos premiers salaires en proviennent. Votre boîte, révolutionnaire et futuriste, est le reflet de votre propre vision d’Internet. On vous dit philanthrope car vous permettez d’augmenter le pouvoir d’achat des Français. Et ils vous le rendent bien… Amis avec tous les autres grands patrons d’Internet, vous appartenez à cette nouvelle génération qui déteste les cravates. Ce qui vous rend d’autant plus sympathique. Très novateur, très à l’aise, presque nonchalant, vous restez un ogre qui avale tout sur son passage. Vous êtes impliqué dans de nombreux organismes et projets, et votre vision à 360° vous pousse à investir partout. Vous devenez influent, ce qui vous apporte toutes sortes de détracteurs. Mais cela ne semble pas vous freiner !

Comment pallier le départ prochain d’un salarié ?

De nombreuses entreprises se sépareront de certains de leurs salariés avec l’impact du coronavirus. Il vous faut parfois préparer psychologiquement, du le départ prochain d’un salarié, chacun à voir la voilure se restreindre et à devoir assumer de nouvelles fonctions. Zoom sur quelques préparatifs que vous devez mettre en place.

Bien redéfinir la nouvelle répartition de tâches

L’une des premières choses que vous devez préparer reste la réorganisation des tâches et ceci très amont afin que chacun puisse bénéficier du savoir-faire du partant. Il s’agit donc de bien préparer quelle personne va récupérer chaque mission et de définir comment va se dérouler la transmission du savoir-faire. Vous ne pouvez pas vous y prendre au hasard et vous devez éviter de créer la panique sur les destinataires de la délégation. Dans l’idéal, vous devez proposer et si possible faire en sorte que cette délégation soit désirée par celui qui assumera la tâche. Une bonne manière reste de demander qui voudra l’assumer et de bien expliquer le contexte de la séparation. Il faut savoir que les salariés peuvent se parler et que les rumeurs les plus délétères peuvent courir.

Faire créer des fiches de procédure

Qui dit départ dit transmission de savoir. Pour être sûr de ne rien perdre en termes d’information, il vous faudra peut-être réaliser la tâche vous-même ou demander la création de fiches de procédure spécialement destinées à apprendre à réaliser une tâche ou l’ensemble des étapes. N’hésitez pas à demander à votre salarié partant de décrire l’ensemble de ses fonctions et de créer des fiches de procédure. Faites-le le plus en amont possible et si nécessaire quand vous n’en aurez pas besoin, ce qui vous évitera de vous heurter à la mauvaise volonté du partant qui peut vouloir faire de la rétention d’information.

Vous pouvez aussi les mettre en place en demandant à l’ensemble des collaborateurs de s’y consacrer pour éviter un phénomène de suspicion car elles peuvent avoir bien d’autres utilités que pour un départ notamment pour palier des absences notamment en cas de deuxième vague ou encore de confinement forcé d’un de vos collaborateurs.

Informer et prévoir le pot de départ

Si cela peut paraître évident, il vous faudra informer dès que vous le pouvez du départ du collaborateur, en expliquer les raisons et montrer votre attachement à celui-ci surtout s’il s’agit d’une séparation qui est devenue obligatoire. Vous devez clairement montrer que la porte reste ouverte pour la suite même si vos chemins se séparent notamment en cas de rupture non réellement désirée. Il s’agit de faire en sorte que vos collaborateurs ne sentent pas la personne éjectée. Attention à ne pas mettre trop de moyens ou à le faire de votre poche afin que les collaborateurs ne se disent pas que vous auriez pu investir l’argent ailleurs. Il s’agit de remercier pour les années à collaborer ensemble. 

Convenir avec votre salarié de la manière de gérer la fin

Les départs créent toujours un certain traumatisme dans les équipes. Il est courant de se laisser submergé par l’émotion car cette situation crée par nature un changement. Pour que le départ se déroule dans de bonnes conditions, il reste conseillé de convenir avec votre salarié d’établir un planning de transmission surtout s’il y a une transmission de savoir-faire. Vous devrez voir notamment l’ambiance car elle peut vite devenir délétère si votre salarié n’apprécie pas le fait que vouliez le faire partir de l’entreprise. Les situations conflictuelles sont donc à gérer avec le plus grand soin pour ne pas qu’elles empiètent sur le moral des troupes et contaminent l’ensemble de l’entreprise. Un discours commun peut parfois s’avérer nécessaire. 

Recruter le plus en amont possible 

Il se peut que le départ de votre salarié ait d’autres motifs que les conséquences économiques du coronavirus et recruter le plus en amont possible peut s’avérer nécessaire. Attention tout de même à ne pas faire en sorte que le nouvel arrivant soit contaminé par les critiques de son prédécesseur qui lors de la transmission de savoir-faire retiendra les informations négatives que peut lui glisser ce dernier alors qu’il n’apprécie pas la séparation. N’hésitez pas à lui demander ses interrogations et à vous enquérir de ses journées de travail en y portant une particulière attention. Si vous ne devez pas forcément dévoiler les motifs du départ, vous pouvez parfaitement répondre aux questions qu’il vous posera. 

Ne pas oublier qu’il y a de l’humain

Qui dit séparation dit gestion de l’humain. Vous devez au maximum limiter l’impact de la séparation et ressentir comment chacun va se comporter et le niveau d’encadrement dont il aura besoin. Si vous pouvez vous dire que cela passera, n’oubliez pas que vos salariés ne sont pas des automates et qu’ils peuvent ressentir le besoin d’être rassuré. Prendre du temps pour chacun ne représente en rien une perte de temps donc n’hésitez pas à aller vous enquérir de la santé de chacun et à prendre le ressenti.