Une bonne partie des entreprises font passer des tests d’évaluation au cours d’un recrutement. Utilisés de façon systématique pour évaluer les niveaux de compétences d’une personne, ces tests peuvent être qualifiés de psychométriques.
Dans certains types d’entreprises, la hiérarchie est un concept vieillissant qui ne donne plus des résultats très satisfaisants. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de gérants d’entreprise sortent du statut de chef hiérarchique pour devenir des managers de proximité.
La tâche principale d’un manager est de contribuer au bon fonctionnement de l’entreprise, peu importe les moyens qu’il se donne pour y parvenir. Lorsque le manager est performant, les entrepreneurs lui demandent souvent l’impossible, ce qui peut être aussi votre cas en tant que chef d’entreprise. Pourtant, parfois, il faut savoir dire non et demander à vos collaborateurs de prendre en charge une tâche, pour votre bien, mais également pour le bien de la société.
L'entretien d'évaluation est une rencontrer souvent redoutée par les salariés et un exercice difficile à mener pour les dirigeants les managers. C'est une tâche de réelle diplomatie pour que cet entretien devienne une valeur ajoutée aussi bien pour l'entreprise que pour les salariés. C'est un moment porteur d'espoir pour regarder l'avenir et dresser de nouvelles perspectives. Toute entreprise peut mettre en place un entretien d’évaluation (EAE) pour faire un bilan sur les compétences professionnelles et sur l'activité des salariés. Cette évaluation annuelle est l'occasion de faire le point sur leurs performances, sur la réalisation des objectifs fixés et les attentes sur l'année à venir.
Réussir c’est bien sûr des idées mais c’est aussi des attitudes. L’entrepreneuriat c’est tout autant le fond que la forme. La frontière entre réussite et échec est parfois tenue et le positionnement de l’entrepreneur capital. Quatre attitudes peuvent aider ce dernier à concrétiser ses projets et à surmonter les obstacles. Focus sur ces quatre faces du dé de la réussite.
La crise sanitaire et ses conséquences, la digitalisation, l’intelligence artificielle et les réseaux sociaux imposent aux entreprises de se réinventer mais surtout de penser que rien n'est figé et que tout peut être remis en cause. Et les domaines de la gestion interne et du management n’échappent pas à la règle. Aujourd’hui, pour casser les codes, il faut aussi faire de sa boîte un lieu où les choses se passent différemment qu’ailleurs et qu’autrefois pour les employés.
La nouvelle génération appelée aussi les millennials ou génération Y est perçue comme une génération dont les habitudes tranchent avec les générations précédentes. Leurs différences de comportement et de conception s’affichent dans tous les domaines et entre autres dans le domaine du marketing et du recrutement.
Jeune ou adulte, femme ou homme, tout le monde est aujourd’hui présent sur les réseaux sociaux, et les salariés des entreprises n’y font pas exception. Certains managers vivent mal le fait que les salariés utilisent ces plateformes, de peur qu’ils divulguent des informations délicates sur l’entreprise.
Plus d’un dirigeant s’est trouvé confronté à l’insuffisance professionnelle de salariés et ils sont souvent à leur grand dam contraints d’intervenir afin de ne pas avoir un salarié qui non seulement n’est pas productif mais parfois distille un mauvais esprit dans les équipes. En cas d’une non-atteinte des objectifs d’un salarié par rapport à son contrat de travail, le manager peut entamer une procédure de licenciement. Mais il faut être vigilant, seul le manque de résultat causé par une carence ou des négligences du salarié est passible de licenciement. En cas de procès, les juges vous demanderont sûrement les réels fondements du licenciement.
Dans les statistiques, il apparaît évident que l’intégration d’un collaborateur dans les premiers jours de son embauche et même le premier jour sont des facteurs clefs pour qu’il reste au sein de l’entreprise. La recherche et l’intégration d’un nouveau collaborateur ont un coût qui pèse sur la trésorerie de l’entreprise, sur le temps des collaborateurs qui s’y consacrent et sur la notoriété de l’entreprise. Or, actuellement les démissions en période d’essai se situent autour de 20%. Il est donc fondamental de réussir l’entrée du nouveau collaborateur.