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Vers un assouplissement du travail dominical ?

Lors de leur travail en commission sur la loi Macron, les sénateurs ont supprimé l’obligation d’obtenir un accord syndical pour ouvrir les commerces alimentaires de détail et les TPE le dimanche. Le débat sur l’association du travail dominical en France à pris de l’ampleur ces dernières années, notamment face à l’évolution des habitudes de consommation et à la concurrence croissante des commerces en ligne.

Les changements souhaités par les sénateurs

Les sénateurs se sont penchés sur la loi Macron et ses quelques 500 amendements dans le cadre de la commission spéciale qui a conduit à un texte fortement différent de celui adopté par les députés. Alors que l’Assemblée Nationale avait admis l’obligation d’un accord social et la fixation de compensations salariales pour les ouvertures dominicales des commerces, les sénateurs sont revenus sur ces deux mesures. Ces assouplissements doivent notamment permettre l’ouverture des grands magasins du boulevard Haussmann à Paris mais aussi éviter des fermetures massives de petits commerces alimentaires actuellement ouverts le dimanche matin. 

Quel avenir pour la loi Macron ?

Quoi qu’il en soit, c’est l’Assemblée Nationale qui aura le dernier mot en cas de désaccord sur le contenu de la loi. Le travail dominical constitue un des aspects de celle-ci sur lequel le gouvernement aimerait faire évoluer sa position première. Les amendements des sénateurs pourraient donc être retenus lors de la navette parlementaire. Ainsi, même en l’absence d’accord collectif avec les syndicats, les commerces situés dans les zones touristiques, dans les zones touristiques internationales ou dans les zones commerciales, pourraient ouvrir le dimanche. La loi Macron sera examinée en séance plénière à partir du 7 avril. Affaire à suivre…

Un nouveau contrat de travail en préparation ?

Le gouvernement annonce travailler sur la mise en place d’un nouveau contrat de travail. Ce dernier vise à simplifier les procédures de licenciement et mieux protéger les employeurs, ce qui devrait contenter le patronat qui craint de se retrouver facilement devant les prud’hommes en cas de procédure de licenciement engagée.

Les entreprises concernées par cette mesure

Ce nouveau contrat de travail s’appliquerait essentiellement dans les petites et moyennes entreprises (PME) et les très petites entreprises (TPE). Il permettrait ainsi de favoriser l’embauche puisque facilitant le licenciement. Désormais, un employeur pourrait licencier son salarié pour la seule raison que les résultats économiques ne sont pas au rendez-vous.

Le contenu de ce nouveau contrat de travail

Il s’agit d’un contrat intermédiaire entre un CDD et un CDI qui permettrait de licencier plus facilement pendant 3 ans le salarié pour des raisons économiques. Ce salarié ne pourrait alors pas contester son licenciement devant le Conseil des Prud’hommes. De nombreux patrons expliquent en effet qu’ils hésitent à embaucher de peur de se retrouver coincés dans une situation problématique avec un salarié, tout en étant dans l’impossibilité de le licencier. La mise en place de ce contrat donnerait donc plus de facilité et de souplesse à l’activité des entreprises.

Orfeo, partenaire logiciel du monde du spectacle

Parcours de Thomas Petillon, fondateur d’Orfeo

C’est en 2012 que Thomas Petillon décide de lier sa passion à ses compétences d’ingénieur en informatique. Partant du constat que le monde du spectacle vivant n’est pas suffisamment équipé avec des logiciels adaptés, il crée Orfeo, un outil de gestion en ligne dédié aux organisateurs qui souhaitent mieux programmer leurs productions théâtrales, de concerts ou de festivals.

Dans le cadre de son développement, l’entreprise obtient deux aides successives de la Bpifrance. « En juin 2013, nous avons bénéficié de l’Aide à la Maturation de Projet Innovant (AIMA) » explique Thomas Petillon. « Il s’agit d’une subvention de 25 000 € qui nous a permis de développer une version plus aboutie de notre produit. Ce financement a apporté de la crédibilité à l’entreprise car il est arrivé à un moment critique où nous n’avions pas suffisamment de preuve pour démontrer la force de notre concept commercial. Grâce à cet apport, on nous a regardés d’un œil différent sur le marché. ».

Dans la foulée, la société rejoint l’incubateur culturel Creatis en plein cœur de Paris et obtient en mars 2014 une seconde aide de Bpifrance : PIA (Paris Innovation Amorçage), dont le montant s’élève à 30 000 €. « Ce deuxième coup de pouce financier nous a permis de préparer la montée en puissance de l’entreprise » précise Thomas Petillon. « Nous avons également été lauréats du réseau entreprendre début 2014, ce qui nous a permis d’accéder à un prêt d’honneur et d’obtenir plus facilement des financements bancaires. ». 2014, un bon cru pour Orfeo ? Assurément.

Polabox, le photomaton des réseaux sociaux

Parcours d’Aurélien de Meaux, cofondateur de Polabox

A l’ère du smartphone, de Facebook, de dropbox, Google+ et d’Instagram, les photos se prennent et s’échangent, partout, tout le temps. Mais qui prend le temps de les imprimer ? Partant du constat que les outils photos de prise de vue actuels sont simples mais que l’impression est plus alambiquée, Antoine Le Conte et Aurélien de Meaux créent en mars 2011 la start-up Polabox, un site et une application tablette et mobile pour le développement de ses photos via les réseaux sociaux en un clic.

Le retour est plus que positif. Un produit « bestseller » se démarque : la polabox, des tirages vintage sur format polaroid. Pour mener à bien leur projet, les deux cofondateurs font appel à des Business Angels pour deux levées de fonds, l’une de 130 000 euros en 2012, l’autre de 290 000 euros à l’été 2013.

Ils empruntent également auprès des banques, soutenus par Bpifrance qui garantit leurs prêts à hauteur de 70 %. « Quand on est une start-up ou une PME, on entend souvent dire qu’on peut se faire aider, sans vraiment savoir vers qui se tourner » explique Aurélien de Meaux. « Nous avons trouvé auprès de Bpifrance des professionnels confirmés et compréhensifs et une structure qui clarifie la mise en relation et les outils propres aux petites boites ». Pour la fin de l’année, Polabox prévoit une internationalisation de son application mobile vers l’Espagne et la Grande-Bretagne. Et a pour souhait de grandir assez vite pour dépasser le cadre de la start-up.

Suivre le capital-santé des énergies vertes

La transition énergétique est un débat politique qui touche éminemment les entrepreneurs. Les questions abordent autant l’économie actuelle et future, que l’écologie et le développement durable. Elle pose aussi les questions de la dépendance à l’état, de l’innovation et de la part de la recherche et du développement.

Ce sera l’une des discussions politiques du mois d’octobre. Cet été, le Conseil des ministres adoptait le projet de loi de Ségolène Royal, ministre de l’écologie sur la « transition énergétique pour la croissance verte ». à l’Assemblée Nationale, les débats promettent d’être agités car les intérêts divergent sur le projet de la transition énergétique, thématique phare du quinquennat du Président Hollande. Entre objectifs de consommation d’énergie, secteur des transports, dépenses des ménages et valorisation des déchets, les énergies renouvelables touchent autant à l’emploi qu’aux porte-monnaie des particuliers et des entreprises. Qui plus est, les questions écologiques attisent toujours les échanges entre les « pro » et les « anti » du nucléaire. Zoom sur un secteur qui n’a pas fini de faire parler de lui.

Qu’entend-t-on par énergies nouvelles ? 

Le développement global des énergies renouvelables a de particulier qu’il touche à l’économie des générations futures. L’exploitation a pris de l’ampleur depuis un peu plus de 20 ans, quand a commencé à naître une conscience collective concernant l’utilisation des ressources de la planète. Les dates clefs comme celui du « jour de dépassement », journée à partir de laquelle, les habitants de la Terre vivent au-delà des capacités énergétiques (fixée, cette année, au mardi 19 août), sont des petits électrochocs. L’écologie, le dérèglement climatique, l’équilibre de la planète sous-tendent forcément la réflexion à propos des énergies nouvelles. Par ailleurs, le marché des énergies nouvelles s’ancre dans des visions et des stratégies à long terme que ce soit pour un état, une entreprise ou des particuliers. Tous investissent dans des projets qui leur rapporteront… plus tard. Le terme « énergies nouvelles » regroupe diverses réalités : énergies éolienne, hydraulique, biomasse et biocarburant, énergies marines, géothermie… Elles se définissent comme des énergies inépuisables parce que fondées sur des forces naturelles : les marées, le vent, le soleil, les biocarburants (contrairement aux énergies fossiles, aux hydrocarbures et à l’énergie nucléaire dont l’exploitation ne peut se faire qu’au détriment des réserves de la planète).

Quelles potentialités dans le secteur ?

Les décisions gouvernementales et européennes ne font pas toujours des heureux – surtout quand fleurissent pour les entreprises de nouvelles réglementations. Toutefois, elles impulsent un cap et influent sur les stratégies. Les habitudes des Français en matière d’énergie ont quelque peu changé, ces dernières années, puisqu’ils utilisent davantage les énergies renouvelables. Mais c’est essentiellement sur l’avenir que doivent miser les entreprises du secteur pour assurer leur développement. La France a défini comme horizon, l’année 2030 pour porter la part des énergies renouvelables à 32 % dans la consommation énergétique, réduire les émissions de CO2 dans l’environnement de 40 % et diminuer la consommation des énergies fossiles. Des choix qui vont conforter la montée en puissance des énergies nouvelles dans la part de l’économie nationale et impulser la mutation d’une nouvelle industrie. Une industrie « propre » basée sur l’innovation et les nouvelles révolutions. Les domaines principalement visés par les prochains objectifs sont les logements et les transports avec la rénovation thermique des bâtiments ou la part belle accordée aux véhicules électriques. Ces potentialités sont corrélées au fait que la recherche et qu’une politique industrielle forte soient encouragées. Les plus optimistes misent sur une part de 13 à 15 % des énergies renouvelables dans l’économie du secteur à moyen terme contre 3 % actuellement.

Zoom sur l’énergie solaire

2007 a signé l’année du décollage pour le secteur de l’énergie solaire et pour les parcs français au sol, avec une hausse du nombre de sociétés travaillant dans la production, la distribution ou l’installation de systèmes photovoltaïques. Suivant la carte française de l’ensoleillement, de nombreux particuliers se sont équipés de panneaux solaires. Pourtant après de belles années, le marché de la production a stagné, la faute à une crise mondiale du photovoltaïque et à une guerre des prix féroce. Aujourd’hui, la filière semble avoir les capacités de rebondir et d’être compétitive avec un retour à la hausse des raccordements électriques sur les deux derniers semestres de 2014. C’est avec l’éolien, la source d’énergie qui se développe le plus vite en Europe. Le solaire occupe une place minime dans les énergies en France mais c’est pourtant une des solutions vertes les plus connues grâce à l’état qui a encouragé le développement des énergies renouvelables auprès des particuliers. Les perspectives et les innovations pour le secteur sont liées essentiellement à la fabrication de type de cellules, capables de produire davantage d’énergie. Elles concernent également des matériaux semi-transparents qui permettraient, à terme, de remplacer les fenêtres des bâtiments. Des chercheurs de l’Université d’état du Michigan ont récemment exposé les premiers concentrateurs solaires transparents et rigides. Si la technologie était davantage poussée, pourrait-on imaginer des voitures dont les vitres créent de l’énergie ou des tablettes dont la surface permet leur propre rechargement ?

5 entreprises qui cartonnent sur le business de l’énergie durable

Le développement durable prend de plus en plus d’importance. Voilà 5 entreprises qui ont réussies à s’imposer dans ce milieu de l’énergie durable.

APR2 

S’est spécialisée dans la collecte, le recyclage et le traitement des déchets conformément à la réglementation environnementale. La société implantée dans les Yvelines depuis 2003 utilise la matière première ainsi créée (appelée « Nactimix ») pour fabriquer de nouveaux produits, notamment dans le mobilier urbain comme des jardinières ou des lames à terrasses

Budget Telecom 

A acquis, en janvier dernier, Effineo, spécialiste de l’efficacité énergétique dans le logement collectif, pour développer ses solutions innovantes dans la consommation énergétique. La société propose aux gestionnaires d’immeubles, aux acteurs du bâtiment et aux entreprises une gamme d’offres de coachings et de suivis de performance.

Greenweez.com 

Fondé en 2008 en Haute-Savoie, est devenue en quelques années, un des plus grands magasins de produits biologiques en ligne en Europe. La plateforme propose plus de 30 000 articles dans 10 univers différents, que ce soient les cosmétiques, la mode, la cuisine, la maison ou les enfants. Plus d’un million de commandes a déjà été traité, depuis la création.

Greenjob.fr

Est un portail d’emploi en ligne gratuit, spécialisé dans les métiers de l’environnement et du développement durable. Il permet de mettre en relation les recruteurs et les candidats grâce à différentes catégories de métier comme le Milieu Industrie, les Risques, l’Agriculture ou la gestion de l’Eau et à la mise en ligne de CVthèques et d’offres d’emplois.

HYSEO

S’est spécialisé dans le développement de centrales photovoltaïques au sol et en toiture, dans l’achat et la modernisation de centrales hydroélectriques et dans la commercialisation de systèmes d’énergie autonomes. Cette société toulousaine, intègre toute une « chaîne de compétences » pour agir dans son domaine comme un opérateur global.

Voiture de fonction, de service ou personnelle : quels coûts pour quelle utilisation ?

Choisir le type de véhicules qui constituera la future flotte automobile de son entreprise est un pré-requis. L’utilisation qui en est faite est bien sûr indispensable à prendre en compte pour calculer les coûts induits pour la société. 

Les véhicules de fonction et les véhicules de service sont souvent considérés comme semblables alors qu’ils cachent des réalités d’utilisation, de fiscalité et de droit différentes. 

Différents types de véhicules pour différentes utilisations 

Le véhicule de fonction correspond à un avantage en nature, inscrit dans le contrat de travail d’un salarié. C’est un levier efficace pour recruter. Le salarié dispose de la voiture à la fois pour ses déplacements professionnels et personnels, en semaine, en week-end et durant sa période de congés. Un véhicule de service est une automobile de société utilisée par le salarié seulement pour ses déplacements professionnels. Il ne peut donc pas s’en servir en dehors des heures de travail et le véhicule doit être reconduit à l’entreprise à la fin de la journée, même si certaines entreprises concèdent le droit de l’utiliser pour les trajets domicile-travail.

Cette automobile ne constitue pas un droit en nature. Elle n’est donc pas spécifiée dans le contrat de travail du salarié et peut être supprimée sans consultation ni compensation financière. L’annulation dans le contrat de travail d’un véhicule de fonction, elle, est soumise à une revalorisation salariale. En tant que complément de salaire, l’avantage d’un véhicule doit être inscrit dans la fiche de paie. Il est soumis aux charges sociales salariales et à l’impôt sur le revenu du côté du collaborateur. Une voiture personnelle, comme son nom l’indique, appartient au collaborateur. Il peut l’utiliser pour ses besoins professionnels si sa société ne possède pas de flotte automobile. Dans ce cas, l’entreprise doit le rembourser selon un barème kilométrique. 

Les coûts directs et indirects

Le véhicule de fonction est soit acheté soit loué par l’entreprise. L’amortissement de l’achat, qui bénéficie d’une déduction fiscale limitée, représente l’un des premiers coûts directs auquel s’ajoutent les frais de carte grise, d’exploitation, d’assurance, de carburant. D’autres coûts indirects se greffent en supplément. Il s’agit de la taxe sur les véhicules de société (TVS) à payer chaque année et calculée en fonction des émissions de CO2 de l’automobile, de l’impôt société (IS) sur les coûts non déductibles, la taxe professionnelle en fonction de la valeur locative du véhicule.

Dans le cas d’un accident de la route où le salarié serait responsable, la plupart des sociétés requiert la prise en charge de la franchise à leur employé. Les frais engagés par la société sont, dans le cas de la voiture de fonction, nombreux. Les véhicules personnels appartiennent aux salariés qui paient déjà une assurance automobile. L’entreprise doit souscrire une assurance spéciale, appelée « assurance mission », intégrée dans le contrat d’assurance de responsabilité civile générale de l’entreprise. Elle couvre les déplacements professionnels. La société octroie à ses employés, qui utilisent leur automobile privée pour des raisons professionnelles, des indemnités kilométriques.

Ces remboursements se font selon un barème kilométrique. Décomposé en trois tranches de kilométrages annuels professionnels (jusqu’à 5 000 km, de 5 001 à 20 000 km, au-delà de 20 000  km), le barème prend en compte les frais de carburant mais également l’entretien de la voiture, sa dépréciation et sa pneumatique. Il engendre des problématiques de gestion, liées notamment aux certifications à apporter pour justifier du kilométrage.

Constituer une flotte automobile peut coûter cher à une entreprise. Accorder une voiture de fonction ou une voiture de service peut s’apparenter à un excès de coquetterie qui n’est pas toujours nécessaire. Dans le cas de commerciaux ou d’indemnités kilométriques importantes au compteur, les sociétés ont cependant plus d’avantages à mettre à disposition un véhicule à leurs salariés.

20 applications dont vous ne pourrez plus vous séparer pour votre automobile

De nombreux outils et application existent pour vous faciliter la tâche dans de nombreux domaines. Découvrez les 20 applications smartphone indispensables pour votre flotte automobile

Essence Free 

·  Tarif : Gratuit 

· Fonction : Géolocalise les stations essence autour de vous, repère les tarifs pratiqués et assure le suivi des dépenses.

Waze 

· Tarif : Gratuit 

· Fonction : GPS communautaire qui permet de partager en temps réel le trafic, l’état des routes, les accidents et les contrôles de police.

Où me garer

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Trouve les places de stationnement disponibles dans les
parkings publics ou sur la voie publique. Mémorise l’emplacement du véhicule
pour le retrouver plus facilement. 

Neoparking 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Compare les tarifs de parkings publics en fonction de votre durée de stationnement et permet de réserver sa place en bénéficiant de prix réduits. 

AroundMe

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Identifie votre position pour vous permettre de trouver à proximité les services dont vous avez besoin (distributeur de billet, cinéma, restaurant, hôpital).

Koi tu risk 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Liste l’ensemble des infractions routières ainsi que les risques encourus (amendes, retraits de points). Elle permet aussi d’accéder à des conseils juridiques.

Road Trip

· Tarif : Payant

– Fonction : Répertorie l’historique de votre véhicule depuis les frais d’entretien, jusqu’au kilométrage du véhicule. Permet des rappels de maintenance et le suivi de l’utilisation des pneus.

Honk

· Tarif : Payant

· Fonction : Garde en mémoire l’emplacement de votre véhicule, la durée de vos stationnements et vous alerte quand votre parcomètre est bientôt terminé. 

iPermis 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Permet de consulter vos points de permis de conduire et vous donne des conseils pour les sauvegarder. 

Drive Me 2 

· Tarif : Payant

· Fonction : Fournit en temps réel des informations sur votre conduite : vitesse moyenne, vitesse instantanée, coût du

GoingAbroad

  • Tarif : Gratuit  
  • Fonction : Présente les règles importantes de la sécurité routière dans les pays européens et en fait le classement par pays et par thématiques.

iHandy Flashlight Pro

  • Tarif : Payant
  • Fonction : Vous fait bénéficier de plus de 60 faisceaux lumineux. Certains sont de véritables gadgets quand d’autres (faisceaux lumineux de précision) vous aideront en cas de problème sur la route de nuit. 

Réflexe Accident

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Propose des bons conseils et les informations nécessaires en cas d’accident sur la route (remplir un constat, numéros d’urgence, position GPS de l’accident…).

ChargeMap 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Informe sur les points de charge publics disponibles pour votre voiture électrique, les plus proches du lieu où vous vous situez.

Wi-Fi Finder

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Trouve les points Wi-Fi les plus proches du lieu où vous êtes, pour rester connecté même quand vous êtes en déplacement.

CarTune Music Player

· Tarif : Payant

· Fonction : Combine une reconnaissance vocale et une lecture simplifiée de votre playlist musicale grâce à une gestuelle intuitive pour que vous gardiez un parfait contrôle de votre conduite.

ViaMichelin

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Fournit l’ensemble des conditions de circulation en temps réel et note les imprévus de la route et les radars fixes.

MappyGPS

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Embarque dans votre smartphone les fonctionnalités d’un GPS, des cartes mais aussi les annuaires PagesJaunes et PagesBlanches.

La Chaine Météo

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Indique les prévisions régionales et nationales en matière de météo, jusqu’à 12 jours et propose d’envoyer chaque soir celles du lendemain.

Geco

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Propose, grâce à des capteurs de votre smartphone, des pistes d’amélioration de votre conduite en ville pour que vous adoptiez un style plus économe et écologique.

Quels sont les patrons les plus influents sur Twitter ?

Des patrons français ont intégré le dernier classement #DigitalBosses recensant les dirigeants d’entreprise les plus influents sur Twitter. L’étude a été réalisée en collaboration avec TBWA Corporate et Spotter, et publiée en janvier 2015.

Top 5 des patrons français qui cartonnent sur Twitter

À l’instar de la précédente édition, Mathieu Gallet se hisse à la première place des patrons français les plus influents sur le réseau social Twitter avec 21 tweets originaux, 575 mentions et 2 117 retweets à l’intention d’une communauté médiatique très influente dont France Info et iTélé. Sans surprise, Dominique Delport d’Havas Media garde la seconde place du classement avec 197 tweets originaux pour 4 418 retweets et 564 mentions. Denis Olivennes de Lagardère Active vient compléter le podium avec ses 18 tweets originaux, 1 500 retweets et 271 mentions. La quatrième place de ce classement revient ensuite à Pascal Nègre d’Universal Music qui a perdu une place avec 64 tweets, 758 mentions et 3 058 retweets. Laurence Parisot à la tête d’IFOP clôt le top 5 des patrons français influents sur Twitter avec 166 tweets relayés 3 064 fois et 1 684 mentions.

La présence sur Twitter : quels intérêts ?

La présence sur Twitter présente une multitude d’opportunités pour les dirigeants des entreprises françaises. En plus d’être une excellente plateforme pour s’exprimer librement, et ce, dans un langage plus détendu que celui utilisé dans les communiqués de presse officiels, Twitter leur offre également l’avantage d’écouter directement leurs clients. Il s’agit même d’un moyen efficace pour ces dirigeants de communiquer en toute simplicité avec les journalistes.

Une créatrice qui sait rebondir

Parcours d’Isabelle Masson-Mandonnaud, fondatrice de Parfumaré 

A 22 ans, à la sortie de ses études, Isabelle Masson-Mandonnaud commence son aventure professionnelle en entrant à Shop 8, petite chaîne de parfumerie libre-service créée par Dominique Mandonnaud, qui deviendra plus tard son mari. « L’entrepreneuriat a commencé avec cette rencontre. J’admirais Dominique et sa manière de manager, il m’a donné le goût de l’aventure, m’a appris à aimer le fait d’embarquer des gens dans une histoire et d’être heureux ensemble autour d’un projet. C’est ce qui m’anime aujourd’hui », explique l’intéressée. Ensemble, ils décident d’affiner le concept et de reprendre une chaîne de parfumerie plus grande, afin d’en faire une force française commercialisée à l’international. Ils rachètent au groupe britannique Boots sa chaîne de magasins Sephora, la mélangent intelligemment avec le concept de Shop 8 et développent le tout jusqu’à en faire l’enseigne qui a été vendue à LVMH.

En 2004, le couple se sépare, « une passion dévorée par le travail » avoue Isabelle. Un an plus tard, la créatrice se lance un nouveau défi. Elle crée « Crazy Libellule and the poppies ». à travers ce concept, elle souhaite imaginer des parfums solides présentés en stick pour entrer dans le sac des femmes. Le concept cartonne. En deux ans, la marque devient numéro 1 du parfum en stick et obtient quatre prix de l’innovation. Malheureusement, en 2010, l’entreprise explose en vol en raison d’un conflit d’actionnaires.

Quelques mois plus tard, elle décide de recommencer. Remonter le même concept mais aller plus loin pour lier le parfum au soin, voilà l’idée directrice. Après un temps de mise au point et de tests, Isabelle est seule à la tête de l’entreprise, dont le nom devient « Parfumaré ». Elle réalise 200 000 € de chiffres d’affaires en 2013, signe ses packs de la griffe « Made In France » et développe le business à l’international, en Asie, en Angleterre… Mais seule, elle n’y croit pas.« Je voulais m’associer car l’entreprise de demain est à mon sens collaborative », explique-t-elle. « Bien sûr, on peut porter un concept. Mais il faut le partager et y mettre des richesses humaines ». C’est pourquoi fin avril 2014 naît une nouvelle association avec le groupe Français Upperside.

Cet accord donne un grand coup de boost à la créatrice, qui entend désormais faire vivre son concept dans un magasin à Paris. « Nous avons pratiquement trouvé l’endroit pour mettre en valeur le concept Sabé Masson, Perfumes et Soft Perfumes. Il s’agira d’un showroom parisien dont l’ouverture est prévue pour mars, puis nous élargirons totalement au public fin 2015. » Les perspectives paraissent réjouissantes pour celle qui a fait du parfum un véritable art de vivre. « Le parfum, c’est l’odeur du monde », illustre-t-elle. « Un monde sans couleurs serait éminemment triste, mais un monde sans odeurs serait privé d’émotions ». Que rajouter de plus ?