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Calculer le chiffre d’affaires prévisionnel : un casse-tête ?

Calculer le chiffre d’affaires prévisionnel demande d’avoir une méthode et une expertise et donc d’acquérir un savoir-faire afin d’anticiper toutes les situations. Prévisionnel n’est guère un adjectif neutre car il engage l’avenir d’une entreprise.

Certains entrepreneurs gèrent de manière optimiste sans vraiment prévoir l’avenir de l’entreprise de manière rigoureuse. Mais, comme Sénèque le disait : « Il n’est pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va ». C’est la raison pour laquelle il est conseillé d’essayer de se fixer des objectifs, et de les partager. L’ennemi redoutable de l’entrepreneur c’est le flou qui ne peut le conduire qu’à une impasse.

Il semble nécessaire d’essayer de prévoir, de fixer les contours souhaités pour l’avenir, car des objectifs fixés, dépendent une série de choix, de moyens à mettre en œuvre pour tenter de les atteindre. Pour un créateur, le chiffre d’affaires prévisionnel est lié à son étude de marché. Pour l’entrepreneur, il est lié à de multiples facteurs, d’où sa complexité ; d’autant qu’il lui fonde l’établissement des comptes prévisionnels.

De la justesse de cette analyse pourront dépendre l’accord de partenaires, la confiance des fournisseurs ou financiers, etc. à partir de la connaissance de votre marché et des prix de vos produits ou services, des taux de remises usuels faits aux clients, de vos concurrents, vous devrez définir un objectif de chiffres d’affaires à atteindre qui soit réalisable, avant d’estimer les charges de l’entreprise nécessaires à sa réalisation. C’est dans ce sens qu’il faut partir, et non en se basant sur le bénéfice que vous souhaitez réaliser, pour déterminer votre objectif de CA, déconnecté du marché, de son potentiel, de votre organisation et de vos spécificités. En fait, vos objectifs s’inscrivent dans le cadre d’une stratégie arrêtée de produits, de différenciation, d’innovation et de communication.

Comment déterminer le chiffre d’affaires prévisionnel ?

Sont souvent recommandées la méthode des « référentiels », celle « des intentions d’achat », des « objectifs de parts de marché », « du test ». Ces méthodes sont complémentaires : vous pourrez utilement croiser leurs résultats et les faire valider par des professionnels, comme votre expert-comptable, par exemple.

Se servir de la méthode des « référentiels »

Elle consiste à se positionner sur ses concurrents ou sur votre activité passée, à partir de l’information économique disponible (comptes de vos concurrents, statistiques comptables sectorielles, etc.). Attention ! Vos concurrents ont peut-être d’autres spécificités que vous (en termes de produits, mais aussi d’implantation, d’ancienneté, de notoriété, d’organisation, etc.). Si vous êtes un créateur d’entreprise (donc souvent un commercial ou un technicien d’origine), votre superbe enthousiasme risque de vous faire succomber à la tentation de la surévaluation. 

Utiliser la méthode des « intentions d’achat » 

Elle se fonde sur le questionnement de vos clients sur leurs intentions d’achat. Au-delà de ces clients, il faut tenir compte de vos objectifs de développement envers de nouveaux clients. Certains confient cette mission à des professionnels pour une approche plus neutre et plus large. Attention ! Une intention d’achat n’est évidemment pas un engagement d’achat. Une personne interrogée pourra sous-estimer ou surestimer sa consommation. Il est donc important de rester vigilant, d’interpréter et de relativiser ces informations.

Appliquer la méthode du test (méthode opérationnelle) 

Pour les entreprises en création, il leur est possible de tester leur projet avant de se créer en ayant recours au portage salarial ou au dispositif CAPE (Contrat d’Appui au Projet d’Entreprise) ou aux coopératives d’activités. Ces trois méthodes permettent de porter leur projet juridiquement par une autre structure et ainsi de tester le marché, avant de décider du lancement « dans le grand bain ».

 Réfléchir avec la méthode des « objectifs et des parts de marché » 

Cette méthode se fonde sur l’évaluation du marché (selon l’étude du terrain), les clients actuels et potentiels, ainsi que sur la concurrence. À partir de ces informations, vous pourrez déterminer la part de marché que vous souhaitez prendre à vos concurrents directs et indirects, en tenant compte des clients potentiels, mais également des clients que vous pourriez perdre (concurrence, état de santé de vos clients actuels, déménagement, etc.). Celle-ci semble peu applicable aux petites entreprises.

Se fonder sur la méthode « pragmatique »

Elle consiste à se baser sur la capacité de vente de ceux qui sont affectés à cette fonction essentielle. Ils connaissent votre clientèle, le marché et votre concurrence, car ils croisent leurs collègues concurrents lors de rendez-vous clients. Ils disposent souvent d’informations terrain fort utiles sur ce qui se dit, ce qui se prépare, les forces, les faiblesses, aussi bien de vos concurrents que des clients. Intéressés à leurs performances, proches de leurs clients, ils pourront vous aider. Là aussi, pensez à corriger les excès liés aux tempéraments de chacun (optimistes ou pessimistes).

Ceci étant, si vous avez l’habitude de donner un bonus en cas de dépassement des objectifs, certains risquent de limiter leurs ambitions, pour gagner plus facilement le bonus. À vous donc de les écouter, de les doper en fonction de vos propres objectifs, de votre connaissance du marché. En effet, s’ils considèrent les objectifs inatteignables, vous risquez de les perdre ou de les démotiver. Or, une force de vente doit être le fer de lance de votre développement et de la conquête du marché. La force de vente ne peut, seule, gagner des parts de marché. Sa tâche sera facilitée par vos innovations (nouveaux produits, nouvelles méthodes, nouveaux services, nouvelle organisation, etc.). Attention ! La difficulté réside dans la recherche de l’équilibre entre l’objectif de croissance ambitieux, mais réalisable, et celui qui est perçu comme hors d’atteinte, qui peut générer des frustrations et une perte de motivation.

En essayant de calculer votre chiffre d’affaires prévisionnel avec ces différentes méthodes, vous constaterez au final que vous êtes devenu lucide sur l’avenir de votre entreprise et même que vous avez découvert les moyens de la développer, que vous allez trouver des solutions pour les points faibles !

La maison connectée, un marché en devenir

Les objets connectés ont envahi notre quotidien sans faire de bruit. Ils s’imposent comme une évidence les uns après les autres. Ils modifient notre vie privée comme notre vie professionnelle. Chaque salon de Consumer Electronic Show de Las Vegas sert de scène aux objets connectés les plus innovants. S’ils nous paraissent farfelus, force est de constater que le lointain se situe déjà au présent.

Selon l’enquête du groupe britannique, OnePoll pour la célèbre entreprise allemande de commerce électronique Reichelt Elektronik, sur la maison connectée des Français, un millier de consommateurs français ont été interrogés sur l’Internet des Objets (OiT). La réalité est que 63 % de nos concitoyens ont déclaré posséder au moins un appareil connecté à leur domicile.. La maison connectée s’impose comme un nouveau mode de vie. Certaines caractéristiques de la maison connectée remportent davantage l’adhésion que d’autres. En effet, elles répondent aux besoins et aux attentes immédiates des Français.

Infographie: La maison connectée, un marché d'avenir | Statista

L’éclairage, la sécurité, le ménage, le podium

Le contrôle de l’éclairage à distance est le plus plébiscité avec 65% des propriétaires d’objets connectés qui en détiennent. La sécurité suit (caméra, détecteur de fumée, etc.) avec 48%, et le ménage (robot aspirateur, etc.) avec 43%.

Les appareils connectés de ces trois catégories sont adaptés aux attentes aussi bien économiques qu’au bien-être et à une nouvelle manière de vivre. Ils sont d’ailleurs prêts à adopter au fur et à mesure des objets plus performants. A contrario dans les produits liés à la qualité de l’air ne rencontrent pas le même engouement. (46%). Il se pourrait qu’avec les mesures prises pour l’environnement, ils occupent une place plus importante.

L’économie et la sécurité le binôme gagnant 

L’économie de ressources est le critère le plus cité dans les intentions d’achats pour plus de la moitié des Français (54%). Elle est le reflet des charges que font peser le énergies sur le budget des Français. Parmi les autres avantages suivent le contrôle à distance (45%), la notification en cas de problème (34%), la maintenance prédictive (31%), et le contrôle vocal (29%).

Les prix de la maison connectée demeurent un obstacle. là où le bât blesse reste que le prix des objets connectés est loin d’être bon marché. Et donc le prix se révèle être un véritable obstacle même si 60% des sondés sont prêts à débourser la somme de 500 euros pour s’équiper. Plus de la moitié des consommateurs interrogés souhaiteraient des produits à la portée de leur budget.

Le jardin connecté, un marché qui a le vent en poupe

Le jardin connecté n’est plus un domaine réservé aux nantis. Il devient un besoin tant pour ce premier que le balcon. Si une grande majorité (76%) n’utilise pas encore de produit pour leur jardin ou leur balcon connecté, 55% des Français prévoient d’en faire l’acquisition d’ici 1 an et même 34% pourraient envisager de s’en équiper cet été.  Mais pourquoi faire ? L’irrigation (57%), l’éclairage (43%) ou la tonte de la pelouse retiennent leur attention car cela signifie la fin des tâches indésirables pour 41% d’entre eux et l’entretien automatique du jardin en leur absence (à 35%) qui ne leur demanderait plus de solliciter une aide extérieure et coûteuse.

Infographie: La domotique va transformer la maison des Français | Statista

La protection des données, la peur récurrente

La protection des données personnelles des utilisateurs joue un rôle majeur dans le processus d’achat. En effet, la question de la protection de leurs données personnelles est également un élément à prendre en compte avant d’acheter un objet connecté (24%).

Pour ce marché en devenir, les opportunités de nouveaux produits sont nombreuses puisque 29% des Français ne voient pas encore de plus-value ni d’intérêt pour ce type de produits. Mais avec une communication approprié, ils pourraient avoir envie de les posséder.  Ainsi 46% des Français souhaiteraient l’apparition de réglages automatisés des appareils via des capteurs (par exemple, la machine à laver ou le fer à repasser réglerait automatiquement la température idéale) et 44% voudraient bien s’équiper des marmites, fours ou micro-ondes de cuisson intelligents qui signaleraient par exemple quand les aliments sont prêts ou chauffés. Bref, une simplification de la vie.

Les 8 outils pour avoir une comptabilité performante

Les nouveaux moyens technologiques permettent de réaliser sa comptabilité de manière optimum. Grâce aux logiciels, vous ne pourrez plus rien oublier que vous soyez une start-up, un autoentrepreneur ou un indépendant. Ils vous permettent selon l’option ou le tarif d’effectuer votre comptabilité de A à Z, sans ruiner votre trésorerie. Pourtant, les solutions les moins coûteuses vous demandent généralement un investissement en temps de travail plus conséquent. Zoom pour faire votre choix sur des logiciels pour avoir une comptabilité performante.

Ciel Compta Evolution, la référence

Ciel Compta Evolution, la référence demeure un logiciel de choix pour réaliser la comptabilité d’une PME. Cette version, à partir de 30 € (HT) par mois (50 € HT par mois avec la télédéclaration), n’est certes pas la moins chère. Cependant, elle s’avère être la plus complète pour une petite société qui accueille entre 5 et 100 salariés. Elle a pour caractéristique de faire de la gestion prévisionnelle et de gérer ses immobilisations ou son crédit-bail, qui lui donne un avantage sur ces concurrents.

Sage et ses logiciels

Depuis sa création, Sage conçoit et développe des logiciels de gestion destinés aux petites et moyennes entreprises, ainsi qu’aux filiales de grands groupes. Ces logiciels couvrent tous les domaines fonctionnels et s’adaptent à toutes les entreprises, quelles que soient leur taille et leur organisation : comptabilité, fiscalité, gestion de trésorerie, immobilisations… Elles peuvent s’utiliser de manière autonome ou travailler ensemble. La gamme de solutions comptables Sage est particulièrement riche : : Compta & Facturation, Sage 50cloud Ciel, Gestion & Finance, Sage 100cloud Comptabilité, Sage FRP 1000cloud…

Comptabilité Oxygène, gratuit avec options

Le logiciel de comptabilité de Memsoft, dédié aux PME ou aux TPE, est disponible gratuitement, y compris dans sa version mobile. Il permet d’effectuer dans sa première version : bilan, TVA, solde intermédiaire, compte de rapprochement, etc. Pour la compléter, vous pouvez acheter des options, comme par exemple la gestion des budgets, les abonnements & simulations, l’analytique, le rapprochement bancaire automatique et les liaisons bancaires clients et fournisseurs vendues entre 9 € (HT) et 89 € (HT). Cependant, cette solution n’est disponible que sur Windows.

Clémentine Compta, tout dans le Cloud

Clémentine Compta s’adresse aux professions libérales, associations ou sociétés de moins de 50 salariés qui vous libère de taches fastidieuses. Ce service cloud, agréé par l’ordre des experts comptables n’est pas bon marché (sauf le pack « création d’entreprise », bien utile), mais il est complet et s’intègre avec votre compte bancaire professionnel pour ne rien oublier. Comptez 13,90 € (HT) par mois et par feuille de paie pour… la paie. Et entre 69 € HT et 139 € HT par mois pour l’ensemble de votre comptabilité avec l’établissement du bilan. Pour 799 € HT par exercice, vous pouvez même bénéficier d’une régularisation de votre situation qui vous permet d’être toujours à jour sans vous inquiéter.

RoboCompta, mobile et connecté

Basé dans le Cloud, Robocompta s’adresse plus particulièrement aux TPE. Il est mobile, avec une déclinaison pour Android et une pour iOS. Son avantage est d’agir comme un robot et donc d’être capable de réaliser l’ensemble des tâches sans votre aide : récupérer vos données bancaires et vos factures directement à la source, effectuer l’ensemble des écritures comptables nécessaires au bon fonctionnement de votre entreprise. Il ne vous restera à votre charge la déclaration de TVA. La version basique est gratuite et coûte entre 27,41 € HT par mois (paiement annuel) ou 29,90 € HT par mois pour avoir l’ensemble des modules (devis et factures, notes de frais, coffre-fort électronique, aide au démarrage). Cependant, l’offre est limitée à un seul utilisateur (soit un indépendant, soit le responsable administratif de la société).

MyAE, dédié aux autoentrepreneurs

Site d’information pour les créateurs d’entreprises, myAE.fr est développé par Evoliz, éditeur spécialisé dans la comptabilité. Il propose en échange d’une inscription (gratuite) un service de facturation en ligne : factures et de devis, suivi des relances, d’avoir des comptes clients et fournisseurs et quelques documents comptables.

La formule Starter à 3,90 € ajoute une simulation des cotisations sociales et fiscales, un rappel des échéances à venir et le calcul du chiffre d’affaires à déclarer. La formule Premium, à 8,90 €, est plus complète pour ce type d’activité. 

Evoliz

Avec plusieurs formules, tous les types d’entrepreneurs devraient pouvoir trouver la solution qui leur convient le mieux et s’adresse aux TPE/PME, professions libérales, micro-entrepreneur, associations. Il propose un outil accessible et complet afin de faciliter la gestion de toute activité. Evoliz est avant tout un logiciel de facturation mais aussi un outil de gestion et de comptabilité.  Evoliz est une application 100% en ligne.  Une application mobile disponible sur iOS et Android permet de scanner des documents comme ses notes de frais.

EBP informatique

Depuis 1984, EBP est un éditeur français de logiciels de gestion professionnelle. Ses prestations en mode licence et Saas sont à destination des PME, des artisans, des commerçants et des professions libérales.  EBP propose un logiciel de comptabilité qui permet de maîtriser efficacement la trésorerie de l’entreprise. Grâce à l’automatisation de vos traitements comptables, il est possible d’optimiser la gestion de votre trésorerie et d’analyser la santé financière de votre entreprise. Ils permettent de simplifier les tâches quotidiennes.

TOP 4 des préjugés à l’entrepreneuriat féminin

Il y a encore peu de temps, les femmes entrepreneures se comptait sur les doigt de la main. Les mentalités ont évolué. De plus, le statut d’auto-entrepreneurs a permis à nombre de femmes de se lancer dans l’entrepreneuriat et de dépasser les préjugés. TOP 4 des préjugés à l’entrepreneuriat féminin.

Être une femme et entreprendre s’apparente à une ambition encore soumise à de nombreux préjugés. Ils sont pourtant mis à mal par le succès de nombreuses entrepreneures. La parentalité, le manque de crédibilité…, sont-ils vraiment des freins récurrents à l’entrepreneuriat féminin ? Les chiffres et les exemples semblent prouver le contraire.

1- « Impossible d’être maman et entrepreneure »

Un grand cliché du monde entrepreneurial est, sans conteste, celui qui consiste à dire que, lorsque l’on est une femme, on ne peut pas concilier son entreprise et sa vie personnelle. Et encore moins lorsque l’on est maman. Détrompez-vous, de nombreuses entrepreneures ont choisi, bien au contraire, de se lancer lors de leur première grossesse . Elles le vivent comme un déclic synonyme du bon moment pour démarrer. Ce sont 46 % des entrepreneures qui déclarent que créer son entreprise permettrait de concilier, plus facilement, vie professionnelle et vie personnelle, soit près d’une sur deux, selon l’Agence France Entrepreneur. Lorsque l’emploi du temps est minutieusement aménagé et que certains parents investissent dans les services d’une nourrice, concilier les deux aspects s’avérerait, en effet, plus simple et largement envisageable.
L’entrepreneur moyen, homme comme femme, vit en couple et avec des enfants. À titre d’exemple, Anne-Laure Constanza, qui s’est, tout simplement, inspirée de sa grossesse pour lancer sa marque de vêtements pour femme enceinte « Envie De Fraise ». Elle lutte pour faciliter l’intégration des jeunes ou futures mamans dans le monde des créateurs d’entreprise explique : « Au-delà de la marque, nous essayons d’intervenir sur tous les sujets qui concernent les femmes enceintes et les mamans. C’est pour cela que j’ai créé il y a quelques années l’association Mom’preneurs qui soutient les mamans créatrices d’entreprise. »

2- Difficile d’être crédibles

Ce préjugé assez misogyne circule autant que les autres. Nombreux estiment que le fait que les femmes entreprennent, représente davantage un besoin d’épanouissement personnel ou un hobby. Celui ne durerait qu’un temps, plutôt qu’une réelle envie de créer son propre métier. La vocation de devenir entrepreneur ne les concernerait pas plus que ça… Un constat démenti par les chiffres : plus d’un entrepreneur sur trois s’avère être une femme.
L’ambition serait également, d’après les idées préconçues, une caractéristique qui manquerait aux femmes. Détrompez-vous ! Nombreuses sont celles qui montent des empires et qui cassent ce préjugé. Aliza Jabès, la fondatrice de la célèbre marque de cosmétiques, Nuxe, déclare, à titre d’exemple, s’être tout de suite tournée vers l’entrepreneuriat . « Au fond de moi, j’ai toujours eu envie de créer mon entreprise. Pourtant les études que j’avais suivies au sein de grandes écoles me prédestinaient plutôt à faire carrière dans un grand groupe. C’est finalement par choix et guidée par mon instinct que je suis entrée dans l’entrepreneuriat. » Aujourd’hui, sa société est présente dans plus de 65 pays. Elle a reçu le prix de l’entrepreneur de l’année, décerné par Ernst & Young.

3- Difficile d’entreprendre en France

Cette idée préconçue est à la fois vraie et fausse… Certains dispositifs français vous facilitent, en tant que femme. La voie à l’entrepreneuriat notamment permet de concilier votre vie professionnelle et personnelle. Ceci grâce aux aides de gardes d’enfants mais également grâce à la forte communication dont vous pouvez disposer pour faire connaître. Mais d’un autre côté, la France reste en retard comparée à ses voisins occidentaux.

Elle se classe seulement à la sixième position des pays les plus favorables à l’entrepreneuriat féminin, devancée par les Pays-Bas, le Danemark, le Royaume-Uni, l’Australie et, en tête du classement, les États-Unis, selon l’institut global de l’entrepreneuriat et du développement. Une place de leader qui s’explique par le fait que plus de 50 % des entrepreneurs sont des femmes, contre 33 % en France. Les préjugés, même s’ils sont mis à mal grâce aux nombreux exemples de réussite, freinent de nombreuses femmes à entreprendre au sein de l’Hexagone.

Femme Entrepreneure

4- Des domaines réservés aux entrepreneures

Les femmes préfèrent entreprendre dans des domaines similaires et ne se démarquent pas ? Faux ! Même si la tendance d’entreprendre dans les domaines des services et de la santé est prononcée (63 % des entreprises qui interviennent dans le domaine de la santé sont dirigées par des femmes, selon l’APCE, ndlr). Elle n’empêche en rien de nombreuses entrepreneures de se lancer dans d’autres secteurs.

Céline Lazorthes a, par exemple, innové et lancé le concept de cagnotte en ligne grâce à Leetchi.com, une idée à laquelle certains ne croyaient pas. « Donc tout le monde avait un a priori positif sur le concept. Après c’est sûr qu’on m’a souvent dit que je n’y arriverai pas, que c’est trop complexe, que c’est un métier de banque… Mais il y a aussi quelqu’un qui m’a dit : « C’est impossible à faire, mais si tu y arrives, tu es assise sur une mine d’or », explique-t-elle. De nombreuses femmes décident également d’innover et de se défaire des codes habituels de l’entrepreneure. 

Comment séduire les fonds d’investissement

Les fonds d’investissement font constamment la une de la presse spécialisée en économie, en finances et en entrepreneuriat… Loin d’être des philanthropes, ils cherchent à trouver les perles d’entreprises qui leur permettent de réaliser des affaires fructueuses. Les fonds d’investissement ont pour objectif d’investir dans des sociétés sur lesquelles ils placent leur fonds dans une logique de rentabilité et contrairement à ce qui pensent beaucoup de personnes, ils sont nombreux en France.

Un fonds d’investissement, kesako ?

Un fonds d’investissement est une société publique ou privée qui investit du capital dans des projets d’entreprises. Les fonds d’investissement peuvent appartenir à des banques, des organismes de financement, des personnes individuelles. Ils sont souvent spécialisés dans un secteur.
Les capitaux peuvent être versés :
– lors de la création de l’entreprise, c’est le capital-risque,
– lors du développement de l’entreprise , c’est le capital-développement.
Le fonds d’investissement peut intervenir
– dans une période de transition ou de rachat de l’entreprise : elle travaille alors dans le champ du LBO, ou leverage buy-out.
– Lors d’un plan de redressement dans le cas où l’entreprise est en perte de vitesse ou subit des difficultés importantes, les fonds d’investissement proposent un capital-retournement.

Selon Arnaud Bouyer, auteur du livre Les fonds d’investissement sont-ils des prédateurs ?

Couverture

« Les fonds d’investissement sont souvent perçus comme des prédateurs, des institutions hostiles et avides. Or ce n’est absolument pas le cas : leur objectif reste de proposer des financements à l’entreprise et de l’accompagner dans son développement. Les fonds d’investissement s’installent dans la durée (3, 5, 7 ans ou plus) et apportent de l’aide concrète : ils possèdent de solides connaissances du marché, peuvent servir de relais géographique pour l’implantation internationale et enfin ils sont par nature non hostiles au management. Le capital d’un fonds d’investissement demeure cher car il sera très présent pour l’entreprise. Il va s’impliquer, partager son expérience, donner son opinion : ce n’est pas un actionnaire passif. »


Comment choisir son fonds d’investissement ?

Avant de faire appel à une institution, cernez vos besoins. « A quel stade du développement je me trouve ? Que me faudrait-il pour passer à l’étape suivante ? De quel type de financement ai-je besoin et pour quelle durée ? ». Toutes ces questions vont permettre d’établir la typologie du fond d’investissement qui correspond aux créateurs.

Ensuite, se renseigner à l’AFIC ou prendre conseil auprès d’entrepreneurs ayant fait l’expérience de ce type de financement. Il faut savoir que les fonds d’investissement sont de natures très diverses : certains spécialisés dans un secteur ou sur une phase du développement de l’entreprise, d’autres ayant la particularité de pouvoir vous apporter des connexions à l’international. Mais choisir son fond d’investissement c’est avant tout choisir un partenaire en qui on peut avoir confiance, c’est une histoire de relations interpersonnelles.

Une injection de capital, pas seulement 

C’est un partenaire précieux qui nourrit le développement de l’entreprise. Cet apport d’argent opère comme un levier et oblige l’entreprise à établir une réelle discipline. Il peut donc être parfois décisif d’y recourir. Ainsi, si l’entrepreneur arrive au bout de ses propres fonds et n’a pas encore la possibilité d’accéder au concours bancaire, certains fonds d’investissement peuvent l’aider à traverser ce moment clef.

Comment séduire les fonds d’investissement ? 

Trois critères :
– la solidité de sa première phase historique,
– l’état du marché et de sa concurrence
– les capacités de l’équipe en place.
Tous ces éléments nous permettent d’évaluer la potentialité de développement de l’entreprise.

Pour en savoir plus consulter l’article de Dynamique entrepreneuriale « Les 140 fonds d’investissement en France »

Article par Arnaud Bouyer, auteur du livre Les fonds d’investissement

L’annonce d’offre d’emploi : une subtile force d’attraction

Nombreux sont les sites pour passer une annonce d’offre d’emploi. Les candidats peuvent surfer sur les nombreuses propositions et il est donc essentiel de rédiger une annonce qui retienne l’attention. Rédiger une annonce pour recruter   du personnel est loin d’être aussi facile que certains ne le pensent. Ces « quelques lignes » qui ne demandent même pas de construction de phrases exigent une connaissance des lois mais aussi une réflexion stratégique pour attirer les meilleurs candidats. Comment faire ?

Attention au piège de l’annonce discriminatoire !

Lorsque vous rédigez une annonce pour un poste à pourvoir, chaque mot doit être pesé pour qu’elle ait l’impact souhaité. Aussi, ce travail sur les mots que vous emploierez vous permettra d’éviter de produire une annonce qui puisse être considérée comme discriminatoire.
Les principes de non-discrimination sont inscrits dans le Code du travail (article L. 1132-1), mais aussi dans le Code pénal (articles 225-1 et 225-2). Le contenu de l’offre d’emploi ne doit contenir aucune mention discriminatoire.
Ainsi, les mentions telles que « poste réservé aux personnes handicapées », « personne valide », « recherche chef de chantier homme », « recherche vendeuse », « sans enfant », «de nationalité française », « âgé de 25 à 35 ans » etc… sont prohibées. Cependant pour certaines professions bien déterminées, il est possible de mentionner le critère du sexe lorsque ce motif constitue une exigence professionnelle essentielle et déterminante pour occuper le poste mais aussi l’âge sous certaines conditions.

Les points essentiels dictés par la loi

En revanche, des limites d’âge minimales sont autorisées lorsque la loi l’impose. Par exemple, il est interdit d’employer des travailleurs de moins de dix-huit ans à certaines catégories de travaux les exposant à des risques pour leur santé, leur sécurité, leur moralité ou excédant leurs forces (article L. 4153-8 du code du travail).
Il est possible de faire référence dans une offre d’emploi à un dispositif public d’aide à l’embauche de certaines catégories de personnes (contrat d’apprentissage). Votre recrutement doit être ouvert à tout candidat. L’offre d’emploi doit être centrée sur les seules compétences et qualifications requises au regard des caractéristiques du poste à pourvoir.
Les critères de discriminations prohibés sont les suivants : l’origine, le sexe, les mœurs, l’orientation sexuelle, l’appartenance ou la non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation ou une race, les opinions politiques, les activités syndicales ou mutualistes, les convictions religieuses, l’apparence physique, le patronyme, l’état de santé, le handicap, l’état de grossesse, l’âge, la situation de famille ou les caractéristiques génétiques. Vous souhaitez, par exemple, fixer un âge relativement précis à votre recrutement : 50 ans. N’utilisez pas de nombre exact. Il sera plus judicieux de spécifier que vous recherchez une personne justifiant de plusieurs années d’expérience.
Source : www.defenseurdesdroits.fr

Le libellé du poste : pas aussi évident qu’on ne le pense…

Ce choix est pourtant crucial pour que le candidat puisse répondre à bon escient. Dans le vaste monde des entreprises un même nom de poste recouvrira des fonctions très différentes. Pour trouver l’intitulé le plus juste, faites un bref sondage auprès de vos collaborateurs mais aussi consultez les annonces publiées qui vous donneront de bonnes indications mais aussi des fiches du répertoire opérationnel des métiers et de l’emploi (ROME) de Pôle emploi : choisissez plusieurs libellés et proposez-leur de définir à quel type de compétences ils peuvent renvoyer.

Bien choisir les rubriques.

Focus sur les rubriques à sélectionner.

– Le poste à pourvoir,
– Les missions à remplir
– Les tâches principales
– Les responsabilités liées au poste
– Le niveau de formation et de compétences requises
– Les perspectives d’évolution
– Les qualités requises, (maîtrise de certains outils : logiciels…, pratique d’une langue…)
– Les qualités personnelles (travail en équipe, autonomie, rigueur…).

N’omettez pas d’indiquer les caractéristiques de votre entreprise car c’est le cœur de votre annonce Grande entreprise, PME, TPE, leader sur le marché, PME en pleine expansion… C’est un point essentiel car très attractif pour tous ceux qui sont susceptibles de rechercher tel ou tel type de poste. Tous les goûts sont dans la nature et tout le monde ne souhaite pas forcément intégrer une grande entreprise. Attirez intelligemment les personnes qui pourraient avoir envie de vous rejoindre. N’hésitez pas non plus à inciter le futur candidat à se rendre directement sur votre site pour mieux vous connaître. Introduisez votre site par une phrase du type : « Découvrez votre future entreprise en cliquant sur ce lien ».

Parlez du salaire, un atout

Un candidat recherche un travail mais aussi un salaire ! Alors pourquoi ne pas indiquer dès votre annonce une fourchette de salaire, vous mettrez à l’aise les candidats.
Donnez envie au candidat de rejoindre votre équipe
Le monde professionnel actuel est constamment perturbé par le stress ou parfois même le harcèlement. Il ne sera pas vain d’évoquer les valeurs « humanistes » et prospectives de votre entreprise et l’ambiance qui règne. N’oubliez pas également de citer les perspectives d’évolution que le candidat peut espérer en vous rejoignant.

Que mettre dans son annonce ?

• le libellé du poste ;
• la date d’émission et / ou d’actualisation de l’offre ;
• le nom de l’employeur (excepté les offres anonymes) ;
• le descriptif des tâches à réaliser ;
• le type de contrat ;
• la durée, le type de contrat proposé (CDD, CDI, contrat aidé,), à temps partiel ou à temps complet, ainsi que le lieu de travail.

• le secteur d’activité ;
• le lieu de travail ;
• le salaire.

Les points à ne pas négliger :

• le lieu : facile d’accès, proche du métro…. ;
• la situation : au sein d’une grande ville ou en banlieue ;
• l’obligation de posséder un permis de conduire si tel est le cas ;
• les qualités attendues : rigueur, ponctualité, personnalité avenante…

Pour prendre soin de votre peau, découvrez les vertus de l’eau thermale

Nous sommes toutes et tous en quête de la solution pour hydrater et protéger notre peau. Á l’affût de la nouvelle crème ou avec notre fidèle routine du quotidien, nous prenons soin de notre peau à notre façon. Et si nous découvrions les bienfaits de l’eau thermale ?

L’eau thermale, pourquoi tant de vertus ?

Reconnue pour ses bienfaits sur notre peau, l’eau thermale doit ses vertus à son long parcours depuis l’eau de pluie jusqu’au cavités et parois rocheuses desquelles elle ressurgit à la surface du sol.

Durant son long et lent voyage, cette eau pure, minérale et souterraine, se charge en minéraux et gaz carbonique et ne connaît pas les parasites tels que la pollution et les bactéries ; elle peut ainsi nous offrir ses sels minéraux, ses oligo-éléments et son gaz à des fins curatives comme pour soigner les douleurs articulaires ou les brûlures.

Connue depuis des milliers d’année pour ses vertus, l’eau thermale a surtout une utilité cutanée de nos jours.

L’eau thermale, un soin en douceur :

Grâce à ses propriétés purifiantes, l’eau thermale est idéale pour les peaux sujettes à tous types d’irritations ou de maladies cutanées comme l’eczéma ou le psoriasis. Anti-oxydante, elle apporte à votre peau un soin en douceur, qu’elle soit sèche ou sensible.

Avec ses effets thérapeutiques, l’eau thermale adoucit votre épiderme, le rend plus souple et plus profondément, empêche les inflammations dues au changement de températures, aux maladies cutanées ou encore aux allergies, de perdurer. Les effets de ces troubles de la peau comme les rougeurs ou les irrégularités en seront atténués et vous ressentirez une baisse nette des démangeaisons.

Pour retrouver tous ces bienfaits de l’eau thermale à la maison, le premier geste santé pour votre peau est de la vaporisée d’eau thermale en spray pour remplacer l’eau du robinet, bien trop agressive pour notre peau à cause du calcaire. Plusieurs marques spécialisées ont développé ce type de spray et une large gamme de produits comme la marque Avène qui proposent des soins pour le visage et pour le corps.

Des grammes de produits variées :

Pour un soin de la peau à base d’eau thermale, le choix est large et vous trouverez pour tous vos besoins et selon la particularité de votre peau:

  • Pour votre visage, des gammes de soins et de maquillage,
  • Un bien être aussi pour notre corps avec tous types de crème,
  • Des protections solaires efficaces pour garder les vertus de l’eau thermale même sur la plage cet été.

Que ce soit des crèmes ou des masques hydratants, des gommages ou des lotions nettoyantes, des baumes à lèvre ou du maquillage comme du fond de teint, des crayons correcteurs ou du mascara, vous trouverez votre bonheur avec les fabricants de cosmétiques spécialisés en eau thermale.

Ces derniers, comme Avène, proposent des produits adaptés à l’âge de votre peau et à son degré de fragilité en déclinant des produits en 4 grands domaines : pour les peaux sensibles et allergiques, les peaux acnéiques et problématiques, les peaux matures et sujettes aux rides et enfin les peaux atopiques avec eczéma et sécheresse. Autant de produits à base d’eau thermale dont vous ne pourrez plus vous passer !

Achetez des pneus en ligne. Ça vaut le coup ?

Lorsque la plupart des gens ont besoin de pneus, ils se rendent dans le garage de leur quartier et achètent le jeu de pneus que le vendeur leur recommande, qui convient à leur voiture et respecte le budget. Mais est-ce la meilleure manière d’acheter vos pneus ?

Avoir des bons pneus, c’est important

La plupart des vendeurs de pneus n’ont testé aucun pneu et n’ont pas vraiment d’idée sur les avantages et les inconvénients de chacun des pneus qu’ils vendent. Ils les vendent simplement en fonction du prix ou de ce que le gérant du magasin leur dit de vendre. Il est rare que les clients fassent des recherches sur les pneus qu’ils achèteront à l’avance. C’est assez intéressant compte tenu du fait que de nombreuses personnes dépensent plus de 200 euros pour l’achat de pneus et que les pneus ont un impact important sur la sécurité de leur véhicule.

D’un autre côté, les gens feront des recherches sur d’autres achats coûteux tels que les téléviseurs à écran plat, les ordinateurs et autres achats de ce type. Avec la possibilité de comparer les prix et de lire les avis sur les pneus en ligne, la situation évolue rapidement. Nous avons listé pour vous les avantages et les inconvénients de l’achat en ligne de vos pneus afin de vous aider à prendre votre décision de la manière la plus efficace possible.

Les bons côtés

  • Le choix est beaucoup plus vaste
  • Vous pouvez rechercher quels pneus ont les meilleures critiques
  • Le coût est moindre que dans les magasins, car il y a peu de frais généraux
  • Vous économisez également de l’argent dans la plupart des États où il n’y a pas de taxe de vente

Les mauvais côtés

  • Vous devez attendre quelques jours pour faire expédier vos pneus
  • Il y a souvent des frais d’expédition

Achat de pneus en ligne ou en magasin

Les prix plus bas en ligne et l’absence de taxe de vente font qu’il vaut la peine de payer les frais d’expédition. De temps en temps, il y a des offres de livraison gratuite selon le site web où vous achetez. Ensuite, à vous de voir si vous voulez monter vos pneus vous-même ou faire appel à un installateur de pneus dans votre région. Lorsque vous achetez des pneus en ligne, il n’est pas nécessaire de démystifier la chaîne de lettres et de chiffres sur le flanc du pneu qui vous indique sa taille. Il suffit d’entrer l’année, la marque et le modèle de votre voiture sur un site de pneus et il vous indiquera la bonne taille pour votre voiture.  Comparé à un garage local, vous pourrez disposer d’un grand choix de pneus chez Auto-doc.fr par exemple.


Ensuite, vous devez décider quels sont les meilleurs pneus pour votre voiture. Sur les sites des détaillants, vous pouvez trier les différentes marques, comparer les prix et lire les avis. Vous pouvez également consulter les évaluations des pneus dans le Consumer Reports. Donc, si vous êtes satisfait de la façon dont votre voiture roule et se comporte, et de la traction qu’offrent les pneus sous la pluie ou la neige, achetez les mêmes pneus d’origine. Si vous souhaitez modifier les caractéristiques de conduite, lisez les commentaires sur les pneus ou affinez votre recherche en sélectionnant des pneus d’hiver, d’été ou de performance.

14 outils pour mieux collaborer, déléguer, réfléchir avec vos équipes

Le confinement aura placé plus d’une entreprise dans l’obligation de se servir des outils collaboratifs pour ne pas retrouver son activité à l’arrêt. Les dirigeants comme les managers pendant ces deux mois et même plus ont pris de nouvelles habitudes. Ils se sont heurtés parfois au fait de ne pas posséder les outils performants mais aussi à la réalité d’avoir leurs collaborateurs qui n’avaient pas l’habitude de les utiliser. Il a fallu parfois en urgence en choisir un au hasard. Zoom sur 14 outils pour mieux collaborer, faciliter la prise de décision, élaborer et suivre un plan d’action favoriser le brainstorming, créer des projets, partager des projets, déléguer des tâches… A vous de choisir.

Advanseez 

Un outil collaboratif qui permet de faciliter la prise de décision, l’élaboration et le suivi d’un plan d’action et favoriser le brainstorming. Vous disposez d’un premier module « DÉCIDER », centré sur la prise de décision et d’un second « AGIR » concernant la gestion d’une tâche. L’interface graphique de cet outil entièrement en ligne est dotée d’un design moderne. 

Cyfe

Un outil qui permet d’effectuer des recherches et d’améliorer la productivité grâce à un tableau de bord multi-usages. Vous pouvez ainsi collecter des données, créer des listes de tâches à effectuer, archiver les résultats de recherche entre autres. Il vous permet également de surveiller les mentions de votre entreprise et son activité sur les réseaux sociaux.

DivvyHQ

Un outil qui  vous permet de créer un tableau de bord avec tous les outils dont vous avez besoin pour garder votre équipe sur le même objectif. Vous trouverez ainsi des calendriers, tous les types de médias, édition sociale et la capacité de stocker des idées pour les prochaines réunions. Vous pouvez également modifier, faire des commentaires et garder trace de tous les changements. Gérez votre flux de travail et simplifiez la progression de votre travail quotidien pour l’ensemble de l’équipe. 

GatherContent

Un outil conçu pour la collaboration qui permet de créer un projet efficace ou un calendrier éditorial au même endroit et de l’organiser dans sur un seul tableau de bord. Cette organisation permet de garder tout le monde sur la même longueur d’onde. Il est facile à utiliser. Vous ne risquez plus de croiser des tâches ou des informations ou d’oublier des échéances.

Google Drive

Un outil qui permet de partager des documents, de    donner aux utilisateurs la possibilité de créer des feuilles de calcul, des documents, des cartes, des dessins, des diaporamas. Un nombre illimité de personnes peuvent créer des dossiers avec tous les documents nécessaires pour le marketing, le contenu et le plan des médias sociaux. Les utilisateurs peuvent être autorisés à modifier ou tout simplement voir les documents.

Medium

Une plate-forme qui permet de partager un projet avec quelqu’un, de l’approuver ou le désapprouver et effectuer des changements si besoin. Tous les éditeurs approuvés sont alors ajoutés au projet.

MindMeister 

Un outil de cartographie cérébrale  qui vous permet de traiter visuellement des concepts complexes. Il permet également de montrer comment chaque idée se croise avec une autre. Une méthode plus rapide et plus simple pour obtenir du contenu et pour réaliser  un plan pour votre stratégie de contenu avec votre équipe, quel que soit le lieu où les membres se trouvent.

Planzone 

Un outil qui permet d’installer rapidement et sans connaissance particulière un espace de travail en ligne et d’échanges collaboratifs, de coordonner le travail en équipe et de diriger efficacement tous vos projets en suivant leur évolution. Avec cet outil, partagez l’information avec tous les membres de l’équipe par des notifications et par un système de messagerie interne. 

Scribblar

Un outil éducatif qui peut également être utilisé pour les sessions de brainstorming en collaboration. Il est particulièrement apprécié des étudiants et des formateurs pour sa capacité à créer plusieurs « salles » qui permettent de collaborer en temps réel. Il offre la possibilité d’écrire et parler pendant le processus et est un excellent outil de brainstorming.

Todoist 

Un outil qui permet de créer des projets et ajouter des tâches dont vous pouvez définir la date et l’heure, qu’elles soient récurrentes ou non. Vous pouvez être averti par e-mail, notifications push ou sms en cas de modifications importantes. Il effectue la synchronisation de vos données en temps réel et de aussi partager des projets, déléguer des tâches et discuter des détails.

Trello

Un outil qui permet de gérer et définir des tâches pour toute votre équipe, transmettre des instructions et ainsi décrire chaque tâche et les affecter aux différents membres de l’équipe peuvent également se connecter ensemble.

Wisembly 

Un outil qui permet d’organiser vos réunions en fonction des sujets à traiter et de partager le planning avec l’ensemble des personnes y participant. Vos
présentations PowerPoint et les documents à envoyer par mail au public sont rassemblés sur l’interface et accessibles par les utilisateurs accrédités. Vous pouvez organiser un vote pour la prise de décision et obtenir aussitôt les résultats. 

Wimi

Un outil qui permet de Centralise vos documents, tâches, calendriers et discussions. Vous pouvez créer des espaces pour chaque projet et être notifié en temps réel des progrès accomplis. En personnalisant vos espaces de travail, vous partagez des documents en contrôlant les accès aux données. Wimi vous suit partout et vous accédez à vos données où que vous soyez – même hors-ligne.

Whaller

Un outil qui permet aux utilisateurs de définir des sphères étanches les unes des autres pour communiquer de manière sélective et privée. Chaque sphère est l’équivalent d’un « réseau social privé » à l’intérieur du réseau social et est réservée aux personnes qui y sont connectées, de sorte que les messages échangés dans celle-ci n’apparaissent jamais dans une autre.

Le bouche-à-oreille : la communication qui a changé d’apparence

Le bouche à oreille a pris une nouvelle apparence avec les nouveaux moyens de communication. Un texto ou un mail peut en quelques secondes être transmis à des milliers de personnes sans que l’on puisse maîtriser l’information. L’adage dit ‘les paroles s’envolent, les écrits restent. ».  Considéré comme la plus ancienne stratégie marketing du monde, le bouche-à-oreille continue de faire ses preuves. Mais pourquoi donc ? Un individu est relié à une famille et chaque personne de cette famille est reliée à un environnement social et les personnes qui la composent sont reliées à d’autres. On pourrait dire à l’infini… 

Le bouche à oreille est le premier canal de transmission et il ne faut jamais le sous-estimer. La preuve en est que certains aiment faire circuler des rumeurs qui deviennent parfois un fardeau pour les entreprises… Il ne se trouve donc pas à l’abri des pièges et des risques que l’entreprise devrait éviter. Connu également sous le nom de marketing viral, il continue à garder une place importante dans le cadre de l’optimisation des ventes malgré l’émergence des stratégies marketing.

Une stratégie efficace, le bouche-à-oreille ?

Le bouche-à-oreille fonctionne aussi bien que la publicité. D’ailleurs, son résultat demeure plus pertinent que celui généré par les campagnes publicitaires. L’entreprise ayant fait l’objet de recommandation d’un client profite d’une excellente notoriété. Le client qui vient vers elle par le biais du bouche-à-oreille constitue un client déjà conquis. Il ne fait plus partie des clients potentiels clés qui exigent l’établissement d’une stratégie marketing bien particulière. Dans la majorité des cas, il connaît les atouts, les avantages et les points faibles des produits et services fournis par l’entreprise. Le client, potentiel source de recommandation, manifeste une confiance incontestable à l’entreprise qu’il n’hésite pas à transmettre à ses contacts.

Le bouche-à-oreille, la panacée ?

– Un système très économique
La gratuité du message constitue le principal avantage du système du bouche-à-oreille. La mise en œuvre de ce système ne requiert nullement le déploiement de moyens financiers et non de moyens humains importants. Il appartient aux clients eux-mêmes de se charger de la diffusion des messages auprès des prospects.

– La facilité de diffusion
Le fort développement du monde du web profite aux entreprises. Avec les outils en ligne mis à disposition des consommateurs, il devient plus facile de transmettre les messages. L’e-mail, le message ou commentaire sur un site Internet ou un blog, le forum, le chat, les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…) font partie des outils les plus utilisés.

– La rapidité de diffusion
La notoriété du web ne permet pas seulement de faciliter la diffusion du message, mais surtout d’assurer sa rapidité. Ainsi, l’entreprise profite d’un système marketing très développé, à la portée de tous les consommateurs et surtout très pertinent. Il se base sur une relation de confiance entre l’entreprise et le client.
Force est de constater que ce système ne présente pas que des avantages. Il peut également comporter des risques pour l’entreprise.

Des informations à maîtriser

Pour assurer le succès du bouche-à-oreille, l’entreprise doit répondre aux attentes de ses clients afin que ceux-ci puissent la recommander à leurs contacts. Cette stratégie ne peut pas forcément jouer en faveur de l’entreprise, elle peut mettre en jeu sa réputation. Le client risque d’émettre des avis négatifs sur l’entreprise s’il ne trouve pas satisfaction auprès des offres qu’elle fournit. C’est la raison pour laquelle il convient d’établir un système de suivis au sein de la société afin de déterminer l’évolution des besoins des clients.

À part cela, certains clients ne disposent pas des renseignements requis pour informer leurs contacts sur les produits et services de l’entreprise. Pour éviter que de telles erreurs compromettent les intérêts de l’entreprise, celle-ci ne doit pas compter uniquement sur ce système pour faire connaître ses offres. Elle doit réaliser une campagne publicitaire moderne afin de renforcer sa notoriété et sa réputation auprès des consommateurs et des clients potentiels.

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