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Les tendances e-business de l’année 2015

Depuis toujours, l’e-business n’a cessé d’être innovant. Pour cette nouvelle année 2015, il promet encore de nouvelles surprises et devrait toucher tous les secteurs. Par ailleurs, les tendances de 2014 de l’e-commerce confirment une croissance et une arrivée à maturité.

La livraison 2.0

Il est vrai que l’achat en ligne est souvent synonyme de bonne affaire. Quoi qu’il en soit, les internautes souhaitent aujourd’hui une livraison rapide et il semble difficile de faire attendre trois semaines un client pour qu’ils reçoivent sa livraison. L’expérience client est capitale dans ce domaine et les temps de livraison se réduisent.

Le shopping social

Il est question ici de rester dans le cœur et l’esprit du consommateur. Le marketing de contenu s’est développant et de nombreuses petites histoires sur les produits sont apparues et diffusées sur les réseaux sociaux. Invitez vos clients et fans à partager vos animations sur les réseaux sociaux et interagissez au maximum avec eux.

Le Big data

Aujourd’hui, la tendance penche plutôt vers la personnalisation de l’offre. Ainsi, une analyse pertinente des données vous permet de mieux comprendre mes modes de consommation et les nouveaux usages. Le Big Data représente ainsi un enjeu pour les entreprises qui souhaitent analyser au mieux le comportement des consommateurs ainsi que leurs attentes présentes et futures.

Le multi-device

Selon IBM, près de 32 % du trafic e-commerce se fait sur des tablettes. Les marques songent actuellement à créer des expériences utilisateurs plus spécifiques. Près de 49 % des consommateurs estiment que chaque canal de promotion (que ce soit par mobile, en magasin, sur ordinateur) doit posséder sa propre utilisation et pourrait être renforcée afin de créer une expérience utilisateur optimisée.

Le multicanal et O2O

Signifiant Online to Off-line, ces sont des stratégies qui permettent de trouver des clients sur la toile et de les diriger vers des boutiques physiques. Le but reste d’éviter que les boutiques physiques ne deviennent que de simples showrooms et de favoriser l’achat en magasin. Il peut se faire notamment par le biais de bons de réductions.

Le paiement mobile

Le paiement via mobile s’est désormais développé et offre plus de sécurité. Ainsi vous pouvez avoir l’obligation d’utiliser un code confidentiel pour effectuer vos achats. La plateforme de vente Price Minister dispose déjà d’une nouvelle application dédiée au paiement par mobile. Les nouvelles technologies liées à internet influent fortement sur les pratiques d’achat. Pour rester dans la course, mettez-vous à la page ! Vous pourrez ainsi élargir votre clientèle, que ce soit en France ou à l’international.

Les voyageurs d’affaire coûtent cher aux entreprises françaises

Dans le but de mener à bien leurs activités, les entreprises françaises doivent prévoir un budget alloué aux voyages d’affaires. Ce poste demande une allocation beaucoup plus importante en France pour les raisons suivantes, notamment en raison des frais de communication, du coût élevé des hôtels et des frais de transport.

Les frais de communication par wifi

Le wifi fait débloquer chaque année 232 millions d’euros aux entreprises françaises. Le travailleur en déplacement de service doit rester en communication permanente avec son chef hiérarchique. Pour chaque déplacement, la communication revient à une moyenne de 22,10 euros. A l’hôtel et à l’aéroport, le travailleur en mission dépense 22 euros pour les communications à cause des tarifs exorbitants pratiqués dans ces lieux. Cette hausse de la facture des communications par wifi est souvent due à la lenteur de la connexion et sa fiabilité.

Le coût hôtelier

Le logement pour passer la nuit et pour y effectuer des travaux relatifs à la mission revient cher aux entreprises de l’hexagone. Les prix des hôtels varient, mais pour un hôtel bien équipé, il vous faudra payer bien plus cher. Les deux dernières années, les tarifs hôteliers ont augmenté en France pour atteindre jusqu’à 139 euros pour une nuit. Et cette tendance à l’augmentation va continuer.

Le fardeau des moyens de transport

Tous les déplacements effectués par le travailleur en mission sont à la charge de l’entreprise. Les frais de déplacements professionnels représentent pour les entreprises françaises une part du budget variant de 0,8 à 1,8% du budget global.

Les frais des voyages d’affaires sont très importants pour les entreprises françaises et, pour les TPE et les PME, une étude soigneusement réalisée en amont afin de déterminer si cela vaut le coup d’envoyer un collaborateurs en voyages est nécessaire, afin d’éviter la faillite.

Acheter ses locaux : bonne ou une mauvaise idée ?

Pour un dirigeant, il est toujours difficile de prendre une décision quand il s’agit de faire une acquisition d’un bien immobilier et notamment ses locaux. Acheter un local est-il la meilleure solution pour votre entreprise ? Ou est-ce vaut-il mieux continuer à le louer ? Voici quelques explications pour faciliter votre prise de décision.

Achat / Location une décision qui dépend du stade de l’entreprise

Louer ses locaux peut être un moyen de pouvoir en changer rapidement notamment lorsque l’équipe peut s’agrandir rapidement. Cette solution reste, en général, conseillée pour les entreprises jeunes qui ont besoin de souplesse afin de se développer dans les meilleures conditions. De l’autre côté, le fait d’acheter peut être une opportunité pour chaque entreprise de réduire sur le temps ses couts de structures (acheter revenant sur le temps souvent moins cher que de louer). Elle est particulièrement utilisée par les entreprises ayant déjà atteint une certaine taille et maturité et dont le nombre de salariés évoluera peu.

Acheter ses locaux en gage de stabilité professionnelle

Le fait d’acheter ses locaux traduit souvent la volonté du chef d’entreprise de rester dans un endroit précis et représente un gage de stabilité pour les salariés. Dans le cas d’une entreprise qui change de local très souvent, les salariés peuvent avoir tendance à vouloir quitter le navire car l’emplacement de l’entreprise ne correspond plus à leurs attentes tant en termes de temps de transport que de qualité de l’environnement. De plus, le changement de lieu touche leur organisation que ce soit personnelle ou dans leur travail quotidien. Il sera donc nécessaire de prendre en compte ses impacts notamment en cas de changements fréquents.

Des possibilités de modulation accrue

Acheter ses locaux permet également de les transformer à sa guise sans avoir nécessairement le besoin de demander l’accord au bailleur qui pourrait refuser une transformation de ses locaux qu’il juge inopportune. Vous pourrez ainsi adapter vos locaux à votre activité et améliorer le cadre de vie de manière sensible pour vos salariés en créant qui sait, comme Google, un toboggan pour se rendre à la cafétéria.

Dirigeant ou entreprise : qui réalisera l’achat ?

L’achat peut se faire soit par le dirigeant lui-même, soit par l’entreprise. Le local dans ce deuxième cas sera considéré comme un actif professionnel. Cette solution permet à l’entreprise d’accroitre sa valeur quel que soit son résultat. L’acquisition d’un bien par l’entreprise donne également une meilleure image aux banques qui peuvent se garantir sur celui-ci. Mais l’achat par l’un ou plusieurs des dirigeants est également envisageable. Il peut alors mettre le bien en location pour l’entreprise et s’il le souhaite suspendre les paiements en cas de difficulté de trésorerie. De manière assez bizarre mais compréhensible, l’acquisition d’un premier local permet aussi parfois de pouvoir en acquérir un deuxième grâce à la garantie que constitue le premier…

Entre achat et location, à vous de choisir mais n’oublier pas de prendre en compte que votre équipe pourrait en être affectée.

7 pistes à exploiter pour 2015 et 2016

Il est vrai qu’en France, on dirait que tout est là, tout a été fait. En allant voir ailleurs, on peut s’apercevoir qu’il existe de nombreux business qui pourraient bien être dupliqués dans le pays. Partir de rien et développer son entreprise reste tout à fait possible. Mais si innover s’avère être un bon moyen pour connaitre le succès, il faut tout de même prendre en compte que c’est dans la réalisation que vous ferez votre différence. Voici donc quelques pistes à exploiter pour 2015 et 2016.

RENDEZ SERVICE

Dans ce petit exercice, vous devez identifier ce que les gens attendant comme service et vous occuper d’eux. Cherchez ce qui pourrait améliorer leur quotidien et les rendre heureux. Vous pouvez par exemple mettre à disposition une voiture pour une durée courte, comme le fait Zipcar aux États-Unis.

PROPOSER DES SOINS… À MOINDRE COÛT

Le secteur santé est l’un de ceux qui devraient connaitre la plus forte croissance. L’augmentation des factures concernant les soins devrait devenir une problématique pour de nombreuses personnes. Comme le fait l’agence de voyages Planet Hospital, vous pouvez ainsi réfléchir à proposer des packs de soins à prix réduit qui s’effectuerait dans des pays en développement. Pourquoi ne pas créer une boutique santé à tous les coins de rue ? Santé publique et produits bio feront bon ménage.

AIDEZ LES PERSONNES ÂGÉES

De la même manière, le nombre de retraités et de personnes âgées augmente chaque jour. Aidez-les à utiliser leurs économies et le temps qui leur restent à vivre en améliorant leur quotidien.

DÉVELOPPER LA RESTAURATION RAPIDE… DE QUALITÉ

Bien manger constitue aussi l’une des principales préoccupations des gens mais voilà ils manquent de temps. Pourquoi ne pas mettre sur pied une enseigne de restauration rapide avec des produits naturels et de qualité ? Jamba Juice, une franchise américaine propose ainsi des mets équilibrés.

PENSEZ À L’ÉCOLOGIE

Tout ce qui concerne la consommation d’énergie et éviter les dépenses inutiles, le recyclage et la lutte contre la pollution sont à exploiter. Le secteur automobile a ainsi vu l’apparition de la voiture électrique ou à hydrogène. Les produits cosmétiques bios, la nourriture saine et les matériaux de construction sains sont autant de pistes à exploiter.

DÉVELOPPEZ LE TRANSPORT

Le transport reste un secteur porteur. Chauffeur de véhicule de tourisme, cycliste ou encore à la tête d’un rickshaw, à Paris, le marché demeure ouvert même si tirer son épingle du jeu, vous demandera une grande inventivité.

N’OUBLIEZ PAS LE COMMERCE EN LIGNE

Le commerce en ligne (même s’il ne s’agit pas d’un secteur à proprement parlé) s’est développé à très grande vitesse et représente un incontournable pour l’économie. Pensez aux idées qui pourraient aider le marché global à se développer.

Ces femmes qui sont à la tête des grandes entreprises

Si les femmes ont longtemps été considérées comme étant un maillon faible dans le domaine économique, il est indéniable aujourd’hui que l’on assiste à un revirement de la situation. Plusieurs femmes sont actuellement à la tête de grandes entreprises. Voici une liste des quelques unes d’entre elles.

VÉRONIQUE LAURY

Cette PDG de l’entreprise de bricolage Kingfisher dirige actuellement 80 000 salariés. C’est grâce à ses efforts et sa détermination que Véronique Laury a été nommée à son poste. Même en ce moment, elle ne cesse de faire parler d’elle. Le chiffre d’affaires de sa boite est aujourd’hui estimé à 10 milliards d’euros.

MARILLYN HEWSON

Marillyn Hewson a passé toute sa carrière au sein du groupe Lockheed Martin. Actuellement PDG du groupe, cette femme de 59 ans consacre toute son énergie dans sa tâche. Cela fait maintenant 1 an qu’elle dirige ce groupe de défense américain, et on peut dire qu’elle le dirige bien.

MARY BARRA

Mary Barra a toujours su faire de professionnalisme dans son travail. Son effort durant ses années de loyauté envers l’entreprise a porté ses fruits. Effectivement, si elle était avant la vice-présidente de General Motors, elle est aujourd’hui à sa tête.

VIRGINIA ROMETTY

Virginia Rometty était auparavant la vice-présidente en vente du groupe IBM et responsable en marketing dans le secteur Global Service de la société. Cette femme de 56 ans est actuellement en tête du groupe en question depuis le début de l’année 2012. Consciente des charges de travail auxquelles elle est soumise, Virginia Rometty fait preuve d’une grande responsabilité dans son travail.

ANGELA BRALY

Angela Braly fait partie des personnes les plus puissantes dans son domaine. Ayant un fort caractère est un sens aigu des détails, cette femme a toujours su faire preuve de professionnalisme. Dirigeant le groupe Wellpoint depuis 2007, cette femme a un bel avenir devant elle. La valeur de son entreprise est actuellement estimée à 61 milliards de dollars.

LYNN ELESNAHNS

Lynn Elesnahns a consacré 28 ans de sa carrière dans le groupe Royal Dutch Shell. Tout au long de ses 28 années, elle a su garder ses principes malgré la masculinité de son secteur. Actuellement, cette femme de caractère est à la tête de l’entreprise pétrolière Sunoco.

INDRA NOOYI

Même si Indra Nooyi était une femme discrète, elle a toujours fait preuve d’habilité tout au long de sa carrière en tant que directrice financière du groupe Pepsico. Si sa désignation en tant que PDG du groupe en 2006 fut une surprise, il est évident qu’elle mérite le poste qu’on lui a attribué.

IRENE ROSENFELD

Depuis sa nomination en tant que PDG du Kraft Foods en 2006, Irene Rosenfeld ne cesse de faire parler d’elle. Elle est à l’origine du redressement de plusieurs marques de la société. Le chiffre d’affaires du groupe est actuellement estimé à 42,20 milliards de dollars.

Toutes ces femmes font partie des plus grands dirigeants dans le monde. Elles sont la preuve vivante que femme et dirigeante d’entreprise peut évidemment aller de pair, en dépit des statistiques qui montrent malheureusement encore un taux de représentativité trop bas des femmes dans les conseils d’administration des grands groupes.

Les grands défis des opérateurs téléphoniques pour les pros

Afin de répondre au mieux aux besoins des professionnels, de nombreux opérateurs mobiles ont choisi de proposer des offres à des prix de plus en plus compétitifs avec une multitude de services. Quels sont-ils ?

UNE VÉRITABLE ÉVOLUTION DES SERVICES

Il y a 10 ans de cela, le prix des forfaits téléphoniques frôlait souvent les 40 à 70 euros pour quelques heures d’appels et des SMS illimités. Face à l’ouverture du marché des télécoms, beaucoup d’opérateurs ont dû revoir leurs stratégies de communication mais également l’ensemble de leurs offres. Plus exactement, ces derniers proposaient des offres pour les particuliers et les grandes entreprises mais très peu de services dédiés aux TPE et PME. L’arrivée de Free sur le marché des opérateurs téléphoniques a réellement révolutionné le secteur de la télécommunication en proposant un service téléphonique complet à prix réduit pour tous les particuliers et de fait, une véritable opportunité pour les professionnels.

VERS UNE GAMME DE PLUS EN PLUS COMPLÈTE…

Une multitude d’offres complètes ont vu le jour. Là où, autrefois, on ne proposait aux PME que des forfaits pour particuliers, ces derniers peuvent aujourd’hui bénéficier d’offres adaptées à leurs besoins. Ces dernières peuvent comprendre le téléphone, la fibre internet, le mini standard téléphonique ainsi que la téléphonie mobile dans certains cas. Les tarifs ont également beaucoup évolué puisqu’on assiste désormais à des baisses importantes de coûts sur ce marché. Enfin, les opérateurs téléphoniques comme Bouygues Telecom Entreprise ont mis en place des boutiques et des lignes dédiées aux TPE et PME afin de répondre au mieux à leurs attentes et gagner ainsi des parts de marché.

DES OFFRES POUR TOUJOURS PLUS DE SERVICES

Reprenons l’exemple de Bouygues Telecom Entreprise. La box entreprise proposée par ce fournisseur de service vous permet de réduire le nombre de contrats que vous avez au sein de votre entreprise et de maîtriser votre budget plus facilement grâce à un forfait unique qui comprend internet et le téléphone. Vous avez accès avec cette offre à un mini standard téléphonique qui peut inclure jusqu’à 10 postes, des appels illimités vers les fixes et mobiles ainsi qu’une connexion internet haut débit en wifi. De plus, des licences d’office 365 vous seront proposées avec ce forfait, dans la limite d’utilisation de 3 licences simultanément. Un vrai kit de démarrage pour les TPE et PME qui désirent se lancer dans l’aventure !

Publicité en ligne : communiquer sans Google Adwords, est-ce possible ?

Se priver de Google Adwords pourrait presque relever de l’hérésie pour de nombreux décideurs et spécialistes en communication digitale : la régie publicitaire la plus connue du monde est tellement omniprésente qu’elle semble totalement incontournable. Et pourtant des solutions existent pour gagner en visibilité, générer des clics et des conversions sans passer par Adwords.

Twitter et Facebook : deux régies puissantes et fonctionnelles

Facebook génère une audience impressionnante dans l’hexagone : 28 millions de visiteurs unique chaque mois selon Benjamin Lequertier, directeur marketing France. 3,3 millions de ces visiteurs sont des CSP+, ce qui fait de Facebook le premier média français sur le segment des classes les plus aisées. Facebook for Business propose des solutions publicitaires efficaces avec des options de ciblage performantes incluant le retargeting, des approches adaptées à différents objectifs et une mesure fine des conversions.

Twitter Ads mise pour sa part sur son interactivité et sa dimension conversationnelle. La régie publicitaire du célèbre réseau de micro-blogging permet de s’immiscer dans les discussions de son audience aux moments-clés. Vous pouvez communiquer lors d’un événement sportif ou d’une manifestation culturelle, d’un congrès ou d’un salon, durant une émission télévisée…

City Guides et moteurs de recherche guidés

Si les annuaires ont quasiment perdu tout intérêt dans une stratégie de référencement ou de visibilité en ligne, d’autres sites ont su tirer leur épingle du jeu en offrant des cadres de recherche plus fonctionnels et interactifs. Les city guides et portails de recherche guidée ont su séduire un large public grâce à leurs critères fins de recherche et leurs informations normalisées. Que ce soit pour trouver un appartement, un prestataire ou un commerce de proximité, ils offrent aux internautes une sélection de résultats présentés tous sous le même format, et enrichis par les retours d’expérience de la communauté.

Le plus souvent, les professionnels peuvent s’inscrire gratuitement et souscrire s’ils le désirent à des formules payantes afin de gagner en visibilité. Un portail de recherche guidée comme SeFaireAider.com recense ainsi plus de 600 000 professionnels dans 300 métiers, tandis que Cityvox.fr s’est imposé comme le guide urbain incontournable, autant pour préparer ses sorties que pour découvrir ou retrouver des enseignes de sa ville. L’inscription est généralement gratuite et les premières solutions de visibilité débutent à quelques euros par mois : le retour sur investissement est généralement acquis
!

Des régies publicitaires toujours plus agiles et compétitives

Les régies publicitaires n’ont d’autre choix que de s’adapter et innover pour faire face au rouleau compresseur déployé par Google Adwords. La facturation au résultat (CPC ou CPA) côtoie ou supplée de plus en plus souvent la facturation à l’affichage ou au forfait, et les prix sont fixés dynamiquement par le principe du Real Time Bidding (ou enchères en temps réel). Le ciblage s’affine avec par exemple le développement du retargeting, qui consiste à exploiter l’historique de navigation et les comportements passés des internautes pour personnaliser encore plus le message publicitaire.

Des régies de niche apparaissent pour répondre à des besoins spécifiques. Digiperf accompagne ses clients pour qu’ils utilisent l’affiliation comme un canal de communication et de vente. Criteo a développé des solutions logicielles pour permettre aux annonceurs d’améliorer la performance de leurs actions de communication, en personnalisant et optimisant le ciblage et le contenu dans le cadre de publicités ou de campagnes d’emailing.

BING : et si Microsoft réinventait Adwords ?

La recherche en ligne n’est pas (tout à fait) synonyme de Google. Bing et Yahoo se sont associés pour proposer une régie publicitaire de qualité, qui n’a rien à envier en termes d’ergonomie ou de fonctionnalités. Si les volumes de recherche couverts par Bing Ads sont faibles par rapport aux requêtes réalisées chaque mois sur Google, la régie de Microsoft pourrait bien offrir une alternative intéressante à Adwords pour des budgets modestes, de quelques centaines à quelques milliers d’euros par mois.

La détermination du coût du clic repose ici aussi sur le principe des enchères en temps réel : la pression concurrentielle moindre pourrait vous réserver de bonnes surprise et vous assurer un retour sur investissement plus intéressant que sur Adwords !

Quand Amazon vient concurrencer les campagnes shopping de Google

Amazon s’est taillé la part du lion sur le marché du e-commerce. Si sa place de marché attire de nombreux vendeurs, ses solutions publicitaires plus traditionnelles séduisent un nombre croissant d’e-commerçants. Les Offres d’Annonceurs se positionnent en concurrent direct des campagnes Shopping d’Adwords, avec des annonces intégrées aux pages produits, aux résultats de recherche ou aux boîtes d’achats, un renvoi vers le site e-commerce de l’annonceur (au lieu d’une place sur Amazon) et un paiement au CPC en RTB.

Il y a un avenir à côté d’Adwords

Adwords ne doit pas représenter l’alpha et l’omega de votre communication en ligne. En utilisant les différents leviers à votre disposition, en coordonnant vos actions et en tirant parti de toutes les synergies à votre disposition, vous pouvez réduire considérablement la part de Google Adwords dans votre budget publicitaire en ligne. En analysant le retour sur investissement de différents médias, vous pourriez découvrir de nouveaux canaux plus performants qu’Adwords sur certains objectifs ou pour des cibles bien définies.

Renseignez-vous, suivez l’actualité, échangez avec d’autres chefs d’entreprises : des solutions existent pour vous accompagner dans votre développement et dans la digitalisation de votre communication.

Des « French Tech Hubs » dans les grandes métropoles mondiales ?

Pendant la soirée de présentation des vœux aux acteurs du numérique fin janvier, le gouvernement a annoncé la stratégie qui lui permettra de lancer la « French Tech Hubs » sur le marché mondial. 

Selon Emmanuel Macron et Axelle Lemaire, cette année est l’année de l’accélération du French Tech à l’international. L’annonce a été proclamée devant des invités de marque et des représentants des neufs territoires labellisés, dont Lille, Grenoble, Lyon, Montpellier, Bordeaux, Aix-Marseille, Nantes, Rennes et Toulouse. 

Une ouverture vers l’international

Suite au lancement de la labellisation des métropoles French Tech l’année dernière, le gouvernement choisit d’aider les start-ups à se développer sur le marché international. Le but est d’attirer l’attention des investisseurs, les entrepreneurs ainsi que les talents vers les entreprises du pays. 

Londres, Singapour ou Tel-Aviv recevront ainsi les labels « French Tech Hubs », au même titre que les régions internationales propices à l’innovation comme Londres, Sao Paolo, Singapour ou Tel-Aviv. Les entreprises recevront une labellisation par l’État s’ils répondent aux critères imposés. 

L’État ne les financera pas, mais le ministre les encourage à prendre le maximum de risques pour réussir. Le principal objectif est de provoquer la mobilisation collective, mais surtout de rassembler les acteurs publics comme Business France, les chambres de commerce, les collectivités ainsi que les consulats, les start-ups et les différents investisseurs. 

La plateforme d’attractivité internationale 

Les deux ministres ont également proclamé le lancement de la plateforme d’attractivité internationale de la French Tech. Le programme sera financé par un budget de 15 millions d’euros. Les opérations seront réalisées par Business France. L’organisme sera d’ailleurs présent dans les différents festivals et salons à l’international, à l’image du CES de Las Vegas, pour effectuer la promotion du label. Cela permet d’augmenter la notoriété et la visibilité des entreprises françaises, mais également de les encourager à progresser. 

Business France fera appel aux acteurs privés ainsi qu’aux entrepreneurs afin qu’ils présentent des actions objectives, pour aider à faire progresser cet écosystème français de façon collective.

Zoom sur les outils collaboratifs

Même si les logiciels d’exploitation ont apporté une révolution aux systèmes informatiques professionnels, actuellement l’ère des outils informatiques intelligents, agiles et humains les dépasse. Voici un zoom sur les outils collaboratifs.

DES OUTILS TRÈS PRATIQUES

Les outils collaboratifs font partie des éléments technologiques les plus utilisés aussi bien dans le domaine professionnel que personnel. Simple à utiliser, ce genre d’outil est présent partout, que ce soit sur le web ou sous forme d’application dans les Smartphones.

Si auparavant, il fallait divers logiciels pour pouvoir effectuer une seule tâche, avec l’arrivée des outils collaboratifs il est désormais possible de travailler sur un seul outil. L’interface et le contrôle d’un outil collaboratif s’adaptent en fonction de son utilisateur, qui peut ainsi maîtriser ce type d’outil selon ses envies.

Les outils collaboratifs ont été spécialement conçus afin d’être simples à utiliser. Effectivement, ses interfaces ne sont pas lourdes et nul besoin de formations pour maîtriser son mode de fonctionnement. Sur le web, avec l’aide des certains outils, il est possible de faire des partages ou des modifications de fichiers à tout moment.

DES TECHNOLOGIES HAUTEMENT PERFORMANTES

Les outils collaboratifs permettent d’améliorer les moyens de communication au sein d’une entreprise. Que cela constitue une communication virtuelle ou réelle, ce type d’outil permet d’affiner les échanges dans une entreprise.

Avec un outil collaboratif, la tâche se fait plus efficacement et avec une bonne précision. Ce type d’outil conquiert de plus en plus de grandes entreprises. Permettant d’augmenter la productivité et la performance en même temps, les outils collaboratifs semblent être une solution intéressante dans le domaine professionnel.

LES OUTILS COLLABORATIFS : QUELQUES EXEMPLES

Chaque outil collaboratif a sa propre fonctionnalité. Certains facilitent l’organisation de vidéoconférence comme Cliqmeet par exemple. D’autres ont été conçus afin de pouvoir continuer le travail même en étant en déplacement comme Viewchat. Parmi les outils collaboratifs les plus utilisés, Sellsy permet de faire un suivi en ligne de la relation avec la clientèle ainsi que la gestion des ventes. Huddle est également un outil collaboratif très employé. Permettant de faire un partage en toute sécurité des documents aux membres de votre équipe, ce type d’outil collaboratif simplifie votre tâche.

LES OUTILS DE DEMAIN

Les outils collaboratifs deviennent de plus en plus fonctionnels avec le temps. Ils fonctionnent de manière de plus en plus sophistiquée, tout en conservant une simplicité dans le mode de manipulation. Avec un seul outil collaboratif, il est possible de faire plusieurs choses en même temps. Ces outils sont bien souvent disponibles sur les téléphones portables, tablettes ou autres appareils informatiques mobiles. Il existe également d’autres modèles à installer dans les ordinateurs pour les rendre plus performants.

Plus le temps passe, plus les outils collaboratifs semblent devenir des outils indispensables au sein d’une entreprise.

Le roi du covoiturage

À 24 ans, Victor Clément a la tête sur les épaules. Ce jeune créateur a lancé le concept Wetruck directement à sa sortie d’école de commerce. Aujourd’hui concentré à temps plein sur le projet, il entend développer sa plateforme qui met en relation particuliers et professionnels du transport pour du covoiturage… en camion ! Parcours. 

C’est lors de son passage étudiant à l’école de commerce Neoma que Victor découvre les joies de la création d’entreprise. « À l’époque, nous avons pu assister à plusieurs séminaires de créativité, ainsi qu’à des conférences avec des entrepreneurs et des personnes qui ont participé à des projets innovants », précise le jeune homme. « Dans ce cadre, j’ai découvert le milieu de la création d’entreprise. Comme je n’étais pas vraiment déterminé sur ce que je souhaitais faire après les études et que j’avais certains amis qui se posaient la question de l’entrepreneuriat, l’idée a progressivement germé en moi. » 

D’UNE EXPÉRIENCE PERSONNELLE…

L’aventure Wetruck a débuté suite à une expérience personnelle. Victor est alors dans les Châteaux de la Loire, et cherche à rejoindre la Bourgogne pour y retrouver sa grand-mère. Sans voiture, le jeune homme a deux alternatives : le train, qui lui propose un trajet long et coûteux, et covoiturage.fr, qui ne proposait à l’époque qu’un trajet tous les deux jours, très tôt le matin.
Victor choisit cette dernière solution. « Je me suis rendu compte que l’on pouvait observer de nombreux camions en file indienne sur la route. Ils partaient de mon point de départ et s’arrêtaient à l’entrepôt juste à côté de mon point d’arrivée… », explique-t-il. 

Victor subit à nouveau ce genre de mésaventures et se rend progressivement compte qu’il existe de nombreuses zones en France où les gens demeurent isolés, sans alternative pour se déplacer… Il identifie également le fait que les transporteurs routiers voyagent bien souvent seuls, et qu’il reste des sièges disponibles dans chaque camion. Le jeune homme y voit une opportunité business.
L’entrepreneur se met en tête de mettre en relation ce petit monde pour proposer un mode de covoiturage alternatif. L’idée de Wetruck est née. « J’ai travaillé sur le projet pendant mon alternance. J’ai présenté le concept lors de plusieurs événements dont le Start-up week-end de Rouen en 2013 et j’ai tout de suite vu que Wetruck avait un franc succès auprès des jurys », précise le créateur. 

UN TRAVAIL SUR LE TERRAIN

Depuis cet été, date à laquelle il a terminé ses études, Victor s’est lancé à temps plein sur le projet. Et il ne ménage pas ses efforts pour réussir. « Pour développer un service de mobilité, il faut comprendre dans le détail quels sont les métiers du transport », explique-t-il. Victor crée donc un contact proche avec des transporteurs, des responsables d’exploitation, des professionnels du secteur, le tout afin de prendre réellement conscience de leur métier au quotidien. « Il fallait que je sache si mon idée allait constituer pour eux une contrainte ou un avantage. Je devais identifier précisément le besoin pour tenter d’y répondre au plus près », s’enthousiasme Victor. 

SURFER SUR LA SHARING ECONOMY

Avec ce projet, le jeune homme surfe clairement sur la vague de l’économie du partage, celle qui a vu les BlaBlaCar et autre AirBnB devenir les réussites que l’on connaît. Mais sur un marché de plus en plus concurrentiel, Victor n’a pas peur de se lancer. Il y voit plutôt une opportunité. « Cette concurrence ne me fait pas peur, au contraire, il s‘agit d’un mouvement enthousiasmant. Grâce au web 2.0 et au processus d’intermédiation, il existe plein de possibilités au niveau de l’entrepreneuriat. Il y a des opportunités de création, même dans l’associatif. Cela ouvre le champ des possibles ! »

Ce qui plaît avant tout à Victor dans ce projet, c’est de placer l’humain au centre, et de développer une entreprise à vocation sociétale. Wetruck devient ainsi une alternative à la voiture dans les zones de banlieues, les zones rurales ou les zones frontalières, qui demeurent encore aujourd’hui assez mal desservies, enclavées. 

Si aujourd’hui, l’entrepreneur se lance seulement dans une phase de bêta test, dans le but de tester la plateforme et la faisabilité du projet, l’objectif à moyen terme reste d’ouvrir une version grand public du site web.
Et de se poser en véritable plateforme complémentaire au covoiturage traditionnel. Affaire à suivre…

TROIS QUESTIONS À… VICTOR CLÉMENT

Que représente l’entrepreneuriat pour vous ?

Entreprendre est à la fois synonyme de liberté, mais cela représente également pour moi une véritable quête de sens et d’épanouissement. Aujourd’hui, je travaille sur des problématiques aussi variées que le juridique, l’assuranciel, la gestion des risques… Je parle avec une grande diversité d’acteurs (transporteurs, élus locaux) et je touche à de nombreux sujets. Il s’agit d’une expérience très enrichissante et c’est d’ailleurs ce qui fait le charme de tous les projets entrepreneuriaux, c’est très stimulant intellectuellement. Je ne suis pas dans l’exécution des tâches, mais je construis un projet sociétal sur le long terme, et je trouve ça génial ! 

Quel type de (jeune) manager êtes-vous ? 

À l’heure actuelle, je travaille en collaboration avec un développeur à temps partiel, un prestataire informatique et deux stagiaires. Avec ma jeune expérience, je me rends compte que cela reste primordial de recruter des personnes autonomes et proactives. Au début d’une aventure entrepreneuriale, le temps est compté. Il faut donc trouver des gens sincèrement motivés, qui veulent s’investir dans le projet et le voir éclore. Le management doit donc être le plus léger possible, afin de laisser aux personnes la possibilité d’être force de proposition et d’agir de manière autonome. 

Quels conseils donneriez-vous à vos confrères entrepreneur(e)s ?

Je dirai qu’il ne faut pas hésiter à rencontrer les acteurs de son marché. Pour ma part, le fait d’être en école de commerce m’a permis de prendre part à de nombreux événements networking. J’ai par exemple pu participer à un « start-up week-end » où j’ai rencontré les acteurs de l’innovation. J’y ai même gagné un prix ! En Ile-de-France particulièrement, les entrepreneurs ont la chance d’avoir accès à un large choix d’événements professionnels. Il est important d’y entrer pour se former et rencontrer soit des partenaires, soit des associés.