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Comment rester motivé au travail en hiver ?

La période hivernale est en cours et par période on peut déjà apercevoir des pulls, des écharpes et des bonnets. Avec des températures plus basses et des conditions météorologiques multiples, tant pluvieuses que neigeuses et venteuses, tout à chacun a davantage envie de rester sous la couette au chaud que de se lancer dans le travail. Ce moment de l’année affecte à des degrés différents, la plupart des personnes tant au niveau de leur corps que leur humeur. L’asthénie peut apparaître provoquant de la démotivation, de l’épuisement et du stress. Des symptômes qui peuvent entraîner une baisse de moral extrême. Pour éviter d’impacter votre entreprise, voici quelques conseils que vous et vos salariés devriez appliquer pour rester motivé au travail en hiver.

Une baisse de température qui affecte la productivité

L’hiver peut être une menace pour votre entreprise et vos salariés. 80 % des travailleurs se plaignent de la température sur leur lieu de travail et 52 % considèrent que leur bureau est beaucoup trop froid à cette période, selon une ancienne étude réalisée par la société Andrews Sykes (groupe anglais de location spécialisé en équipements de climatisation et de chauffage, ndlr). De nombreuses recherches démontrent même que les effets d’une température basse au travail peuvent nuire à la productivité des salariés

Déjà, une étude effectuée en 2004 par Alain Hedge, professeur en design et analyste environnemental à l’Université Cornell, montrait que ceux qui ont froid font plus d’erreurs que les autres et que le climat frais pouvait gonfler de 10% le coût horaire du travail. Pour cela, il a comparé l’attitude des employés dans des locaux à 25 °C puis dans des locaux à 20 °C : dans la première situation, ils passaient 100 % de leur temps à taper sur leur clavier avec un taux d’erreurs de 10 % tandis que dans la deuxième, ils ne tapaient plus que 54 % du temps avec un taux d’erreurs de 25 %. Conformément aux recherches de l’Université de technologie d’Helsinki et du Laboratoire national Lawrence Berkeley, les salariés seraient plus efficaces dans un environnement professionnel à 22 °C. Voici quelques recommandations pour que tous les membres de votre entreprise restent motivés au travail.

Pratiquer une activité sportive

Exercer une activité sportive avant le boulot ou pendant les pauses peut être un excellent moyen de motiver l’ensemble de l’entreprise. La pratique du sport en période hivernale dispose de nombreux bienfaits pour le corps et l’esprit. L’organisme brûle davantage de calories dans le froid afin de réguler sa température et les muscles cardiovasculaires sont renforcés, permettant d’effectuer des efforts plus soutenus tout le reste de l’année et d’éviter certaines maladies hivernales comme le rhume ou la grippe. L’activité a l’avantage également de lutter contre la « déprime saisonnière » et les petits coups de blues qui provoquent de la démotivation et la lenteur au travail. Enfin, elle maximise les capacités intellectuelles. Tout le monde peut ainsi retrouver de l’énergie et de l’enthousiasme grâce aux bienfaits du sport. 

Pour optimiser celui-ci, le meilleur moyen est de le faire ensemble. Réunir dirigeants, salariés et managers aura tendance à rapprocher tous les membres de l’entreprise et à renforcer le sentiment d’appartenance via l’échange, l’écoute et l’esprit d’équipe. Collectivement, ils s’aideront et se motiveront. Un petit footing en groupe avant de travailler ou bien une excursion dans une salle de sport près de l’entreprise pendant la pause du midi sont de bonnes idées à mettre en place.

Mettre en place un emploi du temps sur-mesure

Pour permettre aux salariés de combattre le froid et éviter les maladies hivernales tout en offrant un cadre de travail agréable et familier propice à la motivation, le dirigeant peut leur proposer, par exemple, une journée de télétravail pour chacun et chacune dans la semaine, répartie à l’aide d’un calendrier prévisionnel. Dans un autre cas, l’aménagement du temps de travail peut s’avérer être une solution pratique. Certains souhaiteront partir avant que le soleil ne se couche pour éviter la baisse des températures et d’autres auront besoin de dormir plus longtemps pour suivre un rythme de travail et être plus productif. Proposer de partir une heure plus tôt le soir ou de venir une heure plus tard le matin peut alors faciliter la motivation des salariés pour travailler.

Sortir et travailler à l’extérieur de l’entreprise

Même s’il fait froid, se forcer à prendre l’air tous les jours peut réduire l’anxiété et le stress. C’est l’occasion de sortir de son bureau pour prendre des rendez-vous avec des fournisseurs, des clients, des partenaires d’affaires ou de futurs talents. Un moyen de se dégourdir les jambes, de maintenir des interactions sociales et garder le moral au plus haut. En dehors du cadre habituel, mettre en place des événements à l’extérieur des locaux est un aspect important pour que l’ensemble de l’entreprise, que ce soit les salariés ou les collaborateurs, s’implique davantage. Face à un endroit froid et peu motivant, un environnement chaleureux et différent est propice à créer une atmosphère où la concentration, l’écoute et la créativité sont au plus fort. C’est aussi le moment idéal pour se détendre et déstresser, permettant de se rebooster pour atteindre ses objectifs.

Si pour beaucoup, le travail au bureau en hiver représente une partie pénible de la journée, pour d’autres professions, les conditions de travail s’avèrent encore problématiques et sont mises à mal par le froid. Des entreprises du BTP ou encore du secteur agricole sont bien dans l’obligation de travailler à l’extérieur et très tôt le matin, là où les températures sont souvent les plus basses. Des conditions qui peuvent avoir des conséquences sur la santé, notamment lorsque la température ambiante est inférieure à 5 °C.  Dans ce cas, l’entrepreneur a l’obligation de sécuriser ses salariés, selon le Code du travail, en fournissant un accès à des boissons chaudes et en limitant le temps de travail, voire en cessant l’activité pendant une période donnée.

Le bon CV d’un repreneur

On parle souvent du « CV » du repreneur. En réalité, il faut réaliser 3 CV différents en fonction de l’avancée de son projet et des destinataires. Le CV du repreneur doit comporter deux documents distincts : un CV qui est un descriptif du repreneur (du passé vers le présent) et un projet de reprise qui est une description des cibles recherchées (un regard du présent vers les orientations futures possibles).

1. Le CV initial : exhaustif et objectif

CV1 : le CV du repreneur

La cible : Repreneur lui-même. Il doit être le plus objectif possible et sera la source des autres CV. Il permettra de faire un point structuré sur votre situation actuelle. Il doit être exhaustif tant sur vos compétences, connaissances, parcours, expériences, capacités à faire, envies professionnelles,… que sur les éléments extra-professionnels (famille, relations, objectifs de vie, patrimoine…) mais aussi sur vos soutiens (proches et moins proches sur les aspects financiers, techniques, logistiques, réseaux…). Pour que l’objectivité soit maximale, vous pouvez associer à sa rédaction (ou relecture) des proches mais aussi des personnes sans liens affectifs. C’est cette réflexion qui va permettre de définir les premiers contours des cibles recherchées.

Quelques conseils

  • Mettre une photo. Ceci permet au cédant de mieux vous représenter et s’il évoque votre présence à ses conseils, eux-mêmes auront un souvenir plus fort de vous. Cette photo devra être de bonne qualité.
  • Le faire tenir sur deux pages. En tant que repreneur, vous avez un parcours professionnel derrière vous et donc des choses à dire. Ne dépassez pas les deux pages.

CV2 : Le CV de Recherche : séduisant et clair

La cible : Le cédant et ses conseils. Même si c’est le repreneur qui achète l’entreprise, c’est très souvent le cédant qui va au final choisir le repreneur. Il faut donc séduire le cédant et le mettre en situation de confiance vis-à-vis de vous. Sur la forme : à destination des cédants et cabinets de transmission, il doit être clair, propre, structuré et bien équilibré. Sur le fond : il doit être compréhensible, montrer votre évolution de carrière, expliquer le contenu de vos différentes responsabilités, lister vos diplômes, formations, certifications et expertises. Le lecteur doit trouver une information limpide et facile à lire qui répond à la question : est-ce que cette personne est globalement capable de reprendre cette entreprise ?

CV3 : Le CV de financement ou d’équipe

La cible : les financiers (banques, fonds d’investissement, business angel, associés,…). Très proche du CV de Recherche du repreneur, il sera bon de faire un léger focus supplémentaire sur les expériences qui sont plus en adéquation avec l’entreprise que vous souhaitez reprendre et d’adjoindre la description des aides extérieures actives ou moins actives qui vous suivront dans ce projet : votre épouse, un associé minoritaire, une société partenaire, un love money,… N’oubliez pas de positionner les compétences indispensables complémentaires aux vôtres qui vous accompagneront dans cette reprise (cela peut passer par l’accompagnement d’un consultant extérieur, le recrutement d’une personne déjà identifiée,…).

Quelques conseils :

  • N’employez pas de termes techniques ou anglicismes sauf si votre lecteur cible est susceptible de les comprendre.
  • Soyez synthétique.
  • Evitez le paragraphe hobbies (sauf si cela a un réel intérêt). Vous n’êtes plus étudiant…
  • N’oubliez pas le paragraphe relatif à vos apports. C’est souvent celui qui est lu en premier, par les cédants et les cabinets de transmission, pour savoir si vous avez une chance de boucler le montage financier de rachat d’une cible. Donner vos apports ne veut pas dire que vous allez tous les utiliser pour le rachat. N’oubliez pas que le cédant vous communiquera beaucoup d’informations concernant son entreprise et qu’il est en droit d’avoir un minimum d’informations pertinentes pour lui.

2. Le projet de reprise

La Cible : cabinets de transmissions ou organismes de rapprochement
Il a pour vocation de définir les typologies de cibles que vous souhaitez trouver en vue d’une acquisition.
Les critères principaux sont :

  • les activités
  • les fourchettes de taille (CA, personnel,…),
  • les localisations,

Les critères parfois complémentaires de type :

  • « pas de dimension technique »,
  • « marché à l’international »,
  • « B to B exclusivement »,
  • « Possédant un bureau d’étude »,
  • « Avec des produits propres »,…

Attention !

  • Ne pas tomber dans une description de cible idéale introuvable du style « Pas chère, ayant une bonne rentabilité permettant de la rembourser en 3 ans ».
  • évitez aussi les descriptions de montage financier théorique « Je vais créer ma holding où je serai seul, avec un apport de x % du montant du rachat, un prêt bancaire de… ». Ceci n’apporte pas grand chose et risque de vous fermer des opportunités.

Si ce document est séparé de votre CV, un rappel succinct de votre formation et expérience est la bienvenue.

TEMOIGNAGE

Frédéric Guyomard
Age : 47 ans
Société : SIDE (Société Internationale de Diffusion et d’édition)

Le réseau : maître-mot de la réussite d’une reprise

Ne connaissant pas tous les secrets de la reprise, Frédéric Guyomard s’est appuyé sur son réseau pour mener à bien son projet. Il explique cela : « deux décisions ont été primordiales : mobiliser activement mon réseau et me faire accompagner de la lettre d’intention jusqu’au closing ». Grâce à cet appui, il a pu reprendre SIDE, son entreprise de distribution de livres, qui génère 5M d’euros de CA par an. N’étant pas spécialiste d’un domaine, la question du secteur d’activité recherché restait à éclaircir. « J’ai connu des difficultés à trouver des dossiers avec lesquels je pouvais avoir une affinité et dans lesquels mettre en œuvre les compétences que j’avais pu développer » dit-il. C’est finalement en étudiant des dizaines de dossiers glanés auprès des intermédiaires et de son réseau que le repreneur a pu affiner ses critères de choix.

Une réussite grâce à l’accompagnement

Après s’être essayé à mener l’aventure de la reprise en solo, Fréderic Guyomard a fait le choix de se faire accompagner. « Avec le recul, je n’imaginais pas à quel point le chemin de la reprise est tortueux et semé d’embûches. Pour arriver au bout, l’expérience d’une équipe qui a déjà parcouru ce chemin de nombreuses fois m’a été précieuse » se rappelle-t-il. Outre leur apport technique en matière de financement, les accompagnateurs ont su donner un rythme efficace aux différentes étapes du deal et ont joué un rôle primordial dans la consolidation de la confiance avec les cédants, leurs conseils et les partenaires financiers…
L’opération d’acquisition d’une entreprise aura duré deux ans pour Frédéric Guyomard. Il résume ainsi son aventure : « Aussi long et complexe soit le parcours qui mène à la reprise, le plus difficile commence le lendemain du closing. »

Le conseil de Fusacq

Votre profil de repreneur : une réflexion préalable essentielle !

Plus qu’un simple CV, votre profil de repreneur va vous permettre de prendre du recul sur votre projet. Celui-ci doit être considéré comme un véritable outil. Vous allez tout d’abord devoir définir votre projet de reprise. Dans un second temps, il sera important de vérifier votre capacité de financement : combien puis-je apporter sans mettre en péril mon patrimoine ? Troisièmement, synthétisez vos compétences/qualités et assurez-vous que vous êtes apte à reprendre. Dernier point essentiel, prenez bien en compte votre environnement et les barrières qu’il peut induire : ma famille est-elle prête à déménager si besoin ? Suis-je prêt à me dédier à mon projet à cent pour cent ?… Les réponses à ces différents points vous feront gagner un temps précieux et vous crédibiliseront vis-à-vis des cédants et des intermédiaires.

Adopter l’esprit marketing

Auriez-vous, par hasard, quelques difficultés pour vendre vos services ? Est-ce que vous avez appris, tout(e) jeune, à ne pas vous mettre en avant ? Voyez-vous une connotation négative au marketing ? Saviez-vous que cela influence votre façon de voir le marketing, et du coup, à une influence sur le développement de votre entreprise ? 

Vous êtes le centre du marketing

Vous le savez très certainement, VOUS êtes votre premier outil marketing. Pourtant, vos interlocuteurs, vos clients potentiels, VOS CLIENTS, ont besoin d’être rassurés sur QUI vous êtes, sur votre légitimité, sur votre crédibilité.  Ils ont également besoin que vous soyez authentique, que vous soyez vrai et de se connecter à vous et de ressentir que vous les comprenez et que vous leur donnez ce que vous avez de meilleur pour eux. Mais leurs besoins ne se limitent pas à cela et on pourrait citer par exemple le besoin que vous les écoutiez et leur parliez avec votre cœur. C’est pour cela que j’aime l’approche du « marketing authentique », le marketing fondé sur vos propres valeurs, sur votre cœur d’expertise : sur votre COEUR.

C’est le cœur qui fait toute la différence.

Notre cœur, comme son nom l’indique, est au centre de qui nous sommes, et donc de notre « business ». En réalité, en tant qu’entrepreneur, coach, consultant, ce qui fait notre différence, c’est notre cœur. Est-ce que vous aimeriez (re)-connecter votre cœur à votre marketing ?

Vos interlocuteurs sont sensibles à vos solutions lorsque vous leur en parlez avec passion, avec votre cœur. C’est pourquoi votre marketing authentique est fondé sur votre cœur marketing. Lorsque vous communiquez avec votre cœur, l’impact se démultiplie. En effet, quand nous libérons notre cœur, notre présence libère automatiquement les autres.

L’autre jour, une amie et collègue, Cécile Molliet, ConvivEssens, m’a fait parvenir un texte qui m’a interpellée. En fait, Il s’agit de « Notre plus grande peur », de Marianne Williamson, citée par Nelson Mandela dans son discours inaugural de 1994. Je vous donne la conclusion de ce texte et vous comprendrez tout de suite pourquoi cela m’a parlé : « Quand nous sommes libérés de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres ». J’ai immédiatement fait le rapprochement entre « peur » et « cœur », et adapté la phrase comme suit : « Quand nous avons libéré notre cœur, notre présence libère automatiquement les autres. »

Il en est ainsi pour nos actions marketing

Est-ce que cette phrase vous parle, à vous aussi ? Qu’est-ce qui nous empêche de voir toutes les richesses qui sont en nous, et de les partager avec nos clients potentiels

Vous l’avez déjà entendu de ma part : « Votre premier outil marketing, c’est VOUS ». Alors si nous avons peur de montrer notre vraie valeur, si nous nous percevons comme un pion plutôt que comme une reine ou un roi, alors que pensez-vous que nos clients potentiels vont percevoir ? Est-ce la peur de ne pas être parfait ?

Le mois dernier, j’ai partagé avec vous un article : Quelle influence sur votre marketing authentique ? Avez-vous une tendance « Perfectionniste » ? Je vous invite à lire le texte avec les yeux de votre cœur : « Notre plus grande peur n’est pas que nous ne soyons pas parfaits. Notre peur la plus profonde est que nous soyons puissants au-delà de ce qui est mesurable. C’est notre lumière, pas notre obscurité qui nous effraie le plus. Nous nous demandons : qui suis-je pour être brillant, merveilleux, talentueux, fabuleux ? En fait, qui sommes-nous pour ne pas l’être ? »

Jouer petit ne sert pas le monde.

Se rétrécir devant les autres pour qu’ils ne se sentent pas en insécurité ne fait pas preuve d’une attitude éclairée. Nous sommes tous voués à briller, comme le sont les enfants. Ce n’est pas le sort de tout un chacun. Et quand nous laissons notre propre lumière briller, nous donnons, sans en être conscients, la possibilité aux autres de faire la même chose. 

Et rappelons à nouveaux que « Quand nous sommes libérés de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres. » Marianne Williamson, citée par Nelson Mandela dans son discours inaugural de 1994.

D’ici-là, osez (re)-connecter votre cœur à votre marketing.

SCPI-SIGN : l’appli qui explose tous les records pour investir en immobilier 

Trop compliqué, trop cher, trop stressant, pas assez rentable …. On prononce tous ces mots lorsque la question d’investir en immobilier arrive sur la table ! Au final, on finit souvent par abandonner son projet. Mais la donne a changé depuis l’arrivée fracassante d’un nouvel acteur sur le web pour investir en immobilier vite fait et surtout bien fait !

Vous en rêviez depuis des lustres de cette plateforme digitale, SCPI-SIGN l’a enfin fait !

Découvrez vite cette application destinée à investir son argent 100% en immobilier de façon éthique et responsable.

Accessible dès 10 000 euros et 100% en ligne, que demander de plus pour investir son argent en faisant mieux que votre banque ?

Avant SCPI-SIGN, l’investissement immobilier vous tétanisait !

Alors que l’inflation continue de vous taper au portefeuille et que notre système de retraite montre des signes d’essoufflement, vous êtes sûrement à la recherche d’un placement immobilier pour investir vos économies. Quand on n’est pas un expert dans ce secteur, investir en immobilier est terrifiant et peut tourner vite au cauchemar.

Surtout quand on n’est pas millionnaire et que chaque euro durement gagné compte pour boucler les fins de mois.

Naturellement, nous nous tournions vers une valeur refuge comme l’achat d’un appartement locatif qui permettait de faire fructifier son capital en immobilier. Malheureusement, le plafonnement des loyers dans les grandes métropoles a anéanti toutes perspectives d’avoir des rendements élevés. Sans compter le durcissement de la réglementation lié aux diagnostics énergétiques du logement qui oblige le propriétaire a réaliser de coûteux travaux de remise aux normes.

C’est quoi SCPI-SIGN ?

Fort de cette analyse, la start-up française SCPI-SIGN a eu la volonté de simplifier l’investissement immobilier pour les particuliers. Fini l’immobilier prise de tête ou réservé à des élites fortunées, vous allez vous aussi pouvoir investir de façon rentable dès 10 000 euros. Avec cette application, investir son argent devient rapide, efficace et ouvert à tous.

Vous voulez débuter votre investissement immobilier un dimanche matin depuis votre salon ? C’est faisable. Plus besoin de passer des heures avec un agent immobilier à visiter des appartements et à écouter son blabla. Une fois votre portefeuille immobilier confectionné, les conseillers de SCPI-SIGN valide avec vous votre stratégie et vos objectifs. Ce sont tous des as de l’investissement immobilier avec un bagage technique très important.

Quand investir comme des pros devient possible grâce à la SCPI !

Investir en immobilier dans les plus beaux quartiers de Paris, Londres ou Milan ou partout à travers l’Europe, c’est possible à partir de 10 000 euros avec SCPI-SIGN

Investir en immobilier sur le secteur de la logistique pour profiter du boom du e-commerce, c’est toujours possible à partir de 10 000 euros avec SCPI-SIGN.

Investir en immobilier sur le secteur de la santé pour répondre aux défis sociétaux de demain, c’est encore possible à partir de 10 000 euros avec SCPI-SIGN.

Investir dans des bâtiments immobiliers respectueux de l’environnement, c’est encore et toujours possible à partir de 10 000 euros avec SCPI-SIGN.

Avoir un rendement annuel autour de 6% et voir son capital potentiellement prendre de la valeur au fil des années est maintenant à portée de main ou plutôt de clics pour tous les épargnants. Vous n’avez décidément plus d’excuses si vous continuez volontairement à vous appauvrir avec des livrets d’épargne réglementés !

Pour vous constituer un beau patrimoine immobilier en ligne, SCPI-SIGN a plusieurs secrets que vous pourrez découvrir sur www.scpi-sign.com. La règle d’or, commencez le plus tôt possible. Pas de mauvaise surprise avec SCPI-SIGN, la plateforme a tout intérêt à ce que votre investissement vous rapporte de l’argent. En effet, elle acquiert ses clients uniquement par le bouche à oreille.

C’est un mode de fonctionnement gagnant-gagnant avec les investisseurs satisfaits qui recommandent la plateforme autour d’eux. 

Je me lance sur SCPI-SIGN pour débuter en immobilier à partir de 10 000 euros.

Vous êtes convaincu que placer votre argent en immobilier est la solution qu’il vous faut, alors ne perdez plus une minute et créez votre compte sur SCPI-SIGN comme des milliers d’utilisateurs depuis son lancement. L’interface de SCPI-SIGN est totalement sécurisée et vos données personnelles parfaitement protégées.

Si vous avez envie d’investir en immobilier à partir de 10 000 euros, la fintech SCPI-SIGN est la solution idéale, une fois votre compte personnelle créer, vous aurez accès aux meilleurs placements immobiliers du moment et les conseillers SCPI-SIGN seront toujours là pour vous offrir un conseil personnalisé et sans engagement pour placer votre argent en immobilier.   

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Avertissement

L’investissement dans une SCPI n’est pas garanti, tant du point de vue des dividendes perçus que de celui de la préservation du capital. Les SCPI dépendent en effet des fluctuations des marchés immobiliers.

Avant toute décision d’achat de parts de SCPI, faites-vous conseiller par un professionnel afin d’être certain(e) que ce placement correspond à votre profil patrimonial.

Enfin, comme tout investissement immobilier, tenez compte du fait que les SCPI sont des placements de long terme dont la durée de détention minimale ne saurait être inférieure à huit ans.

L’essentiel à connaître en matière de réseautage

Souvent, lorsque l’on entend parler de réseautage, c’est pour stimuler la recherche d’emploi. Mais cela concerne aussi les dirigeants d’entreprise qui cherche à se faire par ce biais des nouveaux prospects ou contacts, simplement à échanger avec d’autres dirigeants ou encore à communiquer.

Repérer les réseaux d’entreprise

Avant de se lancer dans la quête de réseaux sociaux professionnels (RSP), il est indispensable de se poser les bonnes questions :

  • Suis-je plus à l’aise en face à face ou sur mon écran ?
  • Suis-je à l’aise avec les nouvelles technologies ?
  • Ai-je besoin d’un réseau proche ou au contraire sur une zone géographique étendue ?
  • Qui ai-je besoin de rencontrer ?

Si vous ne savez pas par où commencer, vous pouvez dans un premier temps vous rapprocher de la CCI qui connaît tous les acteurs économiques de son bassin et donc tous les réseaux. En parallèle, vous pouvez demander conseil à des amis qui possèdent leur propre réseau. Enfin, des recherches sur internet permettront de trouver connaissances, concurrents et partenaires. Cela permettra d’y voir plus clair sur les possibilités de ces réseaux.

Les réseaux traditionnels

Les réseaux qui existaient avant l’ère 2.0 sont les clubs d’entrepreneurs, les associations d’anciens élèves, de la CCI… Ces derniers existent encore et fonctionnent même pour la plupart très bien. Les clubs sont très utiles, ils permettent de rencontrer des acteurs économiques, des élus locaux, et pourquoi pas de futurs partenaires. Le plus souvent, on s’y réunit autour d’un thème, une ou plusieurs fois par mois, et c’est l’occasion de partager des valeurs communes, de mettre des noms sur des visages et d’échanger des contacts. Rien n’oblige à l’assiduité si un sujet plaît moins, vous vous rendrez au prochain rendez-vous. Pensez également à y apporter vos cartes de visites afin de nouer des relations.

Les réseaux virtuels

Viadeo, LinkedIn sont les plus connus mais il en existe d’autres comme Xing, Ziki et même Facebook qui peut avoir une utilisation professionnelle. Le côté très pratique réside dans son mode virtuel : nul besoin de se déplacer et des profils de toutes zones géographiques sont à portée de main. Mais il ne faut pas se contenter de s’inscrire sur ces réseaux. Pour devenir crédible, on doit y participer en créant un profil suffisamment fourni et en établissant des contacts. La plupart de ces réseaux sont dotés de « pages entreprise » qui permettent de placer un logo, une URL et un texte de présentation. Cela peut devenir chronophage, alors attention à ne pas y passer trop de temps !

Quelques conseils

Il peut être utile de connaître quelques bonnes pratiques avant de vous lancer dans les réseaux 

  • N’hésitez pas à donner en premier… pour recevoir
  • Soyez sincèrement à l’écoute notamment des besoins de vos interlocuteurs ainsi que l’activité
  • Recontactez rapidement chaque personne rencontrée
  • Créez-vous un pitch de 30s ou 1 minute afin de pouvoir vous présenter facilement, susciter l’intérêt et être mémorisé 
  • N’oubliez pas vos cartes de visite

6 conseils pour implanter un modèle gratuit (freemium)

Vous voulez attirer une clientèle et vous avez un produit de qualité. Pour la séduire vous décidez de choisir le modèle gratuit (freemium) qui permet à l’utilisateur de « goûter » votre produit, jeu, logiciel… qui fait qu’une fois la confiance établie, l’utilisateur n‘hésitera pas à prendre votre modèle payant.

Ainsi de nombreux logiciels comme Skype, team Viewer ou bien les logiciels de protection de votre ordinateur vous proposent à chaque fois que vous vous connectez de prendre un modèle plus complet. Le modèle freemium possède des points communs avec le business traditionnel, mais il a aussi ses particularités. Voici six conseils pour se lancer dans les meilleures conditions.

Bien réfléchir au business model. 

Avant toute chose, n’oubliez pas que le gratuit est un business model à part entière. Si vous souhaitez proposer des biens ou services gratuitement à vos utilisateurs, il vous faudra bien choisir les moyens de vous rémunérer par ailleurs car vous ne pouvez évidemment pas ne pas gagner d’argent. Oublier cette étape est un peu comme si vous souhaitiez aller quelque part mais que vous n’avez aucune idée de l’itinéraire.

Les éléments suivants peuvent vous sortir de base comme mode de rémunération :

  • financement via la publicité,
  • subventions croisées,
  • coût marginal nul,
  • rémunérations par un partenariat commercial,
  • le don,
  • système hybride…

A vous de trouver celui qui correspond le mieux au produit que vous vendez et sa cible. Par exemple, le modèle publicitaire, très utilisé sur le web, sera rentable si et seulement si votre site enregistre des millions de visites chaque jour. Si vous vendez un bien ou un service destiné à une niche de consommateurs, il est peu probable que vous possédiez cette audience. Il vaudrait mieux adopter un modèle gratuit qui allie publicité et services payants par exemple.

Regarder ce que fait la concurrence. 

A l’instar des autres business, il vous faudra réaliser une étude de marché permettant non seulement de déterminer le bon moyen de vous rémunérer, mais également d’observer ce que font vos potentiels concurrents. Ont-ils opté pour un modèle totalement gratuit ? Si oui, n’y a-t-il pas des coûts cachés ? Monétisent-ils leur base de données ? Est-ce la meilleure chose à faire en fonction de votre propre business ? Evoluent-ils en B to B ou en B to C ? En répondant à ces quelques questions, vous pourrez ainsi voir comment un autre acteur fait pour monétiser sa gratuité. Cette démarche vous permettra de valider si votre idée est la bonne… ou pas. A noter que ce n’est pas parce que l’ensemble des acteurs ont opté pour un business model que c’est le bon.

Économiser sur les coûts fixes.

A la différence du business traditionnel, quand on se lance dans le gratuit, il ne faut pas s’attendre à récolter le fruit de ses efforts rapidement. Pourtant, les coûts fixes engendrés par le fonctionnement de votre entreprise, eux, doivent être honorés avant d’obtenir un juste retour sur investissement (ROI). Dans le freemium, la seule manière de gérer au mieux ce décalage est d’économiser sur les frais fixes. Il n’y a pas de méthode type et chaque entrepreneur sait à un peu près là où il peut rogner. Cela peut être sur les frais de location d’un local commercial, l’achat de matériel d’occasion, l’économie d’un téléphone de fonction, etc. 

Choyer ses early adopters. 

Ce sont vos premiers ambassadeurs ! Ils adhèrent au service que vous proposez, l’utilisent, vous suggèrent gracieusement des améliorations, et surtout, en parlent autour d’eux ! Et on sait ô combien la suggestion d’un(e) ami(e) peut-être déclencheur dans le test d’une prestation. Et ce n’est pas tout. Il y a fort à parier que vos early adopters deviennent vos premiers abonnés de l’offre premium et… ses plus grands impresarios ! Vous avez compris la mécanique. Choyez-les plus que tout car ils vous permettront peut-être de tenir la distance jusqu’à que vous trouviez l’équilibre.

Investir dans la communication pour être visible en amont ! 

Être visible est important pour tout types de business, mais c’est encore plus vrai dans le monde du gratuit, que vous évoluiez dans le digital ou pas. Si vous optez pour un tel business model, les produits ou les services proposés ne rapporteront pas directement de l’argent comme dans le commerce de détail traditionnel. En général, les rentrées se feront par des biais indirects (annonceurs, partenaires commerciaux, collecteurs de donnés utilisateurs, etc.), qui en échange, exigeront une visibilité auprès de vos consommateurs.

Un budget communication à prévoir

Il est donc crucial de prévoir un budget marketing et communication conséquent pour se rendre visible auprès de votre cible. BFM TV, la chaîne gratuite d’information en continu, lance régulièrement des campagnes d’affichage dans la rue. Le but ? Conquérir ou fidéliser des spectateurs afin de vendre plus d’espaces publicitaires aux annonceurs, si possible plus chers. Même dans un modèle hybride comme le freemium – où une partie gratuite cohabite avec une partie payante – obtenir de la visibilité s’avère nécessaire. Car l’objectif est bien de convertir les utilisateurs gratuits en abonnés payants. En somme, la communication devient le nerf de la guerre.

Être plus persévérant que dans un business model traditionnel. 

La rentabilité du modèle gratuit s’obtient sur un temps plus long que dans le commerce traditionnel.

  • Développer une audience,
  • trouver des annonceurs pour la monétiser,
  • trouver des partenaires commerciaux,
  • lancer une partie premium de son service,
  • convaincre les utilisateurs gratuits de s’abonner,

Toutes ces étapes requièrent du temps, de l’argent, de la persévérance et… beaucoup de patience !

Bien prendre conscience du temps

C’est pourquoi la stratégie commerciale d’un business gratuit doit prendre en compte ce fossé entre le lancement de l’activité et les premières rentrées d’argent. Le site web du média américain Pitchfork, spécialisé dans les musiques électroniques et indépendantes, est assez illustrant. Depuis son lancement en 1996, le site a constitué patiemment sa base de lecteurs en fournissant une information culturelle pointue et régulière. Avec près d’1,5 million de visiteurs uniques par mois aujourd’hui, la publication online se monétise via la publicité, une nouvelle revue papier et un festival de musique très populaire. 

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Restaurateur, comment faire la promotion de votre nouvel établissement ?

La restauration est un secteur qui peut être saturé en fonction de la zone d’implémentation. Pour résister à la concurrence dès les premières heures d’ouverture, vous devez préparer la communication autour de votre établissement et mener quelques actions pour faire la publicité de votre restaurant. Cela est important pour vite vous faire connaître et enregistrer rapidement et facilement des réservations de table.

Organisez une soirée événementielle pour l’ouverture de votre nouveau restaurant

La communication autour d’un nouveau restaurant ne doit pas être menée avec négligence. Pour garantir un plein succès dès l’ouverture des portes, vous devez définir une bonne stratégie de promotion. Dans cette optique, organisez une soirée événementielle pour vite vous faire connaître par les habitants et par vos connaissances. Le plus important, c’est de faire découvrir le cadre à vos invités du premier soir, mais surtout le menu du restaurant. N’oubliez pas de commander et de faire imprimer des plaquettes ou des dépliants à déposer sur les tables pour faciliter les commandes de vos plats. Ils peuvent être en « Z » avec des volets de gauche à droite, vernis ou dorés, de format A5 ou A4.

La rigueur dans les préparatifs est capitale pour marquer un grand coup et faire bonne impression à toutes les personnes conviées à l’inauguration et aux gens de passage. Soignez la liste d’invités, car ceux qui répondront à l’appel doivent correspondre à une gamme de clients en fonction de vos prestations. Même si les plats sont bien dressés et que les mets sont savoureux, vous devez prêter une attention particulière à la qualité du service. Dans un restaurant, c’est toujours sur un ensemble d’éléments que se base l’appréciation. Gardez néanmoins à l’esprit qu’en dehors des invités, les passants ou ceux qui ont reçu vos flyers peuvent venir déguster votre menu.

Contactez les blogueurs et les journalistes culinaires qui couvrent votre région

Le marché de la restauration est assez encadré. Vous trouverez facilement des professionnels qui peuvent décrire votre activité avec des mots qui donnent envie de faire un tour dans votre établissement. Il y a par exemple les journalistes culinaires, que vous devez contacter absolument. Ayez une préférence pour ceux qui couvrent votre région pour voir paraître dans le journal régional une critique sur votre restaurant dans la rubrique « découvertes culinaires et gastronomiques ». Cette publication vous apportera une certaine visibilité locale. À votre insu, des critiques gastronomiques peuvent passer et commander quelques plats. C’est ce type de visite incognito que redoutent le plus souvent les chefs de restaurant.

La démarche doit être la même sur internet. Vous pouvez inviter des blogueurs locaux qui traitent des thématiques liées à la cuisine. Ils rédigeront des articles pour présenter votre jeune restaurant et les différents services que vous proposez. À titre exceptionnel, vous pouvez convenir d’un créneau pour donner une interview aux blogueurs qui en font la demande. Cela est toujours un plus à votre actif pour faire la communication sur votre établissement, sur l’entrepreneur que vous êtes ainsi que sur votre équipe.

Créez une page dédiée à votre restaurant sur les principaux sites de réservation en ligne

Internet peut contribuer à accroître la renommée de votre nouveau restaurant. Pour ce faire, vous avez simplement l’obligation d’enregistrer votre établissement sur des plateformes qui sont réputées pour la réservation en ligne. Elles doivent néanmoins être accessibles aux restaurants. C’est le cas de TheFork qui est un site web exclusivement dédié à la réservation de restaurant en ligne. Vous disposez sur ce type de portail d’un ensemble d’outils pour créer une page de présentation de votre restaurant. Ainsi, tous les internautes qui recherchent un endroit où manger dans la région, en journée ou en soirée, peuvent trouver rapidement votre adresse en ligne.

L’objectif est d’attirer les consommateurs dans votre restaurant pour déjeuner ou dîner. Ceux-ci vont vous noter sur les plateformes où ils ont réservé une table, ce qui contribuera à votre positionnement parmi les établissements les plus populaires de votre localité. Les abonnés à ces sites et qui voient votre restaurant dans le top du classement seront curieux de découvrir votre établissement et d’expérimenter vos plats. Une fois satisfaits de vos prestations, ils n’hésiteront pas à faire votre publicité autour d’eux et à revenir avec leurs amis pour un déjeuner ou un dîner.

Mettez à jour vos réseaux sociaux avec des photos de votre nouvel établissement

Étendre et soigner votre présence en ligne doit se poursuivre avec les réseaux sociaux. Créez une page ou un compte professionnel pour le restaurant sur les plateformes les plus connues, notamment Instagram, Facebook, TikTok… Par contre, vous avez l’obligation de rester actif pour gagner des abonnés et pour faire grandir votre communauté. Pour ce faire, postez régulièrement du contenu sur votre page. Pour un début, commencez par partager :

  • les photos de l’entrée, de l’accueil et de la cuisine,
  • les photos de votre brigade de travail,
  • les photos de quelques plats favoris de la clientèle,
  • les photos avec quelques personnalités parmi les clients,
  • la photo du dépliant de votre menu,
  • les offres promotionnelles de saison,
  • les annonces de recrutement…

En fonction du quotidien de votre restaurant, vous trouverez toujours des idées pour animer et mettre à jour vos réseaux sociaux. L’important, c’est de communiquer davantage sur votre entreprise pour maintenir un lien avec vos abonnés. Il vous sera plus facile de leur demander de noter votre restaurant au fil du temps.

Offrez des coupons aux clients qui réservent directement sur votre site web

En dehors des autres initiatives menées pour marquer votre présence sur le web, vous devez disposer de votre propre site internet pour plus d’indépendance. Il doit être conçu avec un thème propre à la restauration. Sollicitez un développeur web pour sa réalisation et vous obtiendrez une interface unique. La partie consacrée à la réservation doit être ergonomique et rapide à renseigner. Assurez-vous de faire connaître votre site web à vos abonnés et à vos clients et, pour ce faire, mentionnez-le sur tous vos supports de communication et de publicité.

C’est un investissement qui doit vous rapporter de l’argent, c’est d’ailleurs sa première raison d’être. C’est pour cela que vous devez motiver les clients qui effectuent régulièrement la réservation depuis la plateforme du restaurant. Offrez-leur des coupons qui leur permettront de réduire leur facture chaque fois qu’ils mangeront à votre table. Il sera normal pour eux de faire bénéficier de cet avantage (ou de ce privilège de clients VIP) à leurs contacts. Vous enregistrerez ainsi un trafic croissant sur le portail en ligne de votre nouvel établissement, ce qui aura un impact positif sur votre chiffre d’affaires.

Comment réussir la refonte de son site Web ?

Votre Boutique E-commerce ne vend pas assez de produits ? L’image de votre site Web n’est plus en adéquation avec votre marque ? Les optimisations que vous apportez au quotidien ne vous permettent pas d’augmenter significativement votre taux de transformation (le ratio des internautes qui arrivent sur un site Web sur ceux qui achètent un produit) ?

Vous décidez alors de reconstruire un nouveau site Web, plus adapté aux attentes de vos clients. Cette fois, vous n’avez plus le droit à l’erreur afin d’atteindre tout de suite vos objectifs de chiffre d’affaires.

Quelles sont les solutions pour réussir la refonte de son site Web ?

Prendre beaucoup de risques, en faisant confiance à son intuition, en imitant des concurrents ou en s’inspirant de grands sites reconnus. Cela peut jouer de mauvais tours : risque financier si l’opération ne fonctionne pas sur votre cible et dans votre secteur, risque d’image, où l’on peut perdre en 5 minutes, ce qu’il faut des mois à reconstruire.

Alors, existe-t-il une autre clef pour résoudre définitivement l’équation : Plus rapide / Moins risqué / Plus rentable pour réussir la refonte de son site Web et augmenter votre conversion ?

Test de Perception et de navigation 

Avant de tout détruire, il faut savoir quoi et comment reconstruire votre E-Boutique, en justifiant vos choix par des données statistiques fiables. Pour cela, il vous faut : 

Savoir quoi améliorer et quoi refondre, du point de vue utilisateur

  • Analyser la perception de vos utilisateurs,  
  • Répondre aux attentes et besoins de vos clients, 
  • Connaître leurs freins et motivations, 
  • Comprendre la navigation de vos internautes.

Vous pouvez demander l’avis de vos amis et employés / réunir des gens dans une salle et les interroger / Suivre leur regard… Afin d’être plus objectif et représentatif, vous pouvez également envoyer un Email à un panel de 500 personnes, clients et non clients (dans un objectif d’acquisition et de fidélisation), en leur demandant d’essayer d’acheter un produit sur votre site et en les en leur posant des questions fermées, mais surtout ouvertes, pour les laisser s’exprimer normalement. Des solutions existent également pour suivre le déplacement de la souris des vrais internautes du site et leur comportement. Croiser des données de Perception et de Navigation vous sera très utile. 

Il ne vous reste plus qu’à analyser ces résultats pour obtenir une liste de recommandations opérationnelles prêtes à être illustrées. Avant d’intégrer vos maquettes statiques ou dynamiques et de les passer en production, il est recommandé de les pré-tester et de les comparer pour construire une version améliorée.

A noter : l’utilisateur a souvent raison, mais pas toujours !

Tester la performance de vos pages : Navigateurs / OS / Ecran/ Temps de chargement

Il est difficile d’imaginer que votre expérience de navigation est différente des autres utilisateurs.
Pourtant, c’est bien le cas. Vos utilisateurs ne voient pas exactement la même chose que vous en fonction de leur navigateur, résolution d’écran, OS utilisé, rapidité de connexion…

Les tests de performance sont de plus en plus indispensables afin de s’assurer de la bonne intégration de vos pages.

Tester en live vos nouvelles pages sur un % de vos vrais utilisateurs :   

1/ Test AB ou Test Multi varié

Avant de déployer votre nouveau site internet sur l’ensemble de votre audience, il est possible de rediriger une partie des internautes qui arrivent sur votre site Web, sur votre nouvelle version. Les utilisateurs, eux, ne peuvent pas savoir qu’ils sont en conditions de tests.

Vous suivrez ainsi, sans prendre de risque et en temps réel, l’efficacité de votre nouveau site, selon les indicateurs suivant s: Nombre de pages vues & temps passé avant conversion / Taux de transformation 1e et 2e visite / Taux de transformation Client / Nouveau client / Nouveaux visiteurs / Anciens visiteurs / Taux de transformation par type de produit acheté / Taux de rebond par type d’utilisateur / Taux de scroll / Montant et nombre d’item par Panier / Gain par visiteur…

Comprendre le comportement des internautes pour construire la version optimale :   

2/ Test de navigation

Vidéos de Navigation / Cartes de chaleur / Mesure Exposition / Temps passé par zone / Temps avant clic / Hésitation… vous permettront d’identifier les points positifs et négatifs de chaque version afin de construire la version optimale.

Mesurer l’efficacité de vos pages uniquement sur l’angle de la performance ne suffit pas pour obtenir le meilleur résultat possible. La version testée, même si elle obtient de meilleurs résultats, est encore optimisable, grâce à l’analyse du comportement utilisateur.

En résumé : voici les bonnes recettes pour réussir la refonte de son site Web :

1) Savoir quoi tester et quoi optimiser
2) Adapter la méthode de test à votre infrastructure technique
3) Mesurer le temps de chargement
4) Tester les versions sur différents navigateurs, OS, résolution
5) Vérifier la conformité et la cohérence des données
6) Vérifier la significativité des données dans le temps
7) Exclure des groupes qui viendraient fausser les résultats
8) Garder deux sites iso sur toute la durée du test
9) Identifier des objectifs clairs, précis et mesurables
10) Analyser l’expérience utilisateur sur chaque version
11) Analyser les éléments positifs et négatifs de chaque version pour construire la version optimale

Attention, les tests doivent s’inscrire dans une logique de Retour sur investissement.

Faire « du testing pour du testing » peut s’avérer chronophage et peu efficace.

Vous devez réussir à passer de la donnée analysée à la réalisation de recommandations, prêtes à être mise en place rapidement. Pour cela, il vous faut identifier précisément quels sont vos objectifs et les leviers d’augmentation de la performance du site, par ordre de priorité. Par exemple, l’optimisation d’une page « qui sommes-nous ? » n’influence pas autant l’augmentation de votre taux de transformation comme le ferait une page liée à la recherche de produit.

Il ne vous reste plus qu’à vous lancer, en toute sécurité, et à suivre l’augmentation de votre chiffre d’affaires 

« Janvier » : le mois des bilans

Janvier représente généralement une période chargée pour les entreprises ayant un bilan fiscal au 31 décembre. Pour réaliser une clôture dans les meilleures conditions, il faut savoir se préparer et s’organiser et surtout avoir transmis tous les éléments à votre comptable. Comment procéder si nous ne comprenons pas les enjeux de la liasse fiscale ?

Ce qu’il faut savoir

Chaque entreprise à son propre plan comptable adapté à l’activité. Ainsi, la comptabilité générale, trace tous les éléments de l’exercice et permet d’établir le bilan et le compte de résultat. LA difficulté de l’édition de la liasse fiscale réside, même si la comptabilité n’est qu’un élément des processus financiers qui fige les comptes de l’exercice, dans la qualité du contenu qui doit respecter des règles d’excellence. En effet, le support servira en cas de contrôle fiscal. Le faire par soi-même s’avère généralement un exercice périlleux, surtout quand on sait qu’un contrôle peut remonter jusqu’à 3 ans à date de sa notification, ce qui entraine dans certains cas un glissement sur un an supplémentaire.

Alors comment procéder ?

Il s’agit sur cette période travailler étroitement avec votre expert-comptable pour l’enregistrement des dernières factures et derniers paiements avant d’engager les opérations d’inventaire. Enfin, pour vous aider à comprendre comment votre partenaire va opérer, voici les postes demandant une justification des soldes :

1. Comptes de capitaux

Ils sont généralement mouvementés, par le PV d’assemblée générale sur l’affectation du résultat de l’exercice précédent. Ainsi, ils peuvent aussi contenir des emprunts et dettes.

2. Comptes d’immobilisations

Ils sont alimentés ponctuellement par des investissements et généralement par les dotations annuelles.

3. Comptes de stocks et en cours

Selon l’activité, ils sont alimentés par des marchandises ayant fait l’objet d’un inventaire physique ou des études et prestations ayant fait l’objet d’un état des travaux en cours.

4. Comptes de tiers

Ces comptes sont principalement : Fournisseurs, Clients, Charges sociales, Etat impôts & taxes et Autres comptes débiteurs ou créditeurs divers.

5. Comptes financiers

Ils représentent les éventuels placements et les disponibilités en banque et caisse. Il faut aussi vérifier la cohérence des comptes du résultat. Pour ce faire, nous vous invitons à analyser chaque compte de classes (6 Charges) & (7 Produits) au regard de l’exercice précédent pour vérifier la pertinence des variations.

En ce sens, la finalité de ces travaux, sera présentée aux actionnaires pour approbation et affectation du résultat, lors de l’Assemblée Générale.

Le bilan : un devoir qui prend du temps

A noter que si généralement les bilans prennent du temps c’est parce qu’ils impliquent de vérifier tout ce qui a imputé ou non sur un exercice. Il s’agit de contrôler l’ensemble de vos ventes mais également de vos achats pour vérifier qu’ils sont bien imputés sur la bonne année. En effet, par exemple, ce n’est pas parce que vous encaisser une facture sur 2023 qu’elle n’a pas été éditée en 2022. Inversement, la prestation peut s’être terminée en 2022 et la facture peut n’avoir été éditée en 2023, tout simplement parce qu’elle se clôturerait au 31 décembre et que vous n’aviez pas tous les éléments pour l’éditer. C’est pourquoi, vous l’aurez compris, le bilan est un exercice où il vous faudra souvent être méticuleux pour bien identifier où chaque facture doit être affectée. 

Lire les avis en ligne pour mieux fidéliser le client

Certaines entreprises prêtent une attention particulière aux avis en ligne alors que d’autres les ignorent. Pourtant la e-réputation est essentielle quelle que soit l’entreprise et disposer d’une mauvaise réputation peut vite faire fuir vos prospects.

Les avis en ligne occupent une place non négligeable dans le choix des consommateurs et des clients selon une ancienne étude autour des avis en ligne réalisée par Opinion Way et les Pages Jaunes sur un échantillon de 2 003 personnes et 1 003 TPE-PME.

Une aide aux choix pour les clients

Les avis postés permettent de cerner la réputation d’une entreprise, d’un professionnel ou d’un commerce. Parmi la population française, 7 Français sur 10 consultent des avis en ligne avant de réaliser leur choix et n’hésitent pas à comparer entreprises, produits ou services. C’est dire que les avis en ligne représentent un réel intérêt pour l’internaute mais bien évidemment il en est de même pour les entreprises.

La présence d’avis sur une page rassure les internautes. Si avant d’effectuer un achat, l’internaute consulte les avis pour s’assurer de la qualité du produit, il le fait également pour s’assurer qu’il pourra s’exprimer s’il n’est pas satisfait. Il peut rechercher l’avis des autres afin de voir les éventuelles contraintes à prendre en compte avant de passer à l’achat.

Un lieu pour s’exprimer

60 % de la population française postent régulièrement leur retour d’expérience sur un professionnel, une entreprise ou un commerce. Ils ne se contentent pas comme on pourrait le croire d’exprimer leur mécontentement selon la réputation des français et d’être « des râleurs », ils aiment aussi exprimer des avis positifs et devenir acteurs.

Il représente également un moyen de fidéliser les clients. L’échange entre le commerçant et le client est une manière efficace, simple et naturelle de créer de la confiance. La dynamique d’échanges et la possibilité de répondre aux questions de l’internaute créent un lien entre les deux parties qui peut se prolonger dans le temps. 

Pourquoi prendre l’avis de ses clients en compte ?

1/ Les internautes se font confiance

Le constat est qu’après avoir suivi les avis positifs de clients, le client est souvent conforté dans le fait que c’est une idée pertinente car il s’informe par lui-même et de manière indépendante. Personne n’aime se tromper et l’avis des autres clients représentent souvent un bon indicateur. Il s’avère déterminant lors du choix final d’un produit ou d’un autre. L’avis client rassure et vous pourrez renforcer la satisfaction clients. Certains n’hésitent pas à solliciter leurs clients satisfaits afin qu’ils postent leur avis.

2/ Il peut indirectement vous faire connaître ses futurs besoins

Il se peut que l’utilisateur ne connaisse pas lui-même exactement ce dont il aurait besoin et se demande s’il sera satisfait par votre produit / service. Rien ne vous empêche d’essayer d’aller plus loin avec ceux qui le souhaitent et de pré-devancer leur futur besoin. Votre produit possède certaines caractéristiques qui seront améliorées dans le temps même s’il est le produit le plus innovant qui existe au moment. N’hésitez pas à vous enquérir sur les autres produits qu’ils utilisent car il se pourrait bien que votre axe d’amélioration soit dans un domaine qui se révèle connexe au vôtre et qui pourrait être regroupé dans une solution unique.

3/ Il peut devenir un ambassadeur

Même au-delà de vous recommander auprès des autres clients, certains clients n’hésitent pas à prendre un rôle plus important : celui d’ambassadeur. Ils deviennent alors des véritables vecteurs de communication de la marque, n’hésitent pas à répondre aux autres usagers et deviennent souvent les « early adopters » (premiers utilisateurs, ndlr) de vos autres produits. Prendre l’avis client peut inciter le client et à se plaindre, mais la plupart du temps l’avis client demeure surtout l’occasion pour vous de prendre du recul sur votre activité et de vous demander comment vous pourriez mieux faire.

4/ Les avis sont essentiels pour le référencement naturel

Les avis consommateurs sont un indicateur précieux et le moteur de recherche de Google les prend en compte notamment. En effet, ils génèrent une activité sur votre page. L’actualisation d’une page est, en effet, l’un des nombreux critères pris en compte par le moteur de recherche pour classer les requêtes car l’acheteur peut apporter dans son message des mots clés absents de la fiche produit et permettre à la boutique de se positionner sur des requêtes spécifiques.

5/ Les avis peuvent être affichés dans les outils de Google

Google représente un outil incontournable en France avec plus de 90 % des recherches effectuées sur son moteur de recherche. Si le référencement naturel peut être amélioré grâce aux avis, ces derniers peuvent également améliorer votre taux de conversion des clics dans les pages de résultats, le fameux CTR, ou en anglais Click Through Rate.

La mise en place dans le code HTML des pages produits de métadonnées, ou Rich Snippet en anglais, permet d’afficher sous forme visuelle la note moyenne du produit et le nombre d’avis exprimés. Une note visuelle peut également être affichée dans les publicités du réseau Google Adwords avec l’activation de l’extension automatique d’avis sur le marchand. La note est calculée dans ce cas non seulement sur les avis publiés sur le site mais aussi à l’aide de sources comme Google Marchands de confiance, Google Avis clients ou StellaService. La note affichée n’est pas celle du produit mais une note globale relative au e-commerce.

6/ Un avis négatif ? Contactez le client !

Pour chaque mauvais commentaire, prendre le temps d’y répondre fait partie des usages qui devraient être incontournables. En effet, un client sans réponse peut vite manifester son mécontentement. Sans oublier que ces clients deviendront de fervents ambassadeurs de votre image de marque auprès de leurs proches car ils seront satisfaits que vous ayez pris en compte leurs avis et pris le temps d’y répondre.

7/ Les faux avis, que faire ?

La DGCCRF contrôle de plus en plus régulièrement les commentaires pour déterminer leur véracité. Cependant, il est difficile de supprimer les faux avis des internautes. La conséquence est significative puisque 55 % des personnes refusent de consulter des avis. Les entreprises constatent les mêmes difficultés à détecter les vrais avis et les moyens de contrôle restent encore très limités. Certaines entreprises n’y prêtent pas attention. Cependant, il est évident que la crédibilité auprès des utilisateurs passe par le fait d’avoir des avis aussi bien positifs que négatifs. On ne peut pas toujours satisfaire tout le monde !