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Ce bad buzz sur les réseaux sociaux qui a coûté très cher à Gucci

La marque Gucci accusée de «blackface» et de racisme pour un pull aux lèvres rouges : un bad buzz qui coûte fort cher à Gucci tant sur le plan financier que sur le plan de sa notoriété auprès des jeunes.

La marque italienne, Gucci, a fait l’objet de nombreuses et virulentes critiques sur les réseaux sociaux pour son nouveau pull noir. Celui-ci s’étend jusqu’au visage et qui contourne la bouche avec d’épaisses lèvres rouges. Gucci a développé la notoriété de sa marque grâce aux réseaux sociaux et a profité de ses liens avec les artistes hip-hop. Elle présente des défilés de mode excentriques qui séduisent la jeunesse. Mais hélas en février, après la sortie d’un pull que ses détracteurs ont comparé à un blackface, Gucci a affronté le désamour de son public.

Mais qu’est-ce que donc le Blackface ?

A l’origine, le « Blackface » est une coutume esclavagiste du 19e siècle qui a pour but de dénigrer les Hommes noirs. Elle s’inscrit dans la tradition des “ minstrel shows ”, qui étaient des spectacles, dans lesquels des Blancs se noircissaient le visage pour jouer des Noirs et se moquer d’eux. Ils transmettaient des stéréotypes humiliants donnant aux personnes de couleur tous les défauts. Hélas, certains conscients ou non conscients de cette discrimination peuvent se retrouver en fâcheuse position.

Ainsi, Justin Trudeau, le premier ministre canadien s’est trouvé au cœur d’une polémique après la publication par le magazine Time d’une vieille photo embarrassante. Justin Trudeau s’est confondu en excuses pour s’être maquillé le visage en noir lors d’une soirée déguisée en 2001. Il n’a pas nié et a reconnu sa stupidité, ce qui est à son honneur : « C’est quelque chose que je ne considérais pas comme raciste à l’époque, mais je reconnais aujourd’hui que c’était raciste, et j’en suis profondément désolé. » Mais il n’est pas le seul. En 2017, le footballeur Antoine Giezmann avait provoqué un tollé en s’affichant déguisé en joueur de basket noir, dans un hommage aux Harlem Globetrotters. Face à la polémique, il avait retiré sa photo et présenté des excuses.

Gucci, sans perdre un instant a supprimé le pull

…et s’est confondu en excuses : « Gucci deeply apologizes for the offense caused by the wool balaclava jumper. We consider diversity to be a fundamental value to be fully upheld, respected, and at the forefront of every decision we make. » (Gucci s’excuse profondément pour les offencses causées par le wool balaclava jumper. Nous considérons la diversité comme une valeur fondamentale qui doit être pleinement soutenue, respectée et au premier plan de toutes les décisions que nous prenons, ndlr)

Et le résultat financier pour Gucci ?

Selon Tribe Dynamics, en mars, Gucci a perdu la première place des entreprises de luxe en termes d’engagement sur les réseaux sociaux. Elle a enregistré, en juillet, sa première baisse trimestrielle des ventes en Amérique du Nord depuis début 2016. Cette histoire montre que si les entreprises de luxe qui prospèrent grâce à Instagram et à d’autres plateformes, peuvent aussi se retrouver dans la situation inverse. Les réseaux sociaux sont devenus les influenceurs de la mode en quête de notoriété. Ainsi, des célébrités ont posté des vidéos d’elles-mêmes brûlant des produits Gucci et ont appelé au boycott – dont le rappeur T.I., qui, sur Instagram, a rappelé être « un client à sept chiffres par an et supporter de longue date » de Gucci.

La jeunesse, la force de Gucci

Gucci, qui vend des articles comme des portefeuilles à 270 euros, des baskets à 1 440 euros et des robes à 4 500 euros, est particulièrement vulnérable aux fluctuations sur les réseaux sociaux en raison de sa proximité avec une clientèle de jeunes. La marque Gucci est étroitement associée à la culture hip-hop américaine, qui définit les tendances du streetwear. Gucci Gang, un single du rappeur adolescent Lil Pump, qui répète le nom de la marque des dizaines de fois pendant la chanson, affiche près d’un milliard de vues sur YouTube. Il s’est classé troisième des charts américains à sa sortie en 2017. Gucci est loin d’être la seule marque à subir les foudres des réseaux sociaux, notamment lors de questions ethniques ou d’autres sujets sensibles. Alors attention quand vous créez !!!

Scanner 3D : un véritable gain de temps pour le cycle de vie d’un produit

Les entreprises doivent aujourd’hui se montrer innovantes. Il est alors important d’avoir une équipe dédiée à la recherche et au développement. Elle travaille alors sur les différentes innovations d’une marque. Ainsi, des modèles et des prototypes peuvent rapidement voir le jour afin de se retrouver quelques mois plus tard en vente. Il faut alors recruter des ingénieurs compétents pour produire en peu de temps des produits adaptés aux besoins des consommateurs. En plus, l’entreprise doit s’équiper avec des outils adaptés pour répondre à ce besoin rapide. Il existe des solutions pour accélérer le cycle de vie d’un produit : le scanner 3D.

Présentation de cette solution intéressante pour les entreprises qui souhaitent optimiser la durée de vie de leur produit dans l’article suivant.

Scanner 3D : présentation de cet outil

Avant de connaître les avantages de cet outil pour les entreprises qui souhaitent se montrer innovantes, il est important de comprendre le fonctionnement de ce dernier. Le scan 3D permet de capturer un objet par l’intermédiaire d’un scanner en 3 dimensions. De cette manière, l’utilisateur peut retrouver ce fichier en 3 dimensions sous une forme numérique et informatique. Celui-ci peut alors être enregistré et imprimé en 3D en fonction des besoins de l’entreprise. 

Ainsi, le scanner 3D peut capturer différents éléments comme un objet, un environnement ou encore un animal. La précision de ces outils permet de partager des informations particulièrement précises comme la conception de la pièce. Des détails intéressants pour gagner en précision lors des réalisations. 

Des avantages tout au long de la réalisation d’une innovation avec le scanner 3D

Le scanner en trois dimensions présente des avantages pour accélérer les différentes phases de conception d’un produit innovant. Les entreprises peuvent alors gagner du temps pour mettre rapidement en place sur le marché leur produit. 

L’étude de conception : la base de la création

Cette première partie est dédiée à l’étude autour de la conception du produit. Ici, les ingénieurs travaillent sur le regroupement de leurs idées. Le scan 3D permet d’analyser de manière plus précise l’environnement du produit à créer et ses concurrents. La création des prototypes est aussi plus rapide lorsque l’entreprise fait le choix d’investir dans un scanner 3D. Des étapes beaucoup plus rapides pour mettre moins de temps sur la conception du produit. 

D’autres conseils pour optimiser certaines étapes professionnelles peuvent être partagés sur le site spécialisé entreprise-et-compagnie.fr

Les premières conceptions du produit 

Pour donner forme au produit, il est important de passer par une phase de conception. Ici, les idées partagées lors de l’étude préalable prennent forme lors de cette étape cruciale. Les premiers ajustements sont à faire pour optimiser parfaitement le produit à mettre en place. Avec le scan 3D, il est plus simple de procéder rapidement aux tests de mise aux normes du produit. Les prototypes peuvent aussi plus rapidement être essayés en croisant différentes méthodes. 

Cette phase de conception est alors optimisée grâce au scanner 3D pour faire gagner du temps à l’entreprise. 

Le lancement de la fabrication du produit

Une fois que les tests réalisés par les équipes sont concluants sur les prototypes du produit, il est possible de passer à la fabrication du produit en question. L’intégration des ajustements est prise en compte dans le fichier CAO. Ces ajustements sont plus facilement mis en place grâce à l’utilisation du scan 3D par l’entreprise. La réalisation du premier produit est toujours une étape importante. 

Sa validation permet de lancer par la suite la production des produits sous de gros volumes. Une étude toute particulière doit alors être portée sur les résultats produits lors de la première fabrication du produit.

La maintenance du produit 

La dernière étape importante pour optimiser totalement la durée de vie de l’innovation est la partie dédiée à la maintenance. Le scanner 3D joue un rôle clé dans l’archivage des données. Il facilite aussi le développement de présentations marketing et de formation du personnel sur ce nouveau produit.

En plus, la phase de maintenance permet d’identifier les éventuels défauts du produit afin de les réparer au fur et à mesure de la durée de vie de celui-ci. En définitive, la gestion de l’ensemble des cycles d’un produit innovant est totalement optimisée avec le scanner 3D. 

Choisir le scan 3D adapté à ses besoins

Cet outil s’adapte aussi aux entreprises pour proposer des services différents en fonction des besoins des entreprises. Il faut alors demander des informations à des spécialistes pour trouver le modèle de scan parfaitement adapté aux contraintes de votre entreprise. De cette façon, vous optimisez vos chances de gagner du temps lors de vos étapes de production. 

Découvrez-en plus sur l’impression 3D de manière générale sur le site de larevuedudigital.com. Ces nouvelles technologies fascinent par leur innovation aujourd’hui. Elles mettent ces nouveautés au service des professionnels pour optimiser différentes étapes quotidiennes. L’important est alors d’identifier les étapes longues ou contraignantes pour trouver un scanner 3D totalement adapté à ces besoins précis. Le scanner en trois dimensions se présente aujourd’hui sous une forme portable pour être facilement transportable au sein des entreprises. Des solutions pratiques et avantageuses pour l’ensemble des professionnels. 

Black Friday, une journée inconnue devenue journée star dans l’Hexagone

Cette journée promotionnelle exceptionnelle en France aura lieu dans une semaine le vendredi 29 novembre. Cependant, les promotions en tous genres ont déjà commencé aujourd’hui et vont se poursuivre pendant toute la semaine, avec la journée de vendredi noir qui sera son jour star.

Nos boîtes e-mail se remplissent depuis plusieurs jours de promotions Black Friday et touchent toutes sortes de produits pour nous séduire et nous faire prendre conscience que les promotions intéressantes se jouent maintenant et les clients ont peur de perdre la promotion qui leur permettra d’offrir les cadeaux pertinents.

Le Black Friday, d’où vient-il ?

Les explications les plus fantaisistes sur les origines de cette journée commerciale circulent. Le Black Friday se révèle être devenu une coutume aux États-Unis depuis plus de 40 ans. De quoi s’agit-il ? Le lendemain du jeudi de Thanksgiving, les commerçants cassent les prix et les clients se ruent sur des promotions exceptionnelles qui se situent entre le back to-school (« rentrée des classes » en français, ndlr) et les fêtes de Noël.

L’explication la plus courante est qu’au lendemain de Thanksgiving, les commerçants écrivent à l’encre noire sur les carnets où ils tiennent leurs comptes et non plus à l’encre rouge, mais il en existe bien d’autres explications qui font même l’objet d’études des chercheurs. Depuis des années qui se comptent sur les doigts d’une main, les e-commerçants américains de taille notable ont étendu cette opération fructueuse au monde entier dont la France. Les grandes enseignes françaises leur ont emboîté le pas, car elles y ont vu une réelle opportunité de réaliser des chiffres d’affaires intéressants avant Noël et les périodes de soldes et donc d’attirer les clients dans une période creuse de l’année. En effet, le chiffre d’affaires des ventes en ligne aux États-Unis à l’occasion de cet événement en 2017 avait atteint des records avec 5,3 milliards de dollars.

Quel impact en France ?

95% des Français ont désormais entendu parler du Black Friday, dont 80% qui voient bien ce dont il s’agit, selon l’étude publiée en novembre 2019 par « Étude OpinionWay-iloveretail.fr : les Français et le Black Friday ». Un Français sur deux a l’intention de profiter du Black Friday 2019 pour réaliser des achats qui montre que le Black Friday est devenu une journée incontournable. A 233 euros, le budget moyen que les acheteurs du Black Friday 2019 envisagent de dépenser est en hausse de 10% par rapport à l’an dernier. Les vêtements, chaussures et maroquinerie arrivent en tête des souhaits d’achat (55%) mais en repli.

Le rayons TV, Hi-fi, High-tech est stable (33%) mais le rayon Livre, DVD, jeu vidéo, CD recule de 4 points (24%) et se fait doubler par les intentions d’achat en électroménager (26%) qui gagne 3 points. Plus de la moitié des Français (53%) voient dans le Black Friday une trouvaille marketing supplémentaire pour les faire dépenser plus et 26% carrément une arnaque des commerçants leur permettant de faire de fausses promotions.

A l’inverse, près d’un tiers des Français estime qu’il représente un bon moyen de faire des économies (29%) ou la possibilité d’acheter en avance ses cadeaux de Noël sans stress (30%).

Selon Mike Hadjadj, Fondateur du réseau d’experts iloveretail.fr : « Même s’ils se font peu d’illusions sur les intentions des marques qui participent au Black Friday, les Français prévoient de se ruer sur des promotions qu’ils sauront reconnaître et de dépenser des budgets importants, en particulier dans la mode. Notoriété grandissante, intentions d’achat élevées, budget en hausse : le Black Friday s’ancre de plus en plus dans les habitudes d’achat des Français et s’impose comme un temps de consommation à part entière. 

Le Black Friday se déroule d’abord sur Internet.

Le marketing et les promotions sont issus du web, il est à noter que ce sont les personnes les plus âgées qui ont le moins entendu parler du Black Friday : 27% des personnes âgées de plus de 65 ans ne voient pas de quoi il s’agit ou n’en n’ont jamais entendu parler contre seulement 14% des jeunes âgés de 18 à 24 ans.

Un Français sur deux a l’intention de bénéficier du Black Friday pour réaliser des achats et pour 35%, ce ne sera pas la première fois (+7).

Comme l’an dernier, les femmes (54% vs 43% des hommes) et les jeunes (59% des 18-34 ans contre 34% des 65 ans et plus) sont ceux ayant le plus l’intention de profiter du Black Friday pour réaliser des achats.

87% des participants au vendredi noir ont l’intention de faire leurs achats en ligne, contre 47% en magasin. Sur Internet, le succès du Black Friday ne se dément pas. En trois ans, les recherches Google liées au Black Friday ont été multipliées par 5 en France. Sur les réseaux sociaux, le vendredi noir s’est installé en star. 

Démarrer son activité en tant qu’auto-entrepreneur

Vouloir démarrer son activité en tant qu’auto-entrepreneur conduit à se poser de nombreuses questions. Il s’agit surtout d’éviter tous les écueils qui peuvent survenir lors de la création et qui pourraient se révéler des freins pour la croissance. Passer du statut de salarié au statut de micro entrepreneur représente une opportunité dont de nombreux chômeurs ou employés voudraient profiter.

Ce changement peut susciter pourtant des craintes, car le statut de salarié vous assure la paie de chaque fin de mois, alors qu’avec le statut d’autoentrepreneur, c’est vous qui allez chercher vos clients et qui créez votre salaire.

Auto-entrepreneur : des démarches administratives simples, mais incontournables

Les démarches administratives sont aujourd’hui simplifiées et la création s’en trouve facilitée. Inutile de se rendre dans plusieurs administrations, d’attendre un rendez-vous et de devoir fournir des documents qui retardent le début de la création. Les démarches peuvent s’effectuer en ligne et vous pouvez même vous faire aider par exemple sur le site : pole-autoentrepreneur.com pour vos déclarations auprès de toutes les instances administratives sociales et fiscales (URSSAF, Trésor Public, RSI ou CIPAV, INSEE). Cette simplification permet à la personne qui démarre son activité de ne plus perdre de temps.

Devenir auto-entrepreneur ne rencontre plus les obligations anciennes qui empêchaient de se lancer avec ce statut, que ce soit :

  • à titre principal pour un chômeur qui veut sortir de la spirale du chômage et de la précarité,
  • à titre complémentaire pour un salarié du secteur privé ou un fonctionnaire, qui souhaite développer une activité annexe en complément de son salaire,
  • à titre complémentaire pour un retraité, en complément de sa retraite,
  • ou encore pour un étudiant qui souhaite créer sa première activité en même temps que ses études, afin d’être opérationnel dès la fin de son cursus.

De plus, lors de ces démarches, l’autoentrepreneur peut être accompagné. Vous pouvez parfois, en tant que salarié, bénéficier de la possibilité de créer votre entreprise avec le soutien de votre entreprise en respectant certaines conditions. Alors, pourquoi ne pas se lancer ?

Les simplifications fiscales à bien cerner

Le paiement des cotisations sociales a été simplifié, ainsi que le mode de calcul des cotisations sociales et de l’impact sur le revenu. Elles sont proportionnelles au chiffre d’affaires trimestriel. Cependant, le statut fiscal de la micro entreprise limite le chiffre d’affaires avec des plafonds, depuis le 1 janvier 2018 à :

  • 70 000 euro (soit environ 5 833 euro/mois) pour les prestations de services.
  • 170 000 euro (soit environ 14 166 euro /mois) pour la vente, l’hôtellerie et la restauration.

Cela permet la création d’un réel complément de revenus, voire d’un véritable salaire.

L’autoentrepreneur (micro entrepreneur) ne paye les charges sociales (RSI) que sur le chiffre d’affaires trimestriel passé et donc effectivement réalisé. Ce système permet à ses affiliés de ne pas avoir à supporter des charges calculées sur les résultats de l’année précédente à un moment où la trésorerie de l’entreprise n’est pas encore stable.

Il bénéficie ainsi du régime microsocial simplifié, du régime micro fiscal (acquittement des cotisations sociales par un prélèvement libératoire calculé sur la base d’un pourcentage du chiffre d’affaires encaissé), d’une exonération temporaire de la cotisation foncière des entreprises, d’une exonération ou d’une franchise de TVA du fait de son activité. L’inscription au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers est obligatoire pour les activités artisanales et commerciales, mais pas pour les professions libérales.

Se retrouver dans le labyrinthe financier demande un accompagnement dont il est difficile de se dispenser.

Micro-entreprise : des avantages à prendre en compte

Les avantages à lancer sa micro entreprise sont là et le statut est plébiscité. Être autoentrepreneur, c’est en quelque sorte diriger sa vie et ne plus dépendre d’un système contraignant. Vous pouvez utiliser toutes vos compétences alors qu’usuellement, elles sont liées à la fonction que l’on occupe dans l’entreprise. L’auto-entrepreneur, véritable chef d’orchestre de sa vie, va pouvoir non seulement utiliser toutes ses capacités, mais va aussi devoir en acquérir d’autres pour mener son entreprise à la réussite.

Il faut bien le constater : si les démarches en rebutaient plus d’un, vous devez avant tout vous former en tant que dirigeant et il vous faudra bien vous informer sur les différentes fonctions que vous allez occuper, notamment si vous souhaitez développer davantage votre entreprise. Vous avez l’opportunité de toucher à tout, de vous spécialiser dans ce qui vous intéresse et de prendre enfin vous-même les décisions. La liberté est l’une des premières raisons qui incitent à opter pour ce statut.

Reste que l’auto-entrepreneuriat est souvent considéré comme une étape pour créer son entreprise et tester son idée, même si certains se plaisent dans ce statut et ne souhaitent jamais le faire évoluer en entreprise. Ce statut juridique vous permet également de séparer votre patrimoine personnel de votre patrimoine professionnel. Vous pouvez aujourd’hui limiter vos risques, car il a subi des évolutions qui n’ont été que dans le sens de l’amélioration du statut en termes de sécurité. La France a besoin d’entrepreneurs et les différentes lois ont été dans ce sens.

L’accompagnement, une opportunité pour réussir

C’est mettre tous les atouts de son côté et profiter des accompagnements à sa disposition qui permettent de rendre une entreprise pérenne. Vous allez vous lancer dans une aventure qui pourra durer des années. L’accompagnement a pour caractéristique de bien cerner vos points faibles et vos points forts et à vous conduire à ne jamais laisser un aspect du travail de côté sous prétexte que vous êtes moins compétent dans un domaine.

Par exemple l’étude de marché est indispensable et l’accompagnement vous montre comment en réaliser une à moindres frais. Le produit ou le service doit avoir un argumentaire qui vous permet de convaincre les clients, et l’accompagnement vous aide à le préparer. Quant à tout ce qui relève de la trésorerie, l’accompagnement vous soutient pour chercher des aides, vous présenter à la banque pour obtenir les fonds nécessaires, mais aussi auprès des investisseurs.

12 raisons pour offrir de la reconnaissance au travail

La reconnaissance a pris des lettres de noblesse. Certains pensent qu’il est inutile d’exprimer sa reconnaissance car celle-ci peut être explicite sur le bulletin de paie. Mais il arrive souvent que le bulletin de paie reste identique pendant une longue période pour de multiples raisons.

La reconnaissance humaine, elle possède un impact considérable (elle vient du fait d’admettre la légitimé de quelqu’un).

Une nouvelle étude menée par le département d’économie de l’Université de Warwick, au Royaume-Uni nous confirme qu’un employé heureux est plus efficace dans son travail. En réalisant un certain nombre d’expériences, dont les résultats vont être publiés dans le Journal of Labor Economics, l’équipe de chercheur a déterminé que le fait d’être heureux augmentait la productivité de près de 12%.

Plus de huit Français actifs sur dix ont le sentiment de faire un travail « utile », mais moins d’un sur deux estime que son travail est « reconnu à sa juste valeur », selon un sondage Odoxa/Dentsu Aegis Network pour France info. Le travail ne s’arrête pas au financier.

Selon une enquête de 2016 de l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact), 72% des salariés s’estiment reconnus par leurs collègues, 68% par leurs clients, 55% par leurs collègues d’autres services… mais seulement un sur deux par son supérieur ! Ce chiffre montre qu’il faut faire des efforts. Ils ont l’impression d’être happée par les nouvelles technologies qui leur imposent leurs lois inhumaines.

Le bonheur au travail passe par la reconnaissance.

Elle passe bien sûr par la reconnaissance salariale mais avant tout par le regard de l’autre sur le travail effectué, par des remarques constructives. Il est primordial que l’employeur soit clair avec lui-même pour l’être avec les salariés. Maintenir le dialogue est nécessaire. Il peut être verbal. Pour qu’il reste dans la continuité, il peut aussi passer par l’écriture avec un cahier de liaison. Cela vous permettra de voir les thématiques les plus souvent abordées et pouvoir faire des réunions pour les solutionner. 

Les retombées positives pour l’entreprise et le salarié

Le salarié qui se sent reconnu :
1/ s’identifie plus facilement à l’entreprise.
2/ est fidèle à l’entreprise.
3/ améliore ses compétences.
4/ prend des initiatives.
5/ est moins souvent en arrêt maladie.
6/ contribue à une meilleure ambiance d’équipe.
7/ améliore l’image de votre entreprise.
8/ donne plus de résultats
9/ trouve un sens à son travail.
10/ se sent en sécurité.
11/ a une estime de soi renforcée.
12/ devient un partenaire impliqué.

Se sentir reconnu à sa juste valeur a un impact considérable sur la motivation, l’engagement au travail et sur son bien-être.

Les solutions

Tout d’abord, pour arriver à améliorer la reconnaissance, n’hésitez pas à vous intéresser à vos salariés (leurs prénoms et éventuellement leurs histoires familiales). Donnez à chacun l’impression d’être unique et dans la mesure du possible, organisez une réception avec toute l’équipe et leur famille une fois par an. Cela rapproche plus qu’on ne pourrait le penser.

Evitez les manipulations (vous serez tôt ou tard démasqué) et ayez l’air (ou soyez) accessible pour mettre à l’aise vos salariés.

N’oubliez pas de récompenser vos salariés les plus performants en leur donnant des primes et ne soyez pas avare de remerciements.

Enfin, Donnez des objectifs atteignables (mais toutefois ambitieux) pour donner le goût du challenge et non un stress nocif.

Chacun cherche à être reconnu dans le milieu professionnel, donc dès aujourd’hui, offrez de la reconnaissance pour être une entreprise gagnante ! Bonne humeur et bonheur seront le fleuron de votre réussite !

Comment mettre en place un système de parrainage ?

Dans le cadre du développement de votre activité, diverses stratégies sont envisageables. L’une d’entre elles consiste à mettre en œuvre un système de parrainage. Et si vous mettiez vos clients à contribution dans la recherche de prospects ? Bien entendu, dans le respect d’une logique « gagnant-gagnant ». Le parrainage peut prendre de multiples formes comme celle de parrainer une équipe sportive pour une entreprise implantée en province, ou de parrainer des projets d’étudiants qui porteront votre identité. Celui-ci est toujours a double sens qui permet au parrain comme aux filleuls de bénéficier de l’aura de l’autre.

Le parrainage, qu’est-ce que c’est ?

C’est avant tout un moyen d’élargir sa clientèle en recherchant de nouveaux prospects. Cette technique est d’abord permise par votre clientèle initiale. C’est elle qui tient le premier rôle en étant incitée à recruter de nouveaux prospects en échange d’un cadeau ou d’une offre promotionnelle.

Mettre en place une stratégie de parrainage revient à encourager un client à recommander une offre ou un service de votre entreprise à un de ses amis ou à l’une de ses connaissances. S’il s’avère que cet ami ou connaissance adhère à l’entreprise et devient client, la personne l’ayant convaincu est appelée « parrain ». Celle qui a suivi les recommandations du « parrain » en étant devenu client est nommée « filleul ». Le parrain reçoit alors une offre promotionnelle comme un bon d’achat ou un cadeau. Lorsqu’ils sont sollicités mais surtout, récompensés, les clients n’hésitent généralement pas à faire part de leur satisfaction à leurs proches.

C’est une technique de publicité à coût réduit. Il s’agit d’une méthode faisant partie intégrante du marketing.
Le parrainage est utilisé fréquemment dans le cadre de services à abonnement ou paiement récurrent.

La phase de mise en place

La mise en application d’un système de parrainage

Elle passe par le fait de contacter des clients fidèles à votre entreprise ou simplement déjà existants. C’est par ce procédé que fonctionne ce système. Ce sont vos propres clients qui, en échange d’une récompense, vont s’attacher à appliquer une certaine stratégie de communication. Contactez vos clients pour les informer de ce dispositif . Proposez-leur de communiquer à leur entourage sur votre société afin que de nouveaux prospects deviennent vos clients.

La contrepartie offerte au parrain

Elle dépend de la nature de l’activité de votre entreprise, mais aussi de celle de ses partenariats. Les cadeaux offerts peuvent être de deux types : matériel (objets) ou financière (chèques cadeaux, plus axé sur la fidélisation). Si un cadeau de bienvenue est offert au filleul, il est fortement conseillé de ne pas offrir le même cadeau au parrain et au filleul. Le cadeau offert au parrain, compte tenu de son implication et de son action, doit en effet être plus important que celui offert au filleul.

La détermination de la récompense

Elle doit découler d’une étude ou enquête faite préalablement. Il faut que vos clients trouvent cette récompense utile et aient envie de l’obtenir pour qu’ils se montrent d’autant plus motivés à devenir parrain. En tant que stratégie de marketing mais également de communication, le parrainage se veut très efficace. En effet, il permet la réduction des frais de prospection.

Afin de mieux gérer votre système de parrainage, il est préférable, dans la logique d’une opération de marketing, de cibler les clients que vous souhaitez faire devenir parrains. Dans le cas d’une entreprise de vente à distance, ils correspondent aux clients les plus rentables en termes de fréquence d’achat et de montant. D’autres critères permettent également de cibler ces futurs parrains : catégorie socioprofessionnelle, lieu de résidence, nombre d’enfants, etc. Notamment en ce qui concerne les organismes bancaires.

Il vaut mieux définir préalablement le nombre limite de filleuls autorisés par parrain afin de ne pas impacter votre marge avec le coût des récompenses. 

N’oubliez pas une étape essentielle dans la mise en œuvre de votre système de parrainage. Cette étape renvoie à déterminer la durée de l’action de parrainage. En outre, il sera nécessaire de choisir les canaux de communication à utiliser dans le but d’avertir vos clients de la mise en application d’un système de parrainage afin qu’ils puissent l’utiliser.

L’étape finale consiste à faire une analyse des résultats et d’évaluer la rentabilité de l’action. Pour ce faire, il vous faudra calculer l’ensemble de vos coûts (prix des récompenses, coût des moyens de communication mis en œuvre) ainsi que le nombre de filleuls obtenus et donc de nouveaux clients. N’oubliez pas que l’idée principale du parrainage est d’en dégager du bénéfice.

METRON : une entreprise au service de l’énergie

Vincent Sciandra, CEO et fondateur de METRON n’en est pas à sa première expérience entrepreneuriale. C’est pourtant avec METRON qu’il a obtenu le succès. Il représente l’excellent exemple que même si la réussite ne pointe pas son nez dès les premières tentatives, elle n’est parfois pas loin ! Son slogan : « rendre les usines transparentes en énergie ».

Son parcours

Après un doctorat en informatique appliquée où il traite des problématiques similaires dans le monde du transport public, Vincent Sciandra, décide de créer son entreprise en juillet 2013 dans ce domaine. Une analyse le conduit à penser que l’opportunité se situe dans le monde de l’énergie. Confronté rapidement au monde de l’industrie, il convainc rapidement en janvier 2014 un groupe chocolatier, Cemoi, de travailler avec lui. Cette collaboration lui permet de tester, développer et améliorer sa technologie. Il peaufine ainsi pendant 2 ans sa plateforme qui permet de détecter les projets d’optimisation énergétique « qui ne sont pas forcément intuitifs » chez une dizaine de clients et d’appréhender d’autres problématiques.

En se servant du big data et de l’intelligence artificielle, il peut ainsi comprendre « le fonctionnement des machines, le contexte d’opération et de production » afin d’optimiser au jour le jour la consommation d’énergie pour la même quantité de produits et la même qualité.

Une accélération rapide

Une fois sa technologie rodée, il commence ses démarches commerciales. Très rapidement (dès 2015), il regarde ce qui se fait à l’international et s’aperçoit que sa technologie est applicable quel que soit le pays. Il se décide à la mi-2016 à réaliser une première levée de fonds d’1,5 million d’euros afin d’accélérer la partie commerciale. Il ne réalise alors 150 000 euros de chiffre d’affaires mais sait qu’il va pouvoir diffuser rapidement sa solution. Pari réussi puisqu’en 2017, il multiplie ce dernier pour atteindre les 4,5 millions de CA. Il décide alors de faire sa première acquisition en Italie, une société de service énergétique et crée sa première filiale en Colombie. Aujourd’hui, l’entreprise continue son développement avec « l’ouverture de trois pays par an ». Présent désormais aux Philippines, à Dubai et à Singapour, en plus des trois pays initiaux, l’entreprise peut se féliciter d’une croissance rapide.

La seconde levée de fonds

En octobre 2018, il réalise une seconde levée de fonds auprès notamment d’un spécialiste dans la transition énergétique de 8,5 millions d’euros. Il peut ainsi ouvrir d’autres filiales en 2019, notamment au Mexique et est présent, au travers de partenariats en Corée et au Japon. En juin de cette même année, il accélère à nouveau son développement avec une nouvelle levée de fonds de 10 millions d’euros. Si on pourrait penser qu’il s’agit d’une série B, l’entrepreneur la conçoit comme le prolongement de la première avec notamment l’un de ses investisseurs initiaux (ndlr : BNP Paribas).

Un développement à l’international et en France à venir

Avec 75 % de son chiffre d’affaires à l’international, on pourrait se dire la start-up devrait poursuivre son développement dans d’autres pays. Mais l’entreprise n’oublie pas l’hexagone avec notamment la signature d’un partenariat stratégique en janvier 2019, avec une grande entreprise française, Dalkia, qui souhaite développer la solution sur ses 2 000 sites industriels. On ne doute guère du succès à venir de l’entreprise. A noter qu’elle devrait quasiment doubler son effectif l’année prochaine et se diversifier notamment dans l’électromobilité et la gestion visuelle de l’énergie. 

Les supports de communication imprimés pour les entreprises

Les entreprises utilisent de nombreux supports de communication pour afficher haut et fort leur identité. Si le numérique s’est développé fortement ces dernières années, la communication imprimée garde la part belle et peut tout simplement servir à créer une identité de marque. Zoom sur les différents supports de communication des entreprises.

L’affichage reste à la mode

L’affichage représente un support toujours très utilisé par les entreprises. Il n’est plus besoin de prouver l’impact d’une campagne dans le métro si vous souhaitez notamment toucher une cible citadine. Même si ce type d’opération reste coûteux, sa pertinence notamment pour des domaines comme le spectacle n’est guère remise en cause. Un certain nombre d’entreprises n’utilise d’ailleurs que ce moyen pour communiquer. 

Il faut cependant tenir compte de plusieurs paramètres avant de se lancer dans une campagne d’affichage. Il ne suffit pas d’appréhender les caractéristiques techniques pour faire une campagne pertinente puisqu’il faudra qu’elle demeure impactante, bien localisée et qu’elle soit visible pendant les heures d’affluence de la cible visée.

Les stickers étiquettes adhésives dans l’entreprise

Ils sont devenus la coqueluche des start-ups qui les utilisent comme moyen de communication mais aussi de fédération des équipes. Elles y affichent très souvent leurs valeurs ou le slogan de l’entreprise même si d’autres utilisations sont possibles comme la signalétique au sein de l’entreprise. De nombreux formats sont disponibles et les idées ne devraient pas manquer pour s’en servir. Elles peuvent contribuer à l’ambiance globale en rappelant les couleurs de l’entreprise. De multiples idées pullulent sur la toile et vous pouvez faire appel à des sociétés spécialisées pour avoir tout type de support. L’impression de stickers publicitaires avec Digital Services est par exemple possible.

La publicité dans les magazines et journaux

Celle-ci continue d’attirer les grandes marques qui souhaitent garder une image de marque notamment dans le haut de gamme. La publicité papier conserve un aspect noble et est considérée comme moins intrusive par le consommateur. Elle crédibilise le produit auprès du consommateur notamment quand la périodicité augmente. Elle peut même être considérée par certains consommateurs comme faisant partie de la lecture. Ceux-ci n’hésitent pas à les consulter plus longuement car ils ont le sentiment que le produit est en général bien connecté avec ses attentes. Il faut aussi prendre en compte que cette publicité demeure plutôt bien considérée contrairement à un à d’autres qui sont vécus comme des spams et peuvent ternir l’image de l’entreprise. 

Les brochures et plaquettes

Si elles se sont de plus en plus numérisées, les brochures et plaquettes restent un vecteur de communication et d’acquisition très utilisé par les entreprises. Elles ont, comme l’insertion publicitaire, l’avantage de dégager un esprit noble puisque la qualité est en général au rendez-vous comme dans tous les supports imprimés. Les parutions sur la toile demeurent souvent moins bien contrôlées car elles peuvent être corrigées au besoin ce qui n’est pas le cas de l’imprimé papier. Les lieux de consultations sont également différents et ils restent visibles même si l’ordinateur est éteint et peuvent vous permettre de vous rappeler au bon souvenir de votre client. 

Les objets publicitaires imprimés

Il reste que l’imprimé peut se faire sur de nombreux types de supports et les cadeaux d’affaires en sont l’exemple type. Vous devez d’abord envisager que votre marque doit être visible mais sans ostentation afin de ne pas trop envahir l’espace visuel. Il doit cependant vous mettre en avant pour qu’on n’oublie pas que vous en êtes la source et éventuellement être associé à un bon souvenir. 

Votre cadeau doit être au maximum utile pour votre client et si possible utilisé régulièrement afin qu’ils se rappellent à ses bons souvenirs. N’oubliez pas de prendre en compte les délais de livraison qui peuvent s’avérer relativement longs notamment si vous souhaitez personnaliser chaque objet. 

Ces 5 héros fictifs qui pourraient incarner des entrepreneurs

Les héros fictifs sont légion en littérature, au cinéma. Certains entrepreneurs de success stories font figure parfois également de légende et semblent avoir traversé les difficultés grâce à leurs talents innés mais souvent cachés et révélés au grand jour par la magie de la vie mais souvent après un laps de temps passé dans d’obscurité.

Personnage culte au cinéma et figure emblématique du 7ème art, le super-héros incarne des valeurs positives pouvant s’apparenter au monde de l’entreprise. Le héros de cinéma est en effet souvent doté de nombreuses qualités, alors quels sont ces personnages fictifs qui auraient pu être entrepreneurs dans le monde réel ?

Iron Man le héros de l’Amérique

Sans doute le plus emblématique des héros américains actuels, Tony Stark alias Iron Man incarné par le charismatique Robert Downey JR. a tout du chef d’entreprise idéal. Inventeur génial et farfelu héritier d’une multinationale de l’armement, ce dernier a su faire fructifier l’empire paternel. Combinant alors le sens des affaires avec celui de la défense des opprimés, Iron Man est une figure emblématique du cinéma outre-Atlantique après avoir été l’un des personnages incontournables des mythiques comics de l’univers Marvel.

Son nom est Bond

Véritable icône de l’homme séduisant à qui tout réussit, James Bond incarné au cinéma par de nombreux acteurs d’origine britannique reste une légende vivante pour tous les fans de la saga. Le célèbre agent secret répondant au nom de code 007 possède toutes les qualités requises pour être entrepreneur dans la vraie vie. Son audace et sa force de persuasion auraient en effet pu faire du héros « so british » un redoutable homme d’affaires s’il n’était pas sorti de l’imagination prolifique de son auteur, Ian Fleming.

La fièvre de la réussite

Incarnant la jeunesse et la fougue dont l’ambition a su le hisser jusqu’au succès, Tony Manero dans la Fièvre du samedi soir symbolise à lui-seul la réussite américaine. Joué par John Travolta au cinéma, le film est devenu culte pour sa bande son mythique et ses danses endiablées, mais aussi parce que son héros de condition modeste et d’origine immigrée a réussi dans la vie à force de travail et de persévérance. Incarnant en effet des valeurs positives comme la croyance en ses idéaux et la ténacité, Tony Manero alias John Travolta est le parfait exemple de l’entrepreneur qui est parti de rien pour se hisser jusqu’au sommet.

Le boxeur au grand cœur

Autre figure incontournable du cinéma américain, Rocky Balboa a lancé la carrière internationale de Sylvester Stallone. La saga des Rocky est devenue culte car elle a représenté pour des millions d’enfants l’incarnation du rêve américain. Imaginé par Stallone lui-même, le personnage du boxeur au grand cœur constitue une métaphore de l’individu moyen qui réussit tout seul à se hisser jusqu’au succès à la seule force de ses poings. Transposé dans la réalité, le héros peut aujourd’hui très bien incarner la réussite d’un entrepreneur qui à force de persévérance fait de son entreprise l’un des leaders sur son marché.

Le plus célèbre des aventuriers

Devenue culte au fil du temps, la quadrilogie des Indiana Jones est l’occasion de se replonger avec son héros Harrison Ford dans des aventures palpitantes. Archéologue de son état, le héros de la saga sait faire preuve d’audace mais aussi de réflexion et d’intelligence pour résoudre les énigmes. L’acteur outre-Atlantique séduit ainsi pour son sens de la déduction autant que pour son courage à affronter ses ennemis. Il est alors facilement imaginable de transposer les qualités de cet Indiana Jones des temps modernes à l’entreprise, où les décisions cruciales doivent être prises après mûre réflexion.

Le réseau : un atout majeur pour les chefs d’entreprise

Développer son réseau représente un enjeu majeur pour tout entrepreneur qui souhaite communiquer sur son entreprise. Si on peut penser que le développement d’un réseau est l’apanage des entrepreneurs établis, il est en réalité nécessaire dès ses prémices afin de trouver des opportunités créatrices de valeur mais pas seulement.

La démarche demeure une démarche structurée qui nécessite réflexion et planification. A l’instar d’un plan stratégique ou de communication, il vous faut élaborer un plan réseau. Voici 10 secrets qui vont vous permettre d’organiser votre PAIR (Plan d’Action Individuel Réseau).

Osez aller vers l’autre

Alors oui ! Ce n’est guère facile d’aller vers les autres et de plus de leur exprimer vos attentes. Mais le business, vous en êtes convaincu, ne va pas tomber tout cuit dans votre escarcelle. La chance sourit aux audacieux et sortir de votre zone de confort est la clef de l’audace. Laisser un siège vide à côté de vous, par exemple, lorsque vous participez à une conférence n’est pas forcément bénéfique pour votre réseau car déjà vous créez une distance avec les participants et vous donnez l’impression d’avoir envie de vous isoler. Allez vers les autres et laissez de côté vos peurs. Vous êtes venu rencontrer de nouvelles personnes comme aussi les personnes présentes.

N’attendez pas de recevoir pour donner

Si on associe parfois le networking à une image négative où la manipulation régnerait en maître et où il ne s’agit que de chercher des opportunités, la réalité est en fait bien différente. Ne lier des relations que dans une perspective égoïste n’est guère le sens de ces rencontres qui permettent de dialoguer et d’échanger et d’établir des relations humaines physiques qui sortent du cadre des réseaux sociaux virtuels. La puissance de votre réseau et votre image lors de ces rencontres dépendent beaucoup de votre capacité à donner. Il s’agit d’une avant tout grâce votre ouverture d’esprit de tisser des relations de confiance avec les différents membres.

Établissez des objectifs concrets

Les réseaux ne sont pas des entreprises de bienfaisance et donc quand vous intégrez un réseau, donnez-vous des objectifs concrets. On dit généralement qu’il faut en définir des SMAC (Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Cohérents) avant d’entrer dans un réseau. Cette définition vous permettra de sélectionner le réseau adapté à vos besoins. N’oubliez pas que se créer un réseau solide requiert du temps.

Commencez par votre réseau actuel

Vous pensez ne pas avoir de réseau ? C’est faux ! Il commence par votre famille et vos amis et s’étend à vos anciens collègues en passant par vos camarades de classe. Vous pouvez débuter par une liste de l’ensemble de vos contacts. Il vous faut ensuite définir ceux qui ont un intérêt particulier par rapport à vos objectifs professionnels. N’oubliez pas qu’un membre de votre réseau peut ne pas évoluer dans votre business mais peut très bien avoir dans son entourage proche une personne clé et vous introduire auprès d’elle pour vous.

Identifiez les « HUB »

On ne sait pas pourquoi mais certaines personnes semblent connaître la terre entière. Définir les hubs dans votre réseau et s’en rapprocher peut vous faire gagner un temps précieux et se révéler efficace. Attention tout de même à ne pas confondre hubs avec des personnes qui ont l’air de connaître tout le monde et finalement personne. Il est impossible d’entretenir des liens intéressants avec tout le monde.

Reprenez contact

Si cela fait longtemps que vous n’avez pas vu certaines personnes de votre réseau, il est peut-être temps de les recontacter. Ceci est d’autant plus vrai s’ils appartiennent à la catégorie de ceux qui peuvent vous aider à remplir votre objectif professionnel. Ce n’est pas parce que cela fait longtemps que vous n’avez pas vu quelqu’un, que votre connexion ne sera pas naturelle. Dans le cas où vous avez une raison particulière de revoir une des personnes, il ne s’agit pas de lui cacher votre objectif, au contraire. A défaut, vous pourriez passer pour un manipulateur qui ne contacte que par intérêt.

Participez à des clubs

Il existe de nombreux clubs comme ceux des anciens d’une école ou d’une entreprise, des clubs de dirigeants, des clubs sectoriels ou par fonction, des clubs de personnes ayant les mêmes hobbies. Autant d’occasions de lier des contacts et de vous créer un réseau de qualité. Il se peut que le club de vos rêves n’existe pas mais rien ne vous empêche de le créer vous-même. N’hésitez pas à regarder au-delà de la nature du club, sa mentalité et ses valeurs. Participer à une séance en tant que visiteur peut s’avérer judicieux afin de voir si l’ambiance colle avec votre mentalité.

Définissez les bons réseaux

Pour que votre réseau soit efficace, vous devez y participer. Rien ne sert de chanter à la cantonade que vous faites partie de tous les réseaux et de tous les activer en même temps. Sélectionnez les réseaux les plus adéquats à vos attentes et à vos objectifs.

Attirez les contacts

Pour susciter des contacts, rien de mieux que de faire parler de soi. Pour cela, participez en qualité d’expert de votre domaine en intervenant lors de conférences, en donnant des cours, ou en proposant des articles à des journaux. Pour vous faire connaître, surfez sur la vague web et investissez les forums, médias citoyens ou bien réalisez un blog pour gagner en visibilité.

Investissez-vous

L’agenda d’un entrepreneur est bien rempli ! Plutôt que de fréquenter divers réseaux de loin, choisissez le réseau le plus pertinent par rapport à votre projet professionnel et investissez-vous-y pleinement. Les retombées sont généralement proportionnelles à l’engagement qu’on met dans un réseau.

7 ERREURS A EVITER LORS DES CONFÉRENCES

1 Rester avec vos collègues de travail et ignorer les autres.

2 Parler toute la soirée avec un pot-de-colle

3 Utiliser les moments de pause pour passer sans arrêt des coups de fil.

4 Ne pas écouter ce que vos interlocuteurs disent.

5 Ne pas vous intéresser à ce que vos interlocuteurs font.

6 Rester devant le bar cocktail en empêchant les autres d’y parvenir toute la soirée.

7 Ne pas savoir vous présenter.