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Comment faire pour se réveiller motivé chaque matin ?

Se réveiller motivé chaque matin, alors que lorsque vous ouvrez les yeux des images peu réjouissantes vous viennent à l’esprit, n’est pas si facile. Celles-ci vous rappellent ce que vous allez devoir affronter dans la journée et une seule envie vous tenaille celle de rester sous la couette. Si vous êtes familier avec les success stories, vous savez pertinemment que la motivation est l’élément principal de la réussite. 

De nombreux entrepreneurs sont conscients que leurs succès sont dus à la motivation et au fait de défier sans cesse l’adversité. C’est votre motivation qui vous permettra d’achever ce que certains aimeraient pouvoir réaliser sans bouger le petit doigt et finalement ne réaliseront rien. La motivation demeure une qualité qui change votre vision, votre ambition, votre énergie et votre productivité. C’est pour cela qu’il est important de l’entretenir en permanence sinon vos objectifs et vos rêves seront engloutis par la force d’inertie, mangeuse de talents. Voici quelques conseils des plus grands coachs pour vous réveiller motivé.

Décider de réaliser vos rêves quels qu’ils soient

Vous devriez être inscrire sur un support à la portée de votre vue vos rêves et vos plus grands objectifs. Vous pouvez utiliser un tableau ou un poster sur lequel vous aurez écrit vos rêves, vos buts, des citations, etc. Ainsi, vous pourrez ainsi rester concentré sur vos objectifs finaux, vos devoirs et vos responsabilités et votre réussite ! Il vous suffira ensuite de décliner vos rêves en tâches ou objectifs pour vous intéresser à comment les réaliser. 

Vivre le présent, un point c’est tout

Lorsque vous pensez au futur, vous pouvez vous sentir découragé et lorsque vous pensez au passé, vous pouvez avoir des remords de ne pas avoir fait ce que vous auriez dû faire. En perdant votre temps à espérer ou regretter, vous ratez des opportunités et vos concurrents ont déjà pris la place que vous convoitiez. L’inquiétude et l’anxiété sont les pires ennemis dans l’entrepreneur. Si vous voulez réellement réussir alors il faudra d’abord apprendre à contrôler vos émotions et à ne vous concentrer que sur l’instant présent. Accomplissez vos objectifs quotidiens, hebdomadaires, mensuels, annuels et cela sans tergiverser.

Lutter contre l’inertie

Personne n’aime s’imposer des contraintes mais elles font partie de la vie et plus particulièrement de la vie professionnelle. C’est en vivant les contraintes comme des défis que l’on se construit un meilleur avenir, que l’on gagne en liberté. Le défi nous donne la liberté d’accomplir les tâches les plus ardues et nous permet également de développer notre potentiel, de nous améliorer et de ne jamais rien regretter. Comme la motivation, le défi doit faire partie de notre manière d’appréhender la vie. L’inertie n’est pas écartée mais elle cède devant le défi.

Se créer un environnement adéquat

Votre environnement doit pouvoir vous donner de l’énergie et vous inspirer. Entourez-vous d’images, de photos, de musique qui vous motivent mais ne le transformez pas en un fourre-tout où tout s’entasse pêlemêle. Le désordre n’est guère porteur de créativité et encombre l’esprit. Votre environnement où toute la magie s’opère doit être un espace convivial qui inspire la sérénité.

Avoir des citations célèbres à votre portée

Inscrire des citations célèbres et motivantes dans un carnet vous donnera l’inspiration nécessaire lorsque tout ira mal. Elles vous aideront et vous accompagneront durant tout le long de votre défi. Les citations ont plus d’impacts que l’on imagine mais leur effet n’est que temporaire, c’est pour cela qu’il faut en reprendre une dose chaque jour et essayer d’en diversifier les thèmes (le courage, l’échec, le défi, la joie, l’amitié…). Nous sommes peut-être génétiquement uniques mais nos problèmes et nos questions ne le sont pas. Apprendre du passé et des expériences de nos ainés ou de ceux qui ont réussi à traverser les pires difficultés est la manière la plus sage de régler nos problèmes. Elles vous apprendront que le succès implique des sacrifices, de l’acharnement, et aussi de la joie etc.

Faire de l’exercice physique

Afin de rester motiver, il faudra repousser les pensées négatives. Une des manières pour y remédier se trouve dans le sport. Être physiquement en bonne santé aide à combattre les pensées parasites. L’endorphine sécrétée nous rend plus heureux et l’effort cardiaque nous donne plus d’énergie et d’endurance. SI vous observez la routine matinale des plus grands entrepreneurs vous verrez qu’ils pratiquent tous un sport dès le matin.

Profiter de chaque instant pour vous cultiver

Que ce soit lire, visiter des expositions, aller à des concerts, sortir de son quotidien est toujours une source de motivation et d’élan. La lecture en nous faisant quitter le quotidien nous permet d’aller plus loin et d’ouvrir de nouvelles perspectives.

Identifier vos émotions pour mieux les maitriser

N’hésitez pas à identifier et cerner vos émotions et à les noter dans un journal par exemple. Vous allez commencer à vous connaître de mieux en mieux et pouvoir observer les éléments qui vous rendent heureux, débordants d’énergie ou dépressif. Être attentif à vos émotions, à votre ressenti, mettre des mots sur l’intensité de vos émotions vous permet d’appréhender votre conscience émotionnelle et vous aidera à mieux vous comprendre pour passer à l’action.  Par la suite vous pourrez utiliser ses connaissances à votre avantage. Ce journal, mémoire de votre conscience, vous aidera à y voir clair et à sortir du statut quo. Effectivement, la majorité de nos pensées quotidiennes sont les mêmes que la veille, mais grâce à ce journal vous serez capable de clarifier vos idées et de bannir les pensées parasites, celles qui reviennent sans cesse pour détruire votre motivation.

Une émotion est un indicateur de notre manière d’être. L’identifier et en tenir compte vous permettra d’être motivée dès le matin quoiqu’il arrive.

3 signes qui montrent que vous êtes fait pour être un leader

On pourrait parfois croire que le leadership est une question de gènes tant le nombre de qualités requises semble élevé. Pourtant, s’il n’est certes pas donné à tout le monde de devenir un grand leader charismatique, il y a quelques éléments qui permettent de s’en approcher.  Une chose est sûre, tout le monde n’est pas fait pour être un vrai leader et ne possède d’ailleurs pas l’envie de le devenir. Voici trois caractéristiques qui pourront vous aider à déterminer si vous possédez les qualités nécessaires.

Vous ne dirigez votre équipe que lorsque c’est nécessaire

Nous avons tous rencontré des personnes qui cherchent à tout diriger. Qu’il s’agisse d’une séance de brainstorming stratégique, du choix des équipes de football ou d’une sortie en famille, elles ne peuvent pas s’empêcher de s’emparer de la position de leader et de tout contrôler.

Souvent opiniâtres, impatientes et parfois brusques, ces personnes se considèrent depuis leur plus jeune âge comme des leaders. Cependant, les vrais leaders doivent savoir déléguer pour pouvoir avancer. Il est clair que tout ne peut pas être contrôlé par une seule personne. Les vrais leaders ont tendance à avoir le fonctionnement inverse : ils analysent chaque situation et le rôle qu’ils doivent avoir. Ils ne considèrent pas qu’ils doivent avoir un contrôle sur tout. 

Vous observez toujours avant d’agir 

Beaucoup d’entrepreneurs pensent que le leadership est associé au mot « action » et au fait d’être le meilleur dans tous les domaines. Un leader ne doit pas être le plus fort, le plus rapide et le plus endurant. L’action n’est qu’un outil secondaire . En effet, il possède d’autres capacités telles que celles de voir plus loin que les autres, de trouver des réponses, des solutions, d’identifier les problèmes, les opportunités, les menaces, les risques. C’est cette capacité d’analyse qui fait leur force et pas uniquement leur capacité à agir.

Cependant, il ne faut pas négliger qu’un leader doit être exemplaire. Il ne doit pas se contenter d’être sans arrêt dans la réflexion. Il doit montrer qu’il est capable de faire et son comportement doit être exemplaire. En effet, les autres salariés se calquent généralement sur le sien.

Vous changez la vie des gens pour qu’ils deviennent meilleurs

Le vrai leader n’est pas obsédé par les résultats à court terme. Ce qui importe pour lui réellement, c’est la cohésion de l’équipe et le fait que chacun exprime au mieux son potentiel. Il va chercher plus loin avec tous les membres de son équipe, pour qu’ils s’épanouissent et deviennent meilleurs. En fait, il a tout simplement conscience qu’il ne peut réussir seul et que son équipe constitue son meilleur allié. Il doit donc s’intéresser aux objectifs de chacun car tout le monde n’a pas la même motivation ou les mêmes envies. Le vraie leader s’intéresse ainsi souvent aux formations et aux montées en compétences de chacun. 

Comment réussir un anniversaire d’entreprise ?

De plus en plus d’entreprises créent des évènements autour de leur anniversaire, pour célébrer comme il se doit, de magnifiques étapes depuis leur création et marquer les esprits auprès du public. C’est l’occasion de projeter l’image d’une firme moderne, retraçant son histoire, ses valeurs et ses ambitions tout en dévoilant ses moyens de production et les multiples visages qui la compose. C’est également l’opportunité de réunir les différents protagonistes qui font l’entreprise comme les collaborateurs, les salariés, les investisseurs et les clients, permettant de resserrer les liens. L’anniversaire d’entreprise apparaît comme un moment crucial qu’il ne faut pas négliger. Voici quelques conseils pratiques pour réussir réussir un anniversaire d’entreprise et marquer les esprits.

Réaliser un événement à la mesure de son entreprise

Que l’on parle d’un entrepreneur à la tête d’une PME, d’une équipe de co-fondateurs qui gère une start-up du le dirigeant d’un grand groupe international, les projets, les ambitions et les moyens financiers diffèrent. La réalisation d’un événement se doit de rentrer de tenir compte de certaines contraintes. Il suffit d’imaginer un chef d’entreprise d’une petite structure qui décide de louer un énorme espace sur les Champs-Élysées ou un responsable d’une multinationale qui fête un gros contrat avec un client étranger dans une petite salle des fêtes, pour comprendre que l’évènement doit les prendre en compte. Il n’est pas nécessaire de faire un événement trop grand ou, à l’inverse, qui ne soit pas à la mesure de son entreprise. Avant de fêter un quelconque événement, il reste nécessaire de définir ses ambitions et ses objectifs sur le long terme, afin de ne pas sombrer dans l’excessif. 

Bien choisir le thème ou le type d’événement

Choisir le thème ou le type d’événement pour un anniversaire d’entreprise est primordial. En organisant cette soirée, il faut obligatoirement répondre à un objectif précis et fixé à l’avance. Elle peut alors servir pour remercier des salariés, pour lancer un nouveau service ou produit, pour informer sur l’entreprise ou bien pour faire adhérer et convaincre des personnalités de s’associer à l’a firme. L’événement va donc s’adresse à un public en particulier qui n’a peut-être pas les mêmes attentes qu’un autre. 

La soirée de gala est le format d’événement le plus courant, permettant de fédérer l’ensemble de l’entreprise tout en invitant des clients et des personnes extérieures. La soirée à thème donne un côté original et décalé, plus réservé aux membres de l’entreprise. C’est l’occasion de mettre en place une bonne ambiance. Tout le monde peut participer à l’organisation, s’impliquer et réfléchir aux thèmes. Certains privilégieront les soirées déguisées comme une soirée années 80, rétro ou électro. Choisir de faire un voyage incentive peut s’avérer atypique et restera dans les mémoires. Les activités de team-building sont vivement conseillées dans ce cadre pour favoriser ou resserrer les liens avec les différents protagonistes.

Promouvoir sa soirée

Après avoir bien déterminé certains éléments de l’évènement comme le type de soirée, l’organisation et les cibles à privilégier, il est nécessaire de se pencher sur la manière de convier les différents participants et leur donner envie de venir. La société qui souhaite mettre en lumière son événement peut utiliser différents supports de communication pour atteindre son audience. Cela peut se faire via un reportage vidéo, une affiche ou un simple message écrit sur un carton d’invitation. 

Après avoir trouvé le support, il faut l’envoyer. Le contact par mail, par téléphone, en personne ou via les réseaux sociaux est à privilégier. Parmi ces différents canaux, les réseaux sociaux comme Facebook ou Instagram peuvent mettre en œuvre une communication rapide et efficace de l’événement, via l’ongle « créer un événement » pour la plateforme de Mark Zuckerberg et via les stories pour Instagram.

Marquer les esprits avant tout

Les entreprises et les marques ne se limitent plus à souffler leurs bougies, mais font preuve d’imagination pour mettre en place divers dispositifs pour marquer les esprits et se promouvoir. Elles jouent notamment sur la fibre nostalgique pour séduire les consommateurs.

Pour ses 125 ans en 2011, la marque américaine de soda, Coca-Cola, avait marqué le coup en s’installant dans une boutique éphémère sur deux étages, d’une superficie de 700 m2, près des Champs-Élysées. En effet, elle y présentait l’histoire de sa célèbre boisson via une collection d’affiches publicitaires et d’œuvres d’artistes. Cependant, pour les 90 ans de sa mascotte fétiche, Mickey, The Walt Disney Company s’est engagé cette année dans plusieurs collaborations avec des marques et des entreprises. On peut alors voir la petite souris sur des carnets de timbres de la Poste, sur des chaussures et des sweats Vans, sur des montres de la marque Nixon ou encore sur des produits high-tech de Google.

Le bien-être des salariés : une nouvelle conception du travail

Bien au-delà d’une simple crise passagère, le monde est entré dans un processus de profondes mutations. Cette nouvelle donne repose sur la notion de performance globale, dans laquelle la dimension sociale va s’imposer progressivement dans la stratégie des entreprises et de leur croissance à long terme en tant qu’élément différenciant.

Une transformation nécessaire des entreprises

Pour faire face à la concurrence venue des pays émergents due en partie à la faiblesse du coût de la main d’œuvre, les entreprises françaises ont tout intérêt à faire du développement du potentiel humain et de l’innovation, une priorité stratégique aussi vitale que la compétitivité et la rentabilité financière peuvent l’être.

Pour cela, elles doivent passer d’une logique orientée sur le profit des actionnaires vers celle de la prise en compte des intérêts de toutes les parties prenantes (actionnaires, salariés, fournisseurs, clients, environnement). Il ne s’agit pas de réfuter l’idée de profit car la première responsabilité sociale des entreprises est d’en faire, mais de prendre conscience des conséquences d’une politique qui se concentrerait uniquement sur le résultat final (fractionnement des tâches, individualisme, manque d’autonomie, reporting). 

Un changement de mentalité des salariés

Pour s’en convaincre, il suffit d’analyser les effets indésirables de l’ancienne politique (orientée uniquement sur le profit) sur la santé et le bien-être des salariés : augmentation de la consommation des psychotropes, mal-être, suicides, départ à la retraite vécu comme une délivrance, absentéisme, manque de motivation. 

Si autrefois, il suffisait de proposer une bonne rémunération et des avantages pour attirer des candidats, il faut constater que les mentalités ont bien évolué et que les salariés cherchent à se sentir bien également sur leur lieu de travail. Aujourd’hui, les salariés ne veulent plus souffrir au travail, ils aspirent à une amélioration de leur qualité de vie alliant l’épanouissement professionnel au développement de leurs compétences. De la même manière, ils sont à la recherche d’une utilité à leurs actions et à mettre du sens à leur action. 

Des politiques liées au bien-être efficace

Des études Anglos- saxonnes quantifient d’ailleurs le retour sur investissement des politiques de bien-être au travail : réduction de l’absentéisme de 9,3%, diminution du stress de 14%, chute du turn-over de 25%. En d’autres termes, ces politiques représentent un véritable levier d’autonomie et de performance des collaborateurs.

Mais pour être efficace, une modification de la conception du travail actuel vers des modes de concertations et de transparences semble nécessaire. La mise en œuvre d’une telle démarche implique une réelle cohérence de la part de l’entreprise qui va bien au-delà du bien-être de ses salariés. Tel un cercle vertueux, elle favorise l’innovation technologique en créant des produits et des services visant la qualité de vie des consommateurs et des clients. La boucle est bouclée.

Les entreprises qui ont d’ores et déjà enclenché cette vision, seront certainement les leaders de demain.

L’amour et l’entreprenariat, une association risquée ?

L’entrepreneuriat cause du tort au couple. Ce préjugé s’est largement répandu dans l’inconscient collectif. Il faut dire que le rythme de vie effréné et les nombreuses responsabilités de l’entrepreneur ne laissent parfois pas la place à une relation amoureuse stable et paisible. Mais ce constat s’applique-t-il vraiment pour tous les couples dont l’un des membres devient créateur d’entreprise ? Explications l’amour et l’entreprenariat.

L’entrepreneuriat nuit-il au couple ?

L’entrepreneuriat empiète dans l’immense majorité des cas considérablement sur votre vie personnelle et forcément sur votre vie amoureuse. Vous devez prendre en compte quelques conséquences avant de vous lancer. Déjà, il est possible que vous n’accordiez plus autant de temps à votre partenaire. Vous passez vos journées à perfectionner votre projet. La communication pourtant essentielle à un couple peut en souffrir et les moments que vous avez de libre ont tendance à devenir de long monologue sur votre entreprise.

Vos nerfs sont également mis à rude épreuve. Il se peut que vous reversiez votre stress sur votre conjoint (mauvaise idée) qui peut rapidement se lasser de votre comportement. De la même manière, le changement de statut social peut nuire à votre couple puisque certaines aisances peuvent disparaître lorsque vous créez votre société. Votre partenaire peut ne pas apprécier les sacrifices qu’il doit faire pour que vous accomplissiez votre rêve.

Parfois, le partenaire ne se révèle pas être un réel soutien et ne pas vous comprendre. « Tes histoires d’entreprise ne tiennent pas la route », « Ça ne va jamais marcher, tu aurais dû rester à ton poste confortable en entreprise ». Une opposition qui peut conduire certains à se séparer voire à divorcer.

Quant à ceux qui se lancent en tant que célibataire, il peut s’avérer difficile d’avoir du temps pour rencontrer sa moitié. Il faut noter que si vous faites une rencontre, l’avantage demeure qu’elle vous découvre avec votre métier et votre emploi du temps. Soit elle vous accepte comme vous êtes, vous et votre rythme de vie, soit elle ne l’accepte pas.

Apprendre à concilier sa vie amoureuse et professionnelle

Si certains se séparent, d’autres s’unissent davantage. N’oubliez pas non plus que 71% des entrepreneurs vivent en couple, selon une étude d’OpinionWay. Pour réussir le pari de concilier sa vie amoureuse et professionnelle, certains principes sont à mettre en place :

1/ Adapter son emploi du temps.

Malgré la charge de travail considérable demandée par votre projet, préservez des moments réservés entièrement à votre partenaire. Si vous ne pouvez pas prendre autant de temps, rien ne vous empêche de le rendre plus qualitatif : profitez de ces instants en décrochant de votre sphère professionnelle pour vous consacrer uniquement à votre moitié. Lorsque ces heures font partie intégrante de votre emploi du temps et qu’elles n’empiètent pas sur votre activité professionnelle, elles peuvent être vécues en toute tranquillité d’esprit. Elles  deviennent un réel moment de détente et de reconnexion.

2/ Privilégiez la communication 

Elle demeure essentielle dans votre couple. Ne créez pas de tabou ou de non-dits qui peuvent se révéler être un véritable fardeau sur le long terme. N’hésitez pas à inviter votre partenaire, à vous rappeler à l’ordre si vous vous étalez trop sur les conversations de boulot durant vos moments intimes, et inversement ne négligez pas sa vie professionnelle sous prétexte qu’elle ne demande pas autant d’investissement que la vôtre. Intéressez-vous à lui et posez-lui des questions du type « Ton travail s’est bien passé ? » et impliquez-vous à ses côtés pour devenir, l’un pour l’autre, un soutien mutuel.

Se lancer en couple, une bonne alternative ?

Certains couples ont tout simplement décidé de se lancer ensemble dans leur projet pour prolonger leur complicité dans leur travail. Un pari de taille car mener une vie de couple sereine et stable peut s’avérer difficile quand on connait la pression qu’entraine l’entrepreneuriat. Très souvent, on pense que les tâches doivent se répartir équitablement et la limite entre vie professionnelle et personnelle doit rester perceptible afin que le duo ait toutes ses chances de fonctionner. En France, la majorité des très petites entreprises artisanales et commerciales seraient d’ailleurs dirigées par des couples.

Bertile Burel et James Blouzard, fondateurs de WonderBox, ont monté côte à côte leur projet et ont franchi de nombreux obstacles. Leur solide communication leur a permis de réussir et de se placer en tant que leader du marché « Comme nous n’avions jamais travaillé ensemble auparavant, nous avions un peu peur. Et puis tout le monde nous disait que ce serait compliqué. Mais ce qui nous a rassurés, c’est le fait que nous avions réussi à faire ensemble un tour du monde de 6 mois, en nous retrouvant même parfois en danger de mort, et en ne nous engueulant qu’une seule fois ! » expliquait Bertile Burel.

Comment implanter le sport en entreprise ?

Le sport faisait partie des activités de la vie privée. Or, ces dernières années, la pratique du sport en entreprise crée un véritable engouement. Que ce soit grâce aux salariés ou à l’employeur, le sport prend sa place au sein des entreprises car il est reconnu que la pratique régulière d’un sport permet aux équipes de se détendre et de déstresser. Les locaux n’étant pas toujours adaptés, voici quelques idées pour faire du sport une pratique essentielle et conviviale dans votre entreprise.

Un temps difficile à trouver pour le sport

Avec l’évolution des nouvelles technologies, des entreprises, des transports et de la manière de travailler, les salariés deviennent de plus en plus sédentaires. Les salariés restent souvent assis toute la journée à leur bureau face à leur ordinateur. On recommande souvent de monter par les escaliers pour faire du sport chaque jour mais dans certaines entreprises, prendre l’ascenseur paraît incontournable à cause du nombre d’étages ou de la sécurité. Trouver du temps pour faire du sport à l’extérieur peut se révéler compliqué car le travail représente pour la plupart des salariés au moins 5 jours par semaine et environ 7 à 8 heures par jour. Il reste peu de temps pour s’adonner à un sport et le temps restant est souvent englouti par les obligations familiales.

Pourquoi faire du sport ?

Au sein d’une entreprise, la santé morale et physique des collaborateurs devient l’objet de toutes les attentions. L’expression, prononcée la première fois par Juvénal (poète de la Rome antique) prend tout son sens aujourd’hui. « Un esprit sain dans un corps sain ». Le sport en entreprise se positionne comme une solution au mal être. Goodwill-Management avait déjà réalisé une étude en 2016, qui soulignait qu’un salarié qui pratique régulièrement une activité sportive permet à l’entreprise de réaliser une économie de 7 à 9% sur les frais de santé annuels du salarié. Bien entendu, les salariés ne sont pas toujours friands de sport et il s’agit donc de les motiver et qu’une équipe entière puisse participer.  Pour satisfaire tout le monde au sein de l’entreprise, le principe essentiel est de choisir plusieurs activités.

Une telle pratique freine parfois les entreprises, elle nécessite des infrastructures et du temps. Il ne faut pas seulement se focaliser sur les inconvénients puisqu’il est prouvé qu’un salarié déstressé à l’aide du sport arrive à être plus productif que ses collègues.

Quel type de sport en entreprise ?

Même si ce type de pratique est souvent associé aux start-ups et à leur image cool, la pratique du sport en entreprise commence à attirer tout type d’entreprise. Certaines possèdent un panel plus diversifié pour la pratique d’un sport, quant à d’autres une ou deux activités suffisent. 

Tous les sports sont possibles, mais les plus fréquents restent tout de même le yoga, le foot en salle et la course. Cependant, certains collaborateurs auront horreur du yoga ou de la course. Proposer une offre diversifiée et adaptée permettra de générer plus d’attractivité auprès des salariés pour leur donner l’envie de se lancer. 

Il ne s’agit pas non plus de dépenser une fortune pour créer une infrastructure mais de savoir que trois éléments sont indispensables comme une salle vide, un coach et une douche. L’entraînement à des marathons ou des courses rencontre un véritable engouement au sein des entreprises. Ce type de sport nécessite seulement la venue d’un coach et la mise en place d’une douche. En ce qui concerne le yoga, une salle vide fera l’affaire. Pour une entreprise ayant, peu de moyens, des petits gestes inciteront les salariés à pratiquer un sport et les rendront plus attentifs par la suite.

Comment mettre des infrastructures à disposition ?

Pour certaines entreprises, mettre en place des activités sportives n’est guère simple. Il s’agit parfois d’un problème de place, de surcoût ou d’organisation. Pour d’autres il s’avère compliqué de motiver les équipes. Heureusement des start-ups ont développé leur business autour de ce concept. Elles gèrent les modalités d’organisation pour les équipes, proposent des locaux, des sports plébiscités, des plages horaires. Elles apportent un service de qualité pour les entreprises demandeuses, développent l’esprit d’entreprise et fédèrent les équipes grâce à des compétitions entre entreprises. 

Par ailleurs, elles proposent ainsi à deux entreprises de se retrouver autour d’un match de foot salle, de volley-ball ou autres. Ainsi non seulement les équipes feront du sport, mais elles créeront des échanges fructueux. Dans d’autres cas, des entreprises possèdent leurs propres locaux dédiés au sport et c’est un atout pour attirer les futurs employés, mais cela nécessite un budget conséquent. Quant aux espaces de coworking ils proposent des activités ludiques entre les diverses entreprises qui partagent l’espace.

La motivation des salariés avant tout 

Trouver les infrastructures ne s’avère pas vraiment compliqué avec toutes les entreprises spécialisées, mais le plus difficile reste de motiver les salariés. Certains adoreront l’idée et d’autres la vivront comme une contrainte et pour l’emporter des idées originales et innovantes doivent être développées. L’entreprise de vente de matelas Casper a voulu inciter ses salariés à pratiquer un sport, à l’aide d’une prime. Grâce à une application et de la géolocalisation, les salariés gagnent de l’argent à la suite d’une séance de sport ou à une bonne nuit de sommeil. La somme maximale étant 170 euros et diffère en fonction des activités réalisées (un kilomètre de marche : 17 centimes d’euros, 1,70 euro par kilomètre à vélo et la même somme pour une nuit de sommeil). Ce moyen a largement plu aux salariés et 69% sont devenus des adeptes.

Même si le sport rend productif et peut aider vos collaborateurs à décompresser, il s’agit avant tout d’obtenir leur adhésion et rester à l’écoute de leurs envies.

Travailler où je veux, quand je veux ? Est-ce possible ?

Depuis l’apparition de la COVID, la plupart d’entre nous ont constaté, que les nouveaux moyens de communication à distance, permettent de travailler selon son rythme sans se déplacer pour venir dans l’entreprise ou de travailler où que l’on soit dans le monde. Quels sont les business porteurs de cette opportunité ?

La condition pour travailler comme on l’entend reste d’avoir une connexion internet et que le lieu où l’on se trouve permette de se connecter comme on l’entend et n’oblige pas à s’installer dans un centre-ville comme cela arrive dans certains pays. Mais les évolutions technologiques permettent-ils, aujourd’hui, de se connecter de partout notamment avec les wifi portables ? Le décalage horaire n’a guère d’importance et c’est le cas de nombreux métiers “du web”.

Les nouveaux métiers du web

Citons les métiers les plus connus car ils sont issus de la création d’internet :

  • Développeur web
  • Rédacteur web
  • Webmarketer
  • Chef de produit ou projet web
  • Entrepreneur du web
  • Blogueur ou Youtubeur (avec modèle économique pour rendre l’activité viable
  • Assistant virtuel

Mais aussi de métiers qui grâce aux connexions web permettent de d’être exercés à distance. Les manuscrits peuvent parvenir en ligne au traducteur par exemple :

  • Traducteur
  • Tutorat et enseignement des langues
  • Coach
  • Consultant
  • Comptable
  • Community manager
  • Webmaster, Développeur web, Web-designer …

Quelques exemples de métiers

Les métiers du web par essence même permettent de travailler à distance. Du webmaster au web designer en passant par le Community manager… Ces métiers ont pour origine le web et donc sont le socle des nouveaux métiers. Les revenus peuvent y être générés par les annonces publicitaires, par la vente de vos propres produits numériques ou de ceux de vos partenaires affiliés.

Consultant

Si vous possédez des compétences et/ou une formation en programmation, marketing, droit, web design, administration ou ingénierie, vous trouverez de nombreuses propositions sur le web en tant que contractuel, pigiste ou consultant. Il suffira de créer une page-annonce sur les grands réseaux sociaux comme Facebook et LinkedIn, pour faire connaître vos compétences. De nombreux sites e-learning sont à la recherche de consultants aux connaissances spécifiques.

Rédacteur

La rédaction de contenus est votre expertise. Vous pouvez commencer par vous faire connaitre en ouvrant un compte sur des plateformes qui servent d’intermédiaires entre rédacteurs et clients. Vous pourrez générer des revenus intéressants si vous avez une parfaite maîtrise de l’écriture.

Traducteur

Pour les traducteurs, il existe des plateformes qui mettent en relation des pigistes (freelances) et des clients qui souhaitent faire traduire des documents qu’ils soient des romans ou des documents professionnels. Tout se situe dans le niveau entre la langue maternelle et la langue à traduire.

Concepteur de sites Internet

Aujourd’hui avoir un site vitrine ou un site est une obligation incontournable. Les concepteurs de site internet sont très recherchés. Montrez quelques exemples de vos créations de site et vous pourrez ainsi acquérir de nombreux clients.

Concepteur de couvertures ou d’infographie

A l’ère du livre numérique (ebook), beaucoup d’internautes rédigent eux-mêmes ou font réaliser un produit à lancer sur le web. Trop souvent, ils manquent d’idées pour créer une couverture attractive. Si vous êtes graphiste ou que vous maîtrisez bien les logiciels de création graphique, vous attirerez les clients.

Assistant virtuel

Le métier d’assistant virtuel est parfaitement adapté au travail nomade. Il ne vous suffit que d’un ordinateur, d’une connexion internet et d’un téléphone. Vos tâches seront par exemple des relations avec la clientèle : rappeler à un client son rendez-vous, répondre au téléphone pour noter un rendez-vous, réserver un billet d’un avion, etc.

Trois règles d’or face à vos concurrents

Lorsqu’on a baigné un certain temps dans le droit de la concurrence, celle-ci est une question difficile à aborder hors de ses mécanismes économiques et de son encadrement juridique. Or en pratique, le moins que l’on puisse dire est qu’il n’y a aucune règle : les concurrents effraient autant qu’ils inspirent, surprennent autant qu’ils sont parfois bien prévisibles, et on peut rapidement perdre le cap de sa propre entreprise à trop se préoccuper de ce qu’ils font ou ne font pas. 

Les vôtres fleurissent depuis quelques mois et chaque annonce de nouvel arrivant a été (et est) une occasion de douter de votre service, voire de votre modèle, comme de vous rassurer sur l’existence de notre nouveau marché. Il reste que pour transformer les actions et réactions de ces meilleurs ennemis en autant d’opportunités et l’application de quelques règles d’or semblent nécessaires.

1/ Respecter les règles élémentaires de courtoisie

Quel que soit le secteur d’activité de votre entreprise, sauf rare exception, vous pourrez dire qu’il s’agit d’un petit milieu. Si l’entreprise que vous qualifiez de concurrent l’est véritablement, elle fera partie de ce petit milieu. Vous serez ainsi appelé à croiser régulièrement ses représentants, que vous soyez invités aux mêmes événements, que certains de vos fournisseurs et clients soient communs, ou pour tout autre motif, ne serait-ce que de prospection des mêmes cibles. A tous les stades de votre développement, n’oubliez jamais quelques fondamentaux, à commencer par la simple courtoisie !

Critiquer ouvertement vos concurrents ne peut rien vous apporter de bon, et en aucun cas valoriser votre service aux yeux de votre interlocuteur. De la même manière, même si cela est conforme aux limites de la légalité, copier ouvertement certains éléments de son identité visuelle ou textuelle peut davantage se retourner contre vous, y compris auprès de vos prospects et clients, que de faire preuve de créativité pour vous différencier. Suivons le raisonnement jusqu’au bout. Personne ne dit que vous ne serez peut-être pas un jour amené à collaborer avec ce concurrent, voire à travailler pour lui – ou à le faire travailler pour vous…

2/ Veiller n’est pas espionner

Les concurrents effraient, en particulier parce que malgré tous les scénarios que vous aviez élaborés, ils opteront souvent pour ceux que vous n’aviez pas envisagés. Dans ces conditions, passer trop de temps à les épier pour s’assurer d’anticiper leurs coups est une réelle perte de temps : vous avez avant tout votre entreprise à diriger. Inversement, ignorer leurs agissements est assurément un manque de professionnalisme.

Si vous devez être le meilleur spécialiste de votre secteur, un juste équilibre est à trouver entre la connaissance de ce secteur et de ses acteurs et le flicage systématique. Ce dernier sera probablement suivi de réactions précipitées de votre part. Rarement bénéfiques à votre activité.

La position de leader sur un secteur d’activité, quelle qu’elle soit ne dure pas éternellement . Elle ne se gagne en aucun cas en imitant les concurrents, mais à l’inverse, en faisant preuve d’inventivité tant au stade de l’élaboration d’une stratégie qu’au stade de son exécution.

3/ Saisir autant d’occasions rêvées de vous améliorer

Vous connaissez vos concurrents, entretenez avec eux des rapports courtois mais relativement distants, il ne reste qu’à retenir les leçons qu’ils sont susceptibles de vous apprendre quotidiennement. En effet, qui de mieux que vos concurrents peut vous pousser à vous différencier, vous améliorer, proposer un produit ou un service de qualité, en bref, à vous conforter dans les directions pour lesquelles vous avez opté ou à l’inverse, vous permettre de rectifier le tir pour maintenir votre spécificité ?

L’un de vos concurrents semble se porter mieux que vous ? Vous savez très bien que les apparences sont parfois trompeuses. Occupez-vous de votre équipe et de vos chiffres. Quels que soient les indicateurs, se morfondre sur une infériorité apparente ne mènera à rien. Il a exécuté avant vous une idée que vous comptiez mettre en œuvre ? Qu’à cela ne tienne, observez comment il l’a exécutée et décidez en connaissance de cause de la mettre à votre tour en œuvre, à votre manière, ou trouvez une autre idée qui vous semblerait finalement plus pertinente.

Face à la concurrence comme à beaucoup de défis qui s’imposent à l’entrepreneur, la réaction importe au moins autant que l’action. 

Ayant parfois eu du mal à conserver mon sang-froid face à certains de mes concurrents, je ne jetterais la pierre à personne, nous sommes tous humains. J’espère toutefois que ces « trois règles d’or » vous permettront aussi d’appréhender plus sereinement ces meilleurs ennemis – et finalement, pourquoi pas, de vous réjouir de leur existence.

Un entrepreneur peut-il tenir sur la durée sans prendre de vacances ?

L’avenir d’une société repose largement sur les épaules de son dirigeant qui doit garder en permanence à l’esprit toutes les composantes de son entreprise, qu’elles soient techniques, commerciales, administratives. Dans ces conditions, la fatigue morale et physique s’accumulent alors que la charge de travail peut sembler infinie au chef d’entreprise. Mais peut-on réellement tenir dans la durée sans prendre de vacances et sans faire de break ?

Prendre des vacances est bénéfique pour son activité…

Même si vous faites partie de ceux qui considèrent que le travail est plus important que les vacances, il s’agit d’une erreur stratégique sur le long terme. Toute personne a besoin de sommeil bien sûr, mais également de décompresser, de penser à autre chose – surtout si son activité est principalement intellectuelle- pour éviter un risque de saturation du cerveau. À partir de mi-juillet et jusque fin août, l’activité dans la majeure partie des secteurs d’activité risque de se diviser par deux. En effet, même si vous ne partez pas en vacances, une grande majorité de vos clients le sera et votre activité va être grandement ralentie. Profitez-en pour partir aussi et changer d’air ! 

Vous serez plus dynamique et donc plus productif à la rentrée, vous repartirez sur de nouvelles bases.  Les vacances vous permettent de changer d’environnement et évitent le sentiment de cloisonnement. Elles permettent de prendre de la hauteur par rapport à votre projet ou même à votre activité. Faire une pause vous aidera à faire le point sur ce qui est à améliorer, sur ce qui fonctionne, les erreurs à ne plus commettre et surtout à réfléchir posément aux difficultés si vous en avez. Partir peut vous amener à faire de nouvelles rencontres qui sont susceptibles de vous donner de nouvelles idées. Si vous voyagez à l’étranger, cela peut être l’occasion de voir comment étendre votre activité à d’autres pays.

… Mais également pour la santé !

La vie entrepreneuriale comporte de nombreux obstacles et n’est pas de tout repos. Notamment, les soucis, les clients exigeants, les nombreuses tâches à gérer (surtout si vous êtes une jeune entreprise), les rendez-vous pour développer votre réseau (networking, événements, conférences) peuvent à la longue devenir pesants et jouer sur le moral et la santé. Stress, découragement, démotivation, fatigue, nervosité peuvent découler d’une trop forte pression et causer des problèmes plus graves à long terme comme le burn-out ou les maladies liées au stress.  Autre bénéfice : les vacances vous permettront d’enrichir votre vie sociale et de profiter pleinement de votre famille et vos amis, que vous avez pu délaisser quelque temps. C’est aussi l’occasion de vous octroyer du temps pour vous et de faire tout ce que vous n’avez pas le temps de réaliser le reste de l’année (sport, bricolage, rangement…)

Le repos ne signifie pas nécessairement vacances

Prendre des vacances n’implique pas forcément toute cessation d’activité. Vous pouvez très bien vous absenter une semaine, même s’il est conseillé de prendre généralement deux semaines de congés pour la période estivale afin de bien faire le vide. Si votre activité vous oblige à ne pas pouvoir vous couper de tout, vous pouvez vous octroyer une tranche de 2/3 heures de travail par jour. Cela vous permettra de ne pas prendre de retard et rester joignable pour les clients exigeants. Une autre alternative s’offre à vous : travailler moins et vous accordez des temps de pause (finir plus tôt, prendre un verre entre amis, pratiquer une activité physique régulière, partir les week-ends…)

Stratégie de crise en entreprise

Les retours d’expérience (Retex) établissent qu’une entreprise fera face à une crise majeure tous les dix à quinze ans en moyenne. Ils précisent que les leviers principaux d’amplification de cette crise sont les conséquences engendrées par la gravité de l’événement déclencheur d’une part et les facteurs aggravants propres à la gestion de crise interne de l’entreprise, d’autre part. Ces notions sont toujours connues, parfois travaillées … et, malheureusement, souvent oubliées. Peut-on diminuer la vulnérabilité des organisations ? Peut-on améliorer la gestion des crises dans son fond et forme ? La réponse est « OUI Lorsque » :

Oui lorsque les dirigeants s’impliquent dans le concept de résilience

C’est l’absence de traitement de l’élément déclencheur qui génère la crise. Les premiers responsables de l’amplification de la crise sont souvent les chefs d’entreprises. Pour être aptes à maîtriser une déstabilisation, ils doivent s’y préparer et y réfléchir. Donc se libérer du temps pour se former. La situation de crise constitue une composante naturelle de la vie d’une entreprise. Il ne s’agit pas de savoir si elle arrivera mais plutôt d’imaginer la forme qu’elle prendra. C’est une opportunité de rebond stratégique, sous réserve d’avoir renforcé sa résilience.

Les sociétés hautement résilientes présentent quelques qualités clés dans leur organisation et chez leur personnel : flexibilité, adaptabilité, rapidité de réaction, à moindre niveau redondance de moyens. Mais surtout, leurs dirigeants ont instillé auprès de tous une ligne stratégique claire : la mise en œuvre du dispositif de gestion des crises et l’existence d’une stratégie de communication. Alors, chacun prend sa part de risque et réagit de façon professionnelle et coordonnée.

Enfin, le dirigeant doit montrer ses capacités à encaisser le choc et à prendre ses décisions sous pression.

Oui lorsque les dirigeants développent la culture de crise dans leur entreprise

Se préparer à cette situation de crise est une affaire d’équipe. Il faut y penser quotidiennement de manière systémique, imaginer l’impensable selon une approche interservices, en bénéficiant de l’apport d’un personnel motivé. La motivation du personnel est un objectif majeur de la stratégie. Cela implique d’après Locke et Latham (1990) : 

  • clarté de l’objectif mesurable et atteignable.
  • challenge de l’objectif.
  • engagement anticipatif pour l’objectif.
  • retour d’information régulier et approprié.

Oui lorsque les dirigeants agissent quotidiennement dans ce domaine

Il s’agit là d’un travail continu :

  • ancrer les bons réflexes et renforcer l’esprit d’équipe.
  • connaître les forces et faiblesses propres à sa structure, en fonctionnement habituel.
  • intégrer en amont les caractéristiques des crises (incertitude, complexité, menace élevée) dans les plans d’urgence.
  • organiser la veille (indicateurs, signaux faibles d’alerte).
  • développer la flexibilité, la créativité et l’improvisation des réactions dans le cadre des plans prédéfinis.
  • préparer au mieux l’organisation de gestion de crise et la communication de crise.

« L’objectif n’est pas de prévoir l’impensable mais d’être préparé à l’impensable. »

Lagadec (2003)

Renforcer la résilience, renforcer la cohésion interne, renforcer les savoir-faire et les capacités individuelles et collectives face à la crise : tels sont les objectifs majeurs d’un dirigeant pour la sauvegarde de son entreprise. Cela passe par la formation, la réflexion, les exercices, la simulation et les retours d’expérience. C’est un investissement en temps, en finance et en organisation. Et cela s’inscrit totalement dans la stratégie globale de l’entreprise.