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Webinars : les avantages et les inconvénients pour le business

Aujourd’hui l’impact des déplacements sur la planète nous conduit à les limiter et à repenser notre modèle de communication traditionnel. Les échanges font partie inhérente de la réussite de toute entreprise. Alors, le Webinar a solution miracle ?

Outil collaboratif de B2B par excellence, le Webinar ou visioconférence permet d’organiser des échanges entre différents collaborateurs, clients ou prospects, éparpillés aux quatre coins de l’hexagone ou du monde. Quels sont alors les atouts de ce moyen de communication multimédia en termes de business ? Une rationalisation des coûts de communication

Le webinar, kesako ?

Composante principale du Web 2.0 et de l’inbound marketing, le Webinar permet de retranscrire sur support visuel et audio une conférence en ligne. Épargnant un temps considérable et des moyens financiers importants, ces conférences en ligne constituent de véritables outils de relation client et d’organisation collaborative.

Outil idéal de partage et de promotion de business, le Webinar permet d’optimiser la productivité d’une entreprise en supprimant les coûts de déplacement et en remédiant efficacement à la dispersion géographique. Moyen avantageux à plus d’un titre pour convaincre les prospects sans que ceux-ci n’aient à effectuer de démarche fastidieuse, la conférence en ligne est aussi aisée à organiser car une simple liaison vidéo et audio est suffisante pour organiser une réunion, une formation ou un séminaire.

Réunions de travail, conférences, séminaires mais aussi formations en ligne des salariés, la conférence en ligne s’avère polyvalente et bénéficie de coûts réduits.

Le nombre de participants non limités pour développer les compétences

 Afin d’optimiser encore plus la productivité de l’entreprise, les formations de E-learning peuvent désormais rassembler plusieurs milliers de participants, contrairement à la simple vidéo-conférence qui n’autorisait il y a quelques années encore que 20 participants au maximum. Outils performants dans le cadre d’une stratégie marketing, les applications des Webinars permettent d’établir des statistiques sur tous les collaborateurs, de créer du contenu multimédia personnalisé et sur-mesure, et de fournir une interactivité optimale entre l’organisateur de la conférence en ligne et les différents destinataires.

Des contraintes physiques et techniques imposées

L’absence de tout contact humain qui reste l’apanage des technologies numériques constitue le principal défaut des Webinars. Des collaborateurs éloignés les uns des autres peuvent en effet manquer d’attention, et l’animateur d’une conférence en ligne doit s’adresser à l’ensemble de son auditoire virtuel. Manque de chaleur humaine et d’attention, décrochage, manque de convivialité, peuvent alors en rebuter certains. 

Mais pour réussir, les intervenants doivent être au top

La présentation et l’organisation doivent également être particulièrement soignées afin de convaincre et motiver tous les intervenants d’une conférence en ligne ou d’une formation. Le fait pour celui qui doit intervenir pendant parfois plus d’une heure devant des inconnus peut susciter une angoisse particulière, contrairement aux traditionnelles réunions de bureau où l’ensemble du personnel présent est familier. Le cadre et la présentation des intervenants sont également primordiaux, afin de capter durablement l’attention de tous. Ils sont comme un présentateur du journal télévisé qui sont face à des millions de personnes mais qui ne les voient pas. Sans entrainement, il est difficile d’être performant dans ce genre d’exercice.

Il faut aussi préparer en amont un ordre du jour et demander aux participants s’ils souhaitent intervenir et sur quel point afin de préparer en amont. L’improvisation est à proscrire dans tous les cas pour ne pas se trouver sous un flot de plaintes et de critiques que l’on ne pourra pas canaliser et qui serait facteur de stress et d’inquiétudes.

La performance des outils techniques

Les moyens techniques pour la mise en place parfois complexe d’un Webinar à plusieurs dizaines voire centaines de spectateurs virtuels sont aussi un facteur à ne pas négliger. Les coupures et autres désagréments techniques doivent à tout prix être évités, de même que les coûts de maintenance peuvent être élevés. Si une entreprise organise en effet régulièrement des Webinars, celle-ci doit s’assurer d’une retransmission parfaite ainsi que d’un cryptage de sécurité des données. Tout comme la création d’une plateforme en ligne, la conférence en ligne suppose un hébergement sur serveur et une licence d’installation des différents logiciels et applications de présentation. Représentant un coût régulier pour l’entreprise qui doit faire appel à un prestataire de services spécialisé, le Webinar doit pouvoir être rentable en termes de gain de productivité et d’efficacité.

Certes le webinar permet d’allier de nombreux avantages mais il ne faut jamais écarter le fait que les rencontres physiques sont aussi nécessaires et il faut les intégrer à la stratégie.

Bien choisir son Circuit de distribution et canal de vente

Les circuits de distribution sont en train de vivre une véritable mutation car les canaux traditionnels   sont supplantés par les digital players. Pour vendre un produit ou service, il demeure important de choisir un circuit de distribution et canal de vente. Quels sont ces différents canaux ? Quels sont leurs avantages, leurs inconvénients ? Qu’est-ce qui les différencie les uns des autres ? Et comment faire son choix ? Explications.

Le circuit direct.

Il s’agit du circuit de vente le plus court qui puisse exister. Seulement deux acteurs se côtoient : le producteur et le consommateur. Aucun intermédiaire n’établit un pont entre les deux. C’est le cas du viticulteur qui vend son vin directement à la propriété ou de l’artisan boulanger qui confectionne ses pains et les commercialisent dans sa boutique. Pour le consommateur, ce système implique plusieurs avantages. Il bénéficie de conseils avisés de la part du producteur. Acheter directement au producteur lui permet également de découvrir de nouveaux produits qu’il ne trouvera pas ailleurs. En utilisant ce circuit de distribution, le producteur peut quant à lui mieux gérer son stock et produire en fonction de ses ventes prévisionnelles.

Le circuit court.

Il n’existe qu’un seul intermédiaire entre le producteur et le consommateur. Il s’agit d’une vente indirecte sans pour autant qu’elle soit considérée comme longue. La caractéristique première de ce mode de distribution reste la prise en compte de l’origine des produits. Un argument de poids quand on sait qu’en 2019, les français sont de plus en plus nombreux à vouloir acheter des produits locaux. Ce type de distribution permet également de proposer des produits de qualité au consommateur qui y est très attentif.

Devant le constat que la qualité des produits s’est dégradée au cours des 10 dernières années, ils privilégient une autre manière d’acheter. Face à cette situation, de nombreuses entreprises se sont lancées dans la branche du « consommer local ». C’est le cas de « mon-panier-bio.com » qui permet aux consommateurs de trouver des paniers de fruits et légumes près de chez eux.  Les avantages pour les producteurs se situent dans l’amélioration de la gestion de leurs prix de vente ainsi que dans la possibilité de bénéficier directement des critiques, positives ou négatives, de leur clientèle.

Le circuit long.

Il comprend au minimum deux intermédiaires entre le producteur et le consommateur. Ces deux acteurs prennent la plupart du temps la forme de grossistes ou de détaillants. Les premiers réalisent des achats en gros qu’ils stockent dans des entrepôts puis qu’ils revendent ensuite aux seconds. Ceux-ci les distribuent ensuite aux consommateurs. Le producteur n’a aucun lien direct avec les personnes qui vont finalement consommer ses produits. C’est le cas du secteur du textile dont les habits sont confectionnés dans des pays où la main d’œuvre reste moins chère. Le principal inconvénient pour le consommateur reste le manque de transparence dans les produits qu’il achète. Mais, grâce à ce mode de distribution, il peut trouver tout ce qu’il désire à n’importe quel moment de l’année lorsqu’il s’agit d’alimentation.

Le circuit long permet également de bénéficier de produits venus de l’étranger qu’il demeure impossible de confectionner localement. Cette méthode reste très utilisée dans le secteur de la grande distribution. Les producteurs de viande vendent leurs produits à des groupes industriels qui les transforment en produits finis. Ces derniers se retrouvent à nouveau vendus à des centrales d’achats dans lesquelles les grandes surfaces viennent acheter ce dont elles ont besoin pour les revendre ensuite à leurs clients. L’ajout d’étapes supplémentaires entre le producteur et le consommateur augmente le prix des produits ainsi que la probabilité de réaliser des erreurs voire de tromper les consommateurs. Il est évident que dans le contexte actuel de protection de la planète, le circuit long est remis en question par les consommateurs qui se détournent des produits qui ne reflètent pas leurs valeurs.

Le canal de vente.

A ne pas confondre avec le circuit de distribution, le canal de vente correspond au moyen d’acheminement utilisé par l’entreprise pour amener son produit ou service du producteur au consommateur. On peut citer la grande distribution, le commerce de gros, celui de détail, l’e-commerce ou encore la vente à domicile. Le choix de votre canal de distribution dépend de votre stratégie d’entreprise. Si vous souhaitez toucher le plus grand nombre de consommateurs avec vos produits, privilégiez la grande distribution. Même si vos produits se trouvent noyés parmi vos concurrents, vous réalisez des volumes de vente plus importants. Il faut jouer sur vos prix et non sur la qualité de vos produits pour vous différencier de la concurrence.

Dans l’optique de se développer à l’international, deux canaux peuvent être utilisés. Vous pouvez opter soit pour une commercialisation par le biais de distributeurs dans les pays où vous souhaitez vous installer soit pour la mise en place d’une plateforme d’e-commerce. L’utilisation d’un canal par rapport à l’autre dépend également du secteur dans lequel vous vous situez. Si vous êtes un fabricant de produits high-tech ou d’habillement, vous aurez tendance à privilégier la mise en place d’un point de vente physique, que vous optiez pour un système de distribution en circuit direct ou court. 

Les nouveaux canaux de vente, les incontournables

Avec le développement du numérique, de nouveaux canaux de commercialisation sont apparus. D’abord, les sites e-commerce se sont multipliés et ont révolutionné le secteur de la vente. Alors qu’il existait 35 500 sites marchands actifs en France en 2007, ce nombre atteint 180 000 en 2019. Aujourd’hui, les réseaux sociaux peuvent même jouer le rôle d’interface de vente entre le client et le vendeur. D’autres canaux, basés sur un modèle plus ancien, demeurent également de plus en plus répandus. C’est le cas des boutiques éphémères (appelées également « pop-up store ») qui ne sont ouvertes que sur des courtes durées. Ce type de canal de vente permet à l’entrepreneur de disposer d’un point de vente en propre à un moment donné de son activité, alors qu’il ne pourrait pas nécessairement se permettre d’en posséder un à l’année, car ce dernier ne serait pas rentable.

Aujourd’hui en raison des contextes politiques et économiques, les circuits traditionnels demandent à être repensé. Pour garder ses clients, il est nécessaire de respecter les enjeux climatiques car les consommateurs y prêtent une réelle attention.

Comment s’améliorer en « stratégie »

La stratégie est votre boussole mais aussi celle de vos collaborateurs. Elle permet de ne pas remettre en question au moindre coup de vent les décisions prises et l’organisation des services. Rien de plus déconcertant qu’un dirigeant qui est influencé par les circonstances extérieures, ne sait pas maintenir le cap et se révèle incapable d’anticiper.

La stratégie d’entreprise est l’ensemble des actions, des décisions et des moyens à mettre en œuvre sur une période donnée (moyen ou long terme) pour l’atteinte des objectifs. C’est en quelque sorte le guide de l’entrepreneur. Pour s’améliorer en « stratégie », il faut forcément maîtriser la « démarche stratégique » adaptée au modèle économique de son entreprise.

Quatre étapes sont nécessaires pour réaliser une stratégie performante. 

Première étape : réaliser un diagnostic stratégique

Le but de la mise en place d’une stratégie d’entreprise est de créer continuellement du potentiel pour la bonne marche des activités. Pour mieux la définir, il faut commencer par un « diagnostic stratégique » de la situation actuelle de l’entreprise. Les spécialistes parlent communément de forces-faiblesses et d’opportunités-menaces ou analyse SWOT. Il existe une palette d’outils pour réussir cette analyse. Par exemple, la théorie des jeux et les stratégies de domination par les coûts, de rupture, Blue Ocean, de différenciation ou de focalisation sur les niches.

Deuxième étape : passer en revue les processus actuels

Si rien ne va plus, c’est justement à cause d’un maillon faible ou d’un aspect négligé. Le plus urgent c’est d’examiner les processus en cours. Pour réussir cette étape, il faut que le dirigeant se comporte comme un potentiel investisseur. Tout en gardant à l’esprit la vision et les objectifs de l’entreprise, il doit s’assurer que les processus mis en place répondent aux besoins et y ajoutent de la valeur. En fonction de l’information et du flux des matériaux, il va cartographier chaque processus. Ainsi, il comprendra les liens entre les éléments de la production et il sera plus outillé pour détecter les sources de gaspillage et les éliminer.

Troisième étape :  préférer l’approche d’amélioration continue

Pour mettre en place un plan d’amélioration continue, il faut :

– Réaliser une étude de la concurrence et surtout des meilleures pratiques du secteur dans lequel vous opérez. Les spécialistes appellent cette démarche analyse comparative. En menant une étude de la concurrence, vous ne devez pas copier exactement le plan des autres entreprises. Essayez plutôt d’en élaborer un qui répond aux objectifs de votre entreprise.

– Se baser sur des ressources externes pour évaluer vos forces et faiblesses. C’est la meilleure manière d’obtenir un point de vue externe afin de définir une nouvelle stratégie permettant d’améliorer la productivité de l’entreprise.

– Définir des priorités en mettant en place une approche progressive. Cette démarche permet d’obtenir plus rapidement des résultats convaincants plutôt que d’essayer de tout réaliser au même moment.

 Réorganiser les équipes tout en tenant compte des compétences des collaborateurs.

– Prêter une attention particulière aux réalisations novatrices, car de petites améliorations innovantes peuvent entrainer un accroissement majeur de la productivité.

– Mettre en place un système d’évaluation des résultats. Il est recommandé de confier cette démarche à une tierce personne pour être sûr d’avoir des conclusions objectives.

Quatrième étape : se concentrer sur son cœur de métier

Aujourd’hui, la sous-traitance est un moyen rentable pour les PME. Elle permet aux entreprises de centrer leurs efforts sur ce qu’elles font de mieux. Par exemple, vous pouvez choisir d’externaliser votre comptabilité, votre logistique, votre système informatique, les relations publiques ou la paie. Avant d’entreprendre cette démarche, pensez à évaluer vos coûts et votre production. Il est important de détecter les fonctions de bases qui accroissent votre chiffre d’affaires et les fonctions qui nuisent à votre productivité et augmentent vos dépenses. Contrairement aux idées reçues, la sous-traitance n’est pas à la cause de la perte du contrôle de l’entreprise, elle permet plutôt d’adopter une bonne stratégie et de se concentrer sur son cœur de métier. En adoptant une alliance stratégique, vous développez votre entreprise sans engager des coûts supplémentaires ni augmenter la taille de votre entreprise.

Education, climat… L’entrepreneuriat doit-il éveiller les consciences ?

Si l’entreprise n’était considérée, il y a encore peu de temps seulement comme une source de profits et de permettre aux collaborateurs de vivre de leur rémunération, les nouveaux enjeux des entreprises sont dans ce monde en pleine mutation de créer des valeurs.   Plus que jamais, les entreprises sont au cœur de la vie des citoyens. Elles ont un rôle important à jouer au sein de la société. Elles ont la possibilité, par des engagements forts, d’éveiller les consciences et de modifier les comportements. Apparu dans les années 1960 et très en vogue depuis les années 1990, le concept de responsabilité sociétale des entreprises met en lumière cette approche. Quel rôle social ont à jouer les entreprises à l’heure actuelle ?

Les nombreux sondages relaient un message similaire. L’entreprise ne peut plus être ce qu’elle était aux risques de disparaître en raison du refus des consommateurs ou clients de participer à la destruction de la planète ou du refus d’exploiter des personnes même si elles se trouvent à l’autre bout du monde pour leur propres profits. Dans ce monde où les nouvelles technologies imposent leur diktat de transparence, l’aube d’une nouvelle ère pointe son nez.

La valeur éducative de l’entrepreneuriat

L’école se tourne de plus en plus vers les acteurs du monde associatif et entrepreneurial pour faire bénéficier les élèves d’approches nouvelles adaptées aux réalités économiques. La culture de l’entreprise y a ainsi toute sa place. La présentation d’un entrepreneuriat éthique, conscient de son rôle social et défendant les grands principes de solidarité, constitue un choix tout à fait pertinent dans cette optique. Les entrepreneurs sont en mesure de partager leur approche du travail afin d’inculquer à la jeunesse le goût de la création, de la prise de risques et de l’investissement personnel. La culture entrepreneuriale peut également servir d’exemple pour enseigner aux élèves des notions fondamentales comme la responsabilisation, la confiance en leurs idées et l’abnégation pour mener à bien un projet. Intégrée aux programmes d’enseignement, l’entreprise peut ainsi devenir vecteur de justice sociale et d’économie équitable.

La prise de conscience des enjeux climatiques

Les entrepreneurs sont également concernés par les grandes préoccupations à l’échelle mondiale, notamment autour de la question du climat. Enjeu majeur des décennies à venir, la lutte contre le réchauffement climatique passe à la fois par un large rassemblement étatique, comme l’a montré récemment, la COP21, et une prise de conscience globale au niveau des entreprises dont les activités peuvent s’avérer polluantes.

Les entrepreneurs exercent une responsabilité importante en matière de développement durable. Ils peuvent jouer en la matière un rôle notable en s’engageant résolument dans cette voie. Adopter un comporter tant éthique que transparent dans le domaine de l’écologie devient pour les entreprises une quasi-nécessité, l’impact des activités humaines sur l’environnement est une évidence. Aujourd’hui, les entreprises qui concourent à limiter les émissions de carbone et à favoriser la biodiversité sont à même d’influer positivement sur les habitudes des consommateurs, et de participer à une prise de conscience salutaire sur cette question.

Le rôle moteur de l’entrepreneuriat social

Enfin, les entrepreneurs peuvent témoigner d’un engagement aussi bien social que solidaire dans leurs activités quotidiennes, en mesure d’exercer là aussi une influence favorable sur la société. L’entreprise sociale est aujourd’hui un modèle d’organisation qui a le vent en poupe. Elle répond de manière pertinente aux nouvelles problématiques nées de la crise financière. Les entrepreneurs qui mettent au centre de leur projet l’utilité collective, la gouvernance participative et une ambition affirmée de progrès plus que de profit sont des précurseurs d’une économie solidaire à même de rendre la société meilleure. Par leur approche pratique des problèmes et les solutions proposées sur le terrain, les chefs d’entreprises semblent donc susceptibles non seulement d’éveiller les consciences, mais aussi de forger les bases de la société de demain.

E-commerce : quelques solutions technologiques qui vous permettent d’absorber les pics de connexion des soldes

Nombreux sont les entrepreneurs qui voient la période des soldes arriver et être une véritable manne pour leur entreprise. Nombreux sont ceux qui n’ont pas su anticiper cette période faste et qui par manque d’anticipation ont eu leur site saturer et ont perdu des clients qui insatisfaits de la rapidité de réponse se sont tournées vers d’autres concurrents.

Pendant les périodes de soldes, les sites e-commerces voient leur chiffre d’affaire augmenter de 40% voire plus. Néanmoins, le nombre croissant des ventes et le flux massif d’internautes finit le plus souvent par ralentir le site. Quelles sont donc les solutions pour absorber les pics de connexions durant les périodes de soldes ?

Le Cloud Computing pour doubler les capacités de votre site.

Le cloud Computing est une technologie où la puissance de calcul et le stockage sont tous deux assurés par des serveurs distants : publics ou privés. Grâce à cette infrastructure, la souplesse de navigation sur le site internet augmente sans modification majeure du système. Et c’est pour cette raison que plusieurs e-commerçants recourent à cette technique pour absorber les pics de connexion pendant les périodes de soldes.

Cette solution est non seulement favorable à une meilleure navigation sur le site, mais elle se veut également économique. Vous n’aurez qu’à payer le Cloud Computing sans devoir investir dans un serveur supplémentaire qui ne vous servira que pendant cette période.

Le test de pics comme solution de prévention

Même si plusieurs sites e-commerce négligent ce test, il reste l’une des solutions les plus efficaces pour appréhender les pics de connexion. Ce test consiste  à mettre en place une stratégie de simulation en essayant de tendre vers un nombre d’utilisateurs maximal. De cette manière, vous pouvez estimer la capacité de votre site et vous préparer aux périodes de pics. Vous pouvez utiliser des logiciels comme Quotium.

La sécurisation du site grâce à un logiciel de scannage

Les attaques malveillantes sur un site e-commerce peuvent ralentir davantage la navigation du client. Les ruptures de services se multiplient alors sans pour autant être liées à un pic de connexion. Ainsi, pour contrer les attaques informatiques, des dispositifs de sécurité doivent être mis en place.

Il ne n’agit pas là des antivirus habituels mais de techniques plus pointues que vous devez utiliser en cette période de fortes affluences. Le logiciel HackerProof vous permet par exemple de scanner votre site e-commerce afin de détecter les défaillances et de les corriger immédiatement.

La mise en place d’un système d’orientation pour les clients

Dans un grand nombre de cas, la présence massive d’internautes sur votre site crée des goulots d’étranglement. Pour éviter ces « embouteillages cybernautiques », vous devez mieux répartir l’activité des clients sur votre site plutôt que de les placer sur une ligne d’égalité.

Commencez donc par identifier le client en brossant un profil complet de son activité et de son panier. Cela vous aidera à le diriger directement vers la page qui le concerne. Les autres clients seront orientés vers des pages d’attente où trouvent les catalogues et les informations sur le produit.

La création d’un système de délestage

Ce système est utilisé par un grand nombre de sites e-commerce. Il vous permet de prévoir un compte utilisateur pour les clients qui souhaitent directement passer à l’étape de l’achat. Seuls les utilisateurs connectés sur le site pourront bénéficier des services avancés.

La navigation est ainsi allégée. Ce qui est un point fondamental pour le bon fonctionnement de votre vite en cette période pics de connexion. Certaines plateformes e-commerce à succès affirment même qu’une fois mise en place, cette technique a permis d’augmenter leur chiffre d’affaires de manière significative.

Les relations presse : un bon levier pour faire décoller sa boîte

Réaliser une campagne de relations presse permet d’améliorer la visibilité de son entreprise, de faire des rencontres professionnelles intéressantes et de booster son chiffre d’affaires. Les relations presse sont un bon moyen d’obtenir des nouvelles commandes, des parutions et des retombées presse pour les dirigeants de jeunes entreprises ou de startups.

Elles jouent un rôle important et aident à augmenter l’impact des campagnes marketing mises en place par les créateurs d’entreprise et les dirigeants de TPE. Elles s’adaptent à chaque secteur en ciblant les médias et la presse spécifique à son domaine d’activité.

Que la cible soit B to B ou B to C, comment démultiplier les potentiels de résultats de votre entreprise ou startup grâce aux Relations Presse ?

Gautier Girard, fondateur de l’agence RP Relations-Publiques.Pro et expert en Marketing & Communication depuis 2002, dévoile son avis et ses conseils.

Lancer sa boîte et booster son chiffre d’affaires : le facteur clef pour réussir son projet entrepreneurial

De nombreuses entreprises et startups ont déjà compris que booster leurs activités passe par les relations presse ! Elles permettent d’augmenter leur visibilité sans forcément avoir une actualité à partager.

Tout l’intérêt d’une campagne de relations presse bien pensée est de laisser entendre que ce que vous faites est une nouveauté… et est révolutionnaire.

Quelques conseils sur le fonctionnement des relations presse

Que votre cible soit des Particuliers, ou des Professionnels, comment maximiser les potentiels de retombées de votre société ?

Il faut attirer l’attention des médias sur une activité en mettant en place une stratégie spécifique. Il convient tout d’abord de définir la cible (professionnels ou/et consommateurs locaux, régionaux ou nationaux). Cette première étape facilite la rédaction du communiqué de presse à diffuser. S’il s’agit d’un lancement, il est recommandé de rédiger un dossier de presse. La mise en page et les éléments graphiques doivent être attrayants et adaptés aux lecteurs potentiels.

Ensuite, il faut sélectionner les médias en tenant compte du secteur professionnel concerné et trouver les contacts presse afin de leur envoyer le communiqué et le dossier de presse.

Pour les médias de proximité, il est préférable de solliciter les acteurs les plus importants de la ville ou de la région pour maximiser les résultats de votre campagne de communication.

Il ne faut pas oublier de bien maîtriser le timing ! Les journalistes doivent être contactés très en amont (idéalement une première fois 2 à 3 mois avant une date cible tel qu’un salon ou un événement comme Noël ou la Fête des Mères par exemple) et il faut favoriser leur présence en facilitant leur travail. Il s’agit d’un travail à part entière qui requiert un véritable savoir-faire.

Enfin, n’hésitez pas à relancer les journalistes et médias après l’envoi du communiqué et du dossier presse, cela vous permettra notamment de bien faire passer votre message : c’est une bonne piqûre de rappel pour les journalistes qui sont sur-sollicités au quotidien.

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Comment se déroule une campagne RP via Relations-Publiques.Pro ?

L’agence Relations-Publiques.Pro aide les startups, TPE et PME à améliorer leur notoriété et se faire connaître auprès de leurs clients. Le contexte est la plupart du temps de lancer l’entreprise ou lui donner un nouveau souffle, faire connaître leur concept, promouvoir des nouveautés, ou surfer sur un événement, une date ou un salon important pour elles.

A partir du premier contact, l’équipe d’attachées de presse de l’agence crée une stratégie de relations presse, la développe, et s’attache à mettre en musique un storytelling qui valorise le client, tout en délivrant une information réellement intéressante pour les journalistes, blogueurs et influenceurs.

En clair, l’idée est de constituer une team gagnante Client/Relations-Publiques.Pro/Journalistes !

Le titre et le chapeau sont les principaux éléments mis en avant dans le communiqué de presse afin d’attirer l’attention des journalistes. Pour susciter leur intérêt, l’agence Relations-Publiques.Pro prend également le temps d’échanger avec son client pour définir, en fonction de son concept, les propositions envisageables (exemples : envoi d’échantillons, démonstrations de produits ou services, invitation à un événement…).

Les journalistes sont les décisionnaires finaux. L’agence a donc pour mission d’accompagner ses clients pour donner envie à ces journalistes de reprendre l’information en vue d’un projet éditorial.

Les RP restent le moyen le plus rentable et efficient de faire décoller des TPE et des startups

L’attachée de presse s’occupe de la préparation ainsi que de la diffusion de la campagne presse auprès des journalistes : vous avez tout à gagner en choisissant Relations-Publiques.Pro pour réaliser votre prestation.

L’agence est experte dans le domaine des relations presse depuis 2012 ; elle a obtenu de nombreux résultats pour ses clients sur plus de 3000 campagnes RP réalisées avec succès à la date de parution de cet article. Un grand nombre de ses clients, très satisfaits de ses services, décident de réaliser de nouvelles campagnes et la recommandent auprès de leurs propres clients, en BtoB ou BtoC.

Relations-Publiques.Pro constitue ainsi la solution économique pour toutes les sociétés qui souhaitent obtenir des résultats en dépensant un minimum de budget. L’agence est 100% digitalisée, ce qui permet de faire des économies : il n’est pas nécessaire de faire le trajet pour les rencontrer car ils disposent de tous les moyens pour bien communiquer avec vous.

Avec des milliers de contacts dans tous les domaines d’activité et une vraie garantie de résultats, Relations-Publiques.Pro donne aussi la possibilité de tester gratuitement son offre grâce à l’essai de collaboration, qui inclut un entretien stratégique, une formation aux relations presse, ainsi qu’un projet personnalisé de communication.

Si la collaboration se concrétise, la rédaction, la préparation et l’envoi de la campagne de relations presse est réalisable en 7 jours !

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A propos de l’agence Relations-Publiques.Pro

Gautier Girard, expert en marketing et communication depuis 2002, a créé en 2009 l’agence de marketing et communication Edissio afin de proposer un accompagnement personnalisé aux startups, TPE et PME dans les campagnes de communication.

En 2012 Relations-Publiques-Pro est fondée afin de répondre aux besoins des entreprises. Des formules de campagnes RP à la demande qui permettent d’allier stratégie et flexibilité, ainsi que qualité et accessibilité, sont présentées à chaque client en fonction de ses besoins.

Les particularités de chaque demande sont bien étudiées et l’agence propose à ses clients des campagnes de relations presse clé en main. L’équipe s’engage à préparer les opérations en 7 jours et à obtenir des résultats satisfaisants à l’issue de chaque campagne. A titre informatif, l’agence Edissio compte plus de 3 000 clients (TPE, PME, start-up, associations, grands groupes, multinationales, etc.) et a mené avec succès plus de 3 000 campagnes RP.

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Les 10 pièges du recrutement

Recruter ne peut pas se faire en dilettante. Se contenter de recruter en se souvenant de ses propres entretiens et les appliquer à la lettre à tout candidat vous fera tomber dans un des pièges qui vous feront regretter votre recrutement à plus ou moins long terme.

Beaucoup d’erreurs de casting pourraient être assez facilement évitées en renonçant à certaines habitudes qui ont la dent dure chez les dirigeants qui se lancent dans un processus d’embauche

Se lancer à l’aveugle

Une des principales erreurs du dirigeant est de se lancer dans la recherche d’un candidat sans avoir au préalable totalement défini ses besoins. Le profil et les compétences du candidat recherché doivent être précisés au maximum, tout en se laissant une petite marge de manœuvre afin de ne pas se fermer des portes non plus.

Embaucher ses potes

Qui mieux que votre meilleur ami pourra réussir à s’entendre avec vous pour travailler efficacement ? C’est vrai, recruter ses amis peut être tentant. Et cela peut très bien fonctionner ! Mais attention aux embauches basées sur l’affect uniquement et qui ne reposent pas sur une véritable validation des compétences du candidat. En plus de vous retrouver avec un employé sur les bras qui ne correspond pas au poste, vous pourrez perdre un ami précieux.

Chercher le mouton à 5 pattes

Il est normal de chercher le candidat idéal, l’employé de rêve qui, en plus d’être doté des compétences et de l’expérience que vous recherchez exactement, sera totalement engagé en faveur de votre projet, tout en acceptant bien sûr d’être payé au lance-pierre. Mais, rester focalisé sur cette image idéalisée de l’employé parfait pourrait vous faire passer à côté d’un profil un peu atypique et qui apporterait beaucoup à votre équipe.

Ne faire confiance qu’à son feeling…

Pas besoin de recevoir des conseils sur le recrutement, pensez-vous, d’un coup d’œil lors de l’entretien vous réussirez à « scanner » le candidat et à sentir s’il correspond ou pas au poste. Ce n’est pas totalement faux. La première impression vous donnera de précieuses indications sur la personnalité du candidat et donc sur son adéquation aux valeurs de l’entreprise. Mais attention à ne pas trop faire confiance à ce fameux feeling. Il peut parfois vous jouer des tours. Certains candidats simulent parfaitement le professionnalisme ou l’esprit d’équipe lors de l’entretien ! D’autres peuvent, au contraire, se retrouver pétrifiés par l’enjeu de l’entretien ou trop en faire.

Orienter l’entretien

Halte aux questions fermées qui ne vous donneront que peu d’indications sur l’expérience réelle du candidat et qui ne vous apporteront pas d’éléments sur sa personnalité ou ses méthodes de travail. De plus, ces questions fermées orientent malgré vous les réponses du candidat à qui vous pouvez un peu faire dire ce que vous souhaitez ou ce que vous projetez sur lui.

Ne pas réussir à se décider

Les dirigeants de petites entreprises ont tendance à tellement appréhender le fait de faire une erreur dans leurs recrutements qu’ils préfèrent enchaîner plusieurs entretiens pour être sûrs de leur choix, demander l’avis de leurs collaborateurs, réfléchir… jusqu’à ce que le candidat leur glisse entre les doigts en ayant trouvé un autre poste ailleurs, auprès d’une entreprise plus réactive. Allez, on arrête d’hésiter et on saute dans le grand bain !

Ou au contraire ne se focaliser que sur le cv

Analyser les données du CV attentivement est bien sûr indispensable. Mais qui ne s’est jamais ajouté une mention à un diplôme ou quelques mois d’expérience supplémentaires ? Un tiers des CV comporterait ainsi des mensonges plus ou moins gros. Ne vous fiez donc pas religieusement à ces données et faites un peu confiance à votre feeling. Vous sentirez sûrement si vous avez à faire à un candidat honnête ou à un beau parleur.

Chercher quelqu’un qui a déjà occupé un poste
totalement similaire

Le CV sur lequel vous avez mis la main est parfait : le candidat a déjà réalisé dans son précédent poste exactement les tâches que vous lui confierez lorsqu’il aura intégré votre entreprise. Êtes-vous vraiment sûr que cela soit un bon signe ? Le candidat aura-t-il réellement envie de refaire précisément le travail qu’il faisait auparavant ? Ne souhaitera-t-il pas plutôt évoluer ? Est-ce que sa motivation sera toujours la même ?

Faire ses entretiens en amateur

Un entretien, cela se prépare. Arriver les mains dans les poches et faire simplement paraphraser le candidat sur les expériences inscrites dans son CV n’a aucun intérêt.
S’accrocher aux traditionnelles questions telle que celle sur les « 3 défauts et qualités » ou simplement demander « pourquoi avoir choisi notre entreprise plutôt qu’une autre » ne vous donnera que des éléments ultra-préparés et, souvent, pas très sincères. Autre écueil, ne pas se renseigner sur les impératifs juridiques liés à l’entretien d’embauche et prendre de gros risques juridiques en « dépassant les limites » dans les questions posées.

Ne pas être clair dans son entretien sur ses attentes

Vous pouvez, lors d’un entretien, vous tromper sur le candidat. Mais le candidat peut également être induit en erreur sur l’entreprise par votre discours. Le résultat sera le même au final : l’erreur de casting pèsera sur l’entreprise. Alors autant être clair dès le début : qu’attendez-vous concrètement du candidat en termes d’objectifs et d’implication ? Quel salaire et évolution de carrière lui proposez-vous ? Quelles seront ses conditions de travail ? à quelles difficultés devra-t-il se confronter ? Quels sont ses objectifs ? En quoi consistera concrètement son travail ? Une relation gagnant/gagnant ne peut être construite que sur la base d’une parfaite transparence. Il vous faudra donc bien faire attention à ne pas sur-vendre votre entreprise. N’oubliez pas que la relation s’établit dans le temps et pas seulement pour quelques jours.

Rester assis au bureau, la mauvaise idée

Rester assis au bureau toute la journée nuit à la santé. L’inactivité au bureau ne constitue pas le meilleur moyen pour rester en forme, bien au contraire. Une étude menée par des professionnels démontre qu’être assis à son bureau toute la journée provoque, à long terme, des effets néfastes sur la santé. 

L’association Attitude Prévention a mené dans 8 pays une étude qui a permis d’évaluer le niveau de sédentarité des Européens, leur degré de connaissance de ses méfaits pour la santé. Les Européens passent en moyenne 7h26 assis par jour. 

Interrogés sur les risques de santé associés à la sédentarité, seuls 28 % des Européens savent que la sédentarité a une incidence sur différents risques de santé : obésité, maladies cardiovasculaires, diabète, dépression, anxiété, et cancers. 72 % des Européens ignorent un ou plusieurs des risques cités. 

Les mauvaises habitudes à ne pas prendre au bureau

À trop vouloir achever ses tâches à temps, stressé, le salarié oublie parfois de prendre une pause. Il reste assis trop longtemps sur son siège. Techniquement, il ne se sent pas inactif étant donné qu’il travaille. En fin de journée, il ressent d’énormes fatigues comme s’il avait réalisé des efforts physiques importants. En restant assis toute la journée, son corps reste pourtant inactif. Trop de salariés prennent l’habitude de commander à manger et de prendre leur repas au bureau, devant l’ordinateur. Certains grignotent pendant les heures de travail tout en restant assis devant leur écran, généralement pour décompresser ou pour se détendre. D’autres profitent des heures de pause pour discuter en ligne en se connectant sur les réseaux sociaux ou les sites de rencontre. 

Les effets physiques sur la santé

La position assise favorise l’augmentation du taux de glucose et de cholestérol sanguin. Elle contribue réellement à l’apparition du diabète. Les problèmes de surpoids voire d’obésité s’en suivent. Une étude menée en Australie a prouvé que les salariés qui restent assis durant quatre heures par jour sont moins susceptibles de développer des maladies chroniques par rapport à ceux qui effectuent plus de 4 heures dans une journée de travail. Ces maladies chroniques peuvent concerner les maladies du cœur, l’hypertension artérielle, le diabète.

La mauvaise posture provoque principalement des douleurs au niveau du cou et des épaules. La mauvaise circulation sanguine constitue l’un des principaux effets d’une position assise durant trop longtemps. Ceci provoque le ralentissement des battements du cœur et favorise la formation des varices. Le manque d’activité provoque l’affaiblissement des muscles. Même si les effets néfastes de la position assise sur leur santé demeurent limités, les salariés sportifs s’exposent également aux mêmes risques.

Comment en finir avec les effets néfastes de la position assise au bureau ?

Comment s’asseoir ?

Avant de déterminer les meilleures solutions permettant d’éviter les conséquences néfastes de la position assise au bureau, il faut apprendre à s’asseoir. Dans tous les cas, il faut éviter de se courber. Lorsque le dos se courbe, la tête est projetée en avant, ce qui risque de générer des cervicalgies. Il faut garder les courbures normales de la colonne vertébrale.

Faire des pauses régulièrement

Toutes les 45 minutes, le corps doit se reposer pour se ressourcer. Le salarié peut sortir de son bureau pour faire un petit tour dehors, aller prendre un verre d’eau ou aller aux toilettes. L’objectif consiste à faire bouger et à décontracter le corps. Il peut d’ailleurs profiter de ses temps de pause pour faire des étirements. Lorsqu’on prend l’avion pour se déplacer sur de longues distances, il est posé de faire quelques minutes de gymnastique qui sont bienfaisantes pour éviter que le corps s’ankylosent. Prendre l’habitude de faire quelques exercices de gymnastique est fort bénéfique pour le corps mais aussi pour l’esprit car cela permet de dégager le stress.

Bouger autant que possible

Dans la mesure du possible, il faut éviter de rester en position assise au bureau pendant plus d’une heure. Si le règlement intérieur de l’entreprise ne permet pas de réaliser des pauses toutes les 45 minutes, il faut trouver d’autres alternatives pour mettre le corps en activité. Ainsi, pour communiquer à ses collègues, au lieu d’utiliser les outils en ligne, il convient de se déplacer.

Tous les chemins de l’alimentation mènent au bio / local

Les Français sont de moins en moins traditionnels dans leurs habitudes alimentaires : 56% d’entre eux ont un comportement bien spécifique (régimes, conscience animale, esthètes…). Les évolutions observées ces deux dernières années convergent vers des préférences bio et locales, avec une nette progression du flexitarisme également. Focus sur l’avenir de l’alimentation.

L’Enquête auprès de 9 700 foyers répondants à 25 questions on line du 26 Juillet au 11 août 2019 par Nielsen Homescan nous dresse un tableau explicite de l’évolution des habitudes alimentaires des français et soulignent que le secteur de l’alimentation vit une véritable mutation.

Depuis quelques années des tendances se s’imposent. On peut le constater d’une part par le développement des enseignes bio qui ont fleuri dans l’hexagone de manière exponentielle, par le développement de repas surgelés ou non (vite fait) qui répondent à une demande des salariés pendant leur pause déjeuner et qui correspondent aussi à des petits budgets entre autres, à l’implantation dans les supermarchés de rayon sans gluten, végan et autres.

Quels sont donc les comportements des français ?

44% des Français restent traditionnelles dans leurs habitudes alimentaires : la cuisine familiale la convivialité font partie de leurs habitudes qu’ils ne remettent pas en question. L’essentiel est le trio le goût, se faire plaisir, sans se priver et sans faire attention. Pourtant, 56% des Français ont des comportements diversifiés : soit ils sont adeptes des plats préparés, soit ils suivent un régime alimentaire, soit le respect du bien-être animal leur impose de ne plus manger de viande, soit ils sont le bio / local, soit leur corps leur impose des régimes pour séduire.

La tradition perd de son attrait 

Le nombre de foyers français traditionnels s’est réduit d’un point lors de la dernière année. Manger fait partie de leur credo et donc ils cuisinent, prennent du temps pour faire les courses. Pourtant Ils sélectionnent des produits bon marché et préfèrent la quantité aux labels de qualité. 

Nombre d’amoureux de la tradition font le choix aujourd’hui « Bio – Local » ou « Régime alimentaire ».

Pour Martin Vallet, expert consommateurs chez Nielsen, “une amélioration de leur niveau de vie ainsi qu’une prise de conscience sur la qualité de leur alimentation amènent certains Tradis à opter pour une alimentation Bio & Locale. En parallèle certains Tradis (particulièrement les personnes âgées) ont, par obligation de santé, basculé sur un régime alimentaire.”

Les bio-locaux mangent des produits saisonniers, préfèrent les produits bio et/ou locaux, par souci de l’environnement mais aussi pour la fraîcheur, la qualité, et la traçabilité des produits.
Quant aux adeptes des régimes, ils font attention à certains aliments (gras, sucre, cholestérol) ou mangent des produits « sans » (sans gluten, sans sucres ajoutés…). Un comportement souvent imposé pour des raisons de santé : ils sont malades ou en tout cas se sentent mieux en suivant ce régime.

Le bio et les plats tout préparés s’imposent

Privilégier les produits bio/locaux dans son alimentation est un comportement alimentaire adopté par de plus en plus de consommateurs : ils sont désormais quasiment 17% des foyers français, soit quasiment autant que la cible installée des “Vite Fait”, foyers pour qui la cuisine passe essentiellement par les plats préparés. Pour les vite-fait, la cuisine, l’alimentation et la nutrition sont peu importantes. Ils cuisinent rarement et le facteur temps est décisif. Ils privilégient les produits finis, achètent souvent des snacks. Ce sont plutôt des jeunes familles.

Pour Martin Vallet, “l’élargissement de la cible Bio / Local provient des Tradis, mais également de deux autres groupes, à commencer par les “régimes”. Pour ces derniers, le bio s’impose comme une alternative ou suite à un régime alimentaire, surtout pour les mono foyers pour lesquels le suivi d’un régime alimentaire peut être difficile. Certains “esthètes” basculent aussi vers le groupe “Biol / Local” , devenant moins centrés sur le sport et désormais plus axés sur des produits plus sains et plus naturels.”

7% DES FOYERS FRANÇAIS, la protection animale avant tout ! 

La cible “Conscience Animale”, prônant le respect animal, avait émergé l’an passé dans notre typologie pour 6% des foyers Français. Cette cible s’est élargie d’un point en une année.

Jean-François Orlando, expert études consommateurs, complète : “Certains foyers précédemment dans la cible Bio / Local, déjà sensibilisés aux problématiques environnementales ont radicalisé leurs habitudes alimentaires en excluant davantage la viande et ont basculé dans la cible “Conscience Animale” .”

Mais cette conscience et ce refus de manger de la viande s’est développée en raison des scandales sur les risques alimentaires ou les pratiques d’élevage et la cruauté envers les animaux dévoilée par les nombreuses vidéos en ligne. Ils limitent leur consommation de viande et sont contre l’abattage.

Un régime alimentaire pour être bien dans son corps

Cette cible des esthètes se caractérise par “une alimentation avec un effet sur le physique”. Elle représente 5% des foyers français, en baisse d’un demi-point par rapport à l’an passé. 

Pour Jean-François Orlando, “Là encore, on a une cible qui accentue ses choix nutritionnels au point de changer de comportement alimentaire.  Certains esthètes sont moins marqués « sport » et sont désormais plus axés sur des régimes alimentaires. D’autres vont privilégier le côté naturel des aliments et préférer désormais une alimentation davantage bio et locale.”

Le régime flexitarien s’installe comme le 1er régime alimentaire des français

Presque 10% des foyers français en 2019 suivent un régime alimentaire flexitarien (ou semi-végétarien), soit près de deux fois plus que l’an passé. Dans le même temps, le régime strictement végétarien reste encore limité : uniquement 2% des Français déclarent suivre un tel régime.

En l’espace d’une année, le comportement alimentaire a évolué et cette tendance va encore s’accentuer.

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Demande d’augmentation : les arguments pour refuser

Sujet délicat, sujet récurrent et qui parfois revient lors des rencontres informelles au moment où le dirigeant s’y attend le moins. Mille raisons peuvent justifier d’augmenter un salarié et particulièrement si ce salarié s’implique mais aussi mille raisons peuvent justifier de refuser. La rémunération est un sujet qu’il faut considérer en amont que l’on soit en période de croissance ou en période de récession. L’entreprise jouit d’une large liberté pour fixer et faire évoluer le salaire du personnel à condition de respecter les normes imposées par le Code du travail, le contrat de travail, la convention collective et les usages de l’entreprise. En principe, l’entreprise n’est pas obligée de se prononcer en faveur de l’augmentation de salaire de son salarié. Dans ce cas, elle doit savoir justifier son refus afin d’éviter les conflits.

Si la demande d’augmentation de salaire ne semble pas justifiée

Il est plus facile de répondre à une demande d’augmentation de salaire non justifiée. En principe, un salarié sollicite la reconnaissance de l’entreprise à la suite d’une surcharge de travail, de nouvelles responsabilités ou de nouvelles tâches. L’entreprise doit ressentir les efforts qu’il fournit, son efficacité à remplir ses fonctions correctement, et ses contributions pour aider l’entreprise à se développer. Si les travaux réalisés par le salarié ne génèrent pas pour l’instant d’impacts positifs sur la production, l’augmentation de son salaire risque de compromettre à l’équilibre financier de la société. Ce facteur explicite permet de justifier d’un refus d’augmentation de salaire, du moins dans un premier temps. Le manager ne doit toutefois pas hésiter à montrer à son salarié le chemin à suivre en vue de cette augmentation et lui montrer que si la situation devient propice, il envisagera cette augmentation.

S’il s’agit d’une augmentation collective 

La majorité des entreprises procèdent aux augmentations de salaire à une période fixe, souvent vers la fin ou en début d’année. L’augmentation peut être faite de manière individuelle ou collective, selon le régime mis en place par l’entreprise. Avant d’accorder une augmentation, l’entreprise réalise un entretien d’évaluation pour déterminer la compétence de chaque salarié. Certaines entreprises adoptent un système d’augmentation de salaire de nature collective. Dans ce contexte, les négociations se dérouleront entre l’employeur et le syndicat, qui négocieront une augmentation en faveur des salariés. Les négociations se baseront sur les résultats de l’évaluation que l’entreprise a demandé au préalable. Dans le cas où la situation économique et financière de l’entreprise ne le permet pas, le manager ne doit pas hésiter à fournir les détails des raisons du refus de la demande d’augmentation. 

Ne jamais démotiver un salarié

Une réponse défavorable à une demande d’augmentation de salaire ne doit pas constituer de source de démotivation pour le salarié. Le manager doit motiver son refus en fournissant des explications bien fondées tout en évitant de dévaloriser le demandeur. Il doit reconnaître les efforts fournis par le salarié même si celui-ci n’a pas atteint l’objectif fixé par l’entreprise. La rémunération constitue un sujet très délicat qu’il faut traiter avec diplomatie. Annoncer une réponse négative exige de faire preuve d’une certaine de délicatesse. Le dirigeant ne doit pas se précipiter à donner sa réponse. Il doit montrer à son salarié qu’il considère sa demande en prenant le temps d’y réfléchir. Le manager doit éviter de promettre une augmentation de salaire dans un avenir proche si les moyens à la disposition de l’entreprise ne lui permettent pas de tenir sa promesse.

Attention !

Il faut prêter attention aux résultats de l’entreprise qui sont aujourd’hui à la vue de tous les salariés. Si les bénéfices de l’entreprise se chiffrent en milliards, si la rémunération des dirigeants est exponentielle, si leur départ leur offre des parachutes dits dorés, difficile d’expliquer aux salariés la non augmentation. Il faut donc être en mesure d’expliquer le système de l’actionnariat.

Nombre d’entreprises permettent à leurs salariés de devenir actionnaires ce qui leur offrent une rémunération supplémentaire dans le cas de résultats positifs et ils voient leur augmentation de salaire d’un autre œil. Si les salariés de Tesla sont si dociles et que l’on vante leur implication en période de récession c’est qu’ils sont actionnaires. Alors pourquoi pas réfléchir à cette opportunité. Certaines entreprises n’hésitent pas à afficher tous les salaires dont celle du dirigeant. Cette transparence est en général fort bien perçue et conduit à davantage de cohésion dans l’entreprise.