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Impliquer les salariés, le cœur de la performance

La participation des salariés, voire de l’ensemble des parties prenantes, à la vie de l’entreprise reste une bonne manière de mettre en place une ambiance chaleureuse, d’avoir des collaborateurs motivés et d’améliorer le service ou produit que vous développez. Zoom sur la pratique. 

L’innovation participative, le cœur d’une nouvelle énergie de l’entreprise

Dans un contexte où l’innovation et la performance concernant à la fois les processus et le produit ou service de l’entreprise sont devenues indispensables à sa pérennité, la mise en place de l’innovation participative offre aux dirigeants une source de créativité et améliore la motivation des salariés. Si les sociétés d’hier considéraient les employés comme de simples exécutants, les start-ups modernes prennent en compte un des besoins principaux des équipes : celui de pouvoir s’exprimer.

Le baromètre Edenred – IPSOS de février 2016 sur le bien-être et la motivation des salariés en Europe montre bien que la motivation des collaborateurs a notamment baissé en raison du manque de reconnaissance, des pratiques managériales et du manque d’intérêt dans le travail. Tout contribue les salariés à devenir pessimistes selon le baromètre : « environnement économique morose, marché de l’emploi en berne… Les Français, bien connus pour leur pessimisme, ne le sont pas moins au travail, et positionnent la France en dessous de la moyenne des pays interrogés. Avec 67% de salariés qui s’estiment satisfaits de leur bien-être au travail, 7 points de moins que son voisin allemand, la France se place en bas du classement, juste avant la Turquie, l’Italie et le Japon. Pourquoi ? D’abord, parce qu’à peine plus d’un Français sur deux considère que son entreprise met en place des politiques actives en matière de bien-être au travail. Ensuite, parce qu’ils estiment principalement qu’ils manquent d’attention et de considération de la part de leur hiérarchie, mais aussi parce qu’ils sont peu confiants quant à leur avenir professionnel au sein de leur entreprise . Dans un contexte économique parfois difficile, l’engagement des salariés est au cœur de la performance durable des organisations.» .

Aussi, quoi de mieux pour motiver un salarié que de le faire travailler sur un projet dont il est à l’origine et pour lequel il sera reconnu ? L’innovation participative touche l’ensemble des fondamentaux du bien-être au travail : ambiance, horaires, objectifs individuels motivants, conditions matérielles de travail… Plus que cela, l’innovation participative donne du sens à l’action quotidienne des salariés et favorise le dialogue entre eux et la hiérarchie.

L’innovation participative en quelques mots ?

L’innovation participative est une démarche de management qui vise à stimuler et faciliter le recueil et la mise en œuvre d’idées par l’ensemble du personnel. Elle part du constat que les salariés ou les parties prenantes peuvent avoir des idées performantes sur les améliorations possibles de leur quotidien et des solutions aux difficultés qu’ils rencontrent. Elle se révèle être un des atouts majeurs pour les entreprises car elle permet de motiver et valoriser les talents des salariés de la société. Cette démarche ancienne a profondément évolué ces dernières années et sa mise en place est devenue monnaie courante dans les grands groupes et PME. Originellement symbolisée par la mise en place d’une boîte à idées, la pratique a évolué jusqu’à l’émergence de plateformes collaboratives.

La mise en place de la démarche

La réussite de la démarche d’innovation participative au sein de l’entreprise passe d’abord par la mise en place de moyens concrets (boîte à idées, réunions, plateformes) et de temps afin de pouvoir recueillir les idées. Afin de favoriser la créativité, la mise à disposition de lieux dédiés à l’innovation peut constituer un bon moyen (lieu cosy, convivial et original), au même titre qu’il devient indispensable d’accorder du temps pour que chacun puisse participer à des groupes de résolution de problèmes ou de recherche d’idées. Certaines entreprises n’hésitent pas à mettre en place des journées dédiées à la recherche de projets, qu’ils soient d’ailleurs liés ou non au quotidien du salarié.

Tous participants à la démarche (clients, fournisseurs…)

L’innovation participative ne s’arrête pas seulement aux collaborateurs de l’entreprise, il est bien sûr possible (et conseillé !) de faire participer l’ensemble des parties prenantes, à commencer par le client et les fournisseurs, qui donneront leur avis en vue d’améliorer le produit. Cette démarche d’ouverture permet de les impliquer davantage dans la vie de la société et parfois de mieux les fidéliser. L’ouverture aux fournisseurs se révèle souvent un bon moyen d’optimiser les processus et de diminuer les coûts globaux de l’entreprise.

Un soutien nécessaire des dirigeants de l’entreprise

Mais ce n’est pas tout, la reconnaissance joue un rôle fondamental dans la réussite de sa mise en place. Celle-ci peut être honorifique ou financière. De nombreuses entreprises pratiquant l’innovation participative intègrent même celle-ci comme un objectif, à l’instar de l’évaluation du personnel. La reconnaissance par l’ensemble de la direction demeure un élément essentiel à la réussite de la mise en place d’une telle démarche. La direction peut afficher son soutien notamment à travers l’ensemble des moyens de communication interne (journal, emailing, écrans dans les locaux…) et aussi en valorisant la réussite des projets à l’extérieur de la société.

Ces start-up qui cartonnent sur le marché des produits d’occasion en ligne

Le secteur de la vente de produits d’occasion a connu un essor considérable sur Internet. De nombreuses start-ups proposent des services originaux en la matière, et ce pour des gammes de produits variés. Voici quelques sociétés et start-up à avoir su tirer leur épingle du jeu dans la vente d’articles et produits d’occasion en ligne ?

Leboncoin.fr

Fondée en 2006, la société Leboncoin.fr est celle qui a connu le plus grand succès en la matière. Il s’agit du deuxième site le plus populaire en France, qui propose un grand nombre de produits d’occasion à destination des particuliers. Le site permet de mettre en vente des articles de tous types sous forme de petites annonces. En 2016, le boncoin a vu ses revenus croître de 23 % pour atteindre 214 millions d’euros. Selon Antoine Jouteau Directeur général « Il y a 10 ans, leboncoin était lancé par deux personnes. Aujourd’hui, nous sommes plus de 600à travailler pour faire vivre le 4ème site français. »

Vestiaire Collective

Le deuxième grand succès français dans ce domaine est la start-up Vestiaire Collective, spécialisée dans le dépôt-vente de produits de mode et de luxe. La vente de vêtements haut de gamme d’occasion a fait le succès de la société depuis son lancement en 2009. Vestiaire Collective a annoncé mardi 24 janvier 2017 une levée de fonds de 58 millions d’euros auprès du fonds Vitruvian Partners. Son objectif est de se renforcer davantage à l’international, notamment aux Etats-Unis et en Asie.

AutoScout24

Depuis 1998, la société AutoScout24 fait office de leader européen dans le domaine de la vente de véhicules d’occasion en ligne. L’entreprise est présente à l’heure actuelle dans 18 pays et rassemble sur son site près de deux millions d’annonces concernant des voitures d’occasion. Disponible dans toute l’Europe, ce service performant constitue la référence du secteur. Originaire d’Allemagne, la start-up connaît une progression croissante qui lui permet d’envisager un développement mondial dans les années à venir.
Sur l’année 2016 elle a réalisé un chiffre d’affaires de 1 306 600,00 €. Le total du bilan a augmenté de 14,90 % entre 2015 et 2016.

Collector Chic

Créée depuis trois ans, la start-up nantaise Collector Chic connaît déjà un beau succès. Elle s’est positionnée dans un secteur original, en proposant en ligne un service complet de dépôt-vente spécialisé dans la décoration et l’ameublement d’occasion haut de gamme. Cette jeune entreprise au potentiel certain mise avant tout sur des articles chics et originaux, en rassemblant des annonces vérifiées autour d’éléments de décoration, de meubles et de luminaires.

Luckyfind

Cette start-up originale fondée en novembre 2014 rencontre à l’heure actuelle un succès remarquable. Le site de l’entreprise fonctionne sur le principe d’un vide-grenier en ligne, en proposant aux particuliers une plate-forme sécurisée permettant de mettre en vente des articles d’occasion en tous genres. Forte de son concept novateur, la société propose principalement des objets du quotidien que les utilisateurs peuvent espérer trouver à moitié prix.

Recommerce

La référence Européenne depuis 2009 des smartphones reconditionnés, des solutions et des services autour de la Seconde Vie Mobile grâce à des technologies et des méthodes innovantes. RECOMMERCE est présent à l’international et travaille avec les plus grands distributeurs européens et avec les opérateurs téléphoniques des marchés Français, Suisse et Ibérique.

La cartouche verte

Cette start-up propose d’agir pour l’environnement… et de faire jusqu’à 60% d’économie ! La cartouche verte collecte, recharge et restitue vos cartouches d’encre et toners lasers : la cartouche verte invente l’ écolomie ! Les cartouches d’encre terminent leur vie plus ou moins longue à la poubelle. Or chacun en a conscience, les jeter a une conséquence sur l’environnement car ces déchets polluent les nappes phréatiques et l’atmosphère.

Laurent Gaudens, porteur du projet Burns & Smiles

Avez-vous croisé des brûlés ces six derniers mois dans la rue ? Des centaines de fois, la réponse obtenue est non alors que 400 000 personnes le sont, en France, chaque année. Les cicatrices étant souvent irréversibles, ce nombre augmente. J’ai découvert qu’il existe un monde parallèle au nôtre avec des gens qui ne sortent pas de chez eux ou sortent camouflés pour éviter le regard des autres. 

L’idée m’est également venue de ma propre expérience puisque je suis moi-même brûlé depuis l’âge de quatre ans. J’ai toujours eu besoin d’accéder à des soins comme des massages et très peu de personnes ont su s’occuper de moi correctement voire, dans les cas extrêmes, refusaient de me prendre en charge. En discutant et échangeant avec des brûlés, je me suis rendu compte que certains ne se sentent pas à l’aise en société et se cachent dans leurs vêtements. J’ai décidé de leur redonner goût à la vie et de leur redonner le sourire. Une démarche de resocialisation, qui passe par trois piliers : créer une communauté d’échanges et d’entraide sur le web pour la décliner en évènements, la reconstruction d’estime de soi ainsi que le retour à l’emploi. On a alors décidé de créer un service accessible à tous et de proximité, à savoir la première chaîne au monde d’institut de soins esthétiques relationnels, dispensés par une socio-esthéticienne. Formée sur la partie médicale et psychologique, elle sait à la fois regarder, écouter et toucher une personne qui a un corps meurtri. J’ai choisi de participer au concours organisé par La Fabrique Aviva car je trouve que la relation entre un assureur et notre cause a du sens. Il existe une réelle problématique en France concernant la garantie des accidents de la vie et leur indemnisation. Pour créer l’institut pilote, nous avons besoin de 300 000 euros et les 50 000 obtenus grâce au prix vont permettre de financer la conception de l’architecture de l’institut, la recherche et les frais liés au local. Ce prix se présente également comme un vrai coup de projecteur qui a permis de générer un certain nombre de contacts.

Ces idées farfelues qui cartonnent

Les idées prometteuses ont permis à de nombreux entrepreneurs de se lancer. Certaines d’entre elles battent tous les records de l’originalité et séduisent largement les consommateurs. Commerce d’insectes ou d’étoiles, compagnie aérienne pour animaux… Retour sur ces entreprises qui cartonnent à partir des idées farfelues.

Un bréchet pour Thanksgiving ?

Vous connaissez sûrement la célèbre tradition venue d’outre-mer, qui invite deux personnes, durant la fête de Thanksgiving à tirer chacune sur une extrémité du bréchet de la dinde, pour savoir laquelle des deux verra son souhait se réaliser. Un père de famille américain part du constat que ce sont toujours les plus jeunes, qui ont le droit de tirer sur le bréchet, ne laissant pas aux autres membres de la famille la chance de pouvoir faire leur propre vœu. L’idée lui vient à partir du raisonnement suivant : pourquoi ne pas fabriquer industriellement des bréchets afin que tout le monde puisse pleinement profiter de la tradition ? Ken Ahroni lance alors Lucky Break Wishbone, qui fabrique des bréchets en matière plastique, qui se brisent comme les vrais. Un pari qui semble fonctionner pour l’entrepreneur qui réalise près de 700 000 euros de chiffre d’affaires par an.

Quand les animaux montent à bord

Les animaux de compagnie occupent parfois la place d’un membre à part entière de la famille. Difficile pour certains propriétaires de se résigner, lorsqu’ils voyagent, à les faire patienter en soute. Pour prendre soin de ces petits êtres, il existe une compagnie aérienne qui leur est spécialement dédiée : Pet Airways. Impossible vous dîtes ? Détrompez-vous. Voici maintenant huit ans que la compagnie existe. Avec un marché regroupant plus de 76 millions d’animaux domestiques qui voyagent aux États-Unis, la société propose des vols réguliers uniquement réservés aux animaux, qui disposent, une fois à bord, de tout le confort nécessaire (boisson, nourriture et possibilité de faire leurs besoins), et surtout, d’une température idéale, à l’opposé de la chaleur des soutes qui peut nuire au bien-être des animaux. Les vols se déroulent entre New York, Washington, Chicago, Denver et Los Angeles. Un concept judicieux à implanter en France, où l’on recense plus de 60 millions d’animaux de compagnie.

Offrir une étoile

Une étoile vous dites ? Vous avez bien entendu, il est désormais possible de posséder l’une des boules de feu qui composent notre voie lactée. Certaines entreprises telles que celle du site AcheterUneEtoile.fr vous permettent de vous procurer une étoile et de la rebaptiser au nom que vous souhaitez. La marque vend un coffret comprenant un dossier de présentation de votre étoile et de sa localisation, une carte et surtout un certificat attestant de votre possession. Un concept des plus innovants qui incite à offrir une étoile en cadeau à quelqu’un qui vous est cher. L’Observatoire royal de Belgique affirme qu’il est possible d’acheter des étoiles à travers ces entreprises mais que cet achat demeure purement commercial car seul « l’International Astronomical Union » se charge de nommer les planètes, étoiles et astéroïdes. Si le cadeau demeure symbolique, il n’en est pas moins attrayant et les prix vont de 59 à 199 euros. Le concept a déjà conquis de nombreuses stars telles que Johnny Depp ou Madonna.

Une envie d’insectes ?

Jimini’s, un concept 100 % français. Les créateurs, Bastien Rabastens et Clément Scellier, décident, un soir, de déguster des insectes, après les avoir commandé sur le net. De là, ils se lancent un pari : amener le commerce d’insectes comestibles dans notre culture. Si le mot « beurk » vous vient directement à l’esprit, vous faîtes peut être erreur ! Les insectes possèdent d’excellentes qualités nutritionnelles et leur élevage nécessite peu de ressources. Ils possèdent également une très large palette de goûts et saveurs. En Afrique, le commerce d’insectes demeure à son apogée et s’avère très utile dans un monde qui épuise peu à peu ses ressources. Une idée farfelue mais ingénieuse qui a valu à ce duo d’entrepreneurs de gagner le prix Moovjee et de faire goûter ses produits à l’ancien Président, François Hollande. Sauterelles au paprika ? Criquets à la sauce soja ? Ou encore des grillons assaisonnés pour l’apéro ? Le choix est large, il ne vous reste plus qu’à déguster !

Détruire des objets pour évacuer la pression

Vous êtes stressé, angoissé ou, tout simplement, énervé ? La pression vous étouffe et vous ressentez une envie irrépressible de vous défouler mais le sport ne suffit plus. Le concept de l’entreprise Fury Room débarque à Paris et propose un service des plus étonnants : entrer dans une pièce et casser tout ce qui s’y trouve à l’intérieur. En fonction de la formule choisie, vous détruisez vaisselle, écran, bureau ou encore imprimante. L’entreprise ne commet aucun gaspillage « Nos approvisionnements sont principalement en route vers la déchèterie, nous les récupérons et on vous laisse vous amuser avec, avant de les envoyer à la déchèterie ou de les recycler », déclare la marque sur son site. Les prix des formules vont de 10 à 100 euros et permettent un défoulement total, seul ou à plusieurs. Un concept qui n’est, certes, pas commun mais qui a su séduire de nombreux Parisiens !

Les 10 règles d’or d’un jeu-concours sur Facebook

Facebook a gagné ses lettres de noblesse dans la communication aussi bien personnelle que commerciale. Outil familier, il est un passage incontournable pour s’adresser à ses prospects. Mais connaissez-vous les règles d’utilisation à respecter et la marche à suivre pour que votre jeu-concours sur Facebook ait un impact significatif ?

1. Respectez les conditions d’utilisation de Facebook

Facebook ne prend pas la responsabilité des jeux-concours. Il est interdit d’organiser un concours sur le mur de la page et d’utiliser une fonctionnalité sociale de Facebook.
Vous devez donc le mentionner en soulignant les points suivants :
« Cette promotion n’est pas gérée ou parrainée par Facebook.
– Les informations que vous communiquez sont fournies à [destinataire(s) de l’information] et non à Facebook.
– Les informations que vous fournissez ne seront utilisées que pour [ce que vous comptez faire des informations fournies par l’utilisateur] ».

2. Choisissez le type de jeu concours adapté à une cible précise.

Il existe de nombreuses formes de jeux-concours et vous devrez choisir celui le plus adapté à votre cible :

  • tirage au sort (formulaire) ;
  • sondage (ex : enquête quantitative) suivi d’un tirage au sort ;
  • concours reposant sur un jeu interactif ou advergame ;
  • questionnaires et quizz ;
  • concours de photos…

3.  Est-ce nécessaire de déposer le règlement auprès d’un huissier ?

Depuis fin 2014, il n’est pas obligatoire de déposer le règlement chez un huissier de justice. Les règles du jeu concours doivent, cependant, être accessibles depuis la page Facebook, avec un lien vers un document consultable en ligne… Ce décret apporte :
– une simplification des démarches.
– une baisse des coûts.
Il est conseillé de proposer un règlement qui pourra
– être utilisé dans le cas d’un litige,
– rassurer l’internaute sur la crédibilité du jeu-concours et, en conséquence, de votre entreprise.

4. Que devez vous mentionner dans ce règlement ?

  • Définition et conditions de participation (ex : domiciliation et âge des participants) ;
  • Dates et modalités de participation ;
  • Dotations du concours et détail des prix à gagner ;
  • Modalités de désignation des gagnants ;
  • Modalités de remise des lots et délais ;
  • Conformité avec la loi Informatique et libertés (si vous mettez en place des jeux concours permettant à vos clients et prospects de gagner des lots, vous allez collecter des données sur eux. Le fichier ainsi créé doit être déclaré à la CNIL) :
  • par une déclaration simplifiée de conformité à la norme n°48, si le fichier correspond aux caractéristiques énoncées dans ce texte ;
  • par une déclaration normale si le fichier sort du cadre de cette norme.

5. Créez un visuel original et attrayant pour augmenter votre nombre de fans

Créer un visuel original et attrayant augmente la visibilité de votre marque ou du produit que vous cherchez à promouvoir. Vous pouvez encourager vos fans à « liker » votre page afin qu’ils puissent avoir accès à vos informations sur le jeu-concours. Vous pourrez également recruter des fans par le bouche-à-oreille, communiquer sur le lancement d’un produit, d’une offre, d’un service, générer du trafic vers son site web, fidéliser ses fans/clients.

6. Proposez avant tout des dotations attrayantes

Concentrez-vous sur le 1er prix, c’est celui pour lequel les fans jouent. Proposer aussi des dotations variées afin de séduire un large panel de consommateurs. Voici quelques idées :

  • produits/services commercialisés en série limitée ;
  • produits/services mis en jeu avant leur commercialisation ;
  • coupons de réduction sur un ou plusieurs produits / services de votre catalogue ;
  • échantillons de produits ;
  • offres de réduction sur un abonnement ;
  • tickets de cinéma, places de concert, etc ;
  • billets d’avion ;
  • accès à la version premium d’un service en ligne, d’un logiciel… Le cadeau doit, dans tous les cas, correspondre aux attentes de votre cible. Vous pouvez utiliser les statistiques de votre page Facebook, qui vous permettront de définir les portraits de vos internautes et donc de choisir la dotation séductrice.

7. Annoncez le jeu…

… quelques jours avant son début mais pas trop en avance pour ne pas perdre l’attention des participants. Utilisez les événements saisonniers, les fêtes (fête des mères, des pères, Saint-Valentin, fêtes de fin d’année…), ceux culturels (fête de la musique, fête du cinéma, sortie d’un film, d’un livre), les salons, expositions…

8. Lancez une campagne de pub grâce à Facebook Ads

Cette fonctionnalité vous permettra aussi de sensibiliser un nouveau public et de diminuer le coût de l’acquisition du fan.

9. Calculez l’efficacité de votre jeu-concours

Une campagne doit être réfléchie de façon à utiliser certaines données de façon intelligente et en segmentant votre base et non pas par envoi massif de mails qui pourraient être assimilés à des spams. Conservez et étudiez précieusement les données enregistrées mais ne posez pas trop de questions afin que l’inscription au jeu soit rapide. Ciblez donc bien vos questions.

10. Gérez vos réseaux sociaux de manière efficace

Vous devrez utiliser votre site internet, vos commerciaux et tous vos réseaux afin que votre jeu-concours crée visibilité et notoriété.

et aussi grâce à notre partenaire Agorapulse

Article par L’AGENCE DIGITALE EN 3 MOTS | WWW.EN3MOTS.COMAgorapulse

Comment choisir et bien recruter un jeune ?

Fini le temps où les jeunes se bousculaient aux portes des entreprises qui avaient pignon sur rue. La nouvelle génération a aujourd’hui de nouvelles attentes et aspirations. Elle n’hésite plus à postuler dans les nouvelles entreprises et à se renseigner, suite à une annonce, sur internet en consultant le site de la société. Comment attirer les meilleurs et les choisir ?

Conscients de la réalité de l’emploi

Les jeunes diplômés restent conscients que les emplois ne sont plus pérennes et ils veulent acquérir une expérience qui leur permette d’avoir une carrière à la hauteur des études qu’ils ont réalisées mais aussi de leurs ambitions. Symbole de l’excellence de certaines écoles, les stages et missions se sont généralisés dans toutes les formations avec diplômes. Ils leur permettent d’appréhender directement le monde de l’entreprise et ils ne sont plus ancrés ni dans les rêves ni dans les illusions : ils se sont confrontés à la réalité du monde professionnel. Alors que cherchent-ils ? Ils convoitent une première expérience enrichissante qui étoffe leur curriculum vitae mais aussi une entreprise aux valeurs fortes, qui leur propose des projets et des missions épanouissants. A vous de mettre en valeur le poste que vous proposez.

Les jeunes diplômés sont préparés à l’entretien

Insérée dans tous les cursus des étudiants, les prépas aux grandes écoles comme science Po par exemple propose entre autres des formations aux entretiens par des professionnels aguerris leur permet de connaître les rouages de l’entretien et de voir si le poste proposé leur convient. Ils ont appris à analyser une société, à répondre aux questions et en poser. Evitez celles auxquelles ils s’attendent.
La fameuse « Quel est votre plus gros défaut ? », entraînera certainement la réponse suivante : « Je suis perfectionniste ». Sortez-les de leur zone de confort en rendant vos questions originales. Pour rendre votre entreprise attractive et déceler les potentiels, votre entretien devra être préparé. Vous devez sortir du carcan pour cerner la personnalité et les compétences du candidat.

Des hauts potentiels à attirer

Les hauts potentiels passent encore et toujours par les grandes écoles et effectuent une préparation. Elles représentent un indicateur précieux sur le potentiel du candidat même s’il ne faut pas négliger la perle rare. L’avantage de sélectionner un diplômé de ces filières d’excellences réside dans le fait que le candidat a effectué une préparation difficile et a été sélectionné en amont parmi les meilleurs sur son dossier de toute sa scolarité ou par des tests.
Pendant un an, deux ans voire trois, il est confronté avec les meilleurs et doit acquérir persévérance, méthode, rapidité, rigueur… qualités indispensables pour celui qui occupera un poste de haut niveau.

Soignez votre descriptif

Pour attirer ces hauts profils, l’utilisation de questions pertinentes sur les missions et les projets que le candidat a réalisés reste une option de premier choix. Elle vous permet de le cerner au mieux. N’hésitez pas à renter dans le détail c’est-à-dire sur les tâches effectuées mais aussi le relationnel, le rapport à la hiérarchie… et de leur poser la question « Pour vous, qu’est-ce qu’une entreprise où il fait bon vivre ? ». Les demandes sur la conception du management restent un point qu’il ne faut jamais sous-estimer pour savoir s’ils peuvent s’intégrer dans votre équipe, à une époque où les conflits de générations semblent faire rage.

Pour les attirer, prenez en compte ces nouveaux paramètres !

CIR : un dispositif efficace pour la recherche et l’innovation

Depuis la réforme du CIR en 2008, l’État investit chaque année plus de 5 milliards d’euros dans le dispositif du Crédit Impôt Recherche, qui permet aux entreprises innovantes de bénéficier d’une aide particulièrement avantageuse pouvant représenter plus de 30% des dépenses liées à leur R&D. Le CIR participe de la compétitivité économique internationale des entreprises françaises.
Bien entendu, ce dispositif déclaratif ne se limite pas au seul dépôt du feuillet fiscal consacré (Cerfa 2069A-SD) : pour bénéficier de cette aide, il faut en effet pouvoir justifier à tout moment, de manière extrêmement détaillée, de l’éligibilité des travaux, et ce jusqu’à la fin de la période de prescription fiscale.

Par Larry Perlade, fondateur de NÉVA – cabinet spécialisé en CIR, CII et statut JEI

Le CIR et le CII, pour quelles entreprises ?

Les entreprises industrielles, commerciales, artisanales et agricoles soumises à l’impôt sur les sociétés ou à l’impôt sur le revenu dans la catégorie des BIC et étant imposées d’après leur bénéfice réel (normal ou simplifié) peuvent bénéficier du CIR, quel que soit leur statut juridique.
Les PME au sens communautaire du terme, c’est à dire les entreprises de moins de 250 salariés, réalisant un chiffre d’affaires annuel inférieur à 50 millions d’euros ou dont le total du bilan est inférieur à 43 millions d’euros, et qui engagent des dépenses d’Innovation portant sur des activités de conception de prototypes ou d’installations pilotes de nouveaux produits peuvent bénéficier du CII (Crédit Impôt Innovation) en plus du CIR (Crédit Impôt Recherche). Attention, les critères de qualification d’une entreprise comme PME dépendent aussi des conditions de détention de son capital, et de son appartenance éventuelle à un groupe.

Des déclarations complexes et des critères d’éligibilité sujets à interprétation

Le Crédit d’Impôt Recherche et le Crédit Impôt Innovation sont complexes à mettre en œuvre dans un contexte législatif en perpétuelle évolution, ce qui induit de nombreux risques d’erreurs. Ces erreurs peuvent notamment découler de la méconnaissance des critères d’éligibilité, de fond comme de forme, au CIR ou au CII. En effet, en fonction des secteurs d’activité, la frontière entre les travaux éligibles et ceux qui ne le sont pas est subtile. Par ailleurs, certaines entreprises, par « excès d’humilité » ou par crainte de l’Administration, ne considèrent pas certains de leurs travaux comme éligibles alors qu’ils le sont.

Différents types de contrôles diligentés par l’Administration fiscale, le MESRI et/ou la DIRRECTE

A partir de 2008, plusieurs mesures ont été mises en œuvre pour consolider et amplifier l’efficacité du CIR. Une ouverture logiquement compensée par la mise en place de nouveaux outils de contrôle par l’Administration, afin de mieux maîtriser le volume de la dépense publique. Longtemps, le contrôle fiscal général de comptabilité – à la fois lourd pour l’Administration et pesant pour l’entreprise qui est contrôlée – a été le seul moyen à la disposition de l’Administration pour contrôler un CIR.
Aujourd’hui, elle dispose d’outils de vérification plus maniables, comme le contrôle spécifique du CIR ou la simple « demande d’information », qui n’induisent plus un contrôle fiscal général. Ces nouvelles procédures ont un double objectif : limiter les abus en contrôlant davantage d’entreprises bénéficiaires, et rassurer les entreprises qui n’associent plus l’aide publique à un risque accru de contrôle fiscal, au sens général du terme.
L’éligibilité d’une entreprise au dispositif CIR (et/ou CII pour les PME), est du ressort de l’Administration fiscale. C’est elle qui détient la possibilité de valider, ou de redresser, tout ou partie des sommes déclarées. Pour s’assurer de l’éligibilité technique ou scientifique des projets, elle fait appel au ministère de la Recherche pour le CIR, et à la DIRRECTE – qui dépend à la fois du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie, et du ministère du travail, de l’emploi et de la santé – pour le CII.
L’arrivée en 2013 du CII en complément du CIR a eu deux incidences notables pour les PME qui déclarent conjointement ces deux crédits d’impôt :
– les interactions complexes entre les Administrations concernées ont rallongé le temps d’expertise pour analyser l’éligibilité des projets et le délai moyen de paiement des sommes sollicitées ;
– l’Administration a développé une tendance, probablement par souci d’économie, à tenter de requalifier des projets éligibles au CIR (valorisés à 30 % des dépenses et non plafonnés) en simples projets éligibles au CII (valorisés à seulement 20 % et plafonnés à 80 k euros par an), alors que les critères d’éligibilité sont clairement différents.
La réunion, instaurée par le gouvernement d’Édouard Philippe, de la Recherche d’une part et de l’Innovation d’autre part au sein d’un même ministère, ouvre la voie, nous l’espérons, à un interlocuteur expert unique lors des contrôles CIR-CII, ce qui pourrait faciliter les communications entre les différents services concernés et raccourcir les délais de paiement aux PME.

CIR-CII : Un dispositif efficace mais perfectible

Le dispositif CIR s’est révélé extrême efficace et il a permis à des milliers d’entreprises d’investir dans des programmes de Recherche. Pour BusinessFrance, la France s’est dotée, avec le CIR, d’un puissant outil fiscal de renforcement de la Recherche sur son territoire. Pour preuve, chaque année, des sociétés du monde entier ouvrent en France des centres de R&D, en profitant à la fois de conditions fiscales intéressantes et de la qualité de formation des ingénieurs français, mondialement reconnue. Le Crédit Impôt Recherche est ainsi devenu une source vitale de financement pour de nombreuses PME, qui représentent le principal socle de création d’emplois qualifiés et pérennes.
De son côté, le dispositif du CII, lancé en 2013, est encore en phase de développement et n’a été mis en œuvre, pour le moment, que par un nombre limité d’entreprises, alors qu’il se révèle pertinent pour de nombreux projets. Des évolutions pourraient être apportées – en particulier l’alignement du taux de calcul du CII (20 % des dépenses) sur celui du CIR (30 %), la mise en place d’un expert technique unique lors des contrôles, et surtout le déplafonnement du CII, à l’instar du CIR.

Des dossiers scientifiques et techniques justificatifs de plus en plus pointus

Année après année, les exigences de l’Administration sur la qualité des dossiers justificatifs deviennent de plus en plus fortes, et bon nombre de dossiers font l’objet, en premier analyse, d’un avis défavorable du Ministère de la Recherche ou de la DIRECCTE, ce qui ouvre la voie à une annulation partielle ou totale de l’aide attribuée à l’entreprise. Il convient de souligner que les sujets sont complexes : pour apprécier l’éligibilité d’un projet au CIR, Il faut avoir à l’esprit que bien au-delà de la recherche fondamentale et de la recherche appliquée, ce sont surtout les activités de développement expérimental (y compris les développements informatiques originaux et complexes) qui sont éligibles. Concernant le CII, le critère central est celui de la nouveauté du produit développé sur son marché ou, à tout le moins, son amélioration substantielle par rapport aux produits similaires existants sur ce marché.
La difficulté consiste, dans ce contexte, à prouver à l’Administration, grâce à un dossier justificatif très documenté et très détaillé de description des travaux réalisés, que les critères scientifiques ou techniques d’éligibilité sont bien remplis.
Une attention particulière devra être portée à la description de l’état de l’art antérieur aux travaux de R&D, pour ce qui concerne le CIR, et de l’état du marché, pour ce qui concerne le CII.
Il est également à noter que l’Administration exige depuis quelques années une beaucoup plus grande granularité dans la manière dont l’entreprise rendra compte de l’affectation des temps passés par son personnel sur les projets éligibles. Alors qu’une entreprise pouvait se limiter, il y a quelques années encore, à fournir un nombre de jours, par personne et par an, affectés aux projets éligibles, l’Administration exige aujourd’hui que l’entreprise déclarante fournisse une répartition de ce nombre de jours annuel, par projet, par sous-projet, par phase, et même par tâche, doublée d’une répartition mensuelle, et parfois même hebdomadaire de ce temps. Ces matrices de temps, très complexes, qu’on en arrive à devoir produire ont bien entendu pour but de permettre à l’Administration d’apprécier plus finement l’éligibilité d’un projet, mais elles donnent aussi la possibilité à celle-ci, d’une manière parfois assez artificielle, de disqualifier telle ou telle tâche d’un projet, pourtant indissociable de l’ensemble.

Un discours contradictoire, source d’insécurité fiscale pour les entreprises

Au regard du CIR, les chefs d’entreprise sont pris entre le discours enthousiaste des politiques et celui, plus réservé, des fonctionnaires.
D’un côté les gouvernements successifs (depuis l’instauration du CIR en 1983) « pérennisent », voire « sanctuarisent » le dispositif, en font la promotion active, se félicitent de son bilan et, loi de finance après loi de finance, reconduisent, assouplissent et élargissent le CIR, rassurent et séduisent les candidats à ce crédit d’impôt, en font le fer de lance de l’attractivité de la France à l’étranger… et de l’autre côté, l’Administration, faute de réserves dans les caisses de l’État, et très légitimement chargée de veiller à la bonne utilisation des fonds publics, freine des quatre fers : usant d’un discours souvent glaçant, elle décourage les candidats et s’arcboute sur des positions parfois manifestement contraires à l’esprit de la loi, obligeant dans bien des cas les entreprises à faire valoir leur droit au CIR devant les tribunaux administratifs.
Heureusement, le CIR est inscrit dans la loi et, dans un état de droit, celle-ci a toujours le dernier mot : c’est tant mieux car la loi va très clairement dans le sens de l’incitation volontariste à innover, dans un contexte où la compétition économique internationale rend souvent ces aides indispensables à la survie et au développement de bon nombre de PME françaises.

Conclusion

Le CIR, malgré les critiques dont il a pu faire l’objet, s’est révélé être un outil particulièrement efficace pour éviter la fuite des cerveaux et soutenir la R&D en France. Le nombre de chercheurs en entreprise a augmenté fortement dans la population active, de 4,6 pour mille en 2008 à 5,66 pour mille en 2013 selon l’Association nationale de la recherche et de la technologie (ANRT). Et selon le rapport de l’OFCE, le nombre de ces chercheurs en France devrait, en 2020, être de 25 % supérieur à celui de 2007, année qui a précédé la grande réforme du CIR de 2008.
Complété par des dispositifs plus récents comme le CII et le statut JEI, le CIR permet à la France de se placer dans le peloton de tête des pays innovants.

Larry Perlade

Buzz : ces publicités qui cartonnent !

La publicité reste un excellent moyen de communication pour les marques qui souhaitent frapper les esprits de leurs clients. Si certaines, mal interprétées, tournent rapidement au « bad buzz », d’autres, bien au contraire, réussissent avec brio leur pari et séduisent les consommateurs. Retour sur ces buzz publicitaires réussis de cette année.

Coca-Cola invite les Saoudiennes à prendre le volant

C’est officiel, dès le mois de juin prochain, les Saoudiennes pourront conduire au sein de leur pays. Un décret signé par le roi Salmane et qui leur permet de prendre le volant dans un pays qui était le dernier au monde à interdire aux femmes cette pratique. La célèbre marque de boisson Coca-Cola n’a pas manqué de sauter sur l’occasion pour réaliser un spot publicitaire, ce 6 novembre dernier, afin de fêter cette avancée. Au sein de celui-ci, la marque met en scène un père saoudien qui apprend à sa fille à conduire. Dans les premières secondes, l’apprentissage lui paraît difficile. Son père décide alors d’ouvrir une bouteille de Coca-Cola et de la mettre sur le tableau de bord. Le défi ? Réussir à conduire sans en renverser une seule goutte ! Un challenge que réussira la jeune fille en épatant son père. La marque, localisée au Moyen-Orient, y incorpore un slogan « Change Has a Taste » (« le goût du changement ») et associe valeur familiale, évolution des droits de la femme et, bien sûr, la puissance du Coca-Cola. Autant dire qu’elle a su surfer sur cette révolution et souhaite, par la même occasion, conquérir un nouveau marché.

Intermarché mêle amour et bonne alimentation

Le distributeur a créé le buzz en mars dernier, avec un spot publicitaire diffusé une seule fois à l’écran et qui a engendré plus de sept millions de vues sur le web. La marque s’est lancée un pari : valoriser ses produits sans mentionner de prix, de référence ou encore de promotion ! Comment ? En faisant appel à la réalisatrice Katia Lewkowicz, pour mettre en scène un jeune homme et ses amis faisant leurs courses dans un Intermarché. Ces derniers ne prennent avec eux que de la malbouffe mais, une fois arrivée en caisse le jeune homme tombe sous le charme de la caissière.
Pour tenter de la séduire, il reviendra à plusieurs reprises pour y faire ses courses et change peu à peu son alimentation pour la rendre plus saine. Au fil des jours, il apprendra à cuisiner et, à l’approche de la fin du spot, il réussit à conquérir la fameuse caissière. Un spot d’une durée de trois minutes, accompagné de la musique « L’Amour » de Marcel Mouloudji. Une scène qui a émue et conquis l’ensemble des consommateurs « Un buzz largement mérité, on oublie très rapidement le côté pub qui laisse place à un magnifique court métrage » ou encore « Bravo aux publicitaires, à ces jeunes acteurs qui vous emportent par leur jeu dans le tourbillon de l’Amour.  J’insiste sur le côté positif de cette pub court métrage qui nous rappelle à tous le bonheur d’une jeunesse qui s’aime plutôt qu’elle ne se caillasse », s’exclament les internautes. En résumé, la marque promeut ses produits frais et incite, subtilement, à délaisser la malbouffe. Elle glisse le fameux slogan à la fin du spot « Nous sommes producteurs et commerçants pour vous aider à manger un peu mieux tous les jours ». Un buzz réussi qui lui permet de se démarquer de la concurrence.

John Lewis, une publicité des plus attendrissantes

Noël approche à grands pas et la nouvelle publicité de la chaîne de magasin britannique, John Lewis, n’a pas manqué de se démarquer. Sortie ce 10 novembre dernier, elle séduit une nouvelle fois avec une touche de magie en cette période de fête. La marque met en scène, au sein d’un spot, un petit garçon qui se retrouve avec un monstre « Moz » sous son lit, qui ronfle et produit des flatulences. Au fil des nuits, une amitié va naître entre les deux personnages, qui passeront leur temps à s’amuser ensemble. Le jeune garçon restant éveillé toutes ses nuits, peine alors à tenir debout le reste de ses journées. À l’approche de Noël, Moz lui offre une petite lampe de chevet qui l’aidera à s’endormir (à se procurer, bien sûr, chez l’enseigne John Lewis). Ce n’est pas la première année que la marque fait fondre son public durant ces périodes de fêtes avec un spot attendrissant des plus réussis !

Sensee vous améliore la vie (et la vue) !

Marc Simoncini, fondateur de Meetic, s’est lancé, il y maintenant six ans, un nouveau défi : se positionner sur le marché de l’optique. Comment ? En proposant des paires de lunettes à des prix imbattables ! La start-up se fait doucement sa place sur le marché et décide, elle aussi, de lancer une campagne publicitaire. Sortie le 6 mars dernier, elle met en avant des affiches publicitaires. L’une des plus originales ? Celle avec le message très révélateur : « On n’a pas eu à payer Johnny, Antoine ou Sharon. Notre patron n’a même pas demandé à aller à New-York pour tourner la pub. C’est peut-être aussi pour ça qu’on peut vous proposer des lunettes jusqu’à deux fois moins chères. Avec une qualité exceptionnelle. » La marque révèle, officiellement, ne pas vouloir attaquer ses concurrents mais proposer une offre alternative à la leur et, surtout, beaucoup moins chère. Si le concept se fait une place lentement, cette campagne, quant à elle, a tout de suite séduit les consommateurs : « Bravo, on est fan » ou encore « Pas trop mal la pub #Sensee. Au moins, ils sont francs et évitent les achats compulsifs de lunettes à 1€ jamais utilisées. » Un contre-pied des publicités d’optique traditionnelles en toute franchise et qui marche !

Les étapes clés pour réaliser une bonne fête de noël en entreprise

Le froid qui arrive, bientôt le calendrier de l’avant… bientôt noël ! La préparation d’une fête de noël requiert plus de préparation qu’on peut le penser. Cet événement représente un moment particulier et très apprécié par les salariés et leur famille. Voici des étapes à suivre pour réaliser une bonne fête de noël en entreprise

Le budget

Avant de vous lancer corps et âme dans les préparations de votre fête de noël, la première étape à suivre consiste à prévoir votre budget. Pourquoi ? Vous pourrez immédiatement exclure certaines options trop couteuses et connaitre la limite à respecter ! Un tel événement reste synonyme de frais. A vous de définir le montant que vous acceptez d’allouer pour l’occasion. S’il s’avère que ce n’est pas votre première fois, vous pouvez reprendre le budget de l’année précédente ou le modifier si vous avez noté des points à modifier. Dans cette seconde option, la partie financière demeure plus simple. Dans le cas contraire, prenez bien en compte tous les facteurs pour définir un budget correct et prévoyez une place pour l’imprévu !

La date, le lieu et les participants

Choisir la date et le lieu de votre fête de noël reste aussi primordial. Prenez-y vous le plus à l’avance possible ! Devez-vous la faire un mois avant le jour J ? Quelques jours avant ? Vouloir organiser un tel événement, c’est bien, mais si personne ne peut venir, cela ne sert pas à grand-chose ? Communiquez la date dès que possible pour éviter de mauvaises surprises. Parallèlement, il demeure nécessaire de prévoir le lieu. La fête se passera-t-elle dans votre entreprise ? A l’extérieur ? Les deux ? Le choix vous appartient. Intégrez la contrainte de la place nécessaire pour accueillir l’évènement dans votre prise de décision. Vous gardez également la possibilité de mettre en place une activité hors de vos locaux et le reste à l’intérieur. N’hésitez pas à être original !

Les activités

La fête de noël demeure un événement familial. Votre objectif : faire en sorte que tout le monde passe un moment agréable. Pour ce faire, le choix ne manque pas ! Vous pouvez opter pour un événement à l’extérieur. Si vous souhaitez voir grand, faire appel à un prestataire billetterie pour des spectacles interentreprises représente une bonne option. Les tarifs de groupe s’avèrent plus avantageux. Autre option, faire réaliser l’activité choisie au sein de votre entreprise avec l’aide d’un prestataire extérieur. Ce choix représente une alternative économique plus couteuse. Dernière option qui s’offre à vous, réalisez vous-même une animation. Attention car celle-ci s’avère chronophage et il faudra vous assurer de la qualité : vous n’êtes pas forcément un professionnel de l’évènementiel. Optez pour la formule qui vous convient le mieux !

Le repas

Fête de noël rime avec bon repas ! Rien que d’entendre le mot, vous sentez votre estomac gargouiller ? Tout est normal ! Même dans le cadre de votre entreprise, ce critère compte ! Vous pouvez faire appel à un traiteur ou vous arranger autrement. Peu importe ! Ce qui compte, c’est le résultat ! Soyez prêt à nourrir petits et grands autour d’une grande table ou d’un buffet. A vos fourneaux !

Des cadeaux

Vous avez déjà vu un noël sans cadeau ? Les enfants veulent la récompense promise, les adultes aussi surtout après une année de travail et de bons comportements ! Pour cette partie, deux choix s’offrent à vous. Vous pouvez fournir le magazine d’un magasin de jouets, indiquer le montant maximum accordé et demander à vos salariés de vous communiquer leur souhait avant une date précise. Autre choix possible, vous donnez un chèque-cadeau à tous. L’achat du cadeau leur reviendra et ils n’auront plus qu’à se déplacer !

Un père noël

Ho ho ho ! Que serait noël sans père noël ? Rien du tout ! Les enfants n’attendent qu’une seule chose (à part les cadeaux): voir le célèbre et renommé père noël ! Si vous comptez inviter les familles à votre évènement, n’oubliez pas sa présence. Il s’agit du passage obligatoire pour un tel événement. Il convient de désigner une personne qui devra assumer le premier rôle auprès des petits. Cela ne vous coûtera que le prix du costume si personne n’en possède déjà un. Ils pourront se faire prendre en photo avec lui et aller sur ses genoux ! Vous serez récompensé par la joie des plus jeunes !

Une playlist de noël

Jingle bells, jingle bells, jingle all the way ! Vous avez l’air en tête ? Vous entrez dans l’état d’esprit de noël ? Parfait ! Créer une ambiance typique de cette période passe obligatoirement par la musique. Ce n’est pas le choix qui vous manque ! Préparez une playlist des meilleurs chants de cette période. Même les plus grands auront le sentiment de retomber en enfance ! Donnez à votre repas, remise de cadeaux ou à toute la journée un côté magique et féerique !
A vous désormais d’organiser votre fête de noël. Optez pour les choix qui vous conviennent le mieux et tout devrait bien se passer ! We wish you a merry christmas !

Booster ses ventes pour Noël et le Jour de l’An, c’est possible !

Noël, le 1er janvier approchent à grands pas et incontestablement, c’est la période idéale pour les commerces et entreprises. En vue de réaliser d’excellents chiffres d’affaires, les entreprises en profitent pour mettre en place des stratégies aussi infaillibles qu’amusantes. Comme le dit l’auteur Jean-Marie Gourio : « celui qui a inventé Noël, c’est un mec qui devait tenir un magasin » et peut être aussi une entreprise de fabrication de cadeaux tout azimut.

L’un des résultats de l’étude Waze menée auprès de ses utilisateurs qui les a interrogés pour connaître leurs lieux d’achats pour les fêtes de Noël 2017 : 70 % feront leurs courses en magasins, 13,7 % feront leurs achats en ligne, 40 % comptent trouver leurs cadeaux avant le mois de décembre ! Alors, entrepreneurs, soyez très attentifs, nous avons déniché les quelques conseils à appliquer pour booster vos ventes ou faire plaisir à votre clientèle en ce mois de fête !

Prévisions pour un démarrage perfecto

La période de Noël et du jour de l’an est à ne manquer sous aucun prétexte. Partout dans le monde, les gens se préparent à accueillir cette belle période où l’on offre et reçoit des cadeaux. Pendant que les enfants écrivent de longues lettres au Père Noël, les commerçants, les entreprises eux, ont du pain sur la planche. Tous les secteurs en profitent pour se démarquer, qu’il s’agisse des jouets, de l’alimentation, des loisirs ou encore de la beauté.

Pour l’entrepreneur, les prévisions sont de mises. Et oui, il est important d’anticiper les demandes de la clientèle et de garnir son stock de produits. Entre le recrutement du personnel, l’anticipation des ruptures de stock et la définition des objectifs, les entrepreneurs quelle que soit leur entreprise ont énormément de boulot. Faites un plan bien stratégique (par exemple, prévoyez des journées « clés ») et pensez à monter une liste de ressources nécessaires, matérielles comme humaines. Ainsi, vous éviterez les situations de crise.

La communication : l’arme ultime

Faites-vous entendre ! La communication reste de loin l’arme ultime pour réaliser de gros chiffres d’affaires. En vous mettant aux couleurs de Noël et du jour de l’an, vous arriverez à créer de la magie autour de vous et donc à attirer des clients. D’ailleurs, si vous ne le faites pas, vos concurrents le feront à votre place ! Autant profiter de la plus grosse période festive de l’année pour faire parler de vous. Pour ce faire, optez pour une décoration de vitrine aux couleurs de Noël avec de beaux dessins, des guirlandes et pourquoi pas des flocons de neige en papier. Quant au merchandising, faites une analyse des produits susceptibles d’accrocher les clients, comme les coffrets-cadeaux et les offres promotionnelles d’un jour. Enfin, comme les idées sont multiples, tentez de vous inspirer des autres et apportez-y une amélioration.

Les promos spéciales Noël et Jour de l’An

À l’approche des fêtes, nombreux sont ceux qui recherchent des cadeaux originaux. Pour les satisfaire et pour augmenter vos recettes, misez sur les jeux-concours. Excellents pour ramener du monde, les jeux-concours ne coûtent pas chers et feront plaisir à bon nombre de personnes. D’ailleurs, pour faire parler de vos campagnes, optez pour la communication via les réseaux sociaux et l’e-mailing. Ces deux options vous permettront de faire de la publicité de manière efficace. Un autre point infaillible lors de la campagne de communication est le service client. Bien soigné, ce dernier saura séduire les clients. Montrez-leur que vous tenez à eux et proposez des journées spéciales enfants et en contrepartie, des séances de dégustations. Tout ce qui est gratuit, même de valeur relativement faible, suscite l’intérêt.

Le Père Noël, c’est vous !

Entre les déguisements, l’installation des châteaux gonflables, l’aménagement d’espaces pour enfants et les nombreux cadeaux à gagner, les entrepreneurs ont largement de quoi attirer les clients. Vous l’aurez compris, lors de cette période festive, le Père Noël, c’est vous ! Gâtez intelligemment votre clientèle et soyez certain de vous bâtir une réputation pérenne.