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Votre première source : vous… et vos proches !

Il est toujours plus délicat de trouver de l’argent si on n’en apporte pas soi-même un minimum. Comme l’affirme le dicton :  » l’argent va à ceux qui l’honorent. « 

Les fonds personnels

Votre première source de financement réside dans les économies que vous vous constituez. Pour bien vous mettre à l’abri ou ne pas subir un stress supplémentaire lié au manque de fonds lors de la création de votre entreprise, n’hésitez pas à vous constituer une épargne au préalable. Elle représente un excellent levier vis-à-vis de votre banque. De même que pour la création d’entreprise, une reprise nécessite un apport personnel de base. Par exemple, vous pouvez vous créer un apport progressivement et durant plusieurs années en souscrivant un livret épargne entreprise (LEE). Celui-ci vous permettra de solliciter un prêt. Dans ce type d’épargne, les taux d’intérêt maximum s’élèvent à 5%. Le livret d’épargne entreprise (LEE) comprend une phase d’épargne, de deux à cinq ans maximum, à l’issue de laquelle l’épargnant peut solliciter un prêt.

Il existe également des plans d’épargne en actions (PEA) qui permettent de gérer un portefeuille d’actions d’entreprises européennes en franchise d’impôt sur le revenu sous réserve de n’effectuer aucun retrait durant 5 ans.

Cependant, il est possible de bénéficier, sous conditions, d’une exonération d’impôt. En réalité, Il y a deux types de PEA : le PEA classique (bancaire ou assurance), et le PEA-PME, dédié aux titres des PME et des ETI..

Le prêt personnel

L’une des méthodes utilisées pour contourner le manque de fonds consiste à emprunter de l’argent à titre personnel. Ainsi, de nombreux créateurs profitent de la possibilité d’obtenir un prêt à la consommation ou encore un prêt étudiant pour financer leur future entreprise. On vous accorde plus facilement un prêt si vous êtes encore salarié ou étudiant que lorsque vous ne percevez plus de rémunération ou au chômage. Cette méthode représente un véritable danger. En effet, elle fait peser sur le créateur une dette qu’il aura parfois des difficultés à rembourser.

Les aides financières de pôle emploi

Votre première aide réside dans les indemnités chômage.

Les chômeurs créateurs d’entreprise peuvent bénéficier du versement de leur indemnité chômage sous forme de capital (ARCE) ou du maintien partiel de leur indemnité (ARE). L’ARCE dépend de l’obtention de l’ACRE (anciennement ACCRE). Elle permet aux créateurs et repreneurs d’entreprise de bénéficier de la première moitié du reliquat de leur indemnité chômage lors du démarrage de leur activité puis de la seconde moitié six mois après. Présenté comme un capital pour la création d’entreprise, ce dispositif se destine à payer les dépenses courantes et incompressibles. Attention tout de même à prendre en compte l’absence de revenus. 

L’aide à la création ou à la reprise d’une entreprise (Acre)

Elle consiste en une exonération partielle de charges sociales, dite exonération de début d’activité, et un accompagnement pendant les premières années d’activité. Elle permet aussi à certains bénéficiaires de prétendre à d’autres formes d’aides. En effet, les conditions d’attribution de l’Acre (bénéficiaires, formalités et taux d’exonération) dépendent de la date de votre souscription au dispositif (depuis le 1er janvier 2020 ou avant cette date). 

L’exonération est totale lorsque les revenus ou les rémunérations des bénéficiaires sont inférieurs à 30 852 € en 2020.

La durée pendant laquelle vous bénéficiez de l’Acre se calcule en périodes. De fait, une période équivaut à 4 trimestres civils. La 1ere période débute à la date de création de votre activité. Elle s’étend jusqu’à la fin du 3e trimestre qui suit.

Vous bénéficiez d’une exonération des cotisations sociales de 50 % pendant la 1ere période.

Le paiement des cotisations sociales se calcule en appliquant au chiffre d’affaires généré par l’activité de l’entreprise un taux qui varie selon votre secteur d’activité. Ainsi, vous connaissez à l’avance le montant des cotisations à payer.

L’Acre peut se cumuler avec le nouvel accompagnement pour la création ou la reprise d’entreprise (Nacre) dans le cadre d’une aide au montage, à la structuration financière et au démarrage de votre activité.

Si vous percevez l’ARE, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide à la reprise ou à la création d’entreprise (Arce).

Si vous percevez l’ASS , vous pouvez cumuler votre allocation avec les revenus de votre activité professionnelle salariée ou non salariée.

L’exonération porte sur les cotisations correspondant à l’assurance maladie, maternité, invalidité, décès, aux prestations familiales, à l’assurance vieillesse de base.

Les contributions relatives à la CSG-CRDS, au risque accident du travail, à la retraite complémentaire, au Fonds national d’aide au logement (Fnal), à la formation professionnelle continue et au versement transport ne sont pas exonérées.

L’exonération débute à partir du début d’activité de l’entreprise, si vous êtes salarié ou de la date d’effet de l’affiliation, si vous êtes non-salarié. La durée de l’exonération est de 12 mois.

Le montant de l’Arce est égal à 45 % du montant des droits à l’ARE restant à verser lors du début de l’activité. Une déduction de 3 % s’appliquera sur le montant du capital. Cette déduction correspond au financement des retraites complémentaires.

La love money

La love money (à traduire par « argent de l’amour » et non « amour de l’argent ») est un terme qui désigne les fonds que vous allez obtenir en faisant participer vos proches (amis, famille ou une quelconque connaissance) au capital de votre entreprise. Elle constitue un bon premier test pour votre entreprise. Si vous ne parvenez pas à les persuader d’investir dans votre projet ou au moins vous soutenir, comment ferez-vous face à des investisseurs externes ? Bien évidemment, les arguments principaux tourneront autour de votre projet. Faites-leur parvenir un business plan, et répondez à toutes les questions qu’ils peuvent se poser.

L’exercice s’avère profitable : votre présentation et votre discours sont mis à l’épreuve et les questions récurrentes exprimées sans gêne. Néanmoins, certaines incitations fiscales vous donnent des arguments financiers non négligeables. Ceux-ci pourraient finir de convaincre votre famille et vos amis. Pour les investissements dans une société non cotée, une réduction de leur impôt sur le revenu égale à 18 % des sommes investies au capital de la société a été mise en place. 

Le montant de la réduction d’impôt est en principe égal à 18 % des versements effectués chaque année, retenus dans la limite de 50 000 euros pour une personne célibataire, veuve ou divorcée ou 100 000 euros pour les personnes mariées ou pacsées soumises à une imposition commune. La fraction des versements qui excède ces plafonds ouvre droit à la réduction d’impôt au titre des quatre années suivantes dans les mêmes limites.

Par la loi de Finances 2019, le taux de la réduction d’impôt est porté de 18 % à 25 % pour les seuls versements effectués, dans le cadre du régime général, jusqu’au 31 décembre 2019.

Pôle emploi, un nouveau carrefour d’aide aux projets d’entreprise

Depuis quelques jours, Pôle emploi a lancé un appel à projets dans le but d’élargir sa liste de partenariats, lesquels pourraient financer et accompagner les demandeurs d’emploi souhaitant créer leur entreprise. La création d’entreprise est à la fois une possibilité d’emploi personnelle, de recrutements futurs et de création d’emplois indirects. L’objectif vise à favoriser la création d’activités et l’émergence de créateurs parmi les demandeurs d’emploi en situation de précarité : Pôle emploi leur apporte un accompagnement et, le cas échéant, une aide financière. Les projets devront contribuer à l’insertion des personnes en difficulté par de nouvelles solutions correspondant à la création d’activités, notamment pour les personnes résidant dans les zones prioritaires urbaines et rurales. L’appel à projet lancé par Pôle emploi devrait grandement participer au développement économique d’un territoire et par la suite, à la création d’emplois. »

Comment dépasser sa flemme ?

Il arrive certains moments dans la vie entrepreneuriale où vous pouvez descendre en rythme notamment après de grandes périodes d’intensité. Si vous devez parfois prendre un peu de temps pour vous ressourcer, il faut savoir également repartir. Petit guide pour ceux qui ont du mal à se remettre en route. Quelques conseils à suivre pour dépasser sa flemme ?

1/ Vous préparer mentalement

La reprise nécessite une préparation mentale. Il va vous falloir sortir d’une inertie souvent partielle où vous traitez les demandes au fur et à mesure. Il s’agit donc d’abord de vous convaincre qu’il vous faut sortir de l’inertie et les raisons pour lesquelles ce but est souhaitable. Pas facile quand on a enchainé les heures de boulot et que l’on est sans arrêt interrompu par des demandes vous empêchant de vous reposer véritablement. 

2/ Décider d’une heure et d’un jour buttoir

A force de mettre la deadline toujours un peu plus loin, vous allez avoir tendance à procrastiner. Si vous n’avez jamais véritablement arrêté de travailler car vous continuez certaines tâches, vous vous apercevez bien que votre productivité a fortement diminué. Il est donc de temps de vous fixer une vraie deadline qui sera fixe. Notez la date maximum et l’heure et lancez-vous à l’heure précise où votre décision a été prise. 

3/ Lancez-vous dans la première tâche

Pour votre première tâche, vous pouvez commencer soit par une tâche rapide, soit une tâche intermédiaire. Ne mettez pas en premier une tâche trop lourde qui pourrait vous faire reporter l’échéance. Essayez qu’elle soit intermédiaire et dure maximum 2 heures. Vous pourrez ainsi vous remettre dans le bain. Une fois celle-ci réalisée, vous devriez vous dire que ça y est vous êtes lancé. Enfin, vous pourrez réaliser les suivantes. Pour celle-ci, ne prévoyez pas trop large car vous pourriez essayer de gratter du temps et repousser son échéance

4/ Faire votre to do List du jour

Une fois la première tâche réalisée, vous pouvez réaliser votre to do List habituelle mais seulement sur une journée en écrivant les différentes tâches que vous devez faire en fonction des heures. Inutile de surcharger votre to do List, elle doit être réalisable et prendre en compte que votre capacité de travail va progresser rapidement mais qu’elle ne sera pas optimale dès le début. Votre cerveau reposé à des chances de vous surprendre mais autant ne pas prendre le risque de trop en mettre et de se décourager. 

5/ Mettre à jour vos objectif

On l’aura bien compris, vos objectifs ont parfois été repoussés et ce n’est pas grave en soi. Pas le temps de culpabiliser et une fois la première tâche accomplie, vous pouvez les remettre à jour. Cette opération pouvant prendre un certain temps, n’oubliez pas de lui en accorder. Vous allez surement enchaîner les tâches à partir de ce moment là et vous pouvez les mettre sur court – moyen – long terme. Il s’agit de vous relancer véritablement dans le bain et d’amplifier votre vision. Cette opération peut vous prendre 2 à 3 heures voire plus car vous devez décliner l’ensemble des opérations. Prévoyez une matinée au moins pour ces 3 premières tâches quitte à être trop large

6/ Ne pas rater le rendez-vous suivant

Une fois votre mise à jour complètement réalisée, il est temps pour vous de vous lancer dans la phase suivante et de bien tenir le rendez-vous de l’après-midi. C’est la reprise et il vous faut la faire avec brio en terminant la to do List que vous vous êtes fixée. N’hésitez pas à l’agrémenter au fur et à mesure que vous avancez. Vous verrez que vous serez rapidement dans le bain et que rien ne pourra plus vous arrêter. 

7/ Enchaîner à haut rythme.

Une fois la machine lancée, vous pouvez enchaîner à haut rythme et essayer d’élaguer au maximum les demandes en termes de nombre. Vous ne pourrez pas tout traiter en une journée mais essayez de vous débarrasser de ce qui vous encombre la tête et qui prend peu de temps. Ne vous laissez pas perturber par des éléments comme des textos ou autres qui viennent vous perturber alors que vous êtes en pleine reprise. Les relances seront certainement nombreuses car vous avez ralenti votre rythme. Certaines personnes n’ont pas conscience que vous ne devez pas être interrompu pendant ce délai. 

8/ ça y est vous êtes dans le bain

Une fois dans le bain, vous n’avez plus qu’à continuer et bien mettre à jour, vos différentes to do List et objectif. N’oubliez pas tout de même de prévoir la période de repos afin de ne pas continuer sur cette lancée un trop long moment. A défaut, vous pourriez bien vous retrouver dans la même situation. 

Le CBD, un nouveau business en vogue

Le CBD, des initiales qui recouvrent un marché juteux qui est celui du chanvre, c’est-à-dire du cannabis. En ce qui concerne l’expérimentation du cannabis thérapeutique en France, qui doit concerner environ 3 000 patients pendant deux ans, devait initialement débuter en septembre. Elle est reportée en janvier en raison de l’épidémie de Covid-19, a annoncé mercredi de l’Agence du médicament (ANSM). Un business du CBD qui fait sensation aux États-Unis… mais qu’en est-il de l’Europe ?

La légalisation du chanvre industriel aux États-Unis en 2018 a provoqué un boom autour du CBD. On estime que ce marché au pays de l’Oncle Sam, a représenté en 2018 environ 591 millions de dollars. Selon une étude du Brightfield Group publié en 2018 (prestataire américain spécialisé en études de marché sur l’industrie du cannabis, ndlr), celui-ci devrait être multiplié par 40 d’ici 2022, soit plus de 22 milliards de dollars. Concernant l’Europe, les estimations sont un peu plus difficiles à mesurer étant donnée la volonté des autorités de contenir ce marché en forte hausse , en édictant des règles répressives.

Toujours d’après l’étude du Brightfield Group, ce marché du CBD en Europe en 2019 était estimé à 285 millions d’euros. D’ici à 2023, elle prévoit une croissance de 400 %, soit plus de 1,4 milliard d’euros. C’est le Royaume-Uni et l’Autriche qui composent les plus gros marchés européens du CBD, avec 80 millions chacun.

Le CBD s’invite sur le marché et se diversifie dans plusieurs domaines.

Légal dans certains états aux États-Unis, dépénalisé aux Pays-Bas, le cannabis attire de nombreux consommateurs pour différentes raisons, tant au niveau récréatif que médical. Si pour la majorité des pays de la planète, la consommation et la production de cette substance est interdite, un flou juridique autour du CBD (cannabidiol, composé moléculaire actif majeur du cannabis, également appelé chanvre, ndlr) permet à des entreprises notamment en France de se lancer dans ce nouveau marché en diversifiant les produits. Produits alimentaires, cosmétiques, de santé et de bien-être, elle s’invite partout, soulignant ses bienfaits notamment sur la réduction du stress ou encore de l’anxiété.

Le secteur de la cosmétique a été l’un des premiers à franchir le pas en implantant du CBD dans ses huiles et ses baumes : la marque américaine de maquillage NYX a d’ailleurs lancé en juin 2019, une collection de quatre produits à base d’huile naturelle de chanvre, intitulé « Bare With Me Cannabis Sativa Seed Oil Collection » afin d’hydrater et adoucir la peau. Au salon de l’agriculture 2020, plusieurs acteurs du secteur agricole français comme Invivo Food & Tech et Interchanvre ont multiplié les présentations de produits comme de la confiture au chanvre, des graines qui apporteraient un apport protéiné et du lait relaxant.

L’entreprise Food Chéri spécialisée dans les repas frais et faits maison, livrés à domicile ou au bureau, a quant à elle, lancé en janvier dernier, lors d’une semaine spéciale, des « menus censurés » au cannabidiol dans plusieurs grandes villes françaises : à la carte, des salades, des falafels, des pâtes, des barres de céréales et cookies contenant de l’huile de chanvre. Preuve du succès, en trois jours, la totalité du stock était épuisée.

Une consommation du CBD qui touche surtout les jeunes et les hommes.

14 % ! C’est le pourcentage des Américains qui utiliseraient régulièrement des produits au CBD selon un sondage réalisé par l’entreprise américaine Gallup. 50 % n’en utiliseraient pas tandis que 35 % ne connaîtraient même pas l’existence de cette substance. 20 % des adultes de moins de 30 ans en consommeraient aux États-Unis contre 8 % des personnes âgées de plus de 65 ans. Parmi les sondés 40 % citent le soulagement de la douleur comme principal but de sa consommation, 20 % le lient à l’anxiété.

En Europe, d’après un rapport de New Frontier Data en 2019, il y aurait plus de 500 millions de consommateurs potentiels. Via un panel, 56 % des répondants indiquent avoir entendu parler du CBD mais seulement 16 % déclarent avoir utilisé du CBD ou des produits à base de cannabidiol. Le motif d’utilisation du CBD reste pour eux, la gestion de la douleur (40 %), suivie de près par la relaxation (34 %). Dans l’Hexagone, selon une enquête réalisée auprès de 759 consommateurs français en septembre 2018, 69 % des consommateurs seraient des hommes pour seulement 31 % de femmes. 37 % du panel des consommateurs serait âgé de 25 à 34 ans tandis que 28 % seraient âgés de 35 à 44 ans. 41 % estimeraient que cela les aiderait pour des troubles dépressifs / anxieux et 24 % à mieux supporter leurs douleurs chroniques.

Le saviez vous : des informations que vous ignorez

L’origine des noms des entreprises, les marques et leurs aventures réservent mille surprises. Quelques secrets et des informations que vous ignorez, dévoilés par Dynamique.

Les mille histoires

Android :

Google a considérablement simplifié son logo. Seule sa tête accompagne désormais le nom de l’Android. En dehors de cette modification, la typo a été changée tout en gardant les lignes droites. Les couleurs ont été retouchées probablement pour des raisons de lisibilité.

Quiksilver :

le logo de la marque aurait été inspiré par une estampe du peintre japonais Hokusai, dénommée « La grande vague de Kanagawa ». Celle-ci représente une grande vague submergeant le mont Fuji.

Frank Provost / Jean-Louis David :

on se demande souvent la différence entre les deux marques tant la communication semble proche. En réalité, les salons appartiennent au même groupe, qui détient notamment Saint Algue. On comprendra la difficulté à les différencier.

Tefal :

la marque a pour origine l’union des mots « teflon » et « aluminium ». C’est grâce à la femme d’un deux fondateurs français, Marc Grégoire, que la marque a décidé d’utiliser le procédé des cannes à pêche pour les poêles et casseroles.

Danone :

elle serait selon la rumeur la première marque française préférée des Français. Elle n’arrive cependant qu’à la 17ème place selon l’enquête réalisée par Kantar entre avril et juin 2018 auprès de 13 390 consommateurs français de 18 ans et plus interrogés.

Heinz :

et le ketchup mauve. L’idée de se distinguer n’est pas toujours une bonne idée. Heinz a ainsi créé un Ketchup à l’emballage mauve qui ne donnait pas du tout envie de le manger. Même si le goût n’a pas changé ce changement n’est guère la meilleure idée.

Facebook :

a annoncé fin 2019 que Facebook devenait… FACEBOOK. Si le nom est conservé, un nouveau logo a été créé pour indiquer tous les produits et services de la marque. Il s’agit de distinguer ce qui provient de la société Facebook et l’application Facebook. Ce changement interviendrait à la suite des scandales autour de Cambridge Analytica et des fake news.

et toujours des aventuriers

Tesla :

personne n’est à l’abri d’un bad buzz même Elon Musk. Lors de présentation de son Cybertuck et, alors que les vitres étaient présentées comme ultra-résistantes, une boule de pétanque a été lancée sur la vitre qui a alors cédé sous le choc.

Ben&Jerry’s :

une association de deux fainéants. Les deux fondateurs se rencontrent à l’époque du collège alors qu’ils étaient considérés comme les deux élèves les plus lents et fainéants de leur cours de sport. Pour vous dire : ils ne parvenaient pas à courir un kilomètre en moins de 7 min.

SEPHORA :

a choisi ce nom car il est synonyme d’élégance, de liberté et de gaieté. Il s’agissait en l’occurrence du prénom de la femme de Moïse, présentée comme une femme belle, intelligente et libre, une image que voulait suggérer la marque à sa clientèle.

KPMG :

on pourrait se dire que ce nom est un acronyme compliqué mais en fait la société de conseil en optimisation fiscale a tout simplement utilisé les initiales de ses fondateurs : Piet Klijnveld, William Barclay Peat, James Marwick, et Reinhard Goerdeler.

HOTMAIL :

ce nom a eu pour objet un vaste travail de brainstorming par les fondateurs de la société, Sabeer Bhatia et Jack Smith. Ces derniers voulaient le mot « mail » et ce nom a été choisi car il comportait les lettres HTML et faisait référence au langage informatique.

DYSNEYLAND TOKYO :

on peut croire que la marque appartient à Disney mais non. Il s’agit d’une société japonaise qui exploite une licence de l’entreprise américaine. Il s’agit de la première implantation en dehors du sol américain.

REEBOK :

le nom a pour origine le dictionnaire. Les fondateurs se sont tout simplement arrêtés sur le mot « The Rhebok » (Reebok en Afrique du sud). Il s’agit d’une espèce d’antilopes parmi les plus rapides au monde.

NIKE :

elle était en 2018 et pour la troisième année consécutive, la marque la plus vendue au monde malgré une baisse de 12 % de ses ventes avec une valeur estimée à 28 milliards de dollars.

LES ENTREPRENEURS QUI SE SONT PLANTÉS 

Henry Ford, Soichiro Honda, Akio Morita, Bill Gates, Thomas Edison … La liste est loin d’être exhaustive. Ils nous rappellent que l’échec n’est qu’un apprentissage.

CELIO : la marque a en 2018 avec son magasin de Rouen fait un énorme bad buzz. Celui-ci lacérait des vêtements neufs plutôt que de les donner. Les réactions ont été vives et la marque a subi un véritable Boycott.

NOKIA : la marque est superstitieuse et elle a presque toujours nommé ses modèles uniquement à l’aide de chiffres. Elle porte une particulière attention à ne pas inclure le chiffre 4 notamment pour les modèles destinés au marché asiatique qui le considère comme portant malheur et signifiant « mort ».

BIC : près de 100 millions de stylos à bille Bic Cristal sont vendus chaque année en France uniquement, soit plus de 3 par seconde ! La marque en a vendu déjà plus de 100 000 milliards depuis sa création à travers le monde.

Soigner son image pour valoriser son business

Dès que l’entreprise prend vie, il est fondamental de penser à son image. Il est facile de constater que certaines entreprises sont citées en permanence comme référence. Dans cette zone de turbulences que nous traversons, il est crucial de soigner son image. Mais pas seulement en apparence ! Les consommateurs, les internautes… ne veulent plus de mensonges ou de société idéale créée par des publicités. Il existe désormais une volonté de vivre fondée sur des valeurs réelles et non fabriquées de toutes pièces pour conquérir les clients. Qui n’a jamais rêvé d’être aussi identifiable que de grandes marques ? Si certains ont l’ambition de conquérir le monde, d’autres espèrent simplement influencer les consommateurs dans un univers toujours plus concurrentiel. Mais comment s’y prendre ?

Votre image sur les réseaux sociaux donne naissance à votre « e-réputation ». Il en va de même en ce qui concerne votre entreprise et/ou votre marque. Toutefois, Il faut bien distinguer l’image de marque ou « branding », celle voulue par l’entreprise, de l’e-réputation, qui renvoie à celle qui est perçue. Il s’agit de l’ensemble des représentations et jugements de valeur véhiculés sur la toile et associés à une entité donnée. Dans un univers hyperconcurrentiel, renvoyer une image de qualité se révèle un avantage considérable pour se démarquer. Si la sur-médiatisation reste un moyen efficace en investissant notamment dans la publicité, recourir aux réseaux sociaux permet également de bâtir une image durable.

Jusque dans les moindres détails…

Dans une société où la liberté d’expression prône, particulièrement sur les médias sociaux, difficile de mentir à ses clients ou prospects sur son entreprise. Vous vous devez de communiquer de façon claire et intelligible. L’orthographe de vos publications peut, à ce propos, passer pour un détail mais il n’est rien de plus provocateur, aux yeux des consommateurs, que de laisser des fautes lorsque vous publiez un post sur Facebook. Cela vous vaudra systématiquement une remarque désapprobatrice des internautes et n’améliorera pas votre image. Au contraire, vous risqueriez de passer pour une entreprise peu rigoureuse voire négligente. Pas top pour ceux qui recherchent un produit ou service de qualité…

« Une image vaut mille mots »

Plutôt que de faire de longs discours mettant en avant les raisons pour lesquelles il faut absolument devenir leurs clients (et dont les internautes ne sont que peu friands), certaines entreprises optent pour la simplicité. Souvent plus compréhensibles et plus « parlantes », elles postent alors des images sur leurs différents réseaux. À titre d’exemple, la chaîne Big Fernand, n’hésite pas à mettre en scène ses équipes et les prendre en photo avant de les partager. Publier quelques photos de vos locaux ou de vos salariés (l’idée étant qu’ils paraissent heureux de travailler chez vous) favorise la transparence avec les consommateurs. Parmi les dernières tendances, prendre des selfies lors d’un évènement permet de refléter la bonne humeur présente dans votre entreprise.

Faire preuve de réactivité 

Selon la taille de votre structure et le nombre de commentaires qu’elle génère sur les réseaux sociaux, prévoir un modérateur peut s’avérer utile. Imaginez des internautes qui ne soient ni clients ni prospects mais cherchent tout bonnement à vous nuire en postant des messages négatifs voire d’insultes. Mieux vaut prévenir que guérir. Toujours sur la logique de gestion des commentaires, y répondre, dans le délai le plus court possible, demeure fondamental. En répondant à vos commentaires, il vous est possible d’apporter des réponses en se plaçant comme un expert, de démontrer votre implication, de guider ses visiteurs pour maximiser le taux de conversion mais aussi de démentir certains a priori ou jugements peu objectifs. Souvenez-vous que, plus vous y répondrez rapidement, plus vous renverrez aux consommateurs l’une des images indispensables à toute entreprise : la réactivité.

Le « personal branding », pour quoi faire ?

Cette technique de marketing personnel consiste à gérer son image et, de fait, sa réputation. Pour faire simple, l’idée est de se vendre comme l’on promouvrait une marque. Il est question de mettre en avant ses compétences, ses qualités, ses valeurs, ses réalisations,… Autant d’éléments qui vous permettront de vous positionner comme un expert sur la toile. Présents sur le web, de manière volontaire ou non, nombreux sont ceux à disposer d’une identité numérique.

L’un des premiers réflexes lorsqu’on décroche un rendez-vous professionnel avec une personne que l’on n’a jamais rencontrée auparavant, s’avère donc de la « Googliser ». Les traces qu’on laisse sur internet ne peuvent, en principe, pas être effacées mais on peut tenter de les influencer : l’art du personal branding. Pour ce faire, utiliser des outils à forte valeur de référencement comme les réseaux sociaux constitue un vrai plus. Cela est d’autant plus important que votre image est souvent identifiée à celle de votre entreprise. Si vous pensez à Steve Job, vous pensez automatiquement à Apple. Si vous pensez à Xavier Niel, vous pensez à Free… L’inverse peut également se révéler vrai.

Ces astuces peu utilisées mais qui gagneraient à être connues… 

Sur les médias sociaux, certaines fonctionnalités ne sont que peu utilisées mais pourraient vous permettre d’améliorer votre maîtrise des réseaux. Facebook permet, à titre d’exemple, de surveiller les publications de vos concurrents sans forcément devenir amis avec eux mais, simplement, en créant une « liste d’intérêts » et en lui ajoutant des pages. Grâce aux fonctionnalités LinkedIn, vous pouvez aussi exporter vos connexions afin d’obtenir les adresses mail de vos contacts. Pour ce faire, cliquez sur « Réseau », puis sur « Contacts » et enfin, sur la roue d’engrenage située sur la droite. Le lien « Export LinkedIn Connections » apparaîtra à l’écran.

Sur Twitter, il vous est possible de rendre vos photos virales en taguant jusqu’à dix comptes, de préférence qui ont un rapport avec vos publications, qui recevront alors une notification. Vous pouvez également, sur Instagram, être informé instantanément d’une publication d’un ou plusieurs comptes. Pour activer ce paramètre, rendez-vous sur le compte en question, cliquez sur les trois points situés en haut à droite, puis sélectionnez « Activer les notifications pour les publications ». 

20 citations inspirantes pour commencer la semaine

A force de lire, d’écouter, de voir en permanence des nouvelles qui vous prédisent une semaine catastrophique et des jours obscurs, qui vous plombent le moral : une nouvelle vague épidémique, la catastrophe économique, les licenciements, le chômage, la pauvreté, la précarité … vous perdrez l’espoir nécessaire au dynamisme de votre entreprise et vous oubliez qu’avec l’enthousiasme on peut soulever des montagnes et votre créativité est en berne. Bref, Dynamique vous proposent de vous inspirer de ces personnes qui ont su dépasser les difficultés et vous en servir de boussole.

Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal : c’est le courage de continuer qui compte.

W. Churchil

« J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre. »

N. Mandela

Les meilleures choses qui arrivent dans le monde de l’entreprise ne sont pas le résultat du travail d’un seul homme. C’est le travail de toute une équipe.

Steve Jobs

Je crois que lorsque vous avez un rêve et que vous consacrez toute votre force à le réaliser, vous pouvez y arriver immanquablement.

Valentina Tereshkova

Si nous avons le courage de les poursuivre, tous les rêves deviennent réalité.

W. Disney

Ce n’est pas le courage qui permet de gagner une bataille mais la persévérance.

Wangari Maathai

J’ai appris au fil du temps que lorsque nous sommes fermement résolus, la peur diminue. Savoir ce qui doit être fait, fait disparaître la peur.

Rosa Parks

Il ne suffit pas de prendre les mesures qui nous conduiront peut-être vers un objectif chaque mesure doit être un objectif.

Johan Wolfgang Von Goethe

La plus grande victoire de l’existence ne consiste pas à ne jamais tomber, mais à se relever après chaque chute.

Nelson Mandela

Tout existe en nous : les étoiles, le clair de lune, l’éclat du soleil et toute leur sagesse.

Elise Boulding

Vos clients les plus insatisfaits sont votre plus grande source d’apprentissage.

Bill Gates

Nous considérons nos clients comme des invités, à une fête où nous sommes les hôtes. C’est notre job d’améliorer leur expérience un peu plus chaque jour.

Jeff Bezos

Votre site web n’est pas le centre de votre univers. Votre page Facebook n’est pas le centre de votre univers. Votre application mobile n’est pas le centre de votre univers. Le client est le centre de votre univers.

Bruce Ernst

La réussite ne se mesure pas à l’argent que vous gagnez mais à votre capacité à changer la vie des gens.

Michelle Obama

Quand vous essayez de prendre une décision importante, et que vous êtes divisé, demandez-vous : si le client était là, qu’est-ce qu’il dirait ?

Dharmesh Shah

Vous n’apprenez pas à marcher en suivant les règles, vous apprenez en faisant et en tombant.

Richard Branson

À force de tentatives, on finit toujours par réussir.

Hérodote

Chaque bonne réalisation, grande ou petite, connaît ses périodes de corvée et de triomphe : un début, un combat et une victoire.

Mohandas Karamchand Gandhi

Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre.

Marie Curie

Méritez votre statut de leader chaque jour !

Michael Jordan

Quelques astuces pour mieux communiquer

La communication est le nerf de la guerre car elle permet de créer une ambiance conviviale au sein de l’entreprise et créer des liens pérennes aussi avec les collaborateurs que les clients , fournisseurs, partenaires…. Pourtant , elle est freinée par de nombreux obstacles. Il suffit pourtant parfois de quelques astuces pour mieux communiquer et pour la rendre fluide et développer une nouvelle dynamique.

Utilisez des anecdotes pour détendre l’atmosphère

Rien n’est plus efficace qu’une anecdote choisie à bon escient car elle détend l’atmosphère mais rend votre intervention à la portée de tous. N’hésitez donc pas à l’utiliser car elle a pour atout d’être facilement mémorisée par vos interlocuteurs. Mais attention une anecdote aussi amusante qu’elle soit ne vous dispense pas de la préparer afin qu’elle n’agace pas par son manque d’intérêt votre public.

Utilisez les mots les plus simples possibles

Rendre un discours audible par tous peut paraître une évidence. Utilisez un vocabulaire que vos interlocuteurs maîtrisent et écartez les mots « savants » qui n’ont que pour objectif de vous mettre en valeur de façon ostentatoire car finalement ils ne vous rendent pas crédibles. Inutile de vouloir éblouir votre public. En tant qu’entrepreneur, n’oubliez pas que vous devez avant tout communiquer avec efficacité et donc ne pas laisser de place à l’interprétation. Utilisez certes une langue soutenue mais dénuée d’un vocabulaire compris uniquement par des spécialistes.

Des phrases courtes, svp

La concision est fondamentale. En effet le commun des mortels a une capacité de mémorisation limitée et ne retient en général que les phrases fortes. Les slogans politiques sont tout particulièrement de bons exemples car ils simplifient à l’extrême ce qui doit être retenu. Soyez donc aussi bref que possible et préparez vos interventions avec minutie. Steve Jobs n’a-t-il pas bâti Apple avec « Less is more ».

Évitez le « moi je »

Rien de plus désagréable que de faire une conversation avec quelqu’un qui n’arrête pas de dire « moi je » ou « Mon entreprise a fait ceci » ou encore « moi j’ai fait cela ». Ne donnez jamais l’impression d’être celui qui ne cherche qu’à écraser les autres par sa suffisance.

Le son et l’image tout aussi importants

Au risque de dire un lieu commun ce que chaque communicant sait, la majorité du message que vous émettez ne passe pas par le biais des mots que vous utilisez. Votre attitude, votre ton… font passer bien d’autres messages. Quand vous êtes en colère, n’avez-vous pas tendance à élever la voix et à faire des gestes plus agressifs ? N’avez-vous pas tendance à sourire quand vous êtes content ? Maîtriser la modulation de votre ton ainsi que votre comportement peut s’avérer être une manière de convaincre efficace !

Posez une question au public, avant qu’il ne s’assoupisse

Nous l’oublions souvent mais une question peut s’avérer très pertinente même en l’absence de réponse. Déjà parce qu’elle réveille votre public, ensuite parce qu’elle l’amène à une réflexion. Elle lui donne l’impression d’être un acteur de votre conférence et renforce sa capacité d’écoute. Une bonne question n’est pas celle qui a forcément une réponse mais celle qui est évocatrice et suscite la réflexion.

Plongez-vous dans l’administratif !

Les tâches liées à la gestion administrative et comptable ne sont guère prisées par nombre d’entrepreneurs qui n’y voient pas de valeur ajoutée. Dans leur for intérieur ils savent qu’une telle attitude peut les conduire à vivre dans l’urgence, à payer des pénalités de retard, à perdre un client… mais ils préfèrent se concentrer sur des actions qu’ils considèrent essentielles et les remettre à demain.

Ces tâches font partie pourtant d’une des missions du chef d’entreprise. Certes, elles s’avèrent chronophages, répétitives, alors comment faire ? Quelques conseils pour devenir un pro de l’administratif.

Maîtrisez les bases du vocabulaire administratif et comptable. 

Qu’on s’y connaisse ou non en comptabilité, il faut s’y coller dès la création de l’entreprise. Être maître de ses comptes, c’est être maître de l’avenir de son entreprise et de sa rentabilité. Et avant tout, il faut maîtriser le vocabulaire de base. L’actif représente l’ensemble des biens de l’entreprise, qu’il s’agisse des liquidités, de créances et de possessions. A contrario, le passif représente quant à lui l’ensemble des dettes de l’entreprise. Quant aux dettes d’exploitation, elles sont liées à l’activité normale de l’entreprise. Le capital circulant est constitué des actifs détenus par votre entreprise. Enfin, l’exercice comptable consiste en une période comptable de 12 mois. 

Établissez votre plan comptable, votre boussole. 

Une fois ces termes maîtrisés, il va falloir réaliser votre plan comptable. Il s’agit d’un document qui vous permet de classer les informations comptables de l’entreprise par catégorie, en vue de produire les comptes annuels en fin d’année. Le plan comptable répond à une réglementation de normalisation comptable, mise en place par l’Autorité des normes comptables, qui définit les règles applicables aux entreprises domiciliées en France. Adapté à votre structure, il doit rappeler les objets et les principes de la comptabilité. Il doit aussi fixer le bilan, le compte de résultat, le passif et l’actif de l’entreprise, les produits et les charges. Il va vous falloir le faire coïncider avec le régime fiscal de votre société afin d’y intégrer les aides, les subventions et crédits impôts dont vous bénéficiez. 

Gérez l’administratif au quotidien pour plus de sérénité.

A force de toujours remettre la gestion administrative à demain, les dossiers vont s’accumuler et vous risquez de vous retrouver en grande difficulté pour l’exploitation de votre entreprise. Et faire face à des problèmes pour un défaut d’organisation peut vite s’avérer frustrant, surtout si votre société connaît ou commence à connaître un réel succès. D’autant que recevoir des pénalités et des amendes pour non-respect des obligations légales ferait mauvais genre auprès de vos clients ou partenaires potentiels. Soignez votre crédibilité en vous plongeant dans les dossiers administratifs et comptables au jour le jour, notamment grâce à la tenue de tableaux de bords quotidiens.

Pour être efficace dans la gestion de ses documents, rien de tel que de classer ses dossiers par catégorie. Mettez à jour régulièrement votre journal des ventes et faites des copies de vos documents et courriers administratifs, que vous les conserviez sur papier dans un classeur, ou dans le Cloud via un service de stockage dématérialisé. Si vos équipes sont soumises à de nombreux déplacements, pensez à mettre en place la gestion électronique des notes de frais, ce qui vous fera gagner du temps. 

Réalisez un budget prévisionnel. 

C’est bien là une des choses indispensables à la gestion comptable d’une entreprise. Le budget prévisionnel permet de prévoir les recettes et dépenses de l’année à venir. Utile si ne vous voulez pas vous retrouver pris au dépourvu ! Pour cela, plusieurs méthodes existent. Tout d’abord, prenez en compte le niveau de trésorerie au moment de l’établissement du budget pour que ce dernier soit pertinent. Pour faire un tableau de bord pertinent, il faut que chaque mois, vous preniez le budget de l’année dernière majoré de l’inflation et des dépenses supplémentaire prévues liés par exemple au matériel de bureau, d’impression, au stock, etc.

Pour les recettes, vous disposez également de votre tableau de bord de l’année dernière et de vos affaires en cours. Le but dans ce budget est de tout prévoir, c’est à dire de la situation la plus désespérée à la plus optimiste. Grâce à cela, vous allez anticiper les écarts de trésorerie et prévenir à temps le banquier d’éventuels mouvements d’argent. C’est aussi l’occasion en comparant le budget réel au budget prévisionnel de pouvoir adapter vos plans d’actions et ainsi anticiper les problèmes. L’adage « il vaut mieux prévenir que guérir » prend alors ici tout son sens. 

Et pourquoi pas vous accompagner par des professionnels.

La gestion administrative et comptable

peut s’avérer parfois plus complexe qu’on ne le voudrait et se faire aider de professionnels, en plus d’être utile, permet de limiter votre responsabilité pénale et civile s’il advient une faute de gestion.

L’expert-comptable 

Pour commencer, vous pouvez vous adjoindre les services du traditionnel expert-comptable. Son rôle en tant que conseiller privilégié du chef d’entreprise est de lui apporter son expertise notamment dans le domaine de la comptabilité. C’est lui qui va tenir et gérer ce domaine. Il contrôle la production et les comptes annuels de l’entreprise et examinera vos déclarations fiscales et sociales. Son rôle est essentiel, car il s’agit pour vous d’une personne qui vous apportera sécurité sur les plans administratif, comptable, financier, fiscal, juridique et social. Si vous avez une bonne relation avec lui, il peut se transformer en véritable conseiller et pourra vous aider pour réaliser des business plans, rechercher des financement adaptés ou mettre en place des tableaux de bord assortis à l’activité de l’entreprise ou même vous conseiller sur le statut juridique et social à adopter et sur la gestion quotidienne de votre entreprise. 

Le « cost-killer »

Il existe un autre personnage qui peut s’avérer utile pour optimiser votre gestion comptable : le cost-killer, connu aussi sous le nom de chasseur de gaspillage. Son rôle ? La réduction des coûts par l’élimination du superflu et du non stratégique. Il est là pour vous aider à rationaliser les dépenses comme les charges fiscales et sociales, les frais supplémentaires et pour dénicher les achats les plus intéressants. Il va étudier les comptes de la société, la structure des coûts et analyse des besoins et propose des solutions pour minimiser les dépenses. Ensuite, par l’étude des marchés, il repère les meilleures opportunités de prix afin d’établir un cahier des charges. Il peut procéder à la négociation de certains contrats ou pousser l’entreprise à lancer de nouveaux appels d’offres. En bref, il va réduire vos dépenses au strict nécessaire. Un bon appui dans le but d’optimiser sa gestion comptable au quotidien !  

Une mission essentielle, à ne jamais remettre en question ! 

Le développement de votre cœur de métier doit certes rester une priorité. Mais n’oubliez pas pour autant que la gestion administrative et comptable constitue l’un des piliers qui fait tourner votre entreprise. Même s’il peut s’agir à première vue d’un exercice laborieux et plutôt pénible, pensez qu’il vous faudra absolument gérer cette partie, que ce soit en interne ou en externe. Savoir gérer l’administratif et la comptabilité vous permet d’anticiper les désagréments. Vous pourrez éviter ainsi éviter les refus de votre banquier en anticipant un trou de trésorerie ponctuel ou un mouvement d’argent important.

Surveillez les postes clients et fournisseurs et faites attention aux délais de règlement accordés car plus ils sont longs, plus ils auront une incidence sur votre trésorerie. Facturez rapidement, vous éviterez des mauvaises surprises à vos clients qui sauront dès le début à quoi s’en tenir. Il est toujours plus agréable et rassurant de traiter avec quelqu’un d’organisé sur le plan administratif.

5 plateformes de crowdfunding

Le crowdfunfing ou financement participatif est issu des nouveaux moyens technologiques liés à la communication : internet et les réseaux sociaux. Au lieu d’être seulement dépendantes des banques, les entreprises peuvent obtenir des fonds qui leur permettent de développer leurs projets, augmenter leur croissance, de recruter…Il existe différentes méthodes pour récolter des fonds : que ce soit pour récolter des dons, obtenir un prêt ou trouver des actionnaires qui viendront soutenir leur trésorerie. Dynamique a choisi de vous présenter 5 plateformes de crowdfunding qui ont fait leurs preuves.

Toutes les plateformes ne conviennent pas à tous les projets et donc il vous faudra avant de vous lancer et ne pas perdre de temps bien observer leurs différentes implications.

Ulule, le financement participatif européen

Le taux de succès affiché par Ulule.com est de 65 % pour les projets créés sur la plateforme. Les différentes devises européennes sont gérées (€, £, couronnes danoises, francs suisses, etc.). Mais les dollars américains et australiens sont également acceptés pour les transactions sur le site Web. Cette ouverture à des modes de paiement divers permet alors une ouverture internationale des projets. Pour les mettre en valeur auprès d’un autre public, une boutique est ouverte à Paris pour découvrir une sélection de produits issus de projets qui ont vu le jour grâce à Ulule. Le site abrite des idées de toutes les sortes, et il est particulièrement plébiscité par les créatifs et jeunes entrepreneurs.

Wiseed, pour devenir un investisseur

Investir dans une entreprise est une façon de gagner des revenus en participant à son activité. Grâce à une somme d’argent donnée à la société, on en devient alors un des dirigeants ce qui permet de toucher une part des bénéfices. Wiseed propose alors de rendre accessible l’investissement dans le capital d’une entreprise grâce à son site Internet. Il est possible d’investir dès 100 € ! L’équipe de la plateforme accompagne également les sociétés qui recherchent des financements pour présenter leur projet afin d’en assurer le succès.

KissKissBankBank pour les créatifs audacieux

Voici une plateforme francophone qui permet d’accéder à toutes les sortes de projets et de les financer sous la forme de dons. En juin 2018, le portail annonce avoir collecté plus de 85 millions d’€. Plus de 100 000 projets ont été créés sur la plateforme. C’est une véritable effervescence entrepreneuriale !

Kickstarteur, une valeur sûre

S’il fallait une référence internationale, Kickstarteur est certainement un emblème dans le domaine des projets financés grâce au crowdfunding. Un projet qui réussit sur cette plateforme lui sert presque de label pour promouvoir son idée et la faire prospérer. Le site crée également des appels à projets afin d’encourager l’émergence d’entreprises personnelles, professionnelles, et / ou créatives. Plus de 14 millions de contributeurs ont participé aux différentes initiatives présentées sur le site depuis sa création !

MyMajorCompany pour financer les musiciens

Plateforme de référence pour les musiciens produits par MyMajorCompany, le site est la première solution de financement participatif en France. Elle permet à chaque internaute de participer directement à la production musicale pour les musiciens ou chanteurs, qui les ont séduits. En quelques clics, on peut alors devenir un véritable acteur de l’industrie du disque. Des artistes comme Tibz ou Joyce Jonathan sont produits par MyMajorCompany. 

8 Entrepreneures françaises qui font un carton

Qui sont ces femmes qui ont bouleversé l’écosystème entrepreneurial ? Rien ne résiste à leur audace. Ces dirigeantes de caractère et d’ambition, enregistrent des investissements records pour leurs start-up. Les Entrepreneures françaises font et défont l’actualité, toujours à la page, parfois à la une. Rencontre avec ces « serial entrepreneures ».

Marjolaine Grondin

Cofondatrice et présidente de Jam, service basé sur l’intelligence artificielle. L’application assiste les étudiants dans leurs problèmes quotidiens, 7j/7 et de 7h à 2h du matin, par correspondance SMS, ou via les réseaux sociaux, Facebook, DM, Twitter et prochainement Whatsapp. La très jeune femme a été primée par la MIT Technology Review dans la catégorie des 10 innovateurs français de moins de 35 ans pour l’année 2016 et elle ne cesse de s’imposer dans le monde de l’entrepreneuriat.

Tatiana Jama & Lara Rouyres

Se rencontrent en 2007 en master, à HEC. Deux ans plus tard, elles cofondent Dealissime au sein de l’incubateur de l’école. Il s’agit d’un site de ventes événementielles pour femmes qu’elles vendent en 2011 à Living Social, le géant américain de la publicité locale. Ensemble, elles dirigent Living Social France. Trois ans s’écoulent et elles lancent leur nouvelle boîte :  Selectionnist. Cet « agrégateur d’idées shopping » recensent plus de 30 000 références citées dans les magazines féminins, afin de faciliter les éventuels achats des lectrices.. 

Dominique Brogi

En 2010, elle crée Meetphone qui édite des applications mobiles de communication. Son but est de faciliter la communication B to B et B to C. La start-up propose un service à la carte à ses clients avec des solutions professionnelles qui apportent des réponses en fonction des besoins identifiés tout en boostant sa visibilité et ses actions. C’est aussi un outil puissant pour tisser et/ou renforcer du lien de proximité. Sa société Meetphone développe dans le Vaucluse, des bijoux connectés pour garantir votre sécurité. Un pendentif est relié à votre smartphone qui permet de rassurer vos proches ou de donner l’alerte en cas de besoin.

Cécile Roederer

En 2008, Smallable voit le jour, ce site d’e-commerce pour enfants et adolescents emploie depuis une trentaine de personnes à Paris. Puis, en 2015, la start-up annonce une levée de fonds de 5 millions d’euros auprès de Sigma Gestion, Aurinvest et Alven Capital qui est son partenaire historique. En novembre de la même année, Cécile a pu inaugurer sa première boutique physique de 300m2 au cœur de Paris. Le site, quant à lui qui double sa croissance chaque mois, et réalise un chiffre d’affaires exponentiel. Plus de 60 % de ce dernier se fait à l’étranger, auprès de 200 pays. La dirigeante voit en grand pour les petits. Un business de taille !

Janicka Bassis 

Il ne s’agit ni plus ni moins de l’une des premières femmes directeurs en France de l’industrie des marchés d’investissements en capitaux de l’immobilier international. Depuis 1990 elle se met à l’écoute et au service des carrières féminines dans le secteur de l’immobilier. En 2012, elle fonde et dirige World Women In Real Estate (WWIRE) et du réseau social dédié aux femmes entrepreneures : WWINBIZ.  Séminaires, networking et séance de coaching sont organisés pour optimiser leur réussite professionnelle. Janiska s’est donné pour mission de créer une sphère d’entraide enrichissante. Elle conjugue les verbes entreprendre et réussir au féminin. Aujourd’hui, il permet à ses 30.000 contacts à travers le monde de s’entraider.

Céline Lazorthes 

Elle a fondé en 2009 Leetchi, le leader français de la cagnotte en ligne. L’idée est judicieuse et séduit plus d’un investisseur. Au total Leetchi lève plus de 100 millions d’euros depuis sa création et souhaite doubler ce montant. Sa réussite vient bouleverser le paysage du paiement en ligne. Désormais, quiconque peut disposer de cette solution financière dans le cadre de divers évènements et inviter une liste de personnes à y prendre part. Faire un cadeau de mariage ou d’anniversaire, organiser une soirée d’entreprise ou un pot de départ ne seront plus une corvée et ils sont déjà plus de 5 millions d’utilisateurs à le penser. En 2013, Céline Lazorthes fait partie des 100 personnalités qui font le Web français, et en 2014 obtient le titre de femme d’affaires de l’année pour le prix Veuve Cliquot.

Forte de son succès elle monte en 2013 Mangopay : le nouvel acteur de l’économie collaborative européenne.  Aujourd’hui, Céline Lazorthes est business Angel et féministe accomplie et cofondé le collectif de femmes Sista dans l’optique d’améliorer les financements au profit des femmes entrepreneuses. Elle travaille avec le Conseil national du numérique pour élaborer une charte d’éthique et de prise de responsabilité en matière de RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) à destination des fonds d’investissement.

Mathilde Collin

Présidente et cofondatrice de Front, lancé en juin 2014, avec Laurent Perrin. Ils proposent une solution de collaboration pratique pour la gestion efficiente des boîtes de réception partagées. La start-up entend se démarquer des services de messagerie déjà implantés sur le marché et veut aller encore plus loin. « D’autres canaux de communication peuvent aussi être intégrés. Vous pouvez ainsi gérer en équipe vos tweets ou vos messages SMS. Cela permet ainsi d’avoir une vue globale de vos interactions avec vos clients et vos employés » précise Mathilde Collin. Leur projet ambitieux trouve ses mécènes et vient de lever 3,1 millions de dollars. L’e-mail vu, revu et corrigé par Front plaît et a encore de belles années devant lui. En 2019 , l’entrepreneuse “successful” figure dans la prestigieuse sélection 2019 des Next Billion Dollars startups de Forbes.

Pauline Laigneau  

Ou la femme derrière Gemmyo. Vous savez l’adorable chaton fluo qui courent les couloirs du métro parisien ? C’est elle. Il s’agit d’une joaillerie haut de gamme en ligne lancée depuis juin 2011. Son principe : des bijoux de grande qualité personnalisables. L’offre est colossale avec un choix très large entre 2 000 modèles différents composés de 13 gemmes et 4 métaux précieux. Un concept en or qui lui vaut une première levée de fonds en décembre 2011 de 340 000 € et une seconde en juillet 2012 de 600 000 € puis une troisième en 2013 de 3 100 000 € auprès d’Alven Capital et des investisseurs historiques. Gemmyo est la première marque de joaillerie française à s’être construite via le digital. A un premier showroom ouvert à Paris en 2015 s’en ajoute un autre à Lyon, en 2017. Et le pop-up store a ouvert au Printemps Haussmann.