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Top 10 des méthodes pour évaluer la concurrence sur le marché

L’évaluation de la concurrence sur le marché représente une étape essentielle. Elle peut vous aider non seulement à survivre, mais aussi à prospérer. Comprendre qui sont vos rivaux, ce qu’ils font, et comment vous vous positionnez par rapport à eux est la clé pour prendre des décisions éclairées et élaborer des stratégies commerciales solides. Voici les dix meilleures méthodes pour évaluer la concurrence sur le marché.

1/ Connaître vos rivaux

L’analyse des concurrents directs est la première étape. Elle consiste à identifier les entreprises qui offrent des produits ou des services similaires aux vôtres. Creusez plus profondément pour étudier leur offre, leur positionnement sur le marché, leur part de marché, leur clientèle cible, et leurs forces et faiblesses. Cette analyse vous donnera une compréhension précieuse de qui sont vos principaux rivaux et comment vous pouvez les surpasser.

2/ Exploiter la puissance du web

Internet est une source inestimable d’informations sur vos concurrents. Explorez leurs sites Web pour obtenir des informations sur leurs produits, leurs services, et leur histoire. Parcourez leurs publications sur les réseaux sociaux, leurs blogs d’entreprise, et leurs communiqués de presse pour suivre leurs actualités et leurs stratégies. Cette recherche en ligne vous donnera un aperçu des activités de vos concurrents et de leur présence en ligne.

3/ Écouter la voix des consommateurs

Les avis des clients sont une mine d’informations sur la satisfaction des clients et la réputation de vos concurrents. Parcourez les sites Web d’avis, les médias sociaux, et les forums pour identifier les points forts et faibles de la concurrence. Comprenez ce que les clients apprécient et ce qui les déçoit chez vos rivaux. Cela peut vous aider à ajuster votre propre approche pour mieux répondre aux besoins des consommateurs.

4/ Comparer les prix et les offres

Analysez la tarification des produits ou des services de vos concurrents. Comparez les prix, les offres spéciales, les politiques de tarification, et les éventuels rabais ou remises. Cela vous aidera à déterminer comment vos tarifs se comparent à ceux de la concurrence, et si des ajustements sont nécessaires.

5/ Comprendre leur manière de se faire voir

Examinez les stratégies marketing de vos concurrents. Regardez leurs campagnes publicitaires, leurs canaux de marketing, leurs messages clés, et leur présence en ligne. Comprenez comment ils essaient d’attirer et de fidéliser les clients. En identifiant les méthodes qui fonctionnent pour vos rivaux, vous pouvez adapter votre propre stratégie pour rester compétitif.

6/ Mesurer l’excellence

Comparez la qualité de vos produits ou services avec ceux de vos concurrents. L’objectif est de déterminer si vous offrez une meilleure qualité ou s’il y a des domaines où vous pouvez vous améliorer. Identifiez les caractéristiques ou les avantages spécifiques de vos produits ou services qui les démarquent de la concurrence.

7/ Anticiper les actions futures

Gardez un œil attentif sur les mouvements stratégiques de vos concurrents. Cela inclut les acquisitions, les lancements de nouveaux produits, les partenariats, les expansions géographiques, ou tout changement significatif dans leur entreprise. Ces informations peuvent vous donner des indices sur les futures intentions de vos concurrents et vous aider à anticiper les évolutions du marché.

8/ Comprendre la dynamique du marché

L’analyse de la part de marché vous permet de savoir quel pourcentage du marché chaque concurrent détient. Cela peut vous donner une idée de votre position relative sur le marché. Vous pourrez ainsi évaluer la pertinence de votre offre et identifier les opportunités de croissance. Une part de marché plus grande que celle de vos concurrents peut être un signe de force.

9/ Obtenir des informations internes

Les anciens employés de vos concurrents peuvent fournir des informations précieuses. Ils peuvent partager des informations sur la culture d’entreprise, les pratiques internes, les faiblesses, les tensions internes, ou les défis auxquels leurs anciens employeurs sont confrontés. Ces informations internes peuvent vous donner un aperçu des coulisses de l’entreprise concurrente.

10/ Des données précises et actualisées

Il existe de nombreux outils d’analyse de marché, tels que SEMRush, Ahrefs, Moz pour l’analyse SEO, et des outils de veille concurrentielle comme Brandwatch. Ces outils vous permettent de collecter des données précises et actualisées sur les performances en ligne de vos concurrents, leurs stratégies de mots-clés, leur présence sur les médias sociaux, et bien plus encore. Ces informations peuvent vous aider à prendre des décisions éclairées et à affiner votre stratégie en fonction de l’évolution du marché.

Rentabilité : quel niveau choisir ?

Avec les crises successives qui frappent notre pays, l’étau de la mondialisation se resserre sur notre rentabilité à tous. Par-delà cette idée, ce sont les hommes, leur savoir-faire, leur intelligence et leur innovation qui sont impactés dans une recherche effréné du résultat. Un résultat qui se doit dans la mentalité actuelle d’être forcément mesurable, quantifiable et déclinable dans les business unit mais aussi dans les métiers annexes. 

La quête du résultat : les métiers du marketing impactés

Dans les métiers du marketing, les niveaux d’analyse des marchés se précisent. Aussi, les outils de pilotage de projets et de campagnes se multiplient, les objectifs de rentabilité augmentent et les budgets se restreignent – scénario classique ! La devise aujourd’hui ? Communiquons moins, mais surtout mieux.

La stratégie média est désormais fondée sur la sécurité. Elle se veut rassurante car basée sur la performance. Les marques se tournent ainsi de façon mécanique vers le digital. La logique de cashback et de paiement à la transaction règnent et le ROI doit être mesuré ! Cette logique se traduit par « ne prendre aucun risque et voir la totalité des investissements basée sur les success fees ». Mais doit-on appliquer ce modèle dans tous les métiers de la communication ?

Un moyen réservé aux grandes entreprises ?

Le premier à avoir dominé est évidemment Google avec ses fameux AdWord. Puis, une pléthore de sociétés ont suivi le mouvement dans de nombreux domaines. Nous pourrons citer Appstore, Facebook, Amazon, Vente-privée… Mais ne s’agit-il pas de moyens réservés qu’aux grandes entreprises capables d’en supporter les conséquences ?
Il est entendu qu’un plan de lancement de site internet de PME avec un budget fondé à 80% sur des mots clés payants s’avèrerait difficilement viable face à celui d’une grande entreprise qui déciderait d’investir massivement. Ceci du fait de l’essoufflement de l’audience sur ce média.

La culture du résultat parfois pénalisante surtout en B2B

Lors du lancement d’un nouveau service digital en B2B, le commercialiser à 100% par le résultat peut s’avérer très pénalisant pour la start-up souhaitant pénétrer son marché. En effet, l’annonceur exonéré de cette charge, peut en négliger sa valeur. Il pourrait ne pas prendre en compte la variété des outils mis à disposition. Il peut ainsi voir le résultat de façon secondaire et par conséquent le service rendu comme artificiel.

Aujourd’hui, c’est tout un métier remis en question par le simple souhait de calquer un modèle existant fondé sur le résultat. S’intéresser à la rentabilité de nos clients est primordial pour connaître sa position et pour avancer sur le long terme. Cependant, il faut veiller à ne pas galvauder notre vision du métier sans quoi nous favoriserions le résultat du client avant le nôtre…

Le pouvoir de la sieste au bureau !

Ah, le monde du travail, cet endroit où les dossiers s’entassent plus vite que les tasses à café, où les réunions sont plus nombreuses que les grains de sable sur une plage de sable fin, et où le temps s’étire comme un chewing-gum oublié sur un trottoir en plein soleil. Dans cet univers épuisant, la sieste au bureau est devenue une compétence, une arme secrète pour devenir le dirigeant, et surtout, un excellent moyen de vous endormir.

Leçon 1 : L’art de la dissimulation

Le premier pas vers le statut de pro de la sieste est de maîtriser l’art de la dissimulation. Vous devez être capable de vous endormir tout en donnant l’apparence d’une concentration intense. Portez des lunettes de soleil en réunion, prétendez que vous « méditez profondément » ou dites simplement que vous pratiquez une nouvelle forme de « visualisation créative ». Bref, soyez un acteur hors pair, et tout le monde pensera que vous êtes en train de concocter la prochaine grande idée.

Leçon 2 : La « micro-sieste »

L’idée de faire une sieste de 2 heures en plein milieu de la journée est un peu trop flagrante, même pour un pro de la sieste. C’est là qu’intervient la micro-sieste. Fermez les yeux pendant 2 minutes, puis réveillez-vous en disant « J’ai eu une vision, une idée géniale pour l’entreprise ! ». Personne ne saura que vous avez ronflé pendant tout ce temps, car, évidemment, vous rêviez du futur de la société.

Leçon 3 : Choisir le bon lieu

Trouver l’endroit idéal pour une sieste au bureau est essentiel. Optez pour des endroits inattendus, des lieux où personne n’osera vous chercher. La photocopieuse, le placard de fournitures, ou même sous votre bureau sont de véritables pépites. Vous serez comme un ninja de la sieste, prêt à vous endormir en un clin d’œil, tout en étant insaisissable.

Leçon 4 : Utilisez des accessoires judicieux

Les accessoires sont votre meilleur ami. Portez un casque anti-bruit, une couverture de camouflage et un masque de sommeil à la Batman. Vous serez prêt à plonger dans le monde merveilleux du rêve tout en échappant à l’attention indésirable. Vous aurez l’air à la fois sophistiqué et mystérieux, comme un espion international du sommeil.

Leçon 5 : Créez un bruit de fond crédible

Il est essentiel d’avoir un bruit de fond crédible pour dissimuler vos ronflements. Utilisez une application de bruit blanc, prétextez que vous écoutez une playlist de « musique de concentration », ou mieux encore, enregistrez quelques réunions ennuyeuses que vous pourrez diffuser en boucle. Personne ne saura la différence entre le doux murmure de votre sommeil et la voix monocorde de votre collègue parlant du rapport trimestriel.

Leçon 6 : Soyez énigmatique

Les pros de la sieste ne se confient à personne au sujet de leurs activités secrètes. Soyez énigmatique, laissez les gens se demander si vous êtes un génie créatif ou tout simplement narcoleptique. N’oubliez pas que la confusion est votre alliée, et le mystère, votre arme secrète.

Leçon 7 : Créez une culture de la sieste au bureau

Pour devenir un pro de la sieste, vous devez instaurer une culture de la sieste au bureau. Organisez des ateliers de relaxation, distribuez des coussins de sieste estampillés du logo de l’entreprise, et faites en sorte que tout le monde se sente coupable de ne pas faire de sieste. Transformez votre entreprise en une véritable oasis de la sieste, où les brainstormings se transforment en « dreamstormings ».

Leçon 8 : Le pouvoir de la micro-sieste collective

Lorsque vous ne pouvez pas dormir seul, invitez votre équipe à participer à une micro-sieste collective. Organisez des siestes synchronisées, où tout le monde ferme les yeux pendant 10 minutes à la même heure. C’est une excellente façon de renforcer les liens, de promouvoir la productivité (après la sieste, bien sûr), et de vous couvrir mutuellement.

Leçon 9 : Les excuses créatives

Quand on vous surprend en pleine sieste, ayez toujours une excuse créative prête. « Je faisais une démonstration du sommeil paradoxal », « Je testais la résistance de ma chaise », ou « J’ai accidentellement ingéré un somnifère » sont des options valables. N’oubliez pas que l’humour est une arme puissante, utilisez-le à bon escient pour détourner l’attention de votre petite sieste.

Leçon 10 : Récoltez les fruits de votre expertise

Après avoir suivi ces leçons, vous serez prêt à récolter les fruits de votre expertise. Vous deviendrez un pro de la sieste respecté, un leader visionnaire qui sait que parfois, la clé du succès est tout simplement de bien se reposer. Vos employés, initialement sceptiques, finiront par vous envier et chercheront à imiter votre maestria dans l’art de la sieste. Car, après tout, comme le dit l’adage, « un PDG qui dort est un PDG qui rêve, et un PDG qui rêve est un PDG qui réussit ». Ou quelque chose comme ça. Il faut demander confirmation à quelqu’un qui n’est pas en train de faire une sieste.

Comment élaborer une stratégie d’expansion mondiale ?

L’expansion internationale est devenue une étape incontournable pour de nombreuses entreprises et dans de nombreux secteurs. Cependant, ce n’est pas facile et nécessite une planification minutieuse. Votre stratégie doit être bien élaborée pour assurer le succès sur la scène mondiale. Voici les étapes cruciales pour élaborer une stratégie d’expansion mondiale efficace.

1/ Analyse de marché approfondie 

Avant de plonger dans l’arène mondiale, il est impératif de comprendre en profondeur les marchés potentiels. Cela inclut l’évaluation des besoins, des tendances, des réglementations locales et de la concurrence. Une connaissance approfondie du marché est essentielle pour adapter vos produits ou services aux préférences locales. Décortiquer les nuances culturelles et les dynamiques économiques devient un atout majeur.

2/ Définir des objectifs clair et mesurables 

Établir des objectifs clairs et mesurables pour votre expansion mondiale est l’épine dorsale de votre stratégie. Cela pourrait inclure des objectifs de chiffre d’affaires, de part de marché, de notoriété de la marque, etc. Des objectifs précis vous permettront d’évaluer la performance de votre stratégie et d’apporter des ajustements si nécessaire. Un suivi rigoureux des KPIs garantira un alignement constant avec vos aspirations initiales.

3/ Choisir la méthode d’Expansion appropriée 

Il existe plusieurs méthodes d’expansion telles que l’exportation, la création de partenariats, les fusions-acquisitions ou l’établissement de filiales. Chaque approche a ses avantages et ses inconvénients. Le choix dépendra de la nature de votre entreprise, de votre secteur d’activité et de vos ressources. Une analyse SWOT approfondie guidera votre choix, garantissant une adéquation parfaite avec votre contexte.

4/ Adaptation à la culture locale

La compréhension et le respect de la culture locale sont impératifs pour le succès à l’étranger. Cela englobe non seulement la langue, mais aussi les coutumes, les normes sociales et les valeurs. Une communication et des pratiques adaptées à la culture locale renforceront votre crédibilité et favoriseront l’acceptation de votre entreprise sur le marché étranger. L’écoute active et la flexibilité seront vos alliées.

5/ Gestion des ressources et des opérations

L’expansion mondiale peut mettre une pression significative sur les ressources et les opérations de votre entreprise. Assurez-vous d’avoir les capacités nécessaires pour répondre à la demande accrue et maintenir des niveaux de service élevés. Cela peut nécessiter des investissements dans la logistique, la production ou l’infrastructure informatique. Une planification budgétaire solide et une allocation efficace des ressources seront cruciales.

6/ Gestion des risques et conformité réglementaire

Chaque marché international présente son lot de risques et de défis réglementaires. Il est essentiel d’identifier ces facteurs et de mettre en place des mesures pour les atténuer. Cela peut inclure des partenariats avec des experts locaux, une surveillance constante de la conformité et une planification de crise solide. Une évaluation continue des risques et une réactivité rapide seront vos remparts contre l’incertitude.

7/ L’agilité comme clef du succès

Une fois votre expansion lancée, il vous faut mettre en place des mécanismes de mesure de la performance. Cela vous permettra de suivre vos progrès par rapport à vos objectifs et d’identifier les domaines qui nécessitent des ajustements. Soyez prêt à apporter des changements en fonction des retours d’information et de l’évolution du marché. L’agilité organisationnelle devient votre atout maître.

Quand le succès se dessine avant de se lancer !

Cela fait un certain temps que vous y pensez, mais cette fois vous songez réellement à vous lancer. Vous voulez vous mettre à votre compte ! Mais encore faut-il identifier le contexte, le secteur, l’idée et la chronologie les plus pertinents pour votre projet. Rien ne se fera au hasard donc autant bien poser les jalons de votre succès.

Une démarche personnelle 

La première démarche à effectuer est personnelle. Entreprendre mobilise une énergie conséquente et accapare beaucoup de temps. Il vous faut donc être en bonne santé et discuter de cette nouvelle orientation avec votre entourage. Certaines qualités personnelles comme la persévérance et la capacité de recul et un certain sens de l’organisation semblent également indispensables. Il n’est donc pas inutile de faire un bilan de vos motivations autant que de vos compétences.

L’analyse de votre situation financière et professionnelle

Les premières années d’activité peuvent à la fois nécessiter un investissement financier de votre part et engendrer une diminution de vos revenus professionnels. Il semble judicieux de constituer quelques économies avant de quitter votre emploi. Ce départ doit également être anticipé et travaillé. Si vos relations avec votre hiérarchie sont bonnes, la rupture conventionnelle constituera une bonne alternative. Vous pourrez accéder à vos droits d’Aide au Retour à l’Emploi, à votre statut de demandeur d’emploi ainsi qu’à indemnité de départ minimale fixée en fonction de votre ancienneté. 

Le fait de disposer du statut de demandeur d’emploi vous permettra de disposer d’aides. On pensera notamment à l’exonération de charges sociales du gérant pour les premières années d’exploitation. De plus, en tant que créateur, Pôle Emploi vous proposera différentes modalités de paiements de vos allocations. Cependant, dans ce cadre, à moins que vous ayez plus de 50 ans, le montant total de vos indemnités sera réduit.

Les premières démarches de créateur

D’un point de vue méthodologique, la première étape consiste à identifier le secteur dans lequel vous interviendrez. Opérer dans un domaine qui vous est familier, peut être celui dans lequel vous travaillez actuellement, offre de nombreux avantages : 

  • vous y disposez d’un réseau, que ce soit vos collègues, vos partenaires où toutes les personnes que vous avez pu rencontrer dans ce cadre ;
  • vous connaissez le secteur, ses contraintes, ses habitudes et ses acteurs ;
  • vous disposerez d’une crédibilité plus importante auprès de vos nouveaux interlocuteurs en expliquant que vous disposez déjà d’une expérience significative dans le milieu, et que c’est parfois pour cela que vous avez décidé de vous lancer ;
  • vous connaissez les manques de votre secteur, et par conséquent ses besoins !

Des précisions à réaliser

Une fois le secteur identifié, il faut préciser votre domaine d’intervention en définissant l’idée. Si vous intervenez dans votre branche habituelle, vous l’aurez certainement déjà identifiée. Vous pourrez alors la valider rapidement avec une étude de marché quantitative. Attention toutefois à ce que votre conviction n’oriente pas les questions. Il convient dans un souci d’objectivité de se faire aider par un tiers pour cette étape. SI vous intervenez dans un nouveau secteur, votre étude devra être plus poussée. Vous devrez alors opérer une étude documentaire, qualitative puis quantitative. 
Une fois votre idée identifiée puis validée, vous devrez alors la développer dans un plan d’affaires et dans un budget prévisionnel.

Dans la mesure du possible, il convient d’effectuer ces étapes qui prennent un certain temps alors que vous êtes encore en poste. En effet, cela vous permettra d’être opérationnel le plus rapidement possible après votre départ. 

La méthode de l’élargissement de l’idée 

Les méthodes de pensée créative jouent un rôle de premier plan dans le développement de nouvelles idées et de solutions originales. Parmi ces techniques, la méthode de l’élargissement de l’idée se distingue par sa capacité à encourager l’exploration de nouvelles voies en élargissant ou en amplifiant un aspect spécifique d’une idée ou d’un concept. 

La méthode l’élargissement en résumé

La méthode de « l’élargissement », également connue sous le nom d’amplification, est une technique de pensée créative qui consiste à prendre une idée, un concept ou un problème existant et à en étendre ou à amplifier un aspect particulier. Cela peut se faire de diverses manières, que ce soit en augmentant la taille, la durée, l’intensité, en ajoutant des composants, en explorant des variations inattendues ou en introduisant des éléments surprenants dans l’idée d’origine. L’objectif est de voir comment ces modifications peuvent conduire à de nouvelles perspectives, de nouvelles solutions ou de nouvelles opportunités.

Comment fonctionne l’élargissement ?

Elle commence par sélectionner une idée, un concept ou un problème que vous souhaitez explorer ou résoudre. Ensuite, identifiez un aspect spécifique de cette idée que vous pouvez étendre ou amplifier. Par exemple, si vous travaillez sur un projet de conception, vous pourriez choisir d’élargir la palette de couleurs utilisées ou d’amplifier les détails du design. Si vous êtes confronté à un problème organisationnel, vous pourriez explorer l’élargissement de l’équipe de projet ou l’amplification des ressources disponibles.

Une fois que vous avez déterminé la direction dans laquelle vous souhaitez élargir ou amplifier l’aspect de l’idée, commencez à explorer les conséquences de cette modification. Comment cela affecte-t-il l’idée d’origine ? Quelles nouvelles possibilités cela ouvre-t-il ? Quels problèmes cela résout-il ou crée-t-il ? Cette phase d’exploration peut générer des idées surprenantes et des perspectives innovantes.

Les avantages de l’élargissement

1/ Stimulation de la créativité 

L’élargissement encourage la pensée créative en poussant les individus à sortir des sentiers battus et à explorer des idées non conventionnelles. Cela peut débloquer l’innovation en encourageant des approches audacieuses et originales.

2/ Découverte de nouvelles perspectives 

En étendant ou en amplifiant un aspect de l’idée, vous pouvez découvrir des perspectives qui étaient jusque-là cachées. Cela peut révéler des opportunités inattendues, des solutions novatrices ou des avantages insoupçonnés.

3/ Résolution de problèmes 

Elle peut être utilisée pour résoudre des problèmes en explorant comment des modifications spécifiques influencent le résultat. Cela peut aider à identifier des solutions efficaces en envisageant des angles nouveaux.

4/ Adaptabilité 

L’élargissement encourage la pensée adaptable en permettant d’explorer différentes directions sans s’engager dans une voie particulière. Cela offre la flexibilité nécessaire pour ajuster rapidement les approches en fonction des résultats et des besoins changeants.

Exemples de réussite avec l’élargissement

L’histoire regorge d’exemples de réussite grâce à l’application de la méthode. Un exemple célèbre est celui du fabricant de glaces Ben & Jerry’s. Lorsque Ben Cohen et Jerry Greenfield ont décidé d’élargir leur gamme de produits, ils ont amplifié la quantité d’ingrédients gourmands dans leurs glaces, créant ainsi des saveurs uniques et délicieuses. Cette approche a contribué au succès de la marque, en offrant aux consommateurs des glaces aux combinaisons de saveurs inédites.

Quelques outils et bonnes pratiques

Il existe des outils et des astuces supplémentaires pour mettre en pratique la méthode : 

1/ Brainstorming en groupe :

Réalisez des sessions de brainstorming en groupe pour explorer collectivement différentes possibilités d’élargissement. L’interaction avec d’autres personnes peut susciter des idées nouvelles et inattendues.

2/ Utilisation de cartes heuristiques (mind maps) :

Créez des cartes heuristiques pour visualiser l’idée d’origine et les différentes voies d’élargissement possibles. Cela peut vous aider à organiser vos réflexions et à repérer des connexions entre les différents éléments.

3/ Posez des questions provocantes :

Challengez votre réflexion en vous posant des questions provocantes. Par exemple, « Que se passerait-il si nous multiplions par 10 la taille de ce projet ? » ou « Comment pourrions-nous rendre cela complètement opposé à l’idée d’origine ? »

4/ Utilisation de techniques de créativité connexes :

Associez la méthode  à d’autres techniques de pensée créative telles que la méthode SCAMPER (Substituer, Combiner, Adapter, Modifier, Porter ailleurs, Éliminer, Réorganiser) pour enrichir votre réflexion.

5/ Explorez des scénarios extrêmes :

Poussez l’élargissement à l’extrême en explorant des scénarios radicaux. Pensez à ce qui se passerait si vous amplifiiez un aspect de l’idée au-delà des limites de la réalité.

Top 10 des méthodes pour développer une stratégie de branding efficace

Le branding, c’est bien plus qu’un simple logo ou une belle palette de couleurs. C’est le cœur et l’âme de votre entreprise, la promesse que vous faites à vos clients, et l’identité qui définit votre place sur le marché. Une stratégie de branding efficace est bien plus qu’un simple atout : elle est essentielle pour établir la notoriété de votre entreprise, bâtir la confiance des consommateurs et vous distinguer de la concurrence. Voici les dix meilleures méthodes pour développer une stratégie de branding.

1/ S’intéresser à votre public cible

Pour développer une stratégie de branding efficace, la première étape est de comprendre pleinement votre public cible. Au-delà des simples données démographiques, creusez plus profondément pour comprendre leurs aspirations, leurs valeurs et leurs besoins. Explorez les habitudes d’achat, les comportements en ligne, et les centres d’intérêt pour créer un portrait complet de vos clients idéaux. Plus vous en savez sur eux, plus vous serez en mesure de créer un branding qui résonne avec eux.

2/ Identifiez votre proposition de valeur unique 

Qu’est-ce qui distingue votre entreprise de la concurrence ? Quelle est votre proposition de valeur unique (PUV) ? Votre PUV doit être clairement définie et représenter la raison pour laquelle les clients devraient choisir votre entreprise plutôt qu’une autre. Que ce soit la qualité exceptionnelle de vos produits, un service à la clientèle inégalé, ou un engagement envers la durabilité, votre PUV doit être au cœur de votre stratégie de branding.

3/ Créez une identité de marque mémorable 

Votre identité de marque va bien au-delà d’un simple logo. Elle englobe la palette de couleurs, la typographie, le ton de la voix et l’esthétique visuelle de votre entreprise. Assurez-vous que votre identité de marque est cohérente sur tous les supports, en ligne et hors ligne, pour renforcer la reconnaissance de votre entreprise. Lorsque les clients voient votre logo ou entendent votre slogan, ils devraient instantanément l’associer à votre entreprise.

4/ Racontez une histoire captivante 

Le storytelling est un puissant outil pour créer une connexion émotionnelle avec votre public. Racontez une histoire captivante qui met en avant vos valeurs, vos origines ou les problèmes que votre entreprise résout. Une histoire bien racontée peut créer un lien durable avec vos clients, les incitant à se sentir plus proches de votre entreprise et à devenir des ambassadeurs de votre marque.

5/ Développez une présence en ligne solide 

Créez un site Web professionnel, assurez-vous d’être actif sur les médias sociaux, et publiez régulièrement du contenu de qualité pour renforcer votre image de marque. L’engagement avec les clients en ligne est crucial pour développer une relation de confiance. Répondez rapidement à leurs questions et préoccupations, encouragez le dialogue et partagez du contenu pertinent.

6/ Ayez un message clair

La cohérence est la clé d’une stratégie de branding efficace. Assurez-vous que tous les messages, visuels et interactions reflètent votre identité de marque et renforcent votre PUV. Cela contribue à la reconnaissance de la marque et à la confiance des consommateurs. Chaque point de contact avec votre entreprise devrait être en harmonie avec votre branding, que ce soit dans les e-mails, sur les réseaux sociaux, ou dans les interactions en personne.

7/ Faites de vos clients des ambassadeurs

L’expérience client est un élément central de votre stratégie de branding. Offrez un service exceptionnel, traitez les clients avec respect et répondez rapidement à leurs besoins. Une expérience client positive renforcera votre réputation et encouragera les clients à devenir des ambassadeurs de votre marque. Les clients satisfaits sont plus enclins à recommander votre entreprise à leur entourage.

8/ Impliquez-vous dans la communauté

Participer à des initiatives communautaires, soutenir des causes sociales ou œuvrer pour le bien-être environnemental peut renforcer votre image de marque. En montrant votre engagement envers des valeurs importantes, vous montrez que votre entreprise est soucieuse de la communauté et de l’environnement. Les clients sont plus enclins à soutenir une entreprise qui se soucie du bien-être commun.

9/ Surveillez et ajustez en permanence : Mesurez et réagissez

Une stratégie de branding efficace nécessite une surveillance constante. Utilisez des indicateurs de performance clés (KPI) pour évaluer l’efficacité de votre branding, tels que la notoriété de la marque, la fidélité des clients et les taux de conversion. En analysant ces données, vous pourrez ajuster votre stratégie en fonction des résultats. Soyez prêt à évoluer pour répondre aux besoins changeants du marché et des consommateurs.

10/ Construisez dans la durée

Le branding efficace prend du temps. Ne vous attendez pas à des résultats instantanés. Soyez patient et persévérez dans vos efforts. Il faut souvent plusieurs années pour établir une marque solide. Restez concentré sur vos objectifs, écoutez les commentaires des clients, et adaptez-vous lorsque c’est nécessaire. Le branding est un investissement à long terme qui peut avoir un impact significatif sur la croissance de votre entreprise.

Savoir détecter la double contrainte au travail… pour la résoudre !

La double contrainte, qu’est-ce que c’est ? Ce concept reste encore relativement méconnu. Il est un type particulier de conflit engendré par une situation paradoxale, qui entraîne celui ou celle qui la vit dans un dilemme insoluble ou tous les choix possibles sont perdants ! Découverte par Gregory Bateson, célèbre anthropologue, psychologue et épistémologue américain, à l’origine notamment de l’école de Palo Alto en Californie, elle est étudiée et a notamment été utilisée par Milton Erickson, sous sa forme positive et thérapeutique.

L’utilité d’en savoir plus

Ce qui compte, c’est la détecter, l’appréhender et la résoudre. Si on parvient à la transmuter, elle peut s’avérer être une source de développement personnel et de créativité. Mais elle peut devenir, si l’on n’y prend garde, source de conflit intérieur important avec des répercussions non négligeables sur le psychisme. 

Les différentes composantes de la double contrainte :

Quatre conditions doivent être réunies pour être dans le cas d’une double contrainte : 

  1. La relation en jeu est asymétrique en raison d’un lien de pouvoir entre les protagonistes (parents/enfants, patron/employé, etc.). Un double message négatif est émis par la personne qui est en position de pouvoir. Il peut se formuler ainsi : « si tu ne fais pas ça alors tu n’auras pas ça ; mais si tu fais ça alors tu ne seras pas ça »
  2. La personne qui en est « victime » ne peut s’exprimer. Soit parce qu’elle n’en a pas le droit soit parce que la confusion induite est trop forte pour pouvoir la verbaliser.
  3. La personne qui a le pouvoir ajoute souvent à son double message une « injonction implicite négative » qui porte atteinte à l’identité même de la victime et qui va la conduire à penser, au final, que c’est elle qui est dans l’erreur, que c’est elle est la cause de ce conflit ! C’est une forme de chantage émotionnel du type « Si tu m’aimais vraiment, alors tu ferais ça pour moi »
  4. La situation devient récurrente et habituelle.

Un exemple célèbre de double contrainte pour mieux comprendre

Une mère offre à son fils pour son anniversaire deux cravates : une rouge et une bleue. La semaine suivante, le fils arrive en portant la cravate bleue afin de faire plaisir à sa mère. En le voyant, elle déclare alors avec des reproches dans la voix et le regard « Ah…Tu n’aimes pas la cravate rouge alors ?? » On est bien ici dans une situation de conflit avec un choix impossible pour le fils impliquant une dimension affective forte. La situation est inextricable (chaque choix étant perdant quel que soit la couleur choisie) à moins bien sûr de porter deux cravates en même temps…

La double contrainte transposée dans l’environnement professionnel

Et dans l’entreprise alors me direz-vous ? Quelle forme peut-elle prendre ?  Elles peuvent surgir bien évidemment dans les relations interpersonnelles et plus particulièrement au sein de liens hiérarchiques mais aussi dans le respect de procédures, de processus ou encore dans l’exercice de missions et tâches. 

La double contrainte peut dès lors s’appliquer lorsqu’il y a décalage entre soi, ce qu’on pense et ce que l’entreprise exige (voir à ce sujet l’article sur la perception de justice organisationnelle). Dans ce cas, la personne est littéralement prise en tenailles entre deux positions contradictoires.

Comment la détecter ?

Comme nous venons de le voir, ces schémas sont très insidieux et difficiles à percevoir pour ceux qui en sont victimes car ils conduisent généralement à un comportement auto-accusatoire. 

1/ Par le comportement :

Peur de prendre une décision car on ne peut apporter une réponse positive au problème mais aussi dans le même temps peur de ne pas en prendre. Des réponses évasives à la question sur l’identité, comme si la réponse appartenait à une tierce personne, avec le besoin d’une autorisation pour le faire. Reconnaissance de son impuissance, acceptation sans pouvoir réagir. Parce qu’elle ne peut verbaliser, la personne prise dans ce schéma ressent évidemment colère et rancœur (non exprimées) vis-à-vis de son auteur.

2/ Par le langage et les tournures de phrases employées :

La forme interrogative la plus courante impliquant une double contrainte utilise une négation du type

  • « Ne fais-tu pas ? »
  • « Ne veux-tu pas ? »
  • « Ne sais-tu pas ? »
  • « Ne peux-tu pas ? ».

Une autre forme de formulation s’appuie sur le pourquoi :

  • « Pourquoi veux-tu ? »
  • « Pourquoi dois-tu ? »
  • « Pourquoi restes-tu ? » 

3/ Par la responsabilisation :

Victime cherche bourreau ! (Voir triangle de Karpman). Il est très important de réaliser que celui qui la subit a choisi ses propres réactions et doit accepter sa part de responsabilité dans ce jeu de rôle. Cette prise de conscience et acceptation de sa co-production de la double contrainte est un préalable fondamental à sa résolution.

Les solutions pour la résoudre

Maintenant que l’on a appris à la détecter, comment faire pour la résoudre ?
C’est ici que les outils PNL s’avèrent très utiles. Ces situations étant très complexes, s’en libérer va supposer d’apprendre à gérer chacune des conditions nécessaires à son apparition et ce avec des moyens et protocoles adéquats. Cela implique d’aider la personne à développer sa capacité à gérer les six dimensions suivantes :

1. Réduire l’intensité ou modifier la nature de la relation qui la provoque

Il s’agira de se dissocier de ses réactions émotionnelles dans un premier temps puis d’acquérir une indépendance émotionnelle en diminuant le pouvoir détenu par l’autre en devenant moins dépendant de cette personne.

2. Apprendre à distinguer les messages contradictoires

A partir des tournures de phrases listées précédemment, apprendre à distinguer les messages en devenant plus conscient des incongruences et qu’il existe, dans toute communication, différents niveaux. 

3. Faire des « méta-commentaires »

Méta-communiquer à propos de la de la double contrainte que l’on expérimente consiste en une reconnaissance honnête et sincère de l’expérience que l’on vit qui serait du type :
« Je suis dans une double contrainte à propos de X » ou « Si je ne fais pas ça, je me sens « mal » parce que » ou bien encore « Si je fais ça, je me sens « mal » parce que »

4. Filtrer ou neutraliser les messages négatifs relatifs à l’identité

C’est la fameuse injonction négative de la double contrainte. En PNL, on apprend à séparer l’identité (ce que je suis) du comportement (ce que je fais). Particulièrement dans la double contrainte ou les protagonistes sont étiquetés « bourreau » et « victime ». De même, on s’appuiera sur un autre postulat qui est que « derrière chaque comportement, il y a une intention positive pour la personne». La question deviendra alors : Quelle pourrait être l’intention positive (pour lui/elle) qui se cache derrière le comportement du « bourreau »

5. Trouver un moyen de « sortir du cadre »

Une façon d’y parvenir est d’utiliser la technique de dissociation qui implique de se mettre dans une « position d’observateur » de la relation. C’est ce que l’on nomme en PNL se mettre en position Méta. C’est la capacité à se situer à l’extérieur comme si on regardait ses propres actions mais également son interaction avec les autres comme un film qui se projète sur un écran. Cela donne une chance à la personne d’avoir une perspective différente. Il sera intéressant aussi d’utiliser ce que l’on les nomme positions de perception.

6. Faire en sorte que cette situation ne devienne pas récurrente 

Une façon d’y arriver est de développer des stratégies pour isoler les situations de double contrainte. C’est-à-dire, distinguer ces situations comme des événements ponctuels liés à un comportement plutôt que de les percevoir comme une généralisation liée à « l’identité » de la personne.

Dans une démarche de coaching 

Le traitement d’une double contrainte a toute sa place dans une démarche de coaching. Notamment dans la régulation des relations interpersonnelles problématiques et la prévention des risques psychosociaux. L’accompagnement facilitera alors la mobilisation des ressources adéquates pour y faire face, les dépasser et les transformer. La neutralité bienveillante du coach permettra également la réduction de la charge affective et le stress et l’anxiété associés.

Comment se faire des amis et sauver le monde des affaires en même temps

Le networking, ce mot peut évoquer des images de cocktails ennuyeux, de conversations stéréotypées et d’échanges de cartes de visite fades. Mais que diriez-vous de secouer le monde du networking et d’adopter une nouvelle approche ? C’est le moment d’enfiler votre costume de super-héros et de transformer ces rencontres en des événements épiques. Oui, vous pouvez sauver des liens professionnels et créer des amitiés durables tout en progressant dans le monde des affaires. Voici comment se faire des amis et sauver le monde des affaires en même temps.

L’identité secrète

Tout super-héros a une identité secrète, et vous aussi. C’est la personne que vous êtes en dehors de vos heures de travail. Vous avez des passions, des intérêts, et des compétences uniques qui vous définissent en dehors de votre rôle professionnel. Le networking façon super-héros consiste à laisser briller votre identité secrète. Plutôt que de parler uniquement de votre entreprise, partagez vos passions, que ce soit la cuisine, le tricot, ou la jonglerie. Vous serez surpris de voir combien de connexions se forment autour de sujets inattendus.

Le pouvoir de l’écoute active

Les super-héros ont des super-oreilles capables de détecter les moindres bruits suspects. Dans le monde du networking, le pouvoir équivalent est l’écoute active. Écoutez attentivement vos interlocuteurs, posez des questions pertinentes, et montrez un véritable intérêt pour ce qu’ils disent. L’écoute active est votre super pouvoir pour créer des liens solides et authentiques.

La confiance en soi comme superpouvoir

Les super-héros ont une confiance en eux à toute épreuve, et vous aussi devriez l’avoir. Soyez fier de ce que vous apportez à la table. Si vous n’êtes pas convaincu de votre propre superpouvoir professionnel, qui le sera ? Mettez en avant vos compétences avec assurance, sans pour autant vous transformer en super-égo surdimensionné.

Le langage des super-héros

Superman a sa « vision laser », Batman son « batarang », et vous avez votre propre jargon professionnel. Cependant, lors du networking façon super-héros, il est préférable de laisser votre langage des super-héros au placard. Évitez les acronymes obscurs et les expressions techniques. Préférez une communication claire et accessible, pour que tout le monde puisse comprendre. Vous êtes le traducteur de la complexité, le décodeur du jargon, et le défenseur de la clarté.

Le costume du networking

Chaque super-héros a un costume emblématique. Pour le networking façon super-héros, votre tenue est importante. Optez pour un look qui reflète votre personnalité, tout en restant professionnel. Une chemise à motifs originaux, une cravate qui raconte une histoire, ou une paire de chaussures funky peuvent être votre « costume » pour briller lors de ces rencontres.

Les super-rencontres

Les super-héros ont leurs super-vilains à combattre, et vous avez des super-rencontres à organiser. Créez des événements de networking originaux qui sortent de l’ordinaire. Organisez une soirée de jeux de société où la compétition laisse place à la collaboration, une dégustation de vins où les saveurs se mélangent aux conversations, ou une séance de méditation pour apaiser les esprits surmenés. Ces rencontres inattendues favorisent des connexions plus authentiques et amusantes. Vous êtes le maître de cérémonie de ces aventures du networking.

La diversité comme équipe de super-héros

Les super-héros viennent de tous horizons, et votre équipe de super-héros du networking devrait en faire de même. Ne limitez pas vos interactions aux personnes de votre secteur d’activité. Explorez des domaines variés et découvrez comment des compétences et des perspectives différentes peuvent enrichir vos réseaux. Vous êtes le rassembleur des talents variés, le chef d’orchestre de la diversité.

Le sens de l’humour

Tous les super-héros ont un sens de l’humour, qu’ils luttent contre des criminels costumés ou des problèmes d’affaires. Utilisez l’humour pour égayer vos conversations. Partagez des anecdotes drôles, des histoires embarrassantes (dans la limite du raisonnable), et des jeux de mots pour détendre l’atmosphère et créer des liens. Vous êtes le chef d’orchestre des rires, le maître de la punchline et le roi de la répartie.

La bienveillance comme superpouvoir

Les super-héros sont connus pour leur bienveillance envers les autres. Soyez un super-héros du networking en aidant les autres à atteindre leurs objectifs. Offrez votre soutien, partagez des ressources, et soyez un véritable allié pour ceux qui cherchent à accomplir de grandes choses. Vous êtes le défenseur des opportunités, le généreux bienfaiteur, et le guide bienveillant.

L’appel à l’action

Tout super-héros a un appel à l’action. Pour vous, c’est l’invitation à poursuivre la conversation en dehors de la réunion. Proposez un café, une rencontre professionnelle, ou une collaboration potentielle. Montrez que vous êtes prêt à agir pour sauver le monde des affaires, un networking à la fois. Vous êtes le bâtisseur de ponts, le créateur de synergies, et le catalyseur du progrès.

Le networking façon super-héros vous permet de vous faire des amis tout en développant votre réseau professionnel. Alors, enfilez votre cape invisible, enlevez vos lunettes de Clark Kent, et devenez le super-héros du networking que le monde des affaires mérite. Le monde a besoin de plus de super-héros du networking pour résoudre les problèmes professionnels et sauver la journée. N’oubliez pas de rendre chaque interaction mémorable et agréable. À vous de jouer ! 

Comment gagner en compétitivité avec un logiciel ERP ?

Face à une intensification de la concurrence mondiale, les entreprises cherchent sans cesse à gagner en compétitivité afin d’assurer leur croissance. Un atout majeur pour y parvenir ? Le logiciel ERP, véritable couteau suisse de l’optimisation d’entreprise. Se démarquant parmi ces outils, l’ERP Sage X3 offre des avantages considérables. Découvrez ce logiciel qui pourrait bien être le booster de compétitivité que votre entreprise cherche.

Qu’est-ce qu’un logiciel ERP ?

Un logiciel ERP (Enterprise Resource Planning) est une solution intégrée de gestion d’entreprise. Son rôle principal ? Rationaliser et automatiser les processus opérationnels, financiers et RH au sein d’une entreprise, pour augmenter sa performance globale. Parmi ces outils de pilotage, l’ERP Sage X3 se distingue par sa capacité à s’adapter aux spécificités de chaque entreprise.

Quels sont les bénéfices d’un logiciel ERP pour les entreprises ?

L’utilisation d’un logiciel ERP comme Sage X3 offre plusieurs avantages : 

  • Standardisation et simplification des processus : Sage X3 aide à uniformiser les processus opérationnels, les rendant plus simples et plus efficaces.
  • Réduction des coûts et des erreurs : minimise les erreurs et les coûts liés à la duplication des données grâce à une gestion centralisée.
  • Amélioration du partage d’information : facilite la communication et le partage d’informations entre différents départements.
  • Soutien à la prise de décision : offre une meilleure visibilité sur l’activité de l’entreprise, ce qui aide à prendre des décisions éclairées.
  • Augmentation de l’efficacité interne : l’utilisation de Sage X3 augmente l’efficacité opérationnelle, ce qui se traduit par une meilleure productivité.
  • Gain en compétitivité : en améliorant les processus internes et la prise de décision, Sage X3 contribue à renforcer la compétitivité de l’entreprise sur le marché.

Comment l’ERP Sage X3 peut améliorer la compétitivité de votre entreprise ?

L’amélioration des processus internes grâce à l’ERP Sage X3

En permettant d’unifier et de rationaliser les processus d’affaires, l’ERP Sage X3 offre une amélioration notable de la productivité. Les tâches répétitives sont automatisées, éliminant ainsi les risques d’erreurs humaines et libérant du temps pour se concentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée. Le logiciel facilite également le partage d’information entre services, favorisant une meilleure collaboration au sein de l’entreprise.

Prendre des décisions éclairées avec l’aide de l’ERP Sage X3

L’un des atouts majeurs de cet outil est sa capacité à fournir une vue d’ensemble en temps réel sur les opérations de l’entreprise. Cela signifie que vous pouvez suivre en direct vos indicateurs clés de performance (KPIs), identifier rapidement tout problème ou opportunité et prendre les décisions nécessaires pour rester compétitif dans votre marché. Il permet aussi d’anticiper et planifier précisément vos besoins en ressources (matières premières, personnel) grâce à ses modules dédiés. Avec un tel outil, votre entreprise est agile, réactive face aux changements et capable de saisir rapidement les nouvelles opportunités. Tout cela contribue indéniablement à renforcer sa compétitivité.

Absys Cyborg : accompagner la transformation numérique avec l’ERP Sage X3

Absys Cyborg, filiale à 100% du Groupe Keyrus, se positionne comme un acteur majeur dans la transformation numérique des entreprises. Avec plus de 35 ans d’expertise en informatique de gestion et un chiffre d’affaires de 77,7 millions d’euros en 2022, l’entreprise compte 3300 clients en France et à l’international, grâce à ses 535 collaborateurs répartis sur 13 agences en France, ainsi qu’à Bruxelles et Londres.

En tant qu’intégrateur et revendeur de logiciels de gestion, tels que Sage, Microsoft, Kyriba et Lucca, Absys Cyborg propose une panoplie de services. Sa spécialisation dans l’ERP Sage X3 lui permet d’accompagner les entreprises de toutes tailles, des PME aux grandes entreprises, dans l’intégration, le déploiement et l’utilisation de cette solution. Sage X3 se distingue par sa capacité à couvrir tous les aspects opérationnels et métiers des entreprises, offrant une gestion complète des processus financiers, humains, commerciaux et logistiques.

Grâce à des équipes expertes et à des partenariats stratégiques avec des leaders tels que Sage et Microsoft, Absys Cyborg garantit des solutions sur mesure pour répondre aux besoins spécifiques de chaque entreprise. L’accent est mis sur la simplicité, la flexibilité et l’adaptabilité de Sage X3, offrant ainsi aux utilisateurs une visibilité accrue sur leurs opérations, tout en simplifiant la gestion de leur infrastructure logicielle. Finalement, choisir le logiciel ERP Sage X3 c’est faire le choix de l’optimisation, de l’agilité et du pilotage éclairé pour propulser votre entreprise dans le futur. Alors, qu’attendez-vous pour franchir le pas ?