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5 étapes incontournables que tout entrepreneur traverse une fois dans sa vie

Selon l’enquête réalisée par  Harris Interactive en ligne du 29 mai au 2 juin 2020 auprès  de 2 713 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. 4 Français sur 5 estiment que la création d’entreprise est risquée (dont 46% de « oui, tout à fait »), un aspect traditionnellement associé à l’entrepreneuriat mais qui se trouve renforcé avec la crise actuelle.

Si vous êtes chef d’entreprise, vous savez que développer celle-ci comporte des étapes plus difficiles, que vous n’aviez peut-être pas prévues dans votre plan initial et d’ailleurs la pandémie a rappelé à plus d’une personne que la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Zoom sur quelques étapes.

L’étape de la recherche des fonds

Si vous ne possédez pas au démarrage un certain capital à investir dans votre entreprise, vous devrez vous tourner vers des prêteurs (banques ou autres). Même si la plupart des entrepreneurs arrivent à effectuer cette démarche avec succès, il faut savoir que le taux de rejet de prêt bancaire (en France) est actuellement de 2,3% pour les hommes et de 4,3% pour les femmes ; dans ce cas, tournez-vous vers d’autres options de financement qui s’offrent à vous.

L’étape de la surcharge de travail

Votre entreprise a trouvé sa vitesse de croisière, mais vous vous rendez compte que vous sentez fatigué et un peu dépassé par la somme de tâches à accomplir ? N’hésitez pas à déléguer certaines opérations à des personnes de confiance. En ne comptant que sur vous-même, vous épuisez plus rapidement votre capital d’énergie et ne pouvez plus donner votre 100% dans les tâches qui vous reviennent. Avec de l’aide, vous pourrez vous accorder plus de temps libre à partager en couple, avec votre famille ou vos amis.

L’étape des opérations administratives

Stabiliser une entreprise et la gérer sur le plan administratif ne se résument pas à de la simple comptabilité. Vous devez également vous tenir à jour en ce qui concerne votre créneau de marché, vous impliquer dans les opérations de communication et de marketing, et en suivre l’actualité juridique (nouvelles, lois, statut). D’où l’importance de poser de solides structures organisationnelles à votre entreprise, et de savoir vous entourer de professionnels.

L’étape du choix : faire ou non appel à des spécialistes

Pour éviter de payer des honoraires ou pour toute autre raison, plusieurs nouveaux entrepreneurs pensent pouvoir tout assumer sans consulter de spécialistes. Dans le domaine juridique, par exemple, il s’avère essentiel de rechercher les conseils avisés d’un expert spécialisé. Faire appel à des consultants peut faire en sorte que le travail soit effectué plus efficacement et plus rapidement que si vous faites tout vous-même.

L’étape de la remise en question et du doute

Tout entrepreneur vous confirmera que ce choix de vie est constitué de hauts et de bas. Même si vous possédez une détermination bien trempée et connaissez vos forces, vous n’êtes pas à l’abri d’un moment de doute, de démotivation et dans quelques cas, de découragement. Quand cela se produit, prenez le temps d’analyser la situation calmement. Par exemple, si votre clientèle baisse de plus en plus, rien de sert de paniquer et de vous lancer à la recherche de nouveaux clients ; mieux vaut trouver quelle est la cause de ce problème et y remédier. Si votre façon de procéder en affaires ne vous apporte pas de satisfaction, changez-en. Innovez !

N’oubliez jamais que si plusieurs entrepreneurs considèrent une étape difficile comme un mur, d’autres l’utiliseront comme tremplin pour aller plus haut, plus loin. Tout est une question d’attitude.

Les pires conseils pour entrepreneurs

Un adage dit ‘les conseillers ne sont pas les payeurs’ mais surtout lorsque ces conseils sont sous-tendus de préjugés. Souvent ils prennent un exemple pour justifier leur conseil mais celui-ci n’est guère l’expression d’une réflexion approfondie et ne cerne pas toutes les facettes, facteurs et critères.

Lancer une entreprise exige la mise en œuvre d’une stratégie marketing efficace. Dans la majorité des cas, les entrepreneurs demandent conseils auprès de leurs aînés ou de leurs proches pour mieux gérer leurs nouveaux projets. Les idées qu’ils reçoivent ne répondent pas forcément à leurs besoins, bien au contraire … Retour sur les pires conseils que les entrepreneurs puissent obtenir.

Copier ses concurrents

Beaucoup de personnes pensent que copier les concurrents permet à une entreprise de s’intégrer facilement au marché. Il s’agit pourtant de la principale erreur à ne pas commettre. D’ailleurs, la loi prohibe ce genre de pratique. Aussi, le système utilisé par ses concurrents ne peut pas forcément marcher pour votre entreprise. Cela n’empêche pas qu’elle peut tout à fait s’inspirer de ses concurrents. Elle doit néanmoins y ajouter sa touche personnelle afin d’assurer l’originalité de ses produits ou de ses services. C’est essentiel pour gagner la confiance et le respect des consommateurs. 

Nuire à ses concurrents pour pouvoir dominer le marché

Dans un monde où la concurrence fait rage, les professionnels sont parfois amenés à penser que tout leur est permis. Cela renvoie notamment au fait de s’attaquer à ses concurrents par l’intermédiaire des publicités. Une telle attitude ne génère qu’une image négative à l’entreprise, ainsi qu’à ses produits et services. Pour entreprendre la domination du marché, il convient de le faire de manière légale et loyale. Il faut éviter la comparaison de son produit ou service avec celui du concurrent pour éviter de lui procurer davantage de notoriété auprès des consommateurs. 

Supposer les besoins des clients

La supposition constitue l’un des principaux ennemis d’une stratégie marketing. Il faut établir une étude sérieuse de sorte à obtenir une bonne estimation en étant la plus proche possible de la réalité. Il est tout à fait possible de déterminer les principaux besoins des consommateurs en réalisant un sondage et en procédant à l’analyse du marché. Il ne faut pas se limiter à de faibles suppositions qui risquent de compromettre le succès du projet. La mise en œuvre de ces opérations permet à l’entrepreneur de prendre les meilleures décisions en vue d’assurer le succès du projet et le développement de son entreprise.

Ne pas faire appel à un expert-comptable

Cette erreur concerne principalement les entreprises dotées de budgets de fonctionnement très limités. L’entrepreneur peut être tenté de tout faire lui-même. Beaucoup de gens croient en leur capacité à assurer seul la tenue de la comptabilité de leur entreprise. Cette responsabilité requiert non seulement du temps et de l’énergie, mais surtout de la concentration étant donné que chaque opération exige un suivi minutieux. Combiner la fonction de dirigeant et celle de comptable peut générer des conséquences néfastes sur l’entreprise.

Abandonner dès les premières difficultés

La mise en œuvre d’un projet d’entreprise peut s’avérer très difficile. En cas de difficulté, l’abandon n’est pas toujours la meilleure solution. Un véritable leader sait affronter les difficultés et les adapter en les transformant en opportunités permettant à l’entreprise de rebondir. Dans la majorité des cas, le succès n’est jamais loin des difficultés. Il suffit de persévérer pour réussir. Mais afin d’éviter de persévérer en vain, il faut analyser les sources des difficultés afin de trouver facilement la solution la plus adaptée.

Comment partir d’une idée ancienne pour en faire une idée nouvelle ?

Faire du vieux avec du neuf est une tendance actuelle dans ce monde qui voudrait protéger la planète bleue de toutes les agressions qu’elle subit dont celle d’accumuler les déchets. Il en est de même des idées pour l’entreprise. Il suffit parfois d’imaginer seulement une nouvelle fonctionnalité à un produit ou bien répondre à la demande des consommateurs en supprimant les emballages inutiles, ou bien de penser aux attentes de vos clients…

Quel entrepreneur n’a pas rêvé un jour de trouver l’idée révolutionnaire qui changerait la phase du monde ? Sans avoir la prétention de devenir le prochain Steve Jobs par exemple, tout est encore possible. Il existe toujours de belles idées à voir le jour, complètement novatrices comme nous l’a prouvé Mark Zuckerberg, fondateur du réseau social Facebook au début du siècle, et comme peut nous le démontrer l’univers de la mode à chaque saison qui s’inspire des tendances du passé et les adapte à notre temps.

Analyser votre potentiel créatif

Avant toute chose, rien ne sert de chercher à recycler les idées du passé pour en faire naître de nouvelles sans une bonne dose de créativité. En effet, même si les entrepreneurs possèdent par nature cette caractéristique, ils ne l’ont pas tous dans les mêmes proportions, auquel cas ils pourront s’entourer de personnes plus ouvertes qu’eux en la matière, voire suivre des cours pour développer leurs facultés à innover. Ce potentiel créatif repose ainsi sur une bonne dose d’observation sur le monde, proche et plus lointain, en termes d’environnement économique, politique, socioculturel ou encore technologique par exemple.

En effet, une idée peut provenir d’un pays voisin, mais ne pas encore avoir fait l’objet d’une commercialisation sur votre territoire. Elle peut aussi émaner de tendances d’antan voire ancestrales, comme avec la production de masse des recettes de grands-mères et des huiles essentielles. De plus, cette faculté s’appuie également sur une forte ouverture d’esprit pour oser émettre des idées sans trop y réfléchir avant d’une part, et les analyser ensuite sans jugement trop hâtif d’autre part.

Faire émerger une nouvelle idée à partir du passé

Vous avez ainsi l’âme d’un entrepreneur et de la créativité à revendre mais pas d’idées qui vous paraissent suffisamment différentes et novatrices ? Avez-vous essayé l’une des méthodes suivantes ? En effet, différentes techniques peuvent vous aider à faire émerger votre futur concept. La première méthode consiste à prendre un produit ou un service existant, d’en lister toutes les caractéristiques (composantes, technologie, taille, couleurs, matières…) puis de laisser libre cours à toutes vos pensées et de noter tous les éléments que vous pouvez ajouter, supprimer ou encore modifier par exemple. La seconde ensuite, consiste en une association ou combinaison de concepts, là encore des produits ou services déjà sur le marché, pour aboutir à un projet novateur comme a pu l’être l’e-book dernièrement, la première boutique casher bio ou le premier restaurant d’hamburgers haut de gamme.

Réaliser son brainstorming

Le brainstorming, également connu sous le terme de remue-méninges, est certainement l’outil le plus employé. Celui-ci peut être opéré seul ou à plusieurs. Pour ce faire, toutes les idées qui viennent sont bonnes à inscrire par écrit, même les plus surréalistes, car l’important n’est pas la qualité des pensées à l’instant T mais bien la quantité d’idées. Pour trouver votre inspiration, écoutez-vous, c’est-à-dire recherchez en vous sur la base de vos centres d’intérêts, des informations que vous avez pu entendre ou lire, en provenance de différentes sources extérieures comme votre entourage et les médias par exemple. Les groupes de parole, aussi dits groupes d’idées, fonctionnent également sur le même principe.

Analyser le potentiel de votre idée

Une fois votre idée trouvée, il convient toutefois de vous assurer de son potentiel de séduction, car si effectivement elle vous plaît, il n’en est pas moins impossible qu’elle ne rencontre par le succès escompté auprès des consommateurs. Interrogez-vous ainsi de savoir si elle répondra à un besoin mais surtout à une demande, si elle sera rentable, et enfin si vous avez les moyens humains et financiers suffisants pour la développer.

Comment devenir créatif quand on ne l’est pas de nature ?

Des idées originales, tout entrepreneur en recherche pour pouvoir développer son business. Parfois, lorsqu’il observe les success story, il se dit qu’il a eu la même idée, qu’il aurait pu avoir cette idée et il se demande comment faire pour lui-même devenir le porteur d’une idée qui fera un carton et dont tout le monde parlera. Quand il s’agit de faire la différence avec ses concurrents, il faut miser sur des valeurs sûres. Parmi elle, la créativité. Une notion qui n’a rien d’inné mais qui s’acquiert au fil du temps. Quelles sont les astuces pour devenir créatif quand on ne l’est pas ?

Avoir une curiosité constante

Il n’y a pas de secret, la meilleure façon de gagner en créativité est encore de la provoquer. Pour cela, il y a plusieurs façons d’opérer. La plus simple est de s’ouvrir à un maximum de choses. Testez de nouvelles activités, créatives ou non. Cela stimule le cerveau et lui permet de développer davantage de facultés.

S’inspirer de l’art

L’art est un domaine qui ouvre la voie de la créativité. Visitez des expositions ou des musées par exemple. Outre l’aspect esthétique pur, tentez de percer la démarche conceptuelle de l’artiste et son objectif. Qu’a-t-il voulu représenter ? Pourquoi l’a-t-il réalisé ainsi ? Comment expliquer ses choix colorés et formels ? En répondant à ses questions, vous comprendrez non seulement davantage comment se déroule le processus de création mais pourrez en plus l’appliquer à votre entreprise sous différentes formes. Le cerveau est un muscle qui ne demande qu’à être stimulé et apprendre de nouvelles choses.

Quelques pratiques simples pour devenir créatif

  1. Découvrir le secret des affiches

Les affiches constituent un bon moyen d’apprendre à devenir créatif. La personne à l’origine de chaque support doit rivaliser d’ingéniosité pour faire passer son message efficacement, sans fioriture et laisser une impression positive.

2. Ecouter les autres : le brainstorming

Née en Angleterre, cette pratique vise à accumuler des termes sur un sujet dans le but de n’en conserver que les plus pertinents. En faisant cela, vous extrairez des valeurs pour votre entreprise et créerez un message d’accroche saisissant. Parfois, cette phrase peut faire la différence et inciter le client à venir vous voir vous plutôt qu’un concurrent.

3. Se remettre en question

Réviser le concept de son entreprise peut s’effectuer sur plusieurs points. Et si vous profitiez d’un petit peu de temps pour trouver une nouvelle approche à votre business ? Comment pourriez-vous le rendre plus attrayant pour vos clients ? Vos documents édités paraissent-ils modernes ou impersonnels ? Vos affiches donnent-elles vraiment envie ? L’image de votre entreprise n’est-elle pas devenue vieillotte ? Profitez de cette remise en question pour faire le point et vous fixer quelques points d’évolutions possibles, pas forcément très coûteux. Laissez votre intuition vous guider dans votre choix. Regardez des vitrines, sites web et choisissez un univers vers lequel vous diriger.

4. S’inspirer du monde

Lors de vos balades, regardez autour de vous et laissez-vous porter par les différents univers que vous traversez. Imprégnez-vous d’ambiances. Dans la nature, laissez votre esprit divaguer et rêvassez. Ce temps de légèreté est propice à la création. Sortez votre bloc-notes et écrivez des ressentis, émotions et voyez comment vous pouvez les retranscrire. Pour être créatif, mieux vaut prendre du recul par rapport à l’élément à élaborer, notamment s’il s’agit d’un produit.

5. Ecrire et élaborer des croquis

Sur votre bloc-notes, notez vos idées, faites des petits croquis, reliez un point à un autre, créez des connections entre vos idées et faites-en un ensemble harmonieux, tant d’un point de vue graphique si votre projet le nécessite ou d’un point de vue conceptuel si besoin.

Devenir créatif est un travail sur soi-même qui s’effectue au quotidien. À travers ces quelques pratiques et exercices, vous gagnerez progressivement en créativité et en ingéniosité. Prenez du recul et un bloc-notes et laissez-vous guider par votre imagination. Ouvrez-vous à différents éléments de culture et continuez à entraîner votre cerveau au quotidien.

Comment dépasser une déception ?

Parfois, il peut s’avérer de subir un échec que ce soit pour une négociation commerciale ou tout simplement un comportement qui peut vous décevoir. S’attacher trop longtemps à votre déception ne vous apportera rien de bon et il faut rapidement vous mettre le pied à l’étrier si vous ne souhaitez pas tomber dans l’inertie. Zoom sur quelques petites actions que vous pouvez faire si vous souhaitez mieux passer l’épreuve. 

Tirer des leçons de vos échecs

Un échec n’est un échec véritable que quand il n’est pas source d’apprentissage. Pour mieux avancer et moins vous torturer l’esprit, l’idéal reste d’en tirer des leçons et des sources de progression pour l’avenir. Pour cela, il vous faudra analyser votre échec parfois en demander la cause afin de savoir comment ne pas les reproduire à l’identique. Certains sujets prennent du temps et nécessitent plusieurs essais avant de trouver la formule qui marche et vous ne pouvez pas tout savoir instinctivement. 

Relativiser à fond l’évènement

Si on a l’impression que parfois le monde s’écroule autour de nous, ce n’est pas le cas. Il vous faut prendre du recul sur l’échec afin de ne pas vous apitoyer dessus et le repositionner en dehors de votre sphère émotionnelle. Cela sera parfois difficile et vous demandera un travail sur vous mais vous allez y arriver ! Prenez le recul nécessaire pour regarder objectivement la situation et, si nécessaire, prenez une personne qui n’est pas émotionnellement concernée pour prendre du recul. Elle pourra voir la situation de manière objective et vous donner son ressenti. Dans tous les cas, il n’y a pas mort d’homme donc éviter de ne penser qu’aux conséquences. 

Vous n’êtes pas parfait

Ils sont nombreux à se dire « si j’avais su, j’aurais fait ceci ou cela ». Sauf que si vous aviez su, vous n’auriez surement peuvent être pré-devancés ou régulés par avance mais à partir du moment où vous prenez des décisions, vous prenez également des risques.  Et parfois, vous ne prendrez pas les bonnes décisions ou n’exécuterez pas parfaitement ce que vous devez. Il s’agit donc de vous pardonner à vous-même en prenant conscience que vous ne pouvez pas tout exécuter parfaitement. 

Repartir sur de nouveaux challenges

Réfléchir aux causes d’un échec c’est bien mais vous ne devez pas non plus y passer votre temps, il est nécessaire de se lancer de nouveaux challenges afin de ne pas passer votre temps à ruminer et pouvoir également aller au-delà de ses attachements. Plus vous mettrez en place de nouveaux challenges, plus vous rentrerez de l’action. Vous aurez vite oublié cet échec après que nouveaux défis soient remportés, ce qui le sera peut-être justement grâce aux leçons que vous avez tiré de cette première expérience. 

Entourez-vous de personnes positives

Si vous êtes mal entouré, vous aurez plus de mal à passer outre votre erreur. Certains prennent un malin plaisir à voir les gens malheureux alors fréquentez les personnes plutôt positives qui vont vous aider à vous remonter le moral. N’hésitez pas à rire, cela vous fera du bien au moral de vous sortir de la souffrance. Parfois, juste s’extraire du contexte suffit pour retrouver la pêche et réfléchir à d’autres projets. Vous connaissez les gens qui sont positifs autour de vous. Ne recherchez pas forcément tout le temps une oreille attentive mais plutôt un esprit positif et empli de joie. 

Transmettre les bonnes pratiques

Puisque vous y êtes et que vous savez désormais ce à quoi il faut faire attention ou encore ce qui ne marche pas, autant vous en faire le relais. Vous n’allez pas aider que vous-même et c’est tant mieux. Ainsi, vous pouvez faire progresser vos équipes ou tout simplement le matériel à disposition. Vous pourrez également voir ce qui marche, ce qui devrait représenter une réelle opportunité pour votre futur. Le passé est important mais le présent et l’avenir, c’est encore mieux. 

Souffler un bon coup et vous détendre

Quand la déception est très forte, rien ne vous empêche de vous laisser un peu de temps pour digérer la nouvelle. Vous pouvez faire des exercices de relaxation et notamment respiratoires pour redescendre rapidement. Prendre quelques minutes pour vous aérer l’esprit et vous détendre n’est pas du temps perdu. Cela évitera que la mauvaise nouvelle n’affecte toute votre journée et votre productivité. Vous devez pouvoir prendre soin de vous car vous ne pourrez éternellement absorber le stress. Comme le veut l’expression, il faut parfois savoir prendre du temps pour en gagner. 

Les conseils pour résoudre avec brio un problème

La vie tout court, c’est sans cesse se confronter à des problèmes que l’on résout. La vie d’entrepreneur n’échappe pas à ce principe. Loin s’en faut ! La vie ce n’est guère d’être dans le monde de « tout le monde et beau et gentil ». Le dirigeant d’entreprise rencontre quotidiennement des problèmes d’ordre économique, social, managérial, stratégique… Il faut préciser que ces problèmes risquent de constituer des barrières empêchant l’entreprise d’atteindre ses objectifs. C’est la raison pour laquelle le dirigeant doit à tout prix apprendre à les résoudre avec brio un problème. 

Conseil 1 : comprendre le problème

Pour trouver facilement la solution adaptée, l’entrepreneur doit essayer de comprendre la situation. Cette étape demeure indispensable pour résoudre le problème avec méthode, lucidité et créativité.

  • Cerner le fond du problème
    Le dirigeant doit cerner la source du problème s’il veut le résoudre efficacement. Pour cela, il formule le problème et le diagnostique pour obtenir une réponse satisfaisante. Ainsi, en cas d’insatisfaction de la clientèle, il appréhende non seulement les raisons, mais surtout les offres qui constituent les sources de l’insatisfaction. 
  • Les détails
    Dans la majorité des cas, le problème accapare tellement le dirigeant qu’il ne fait plus attention aux détails qui peuvent l’éclaircir et l’aider à trouver la solution adaptée. Toutefois, pour éviter de s’égarer, il essaie de bien connaître le contexte avant de se focaliser sur le reste. Ensuite, chaque détail compte, mais il doit savoir distinguer ceux qui ont un rapport direct avec le problème des détails secondaires.
  • Élargir le domaine d’analyse du problème
    Parfois, il faut creuser plus loin pour trouver la source du problème. Cette étape consiste à élargir le champ de délimitation du problème. Pour cela, le dirigeant ne cesse de se poser des questions se rattachant directement ou indirectement au problème. Il n’hésite pas à faire appel à d’autres professionnels qui œuvrent dans le domaine où il exerce pour l’aider à situer le problème. À part cela, il peut recourir à l’avis d’un simple particulier. Prendre en compte un avis extérieur l’aide à se détacher de sa sphère professionnelle et à y voir un peu plus clair. Mais à une condition, savoir écouter et ne pas chercher à avoir l’approbation à tout prix.

Conseil 2 Aller à la pêche des idées 

L’analyse des éventuelles sources du problème permet au dirigeant d’établir différentes solutions possibles. Il ne doit en aucune manière négliger ces solutions. Toutefois, étant donné qu’elles ne constituent que des possibilités, le dirigeant ne devrait pas les appliquer immédiatement. Il recherche à les évaluer tout en déterminant celle qui correspond le mieux à la situation. Cette étape ne vise pas encore à résoudre le problème, mais à rechercher des idées afin de trouver la solution idéale.

Conseil 3 Planifier la résolution du problème

Cette étape consiste à établir la véritable solution, c’est-à-dire celle que le dirigeant va appliquer pour résoudre le problème. Pour cela, il définit les forces, les faiblesses, les atouts, les effets et le coût de chaque possibilité. Cette évaluation lui permet de cerner facilement le problème et de trouver la solution la plus adaptée. Dans ce contexte, il tient compte du temps nécessaire pour assurer la mise en œuvre de chaque solution. Ainsi, il peut facilement déterminer s’il doit prendre des mesures à court, à moyen ou à long terme. 

Pour résoudre efficacement un problème, il l’appréhende avec précision. Pour cela, il prend du recul. A part cela, il gère dans toutes les circonstances son stress qui constitue un facteur très important pouvant altérer la décision du dirigeant.

Casser les préjugés sur le Bitcoin

La crypto-monnaie du dark web, utilisée uniquement par les trafiquants et les dealers : voilà une image bien ancrée dans l’imaginaire collectif. Pourtant, les chiffres parlent d’eux-mêmes : moins d’1% des transactions effectuées sur le marché sont illicites. Alors pourquoi cette mauvaise réputation ? 

Une monnaie libre, sans contrôle étatique ou bancaire

Le création du Bitcoin répond à un besoin spécifique : bénéficier d’un système de paiement dont l’usage n’est pas contrôlé par les Etats et par les Banques, où chaque utilisateur a une place de même importance. Cette conception de l’argent est en totale disruption avec le système bancaire classique, dans lequel des institutions précisément identifiées et puissantes contrôlent l’émission de la monnaie, sa valeur et son utilisation.

La valeur du Bitcoin en tant que monnaie est, quant à elle, déterminée par le Forex et l’ensemble de ses utilisateurs: même Satoshi Nakamoto, son mystérieux créateur, ne peut pas en influencer le cours.

Il en va de même pour le système de paiement : la vérification des comptes et des transactions se fait par le biais d’un ordinateur du réseau. Afin de garantir une totale impartialité, un appareil est choisi aléatoirement toutes les dix minutes, parmi toutes les machines connectées sur le réseau. 

L’effet Silk Road

En 2011, une plateforme de vente de drogues en ligne apparaît sur le Dark Web : Silk Road. Afin d’assurer un maximum de sécurité à ses utilisateurs, Silk Road impose l’usage du Bitcoin comme monnaie d’échange sur son marketplace. Pourtant, le Bitcoin ne garantit absolument pas totalement l’anonymat de son utilisateur, mais il offre plus de discrétion. L’affaire a fait grand bruit lorsque le créateur de Silk Road a été arrêté par le FBI en 2014 et la mauvaise réputation du Bitcoin a alors explosé.

L’escroquerie des ICOs 

A l’origine utilisées par les startups pour lever des fonds, les Initial Coin Offers ou ICO se sont multipliées au cours des dernières années. Elles sont souvent confondues par les investisseurs avec de vraies crypto-monnaies, alors qu’en réalité, il s’agit de levée de fonds, dans lequel une entreprise propose un token contre une somme d’argent. Ce token émis permet à son détenteur soit de recevoir une partie des bénéfices générés par l’entreprise, comme des actions, soit de s’en servir pour l’utiliser sur la plateforme de la société.

Or, si certaines ICOs sont bien des escroqueries, ce n’est pas la crypto-monnaie en elle-même qui en est la cause, mais le plus souvent le manque de connaissances des investisseurs sur le projet. Avec un peu de recherche, il est facile de se rendre compte que le business plan derrière

l’ICO ne tient pas la route et qu’il vaut alors mieux investir dans une autre crypto-monnaie. 

 La peur de se faire hacker

Dès que l’outil utilisé est informatique, la peur de se faire hacker surgit. Pourtant, le bitcoin et la blockchain sont des technologies très sûres et transparentes, à condition de bien les utiliser. En effet, si vous achetez sur une plateforme sécurisée vos bitcoins, vous n’avez pas de craintes à vous faire sur la sûreté de vos avoirs. 

Tout comme vous ne partagez pas votre code carte bancaire à n’importe qui, il en va de même pour votre wallet. Vérifiez toujours que le site ou la plateforme est bien sécurisée avant d’effectuer un échange de bitcoins.

En conclusion,le Bitcoin est une crypto-monnaie sûre, parfois plus que les monnaies scripturales. Le Bitcoin n’est pas et n’a en réalité jamais été la devise des grands criminels du web, mais bien un autre moyen d’effectuer des transactions financières. 

Les 10 fausses promesses à éviter pour le bien de votre boîte

Se vanter et donc en quelque sorte mentir n’est jamais une bonne idée. Il faut dire que dans les méandres de l’entrepreneuriat, il faut toujours prouver sa valeur et la tendance peut être d’en rajouter face aux clients, partenaires, banquiers ou investisseurs. La vérité, il vous arrive de l’arranger quelque peu pour séduire un investisseur, convaincre un partenaire, attirer un client… ou tout simplement pour essayer de vous faire croire à vous-même que votre entreprise cartonne ! Petit florilège de ces fausses promesses qu’il vous arrive de prononcer sans jamais culpabiliser « parce que c’est pour le bien de votre entreprise » croyez-vous !

Nous allons bientôt signer avec tel client grand compte

Enfin il y a l’ami d’un pote qui vous a certifié qu’il connaissait le responsable achat d’une grande boîte et qu’il y a des chances pour qu’il arrive à vous le faire rencontrer, entre deux rendez-vous, peut-être. Vous suivez ? Nous non ! Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule start-up à certifier être à deux doigts de signer avec L’Oréal ou Amazon ! Ce syndrome est assez répandu chez les jeunes entrepreneurs essayant de tirer leur crédibilité d’un hypothétique gros contrat… Par contre, ce qu’il faut savoir c’est que, quand un investisseur entend 10 entrepreneurs de suite lui certifier qu’ils sont en pourparlers avec Apple ou Louis Vuitton, il risque de finir par les prendre légèrement pour des mythomanes !

Notre équipe est composée de 10 salariés

De 10 stagiaires surexploités vous voulez dire ? N’essayez pas de jouer au grand. Ou alors, si vous mentez, faites-le finement : avoir 10 salariés un mois après la création de l’entreprise, il faut être clair, cela fait louche ! Parlez par exemple de vos deux salariés imaginaires hyper motivés et avouez avoir embauché des stagiaires. Si vous voulez pousser le vice un peu plus loin, certifiez à votre interlocuteur que vous comptez les recruter en CDI dès que leur stage sera fini. Tout le monde saura que c’est impossible, mais on notera votre bonne volonté !

Nous sommes les leaders sur notre marché

Oui, c’est vrai, pour une fois vous n’avez pas menti. Mais vous n’avez pas tout dit… Sur votre marché d’ultra-niche, dans votre petite ville, ça c’est sûr que vous êtes les premiers. Et de loin. D’ailleurs faut-il préciser que vous êtes les seuls ? Enfin, la seule entreprise quoi ! Sans compter bien sûr le bar-tabac-buvette-boulangerie de votre village. Un petit conseil : l’argument dit du « nous sommes leaders » est un peu démodé. Seuls les vrais leaders ne se présentent pas ainsi (et c’est d’ailleurs comme cela qu’on les reconnaît !).

Nous sommes en train de signer avec un gros partenaire, un leader mondial

Nous ne pouvons encore rien dire mais, c’est sûr, vous allez en entendre parler ! Ah oui ? Vous ne pouvez pas encore en parler ? C’est peut-être qu’il y a des raisons à cela… En tout cas, sachez-le, vos interlocuteurs, eux, comprendront pourquoi vous ne pouvez pas en parler. Par politesse, ils n’oseront rien dire. Face à leur simili-intérêt vous en rajouterez trois tonnes. Et là… c’est le drame !

Nous avons plusieurs propositions de différents fonds, américains 

Si vous êtes vraiment en train de négocier avec plusieurs fonds qui se battent pour investir chez vous, 3 solutions :

1/ Vous êtes le fils caché de Steve Jobs et Marissa Mayer (ex Google, PDG de Yahoo !) et vous avez hérité du génie cumulé de vos parents, et même un peu plus.

2/ Vous avez trouvé la recette secrète permettant de convaincre les investisseurs. Dans ce cas-là, merci de faire partager aux lecteurs de Dynamique Entrepreneuriale vos astuces ! (Pour l’instant la seule technique connue pour trouver des financements est de galérer patiemment jusqu’à ce qu’un fonds accepte gentiment de vous recevoir !)

3/ Vous êtes pris en flagrant délit de gros mensonge.

Google nous a approchés pour nous racheter

Vous êtes sûr que, si Google vous a approché, ce n’était pas plutôt pour vous faire acheter des campagnes AdWords ?! Petite astuce : faire croire qu’on veut racheter votre start-up, pourquoi pas… Mais encore faut-il que ce soit un minimum crédible ! Visez moins prestigieux, vous aurez peut-être une chance d’être cru et surtout de ne pas passer pour un plouc !

Nous sommes les seuls à proposer cette solution

Un mensonge qui peut passer, mais pas face à n’importe quel public. Face à un client novice, en B to C, vous aurez des chances de convaincre. Le client sera alors ravi d’avoir déniché une pépite que personne ne connaît et il n’hésitera pas à mettre la main au porte-monnaie. Par contre, face à un partenaire en B to B, ou pire, face à un investisseur, ouille… Si vous faites face à un interlocuteur un minimum conscient de la réalité du marché, il y a fort à penser qu’il vous prendra pour un inculte qui ignore qu’une idée nouvelle est, au minimum, en train d’être travaillée par 2 entrepreneurs dans le monde au même moment.

Nous devrions faire 1 million de chiffre d’affaires cette année

Vous avez dit chiffre d’affaires ou volume d’affaires ? Ah ben non, ce n’est pas pareil… Si cette donnée pouvait bluffer votre grand-mère, elle ferait glousser un investisseur ! Inutile de chercher à mettre de la poudre aux yeux. Soyez franc et précis. C’est peut-être par votre franchise et votre humilité que vous pourrez vous démarquer et séduire un investisseur !

Nous allons faire trembler Facebook !

D’ailleurs, ils nous surveillent car ils savent le mal qu’on peut faire à leur business… : savez-vous ce que votre interlocuteur aura dans la tête quand vous lui sortirez ce gros mensonge ? Il imaginera un petit bateau télécommandé pour enfant qui essaierait de casser la coque d’un énorme pétrolier. Vous passerez au mieux pour un prétentieux, au pire pour quelqu’un n’ayant aucun sens des réalités.

Nous venons de signer avec un gros distributeur à New York

Pour dire vrai, vous avez supplié votre beau-frère qui vit là-bas de parler de vos produits à Jack, le vendeur de hot-dogs ambulant du coin de la rue. Encore une fois, enrober la vérité, pourquoi pas. Mais, essayez davantage d’attirer la curiosité de votre interlocuteur en abordant de manière évasive un réseau influent américain conquis par votre produit. Après tout, ce n’est pas faux, Jack, le roi des hot-dogs, connaît tout le monde sur la 5e avenue ! 

Utiliser l’actualité pour faire parler de soi

Aujourd’hui dans ce brouhaha des informations sur  l’épidémie, il semble bien difficile d’acquérir une visibilité. Et pourtant, l’actualité peut servir de tremplin pour acquérir la notoriété. Il faut tout de même le faire à bon escient. Savoir communiquer implique de savoir se servir de l’actualité. Toute entreprise, qui souhaite faire un buzz, a le devoir de se tenir informée pour bien connaître la concurrence. Les marques usent de plus en plus de l’actualité comme moyen de faire leur communication. En identifiant et analysant leur méthode, il se pourrait bien que votre entreprise aussi soit exposée aux flashs des médias…

Jauger de la bonne température

La première chose à savoir réside dans ce qu’on pourrait appeler vulgairement la « température » de l’actualité. Une actualité dite « chaude » est considérée comme extrêmement récente, on parle de quelques heures ou quelques jours. Si l’actualité dépasse plusieurs jours et se compte plutôt en semaines voire en mois, elle est définie comme étant « froide ». Plus cette dernière est récente plus son degré de pertinence sera élevé, et plus elle aura d’impact. Dans cet univers concurrentiel, les autres marques n’hésiteront pas à se servir de ces événements à votre place si vous ne vous montrez pas assez réactif. En d’autres termes, pour pouvoir être un maximum profitable, l’actualité doit être saisie sur le feu.

Se servir du référencement

Le référencement est primordial pour vous faire connaître et accroître votre notoriété. Votre site web doit être bien indexé et positionné dans les moteurs de recherche, notamment Google. Quand il est question de scoop, la date de publication doit être la plus proche possible de la révélation ! Google accorde la meilleure position, dans un premier temps, à la source de l’info. Il convient de publier le plus rapidement dans le but d’acquérir un meilleur référencement. Il est d’ailleurs préférable de ne faire qu’une seule page pour réunir tous les sujets / mots clés.

Le newsjacking

Avez-vous déjà entendu parler du newsjacking ? Et bien pourtant vous devriez ! Le newsjacking n’est autre qu’une technique marketing qui vise à s’approprier des news (autrement dit des faits) et de les détourner afin de les utiliser au profit de son entreprise. Cette méthode permet d’obtenir de la visibilité et d’augmenter son trafic. L’idée générale est de capitaliser sur une actualité afin d’accroître sa propre notoriété sur les médias sociaux. Cette technique ne prend effet que pendant une durée relativement courte. Pour perdurer en tête d’affiche, s’informer régulièrement des nouveautés pour en faire usage est indispensable.

Communiquer auprès des journalistes

Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Pinterest… se révèlent plus qu’efficaces quand il s’agit de diffuser l’information. Idéal pour faire parler de sa boîte et émettre du bruit jusqu’aux oreilles attentives des journalistes qui n’attendent que ça. Plus formel, le communiqué de presse s’avère un moyen efficace de partager une information auprès des médias afin d’optimiser votre communication.

Quelques règles de bases s’imposent toutefois dans la conception de votre message pour éveiller leur intérêt : un contenu simple, intelligible, relativement court, pertinent (données factuelles, chiffres, dates) et estimé intéressant (produit ou service innovant, évènement, résultat d’une étude, actualité…), les informations doivent être objectives (il n’est pas question de rédiger une offre purement commerciale !), et divers paragraphes munis de sous-titres sont requis car ils faciliteront d’autant plus la lecture et la compréhension du communiqué. Vous détenez l’opportunité d’utiliser certaines actualités divulguées dans les médias pour relancer votre activité. Prêtez donc une oreille attentive ! 

L’éventail des réseaux sociaux et marketing digital

S’il y a encore peu de temps les réseaux sociaux se limitaient au réseau personnel (famille, amis, anciens camarades d’écoles, de lycée ou d’universités … et de collègues, clubs sportifs), il est grâce à l’arrivée d’internet, devenu un réseau planétaire pour chaque internaute. Les réseaux sociaux se sont imposés aussi bien dans la vie personnelle que professionnelle. Si au départ, c’est Facebook qui a rencontré une popularité exponentielle, les autres réseaux sociaux au fur et à mesure ont offert chacun leur valeur ajoutée.

Facebook, Twitter, LinkedIn, YouTube, Pinterest, Instagram… Et la liste est encore longue ! Les réseaux sociaux occupent une place aujourd’hui fondamentale au sein des entreprises. L’utilisation quotidienne du numérique n’a fait qu’accélérer ce phénomène, ces dernières en ont rapidement compris l’enjeu et se sont mises à utiliser sans modération ces outils. 

Ces dernières années, les réseaux sociaux personnels ont envahi les usages privés mais la sphère professionnelle a également été atteinte. À l’ère du digital où le côté pro empiète souvent sur la vie privée et inversement, difficile parfois de savoir dissocier les deux.

Du personnel au professionnel : où se trouve la limite ?

Il convient de distinguer trois types de comptes. Les comptes « personnels », ceux dits « professionnels » et ceux d’« entreprises ». Les comptes personnels ne concernent, a priori, que l’individu et sa vie privée (voire celle de son entourage s’il publie des contenus les concernant), et non son activité professionnelle. Force est de constater que, dans la pratique, les activités professionnelles de l’individu demeurent souvent partagées sur ces comptes. Dans le cas d’un réseau social dit professionnel, la personne met en avant son parcours professionnel. L’utilisation reste très différente de la précédente et ces comptes demeurent généralement plus sobres et ont pour but de valoriser le savoir-faire de l’individu. Il s’agit alors souvent de partager son activité professionnelle. Le mélange compte pro/perso reste courant même si certains réseaux sociaux sont mieux adaptés à une utilisation qu’à une autre.

Il n’est pas nécessaire de les différencier mais il faut prendre en compte que si vous décidez de réunir les deux, il vous faudra rester vigilant sur vos publications. Concernant ceux d’entreprises, l’image de la marque est directement engagée. La nature des contenus publiés, textes, images et vidéos, en dit souvent long sur les valeurs que défend une entreprise. Pour celle-ci, il demeure impératif de garder une certaine cohérence entre ses publications et ses valeurs. Imaginez une société qui vend de la nourriture « healthy » (qui consiste à mieux consommer en mangeant plus sain, ndlr) et qui poste sur son mur Facebook un gros hamburger / frites dégoulinant de sauce… Vous saisissez mieux l’idée ? 

Un réseau social professionnel :  LinkedIn 

Gérer son image, se constituer un réseau, l’agréger et communiquer font partie des services proposés par les deux médias sociaux. LinkedIn, revendique plus de 294 millions de membres. L’idée centrale demeure de connecter les professionnels du monde entier entre eux afin d’accroître leurs opportunités en enrichissant leur carnet d’adresses et de favoriser leur réussite. Créé en 2002, le site américain, actuellement dirigé par Jeff Weiner, le réseau réalise un chiffre d’affaires exponentiel. 

Les réseaux sociaux privés et professionnels 

Réseaux sociaux les plus populaires dans le monde

( par utilisateurs actifs en Millions )

Facebook et Twitter : 

de par leurs différences de fonctionnalité, nombreux sont ceux qui perçoivent les deux médias sociaux comme complémentaires. Voyant le jour en 2004, le géant Facebook, fondé par Mark Zuckerberg, s’avère aussi bien utilisé par les particuliers que par les professionnels. La société américaine ne cesse de démontrer sa puissance sur la toile. Permettant de publier images, photos, vidéos, fichiers et documents, mais également d’échanger des messages de façon instantanée, de joindre et créer des groupes ou encore d’utiliser des applications diverses, le site fait partie des incontournables.

Pour savoir « ce qu’il se passe », le réseau social au logo du petit oiseau bleu, créé en 2006, constitue, quant à lui, un parfait outil de microblogage (le fait de publier des messages courts pour exprimer une opinion ou partager une information en temps réel, ndlr). Ses utilisateurs, dont environ 336 millions sont actifs chaque mois, peuvent ainsi envoyer gratuitement de brefs messages dits « tweets » tout en suivant l’actualité. Seule contrainte de publication : ne pas dépasser les 280 caractères prévus à cet effet, mentions, GIF, photos, vidéos et citations exclus.

Pinterest et Instagram : 

deux réseaux de partage d’images. Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, Pinterest se définit simplement comme un « catalogue d’idées ». Lancé en 2010 par Paul Sciarra, Evan Sharp et Ben Silbermann, le site web américain se trouve à mi-chemin entre le réseautage social et le partage de photographies. Avec un chiffre d’affaires fort significatif, le concept reste simple en proposant aux utilisateurs d’épingler des images qui ont retenu leur attention pour ensuite les catégoriser par thème. En décomposant son nom, l’on se rend compte que « to pin » renvoie à l’idée d’épingler et « interest » à ce qui nous intéresse. Instagram, quant à lui, axe son service sur la capture, la modification ainsi que le partage de photos et de vidéos. Plus simplement, cela permet à ses 200 millions d’utilisateurs de capturer un instant de vie. De nouvelles fonctionnalités dont raffolent les créatifs, particuliers comme professionnels.

YouTube pour faire de la vidéo !

 La demande de rapidité de l’information du grand public conduit de plus en plus d’internautes à recourir à la vidéo, qui remplace bien souvent du contenu écrit. Propriété de Google, le site d’hébergement de vidéos, YouTube, s’attache tout particulièrement à satisfaire ce besoin afin que « chacun puisse faire entendre sa voix et découvrir le monde ». Établi en 2005 par Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, la plateforme génère 30 millions de visiteurs uniques par jour en France. Plus d’un milliard d’heures de vidéo seraient visionnées quotidiennement sur YouTube. Mais quel rapport avec les réseaux sociaux ? La création d’un onglet « communauté » permet aux utilisateurs, en plus du contenu vidéo habituel, de publier des billets à destination d’un public ciblé.

Le but étant, pour la marque, de tout centraliser sur la plateforme afin d’éviter que les utilisateurs ne se tournent vers d’autres médias sociaux pour suivre l’actualité de leurs youtubeurs préférés. Il existe, bien entendu, d’autres réseaux sociaux que ceux précédemment cités mais ces derniers demeurent les principaux utilisés par les entreprises. Si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi ceux existants, il reste possible de créer son propre réseau social. Un tel projet se révèle toutefois très chronophage et nécessite certaines compétences en la matière. 

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