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Soirées d’entreprises, comment faire pour éviter le pire ?

En début d’année, les entreprises organisent souvent un pot ou des soirées. L’idée est souvent de motiver les équipes mais aussi de les remercier des efforts accomplis. C’est un moment convivial où tous les services ont la possibilité de dialoguer. Pour que ce moment laisse une excellente empreinte dans l’esprit de chacune et chacun, tenez compte des conseils que nous vous proposons.

L’organisation d’un tel évènement ne doit aucunement faire l’objet de négligence, l’entreprise restant soumise à une obligation générale de sécurité. Le chef d’entreprise doit prendre les mesures nécessaires pour éviter que cette soirée d’entreprises ne tourne au cauchemar.

Quand la réaliser ?

Pour garantir le succès de la fête, séparez-la de l’activité de l’entreprise. Dans la mesure du possible, organisez-la en dehors des heures de travail que ce soit à la fin de la journée ou après le travail, voire pendant le week-end. Dans l’idéal, elle doit se distinguer, au maximum, d’un temps de travail car il s’agit d’un temps pour que vos collaborateurs se rencontrent dans un autre contexte que celui de l’entreprise. Elle doit donc dans l’idéal se passer dans des horaires/jours où ils ne travaillent pas normalement.

Le lieu de la fête d’entreprise

Vous pouvez aussi bien la faire dans le local de bureau en l’aménageant de sorte qu’il puisse accueillir la fête que dans une salle de fêtes afin d’en faciliter l’organisation. Dans tous les cas, la sécurité du local constitue un élément à ne pas négliger. Elle concerne surtout la sécurité incendie et l’évacuation. Même en dehors des heures de travail, l’entreprise demeure le premier responsable en cas de préjudice. Les dispositions du Code du travail continuent à s’appliquer.

Avant de commencer quoi que ce soit, l’entreprise doit vérifier si les dispositifs de sécurité de son local sont adaptés aux circonstances. En cas de besoin, elle ne doit pas hésiter à renforcer la sécurité de son local pour garantir sa sécurité et celle de ses employés.

La consommation d’alcool

La gestion de la consommation d’alcool est nécessaire notamment si la fête se passe dans l’enceinte de l’entreprise. C’est une des raisons pour lesquelles les fêtes se passent moins souvent au sein de l’entreprise. Il vous faut alors respecter les dispositifs prévus par les textes en vigueur et notamment l’Article R4228-20 prévoit qu’aucune boisson alcoolisée autre que le vin, la bière, le cidre et le poiré n’est autorisée sur le lieu de travail. Le non-respect de cette loi entraîne l’application d’une sanction pécuniaire à la hauteur du nombre d’infractions relevées dans le procès-verbal. Avant l’événement, rappelez la politique de l’entreprise en matière d’alcool si vous avez décidé de la réaliser au sein de vos locaux.

La gestion des invitations

Pour une fête réussie, l’entreprise ne doit pas obliger ses employés à assister à la fête. Si celle-ci dispose d’un caractère obligatoire, les invités la considèreront comme en lien avec le travail et ils risquent par ailleurs de vous réclamer des heures de travail. L’obligation reste contreproductive, elle entraîne généralement une mauvaise ambiance qui pourrait contraster avec l’objectif. Essayez de les inciter à y participer pour optimiser l’esprit d’équipe au sein de l’entreprise. Pour éviter les malentendus, assurez-vous que tous les membres du personnel aient connaissance de la fête et sachent que leur présence n’est pas obligatoire.

Le recours au service d’un professionnel

Si l’entreprise fait appel à un organisateur événementiel pour préparer la fête, elle doit tenir compte de plusieurs éléments, notamment de la nécessité d’établir un plan de prévention. Pour éviter les soucis, signez un document fixant les règles relatives à la sécurité des locaux et celles des employés. L’entreprise demeure responsable de tout ce qui se passe dans ses locaux et dans tous les événements qu’elle organise.

Dans le cas inverse, un professionnel vous aidera à faire en sorte qu’il y ait le moins de couacs possible. Si vous décidez de la réaliser vous-même (à l’aide de quelques prestataires souvent), n’oubliez pas d’avoir une liste qui vous permettra de ne rien oublier afin que la fête se déroule au mieux.

Petit détail mais pas des moindres, n’oubliez pas qu’il s’agit d’une fête !

Halte à la téléphonomanie !

Le téléphone portable est devenu le meilleur ami et le meilleur ennemi des entrepreneurs. Il permet certes de vous contacter à toute heure mais aussi aux moments inopportuns. Vous répondez alors que vous n’avez pas encore la réponse appropriée et que vous n’avez pas eu le temps d’y réfléchir.

Il est temps de cesser d’être esclave de votre téléphone ! Cette petite merveille qui tient dans votre poche et qui nous permet d’être connecté au monde 24/24h doit être domptée pour ne pas devenir totalement ingérable ! 

Il est clair que savoir gérer son téléphone demande une autodiscipline. Nous restons accrochés à celui-ci pour ne pas perdre la moindre opportunité. Cependant, les messages incessants par SMS ou les appels risquent de vous perturber dans l’accomplissement de vos tâches.

Apprenez à mettre votre téléphone de côté

Pour être efficace, vous devez profondément intégrer le fait que ce n’est pas parce que votre téléphone vous suit partout que vous devez répondre aux appels à chaque instant. S’il peut être tentant de céder aux sirènes de la douce mélodie de votre sonnerie, vous perdez un temps considérable à vous interrompre à chaque message ou appel.

Il est très rare qu’une information ne puisse pas attendre une heure avant d’être traitée. Il reste prouvé qu’effectuer une tâche de manière continue prend beaucoup moins de temps que de la faire de manière hachée, en étant interrompu sans cesse. La raison est physique : le cerveau a besoin d’environ 3 minutes pour retrouver son niveau de concentration. 3mn +3mn +3mn… Alors ne vous laissez plus envahir par votre téléphone car au final vous venez de perdre une heure dans votre journée ! Pour gagner du temps, rien de plus simple : un coup de fil auquel vous répondrez plus tard !

Mettre votre téléphone en mode silencieux

Certes, il peut s’avérer difficile de couper votre téléphone ou de vous en séparer, tant il peut être crucial de répondre à un futur client. Vous risquez de ne pas pouvoir répondre alors qu’il vous contacte pour avoir des renseignements… Si vous êtes dans une tâche qui demande une forte concentration, vous devez essayer de vous fixer la règle de ne pas répondre aux appels. Chacun peut comprendre que vous ne soyez pas immédiatement disponible. Vous pouvez par exemple fixer des heures d’appel disponibles afin de ne pas être perturbé. Par exemple de 9h à 10h puis de 16h à 18h. Ces créneaux où vous serez joignable, vous l’aurez compris, correspondent aux tâches qui ne vous demandent pas une concentration extrême. Pendant les autres périodes, vous pouvez ainsi avancer au calme sur les dossiers de fond.

Rien ne vous empêche, une fois votre tâche terminée de consulter vos messages et répondre aux appels manqués sur une plage horaire clairement définie dans votre planning. Une autre stratégie utilisée par de nombreux professionnels consiste à ne répondre qu’aux numéros connus, à différencier les appels privés des appels professionnels en optant pour deux sonneries différentes, ou encore s’équiper de plusieurs mobiles, chacun destiné à des types d’appels différents : clients, collaborateurs, privés…

Apprenez à être clair

Si vous ne souhaitez pas voir votre téléphone envahi de messages lorsque vous le rallumez, vous pouvez enregistrer un message sur le répondeur qui annonce clairement ce que vous souhaitez. Vous pouvez donner des instructions comme vous contacter par sms ou encore fixer les heures auxquelles vous serez disponible pour répondre aux appels. En cas d’urgence, vous pouvez transmettre le numéro d’un de vos collaborateurs qui pourra vous contacter au besoin. Vos interlocuteurs qui souhaitent vous avoir directement en ligne vous rappelleront plus tard. Vous devez être clair avec les personnes qui cherchent à vous joindre pour vous vendre un service ou un partenariat qui ne vous intéresse pas afin de gagner du temps. Si vous ne voulez plus que l’on vous sollicite, dites-le et cessez de reporter au lendemain l’appel promotionnel. A défaut, vous risquez d’avoir de nouveau la personne au bout du fil quelques jours plus tard.

Shopping du Nouvel An 2025

Pour le shopping du Nouvel An 2025, les nouveautés high-tech séduiront les passionnés avec des produits innovants. Voici une sélection à découvrir cette saison :

Xiaomi 14T et 14T Pro bientôt en France

Xiaomi va lever le voile sur ses Xiaomi 14T et 14T Pro, leurs fiches techniques et leurs prix respectifs. La fiche technique des appareils devrait être similaire à celle des Redmi K70 et K70 Pro déjà disponibles en Chine. Le Xiaomi 14T Pro proposera un écran de 6,67 pouces en 2 712 x 1 220 pixels à 144 Hz avec une luminosité maximale de 400 cd/m². Il sera animé par la puce Dimensity 9 300+ de MediaTek associée à 12 Go de RAM et 512 Go de stockage. La partie photo est composée d’un capteur principal de 50 Mp, d’un téléobjectif X2,6 50 Mp et d’un capteur 12 Mp grand angle f/2,2. Il sera équipé par une batterie de 5 000 mAh compatible charge rapide 50W, proposera du WiFi 7, Bluetooth 5.4, embarquera Android 14 et surcouche HyperOS.

Le Xiaomi 14T classique proposerait le même écran, mais avec une puce moins performante : une Dimensity 8 300 Ultra avec autant de RAM mais seulement 256 Go de stockage. La partie photo proposera un capteur principal de 50 Mp (Sony IMX906) et les deux autres modules de la version Pro. Le Xiaomi 14T sera commercialisé au tarif de 649 € et 799 € pour le 14T Pro. 

Le Galaxy Book 5 Pro 360 de Samsung

Samsung a dévoilé son nouvel ordinateur portable, le Galaxy Book 5 Pro 360, doté de l’intelligence artificielle. Le Pro 360 ne s’éloignera pas du design du Galaxy Book 4 Pro 360. Avec sa charnière pivotant à 360°, il peut se transformer en tablette. L’ordinateur portable sera équipé d’un écran tactile Dynamic AMOLED 2X de 16 pouces avec une résolution WQXGA+ et un taux de rafraîchissement de 120 Hz. Le Pro 360 sera d’ailleurs équipé d’un Intel Core Ultra 5 226V de la gamme Lunar Lake. Ce puissant processeur sera accompagné de 16 Go de RAM LPDDR5X et d’un SSD PCIe NVMe de 512 Go. Il fonctionnera sous Windows 11 avec la fonction Copilot Plus. Il intégrera un clavier rétroéclairé pleine taille avec pavé numérique, un grand pavé tactile avec pilotes Windows Precision et un lecteur d’empreintes digitales.

Une connectivité sans fil améliorée est prévue grâce au Bluetooth 5.4 et au Wi-Fi 7. Sur le côté gauche se trouvent un port HDMI 2.1 et deux ports Thunderbolt 4, tandis que le côté droit abrite un port USB 3.2 Type-A, un lecteur de cartes microSD et une prise casque de 3,5 mm. Galaxy Book 5 Pro 360 sera alimenté par une batterie de 76 Wh, prenant en charge une charge de 65 W via USB PD sur le port Thunderbolt 4 et dispose d’une charge rapide permettant de regonfler sa batterie de 35 % en 30 minutes. Le Pro 360 est disponible à la commande sur le site de Samsung pour un tarif de 2199 euros en version 512 Go et 2399 euros en version 1 To de stockage. 

GoPro Hero 13 Black : la nouvelle caméra de GoPro

GoPro dévoile sa nouvelle caméra, la Hero 13 Black qui introduit une nouvelle connectique magnétique et un écosystème de trois compléments optiques et quatre filtres à densité neutre. Elle permet de tourner en résolution 5,3K et 60 images par seconde, mais aussi en Slo-Mo (jusqu’à 400 i/s en 720P) et propose du HDR HLG pour faciliter le travail des couleurs en postproduction. En plus de l’objectif intégré directement à la caméra, GoPro a prévu quatre objectifs qui peuvent se fixer à la caméra pour modifier la prise de vue : un module ultra grand-angle, qui permet de profiter d’une prise de vue à 177°, un module macro pour prendre des photos et vidéos à 11 cm du sujet, un module anamorphique pour un rendu cinéma et un module filtre ND pour assombrir l’image et éviter de surexposer la séquence.

GoPro a développé un kit comprenant quatre filtres à densité neutre. Allant de ND4 à ND32 à 80 euros pour filmer avec du motion blur. La batterie est capable de filmer jusqu’à une heure et demie en 4K30. La caméra supporte le WiFi 6 pour permettre un transfert des images plus rapide, et intègre toujours GPS et accéléromètre. La marque commercialise donc des accessoires comme un support magnétique (30 €) et un support à rotule (55 €) pour l’attacher convenablement. GoPro Hero 13 Black est disponible en France au prix de 399,99 euros seule ou à 599,99 euros en kit « Creator Edition » (avec modules lumière, batterie Volta, micro directionnel et système d’attache magnétique). 

L’Iconia X12 : une nouvelle tablette AMOLED de Acer

Annoncée lors de l’IFA 2024, il s’agit d’une tablette Android dotée d’un mélange de caractéristiques haut de gamme et abordables. La tablette dispose d’un écran AMOLED de 12,6 pouces avec une résolution de 2 560 x 1 600 pixels. L’écran a un taux de rafraîchissement de 60 Hz et ne supporte qu’une luminosité de 400 nits. La tablette Iconia X12 mesure 283 x 187 x 7 mm et pèse 600 g. L’Iconia X12 tourne sous Android 14 et embarque une batterie de 10 000 mAh compatible avec la charge rapide 30 W, pour un maximum de 16 heures d’autonomie.

Les accessoires optionnels incluent un stylet en aluminium, un étui portefeuille avec un support ajustable et une fente pour stylet intégrée, un support multi-angle et un clavier détachable. Les autres caractéristiques de la tablette comprennent un processeur MediaTek Helio G99, 8 Go de mémoire LPDDR4x, une caméra arrière de 13 Mp et une caméra frontale de 8 Mp, ainsi que des haut-parleurs quadruples. La tablette dispose d’un port USB Type-C, d’une prise casque de 3,5 mm et d’un lecteur de carte microSD. La tablette Iconia X12 sera disponible à partir du mois de janvier 2024 pour un prix attractif de 369 €. 

Mettre en place les nouvelles méthodes de type lean

Dans ce contexte de concurrence accrue, les entreprises ont cherché à trouver des solutions pour être davantage compétitives pour leur permettre de traverser la ou les crises successives. Les jeunes entreprises enfermées jusque-là dans les frontières de leur pays en dehors des grands groupes ont rencontré un marché planétaire, aisé d’accès. De nouvelles méthodes de type lean pour permettre aux entreprises de devenir plus performantes ont fleuri. Zoom sur le lean start-up. 

Ce concept fait fureur dans la Silicon Valley où il est généralement présent dans le domaine high-tech même s’il reste applicable à de nombreux autres produits. Il a pour but de maximiser les chances de pérennité d’une jeune entreprise.

L’origine du concept

Eric Ries a développé cette méthode en partant de son expérience en tant que consultant, salarié et fondateur d’entreprise. En analysant l’échec de sa première création, Catalyst Recruiting, il a identifié deux problèmes. Le fait d’avoir manqué de compréhension des besoins du client et le fait d’avoir dépensé trop de ressources (de temps et d’énergie) avant le lancement de son produit. Son expérience suivante dans la recherche et développement confirme cette intuition. Il constate d’ailleurs que le produit ne rencontre pas le succès escompté auprès des « early adopters » (ndlr : « premiers utilisateurs »). Celui-ci s’avère en inadéquation avec la demande. Sa réflexion est alors simple : de nombreuses entreprises font faillite avant d’avoir connu le succès en raison de cette inadaptation.

Concrètement en quoi cela consiste ?

Le lean est d’abord une approche scientifique du développement des entreprises qui met en avant le fait de modifier un produit notamment en fonction des réactions des clients. Il s’agit d’une approche qui consiste à penser qu’il est souvent difficile et plus chronophage de présenter un produit parfait. Confronter son produit à sa clientèle représente la meilleure méthode pour vérifier son adaptation ou non à la clientèle visée. Elle repose sur le « Validated learning » (vérification de la validité des concepts). Une première version du produit est lancée (en général assez rapidement) et adaptée en fonction des retours des utilisateurs, à la manière d’un scientifique qui ajuste ses formules au fur et à mesure des résultats obtenus par ces différentes expériences.

Les objectifs de la démarche

Cette technique s’avère relativement bien adaptée aux petites entreprises qui sont en général plus réactives que les grandes et qui peuvent s’adapter rapidement du fait du faible nombre de strates hiérarchiques et d’une prise de décision rapide. Celle-ci permet d’abord d’obtenir un produit qui colle au plus proche des attentes des clients et de l’usage qu’ils en font dans la pratique. Le recours à cette démarche possède l’énorme avantage de réduire les cycles de commercialisation des produits mais oblige à mettre en place différents indicateurs afin de mesurer de manière régulière les progrès réalisés. Elle permet également de réduire l’investissement initial puisque la mise sur le marché est plus rapide.

Une méthode pas si naturelle

Cette méthode qui pourrait paraître naturelle de prime abord se révèle souvent à l’exact opposé de ce que pratique la majorité des entrepreneurs qui préfère attendre pour réaliser un produit « parfait » et retarder ainsi son entrée sur le marché. La peur que le produit ne rencontre pas le succès escompté et écorne l’image de l’entreprise conduit souvent les futurs dirigeants à retarder le lancement de quelques mois voire quelques années. Cette réticence à proposer un service ou produit avec des défauts permet parfois l’arrivée de nouveaux concurrents et représente, de temps en temps, une traduction du fait que l’entrepreneur ne veut pas s’extraire de sa « zone de confort ».

Un changement de mentalité

Le lean start-up représente en réalité un changement complet dans la conception d’un produit puisqu’il s’agit d’une remise en cause constante de ce dernier et d’un apprentissage de ses erreurs sur le terrain. Si cette technique a prouvé son efficacité, elle reste difficile à mettre en œuvre dans le cas de produits qui ne peuvent pas être adaptés par la suite sous peine de décevoir les clients qui pourraient ne jamais le racheter.

Des pivots réussis

Le processus lean start-up a pour avantage de conduire parfois à la connaissance d’autres besoins, souvent connexes au premier produit.  Or, lorsque la start-up change de produit pour répondre à ceux-ci, on parle de « Pivot » et c’est le business model tout entier qui peut être remis en cause. En témoigne l’entreprise Criteo qui a commencé son activité en 2005 comme service de recommandation de films, puis pivote un an plus tard pour vendre des produits pour sites marchands avant de s’installer sur le marché de la publicité ciblée. D’autres entreprises ont également connu ces changements qui leur ont permis de s’installer dans le paysage des entreprises à succès comme Restopolitan.

Quelques exemples

• Facebook

Facebook utilise le lean management pour entre autres l’amélioration continue de ses produits et de ses services. Elle utilise la méthode agile dans le développement de ses logiciels. 

• Dropbox

L’entreprise utilise le lean management afin d’optimiser les différentes étapes de développement de ses produits et de ses projets. Les développeurs adoptent une approche itérative et une bonne communication est mise en place en toute transparence entre les équipes.

• Amazon

L’entreprise se sert du lean management dans ses opérations de distribution et logistiques. Cela permet aux équipes d’optimiser les processus de stockage, de récupération et d’expédition dans le but de réduire les délais et d’améliorer leur efficacité. Cette organisation les aide également à minimiser les stocks excédentaires et à maximiser la satisfaction client.

Un concurrent veut me racheter… Comment gérer ?

La vente d’une société est un moment important pour un entrepreneur. Il faut à cette occasion aborder un ensemble de sujets allant des modalités de paiement au projet professionnel du repreneur. En 2023, environ 51 000 transmissions d’entreprises ont été enregistrées en France, ce qui représente 27 % des 185 000 entreprises potentiellement transmissibles chaque année. Pour 2024, une hausse de 10 % des cessions atteindra 55 000 transactions. Dans les 10 prochaines années, selon le site d’information du ministère de l’économie plus de 600 000 entreprises seront transmises à des repreneurs. Pour chaque transaction, plusieurs points centraux sont à prendre en compte. Un concurrent veut me racheter… Comment se préparer et négocier au mieux le rachat de son entreprise ?

Avant de céder votre entreprise, appréhender ses forces et ses faiblesses afin d’en établir le diagnostic. Celui-ci est au cœur de la réussite de tout rachat. Ce diagnostic prend notamment en compte un ensemble de critères et de facteurs : les produits, le marché, la concurrence, la stratégie de l’entreprise, les ressources humaines, la comptabilité, les moyens, les aspects juridiques et financiers, etc. et exige une préparation minutieuse qui demande de développer un savoir-faire.

Préparer l’entreprise au rachat

La transmission d’une entreprise est un sujet complexe, à tel point qu’on estime aujourd’hui qu’environ un tiers des transactions finissent par échouer. Pour qu’un rachat ait lieu, il faut des compétences techniques et une approche psychologique commune de la part des deux partis. Pour favoriser le rachat, l’entrepreneur devra organiser sa société de façon à ce qu’elle soit vendable dans les meilleurs délais, c’est-à-dire en supprimant les « moins-values » de l’entreprise. Il s’agit dans tous les cas d’un processus long et délicat. La phase de rachat réclame de la patience, et il est bon d’avoir suivi auparavant une formation aux différentes techniques de négociation. Établissez dès le départ des objectifs clairs, qui serviront à définir le cahier des charges de la cession d’entreprise.

Aborder l’ensemble des éléments

Une négociation de rachat s’étend sur un grand nombre de sujets. Le premier est l’aspect financier. L’établissement d’une fourchette de prix est la condition préalable à toute négociation. On estime que la différence entre vendeur et acheteur ne doit pas être supérieure à 20 % pour espérer un accord. Durant les échanges, il est important pour l’entrepreneur cédant sa société de divulguer avec parcimonie les informations sensibles. Vous ferez signer une lettre de confidentialité par l’acquéreur potentiel lorsque vous fournirez des données sur le cœur d’activité de l’entreprise . C’est un moyen de protéger la société, en s’assurant que ces informations ne seront pas transmises à un tiers.

La protection constitue un enjeu majeur au cours des négociations. Des clauses de garantie seront notamment signées entre les deux parties pour déterminer la réalité des passifs et des actifs de l’entreprise. Avant de parvenir à un accord, les modalités de reprise et de paiement seront aussi à définir.

Faire appel à une aide extérieure

Durant le rachat de sa société, le chef d’entreprise pourra consulter ses proches, ses collègues et ses conseillers afin de minimiser l’impact affectif de la vente pour se concentrer sur son aspect financier. Il peut être pertinent de se mettre en relation avec des partenaires extérieurs qui apporteront leur concours lors du rachat. Il peut s’agir des spécialistes d’un cabinet de conseil, d’avocats et d’experts-comptables? Ces derniers permettront d’avoir davantage de recul ainsi qu’une vision globale de la situation. Les cabinets d’intermédiaires sont nécessaires pour toutes les transactions importantes, au-delà de 7 millions d’euros. En dessous de ce montant, de bons experts-comptables suffisent pour gérer les éléments techniques du dossier. Dans le cas d’un blocage dans les négociations, l’entrepreneur peut intervenir en personne pour relancer le processus. En général, on estime qu’il s’écoule une année environ entre les premiers contacts et la revente effective de l’entreprise.

Vendre à un concurrent est souvent une opportunité qui permet grâce à l’expérience acquise de développer d’autres projets.

A savoir ! Le terme « intermédiaire » recouvre les acteurs du marché de la transmission et reprise d’entreprise ayant pour vocation de mettre en relation vendeurs et acheteurs au sens large, c’est à dire avec ou sans prestations de conseil, gratuitement ou non. Ils sont classés en 3 familles : les réseaux de soutien et d’accompagnement, les cabinets d’intermédiation, les professionnels intervenant occasionnellement. 

Les erreurs à éviter et les pièges courants en management

Un rappel des erreurs et pièges courants en management nous semblaient particulièrement approprié. A défaut de pouvoir développer rapidement toutes les bonnes méthodes, autant les éviter et suivre ces quelques conseils.

Les erreurs

Micro-management :

Interférer trop souvent dans le travail de vos employés au lieu de leur faire confiance.

Manque de communication :

Ne pas partager d’informations essentielles ou ne pas écouter les préoccupations des employés.

Manque de clarté dans les objectifs :

Fixer des objectifs vagues ou contradictoires.

Ignorer le feedback :

Ne pas demander ou ignorer les retours des employés, les clients ou les partenaires.

Favoritisme :

Traiter certains employés de manière privilégiée, créant des frustrations et des divisions.

Ne pas déléguer efficacement :

Garder des responsabilités pour soi-même au lieu de répartir les tâches de manière équilibrée.

Manque de reconnaissance :

Oublier de reconnaître les succès et efforts des employés, menant à la démotivation.

Éviter les conflits plutôt que de les résoudre :

Laisser des tensions non résolues affecter la dynamique de l’équipe.

Ne pas adapter son style de management :

Appliquer la même approche à tous, sans tenir compte des différences individuelles.

Prendre des décisions sans consulter l’équipe :

Décider sans tenir compte des avis ou des expertises des membres de l’équipe.
Sous-estimer la charge de travail : Ne pas tenir compte de la surcharge de travail ou des difficultés rencontrées par les employés.

Ne pas investir dans la formation :

Négliger la montée en compétences des employés, ce qui peut entraîner une stagnation.

S’impliquer dans des tâches trop opérationnelles :

Perdre de vue la vision stratégique en se concentrant sur des détails opérationnels.

Absence de leadership :

Ne pas inspirer ou guider son équipe avec une direction claire et un exemple à suivre.

Ne pas faire preuve d’empathie :

Ignorer les besoins et préoccupations émotionnelles des employés.

Éviter la prise de risque :

Être trop prudent ou réticent à prendre des décisions audacieuses qui pourraient faire avancer l’organisation.

Ne pas fixer de priorités claires :

Mélanger des tâches urgentes et importantes, ce qui crée de la confusion et réduit l’efficacité.

Ne pas gérer le changement correctement :

Résister ou ne pas accompagner les changements dans l’entreprise, créant un climat d’incertitude.

Gérer par la peur :

Utiliser des menaces et des sanctions comme principaux outils de motivation, ce qui peut provoquer de la stress et de l’anxiété.

Ne pas maintenir un équilibre entre vie professionnelle et personnelle :

Exiger des heures excessives ou ignorer l’importance du bien-être des employés. 

Nos conseils

Favoriser l’autonomie :

Donnez à vos employés la liberté d’agir tout en restant disponibles pour les guider en cas de besoin.

Encourager la communication ouverte :

Maintenez un flux constant d’informations et soyez à l’écoute des préoccupations et suggestions de vos équipes.

Fixer des objectifs clairs et atteignables :

Définissez des objectifs précis, mesurables et alignés avec la stratégie de l’entreprise.

Demander régulièrement des retours :

Sollicitez les avis de vos employés pour améliorer les processus et identifier les besoins non satisfaits.

Pratiquer l’équité :

Traitez tous les employés de manière juste et transparente, en valorisant leurs compétences et contributions.

Déléguer efficacement :

Apprenez à répartir les tâches en fonction des forces et des intérêts de chacun, et faites confiance à vos collaborateurs.

Reconnaître et célébrer les succès :

Valorisez les réalisations et les efforts de vos employés pour renforcer leur motivation et leur engagement.

Gérer activement les conflits :

Abordez les conflits de manière constructive, en cherchant des solutions équilibrées pour toutes les parties concernées.

Adapter son style de management :

Personnalisez votre approche en fonction des besoins et des attentes de chaque membre de l’équipe.

Impliquer l’équipe dans les décisions :

Consultez régulièrement vos employés sur les choix stratégiques ou opérationnels pour les faire participer à la réussite collective.

S’assurer d’une charge de travail réaliste :

Evaluez régulièrement la charge de travail et ajustez les priorités pour éviter le surmenage.

Investir dans la formation et le développement :

Offrez des opportunités d’apprentissage continu pour améliorer les compétences de vos équipes et les préparer à de nouveaux défis.

Se concentrer sur la vision stratégique :

Restez focalisé sur les objectifs à long terme et déléguez les tâches opérationnelles à vos équipes.

Incarner le leadership :

Soyez un modèle pour vos collaborateurs, inspirez-les avec une vision claire, une éthique de travail et une attitude positive.

Faire preuve d’empathie :

Soyez attentif aux besoins émotionnels et professionnels de vos employés, en offrant un soutien moral et pratique.

Encourager la prise de risques calculés :

Créez un environnement où l’expérimentation et l’innovation sont valorisées, tout en minimisant les risques inutiles.

Fixer des priorités et gérer le temps efficacement :

Classez les tâches par ordre d’importance et assurez-vous que les ressources sont concentrées sur les objectifs essentiels.

Accompagner le changement avec transparence :

Communiquez clairement sur les changements à venir et préparez vos équipes en fournissant le soutien nécessaire.

Motiver par la confiance et l’autonomie :

Créez un environnement où les employés se sentent respectés et soutenus, plutôt que menacés.

Favoriser un bon équilibre travail-vie personnelle :

Encouragez des horaires de travail flexibles et respectez les besoins personnels pour prévenir l’épuisement professionnel. 

Les règles pour les relations humaines

Vous avez créé votre entreprise avec peu de personnes. Les relations humaines même si avec un petit nombre de personnes ne sont guère aisées, plus votre entreprise va se développer, plus vous devrez adopter des comportements adéquats.

S’il est nécessaire de consacrer du temps à vos collaborateurs, certaines habitudes peuvent rapidement devenir chronophages et vous faire perdre du temps. Zoom sur quelques méthodes qui peuvent vous permettre de gagner du temps dans vos relations avec les autres.

Apprenez à dire non 

Vous n’avez pas à répondre positivement à chaque demande. Vous pouvez bien entendu rendre service en accomplissant une tâche rapide. Il ne s’agit pas cependant de perdre votre temps sur des activités inutiles que les autres peuvent effectuer sans votre aide. Vous ne devez pas tout accepter et ce n’est pas parce que vous ne dites pas oui à tout que vos collaborateurs vont vous considérer comme un mauvais manager ! Expliquez simplement que vous n’avez pas le temps de le recevoir par exemple à ce moment-là, il comprendra parfaitement que vous ne soyez pas disponible car vous avez d’autres dossiers à traiter mais ajoutez que dès que votre emploi de temps vous le permettra vous reviendrez vers lui.

Apprenez à déléguer  

Les dirigeants ont tendance à avoir des difficultés à déléguer … Si vous voulez pouvoir un minimum sortir la tête de l’eau, il se révèle judicieux de déléguer les tâches qui vous prennent du temps et pour lesquelles vous n’avez pas de valeur ajoutée. Regardez les tâches que vous avez à exécuter et notamment celles que vous maîtrisez le moins ou qui sont trop chronophages. Certains collaborateurs peuvent s’avérer plus compétents que vous et vous pourriez gagner un temps certain. C’est parfois difficile mais apprenez à faire confiance à vos collaborateurs ! Vous pourriez être surpris du résultat.

Soyez attentif 

Ecouter vos interlocuteurs sans penser à autre chose ou lire avec attention un email que vous recevez font partie des habitudes à vous imposer. Une information mal comprise ou un email lu trop vite peuvent vous induire en erreur et vous faire perdre un temps considérable car vous prenez le risque de vous tromper lors de la réalisation d’une tâche. En dehors du temps perdu à mal exécuter cette tâche, vous pourriez en perdre à refaire un dossier ou à rappeler un client. Soyez pleinement attentif à ce que vous faites ! Perdez l’habitude de transférer sans avoir bien lu. Les transferts sont souvent source de nombreux malentendus.

Transmettez vos méthodes à vos collègues 

Avez-vous des techniques efficaces pour gagner du temps ? Tant mieux ! N’oubliez pas que vous évoluez dans une organisation et qu’elles peuvent servir à d’autres personnes mais elles s’avèreront d’autant plus efficaces si vous ne demeurez pas le seul à les appliquer ! Prenez du temps pour expliquer à vos collaborateurs ce qu’ils peuvent faire pour être également plus productifs en leur transmettant vos bonnes pratiques. Il y a fort à parier que vos efforts porteront les fruits espérés. Mais aussi demandez aux collaborateurs qui possèdent une expertise d’aider les autres.

Halte aux collègues sympathiques mais collants 

Certains collaborateurs ont tendance à vous faire perdre du temps, tout le temps. S’il peut être agréable de temps en temps de partager un moment de détente et de connaître ce qu’ils ont fait ce weekend, il n’est guère judicieux de les laisser s’épancher sur tous les sujets d’actualité. Vous ne devez pas non plus perdre du temps à valider leur travail, tâche après tâche. Si votre porte doit rester ouverte et que vous devez demeurer à l’écoute, il est parfois nécessaire d’apprendre à fermer parfois votre porte ou de montrer que vous n’êtes pas forcément disponible à chaque instant. Vous avez également des dossiers à traiter et pouvez indiquer clairement les heures où vous vous rendez disponible pour vos collaborateurs.

Comment inciter à la fidélité ?

Aujourd’hui, bon nombre d’entreprises cherchent, sans cesse, de nouveaux clients. Pourtant, avoir le réflexe simple de fidéliser les clients actuels représente un énorme gain en termes de coût d’acquisitionIl contribue aussi à l’image de l’entreprise qui pourrait faire en sorte qu’ils deviennent de véritables porte-paroles. Zoom sur quelques bases de la fidélisation.

Selon les dernières données, augmenter la fidélité client de seulement 5 % peut augmenter les bénéfices de 25 % à 95 %. Cela coûte au moins 5 fois moins cher de fidéliser les clients actuels que d’en conquérir de nouveaux : publicité en ligne, campagnes publicitaires, rémunération des équipes marketing…

1/ Connaître les motifs des clients

Pour fidéliser votre client, le premier bon réflexe reste de prendre en compte leurs avis. Ils ont une opinion de votre produit/service et ce n’est pas parce que vous êtes le seul producteur d’une solution ou qu’il continue à l’acheter qu’il en est forcément totalement satisfait. Il s’agit de connaître dans un premier temps pourquoi il utilise votre service et pas un autre. Ces critères vous permettront de définir le socle de base de votre offre. Vous avez un avantage qu’il ne faudra jamais perdre.

2/ Prendre en compte l’avis client

Pour bien prendre en compte l’avis client, il s’agit de définir tous les critères qui peuvent agir sur sa satisfaction : comme le délai de livraison, la rapidité du service, le confort à l’utiliser, le prix … Vous devez identifier des axes de progression pour voir où améliorer votre service. Attention, ce n’est pas parce que le client trouve vos délais de livraison convenables par exemple, qu’ils ne peuvent pas être améliorés. Il s’agit de progresser même quand ce n’est pas une demande expresse du client. Prenez tout de même en compte les frais que tout changement peut engendrer. Il ne s’agit pas non plus de forcer l’innovation au-delà de ce que vous pouvez faire économiquement.

3/ … mais pas trop

L’avis client est important mais il faut dire que certaines sociétés le sollicitent trop et finissent par l’agacer. Il ne s’agit pas d’harceler votre client qui a autre chose à faire qu’à passer ses journées à vous répondre. Vous devez le contacter au moment opportun. A défaut, vous pourriez vite arriver à l’effet inverse de celui qui est escompté, à savoir : une désertion de vos clients. N’abusez donc pas !

4/ Les cadeaux ont toujours la côte

Pour fidéliser votre client, rien ne reste plus judicieux que d’offrir un cadeau. La plupart des gens mémorisent très bien l’origine de leur cadeau, ce qui explique pourquoi les cadeaux d’affaires rencontrent toujours un succès. Il s’agit dans l’idéal d’offrir un cadeau utile pour que votre client s’en serve régulièrement et qu’il pense de temps en temps à vous.

5/ Ne pas vous faire oublier

C’est peut-être une évidence mais mettre en place un système de communication avec vos clients s’avère pertinent. Si un client n’utilise pas souvent votre produit ou service, il risque de vous oublier. N’hésitez pas à prendre des nouvelles de temps en temps afin que votre client garde votre nom en tête lorsqu’il a une commande à faire. Vous pouvez le faire à l’aide d’un simple email, d’une newsletter ou encore le rencontrer même quand vous n’avez rien à lui vendre. Votre fichier de prospection doit être régulièrement mis à jour et vous devez vous informer sur les éventuels départs et arrivées dans l’entreprise cliente. A défaut, vous pourriez vite vous retrouver avec un fichier obsolète. Dosez tout de même vos contacts car votre client ne doit jamais se sentir harcelé.

6/ Vous projeter dans le futur

Si vous voulez aller plus loin, vous pouvez vous projeter. Demandez-vous quel serait le service idéal et les moyens que vous devez mettre en place pour atteindre ce résultat. Même si la solution n’existe pas encore, ce sera peut-être à vous de la créer afin d’avoir un avantage concurrentiel unique. Il s’agit de voir comment votre offre peut être améliorée. L’exercice reste assez difficile car si vous ne le faites pas c’est parce qu’en général vous pensez déjà offrir ce qui se fait de mieux sur le marché. La veille concurrentielle vous apportera les informations nécessaires.

7/ Le faire devenir acteur

Certains clients souhaitent véritablement participer à votre succès. Vous pouvez commencer par les informer des actualités de votre entreprise. Vous pouvez aller aussi plus loin notamment en les associant à la conception de votre produit/service. Certains pourraient même devenir des porte-drapeaux de votre marque. De nombreuses entreprises parlent d’ambassadeurs, notamment quand il s’agit de clients qui utilisent très régulièrement votre service.

8/ L’incitation à la fidélisation

Les entreprises utilisent souvent des techniques qui vous incitent à utiliser le service de manière plus régulière, à l’image de certaines compagnies de VTC qui vous offrent des courses à partir d’un certain nombre de voyages effectués. Cette technique toute simple peut inciter un client à vous être fidèle alors qu’il aurait pu tester l’offre de votre voisin.

9/ La réactivité

Effet du monde moderne, les échanges ont énormément augmenté. La rapidité à laquelle vous répondez devient souvent cruciale, notamment dans un monde où en quelques clics, votre client peut avoir l’offre de vos concurrents. Pour que votre client se sente bien traité, vous devez mettre en place des systèmes qui vous permettent de l’informer rapidement. Si vous ne souhaitez pas être dérangé tout le temps ou dans l’attente du moindre contact, vous pouvez mettre en place des systèmes automatiques qui vous permettent de gérer les urgences comme une boîte email spécifique pour vos clients ou des process internes de traitement de la demande.

10/ La proximité / sympathie

Dernier conseil mais pas le moindre, vous pouvez créer une relation de proximité et un lien de sympathie avec vos clients si vous les sentez enclins à vouloir une relation plus proche. Il ne s’agit pas  forcément de devenir leur meilleur ami mais d’avoir un capital sympathie afin qu’ils aient tendance à préférer votre service/produit pour vous. Vous êtes le représentant de votre entreprise alors ne perdez pas de clients en vous limitant au lien financier et donner une image de cupidité qui inciteraient les clients à aller voir vos concurrents.  

Responsabilisation et autonomie !

Le management traditionnel cède peu à peu la place à des approches plus souples et participatives. Parmi elles, la responsabilisation et l’autonomie se sont particulièrement développées. Mais comment encourager la prise d’initiative tout en maintenant un contrôle nécessaire ?

Encourager la prise d’initiative

La responsabilisation commence par la confiance. Pour permettre à chaque collaborateur de prendre des initiatives, il est nécessaire de leur offrir d’abord un cadre clair tout en leur laissant la liberté de proposer et d’agir. Plusieurs techniques permettent de cultiver cet état d’esprit :

  • Fixer des objectifs clairs et atteignables ainsi que reconnaître et valoriser les initiatives comme nous l’avons vu plus haut.
  • Offrir un droit à l’erreur : La peur de l’échec peut inhiber les meilleurs talents. Les managers doivent créer un environnement où les erreurs sont perçues comme des opportunités d’apprentissage. Cela renforce surtout l’audace et l’innovation.
  • Mettre en place des espaces d’échange : Les sessions de brainstorming ou les réunions participatives favorisent l’expression d’idées nouvelles. En impliquant les équipes dans la résolution de problèmes, les managers stimulent leur créativité et leur sentiment d’appartenance.

Déléguer avec méthode …. sans perdre le contrôle

L’autonomie ne signifie pas abandonner les équipes à leur sort, mais plutôt leur permettre de s’organiser tout en restant guidées par une vision commune. Les managers doivent trouver des mécanismes pour accompagner cette autonomie sans céder au micro-management :

  • Adopter un management par objectifs : Plutôt que de dicter les étapes d’un projet, fixer des objectifs clairs et mesurables permet aux collaborateurs de choisir eux-mêmes la meilleure manière d’atteindre leurs résultats. Ce modèle offre une liberté opérationnelle tout en garantissant une cohérence stratégique.
  • Établir des points de contrôle réguliers : Les check-ins hebdomadaires ou mensuels permettent de suivre l’avancement des projets sans empiéter sur la liberté des collaborateurs. Ces moments favorisent également un dialogue constructif et l’identification précoce des obstacles.
  • Former à l’autonomie : Tous les collaborateurs n’ont pas naturellement la capacité ou la confiance nécessaires pour travailler de manière indépendante. Les managers doivent donc accompagner ce développement à travers des formations spécifiques, du mentorat ou des exercices pratiques.
  • Adapter son niveau d’implication : Chaque individu est différent. Certains collaborateurs expérimentés peuvent gérer des projets avec une supervision minimale, tandis que d’autres, moins aguerris, nécessitent un suivi plus soutenu. L’ajustement du management est nécessaire pour ne pas perdre le contrôle tout en offrant un cadre propice à l’autonomie. 

Les bénéfices d’une responsabilisation accrue Favoriser l’autonomie et la prise d’initiative a des retombées significatives, autant pour les collaborateurs que pour l’entreprise. Du côté des équipes, cela renforce leur engagement, leur satisfaction professionnelle et leur sentiment de contribution. Les managers, eux, peuvent se concentrer davantage sur des tâches stratégiques plutôt que sur le contrôle minutieux du quotidien.
Dans un monde où les talents recherchent un management humain et moderne, responsabilisation et autonomie ne sont plus de simples outils : elles sont devenues des impératifs pour attirer, retenir et faire grandir les meilleurs profils. En les adoptant avec méthode, les entreprises s’assurent de conjuguer performance collective et épanouissement individuel.

La carte de vœux, votre outil de communication

Janvier, mois des vœux est à l’approche !  Les moyens de communication loin de vous simplifier la  tâche la complexifie. En effet, les images , les enregistrements, de nombreux modèles sont à votre disposition. Des entreprises spécialisées vous proposent d’y insérer votre logo… Bref, il est temps d’y réfléchir. Quelle que soit votre activité professionnelle, la carte de vœux est une occasion unique pour activer votre réseau, renforcer votre visibilité, votre image de marque et vos liens avec vos clients et prospects. Si celle-ci est envoyée traditionnellement en début d’année, il est courant de le faire même en fin d’année dans certaines cultures afin de souhaiter de bonnes fêtes.

Contrairement aux pays anglo-saxons et au Japon où les cartes s’envoient avant Noël, il est d’usage, en France, de les envoyer plutôt en janvier. 

Les règles essentielles de la carte de vœux

Comme toute action de communication, elle doit respecter quelques règles essentielles. Rituel incontournable et outil de différenciation, elle exprime vos valeurs et votre positionnement. Elle doit être créative, personnalisée et respecter votre image. 

C’est également une attention particulière que vous adressez à une personne ou une entreprise. C’est l’occasion de rappeler l’actualité de votre entreprise, son professionnalisme et savoir-faire.

Le message que vous transmettrez doit respecter un équilibre. Avoir de l’impact, transmettre les valeurs et les points forts de votre entreprise, sans être trop agressif, ni commercial ou décalé.

N’hésitez pas à diffuser largement vos vœux.

A vos clients, bien sûr, pour les remercier et les fidéliser, mais également à vos contacts professionnels, vos prospects, ainsi que vos partenaires et fournisseurs.

Il s’agit d’une occasion unique pour renouer des liens avec les professionnels. Particulièrement ceux que vous avez perdu de vue ou avec qui vous n’avez pas travaillé dans l’année.

E-card ou carte imprimée ?

L’email présente l’avantage d’être rapide, interactif, peu coûteux et respecte plus l’environnement.

En revanche, l’e-card apparaît généralement comme plus impersonnelle. Elle se noie facilement dans la masse ou peut rapidement disparaître au milieu des spams.

La carte imprimée est plus coûteuse mais également plus rare et personnelle.

Même si vous n’écrivez pas vos vœux à la main et que vous utilisez la personnification grâce à des bases de données bien rodées, elle est également généralement plus chronophage.

Cependant, son impact et sa mémorisation sont beaucoup plus importants. Elles montrent généralement l’intérêt que votre entreprise porte à ses interlocuteurs. Ceux-ci sont davantage touchés par votre attention.

Dans la plupart des cas, votre carte restera plusieurs jours sur le bureau, contrairement à l’e-card qui ne capte l’attention que quelques secondes et est très vite détruite, quand elle est vue.

Quel type de carte ?

Vous pouvez investir dans une création sur mesure car plus elle est de qualité, plus elle sera appréciée. Si vous avez un budget plus limité, vous pouvez opter pour une création dans un catalogue d’éditeur ou d’imprimeur.

Veillez tout de même à ce qu’elle soit cohérente avec votre activité et votre image de marque en observant attentivement la carte dans les moins détails. 

Autre option : les cartes de l’Unicef ou de Médecins sans frontières. Bien choisies, elles peuvent être adaptées à certaines activités, par exemple de conseil ou B2B. Elles peuvent également montrer que vous soutenez certaines causes.

Attention à ce qu’elles n’apparaissent pas comme une solution de facilité, ni décalée avec votre image.