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Les secteurs où la régulation est obligatoire

De nombreuses entreprises sont soumises à une réglementation stricte pour garantir l’équité, la sécurité et la protection des consommateurs. Découvrons les différents secteurs où la régulation est omniprésente pour maintenir l’ordre et préserver l’intérêt public.

Les typologies d’entreprises susceptibles de régulation

1/ Entreprises publiques : des garants de l’intérêt général

Les entreprises publiques, détenues par l’État ou d’autres entités gouvernementales, opèrent dans des secteurs essentiels tels que l’énergie, les transports, les télécommunications et l’eau. Pour assurer un accès équitable aux services et protéger les intérêts publics, ces entreprises sont régulées par des lois et des organismes de régulation.

2/ La finance : un cadre strict pour la stabilité du système

Les institutions financières, notamment les banques, les compagnies d’assurance et les sociétés de gestion de fonds, sont soumises à une réglementation rigoureuse. Les réglementations financières visent à prévenir les risques systémiques, à protéger les consommateurs et à maintenir la stabilité du système financier. Des normes strictes et des mécanismes de surveillance sont mis en place pour éviter les dérives et les crises économiques.

Les activités de casino en ligne sont ainsi soumises à des réglementations strictes dans de nombreux pays. Les législations varient d’une juridiction à l’autre et peuvent aller de l’interdiction totale des jeux d’argent en ligne à une réglementation encadrant et autorisant ces activités. Les réglementations dans le domaine des casinos en ligne visent à protéger les joueurs en garantissant l’équité des jeux, en prévenant la fraude, le blanchiment d’argent et d’autres activités criminelles, ainsi qu’en promouvant la sécurité des données personnelles et financières des utilisateurs. Certains pays ont mis en place des autorités de régulation spécifiques chargées de superviser les opérations des casinos en ligne et de s’assurer de leur légalité et de leur équité. Par ailleurs, des guides sont apparus comme pour repérer les casinos en ligne fiables au Canada par exemple.

3/ Entreprises pharmaceutiques et de santé : la sécurité et l’efficacité avant tout

Les entreprises opérant dans le domaine de la santé, notamment les fabricants de médicaments et de dispositifs médicaux, sont soumises à une réglementation rigoureuse pour garantir la sécurité, l’efficacité et la qualité des produits. Les agences réglementaires, telles que la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, jouent un rôle essentiel dans la réglementation de ces entreprises pour protéger la santé des consommateurs et assurer des normes élevées.

4/ L’énergie et les télécommunications : secteurs stratégiques sous haute surveillance

Les entreprises du secteur de l’énergie, telles que les compagnies d’électricité et les compagnies pétrolières, sont régulées en raison de l’importance stratégique de ce secteur et de ses conséquences sur l’environnement. Les réglementations visent à promouvoir la concurrence équitable, à garantir la sécurité des installations et à encourager la transition vers des sources d’énergie plus durables, tout en minimisant les impacts environnementaux.

Les entreprises fournissant des services de télécommunications, comme les opérateurs de téléphonie mobile et les fournisseurs d’accès à Internet, sont régulées pour assurer un accès équitable, protéger les données des consommateurs et garantir la qualité des services. Les réglementations veillent à ce que les consommateurs bénéficient d’une connectivité fiable et d’une protection adéquate de leurs informations personnelles.

5/ Des règles pour la sécurité alimentaire

Les entreprises impliquées dans la production, la transformation et la distribution d’aliments sont soumises à des réglementations sanitaires et de sécurité alimentaire. Ces réglementations visent à protéger la santé des consommateurs en assurant la qualité et la salubrité des produits alimentaires. Des normes strictes sont établies pour contrôler les processus de production, l’étiquetage des produits, ainsi que la manipulation et le stockage des denrées alimentaires.

Une nécessité pour la protection des intérêts publics

Les activités régulées le sont avant tout dans le souci de garantir l’équité entre les acteurs économiques et de protéger les intérêts des consommateurs. Les réglementations visent à prévenir les pratiques monopolistiques, à promouvoir la concurrence loyale et à empêcher les abus de pouvoir économique. En fixant des normes et des règles, les autorités cherchent à maintenir un équilibre dans les marchés, favorisant ainsi un environnement où les consommateurs ont accès à des produits et des services de qualité à des prix raisonnables.

La sécurité et la protection de l’environnement peuvent également être des facteurs qui impliquent une régulation. Certaines activités économiques présentent des risques pour la sécurité des individus et pour l’environnement. Les entreprises opérant dans des secteurs tels que l’énergie, la santé et les transports sont régulées afin de minimiser ces risques et d’assurer la sécurité publique. Les réglementations imposent des normes de sécurité strictes, exigent des procédures de contrôle et de surveillance, et fixent des limites pour prévenir les accidents, les catastrophes ou les atteintes à l’environnement. Certaines activités même si cela concerne des activités ludiques avec vos salariés peuvent faire l’objet de régulation.

La régulation des activités économiques est également justifiée par la nécessité de préserver l’intérêt général et la stabilité économique. Les secteurs stratégiques tels que les services financiers et les infrastructures essentielles sont soumis à des réglementations pour éviter les crises financières, maintenir la confiance dans le système économique et garantir la continuité des services indispensables à la société. Les autorités de régulation jouent un rôle crucial dans la surveillance de ces secteurs, en imposant des contrôles, des normes et des réglementations adaptées à leurs spécificités.

Les tickets de caisse : un fardeau environnemental croissant

Les tickets de caisse, que nous recevons quotidiennement lors de nos achats, représentent un poids croissant sur l’environnement. Ces petits morceaux de papier, souvent négligés, génèrent une quantité considérable de déchets. Leur impact négatif découle de divers facteurs, allant de la composition du papier utilisé à la production massive et à la durée de vie limitée de ces reçus.

Le problème des tickets de caisse 

La majorité des tickets de caisse sont imprimés sur du papier thermique. Celui-ci contient un revêtement chimique sensible à la chaleur. Malheureusement, ce revêtement rend le papier difficile à recycler. Lorsque les tickets de caisse finissent dans les déchets ordinaires, ils se retrouvent souvent dans des décharges alors qu’ils peuvent être recyclés.

Trop d’information, de tickets et un côté éphémère

Dans de nombreux pays, des milliards de tickets sont émis chaque année. Ils alimentent une production de masse qui entraîne une consommation excessive de ressources naturelles. Les arbres utilisés pour fabriquer le papier sont donc abattus en grand nombre, ce qui a des répercussions sur la déforestation et la biodiversité. 

De plus, la fabrication des tickets de caisse nécessite l’utilisation d’énergie et d’eau. Elle contribue ainsi aux émissions de gaz à effet de serre. L’impression excessive cause aussi des problèmes puisque les tickets de caisse restent imprimés avec des informations superflues telles que des publicités ou des offres promotionnelles. Cette pratique augmente la taille des reçus et la consommation de papier

Les tickets de caisse ont également une durée de vie très courte. Une fois reçus, ils finissent généralement à la poubelle peu de temps après, entraînant ainsi une accumulation rapide de déchets papier dans les décharges. Cette tendance contribue à la surcharge des sites d’enfouissement et à la saturation de nos systèmes de gestion des déchets.

Des solutions émergentes 

Pour contrer cette problématique, des initiatives visant à réduire l’impact environnemental des tickets de caisse sont mises en place. La dématérialisation des tickets de caisse gagne en popularité, offrant une alternative électronique aux reçus papier. Cette transition permet de réduire la consommation de papier et limite la production de déchets associée aux tickets de caisse.

La nouvelle législation : 1er aout 2023

Le 1er août 2023 marquera la fin de l’impression automatique des tickets de caisse en France, conformément à la loi n°2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire. Cette mesure vise à lutter contre les substances dangereuses présentes dans ces tickets et à réduire le gaspillage considérable qu’ils représentent (30 milliards de tickets imprimés chaque année).

À partir de cette date, les commerçants ne pourront plus imprimer automatiquement les tickets de caisse. Les catégories de tickets concernées incluent ceux émis dans les surfaces de vente et les établissements recevant du public, les tickets d’automates, les tickets de carte bancaire, ainsi que les bons d’achat et les tickets promotionnels.

Désormais, les consommateurs devront expressément demander l’impression d’un ticket de caisse s’ils en souhaitent un. Les commerçants sont tenus d’informer clairement les consommateurs de cette nouvelle obligation d’affichage à l’endroit où le paiement est effectué.

Pour remplacer les tickets de caisse papier, des solutions de dématérialisation sont déjà disponibles. Les e-tickets peuvent être envoyés aux acheteurs par SMS, e-mail, via des applications bancaires ou à l’aide d’un QR code. Cette technique permet de récupérer le ticket depuis une page web. Cependant, la collecte de données auprès des acheteurs doit se conformer au Règlement général sur la protection des données (RGPD) et nécessite leur consentement explicite.

Tous les achats ne sont pas concernés

Cependant, certaines exceptions subsistent. Les tickets de caisse relatifs à l’achat de biens durables où la garantie légale de conformité est mentionnée. Il s’agit par exemples des appareils électroménagers et les équipements informatiques, qui resteront imprimés automatiquement. De même, les opérations annulées ou faisant l’objet d’un crédit par carte bancaire nécessiteront également une impression systématique.

Les tickets de caisse, autrefois considérés comme des documents insignifiants, se révèlent être un fardeau croissant pour l’environnement. Leur composition, la production de masse, l’impression excessive et leur courte durée de vie contribuent à une accumulation alarmante de déchets papier. Les efforts visant à promouvoir des alternatives plus durables, telles que les reçus électroniques, restent encouragés.

Le langage corporate, la difficulté du nouvel embauché

L’internationalisation et l’apprentissage de l’anglais comme première langue en général dans les cycles secondaires, les nouvelles technologies ont conduit à de nouvelles habitudes comme  celles d’utiliser des anglicismes. Or, un langage appelé « corporate » ne cesse de s’imposer au sein des entreprises. Le challenge du nouvel embauché est de décrypter le sens des mots avant de pouvoir s’intégrer. Décryptage de ces langues.

Le langage corporate à partager avec le nouvel embauché

Recruter des talents, c’est difficile. Les convaincre avec un vocabulaire qui les rebute encore plus difficile. Il faudra donc dès la première rencontre leur donner les clefs du langage corporate et ils seront séduits par le fait d’appartenir à la communauté.

Les mots qui font partie des habitudes

Ces mots et expressions restent très souvent employés dans les entreprises. Ils évoquent des situations ou encore des actions sous forme d’anglicismes. Facile à décrypter pour les personnes qualifiées en anglais ou spécialistes d’un secteur, ils sont parfois utilisés dans un sens à connotations différentes, créant des situations comiques pour les nouveaux arrivants.

Quelques mots à retenir

Focus ou encore Focuser : ce nom ou ce verbe francisé signifie être concentré sur quelque chose. Il peut aussi souligner l’importance d’un dossier et le fait qu’il sera la seule préoccupation du salarié pendant un temps.

One to one : cette expression peut s’avérer difficile à comprendre même une fois traduite. En réalité elle veut dire que la personne, qui s’adresse à vous, veut vous voir en tête à tête pour évoquer un sujet.

Brainstorm : ce mot anglais qui fait référence au cerveau en anglais, évoque une réunion où les collaborateurs réfléchissent ensemble autour d’un sujet. Une réunion pour rappeler les éléments clefs et faire preuve de créativité avec de nouvelles idées pour un projet.

Feedback : entendu très régulièrement dans le monde de l’entreprise ou même en dehors, il est presque devenu un mot commun dans la langue française. Il désigne un retour sur le travail fait en amont, il consiste à éclairer le collaborateur qui a travaillé sur un sujet, un dossier ou un projet.

Et de plus, les mots suivants

PPT : ce n’est pas vraiment un mot mais plutôt une abréviation du logiciel Power Point. Une façon plus rapide de dire qu’une présentation doit être effectuée pour une prochaine réunion ou un « brainstorming ».

Process : très peu différent du mot processus, il indique les multiples étapes à franchir dans la réalisation d’un projet ou d’une tâche au sein d’une entreprise. Dans les grandes structures, ce mot a un sens péjoratif. Effectuer tous les process avant d’arriver à son but est souvent semé d’embûches.

Call : littéralement traduit de l’anglais, ce mot n’a pas d’autre signification qu’un appel. Même s’il s’avère peu compliqué, il est très courant dans le langage corporate. Les phrases ressembleront plus à : « Je te laisse, j’ai un call » que « Je te laisse, j’ai un appel à passer ». Cet emploi est très souvent moqué par les collaborateurs peu  » corporate «  pour son côté stupide.

Les mots des spécialistes

Le langage corporate n’est pas à la portée de tous et les entreprises ne se contentent pas seulement des mots énoncés plus haut. Elles vont plus loin dans cette novlangue et font des phrases incompréhensibles pour les personnes lambda. Quelques termes compliqués et peu utilisés, mais que l’on peut rencontrer un peu partout.

Quick win : cette expression venue de l’anglais, désigne une action. Elle évoque une situation ou un projet qui a rapporté des gains très rapidement. Elle s’apparente un peu à l’univers des jeux vidéo, comme si avec peu de moyens, il y avait une victoire retentissante.

Input / Output : littéralement et dans de nombreux domaines ces mots signifient tout simplement entrée et sortie. Dans le langage corporate, les output signifient des éléments, des données, des caractéristiques provenant d’une chose ou d’une personne. Dans l’autre sens, pour les input, sont eux destinés à une chose ou une personne.

Workshop : il s’apparente un peu au brainstorming, mais il demeure moins commun dans la bouche des salariés. Il représente une réunion d’une plus grande envergure que le brainstorming et demande une plus grande concentration et participation des collaborateurs. Il a un concept plus créatif.

Flagger : très peu utilisé, il arrive tout de même de le retrouver chez les collaborateurs d’une entreprise. Il n’est pas connoté de manière péjorative. Dérivé du mot « flag », qui veut dire drapeau en anglais, il consiste à coller une étiquette à des choses ou des personnes.

Les nouveaux noms de fonction

Même si le langage corporate n’est pas courant dans toutes les entreprises, il devient parfois omniprésent au sein des start-up. L’anglicisme est loin d’échapper à ces petites structures qui n’hésitent pas à tout renommer avec des termes anglais. Cette pratique s’avère très déroutante pour les néophytes.

COO : il signifie Chief Operating Officer, ce qui correspond en français à Directeur de l’exploitation.

CEO : cette abréviation est l’équivalent de PDG ou DG en français. Elle est très utilisée ces derniers temps dans les échanges à l’international.

Mais ces deux abréviations prennent leur quartier et conduisent dans les entreprises françaises à créer des confusions sur les fonctions attribuées à ces postes.

Depuis de nombreuses années, les entreprises utilisent les anglicismes malgré les nombreuses mises en garde des linguistes. Elles remplacent des termes français existants et construisent un langage propre à l’entreprise. Le langage corporate fait souvent sourire à cause des phrases qui confondent et mélangent français et anglais. Dans les entreprises, pour les nouveaux arrivants, il vaut mieux se mettre dans ce bain linguistique rapidement pour ne pas se sentir dépassés voire exclus. Peut-être que le langage corporate finira par s’estomper si c’est seulement une mode. C’est pourquoi les premiers jours, vous pouvez écrire un petit lexique des termes les plus utilisés. Il ne faut surtout pas hésiter à demander la signification des mots, même si vous paraissez ridicule les premières minutes et pourquoi pas vous rendre sur internet qui vous donnera le ou les sens du mot barbare.

Les erreurs à éviter sur LinkedIn

Les réseaux sociaux paraissent incontournables mais parfois on ne sait pas vraiment comment les utiliser. En ce qui concerne LinkedIn, il s’utilise à des fins professionnelles. Cependant, LinkedIn se révèle efficace si vous l’utilisez à bon escient. Sans connaissances préalables, certaines erreurs peuvent vous causer du tort. Quoi que vous souhaitiez effectuer sur LinkedIn, chercher, trouver voire être trouvé, il importe d’adopter les conseils pertinents qui feront que votre présence sur LinkedIn aura tout son sens.

Les réseaux sociaux étaient considérés au départ par les internautes comme identiques et ils mettaient pêle-mêle des informations. Or avec l’expérience, il est judicieux de poster avec discernement. Quelques conseils qui vous permettront de naviguer avec efficacité.

N’oubliez pas d’insérer votre photo

Vous commettez une grave erreur en ne publiant pas de photo sur votre profil LinkedIn. Votre profil a beaucoup plus de chances d’être visité si vous en mettez une. De même, si vous avez distribué des cartes de visites lors d’un salon, d’un Afterwork, etc., c’est sans doute avec l’objectif de simplifier les connexions sur LinkedIn qui découleront de vos rencontres. En l’absence de photo sur votre profil, vos interlocuteurs auront beaucoup plus de mal à vous retrouver ou vous reconnaître lorsqu’ils vous chercheront sur LinkedIn.

Choisissez bien votre photo de profil LinkedIn

Évitez de mettre la photo de votre nouveau-né, de votre chanteur ou acteur préféré, d’un avatar personnalisé voire de votre animal domestique. Il est préférable de vous montrer sous votre meilleur jour professionnel et non de dévoiler votre vie privée. Pensez que les recruteurs cherchent une personne pour travailler et non pour aller boire un verre ou partir en vacances. Votre photo de profil doit renvoyer l’image de quelqu’un qui souhaite et est prêt à travailler.

Parmi les photos disponibles, choisissez celle qui vous ressemble le plus et qui ne date pas du siècle dernier. Rien ne sert d’anticiper quelque discrimination par rapport à l’âge, la couleur de peau, etc. Rappelez-vous qu’au moment de le rencontrer, la personne se sentira abusée (il y a tromperie sur la marchandise !) et pourra vous en tenir rigueur sous différentes formes. Qu’il s’agisse d’un futur collaborateur, d’un investisseur ou d’un client, la personne se focalisera davantage sur l’énergie émanant de votre regard, sur votre sourire plein de franchise ou dans la détermination transmise par votre posture.

Indiquez votre statut

Avec les réseaux sociaux, tout le monde ou presque peut prendre connaissance de votre situation sociale. Sur LinkedIn, votre statut est un moyen efficace pour valoriser l’évolution de votre réussite professionnelle. Vous pouvez aussi bien partager la promotion d’un de vos collaborateurs ou associés qu’un article que vous avez écrit. Personne ne saura ce que vous avez effectué si vous ne vous le communiquez pas. Alors pourquoi ne pas profiter de cette visibilité ?

Gardez-vous des invitations par défaut

N’employez pas les demandes d’invitation standards ! Contrairement aux réseaux sociaux, la quantité ne prime pas sur la qualité. Gardez en mémoire ce que vous êtes venu faire sur LinkedIn, à savoir vous constituer un réseau professionnel pour accéder à des opportunités d’emploi. Si ce n’est pas le cas, alors désinscrivez-vous !

Il est possible que vous invitiez quelqu’un que vous n’avez jamais rencontré, pour des raisons professionnelles. Sans doute n’avez-vous pas d’autre moyen de le joindre. La meilleure façon de procéder est d’effectuer un peu de recherche sur la personne convoitée et d’écrire votre message d’invitation en fonction de votre motivation à le contacter. Soignez votre message en prenant en compte les renseignements obtenus lors de votre recherche. Plus la personne ressentira l’intérêt que vous lui vouez (il ne s’agit pas non plus de ramper !), plus vous attirerez son attention et attiserez sa curiosité. Vous pouvez mettre en avant votre appréciation d’un de ses articles, la justesse de ses propos tenus lors d’une conférence, etc.

Les personnes qui utilisent LinkedIn de manière judicieuse ont tout intérêt à se connecter aux professionnels susceptibles d’avoir une quelconque influence positive sur leur profil. Les dirigeants d’entreprises regardent votre profil. S’ils cherchent un associé ou un remplaçant, ils regarderont sans doute vos relations. Il est même possible que vous soyez engagé parce que vous connaissez certaines personnes dans votre secteur d’activité. Posséder un bon réseau peut faire pencher la balance en votre faveur.

Utilisez les paramètres de confidentialité

Vous êtes encore nombreux à ne pas connaître les paramètres de confidentialité disponibles sur LinkedIn. Le moment est alors venu de vous y intéresser car ils peuvent s’avérer forts utiles. Par exemple, si vous souhaitez faire du commerce avec un client sans que celui que vous venez de solliciter l’apprenne, vous avez tout intérêt à vous montrer discret (et donc à ne pas vous montrer…). Apprenez que vous pouvez modifier les paramètres de confidentialité pour que certains de vos contacts ne puissent accéder à vos recherches d’opportunités, à votre situation inconfortable, etc.

Pour trouver ces paramètres, identifiez-vous puis sélectionnez « préférences » dans le menu déroulant en haut à droite, là où s’affiche votre nom.

Rédigez un résumé concis mais attractif

Il y a fort longtemps, on encourageait les gens à écrire leurs objectifs de carrière sur leur CV. Cela n’est plus au goût du jour… sauf sur LinkedIn. Le fait d’écrire en ligne vous laisse plus de place que sur un CV papier. Voyez ce résumé comme un moyen de vous vendre, comme une opportunité de vous exprimer et de laisser parler votre personnalité. étant donné que de plus en plus de personnes à l’éducation similaire sont en compétition pour le même travail, remplir le résumé peut vous donner un avantage auprès d’un employeur. L’écrire à la première personne pourra même lui donner plus d’énergie et de caractère.

Actualisez votre profil professionnel

Éliminez tous les anciens emplois, notamment ceux qui n’ont pas de rapport avec votre secteur actuel. Même si vous avez ouvert une autre entreprise, votre dernier poste en date n’est pas essentiel. Ce qui importe, c’est ce que vous effectuez aujourd’hui. A contrario d’un CV sur lequel vous devez sélectionner vos expériences en fonction du poste visé, sur LinkedIn, il est vivement conseillé de lister l’intégralité de vos fonctions en tant que dirigeant d’entreprise. Votre profil se doit d’être aussi solide que du roc et ne comporter aucune faiblesse. Expliquez ce que vous ont apporté vos diverses expériences est un plus.

Soyez pro-actif

Ne croyez pas que posséder un profil sur LinkedIn ne suffit pas. Vous devez y mettre du vôtre. Les investisseurs, les clients, les commerciaux, les journalistes, etc. ne doivent pas tomber par hasard sur votre profil et par chance s’étonner de votre excellence. Rejoignez des groupes en rapport avec votre domaine de prédilection ou vos centres d’intérêt. Cela peut s’avérer efficace. À l’intérieur de ce groupe, vous pourrez peut-être trouver une personne susceptible de vous apporter de l’aide professionnellement parlant en plus de la possibilité de vous créer un réseau. Les utilisateurs de LinkedIn peuvent également suivre des entreprises et veiller sur les personnes qui vont et viennent.

Apprendre à travailler avec des personnalités que l’on n’apprécie pas

Au travail, nous ne choisissons pas nos collaborateurs sur des liens d’affinités mais le plus souvent pour leurs compétences. Nous avons affaire à toutes sortes de caractères, de personnalités, de conceptions de la vie, d’idées politiques, d’éducation. Entre le collègue qui bavarde trop, celui qui se croit supérieur et celui qui fait semblant de travailler, celui qui est opportuniste, avoir des relations harmonieuses s’avèrent difficiles. Que faire dans cette situation ? Voici un mode d’emploi pour arriver à travailler avec des personnalités que l’on n’apprécie pas !

Quelques citations pour apprendre à travailler ses émotions

L’émotion est la source principale de toute prise de conscience. 

Carl Gustav Jung

Celui qui est le maître de lui-même est plus grand que celui qui est le maître du monde.

Bouddha

Savoir gérer ses émotions… Un travail quotidien.

Elisabeth Nedelec

Les mots manquent aux émotions.

Victor Hugo

Ne méprisez la sensibilité de personne. La sensibilité de chacun, c’est son génie.

Charles Baudelaire

Savoir entretenir de bonnes relations avec les autres, c’est en grande partie savoir gérer leurs émotions. 

Daniel Goleman

Contrôler ses émotions

Vous appréhendez tellement l’affrontement avec ce collaborateur désagréable que vous ne parvenez plus à travailler paisiblement et sereinement. Pour éviter d’avoir à gérer ce tourbillon de sentiments négatifs, il est important de stopper tout comportement stérile.  Étant donné que vous ne supportez plus ce salarié, vous pourriez sans doute finir par lui lancer des propos désobligeants. Même si cela semble difficile, vous devez garder votre calme. Essayez d’abord d’écouter ce qu’il a à raconter et adoptez une attitude bienveillante. Être ballotté par vos émotions qui sont elles-mêmes aux prises avec les émotions liées à votre charge de travail, à vos relations avec les équipes sur des sujets complexes est loin d’être professionnel.

S’intéresser à l’autre

Qui est donc réellement ce personnage et comment cela se fait-il au juste que je ne l’aime pas ? Trop souvent, ce sont les préjugés qui animent notre manière de penser voire d’agir. Prendre le temps de connaître quelqu’un est primordial pour arriver à dépasser cela. Chaque personnalité est unique et s’y intéresser de près avant tout jugement hâtif peut éviter de nombreux conflits. Disons que deux minutes suffisent pour entamer une vraie conversation et en apprendre davantage sur cette personne que l’on déteste tant et même si cette personne a des conceptions à l’opposé des vôtres, considérez-vous comme un médiateur qui a pour mission de créer l’harmonie.

Analyser les raisons

Impossible d’aimer tout le monde ? C’est vrai… Mais avant d’affirmer que vous ne supportez pas telle ou telle personne, essayez de vous poser les bonnes questions. « Qu’est-ce qui me dérange vraiment chez cette personne ? » et « Suis-je en train de dramatiser ? ». Une fois résolues, allez voir cette personne et parlez-lui de vos sentiments à son égard. Ensemble, vous parviendrez à trouver un terrain d’entente pour ainsi vivre de manière paisible au bureau. Les propos peuvent varier en allant de « Pourrait-on en parler ? » à « Ressens-tu la même gêne que moi ? Je pense qu’il nous faut en parler afin de trouver une solution ensemble. »

S’ouvrir aux autres, une qualité professionnelle

Si vous n’arrivez pas à maîtriser les émotions, et que vous êtes guidé par elles, il vous est difficile de prétendre être capable de diriger une équipe ou entreprise ! En tant qu’adulte responsable, allez à la rencontre de ce collaborateur que vous reniez tant. Souvent, c’est l’attitude qui déplaît ou les conceptions différentes comme dans une famille, entre le collègue cynique, le sarcastique, le manipulateur et le vantard, il existe parfois trop de personnalités « dérangeantes » au travail. Afin d’éviter d’avoir affaire à tout ceci, tentez d’en parler dans un premier temps. Et si jamais cette conversation se révèle infructueuse, il vous faudra persévérer. Allez, courage, la vie au travail, ça se travaille !

La French Tech, quel est son enjeu ?

Promouvoir l’attractivité de l’écosystème tech français, attirer les talents étrangers en France, connecter dans un réseau international les entrepreneurs, les investisseurs à travers la French Tech sont devenus des réalités avec le CES Las Vegas 2023.

La French Tech ?

La French Tech se révèle être une véritable opportunité pour les PME et TPE. Elles intègrent ainsi un réseau de ressources des grands groupes susceptibles de favoriser leurs marchés. Il s’agit d’un dispositif qui les soutient pour prendre une dimension internationale par l’intermédiaire de métropoles labellisées « French Tech ».

Comment faire pour devenir une French Tech ?

En premier lieu, il faut adhérer au réseau. Il s’agit de s’inscrire sur le site et renseigner le formulaire d’inscription ad hoc dédiée à la présentation de votre entreprise. Cette inscription ne garantit nullement l’acceptation de votre candidature. Cette adhésion permet de bénéficier de dispositifs de nature pécuniaire annoncés comme la  » Bourse French Tech « , le  » Pass French Tech  » ou encore le « French Tech ticket ».

Les atouts ?

Le dispositif du label, appelé « Métropole French Tech », permet d’intégrer un écosystème entrepreneurial numérique local. Mais assujetti à remplir un cahier des charges précis défini par le ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. L’obtention du label facilite en conséquence l’accès à des fonds spécifiques. De surcroît, les collectivités « seulement » candidates offrent déjà à celles qui en font partie un soutien non-négligeable. Notamment, un accès aux ressources informatives, des espaces dédiés et surtout une dynamique de réseau hétéroclite (entreprises, organismes de formation, chercheurs, etc.)

A quelle entreprise s’adresse ce dispositif ?

La French Tech propose aux meilleurs acteurs du numérique des prix dotés de récompenses financières. Notamment sous forme d’aides à l’investissement. Le critère fondamental pour bénéficier de ces autres ressources est d’être une PME ou un TPE. Celle-ci doit présenter les caractéristiques d’une start-up. En fait, une entreprise aux coûts de maintenance minimum, avec un taux de croissance potentiel élevé et une rentabilité certaine.

16 métropoles sont déjà labellisées : Lille Is French Tech, Lyon French Tech, Digital Grenoble, French Tech Aix-Marseille, Montpellier Métropole Numérique, French Tech Toulouse, Bordeaux Métropole Numérique, Nantes Tech, La French Tech Rennes, La French Tech Bourgogne-Franche-Comté, La French Tech La Réunion, première Capitale French Tech dans une région d’Outre-mer, La French Tech Paris-Saclay.

Les French Tech Hubs, qu’est-ce que c’est ?

Les « French Tech Hubs » ont pour mission de réunir tous les entrepreneurs français et les startups françaises à l’étranger. Leur but est d’ accélérer leur activité et leur donner de la visibilité. Ils sont ouverts à tout professionnel de langue française vivant ou travaillant dans les pays où les hubs sont implantés.

L’ambition de ces French Tech Hubs est de structurer les communautés French Tech dans les grandes métropoles d’innovation dans le monde.

Pour accompagner ces entreprises dans leur hyper-croissance, les partenaires publics du programme (La French Tech, Bpifrance, DGE, Business France, INPI, AFPC, France Invest et UGAP) offrent de manière unique, prioritaire et accélérée des services premiums spécifiques. Le Pass French Tech est décliné dans les Métropoles French Tech. Il est porté localement par 14 opérateurs, qui se mobilisent pour accompagner ces entreprises.

Quel est l’enjeu du Label French Hubs ?

Le label « French Tech Hubs » a pour objectif d’aider les start-up françaises à se développer ou à s’installer à l’étranger. Seules les plus grandes villes du monde, réputées pour leur pôle innovation sont concernées. Cette initiative s’inscrit dans la continuité du projet  » Métropoles French Tech « . Elle a pour but fondamental : développer l’attractivité du secteur numérique français en attirant des entreprises, des investisseurs et des talents étrangers.

Quels sont les critères d’éligibilité ?

Les critères retenus pour identifier les entreprises bénéficiaires du programme sont notamment :

  • Quantitatifs : forte croissance du chiffre d’affaires (trois ans d’exercice comptable) ou levées de fonds en equity consolidées sur un an,
  • Qualitatifs : modèle économique à très fort potentiel, entreprise innovante, siège social en France, équipe dirigeante actionnaire, engagement pour la diversité, etc.

Des supermarchés sans caisses, la nouvelle donne ?

Des communiqués incessants nous préparent à l’implantation des supermarchés sans caisses. La réalité présentée consisterait à en finir avec les files d’attente aux caisses des supermarchés. Qu’en est-il en 2023 ? Amazon qui avait lancé ce concept ferme un tiers de ses sites, sans pour autant renoncer. 8 magasins, situés à San Francisco, New York et Seattle, vont fermer leurs portes. 21 magasins du même type continuent d’opérer, mais les projets de nouvelles implantations sont gelées.

Comment en finir avec les files d’attente aux caisses des supermarchés ?

Comment en finir avec les files d’attente aux caisses des supermarchés, alors que selon un sondage OpinionWay, 40 % des Français trouvent le temps d’attente en caisse « trop long » dans les supermarchés, et 24 % vont jusqu’à renoncer à acheter pour cette raison ? Peut-être avec des magasins… sans caisses.

Auchan minute ?

Déployé depuis 2017 en Chine, Auchan Minute a été installé sur le parking du siège d’Auchan Retail France. Mis à disposition des collaborateurs du site uniquement, ce magasin/container d’une vingtaine de m² « propose une offre alimentaire courte pour des courses d’appoints, le paiement s’effectuant avec les  badges entreprise » nous indique Auchan. 

« L’idée est de servir de laboratoire d’innovations permettant de renforcer la connaissance clients, de tester de nouveautés produits, d’expérimenter des nouveautés en matière de merchandising, d’information dynamique » précise le distributeur, qui ne manque pas d’ajouter qu’aucun développement sur la voie publique n’est prévu en France », pour couper court à toute polémique sur l’emploi. 

Mis au point et déployé en Chine depuis 2017 (ou l’on en recense plusieurs centaines à ce jour), Auchan Minute fonctionne là-bas via la très populaire application WeChat. Elle sert à s’identifier pour déverrouiller la porte d’accès et effectuer le paiement (après avoir scanné les produits sur la caisse).

Le concept arrivé à maturité ?

En France, Carrefour doit tester auprès de ses employés du siège de Massy (Essonne) sa première supérette automatisée, sans caisses ni caissiers, qui fonctionnerait grâce à des caméras équipées d’un système de reconnaissance faciale mis au point par le géant chinois Tencent. Carrefour doit aussi expérimenter à Bruxelles une supérette entièrement automatisée : pas de rayons mais des écrans pour sélectionner ses produits avec une préparation robotisée. Ce magasin high-tech disposera aussi de casiers de retrait pour les commandes passées en ligne.

Le groupe Casino s’est lui aussi lancé dans des boutiques sans caisse. Pour l’heure, le groupe en est à la réflexion expérimentale avec son espace « Le 4 », dans le quartier des Champs-Elysées.

Quand la grande distribution s’allie aux géants du web

Après l’annonce d’une alliance entre Monoprix et Amazon, Carrefour s’est allié en juin dernier avec un autre géant d’internet : Google. Le partenariat stratégique s’articule autour de trois piliers : le déploiement de l’offre Carrefour sur une nouvelle interface du site de Google Shopping et sur l’Assistant Google en France, la création d’un Lab Carrefour-Google et l’accélération de la digitalisation du groupe Carrefour.

Carrefour et Google veulent ainsi proposer une nouvelle expérience d’achat aux clients du roi des hypermarchés en France. «Les utilisateurs français pourront effectuer leurs courses – dont les achats alimentaires – que ce soit via l’enceinte connectée Google Home, ou via l’Assistant Google depuis leur téléphone portable, ou enfin sur le web via la nouvelle interface du site Google Shopping en France, et ainsi se faire livrer à domicile ou récupérer les marchandises en magasin», explique Carrefour. Dicter ses courses sera donc une nouvelle façon de consommer.

Auchan allié à Alibaba en Chine

Carrefour s’engage donc dans les commandes vocales de la même manière que le géant américain Wallmart, qui donne souvent le « la » en matière d’innovations dans la grande distribution. Auchan s’est également allié avec un géant du numérique. Sun Art, co-entreprise détenue par Auchan Retail et Ruentex s’est, en effet, alliée avec Alibaba, l’Amazon chinois. Cette alliance entre les trois acteurs doit participer à la construction « du commerce phygital alimentaire en Chine », et « permettre à l’ensemble des activités de Sun Art de bénéficier de l’écosystème digital d’Alibaba » selon le communiqué commun publié lors de l’annonce de l’opération en novembre dernier.

Monoprix en partenariat avec Amazon

Le groupe Monoprix a scellé de son côté une alliance de ses magasins Monoprix avec Amazon. Certains des produits de l’enseigne française (Monoprix Gourmet ou Monoprix Bio) doivent être commercialisés sur la plateforme du géant américain et proposés à ses clients Amazon Prime Now, qui comprend une livraison en moins de deux heures à Paris et proche banlieue.

BIENTÔT LA FIN DES CAISSES DANS LES MAGASINS ?

Les solutions technologiques se multiplient pour supprimer le passage en caisse : achats via des caméras, applications sur smartphone pour scanner les produits, paiement par reconnaissance faciale. Mais si les caissières disparaissent, quid alors des relations humaines ?

En Chine, test du le paiement par reconnaissance faciale

Et les autres n’ont pas perdu de temps pour suivre l’exemple du géant américain. En France, le groupe Casino a ainsi ouvert à Paris « Le 4 », un magasin ouvert 24h/24h. Là encore, le principe est simple : scanner les achats via l’application Casino Max, et validation le ticket de caisse en fin de parcours permet d’ouvrir les portiques de sortie, comme dans certains magasins Leclerc après les caisses automatiques.

Monoprix et Auchan ne sont pas en reste puisqu’il auraient également des projets identiques. Ailleurs dans le monde, certains vont déjà beaucoup plus loin dans la façon de régler la note. Ainsi, en Chine, Alibaba teste le paiement par reconnaissance faciale dans un restaurant KFC. Mai quid alors des relations humaines ?

Certains résistent aux progrès technologiques et prônent le dialogue. Ainsi, en Ecosse et en Angleterre, Tesco, pour sa part, teste dans ses magasins le concept de slow lane (file lente). Au final, si de nombreuses critiques sont émises quant aux emplois supprimés ou la disparition d’interaction, « les limites humaines ne tiendront pas longtemps si le bénéfice consommateur est avéré », estime Philippe Moati, cofondateur de l’Observatoire société et consommation.

Auchan lancera son premier magasin sans caisse ni employé en 2019

Auchan s’apprête à lancer Auchan Minute : un concept de magasin sans caisses ni personnel, calqué sur le modèle des enseignes Amazon Go aux États-Unis. Déjà bien présents en Chine, les magasins « phygitaux » (contraction de physique et digital) Auchan Minute devraient faire leur apparition en France dès le mois de mars 2019.Il s’agira dans un premier temps d’une période d’essai réservée – comble du cynisme – aux employés de l’entreprise. Un premier Auchan Minute ouvrira à Villeneuve-d’Ascq, dans le Nord

D’ici le mois de mars 2019, les employés du groupe Auchan pourront ainsi se rendre dans le magasin Auchan Minute pour y faire leurs courses, raconte France 3 Hauts de France. Le concept est simple : une boutique alimentaire sans personnel ni caisses, où l’on scanne tous les achats via une application sur smartphone. Celui-ci débitera alors automatiquement les consommateurs à la sortie. Un concept calqué sur celui des Amazon Go qui, forts de leur succès à Seattle aux États-Unis, pourraient fleurir sur tout le territoire américain d’ici quelques années. Destinés aux citadins, et ouverts 24h/24, ces enseignes d’un nouveau genre représentent ainsi une manne financière des plus importantes pour les entreprises qui misent sur le phygital. Mais les syndicats ne l’entendent guère de cette oreille.

Les syndicats sur le pied de guerre

« Les nouvelles technologies devraient être là pour aider l’humain, regrette Ludovic Vinchon, délégué central France Ouvrière chez Auchan France dans les colonnes de France 3. Les concepts totalement autonomes menacent fortement les emplois, déjà précaires, des caissiers« . En jeu selon les délégations syndicales : l’existence pure et simple du métier d’hôte et d’hôtesse de caisse, menacée par une automatisation à outrance.Ce banc d’essai de la part de Auchan est pourtant d’autant plus dangereux pour l’emploi que s’il se révélait fructueux, c’est tout le secteur de la grande distribution qui viendrait à adopter le modèle du phygital.

Carrefour prévoit d’ouvrir en mars 2019 un magasin automatisé de 56 m² réservé à ses employés, au siège du groupe à Massy (Essonne). Le supermarché ne disposerait pas de caisse et fonctionnerait grâce à des caméras équipées d’un système de reconnaissance faciale, rapporte le site spécialisé Linéaires.

Le dispositif permettrait de détecter les clients et les articles choisis, selon une source syndicale. Grâce à une technologie développée par son partenaire Tencent, Carrefour a déjà testé en Chine un système de paiement par reconnaissance faciale.

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Vente à distance : le droit de rétractation du client

Le délai de rétractation s’applique à de nombreux contrats. Le client a un délai de 14 jours pour changer d’avis en cas d’achat par internet. C’est le droit de rétractation. Lorsque le client exerce ce droit, le vendeur doit lui rembourser le bien ou la prestation de service commandé. Il ne s’applique pas à certains contrats comme ceux des produits d’hygiène par exemple.

Le vendeur doit informer le client de l’existence ou de l’absence de ce droit avant la conclusion de sa commande.

Comment calculer le délai de rétractation ?

Le client dispose d’un délai de 14 jours minimum pour changer d’avis sur son achat à distance. Le professionnel peut offrir un délai plus long à ses clients. Toutefois, il faut savoir que le droit de rétractation s’applique aussi sur un produit soldé, d’occasion ou déstocké.

Quand le client peut-il exercer son droit de rétractation ?

  • de la conclusion du contrat pour les prestations de service, la fourniture d’un contenu numérique hors support matériel, la fourniture d’eau, de gaz, d’électricité ou de chauffage urbain,
  • de leur réception pour les biens,
  • de la réception des biens pour les contrats mixtes (c’est-à-dire ayant pour objet à la fois la fourniture de prestation de services et la livraison de biens).

  À savoir :

Il est possible cependant que le client exerce son droit de rétractation avant la livraison de la marchandise. Si sa commande porte sur plusieurs biens livrés séparément ou sur un bien composé de lots ou de pièces multiples dont la livraison s’échelonne, le délai commence à réception :

  • du dernier bien ou lot,
  • ou de la dernière pièce.

Si le contrat prévoit la livraison régulière de biens pendant une période définie, le délai commence à réception du 1er bien. Par ailleurs, si le vendeur n’a pas informé le client de son droit de rétractation, le délai est prolongé de 12 mois à partir de la fin du délai initial de rétractation. Mais si cette information est fournie pendant cette prolongation, le délai est de nouveau de 14 jours. Il commence à la date où le client reçoit l’information.

Attention !

Le décompte du délai de 14 jours commence le lendemain de la conclusion du contrat ou de la livraison du bien selon le type de contrat. Si ce délai expire un samedi, un dimanche ou un jour férié, il est prolongé jusqu’au premier jour ouvrable suivant.

Que doit faire le client ?

Avant l’expiration du délai de rétractation, le client doit adresser au vendeur :

  • le formulaire type de rétractation obligatoirement fourni avec le contrat, (vous le trouverez à la fin de cet article)
  • ou un autre écrit exprimant sa volonté de se rétracter.

Le simple renvoi du bien sans déclaration ou le refus de prendre livraison ne suffisent pas à exprimer la volonté de se rétracter. Cependant, la décision n’a pas besoin d’être motivée ou justifiée. Toutefois, si cela est nécessaire, le client doit être en mesure de pouvoir apporter les éléments permettant de prouver son droit de rétractation. Le vendeur peut également permettre au client de remplir et de transmettre sur son site internet le formulaire ou la déclaration. Dans ce cas, le professionnel lui délivre un accusé de réception de votre rétractation. En cas de litige, le client doit prouver que le vendeur a respecté le délai de rétractation.

Le retour du produit, comment ?

Le client doit retourner les biens au vendeur au plus tard dans les 14 jours suivant l’envoi de sa rétractation. Il doit payer les coûts directs de renvoi. Sauf si le professionnel les prend à sa charge ou s’il ne l’a pas informé que le client doit régler ces coûts.

Sont également à la charge du client :

  • les frais supplémentaires de livraison des biens si le client a choisi un mode de livraison plus coûteux que le mode de livraison proposé habituellement par le vendeur,
  • les coûts fixes et proportionnels de la prestation de service, dont l’exécution a commencé avant la fin du délai de rétractation, à sa demande expresse.

En cas de demande expresse d’exécution du service avant la fin du délai de rétractation, le client ne sera redevable d’aucune somme, si le professionnel n’a pas recueilli sa demande expresse sur papier ou sur support durable ou si le professionnel ne l’a pas informé de l’obligation de payer des frais pour le service fourni jusqu’à la rétractation. En cas de renvoi d’une partie de la commande, le vendeur doit rembourser au client les frais de livraison au prorata du nombre d’articles renvoyés, sauf en cas de frais de livraison forfaitaires.

Quel est le délai de remboursement ?

Le vendeur doit rembourser le client au plus tard dans les 14 jours qui suivent la date à laquelle il a été informé de votre décision de rétractation, sauf retard justifié. Toutefois pour une vente de biens, le vendeur peut différer le remboursement jusqu’au jour de récupération des biens ou jusqu’à ce que le client ait fourni une preuve d’expédition des biens.

Par quels moyens ?

Le vendeur rembourse au client par le même moyen de paiement que pour l’achat. Il peut aussi utiliser un autre moyen sans frais supplémentaire à la charge du client.

Ainsi, un remboursement sous forme d’avoir ou de bons d’achat ne peut avoir lieu que si l’achat a été effectué sous cette forme, ou si le consommateur a donné son accord exprès pour un remboursement sous cette forme.

Les délais de rétractation des contrats d’assurance

Le délai de rétractation des contrats d’assurance vendus en complément d’un bien ou d’un service passe de 14 à 30 jours. Les consommateurs disposeront désormais de 30 jours pour revenir sur leur signature et renoncer sans frais à l’assurance ou l’extension de garantie souscrite en même temps que l’achat par exemple d’un voyage, d’un appareil électroménager ou d’un téléphone portable.


MODÈLE DE FORMULAIRE DE RÉTRACTATION
(Complétez et renvoyez ce formulaire uniquement si vous souhaitez vous rétracter du contrat)
– À l’attention de
[Indiquez ici le nom de l’entreprise, son adresse géographique et son adresse électronique]
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
– Je/Nous () vous notifie/notifions () par la présente ma/notre () rétractation du contrat portant sur la vente du bien ()/ la prestation de service () ci‐dessous ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..

– Commandé le ()/reçu le (*)…………………………………………………………………………………………………………….
– Nom du (des) consommateur(s) ………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
– Adresse du (des) consommateur(s) …………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
– Date …………………………………………………………………………………………………
– Signature du (des) consommateur(s)
(uniquement si vous introduisez votre demande de rétractation via ce formulaire en version papier)
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..

(*) Rayez la mention inutile.

Conformément à l’article 2 du décret n° 2022-424 du 25 mars 2022, ces dispositions entrent en vigueur le 28 mai 2022.

Sources : www.service-public.fr/particuliers/vosdroits

Voir les choses différemment, l’arme clé des entrepreneurs

Il existe bien des qualités que doit avoir l’entrepreneur tout au long de sa vie de chef d’entreprise. Une d’entre elles représente un atout : celle de voir les choses différemment. Une perception du monde légèrement différente permet parfois d’appréhender autrement un univers où le stress peut être facilement ressenti.

Cette manière de penser s’applique notamment dans plusieurs cas : celle de regarder les difficultés différemment, celle de voir l’échec autrement et celle de remettre en cause le cadre existant.

La perception des difficultés

L’une des premières choses que l’on apprend quand on crée son entreprise, c’est que des difficultés, il y en a un peu tout le temps. Les imprévus sont légions et touchent l’ensemble des domaines de l’entreprise. Un client insatisfait, une commande qui n’arrive pas, des retards de paiement, l’état qui vous réclame des paiements que vous ne pouvez parfois pas honorer immédiatement, un collaborateur absent ou malade, …

La liste demeure très longue des difficultés et il serait difficile de toutes les citer dans un même article. Il est courant pour lui lors des premières difficultés de les prendre très à cœur notamment car son entreprise est profondément reliée à sa propre vie ou à sa propre considération. Pourtant avec le temps, il arrive de changer de « mindset » comme on dirait dans le langage des startupers et de considérer les difficultés comme une source de réjouissance. Il s’agit alors de les concevoir non plus comme une source de mécontentement mais comme une source d’amélioration.

Vous rencontrez des problèmes de paiement ? Peut-être est-il temps de recevoir vos process de relance. Des difficultés avec des salariés absents ? Peut-être est-ce l’occasion de travailler sur votre recrutement, management ou rythme de travail imposé aux équipes ? Pour changer sa vision des choses, il suffit parfois d’intégrer que les difficultés sont normales et que l’essentiel est de progresser afin de trouver des solutions pérennes pour l’entreprise.

« Le succès c’est d’aller en échec sans perdre son enthousiasme. » Winston Churchill

L’échec est une source d’apprentissage

L’entrepreneur doit prendre la plupart du temps des centaines voire de milliers de microdécisions par jour. Lors de la création d’entreprise, il est même courant qu’ils prennent l’ensemble des décisions et qu’il soit le seul décisionnaire. Ses décisions vont du choix du liquide vaisselle à celui de l’orientation stratégique de l’entreprise. Autant vous dire que la variété et les domaines touchés font de lui un décisionnaire généraliste.

Or, on ne peut pas tout connaître et vous prendrez forcément de mauvaises décisions. La première ? Prendre trop de temps pour une décision qui n’a aucune conséquence et retarder vos collaborateurs si vous avez du mal à faire le choix. Si, par la suite, vous pouvez recruter des personnes compétentes dans chaque domaine, qui sauront, elles, prendre des décisions issues d’une expérience ou d’un savoir-faire, sachez que c’est une donnée à prendre en compte.

C’est ici que le fait de voir différemment les choses peut vous être très utile puisqu’il vous faut considérer non plus les échecs ou erreurs comme une source de culpabilisation parce que vous n’êtes pas parfait mais comme un réel apprentissage. Ce qui compte réellement est de ne pas faire plusieurs fois la même erreur. Apprenez donc de chaque mauvaise décision que vous prenez en vous demandant : « comment est-ce que je peux éviter cela la prochaine fois ? ». Arrêtez de vous morfondre car vous avez perdu un client. L’échec est courant et constant ! Ce n’est pas Jack Ma, le fondateur d’Alibaba qui vous dira le contraire.

“La vie n’est facile pour aucun de nous. Mais quoi, il faut avoir de la persévérance, et surtout de la confiance en soi. Il faut croire que l’on est doué pour quelque chose, et que, cette chose, il faut l’atteindre coûte que coûte.” Marie Curie

« Think out of the box »

Alors oui cette expression est bien connue de tous ! Mais elle s’avère particulièrement vraie en entrepreneuriat où vous devez souvent « disrupter » votre marché pour pouvoir réussir à faire votre place. Si certains sont des as de la copie, elle ne représente pas souvent une solution qui marche sur le long terme à moins de posséder d’immenses moyens financiers pour prendre votre concurrent de vitesse.

C’est par ce que vous apportez de différent que l’on vous identifie et non par vos traits de ressemblance avec les autres. Il est donc souvent nécessaire en tant qu’entrepreneur d’essayer de sortir du cadre actuel de ce qui fait et de devoir ouvrir son esprit à d’autres manières de faire ou d’agir. Les entrepreneurs s’inspirent souvent de ce qui fait ailleurs à l’étranger ou dans d’autres secteurs afin de l’appliquer dans celui qu’ils attaquent. Certains remettent même en cause l’ensemble des manières de consommer. Steve Jobs aurait surement dit : « Think Different ».

Les paris sportifs : Entre divertissement et risques

Les paris sportifs sont devenus un véritable phénomène de société. Qu’il s’agisse de football, de basketball, ou de tennis, les amateurs de sport se tournent de plus en plus vers cette activité pour pimenter leur expérience. Cependant, derrière ce divertissement se cachent des risques non négligeables. Nous allons vous proposer une exploration équilibrée de cet univers, en mettant en lumière ses attraits tout en soulignant les dangers qu’il comporte.

L’Attrait croissant des paris sportifs

Ces dernières années, les paris sportif ont connu une popularité fulgurante. De nombreux amateurs de sport voient en eux une opportunité de mettre à l’épreuve leurs connaissances tout en gagnant de l’argent. Les plateformes en ligne ont facilité l’accès aux paris, rendant cette activité encore plus attrayante pour les parieurs novices comme expérimentés. Le sport devient ainsi plus interactif, chaque match étant non seulement une source de divertissement, mais aussi une occasion de remporter des gains.

Cette popularité s’explique également par l’introduction de nouvelles formes de paris. Les paris en direct, par exemple, permettent de miser pendant le déroulement d’un match. Cela ajoute une dose d’adrénaline supplémentaire, les parieurs pouvant ajuster leurs prédictions en fonction de l’évolution du jeu. Cependant, cette accessibilité accrue n’est pas sans conséquence, augmentant le risque de développer des comportements de jeu compulsifs.

Les risques liés aux paris sportifs

Malgré leur attrait, les paris sportifs comportent des risques importants. Le premier d’entre eux est le risque financier. Nombreux sont ceux qui, emportés par l’euphorie du jeu, misent plus qu’ils ne peuvent se permettre de perdre. Ce comportement peut entraîner des pertes financières importantes, voire des situations de surendettement. Les jeunes adultes, souvent ciblés par les publicités de paris, sont particulièrement vulnérables.

En outre, les paris sportifs peuvent également conduire à une addiction. Le désir de récupérer ses pertes ou de multiplier ses gains peut entraîner une spirale de paris répétitifs, conduisant à une perte de contrôle. Cette addiction peut avoir des répercussions graves sur la vie personnelle et professionnelle du parieur, affectant son bien-être mental et ses relations sociales.

Les règles d’or pour parier de manière responsable

Pour profiter des paris sportifs sans tomber dans leurs travers, il est essentiel de suivre certaines règles de prudence. Premièrement, il est important de se fixer un budget strict et de s’y tenir. Ce budget ne doit jamais dépasser ce que l’on est prêt à perdre. Deuxièmement, il est conseillé de ne parier que sur des sports que l’on connaît bien. Une bonne connaissance du jeu et des équipes permet de faire des paris plus éclairés, réduisant ainsi le risque de perdre.

Par ailleurs, il est essentiel de ne pas laisser les émotions dicter ses paris. Les paris doivent rester un divertissement, et non devenir une source de stress ou d’anxiété. Il est également recommandé de faire des pauses régulières et de ne pas parier sous l’influence de l’alcool ou de substances qui pourraient altérer le jugement. Enfin, en cas de doute sur ses habitudes de jeu, il est préférable de consulter des professionnels ou des associations spécialisées.

L’Avenir des paris sportifs : Régulation et prévention

Avec la croissance continue des paris sportifs, les autorités publiques ont un rôle crucial à jouer pour encadrer cette activité. Des régulations strictes sont nécessaires pour protéger les parieurs, notamment les plus jeunes, contre les risques d’addiction. Plusieurs pays ont déjà mis en place des mesures pour limiter la publicité des sites de paris, en particulier lors des événements sportifs diffusés à des heures de grande écoute.

D’autre part, les plateformes de paris elles-mêmes doivent adopter des pratiques responsables. Cela inclut la mise en place d’outils permettant aux parieurs de fixer des limites de mise, ainsi que la promotion de messages de prévention contre le jeu excessif. La collaboration entre les autorités, les associations de protection des consommateurs, et les opérateurs de paris est essentielle pour assurer un avenir où les paris sportifs restent un divertissement et non une source de problèmes sociaux.

Que faut-il retenir ?

En conclusion, les paris sportifs offrent une expérience enrichissante pour les amateurs de sport, mais ils doivent être abordés avec prudence. Le respect des règles de jeu responsable, associé à une régulation efficace, permettra de profiter des paris sportifs sans en subir les conséquences néfastes. Parier doit rester un plaisir et non une addiction.

Autres astuces sur les paris sportifs

Les paris sportifs suscitent un intérêt croissant, mais ils soulèvent également de nombreuses questions, surtout pour les débutants. Que vous soyez un parieur novice ou expérimenté, il est essentiel de bien comprendre les aspects clés de cette activité pour éviter les pièges et maximiser votre expérience. Voici une FAQ pour répondre aux questions les plus fréquentes.

Qu’est-ce qu’un pari sportif ?

Un pari sportif consiste à miser de l’argent sur l’issue d’un événement sportif, comme un match de football, un tournoi de tennis, ou une course de chevaux. Le parieur choisit un résultat spécifique, et si ce résultat se réalise, il remporte un gain en fonction des cotes prédéfinies. Les cotes indiquent la probabilité estimée d’un résultat, et plus elles sont élevées, plus le pari est risqué, mais potentiellement lucratif.

Comment éviter l’addiction aux paris sportifs ?

L’addiction aux paris sportifs est un risque réel, mais elle peut être évitée en suivant quelques règles simples. Tout d’abord, fixez-vous un budget de jeu et respectez-le. Ne pariez jamais plus que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Ensuite, gardez à l’esprit que les paris doivent rester un divertissement et non une source de revenu. Enfin, faites des pauses régulières pour évaluer vos habitudes de jeu et ne pariez pas sous l’influence des émotions.

Les paris sportifs sont-ils légaux ?

La légalité des paris sportifs varie selon les pays et les juridictions. Dans de nombreux pays, les paris sportifs sont légaux et réglementés, avec des licences spécifiques accordées aux opérateurs de paris. Cependant, il est essentiel de vérifier les lois locales avant de parier, car les règles peuvent différer d’un endroit à l’autre. Par ailleurs, parier sur des plateformes autorisées et reconnues est crucial pour s’assurer de la sécurité de vos fonds et de la fiabilité des résultats.