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6 astuces pour obtenir une recommandation réseau

Solliciter des recommandations est souvent une action difficile puisqu’elle nous place dans une position que nous considérons comme inconfortable. Cependant, les recommandations par leur nature intrinsèque ouvrent des portes car elles sont établies sur la confiance. C’est parce que vous aurez instauré la confiance que certaines personnes n’hésiteront pas à vous recommander. Cette confiance est peut-être tissée grâce à la satisfaction de vos clients, à l’harmonie avec vos partenaires et parce que vous aurez su aussi quand on vous l’a demandé recommander à bon escient. Obtenir une recommandation, c’est une relation win win.

Les recommandations constituent, pour un entrepreneur, une belle preuve de reconnaissance mais aussi la meilleure façon de convaincre de nouveaux intervenants. L’appui d’un réseau représente un atout précieux à utiliser sans modération. Voici six astuces pour obtenir une bonne recommandation.

Réaliser des investigations

Le bouche à oreille reste à l’origine des plus grands succès. Le réseau contribue à générer ce phénomène. Agrandir au maximum votre cercle de relations s’avère donc judicieux. Qui serait le plus susceptible de conseiller vos services à ses contacts ? Et quel prescripteur vous conférerait vraiment une bonne image ? La satisfaction de vos clients, la confiance de vos partenaires… Tous vos contacts peuvent porter sur vous un regard différent et vous apporter des commentaires de diverses natures. Veillez à ce que vos recommandations restent complémentaires. N’hésitez pas à développer votre réseau avec les secteurs proches ou en interaction avec le vôtre.

Entretenir son réseau, la clef

Pas de secret : il demeure plus facile de demander un service à quelqu’un dont vous vous sentez proche plutôt qu’à une vague connaissance. Une recommandation écrite sert à prouver vos qualités pour convaincre un partenaire ou un acheteur. Pensez donc à cultiver vos relations professionnelles qui, si elles se sentent appréciées et écoutées, seront davantage enclines à vous aider. L’entretien du réseau passe par des mails, des appels, des rencontres physiques avec l’ensemble des personnes susceptibles de contribuer à votre business. Le réseau se construit sur le long terme : vos clients comme vos partenaires ne feront pas appel à vous seulement une fois. Le suivi est la clef pour que les contacts ne se révèlent pas éphémères.

Solliciter l’avis des clients

Des avis clients positifs peuvent constituer de premières recommandations. N’hésitez pas à préparer un petit questionnaire à soumettre aux consommateurs lorsque vous les rencontrez et traitez avec eux. Présentez ce document comme une enquête de satisfaction et précisez que leur opinion vous préoccupe car leur avis constitue forcément l’une de vos priorités si vous souhaitez conserver une bonne réputation et ils se sentiront plus estimés. S’ils sentent que leur avis vous importe, cette impression pourrait les conduire à écrire un compte-rendu plus gratifiant. Les questionnaires en ligne s’avèrent tout aussi efficaces. Il demeure tout à fait possible, sur des réseaux comme LinkedIn, de se faire recommander par vos contacts et de leur renvoyer l’ascenseur. Cette action ne prend que quelques secondes et peut faire mouche dès que plusieurs personnes vous apportent leur soutien.

Jouez cartes sur table !

Avant de soumettre un questionnaire de satisfaction à vos clients, assurez-vous qu’ils le rempliront favorablement ! Au cours de votre présentation, demandez à vos interlocuteurs s’ils vous ont bien compris, si vos propos sont suffisamment clairs. Reformulez vos idées régulièrement, construisez un discours logique dont les parties s’enchaînent et efforcez-vous d’être percutant. Si vous assurez cette étape, les opinions des clients n’en seront que meilleures ! À la fin de vos rendez-vous clients, si ceux-ci vous paraissent convaincus, profitez-en et jouez cartes sur table. Demandez-leur directement « à qui pourriez-vous me recommander ? ». Devant un partenaire éventuel, posez la question honnêtement : « Pensez-vous que mon projet puisse intéresser d’autres entreprises ? ». Soyez franc, tourner autour du pot devient très vite agaçant alors ne perdez pas de temps et posez les bonnes questions.

Ne pas hésiter à recommander

Comportez-vous avec les autres comme vous aimeriez qu’ils se comportent avec vous… Cet adage prend tout son sens dans l’art de la négociation : vous souhaitez que vos interlocuteurs parlent de vous en bien ? Parlez d’eux convenablement (s’ils le méritent bien entendu). Vous-même savez, si vous recherchez des avis positifs sur votre entreprise, combien une recommandation peut s’avérer précieuse alors faites-en également. Ne craignez pas de faire le premier pas. Lorsqu’une entreprise d’un secteur proche du vôtre accepte de vous rencontrer, amenez le sujet. La conversation peut très bien aboutir sur un engagement mutuel. Rappelez-vous de ne pas tenter d’approche trop « subtile », restez honnête sans trop insister. Vous pouvez employer des formulations telles que « Si je devais présenter brièvement votre activité à un de mes contacts, que devrais-je lui dire ? ». Directe et efficace, cette proposition invitera votre interlocuteur à émettre la même.

Participer à des clubs d’entrepreneurs

Dans ce genre de structure, la recommandation entre membres constitue presque un réflexe. Les personnes qui gèrent ce genre de groupe organisent notamment des événements au cours desquels vous pouvez engager la discussion et mettent en place des plateformes virtuelles pour converser avec les autres membres. Allez vers eux, restez intéressé pour définir ce que vos interlocuteurs pourront vous apporter et lancez la phrase magique évoquée plus haut. Le club d’entrepreneurs présente l’avantage de réunir au même endroit plusieurs professionnels.

La création d’entreprise et le choix du statut, un enjeu majeur

Créer une entreprise va de pair avec choisir un statut. Cela représente un véritable casse-tête pour l’entrepreneur de choisir celui adapté à son entreprise et à son activité. Les articles sont nombreux qui évoquent les démarches simplifiées pour créer son entreprise. Il est vrai que les démarches sont désormais simplifiées mais elles ne font pas tout. Comment procéder ?

Le choix d’un statut, pas une évidence

La création d’entreprise implique d’avoir choisi en amont un statut. Celui-ci impactera les différentes procédures à mettre en place. Chaque statut a intrinsèquement des avantages et des inconvénients mais surtout il doit être adapté à la réalité actuelle et future de l’entrepreneur. Il doit être suffisamment souple pour s’adapter aux évolutions de l’entreprise et de son environnement. Choisir un statut au hasard, qui peut devenir par la suite un frein, est loin d’être une idée pertinente.  

Si certains statuts sont plébiscités comme celui de la SARL, qui rencontre une adhésion importante des entrepreneurs avec près de 30% des entreprises qui sont créées ainsi, il impose d’avoir deux associés minimum (sinon il s’agit d’une EURL) et 100 maximum. Comme on le sait les associations ne sont pas toujours une évidence sur le long terme. Les histoires ne sont pas rares en la matière en termes de rebondissements. Il faudra donc bien vous informer et bien connaître les tenants et les aboutissants en matière de capitaux et de responsabilités et éviter de vous lancer dans des décisions hasardeuses. Des entreprises comme Legalstart, N°1 de la création d’entreprise en ligne, peuvent vous aider notamment pour la création d’une SARL en ligne

Qu’implique le choix du statut ? 

Avec une multitude d’options disponibles, il est essentiel de prendre en compte plusieurs facteurs clés afin de faire le meilleur choix possible. La nature de votre activité est le premier élément à prendre en compte. Chaque secteur d’activité a ses propres particularités, et certains statuts juridiques peuvent mieux s’adapter à vos besoins. Les entreprises individuelles conviennent souvent aux activités commerciales simples, tandis que les sociétés sont plus adaptées aux entreprises en pleine croissance nécessitant des investissements conséquents.

La question de la responsabilité personnelle est également cruciale. Vous devez déterminer si vous souhaitez être responsable des dettes de votre entreprise avec vos biens personnels ou si vous préférez bénéficier d’une responsabilité limitée. Les formes de sociétés, telles que les SARL (sociétés à responsabilité limitée) ou les SAS (sociétés par actions simplifiées), offrent généralement une responsabilité limitée, ce qui peut être avantageux pour vous protéger financièrement.

Le régime fiscal est un autre élément important à considérer. Chaque statut juridique a des conséquences fiscales différentes, et il est essentiel de comprendre comment ces implications affecteront votre entreprise et votre situation personnelle. Il peut être judicieux de consulter un expert-comptable pour évaluer les avantages et les inconvénients fiscaux de chaque statut.

D’autres critères à connaître

Les formalités administratives liées à chaque statut juridique doivent également être prises en compte. Chaque structure a ses propres exigences en termes de rédaction de statuts, d’enregistrement auprès des autorités compétentes et de publication d’annonces légales. Assurez-vous d’être prêt à assumer ces obligations administratives. Pensez également à l’évolution future de votre entreprise. Si vous prévoyez de lever des fonds auprès d’investisseurs, d’introduire votre entreprise en bourse ou de vous développer à l’international, certains statuts juridiques peuvent être plus adaptés à ces objectifs spécifiques.

Les multiples opportunités de la création d’entreprise

Dans un monde qui offre grâce à internet et aux réseaux sociaux une source intarissable d’informations, la création d’entreprise se présente comme une opportunité. En effet, l’entrepreneur a à sa portée de main toutes les informations nécessaires et peut rencontrer les interlocuteurs qui serviront au développement de son entreprise mais encore faut-il qu’elles soient fiables. Vous devrez sélectionner les informations pour bien cerner celles qui sont pertinentes et ne pas se laisser leurrer par des sites par exemple trompe l’œil qui sont loin d’être fiables.

Réussir votre évènement professionnel

Enfin, depuis quelques mois, nous pouvons proposer à nouveau des évènements. Nous nous sommes rendu compte de l’importance des échanges, des rencontres. Les périodes de confinements ont donc été propice à une nouvelle vision de notre stratégie de communication. Proposer à vos clients ou partenaires un évènement professionnel peut booster l’image de votre entreprise… s’il est bien organisé ! 10 étapes pour mettre en place un évènement qui restera dans les esprits !

Définir le public visé et le thème

Rien ne sert de rentrer dans le vif du sujet de l’organisation tant que vous n’aurez pas défini précisément à qui il s’adresse et pourquoi. Quelle image souhaitez-vous donner de votre entreprise et auprès de quel public ? Ces réponses vont orienter tous les choix que vous allez faire par la suite. Une fois cela défini, déterminez quel type d’évènement vous comptez organiser (petit-déjeuner, conférence, webinaire, salon, évènement VIP, soirée networking…). Vient maintenant le moment de trouver un thème pour un évènement. Ce thème doit en quelque sorte être une réponse à une question que se pose à ce moment précis votre public. Attention à ne pas prendre un thème déjà trop « tendance » et sur lequel il y a déjà à peu près 5 conférences par mois !

Fixer la date

Trouver une date qui puisse convenir à un maximum de personnes est un enjeu crucial dans la réussite de votre évènement. Pour définir cette date idéale, il faut respecter quelques règles. Ne placez surtout pas votre évènement lors des vacances scolaires ou sur un jour de pont car personne ne sera disponible. Essayez au maximum de fixer la date un mardi ou un jeudi. Point important : dès qu’une date semble se profiler, vérifiez bien qu’aucun autre évènement du même secteur n’a lieu le même jour dans la région. Lorsque la date est trouvée, il ne vous reste plus qu’à définir l’horaire : de préférence de 18h à 19h30 pour une conférence, à partir de 18h30/19h pour une soirée networking, plutôt le matin pour une conférence de presse, sur toute la journée pour un colloque, vers 17h, pour un évènement en interne…

Réserver une salle

Attaquez-vous le plus en amont possible à la réservation de la salle. Portez votre choix sur une salle bien desservie par les transports, pour ne donner aucune bonne excuse à vos invités de ne pas participer ! Choisissez une salle qui reflète l’image que vous souhaitez véhiculer : haut de gamme, décontractée, décalée, tendance, institutionnelle… Et veillez bien à en trouver une dont la capacité correspond au nombre de participants que vous souhaitez inviter. Une salle trop grande, donc peu remplie, donnera l’image que votre évènement est raté, que personne n’est venu.  À l’inverse, une salle trop petite et donc trop surchargée rendra l’évènement très désagréable pour les participants et pointera votre manque de professionnalisme. Enfin, choisissez une salle dont l’architecture convient à ce que vous souhaitez en faire : y a-t-il la possibilité de placer une scène ? La salle peut-elle accueillir un coin buffet ?…

Trouver le bon intervenant

Le choix des intervenants qui prendront la parole est un enjeu fort pour la réussite de votre évènement. Ce sont souvent ces intervenants qui motiveront vos invités à participer. Personnalité célèbre, expert, chef d’entreprise, conférencier professionnel, sportif, représentant de l’état… le choix est vaste ! Attention, si vous ne vous y prenez pas très en avance (presque un an en amont pour certains), vous risquez de n’essuyer que des refus. Une fois que les intervenants sont définis, préparez-bien leurs interventions avec eux (objectifs de l’intervention, timing, besoins techniques…). Cette préparation aussi sera une des clés de la réussite de l’évènement.

Inviter les participants

Si votre nombre d’invités est assez réduit, envoyez à chacun un carton d’invitation. Procédez de la sorte de toute façon pour les « VIP ». Pour des évènements à cibles plus larges, préférez l’envoi d’e-mails, et même la diffusion d’annonces dans les médias ou dans les newsletters. Vous pouvez commencer assez en amont par envoyer un « save the date » accrocheur qui préviendra juste de la tenue de l’évènement sans en donner les détails. Environ un mois à deux semaines avant l’évènement, envoyez une vraie invitation contenant les détails du lieu et du programme. Enfin, la veille du jour J par exemple, relancez les invités par téléphone ou par une confirmation d’inscription par e-mail.

Choisir un traiteur

La qualité du buffet servi influera beaucoup sur l’impression générale que vos participants garderont de l’évènement. Choisissez un bon traiteur, dont les produits servis sont en accord avec le ton de l’évènement et surtout n’oubliez pas les mets sans gluten ou bio : très haut de gamme, original, à thème… Attention à prévoir suffisamment de nourriture !
écrire le scénario de l’évènement
Un peu comme pour un film, vous devrez rédiger une trame la plus précise possible du « scénario » de l’évènement. Qui prend la parole à quel moment ? Quels éléments techniques sont à prévoir, quand ? Aura-t-on besoin d’accessoires ?… Passez en revue tout le déroulement de l’évènement, dans chaque détail. Et essayez d’imaginer tous les problèmes et imprévus qui pourraient arriver. Pensez à des goodies à l’image de votre marque qui pourront être offerts aux invités lors de l’évènement.

Faire les repérages

Visitez la salle pour anticiper tous les aspects techniques et réfléchir aux besoins en équipement et en signalétique. Si possible, organisez une répétition générale de l’évènement pour caler tous les derniers petits détails auxquels vous n’auriez pas pu penser sans être sur les lieux. Vérifiez que tout est bien compris par les membres de la régie audio et vidéo.

Régler les derniers détails

Prévoyez des badges pour chaque participant, cela rendra leur identification plus aisée. Réfléchissez à un système permettant de délivrer rapidement ces badges aux invités lorsqu’ils arriveront : la fluidité de l’accueil donnera tout de suite une bonne impression aux participants. N’oubliez pas de réserver des places pour les invités VIP. Briefez les hôtesses d’accueil pour qu’il n’y ait pas de flottement lors du rush de l’évènement. 

Gérer l’après évènement

Tout s’est bien passé ? Parfait ! Mais votre travail ne s’arrête pas là… Envoyez un e-mail de remerciement accompagné d’un compte-rendu aux participants le lendemain de l’évènement. N’oubliez pas de publier le compte-rendu accompagné de photos sur votre site Internet. 

Pourquoi intégrer un réseau de dirigeants ?

Sortir de l’isolement du dirigeant et faire de nombreuses rencontres qui peuvent ouvrir à des possibilités de business : voici quelques-uns des nombreux avantages dont bénéficient les dirigeants qui font le choix de fréquenter un réseau de dirigeants.

En France, 97 % des entreprises sont des PME. Elles jouent un rôle économique et social déterminant pour notre pays. Elles ont créé 82 % des emplois depuis 20 ans et occupent à ce titre un rôle absolument central dans l’économie du pays. Pourtant, elles peinent à se développer et demeurent les plus vulnérables dans une conjoncture économique incertaine. En analysant plus en détail les fragilités des petites structures, on s’aperçoit rapidement que le premier frein au développement des petites entreprises réside dans leur isolement (financier et relationnel). Alors, pourquoi ne pas miser sur les réseaux et la mutualisation comme de véritables sources de gains ? Ensemble on est toujours plus fort !

Gagner du temps 

Intégrer un réseau de dirigeants de PME permet rapidement à ses acteurs de gagner du temps. Le réseau est une formidable source d’informations sur le marché, la concurrence et les évolutions du métier. Autant de partages qui font gagner un temps précieux et font progresser le dirigeant dans sa fonction. Le réseau peut être également une source pour trouver des solutions d’externalisation. L’externalisation permet aux dirigeants de se recentrer sur leur cœur de métier, un gain précieux quand on connaît les (trop) nombreuses facettes du métier de chef d’entreprise.

Être plus visible et développer son business

Entrer dans un réseau, c’est aussi s’assurer de faire connaître son entreprise. Au-delà de l’échange d’expériences, l’appartenance à un réseau présente pour l’entreprise des avantages importants, autant pour trouver de nouveaux clients dans un contexte très favorable, que des partenaires pour développer un projet, voire des acquéreurs pour céder. Coopérer avec d’autres entreprises permet également d’atteindre une taille critique, pour être en capacité de se porter candidat à des appels d’offres globaux et d’être plus compétitif pour innover et exporter. 

Se sentir plus fort

Intégrer un réseau, c’est aussi se sentir moins seul, gagner en énergie mentale, se galvaniser et se motiver par la présence d’autres participants. En période de crise, lorsque la baisse des carnets de commandes se fait ressentir, appartenir à un réseau est également un moyen d’établir des connexions avec d’autres dirigeants pour trouver des solutions à des problèmes individuels. Appartenir à un réseau permet à l’entrepreneur de sortir de la fameuse solitude du dirigeant qui nuit tant au mental du chef d’entreprise. Cela permet à la fois de faire des rencontres, de partager les expériences –bien souvent similaires–, mais aussi de multiplier les opportunités de business.

En se regroupant en réseaux, les dirigeants sont plus forts, s’inscrivent dans une dynamique positive et offrent à leur entreprise une capacité de développement plus importante que si elle était isolée. Faire partie d’un club permet à l’entrepreneur d’instaurer pour son entreprise une dynamique de lancement de projets collaboratifs avec d’autres dirigeants. La forme des rencontres peut varier (ateliers, conférences, soirées networking informelles,…) mais le résultat est toujours le même : le club offre au dirigeant et à son entreprise une ouverture qui représente un vrai moteur pour la croissance ! 

Se faire entendre

Dans un contexte dans lequel les règles du jeu ne cessent de changer pour les entreprises, il est important, voire vital, pour les PME de se faire entendre. L’appartenance à un réseau important et dynamique est le moyen de faire entendre sa voix pour peser dans les décisions « normatives » qui touchent l’écosystème de nos entreprises et qui est susceptible de leur nuire plutôt que de les favoriser.

Mieux recruter

On remarque depuis quelques années, un mode de recrutement émergent de réseaux professionnels tels que le travail en temps partagé. En effet, dans les TPE-PME, il existe des besoins ponctuels de certaines compétences mais qui ne nécessitent pas un emploi permanent. Ce manque de compétences peut parfois fortement pénaliser ces entreprises. En se regroupant dans des réseaux de dirigeants ou des groupements d’employeurs, ces entreprises vont pouvoir recruter des profils en fonction de leurs besoins précis. Une manière efficace de développer ou maintenir des emplois en préservant à la fois la sécurité des salariés, mais aussi la flexibilité pour les employeurs.

Faire des économies

La mutualisation qui est proposée dans certains réseaux permet de faire des économies qui peuvent prendre la forme d’un accès à des tarifs grands comptes ou encore à des offres de biens et de prestations à coûts partagés (réduction des coûts d’investissement en matière de veille, d’international, de qualité ou encore d’embauche de personnel, de mutualisation de compétences externalisées et de savoir-faire…). Un bon moyen de faire des économies !

Réussir son positionnement

Le positionnement de l’entreprise est le b.a.-ba de la stratégie marketing d’une entreprise.  Votre positionnement vous permet-il de gagner de nouvelles parts de marché ou de conserver les parts de marché déjà acquises ? Avant de concevoir vos prochaines actions et pour réussir votre positionnement, assurez-vous qu’il soit unique, spécifique et différenciant.

Le positionnement de l’entreprise : kesako ?

C’est en tout premier lieu les produits et services proposés par une entreprise. Ceux-ci doivent attirer des clients, des consommateurs, des fournisseurs qui avant de passer commande se posent les questions suivantes pour effectuer le meilleur choix : 

  • « Pourquoi choisir ce produit/ce service plutôt qu’un autre? » 
  • « Quelle différence y a-t-il entre tel ou tel produit/service? »  
  • « Auprès de quelle entreprise dois-je acheter sans me tromper? »

Le positionnement c’est donc :

  • la position qu’occupe l’entreprise dans l’esprit des consommateurs par rapport aux concurrents c’est-à-dire comment l’entreprise est perçue sur le marché par les consommateurs
  • La position que l’entreprise veut occuper sur le marché et comment elle souhaite être perçue par les consommateurs.

Le positionnement d’une entreprise ou d’un produit est la clef de voûte de toute votre communication. 

En effet, c’est un choix stratégique essentiel qui rend votre offre crédible et désirable sur vos marchés. Il donne leur cohérence et leur force à toutes vos actions et soutient le développement de votre marque. Quels que soient vos objectifs, votre secteur et la maturité de votre entreprise, vous devez y apporter la plus grande vigilance.  Analysez, écoutez et observez vos marchés, leur évolution, votre concurrence…

Le marché a-t-il évolué ? Votre marque est-elle réellement unique et crédible ? Sur quels éléments concrets s’appuie votre positionnement ? Pouvez-vous le résumer simplement en une phrase ?

Renforcez votre relation client

Les marques et entreprises à succès savent se rendre attractives tout en offrant du sens à leurs interlocuteurs et en renforçant la relation avec leurs clients. Votre entreprise doit non seulement être connue et reconnue sur son marché, mais également être convaincante, crédible, répondre à des besoins concrets chez vos consommateurs/clients tout en leur offrant une relation porteuse de sens.  Une marque forte et bien positionnée vous aidera à développer vos parts de marché mais également à défendre vos marges.

Votre positionnement est-il simple et attractif ?  Quels sont les besoins réels de votre cible ? Ont-ils évolué ? Apportez-vous à vos clients une réponse réellement unique et crédible ? 

Plusieurs axes sont possibles pour fonder votre différenciation :

  • les qualités et avantages produits, tels que l’efficacité, le prix, la facilité d’utilisation…
  • l’adéquation à des circonstances de consommation spécifique
  • l’adéquation à des catégories de consommateurs spécifiques
  •  des caractères ou des valeurs symboliques et affectifs, associés à la marque

Ces dernières années, la marque Apple a lancé des produits innovants sur le marché, créant des besoins réels, tout en projetant continuellement une image cohérente, unique, et des valeurs de marque clairement identifiables.

Même si vous ne prétendez pas lancer le nouvel iPad sur votre marché, vous devez établir des éléments de différenciation authentiques.
Et vous efforcer de mettre en avant vos valeurs et votre personnalité.

Comment protéger son entreprise du hameçonnage ?

Le hameçonnage, aussi appelé phishing par les professionnels de la sécurité informatique, est l’une des menaces les plus répandues ces dernières années, notamment pour les entreprises de taille moyenne à grande. Ces attaques visent principalement à tromper les employés et les inciter à divulguer des informations sensibles. Les conséquences pouvant être désastreuses, il est indispensable de savoir comment protéger son entreprise et comment réagir en cas d’attaque de hameçonnage détectée.

Les différentes formes de hameçonnage

Le hameçonnage peut prendre différentes formes pour tromper efficacement les individus. Il est donc crucial de comprendre quelles sont ces différentes menaces afin de trouver la solution qui convient le mieux pour protéger son entreprise avec des méthodes anti phishing

  • Hameçonnage par e-mail : Les cybercriminels envoient des e-mails frauduleux imitant des organismes légitimes tels que les impôts par exemple pour obtenir des informations confidentielles;
  • Hameçonnage via les réseaux sociaux : Des faux profils sont créés pour envoyer des messages piégés et voler les données d’identité de plusieurs individus; 
  • Hameçonnage par téléphone : Dans ce cas, les cybercriminels se font passer pour des représentants légitimes par téléphone, afin d’obtenir des informations sensibles; 
  • Hameçonnage via les SMS : Des messages frauduleux sont envoyés par SMS pour inciter les destinataires à divulguer des informations où à cliquer sur des liens piégés; 
  • Hameçonnage ciblé : Les attaques sont personnalisées. Les cybercriminels choisissent une personne ou une entreprise précise, en utilisant des informations réelles pour gagner la confiance.

Renforcer la sécurité des communications

Afin de renforcer efficacement la sécurité des communications de votre entreprise, plusieurs mesures sont à prendre. En voici quelques-unes : 

Utilisez des filtres anti-spam

Les filtres anti-spam sont très efficaces pour bloquer les e-mails indésirables ou malveillants avant qu’ils n’atteignent la boîte de réception de vos employés.

Vérifiez toutes les adresses mail

Avant de répondre à un mail ou de cliquer sur un lien, assurez-vous qu’il s’agit bien d’une adresse mail conforme. Les cybercriminels ont tendance à souvent utiliser des adresses mail similaires pour tromper plus efficacement leurs destinataires.

Adoptez la double authentification

Pour les comptes professionnels, choisissez de mettre en place la double authentification. Cela permet d’ajouter une couche de protection supplémentaire en exigeant une seconde forme d’identification, comme un code SMS par exemple, en complément du mot de passe.

Faites attention aux liens et pièces jointes

N’ouvrez pas les pièces jointes ou ne cliquez pas sur des liens provenant d’un mail suspect, et plus particulièrement ceux demandant des informations confidentielles. Assurez-vous donc de l’authenticité des liens en les survolants avec la souris.

Etablissez des politiques de sécurité strictes

Pour l’utilisation des différentes communications professionnelles, définissez des politiques claires, en incluant la gestion des mails ainsi que la détection des tentatives de hameçonnage et les bonnes pratiques de sécurité informatiques.

Réagir en cas de suspicion de hameçonnage

En cas de suspicion de hameçonnage au sein de votre entreprise, voici les 7 étapes à suivre pour réagir rapidement et efficacement : 

  1. Isoler l’incident : Dès le premier soupçon, isolez immédiatement l’incident. Déconnectez le système affecté du réseau pour éviter la propagation de l’attaque;
  2. Informer l’équipe : Prévenez l’équipe informatique ou votre responsable de la sécurité des soupçons que vous avez. Signalez-le également aux employés concernés;
  3. Collecter des preuves : Rassemblez toutes les informations que vous avez sur l’attaque. Cela peut être des captures d’écran, des enregistrements d’e-mails, ou tout autre élément pertinent pour l’enquête;
  4. Bloquer l’accès : Changez immédiatement tous les mots de passe des comptes concernés. Cela permettra de bloquer l’accès à d’autres informations aux cybercriminels;
  5. Analyser l’incident : Analysez l’incident pour mieux comprendre comment cela à pu se produire, et quelles sont les informations qui ont été divulguées;
  6. Signaler la cyberattaque : Si nécessaire, signalez l’attaque autorités compétentes, comme la police ou les organismes de lutte contre la cybercriminalité;
  7. Mettre en place des mesures correctives : En fonction de ce qu’il s’est passé, renforcez la sécurité informatique de votre entreprise afin d’éviter que cela ne recommence.

Conclusion

Pour conclure, protéger son entreprise du hameçonnage est indispensable pour assurer la sécurité des données et la continuité de votre activité. En comprenant les différentes méthodes de hameçonnage utilisées par les cybercriminels, et en sensibilisant vos employés aux risques, vous pouvez réduire grandement les risques de tomber dans les pièges de ces cybercriminels aguerris.

Réussir votre recrutement

Recruter, c’est-à-dire choisir une personne qui sera une valeur ajoutée à l’entreprise, vous devez donc mettre toutes les chances de votre côté et cela d’autant plus s’il s’agit de votre premier recrutement. Vous démarrez un processus de recrutement. Or, réussir un recrutement n’est pas un acte anodin. Il nécessite du temps et un vrai savoir-être et savoir-faire : c’est un acte essentiel de management qui va conditionner vos propres résultats.

Définir votre stratégie de recherche et consacrer du temps au processus

Si vous avez décidé de recruter seul, vous devrez vous-même définir vos moyens de recherche (annonce, site emploi, écoles, réseaux…) et pour être efficace planifier vos actions : sélection, convocation et entretiens avec les candidats.
Vous pouvez aussi décider de faire appel à un professionnel du recrutement pour vous accompagner dans vos recherches. N’oubliez pas que pour être efficace, il vous faudra aussi consacrer du temps pour recevoir rapidement les candidats sélectionnés.

Réussir vos entretiens d’embauche, les astuces

  • Trouver un endroit calme en accueillant pour rencontrer les candidats
  • Exiger de vous comme des candidats la ponctualité dans les rdv
  • Demander d’abord aux candidats de se présenter
  • Présenter ensuite l’entreprise en restant objectif et en ne négligeant pas de préciser les faiblesses de votre structure comme le challenge que représente cette création de poste.
  • Préparer bien vos questions et si possible posez les mêmes questions à chaque candidat pour un même poste.
  • Donner déjà un premier retour au candidate peut être une bonne solution mais si vous décidez de le différer précisez bien la suite des évènements et la date de décision.

Il est conseillé de faire rencontrer le ou les candidats finalistes par une autre personne pour avoir un autre avis. En effet, revoir une deuxième fois un candidat peut être utile pour conforter ou infirmer vos premières impressions.

Décider et Conclure

Vous avez pris votre décision et vous devez maintenant pouvoir conclure rapidement avec le ou les candidats retenus. Prenez alors contact rapidement avec la personne retenue pour lui annoncer la nouvelle.

Vous aurez prévu en amont de rédiger un contrat de travail en bonne et due forme. Si vous ne connaissez pas bien la législation du travail et ses évolutions, il est alors fortement conseillé de vous adjoindre les services d’un spécialiste. En effet, une fois le contrat de travail signé, vous ne pourrez plus revenir en arrière.

Il est ensuite nécessaire de pouvoir rencontrer le candidat ou la candidate pour lui présenter le contrat de travail et au besoin repréciser certains points et notamment sa date d’intégration. Bien entendu, vous pouvez lui accorder quelques jours de réflexion mais n’en faites pas trop si un candidat devient alors trop hésitant.

Motiver un candidat à vous rejoindre c’est une chose, mais il doit lui aussi vous prouver sa forte envie de participer à vos défis et succès.

Prévoir et gérer la période d’intégration

Le recrutement d’un ou plusieurs collaborateurs nécessite de consacrer du temps à son intégration et parfois même à sa formation. Il est souhaitable de bien planifier son intégration. Pour ses toutes premières rencontres, n’intégrez pas plus de deux à trois collaborateurs en même temps. N’oubliez pas qu’un recrutement réussi c’est surtout une intégration réussie et du temps consacré pour accompagner vos nouveaux collaborateurs.
Pour cela, référez vous aux objectifs définis ensemble et faites des points régulièrement pour optimiser vos chances de réussite mutuelle.

Le LBO comme outil d’acquisition d’une entreprise ?

Quel entrepreneur n’a pas entendu parler du LBO ? LBO signifie Leveraged Buy Out, soit en français, l’achat avec utilisation d’un effet de levier. Le principe est simple : l’acquéreur emprunte de l’argent pour financer l’acquisition d’une entreprise. En règle générale, une holding est créée avec un capital réduit. Cette holding s’endette et utilise l’endettement (effet de levier) pour acheter la société cible. Le remboursement de la dette est réalisé par les dividendes versés par la filiale.

Quels sont les avantages et les limites du LBO ?

Les avantages : il permet principalement d’acquérir une société avec une mise de fonds faible. C’est l’argent procuré par l’endettement qui servira à payer l’entreprise. Cette méthode ouvre les portes du rachat d’entreprise à des entrepreneurs expérimentés mais avec peu de fonds. D’autre part, sur le plan fiscal, lorsque la filiale est détenue à plus de 95%, l’intégration fiscale permet de compenser les profits réalisés par la filiale (la société rachetée), avec les pertes de la holding. La holding fait forcément des pertes car sa raison d’être est l’acquisition de la filiale. Elle doit rembourser l’emprunt. L’économie d’impôt ainsi réalisée contribue à l’acquisition de la cible. Cela constitue un deuxième effet de levier.

Les limites du LBO

Ce système fonctionne quand l’entreprise achetée est bénéficiaire, et verse des dividendes à la holding d’acquisition. Il faut donc qu’elle dégage du cash afin de régler ces dividendes. Sans ce cash, la filiale ne peut pas verser les dividendes et la holding ne peut pas honorer ses échéances de remboursement de dettes. La méthode du LBO ne s’adresse donc pas à tous types de sociétés, car elle présuppose que la cible soit sur la durée du LBO bénéficiaire et pourvoyeuse de cash. Le prix d’acquisition d’une société dépend bien sur de ses résultats passés, mais également de ses perspectives d’avenir. Il est important de bien évaluer ce prix d’acquisition puisqu’il déterminera le niveau d’endettement et le montant des remboursements. Un prix trop élevé provoquera des difficultés de remboursement.

Le risque 

Il existe dès lors que l’acquéreur a mal évalué la capacité de remboursement de la cible. Il concerne à la fois l’investisseur en capital et le tour de table financier (principalement les banques). S’il s’avère, il aura pour conséquence soit la mise en liquidation, soit la prise de contrôle par les créanciers. Pour éviter cela, la tentation est très importante de prendre des décisions de gestion dont la seule motivation est la génération ou la préservation du cash. Par exemple, les plus gros salaires seront licenciés, sans prendre en considération la perte d’efficacité pour l’entreprise. Ou bien la recherche de développement sera stoppée, permettant des économies immédiates mais hypothéquant l’avenir.

Cette méthode permet alors de générer le cash nécessaire aux remboursements. Elle peut même donner l’impression d’une plus grande efficacité : la cible dégage plus de cash et plus de résultats. Il faut alors vendre l’entreprise dans les 3 à 5 ans, souvent sous forme de LBO. C’est ce qui est appelé les LBO secondaires ou tertiaires. Les décisions de gestion prises lors du premier LBO entraîne sur le moyen / long terme une perte d’efficacité de l’entreprise qui vont rendre l’entreprise moins efficace en résultat et en cash.

Le LBO est un formidable outil d’acquisition des entreprises dont la rentabilité et le cash permettent d’utiliser l’effet de levier de la dette. Il faut cependant être très attentif au prix d’acquisition et à la pérennité du cash sur la durée de l’opération. Dans le cas de LBO successif, il faut s’intéresser aux décisions de gestion qui ont pu être prises lors des LBO précédents afin d’évaluer leur impact sur l’entreprise cible.

Comment les bitcoins sont échangés : un aperçu du processus

Dans le monde en évolution rapide des crypto-monnaies, le bitcoin continue de gagner en popularité en tant que forme de monnaie numérique décentralisée. Mais comment ces bitcoins sont-ils échangés ? Jetons un coup d’œil au processus par lequel les transactions de bitcoins sont réalisées sur les plateformes d’échange telles que immediate connect.

Le bitcoin de manière simple

Le bitcoin est une forme de monnaie numérique, également appelée crypto-monnaie. Il est souvent considéré comme une forme d’argent numérique car il peut être utilisé pour effectuer des paiements en ligne. Il est également perçu comme une réserve de valeur, similaire à l’or, car il peut être stocké et utilisé comme investissement. Une caractéristique distinctive du bitcoin est son offre limitée. Il peut être produit en quantité illimitée mais il n’y aura jamais plus de 21 millions de bitcoins en circulation. Cette limitation vise à maintenir la valeur du bitcoin et à prévenir l’inflation.

Contrairement aux devises traditionnelles comme l’euro ou le dollar américain, le bitcoin n’est pas émis par une banque centrale ou un gouvernement. Il est créé et échangé de manière décentralisée, fonctionnant sur un réseau informatique appelé la blockchain. Cette dernière est une technologie qui enregistre toutes les transactions de bitcoin de manière transparente et sécurisée. Chaque transaction est vérifiée par un réseau de participants, appelés mineurs, qui résolvent des problèmes mathématiques complexes pour valider les transactions et maintenir la sécurité du réseau.

S’inscrire sur les plateformes

Les plateformes d’échange de crypto-monnaies, également appelées bourses de crypto-monnaies, jouent un rôle central dans la facilitation de l’achat, de la vente et de l’échange de bitcoins. Ces plateformes en ligne permettent aux utilisateurs d’interagir et de négocier des bitcoins contre d’autres devises numériques ou des monnaies traditionnelles, comme l’euro ou le dollar américain.

Le processus d’échange des bitcoins sur une plateforme typique commence par la création d’un compte utilisateur. Les personnes intéressées doivent s’inscrire sur une plateforme d’échange de leur choix et fournir des informations personnelles. Dans certains cas, une vérification d’identité est nécessaire pour se conformer aux réglementations en vigueur. Une fois le compte créé, les utilisateurs doivent approvisionner leur compte en déposant des fonds provenant de leur compte bancaire ou d’une autre source. Ces fonds seront utilisés pour acheter des bitcoins ultérieurement.

Effectuer des achats 

L’étape suivante consiste à passer un ordre d’achat ou de vente de bitcoins sur la plateforme d’échange. L’utilisateur spécifie la quantité de bitcoins qu’il souhaite acheter ou vendre, ainsi que le prix auquel il est prêt à effectuer la transaction. Cela peut se faire via une interface conviviale mise à disposition par la plateforme. Une fois qu’un acheteur et un vendeur s’accordent sur le prix, l’ordre est exécuté. Les bitcoins sont transférés du vendeur à l’acheteur, tandis que la plateforme d’échange facture généralement des frais pour faciliter la transaction. Les détails de l’échange sont enregistrés sur une blockchain, une technologie de registre distribué qui assure la transparence et la sécurité des transactions.

Que se passe-t-il ensuite ?

Une fois les bitcoins acquis, les utilisateurs ont la possibilité de les conserver sur leur compte de la plateforme d’échange ou de les transférer vers un portefeuille numérique personnel. Les portefeuilles numériques sont des logiciels sécurisés qui permettent de stocker, gérer et transférer les bitcoins de manière indépendante. Il est essentiel de noter que les plateformes d’échange de bitcoins varient en termes de fonctionnalités et de réglementations. Il est donc crucial pour les utilisateurs de mener des recherches approfondies avant de choisir une plateforme et de prendre des mesures pour sécuriser leurs bitcoins. L’utilisation de portefeuilles numériques sécurisés et le respect des meilleures pratiques de sécurité sont des éléments importants à considérer.

Le bitcoin : une opportunité qui suscite toujours l’intérêt malgré la volatilité

Le bitcoin, la crypto-monnaie emblématique qui a fait les gros titres ces dernières années, continue d’attirer l’attention des investisseurs et des amateurs de technologie. Mais face à sa volatilité et aux incertitudes qui entourent le marché des crypto-monnaies, est-ce que le bitcoin représente toujours une opportunité d’investissement ?

Bien que le bitcoin ait connu des fluctuations de prix spectaculaires, son attractivité perdure. Il est considéré par certains comme une alternative potentielle aux systèmes financiers traditionnels et une réserve de valeur dans un monde en évolution. En outre, la technologie sous-jacente du bitcoin, la blockchain, continue de susciter un intérêt considérable pour ses applications potentielles dans divers secteurs. Son adoption croissante par des entreprises et des institutions financières a contribué à légitimer sa place sur les marchés financiers.

Cependant, il est important de noter que le bitcoin est une classe d’actifs très volatile. Son prix peut connaître des fluctuations significatives sur de courtes périodes de temps en raison de facteurs tels que la demande du marché, les réglementations gouvernementales et les cycles économiques. Malgré ces défis, certains investisseurs continuent de voir le bitcoin comme une opportunité. Ils soulignent son potentiel de croissance à long terme et la possibilité de diversifier leur portefeuille avec un actif numérique non corrélé aux marchés traditionnels. 

Individualisme et risques psychosociaux : deux fléaux mortels !

Dans une société où les humains vivent un réel isolement, il en va de même dans l’entreprise pour les managers. Or, ce ne sont pas les mouvements et les changements incessants de notre monde global qui vont réduire l’écart entre le manager et ses équipes.

Pourtant, tout un chacun le sait, le manager doit être au milieu de ses équipes pour leur garantir vie, développement et sérénité. Il doit être porteur d’une communication managériale de qualité, fidèle aux éléments du plan de développement pour pouvoir développer la bonne gouvernance, dans une relation de proximité sur toutes les strates de l’entreprise.

Aussi posons nous la question suivante : Est-il encore facile actuellement de développer une relation de proximité à l’époque du résultat individuel et de l’individualisme ?

Le tout est de savoir si l’on place l’objectif sur le résultat (individuel ou collectif) ou bien sur les sur les compétences des personnes. Cela oblige à être présent sur le terrain. Certes, c’est peu simple. En effet, les cadres ressentent aujourd’hui une forte inquiétude . De plus, ils manquent souvent de signes de reconnaissance de leur entreprise.

Alors comment faire prendre conscience de cet état de fait pour combattre les effets négatifs des tensions, du stress, des inhibitions…… qui conduisent aux risques psychosociaux ?

Nous devons tout d’abord analyser la réalité des coûts pour nous assurer de maîtriser l’ensemble des paramètres de l’environnement des risques psychosociaux

Si les divers postes de coûts fondamentaux (perte de V.A, impayés, charges variables …) sont intégrés dans les tableaux de bord du Comité de Direction , les coûts générateurs de risques psychosociaux eux (l’absentéisme, les coûts de ruptures conventionnelles, les erreurs de recrutement tel le recrutement clone …… ) sont plus délicats à percevoir,. Or, ils coûtent d’autant plus chers qu’ils sont masqués. Voire pas du tout corrélés aux éventuelles carences du management.

Alors il est essentiel de travailler sur le bien être pour supprimer le mal être au travail !

Il est utile de renforcer l’engagement des managers à être présents sur le terrain, à être en capacité de faire progresser leurs collaborateurs dans leurs compétences, leurs engagements, leur valeur ajoutée pour leur offrir une évolution.

A contrario, lorsque les hommes n’ont pas le désir, l’opportunité de la la voie pour s’intégrer dans la création de valeur ajoutée de leur entreprise, on identifiera rapidement la survenance de situations de stress, de tension et l’avènement de la problématique ultime : les risques psychosociaux.

Dès lors que l’on constatera la disparition totale ou partielle du management, qu’il ne sera plus présent dans la relation d’aide, ou pour régler des situations de conflit, ou encore absent dans des situations de tensions dans le collectif, l’entreprise entre dans une zone de danger tangible.

Vision globale à 360° : les managers, qui se mettent à nu dans un 360°, vont-ils profiter de cette opportunité pour avoir une vision globale de leur management ?

Il est urgent de mettre en place les décisions propres à faire reculer les risques psychosociaux. C’est pourquoi, la vision globale du manager sur lui-même et ses équipes est aujourd’hui un pré-requis.

Nombre de solutions existent sur le marché. Cependant, nous retiendrons aujourd’hui le réputé test 360°. Il s’avère une piste facile et rapide à mettre en œuvre. Le 360° est un test d’évaluation adapté à l’anticipation des risques psychosociaux. Il permet de confronter ce que le manager pense faire et ce que ses collaborateurs, son entourage le voient faire.

L’accès aux décisions est une opportunité pour l’entreprise. Toutefois, il porte en lui aussi ses limites. Il peut être ressenti comme une menace du fait de la vision claire et de la lecture complète qu’il donne du manager dans son action. C’est dans l’utilisation du 360° qu’il faut être objectif et évaluer la pratique managériale ; PAS LE MANAGER.

Dès lors que l’on est en capacité d’évaluer la pratique managériale, en ayant préalablement identifié un référentiel de pratiques managériales concourantes avec la gouvernance, alors on est en mesure d’analyser et mesurer les écarts et en même temps d’accompagner le manager dans sa prise de conscience qu’il ne pilote peut-être pas suffisamment. Néanmoins, il est en mesure de le faire et pour lui cela ne peut être que positif dans sa fonction managériale, dans la réussite du collectif dont il a la responsabilité. Alors là ,oui, le 360° ainsi utilisé est un très bon outil.

Au final, peut-on conclure que les risques psychosociaux seraient la conséquence d’un pilotage perfectible de l’entreprise ?

Nous croyons plutôt chez Human First qu’il faut à la Gouvernance de l’entreprise des éléments de mesure. Ceux-ci lui permettent de comprendre les mécanismes du management jusqu’à trois et quatre (plus selon la taille et la structure de l’entreprise) niveaux inférieurs.

La hiérarchie intermédiaire, pour être le relais de la bonne gouvernance et être en mesure de piloter un management qui soit toujours dit ‘’management de proximité’’, a besoin que la gouvernance lui donne les moyens d’exercer le management.

Le 360° est une étape sur le chemin de la bonne gouvernance partagée et comprise par tous comme un lien fort, de proximité partagée.