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Un rayon de soleil empli de nouvelles positives

Enfin, un rayon de soleil avec des nouvelles positives que ce soit au niveau de commandes exceptionnelles, des levées de fonds qui ouvrent des perspectives, de la croissance inespérée en ces temps de crise. C’est le moment de créer de la valeur et des opportunités pour mieux rebondir.

Omie & Cie réussit sa levée de fonds 15 millions d’euros

La société, spécialisée dans l’alimentation régénérative, vient d’annoncer le bouclage de son deuxième tour de table à hauteur de 15 millions d’euros auprès des fonds 2050, XAnge, Founders Future ainsi que de nouveaux actionnaires comme le Crédit Agricole, Cookpad, et 50 Partners Impact. Fondée en février 2021 par Joséphine Bournonville, Coline Burland, Benoit Del Basso et Christian Jorge, l’entreprise compte déjà 260 produits et un réseau de 260 agriculteurs. Elle cherche ainsi à augmenter son sourcing de partenaires agricoles, « développer de nouvelles filières alimentaires, augmenter encore sa gamme de produits et développer ses investissements marketing pour faire connaître la marque au plus grand nombre » comme le confirme nos confrères de Frenchweb. 

Exotrail lève 54 millions d’euros

Après une première levée de fonds en 2018 à hauteur 3,5 millions d’euros et une deuxième en 2020 de 11 millions, la start-up française Exotrail, fondée en 2015 et implantée à Toulouse et Massy, a annoncé avoir finalisé le 7 février sa levée de fonds de 54 millions d’euros en série B auprès de Bpifrance (SPI et Fonds Innovation Défense), Eurazeo et CELAD avec ses investisseurs historiques (Karista, 360 Capital et le fonds Digital Venture). Elle cherche ainsi à industrialiser ses moteurs à propulsion pour petits satellites ainsi que booster les ventes de son SpaceDrop. Elle a pour objectif de conquérir les marchés nord-américain et asiatique. 

Hermès a le vent en poupe !

Si de nombreuses enseignes de l’habillement subissent des conséquences dramatiques du fait de la Covid, ce n’est pas le cas d’Hermès. Il faut dire qu’après des résultats historiques l’an passé, le chiffre d’affaires mondial de l’entreprise a encore augmenté (+23,4 %) se situant à 11,6 milliards d’euros. Mieux son résultat opérationnel a progressé de 33 %, à la bagatelle de 4,7 milliards d’euros. L’entreprise qui a vu sa marge passer le cap de 40 %, peut donc se targuer de ne pas connaître de difficultés malgré le fait que ce n’est le cas dans le marché du luxe qui, lui, a montré quelques signes de faiblesses ces derniers mois notamment à l’international. Le retour de la Covid en Chine n’aura donc rien changé pour l’entreprise qui conserve des objectifs de croissance « malgré les incertitudes économiques, géopolitiques et monétaires dans le monde ». 

Air France-KLM à nouveau rentable

L’époque de la Covid semble bien terminée pour la compagnie qui affiche un bénéfice net au 3ème trimestre 2022 de 460 millions d’euros. Celle-ci a profité d’une période estivale particulièrement active avec près de 25 millions de passagers. Le chiffre d’affaires est en augmentation par rapport à la période d’avant crise et est de 47,6 % supérieure par rapport au 3ème trimestre 2021. A 8,11 Md€, il est ainsi supérieur de 500 M€ par rapport à celui du 3ème trimestre 2019. Si Air France-KLM a connu des difficultés pendant la crise, il faut constater que désormais la compagnie est plus rentable qu’avant puisque le taux de remplissage n’était pas maximal et malgré les flambées des cours du pétrole et de l’inflation. 

Airbnb, positif pour la première fois de son histoire

La plateforme est en train de rattraper son retard du fait de la pandémie et atteint pour la première fois la rentabilité en 2022. Elle comptait fin 2022, 6,6 millions d’annonces actives, une augmentation de près de 900 000 par rapport à l’année précédente malgré son retrait du marché chinois. Ceci a notamment été possible grâce à un chiffre d’affaires qui a bondi de 40 % sur un an, se situant à 8,4 milliards de dollars en 2022. Le résultat net n’est pas à négliger avec 1,9 milliard de dollars. Brian Chesky, PDG de l’entreprise, pense que ces résultats devraient se répéter cette année avec 1,75 à 1,82 milliard au premier trimestre. Une nouvelle qui a ravi les investisseurs dont les actions se sont envolées de près de 10%. Contrairement à nombre de plateforme, la société souhaite continuer à multiplier les embauches. 

Entreprendre en solitaire ou s’associer ?

Entreprendre en solitaire ou s’associer, les créateurs d’entreprises sont souvent confrontés à ce dilemme. S’agissant d’une des clés de la réussite pour une entreprise, mieux vaut s’attarder sur la question. Il vous faut faire un choix et voici donc quelques conseils pour mieux vous orienter.

L’importance du choix

Choisir d’entreprendre en solitaire ou en association est d’une importance capitale. En effet, votre décision va non seulement contribuer à la mise en marche de l’entreprise, mais cela aura aussi un impact sur sa gestion. Au-delà de vouloir gérer seul ou en groupe, il faut également prendre en compte les autres aspects notamment l’impact sur les finances de l’entreprise, les ressources humaines initiales et les compétences présentes dans l’équipe. Peu importe le type d’entreprise, vous devez envisager toutes les perspectives avant de la créer. Ainsi, vous aurez toutes les chances de réussir. 

Associé actif ou non

Il ne faut pas d’abord confondre la présence d’associés financiers avec celles d’associés actifs. Ce n’est pas parce que vous avez des minoritaires inactifs, que vous n’avez pas entrepris seul. C’est la raison pour laquelle et même s’il y a parfois un abus de langage, on dissocie parfois les associés et les actionnaires, comme s’ils étaient deux entités bien distinctes.  Dans la pratique la dénomination est liée à la forme juridique de votre entreprise. Dans notre cas, nous considérerons le fait d’entreprendre seul ou avec des associés actifs.

Les inconvénients d’être seul

Il faut savoir qu’entreprendre seul entraîne plus d’inconvénients que d’avantages dans l’absolu. D’abord dans le cas où vous entreprenez seul, il faut prendre en compte que vous subirez l’isolement du chef d’entreprise. Votre associé ne sera pas là pour échanger avec vous et vous aurez plus de mal à partager vos idées ou résoudre des difficultés qui peuvent parfois être angoissantes. 

Faire ce choix implique également que l’ensemble des responsabilités vont reposer sur vous et que vous aurez en charge la gestion. Souvent, les apports seront moindres au départ (vous n’avez pas le capital de votre associé) et vous ne disposerez que de votre seule force de travail (sauf si vous recrutez rapidement des collaborateurs). Surtout, vous ne bénéficiez pas de l’apport en compétences de votre associé qui pourrait en avoir certaines qui vous font défaut et utiles pour le projet. 

Les avantages à entreprendre en solitaire

Entreprendre seul entraîne tout de même des effets positifs. D’abord, vous n’aurez qu’une masse salariale si vous vous décidez de vous rémunérer, vous n’aurez que celle-ci (sauf à avoir d’autres salariés). Entreprendre à plusieurs implique donc de payer généralement deux salaires car vous ne pourrez pas éternellement éviter de vous payer. Surtout, entreprendre seul entraîne des formalités simplifiées, c’est pourquoi de nombreux entrepreneurs décident souvent de ne pas ouvrir leur capital (même quand ils gardent toutes les décisions et qu’ils ne prennent que des actionnaires minoritaires). Bien entendu, cela vous évite également de partager les bénéfices et de devoir prendre l’avis de votre associé sur les décisions.

Entreprendre à plusieurs

Pour éviter les déconvenues, vous devez bien rédiger les clauses du contrat qui vous lient et penser aux différentes situations qui peuvent arriver comme un désaccord sur la direction de l’entreprise ou encore des circonstances comme le décès d’un associé. Les fonctions vont généralement être réparties selon les compétences de chacun et la prise de décision, peut se faire de manière collégiale même si parfois un associé prend toutes les décisions. 

Surtout, évaluez les raisons qui vous poussent à entreprendre en solitaire ou en association, pour ne pas avoir à le regretter plus tard.

Comprendre la résistance au changement dans son entreprise

Le changement a deux facettes : la peur et l’espoir qui sont indissociables pour les dirigeants et les salariés. Aujourd’hui, il fait partie de l’ADN de toutes les entreprises qui doivent savoir se renouveler en permanence. Celui-ci a toujours un impact sur les salariés et c’est la raison pour laquelle il faut l’anticiper. Afin de surmonter la résistance au changement inhérente à toute évolution, il faut commencer par la cerner. Voici quelques informations qui pourront vous y aider.

Différents degrés d’implication

Une enquête internationale de l’institut Gall up dénombre que seulement 9 % des salariés français sont réellement engagés au sein de leurs entreprises. Un chiffre qui demande à être observé attentivement. Ainsi, si on va dans la profondeur, on peut s’intéresser à Isaac Getz, Docteur en psychologie et en management, professeur à l’ESCP à Paris et auteur de « Freedom Inc (L’entreprise libérée) », selon lequel il existe trois profils de salariés.
• Les engagés, qui contribuent fortement aux performances de l’entreprise, qui innovent, créent de la valeur, portent la croissance.
• Puis, les désengagés, qui en font le minimum, plutôt passifs et qui à la première difficulté, chercheront une autre entreprise.
• Enfin, les activement désengagés, qui sont insatisfaits et improductifs, mais de plus qui donnent à l’entreprise un climat délétère par l’impact négatif qu’ils sont sur les autres salariés, qui critiquent les responsables et portent au coup fatal aux projets et aux initiatives.

Le Changement individuel

Un changement individuel amène souvent un changement d’environnement. Il peut amener une personne à devenir anxieuse. Effectivement, n’ayant plus les mêmes repères habituels, un individu peut modifier son comportement, voire remettre en cause son activité. 

Dans le cas de l’implémentation de nouvelles technologies, il faut être à l’écoute des salariés car souvent ils craignent de ne pas être à la hauteur et de se laisser dépasser par le changement, il faut donc leur proposer des formations mais écouter leurs réels besoins afin qu’ils deviennent performants et ne pas leur imposer un pack de formation non adapté.
Dans le cas d’une intégration, un manager se doit d’aider le nouvel employé à bien intégrer son équipe. En fait, cela peut commencer par une présentation, pour mieux détendre l’atmosphère. Ne leur mettez pas trop de pression au début, laissez-les s’adapter à leur propre rythme.

Le changement collectif

Les employés au sein d’une entreprise partagent les mêmes valeurs. Quand un changement arrive, vos collaborateurs éprouvent une crainte collective, ce qui est souvent source de déstabilisation au sein de l’organisation. C’est pourquoi vous devez impérativement les rassurer avant de l’annoncer. Pour aider les collaborateurs à mieux faire face aux modifications de leur environnement, vous devez organiser une réunion. Laissez libre parole à chacun d’eux. Expliquez-leur les raisons du changement et trouvez ensemble les attitudes à adopter. En effet, conduire le changement représente une opportunité pour réengager une partie de ses salariés en leur donnant de l’autonomie, en leur permettant d’avoir des initiatives et en libérant leur parole. Il représente désormais une opportunité pour créer un dialogue qui a souvent disparu au profit du matériel.

Le changement structurel ou conjoncturel

Si vous avez décidé de changer la structure au sein de votre entreprise, vous devez impérativement en informer vos employés. Que ce soit concernant les horaires, l’organisation des bureaux, les routines de travail, les organisations pyramidales ou autres, ce genre de changement amène vos collaborateurs à s’adapter.

Vous devez être compréhensif si l’un de vos collaborateurs a du mal à faire face au changement. Vous devez leur demander progressivement de faire des efforts. Pour aider vos employés à s’adapter, vous devez essayer de vous mettre dans leur situation. En faisant cela, vous vous sentirez plus apte à les comprendre.

Comprendre la résistance au changement

Il n’est pas facile pour une personne de s’adapter à un changement. Cette même personne a tendance à résister lorsqu’elle le ressent comme une menace pour son travail et pour son confort. Les formes de résistance au changement les plus connues sont l’inertie et l’argumentation.

L’inertie est le refus du changement. Sans brusquer votre collaborateur, vous devez lui faire comprendre que celui-ci est bien là. Essayez de lui expliquer petit à petit. Car plus vous lui forcerez la main, plus il se sentira perdu et son refus va alors persister.

L’argumentation signifie que la personne est révoltée face au changement. Ne le blâmez pas pour sa réaction, car c’est un geste tout à fait normal. Essayez plutôt de lui expliquer l’importance de cette transformation et faites-lui comprendre l’utilité de son implication.

Quand un changement arrive au sein de votre entreprise, il faut donc vous préparer. Avant même son apparition, vous devez en parler à vos collaborateurs. Faites-en sorte que chacun comprenne les raisons et les conséquences que cela implique pour le travail mais la transparence sur les décisions va être un incontournable et fait partie du respect de la valeur des salariés !

Dans quels bureaux m’installer quand je me lance ?

Pour les entrepreneurs qui se lancent, aucun paramètre n’est à négliger, y compris l’endroit où s’installer. Certains éléments sont à prendre en compte afin de faire le bon choix et trouver la perle rare qui conviendra parfaitement à votre entreprise. Alors, quels bureaux pour quels projets d’entreprise ?

L’activité comme critère principal

On choisit d’abord le lieu de son bureau en fonction du métier que l’on pratique. Par exemple, l’entreprise peut proposer un service qui demande une mise en relation avec sa clientèle avec qui le contact sera donc fréquent et, dans l’idéal, en face-à-face. Il faut donc songer à se placer près des grands axes de communication ou à être facilement accessible. De la même façon, il est essentiel de se positionner là où il y a du passage, lorsque l’on est une entreprise BtoC qui possède une boutique. Globalement, bien des locaux et ateliers sont disponibles en location mais il peut être pertinent d’opter pour la sous-location, afin de s’appuyer sur une boîte plus développée. L’essentiel restant que vous puissiez facilement exercer votre activité.

Les salariés à prendre en compte

Évidemment, il faut bien sûr que vous louiez un espace en fonction du nombre de salariés actuels ou à venir dans votre entreprise. Si vous désirez recruter, prévoyez des places vides en plus pour accueillir votre personnel. Vous pouvez également louer des pièces ponctuellement pour tenir vos rendez-vous professionnels. Certains centres d’affaires proposent d’ailleurs cette option. N’hésitez pas à observer où vos salariés habitent pour choisir le lieu de votre location. 

Les pépinières pour vous faire accompagner

Pour les entrepreneurs désirant davantage de soutien dans leur initiative, il existe des pépinières. Ces zones dédiées concentrent des jeunes entreprises pour lesquelles des tarifs préférentiels sont mis en place. L’objectif reste de ne pas surcharger des entrepreneurs à la comptabilité souvent encore fragile. En plus des structures d’accompagnement mises en place, ces lieux restent dynamiques et proposent souvent des activités ou des rencontres.

Coworking et centres d’affaires pour s’entourer et faire des économies

On trouvera également une grande interactivité au sein d’espaces de coworking, qui regroupent de nombreuses sociétés. Ils restent essentiellement destinés aux entrepreneurs avec des moyens de départ faibles, que ce soit financièrement ou socialement. Ce sont des espaces intéressants pour les micro-entrepreneurs notamment, au même titre que les centres d’affaires.

Dans la plupart de ces centres, et à l’image des espaces de coworking, des services sont mis à votre disposition, comme un accueil personnalisé. Plus la peine d’embaucher une secrétaire, l’accueil assure ce service. Si vous êtes souvent en déplacement, n’hésitez pas à confier votre courrier à la réceptionniste et demandez-lui de prendre vos appels en votre absence.

Au sein de ces locaux, les coûts peuvent être réduits. L’entrepreneur peut louer simplement une pièce avec une prise électrique. La connexion internet sera généralement fournie. Il existe également des formules de locations à l’heure qui permettent de faire davantage d’économies et d’adapter votre utilisation du lieu en fonction de vos besoins ponctuels.

Le cas de la domiciliation

A noter que vous pouvez également décider de travailler de chez vous par exemple. Dans le cas où vous n’êtes pas propriétaire, il peut être judicieux de faire appel à une domiciliation pour vous éviter de changer d’adresse à chaque fois que vous allez changer de bureau et donc de siège social. Des services de redirection de courriers existent si vous souhaitez ne pas avoir à vous y déplacer et vous pouvez opter pour une adresse prestigieuse si vous en ressentez le besoin. Les coûts s’élèvent généralement à quelques centaines d’euros par an.

Le monde des innovations est en bouleversement

Les innovations sont à la une des médias. Parfois, elles le sont parce qu’elles apportent une perspective significative, parfois , elles le sont parce que leur fonctionnement n’est pas au top mais aussi parce qu’elles ouvrent de nouveaux marchés. Focus sur quelques-unes du monde des innovations.

Tesla subit une baisse après des dysfonctionnements du logiciel FSD

A la suite de dysfonctionnements de l’assistant de conduite, Tesla va devoir mettre à jour son logiciel sur 362 758 voitures. Notamment, tous les modèles de la gamme, S, X, Y et le modèle 3, équipés du logiciel FSD (Full Self-Driving).

Un régulateur américain a repéré des défaillances entraînant que, lorsqu’il est activé, le véhicule peut continuer tout droit s’il est dans une voie de dégagement (qui normalement vous oblige à tourner) ou encore qu’il vous emmène à traverser une intersection avec un panneau « stop » sans vous arrêter ou encore un carrefour avec des feux orange fixes. Ces défaillances ont généré la chute du titre Tesla de 5,69 %. Toutefois, Elon Musk a calmé les esprits à l’aide d’un Tweet : « Le terme “ rappel ” pour qualifier une mise à jour du logiciel est anachronique et simplement erroné ». A noter que le FSD et le logiciel dit « Autopilot », ne sont conçus que par l’utilisation d’un conducteur vigilant dont les mains sont sur le volant ». 

Airbus et Safran : grands gagnants de la commande d’Air India

Si au premier abord, la commande massive d’Air India semble assez équivalente pour Airbus et Boeing, avec respectivement 250 appareils (+ des options non connues) et 220 avions (+ 70 options), il semblerait que ce soit eux les grands gagnants de la commande record de plus de 500 appareils au vu de la réaction du président Emmanuel Macron. Air India, propriété de l’immense groupe indien Tata depuis janvier 2022, ne possédait qu’une flotte de 115 appareils. Il s’agit d’abord d’une bonne nouvelle du point de vue environnemental puisque les A320 et les A350 sont des avions de dernière génération. Sur le plan énergétique, ils sont donc à la pointe de ce que réalise la compagnie. 

Les puces IA ont la côte en Corée du Sud

La Corée du Sud continue ses investissements dans le domaine de l’IA avec un soutien prévu par le ministère des Sciences et des TIC qui a déclaré qu’il allouerait 642,5 millions de dollars pour investir dans les sociétés travaillant sur des puces d’IA avancées. Il faut dire qu’avec le ChatGPT, la demande devrait se faire croissance pour des puces d’intelligence artificielle de nouvelle génération. Cet investissement devrait servir à répondre à la nouvelle vague de services engendrée par cette croissance de la demande qui implique de meilleures puces et architectures pour augmenter la capacité de traitement.

La Corée du Sud est déjà bien implantée dans ce domaine avec des marques emblématiques et un des fournisseurs majeurs en composants. Cette annonce qui intervient dans le cadre d’un grand plan de stratégie numérique du pays n’est pas surprenante quand on sait que le budget, dévoilé en septembre 2022, prévoyait d’investir sur six technologies (IA, semi-conducteurs IA, communication 5G et 6G, quantique, métaverse et cybersécurité). 

Les robots livreurs pour pallier la main-d’œuvre

Le Japon devrait voir ses premiers robots livreurs prendre du service dès le mois d’avril. Ils se déplaceront ainsi dans les rues du Japon grâce à une adaptation du code de la route afin de permettre aux robots de pouvoir proposer leurs services. Le robot DeliRo de la société robotique tokyoïte ZMP devrait faire partie des outils pour contrer la pénurie de main-d’œuvre. En effet, la population japonaise est particulièrement vieillissante avec près de 30% de la population qui est âgée de plus de 65 ans. La difficulté à livrer des zones rurales parfois dépeuplées ou encore le déclin démographique entraîne une nécessité pour le Japon de trouver des solutions, notamment avec une explosion des commandes en ligne depuis la pandémie. 

Comment stopper la procrastination

Il en faut du courage lorsque l’envie de procrastiner s’installe pour pouvoir la contrôler. Vous nous direz, c’est humain mais… Remettre au lendemain ce que l’on doit faire le jour même est le lot de nombreuses personnes. Quand on dirige une entreprise ou lorsque l’on est manager une telle attitude est, on le sait consciemment ou non, néfaste. Alors comment faire pour se débarrasser de cette mauvaise habitude et stopper la procrastination qui finalement engendre un stress permanent ?

Les salariés ont pris l’habitude de s’offrir des moments de « détente » devant leur smartphone en scrutant les réseaux sociaux ou en regardant des vidéos et prennent le prétexte de se déstresser. Cependant, la procrastination n’est pas loin puisque selon une étude dzaacom.fr, 72% des actifs et des étudiants déclarent procrastiner au travail pour une moyenne de 1h54 par jour. Ces moments prétendument déstressant engendreraient anxiété et culpabilité car au fond de la conscience du procrastineur, elles sont sous-jacentes.

Ce que vous n’avez pas fait devra être fait dans l’urgence !

Selon le sondage d’OpinionWay pour Jechange.fr, la difficulté la plus récurrente liée à la procrastination est à 67% l’obligation de réaliser une tâche en urgence. Celles-ci sont source d’erreurs mais aussi de tensions dans les équipes car rien de pire que de voir le regard accusateur des autres. Ce n’est pas la seule conséquence néfaste à l’habitude de tout remettre au lendemain. En tant que dirigeant, il faut pouvoir lutter contre cette habitude qui peut avoir un effet boule de neige et entraîner une équipe à agir toujours dans l’urgence qui, bien évidemment, n’est pas productive. Il faut parfois donner des deadline précises à chacun pour qu’il n’y ait pas de remise au lendemain.

Devenez un adepte des listes

Faire des listes des tâches à effectuer au cours de la journée, de la semaine, du mois fait partie intégrante d’une organisation et permet de ne pas se laisser engluer par le découragement. N’oubliez rien sur la liste et donnez un ordre de priorité à chaque tâche avec une date, une heure afin que rien ne puisse être repoussé et à côté de chaque tâche faite, félicitez-vous en mettant un smiley ou un bravo. À la fin de la journée, le constat vous permettra de prendre une nouvelle détermination pour la journée du lendemain

Dans son livre « Getting Things Done », David Allen conseille de s’occuper en priorité des activités qui prennent moins de deux minutes. Par exemple, envoyez un mail, imprimez un rapport, appelez un client pour le relancer C’est une excellente idée car cela encourage pour les tâches les plus difficiles. Montez une marche, en montez deux puis trois…Un véritable entrainement !!!

Apprenez à vous concentrer et à vous déconnecter

Pour chaque tâche quelle qu’elle soit, concentrez-vous sur cette tâche avant d’en commencer une autre. Nombreux sont ceux qui font deux tâches en même temps qui sont souvent source d’erreurs. Ne vous laissez pas déconcentrer par la sonnerie des messages de votre smartphone. Mettez sur silencieux ou couper sa connexion internet. Cela évite d’avoir envie de lire les dernières publications toutes les 3 minutes sur les réseaux sociaux. Quittez votre addiction qui vous conduit à la procrastination !

Quelques actualités sur les réalités des entreprises françaises

Les réalités des entreprises françaises actuelles ne cessent confronter les entreprises à de nouveaux défis et leur demandent sans cesse de s’adapter. Pourtant, les dirigeant gardent leur optimisme et créent un véritable dynamisme.

Les créations d’entreprises ont reculé de 5,1 % en janvier

Selon l’INSEE, les créations d’entreprises en France ont reculé de 5,1 % en janvier 2023. Cependant, leur chiffre reste élevé et n’est donc pas alarmant. Ainsi, la micro-entreprise est encore le régime qui a le vent en poupe. A l’inverse, les entreprises individuelles traditionnelles continuent leur fléchissement. La plupart des secteurs d’activité sont impactés. Dans l’industrie, les créations diminuent de – 21 %, les transports et l’entreposage voit leur créations chuter. En revanche, les activités immobilières se développent (+1,6 %). 

Le chômage au plus bas avec près de 7 %

Avec un taux de chômage de 7,2 % fin 2022, soit 0,1 point de moins qu’au troisième trimestre, celui-ci n’en finit pas de connaître une chute. Si l’objectif du gouvernement est le plein emploi (à ne pas confondre avec un chômage nul) d’ici la fin du quinquennat, l’objectif serait donc de descendre en dessous de 5 %, ce qui correspondrait à la définition de l’Organisation internationale du Travail (OIT) même si on peut considérer que la performance maximale se situerait entre 2 et 3 %. Cette situation n’est pas arrivée depuis le choc pétrolier des années 1970. C’est en tout cas son niveau le plus bas observé depuis 14 ans même si le taux de chômage avait connu une énorme oscillation pendant la crise sanitaire.

Les abandons de poste, une nouvelle réalité en France ?

Selon une étude qui vient de paraître du ministère du Travail, au 1er semestre 2022, 173 000 contrats de travail du secteur privé sont rompus à la suite d’un licenciement pour faute grave ou lourde. 71 % sont justifiés pour un abandon de poste et en constitue le premier motif. Il s’agit d’abandons de postes définitifs (94 % des cas) ce qui se révèle un chiffre à prendre en compte. 123 000 abandons de poste ont ainsi donné lieu à un licenciement pour faute grave ou lourde au 1er semestre 2022, dont 116 000 concernent des CDI. Les abandons de CDI représentent 5 % de l’ensemble des fins de CDI sur la période (contre 43 % pour les démission) et 14 % des fins de CDI involontaires donnant potentiellement droit à l’assurance chômage. 

La lutte contre la fraude fiscale a permis de récolter 14,6 milliards

Selon le site du gouvernement, la lutte contre la fraude fiscale fait partie des enjeux majeurs de souveraineté et de redressement des comptes publics. C’est une condition essentielle pour faire respecter le principe d’égalité devant l’impôt. Le gouvernement considère que la fraude fiscale nuit à la solidarité nationale en faisant reposer l’impôt sur les seuls contribuables qui respectent leurs obligations fiscales et rend complexe et difficile la concurrence loyale entre les entreprises. Le ministre des Comptes Publics Gabriel Attal vient de confirmer que le montant des redressements fiscaux ont été de 14,6 milliards en 2022. 

Les plateformes e-commerce se fédèrent

Le Bon Coin et Vinted viennent de rejoindre « l’Alliance française des places de marché » (AFDPM). Fondée en octobre 2022 par Back Market, eBay, Etsy, ManoMano et Rakuten afin de « se mobiliser pour porter la voix du secteur en France », ce lobby se voit ainsi renforcé par l’arrivée de deux des trois premières places de marché françaises. Si Amazon ne les a pas encore rejoints l’alliance se félicite déjà d’avoir ainsi « une bonne représentativité en termes de parts de marché », selon son président Sébastien Duplan. Les places de marché qui connaissent actuellement une période de croissance avec un volume d’affaires des places de marché en France qui a bondi, entre 2019 à 2022, de près de 30 %, elles doivent faire face à un cadre légal en cours de définition. Certaines dispositions de la loi « Anti-gaspillage pour une économie circulaire » sont déjà en ligne de mire. 

 

La gestuelle dans une entreprise

Sans que vous n’ayez prononcé aucun mot, votre corps lui parle pour vous que vous en soyez conscient ou non. Votre gestuelle peut communiquer vos pensées bien plus que vous ne le souhaitez. Apprendre les significations des gestes et les attitudes à adopter vous permet d’acquérir une plus grande maîtrise de votre discours ou de votre comportement. Mais quelles sont les significations de vos gestes ? 

Un langage corporel déterminant

Le langage corporel représente 55% de la communication et livre des pensées ainsi que des émotions. La synergologie a mis au point un lexique corporel de 1 700 items pour décoder ces signes verbaux sachant qu’il faut une convergence de 5 à 8 de ces signes pour valider une observation. (Source l’Express). Pour convaincre, la gestuelle est encore plus importante que votre discours. Si vos gestes n’accompagnent pas votre parole, le résultat sera négatif. L’impact d’un message résulte à 55% de la gestuelle utilisée, à 38% de l’intonation de la voix et à 7% du contenu du discours (source Capital). Peu importe l’objectif souhaité, il faut allier ces deux facteurs pour atteindre votre but. Quelques règles sont à appliquer pour avoir une attitude corporelle adéquate.

Adopter une bonne distance physique

La distance à respecter entre deux individus n’est pas toujours la même selon les situations. Elle s’adapte selon le message que l’on veut faire passer et la personne qui se situe en face de vous. Prenons l’exemple de la négociation. Il est courant d’être placé en face de la personne avec une table qui vous sépare. Cependant, vous pouvez diminuer cet espace si vous souhaitez créer un lien plus fort ou tout simplement si vous sentez un bon feeling entre vous. 

Il faut toutefois prendre en compte, si vous travaillez à l’international de l’espace culturel. Suivant l’origine de la personne, la proximité tolérée est fort différente et vous pouvez commettre l’incorrection d’empiéter sur son espace vital et vous mettre en difficultés lors d’une négociation. Pour un Italien, la distance se situera entre le coude et le corps, pour un Français, entre le poignet et le corps et pour un Anglais, du bout des doigts jusqu’au corps. Le pays d’origine devra jouer un rôle sur votre positionnement par rapport à la personne. Se placer dans l’espace « intime » d’une personne peut se révéler utile que si vous souhaitez créer une complicité avec elle mais attention à ses habitudes culturelles.

Le quid du toucher

Le toucher appuie fortement votre demande. Accompagner une requête d’un contact physique permet de créer un lien de complicité et la demande est rarement refusée. « Pour sceller une discussion agréable ou pour remotiver un de mes commerciaux en difficulté, il m’arrive de joindre à mon discours une légère pression sur le bras ou l’épaule.», racontait Paul Chemama, directeur des ventes d’Imperial Tobacco France à Capital. Attention toutefois, cette initiative revient uniquement à vous en tant que chef. C’est l’expression d’une relation hiérarchique dominant-dominé.

Une question d’adaptation ?

Vous pouvez adopter votre langage corporel à celui de la personne en face de vous : certaines attitudes permettent de favoriser le dialogue, de développer l’empathie nécessaire avec un client. Apprenez à découvrir la gestuelle du client !  Prendre conscience de votre gestuelle peut vous apporter une valeur ajoutée. Vous pourrez parfois éviter de changer le contenu du message que vous souhaitez faire passer grâce à vos gestes. Croiser les bras, mettre les mains dans ses poches, se gratter le nez, se toucher les cheveux, tourner sa bague… Autant de gestes à éviter. Faites attention d’avoir l’attitude corporelle adaptée à la situation. A vous de passer à l’action maintenant !

Les gestes dans l’entreprise au quotidien

Dans le quotidien de l’entreprise, différentes gestuelles peuvent vous offrir des informations intéressantes sur vos salariés et collaborateurs. Certains gestes courants peuvent permettre de repérer des soucis non verbalisés. Vous pouvez comprendre qu’un de vos collaborateurs rencontre des difficultés à la réalisation d’une tâche par exemple. Son corps aura tendance à se rigidifier ou se recroqueviller. Les bras peuvent être croisés haut et serrés sur le buste ou les mains peuvent être sous les aisselles ou entre les jambes. Tous ces signes vous montrent la difficulté qu’a une personne face à une tâche.

Un salarié peut ne pas comprendre une consigne, un objectif ou encore un trajet que vous lui transmettez. Vous ressentirez son stress par son regard qui aura perdu son éclat. Différents gestes montrent l’incompréhension d’une consigne. On retrouve parmi ces derniers la tête qui pivote d’un côté ou de l’autre, une main placée sous la narine droite, ou tout simplement le fait de se pincer le nez ou de croiser les doigts de sa main.

Votre collaborateur n’est pas d’accord avec un ordre ou une de vos opinions, il va accomplir des gestes emplis de signification. Les gestes s’effectuent alors en dissociation, par exemple, la tête va partir d’un côté et les bras de l’autre, signifiant qu’il pense que vous lui cachez quelque chose et qu’il n’arrive pas à savoir quoi. Le corps peut partir en arrière de manière à se rapprocher du dossier de la chaise, ou encore l’index sous le nez qui remonte violemment en formant une virgule. Ces gestes évoquent des signes de rejet.

Un malaise peut se faire sentir dans certaines situations. Si votre collaborateur est gêné par un comportement ou une idée, ses émotions sont traduites par des gestes spécifiques. Cette personne aura plus tendance à déglutiner, se gratter au niveau du coup ou de la glotte…. Sa gestuelle montrera son malaise de façon explicite.

Votre salarié peut faire preuve de mauvaise foi en cherchant à vous convaincre alors qu’il sait qu’il a tort. Le corps et les regards sont alors tendus. Les paupières clignent beaucoup, l’œil s’ouvre plus grand, les sourcils sont très actifs ou encore les lèvres sont pincées…. Autant de gestes qui dénoncent la mauvaise foi de la personne en face de vous.

La gestuelle joue donc un rôle très important et peut être révélateur. Savoir ce qu’elle signifie et contrôler la vôtre vous donnera une valeur ajoutée. C’est à vous de l’étudier à présent pour mieux vous comprendre et comprendre les autres !

Management : les points forts et les points faibles

Assurer la direction d’une équipe ou d’une entreprise ne doit pas s’improviser. Même s’il existe plusieurs personnes qui souhaitent devenir chef, les qualités et les compétences nécessaires pour relever ce défi ne sont pas toujours les mêmes. Elles ne sont pas forcément en adéquation avec le parcours et la personnalité de chacun. Management : quelles sont les points forts et les points faibles ?

Ces dernières années, le rôle du manager a bel et bien évolué. Il ne se limite plus à donner des ordres, à contrôler des erreurs ou à surveiller le travail du collaborateur. La hiérarchie s’est largement éclatée dans les entreprises et celui-ci doit chercher à impliquer au maximum chaque collaborateur qui ne sont plus seulement en quête d’une rémunération mais également de sens. Pour bien manager, il est devenu nécessaire de persuader ses collaborateurs du bien-fondé des décisions et de les joindre à son point de vue. Le nouveau manager doit ainsi faire en sorte qu’il y ait une cohérence d’ensemble avec toutes les actions qu’il a entreprises.

Le sens du leadership

Pour qu’un leader soit tel, il doit avoir une forte confiance en lui, être plus ou moins mégalomane et disposer d’une excellente constitution mentale. Ainsi, ces qualités sont capitales pour un leader, afin de trouver les bonnes solutions au bon moment. Dans la direction et la conduite des autres, il ne faut pas omettre que chaque décision prise pourrait les atteindre, d’une façon ou d’une autre. De ce fait, pour bien guider son équipe de travail avec une certaine efficacité, il est plutôt préférable pour un leader d’embrasser un comportement qui correspond directement à un esprit d’entreprise.

Savoir rassembler

Tous les employés d’une même entreprise ont un objectif commun, celui de faire tout leur possible pour mener leur entreprise aux plus hauts sommets d’une performance économique certaine. Or, pour cela pas de secret : les équipes doivent être fédérées. C’est pourquoi il est capital pour le manager de créer un climat favorable au respect de l’autre, à la confiance et à l’intégration. En instaurant un climat de groupe, il serait plus facile pour les membres de développer leur esprit d’initiative. Ce qui pourrait éventuellement apporter des solutions rapides et nouvelles aux problèmes qui sont susceptibles d’apparaître.

Avoir de l’empathie

Bon nombre de managers se concentrent de plus en plus sur les aspects affectifs propres à chaque employé, de manière à inciter leur motivation, en prenant en compte l’idéologie de travail de chacun, les normes sociales ainsi que la culture de chacun. Un manager qui arrive à percevoir et à comprendre les perceptions personnelles et l’environnement de travail des salariés est celui qui sera en mesure d’adapter son discours de manière à mieux les motiver. Avoir la capacité de se mettre intuitivement à la place des employés et de ressentir à peu près la même chose qu’eux sera plus facile pour un bon manager dans le but de les atteindre et de les motiver en fonction.

Entre reconnaissant

Au sein de toute entreprise, il est essentiel d’avoir une bonne communication. Ainsi, un bon manager doit être en mesure de mettre sur pied une vraie stratégie en psychologie pour pouvoir aiguillonner la motivation au travail, plus précisément, donner envie à l’employé de bien faire son travail.

Plus que jamais, il est devenu nécessaire de stimuler les salariés par des compliments et des encouragements. Un manager qui vient complimenter sincèrement ses employés pourrait bien créer une ambiance agréable et conviviale au sein de son entreprise. Cela permet aux employés de se valoriser et de se sentir étroitement liés aux valeurs, aux actions et à l’éthique de la société dans laquelle ils évoluent.

Comment s’assurer une bonne hygiène de vie ?

Lorsqu’on est entrepreneur, il est facile de se laisser déborder par le travail et d’en oublier de prendre soin de soi. L’hygiène de vie peut être rapidement négligée pour gagner du temps. Pourtant c’est dans la durée que vous devrez tenir et prendre soin de vous n’est pas subsidiaire. Voici quelques conseils pour s’assurer une bonne hygiène de vie.

1 – Commencez par bien vous alimenter

Il n’est pas rare pour les entrepreneurs de sauter des repas, voire de manger un sandwich en quelques minutes. Pourtant, avoir une bonne hygiène de vie implique de manger de manière équilibrée. Comme le dirait la publicité, évitez de manger des aliments trop gras, trop salés ou encore trop sucrés. N’oubliez pas de manger des fruits et légumes et de prendre votre temps pour déjeuner. Profitez des pauses déjeuners pour vous ressourcer. Certes vous gagnerez quelques minutes en prenant sur votre déjeuner mais en réalité votre productivité va diminuer au fur-et-à-mesure de la journée si vous ne prenez pas de pause. N’oubliez pas votre petit déjeuner et éviter de manger trop lourd au souper.

2 – Préservez votre sommeil

Vous avez beau avoir des tâches urgentes, n’oubliez pas que le sommeil est essentiel pour être efficace dans la journée. Essayez de dormir à heures fixes et de prendre en compte la durée de vos cycles de sommeil. Un adulte doit dormir en moyenne environ 8H et vous ne faites pas exception à la règle même si vous avez pris l’habitude de raccourcir vos cycles de sommeil. Si vous n’avez pas pu vous empêcher de réduire votre temps de sommeil, n’hésitez pas à faire une sieste en cours de journée dès que vous ressentez des signes de fatigue, vous n’en serez que plus productif. Ne luttez pas contre le sommeil, vous aurez tout le temps de finir vos tâches le lendemain.

3 – Prenez soin de vous

Ce n’est pas parce que vous êtes à longueur de journée derrière votre ordinateur et que personne ne vous voit que vous devez vous négliger. Un entrepreneur se doit avant tout de prendre soin de lui. Si vous avez des problèmes à vous discipliner, n’hésitez pas à faire une liste comprenant l’ensemble de vos tâches : douche, cheveux, yeux, oreilles, ongles, … Vous pouvez tout inclure dedans afin de vérifier que vous n’êtes pas en train de vous laisser aller. Vous pouvez également ajouter dans votre liste vos habits et leur entretien.  Prenez du temps pour vous comme s’il s’agissait d’une tâche parmi d’autres.

4 – Faire du sport

Il est souvent difficile de faire du sport quand on lance son entreprise. Les activités physiques semblent une perte de temps. Pourtant, vous devriez l’inclure de votre to do list car le sport demeure essentiel pour votre corps et votre esprit. Prenez-le également comme une tâche à faire, au même titre que votre travail. Si vous n’avez pas le temps de faire du sport, n’hésitez pas à vous rendre sur votre lieu de travail en vélo ou encore à pied si la distance le permet. Privilégiez les escaliers plutôt que de prendre l’ascenseur et vous pouvez même mettre à profit vos temps de sports en réfléchissant lors de votre course-à-pied par exemple.

5 – Boire de l’eau

Si l’apéro peut apparaître comme une solution de détente, l’eau reste votre amie. Pour bien fonctionner votre corps a besoin d’au moins 1,5 litre d’eau par jour. Votre corps est principalement constitué d’eau. N’ayez pas peur, vous ne rouillerez pas ! Évitez au maximum l’alcool qui fatigue votre corps car celui-ci effectue un travail supplémentaire dans ce cas.

6 – Prendre l’air

Si la tentation peut être de vous enfermer dans votre bureau et de ne plus en bouger pour développer votre entreprise, n’oubliez pas que votre corps a besoin de s’oxygéner ainsi que votre cerveau. Prendre des pauses et aller marcher ne représente pas une perte de temps mais vous permettra d’être plus productif par la suite. N’hésitez pas à interrompre votre travail quand vous vous sentez en baisse de productivité pour vous rendre dans un parc ou faire une balade. 

7 – Prenez votre temps

Dans le même ordre d’idée, il est nécessaire de prendre son temps. Vous ne pouvez être sans arrêt sous pression. N’hésitez pas à vous imposer des jours « off » où vous ne travaillez pas. N’oubliez pas que l’entrepreneuriat représente plus un marathon qu’un sprint et que vous devrez tenir sur la distance. Prenez le temps de vous relaxer, de voir vos amis et de rigolez. Rire est essentiel pour votre moral, alors un bon petit film comique pour vous détendre ?

8 – Mettez-vous à la relaxation

Vous êtes de nature stressée ? Pourquoi ne pas vous mettre au yoga ou encore pratiquer des exercices de relaxation ? N’hésitez pas à vous informer sur les exercices de respiration qui vous permettent de diminuer votre stress. Pratiquez-les dès le matin pour bien commencer votre journée. Vous aborderez votre journée du bon pied !

Vous avez d’autres conseils pour une meilleure hygiène de vie ? Partagez-les avec nous dans les commentaires.