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Les vacances d’hiver, une inspiration pour les entreprises.

Ah les vacances, tout le monde en rêve !  Les vacanciers comme les entrepreneurs qui veulent profiter pour développer leur business (vêtements, hôtel, train, ……). Dans la panoplie des vacances, les français sont de plus en plus friands pour aller faire du ski même si ces vacances leur paraissent onéreuses. Les championnats de ski en Corée donnent le ton avec déjà la championne de ski qui a dévalé les pentes avec brio.  OpinionWay a réalisé une étude pour Mondial Assistance sur les Français et leurs vacances d’hiver et donnent à réfléchir sur leur impact.

Les français et les vacances d’hiver

Pour ces vacances d’hiver 2018, peu de personnes se disent prêtes à partir, souvent très occupées par le travail et les affaires. En février, elles sont peu prisées par les Français, sur 1013 personnes sondées, 17%, seulement, déclarent partir en vacances. Les personnes les plus concernées par ce choix restent les moins de 35 ans et les 35-49 ans. En ce qui concerne leur séjour, les Français partent en moyenne 7 jours sur les deux semaines des vacances d’hiver. 

Parmi les 17% qui souhaitent partir en vacances, 77% choisissent comme destination la France, une nouvelle réjouissante pour notre économie. La plupart n’hésitent pas à dépenser plus de 1150€ pour leurs vacances. Un joli budget qui satisfera les entrepreneurs des secteurs concernés comme l’hôtellerie, la restauration, la location de matériel, les stations de ski, etc. Cette proportion de la population reste relativement faible, beaucoup de personnes préfèrent d’autres moment de l’année et privilégient leur travail. Et que font les entreprises pendant ces vacances ? 

Comment utiliser les vacances d’hiver en entreprise 

Si seulement 17% des Français déclarent partir en vacances en hiver, 82% ne partiront pas cette année au mois de février et resteront à leur poste. Les salariés partent au travail lorsqu’il fait encore nuit et reviennent du travail lorsque la nuit tombe ou est déjà tombée. Alors comment se détendre ? Comment surfer sur la tendance des vacances d’hiver pour se divertir tous ensemble ? 

Il faut savoir selon le sondage OpinionWay pour Mondial Assistance quelles sont les activités favorites aux sports d’hiver 

  • Déguster une fondue savoyarde 23%
  • Se détendre dans un spa21%
  • Dévaler les pistes de ski alpin 20%
  • Faire de la randonnée en raquette 19%
  • Boire un vin chaud ou un chocolat chaud en altitude 18%
  • Faire une cure thermale à la montagne 23%

Et pourquoi pas les utiliser dans votre entreprise sans aller au sport d’hiver !

N’hésitez pas à organiser des soirées à thème pour célébrer le froid et la neige. Une ambiance un peu différente créera un rapprochement au sein de vos équipes. Sur les 1013 personnes interrogées lors du sondage de OpinionWay pour Mondial Assistance, 21% ont déclaré vouloir se détendre au spa lors des vacances d’hiver et 23% d’entre eux préfèrent déguster une bonne fondue savoyarde. Ces envies peuvent aussi se réaliser partout en France, alors n’hésitez pas à être original et à proposer ces activités à vos collaborateurs, l’espace d’une soirée ou d’une journée. L’hiver étant toujours plus déprimant, un peu de détente reboostera tout le monde. 

Comment communiquer sur les vacances d’hiver ?

Cette année avec les Jeux olympiques d’hiver, la neige, ses plaisirs et ses sportifs font la une de l’actualité et donc les échanges sur les différents réseaux sont intenses. Communiquer sur ce sujet qui remplit d’espoir permet de sortir de la grisaille des évènements attristants de la planète permet d’avoir une meilleure visibilité sur le web et de garder sa communauté informée même si elle ne part pas en vacances, la neige et le ski font partie des sujets plaisants. Evoquer les Jeux Olympiques à Pyeonchang permet de se focaliser sur l’actualité. Même si votre activité ne correspond pas à cet univers, réagir sur ce sujet peut vous démarquer, beaucoup de Français admirant les JO. 

Si vous êtes une entreprise désormais bien installée sur le web et les réseaux sociaux avec une large communauté, proposer un voyage au ski sous forme de concours pourra vous donner une image fun et généreuse. Si le budget ne coïncide pas, il faut inciter les personnes à partager leur expérience de vacances d’hiver avec des tweets, des photos, des posts. La communauté sera réjouie de pouvoir s’exprimer à travers votre entreprise. Ce type de communication convient plus à des entreprises dans des domaines relatifs aux vacances comme les assurances, le transport de voyageurs, le tourisme, la restauration, mais même si ce n’est pas votre domaine, se lancer ne coûte rien. Votre activité parlera forcément à quelques personnes et donner vos astuces pour des vacances réussies peut s’avérer payant. Une entreprise de transports peut faire référence à la neige et aux conditions à adopter lors de ces déplacements. Dans un domaine comme la domotique, les conseils pour éviter les cambriolages seront les bienvenus. Tous les conseils en rapport avec les vacances sont bons pour communiquer auprès de potentiels clients. Se préoccuper de sa clientèle, c’est permettre une meilleure approche de la relation client. 

Les Français restent peu à partir en vacances durant la période hivernale. Ils préfèrent plutôt les vacances de Pâques étant 25% à déclarer partir en vacances pour cette période. Mais rien n’empêche de surfer sur ce thème avec les traditions des sports d’hiver, que ce soit au sein de votre entreprise ou de votre communication. Chaque évènement doit être exploité pour impacter votre clientèle et l’ambiance dans votre entreprise. Pour les entreprises situées dans les régions prisées par les vacanciers, miser sur les habitudes des sports d’hiver pourra vous être extrêmement bénéfique, la période hivernale étant souvent la plus rentable. 

Et les vacanciers vont-ils se déconnecter pendant les vacances d’hiver ?

62% des Français interrogés ne se déconnecteront pas pendant les vacances !!! Pendant ces vacances d’hiver, ils vont utiliser des outils digitaux (Smartphone, tablette, ordinateur, etc.) mais dans des buts précis. Mais comme on peut le voir le lien avec le travail est quand même toujours présent.

  • Consulter vos comptes bancaires 43%
  • Faire des achats 20%
  • Consulter vos mails professionnels 18%
  • Réserver des activités 15%
  • Suivre votre activité sportive 8%
  • Surveiller votre maison 6%
  • Rencontrer de nouvelles personnes 5%
  • Non, car vous souhaitez vous déconnecter 34%

Alors, vous allez proposer une raclette à tous vos salariés, non un vin chaud ? Comme vous voulez, mais faire la fête est toujours une bonne idée !!!

L’industrie de l’e-sport aux Jeux olympiques

Ces dernières semaines, les télévisions du monde entier scrutent les résultats des athlètes olympiques. Dans cet engouement pour ces jeux de sport d’hiver, le sujet de l’e-sport comme discipline olympique revient sur la table. Même si le CIO (Comité International Olympique) n’a pas encore officiellement déclaré ce sport comme une nouvelle discipline, les discussions perdurent. 

L’e-sport, un phénomène 

Avec ses nombreuses compétitions, le sport électronique consiste à jouer en réseau sur différents jeux vidéo. Comme tous les sports, des épreuves se jouent seul ou en équipe. Si pour beaucoup de personne cette pratique n’est pas prise au sérieux, il s’agit pourtant de conditions de haut niveau. Pour exceller et remporter les compétitions, les joueurs s’entraînent de longues heures chaque jour.

Très peu connu à ses débuts, l’e-sport existe depuis 1997 à travers la création de la Cyberathlete Professional League. À l’époque la pratique reste encore peu connue de tous, mais depuis le milieu des années 2000, l’e-sport devient populaire. Les jeunes joueurs envient de plus en plus les champions du secteur et n’hésitent pas à se lancer à travers des chaînes Youtube ou des « live stream » où ils se filment en train de jouer, en direct. La passion reste l’une des premières motivations, les personnes jouant souvent depuis leur plus jeune âge. En ce qui concerne l’e-sport, l’envie se concentre aussi sur les gains extravagants des vainqueurs. 

Les compétitions se multiplient à l’échelle mondiale, ce qui offre beaucoup plus de visibilité à cette pratique. Elle propose des gains mirobolants pour les champions de tournois. Comme dans le milieu du sport, ils sont sponsorisés et peuvent remporter des sommes astronomiques suite à leur victoire. Le gain le plus impressionnant, ces dernières années, date de 2015, avec une compétition autour du jeu Dota 2. L’équipe gagnante pouvait remporter plus de 6,6 millions de dollars. 

Pour reconnaître la pratique comme un sport à part entière, il a fallu attendre 2010, avec la création de la Fédération Internationale de sport électronique (Esif). En ce qui concerne la France, le retard fut considérable. La reconnaissance du statut de joueur professionnel a seulement été instaurée lors de la mise en vigueur de la loi pour une République numérique, en octobre 2016. 

Une compétition en marge des Jeux de PyeongChang

À l’occasion des Jeux olympiques d’hiver à PyeongChang, l’e-sport a fait son apparition sous forme d’évènement avant le lancement des jeux et non comme une discipline. Intitulé « Intel Extreme Masters PyeongChang», la compétition a reçu le soutient du comité olympique. Les joueurs du monde entier se sont affrontés sur le jeu vidéo « Starcraft II » de la société Activision-Blizzard. Pour mettre en place cette compétition, l’entreprise Intel et le comité olympique se sont associés. L’officialisation de l’e-sport comme une discipline olympique n’est plus très loin. Même si les sportifs électroniques ne concourent pas sous la bannière de leur pays auprès des autres athlètes, l’évènement a été retransmis sur Internet et sur les plateformes dédiées aux Jeux d’hiver. 

La présence des Jeux olympiques à PyeongChang cette année, était l’occasion parfaite pour tester un tel évènement. La Corée du Sud est très réputée pour son admiration et son engouement autour de l’e-sport. Les plus grands champions coréens deviennent des stars dans leur pays. Débuter avec l’e-sport dans ce pays a permis d’attirer un large public. Il s’agissait de faire une phase de test pour satisfaire un public jeune, suite aux audiences difficiles de la tranche des 18-34 ans. Lors des Jeux de 2016 à Rio, la chaîne NBC a perdu 30% d’audience sur ce public. La popularité de l’e-sport et de ses stars mondiales pourrait redonner de l’intérêt à un évènement parfois vieillissant. Dans cette visée, les Jeux de 2022 à Pékin pourront accueillir l’e-sport comme discipline médaillable. Cette décision relève du comité olympique d’Asie et ne garantit pas la tenue d’épreuves d’e-sport pour les éditions suivantes. Pour 2024, à Paris, le CIO anticipe une possible instauration de l’e-sport, mais seulement sous certaines conditions. La pratique devra respecter les valeurs olympiques, excluant toute forme de jeux vidéo violents. Elle devra aussi se soumettre aux réglementations contre les possibles dopages, paris et manipulations. La tenue d’une organisation doit garantir le respect de ces règles. 

Un pari risqué pour l’industrie du jeu vidéo 

Même si la présence de l’e-sport aux Jeux olympiques pourrait satisfaire une multitude de fans, l’industrie du jeu vidéo reste très concurrentielle. Dans l’optique de la création d’une discipline pour le sport atypique, les studios de création restent méfiants. La tenue de telles compétitions dans le monde olympique implique différents acteurs du secteur sur une même scène. Les studios de création se feraient face, quand d’autres seraient immédiatement exclus pour le caractère violent de leurs jeux. La concurrence risque d’être rude sur un marché déjà très concurrentiel. 

Pour l’industrie du jeu vidéo et le CIO, l’e-sport redonnerait un souffle aux Jeux olympiques et à ses audiences. Les places pour ces compétitions à travers le monde se vendent très chers. Il s’agit d’un atout considérable pour le comité olympique et les sponsors. Des épreuves sur différents jeux feraient indirectement la promotion des studios de création. Les entreprises bénéficieraient de plusieurs avantages et les chiffres seraient relativement très attrayants. Pour l’e-sport, un tel événement, permettrait une plus grande reconnaissance pour la discipline, mais aussi pour les joueurs. Les Jeux olympiques engendreraient pourtant une grande concurrence chez tous les acteurs du secteur.

Entrepreneurs, comment franchir les barrières de la langue ?

En milieu professionnel comme dans la vie de tous les jours, bien communiquer est essentiel. Pouvoir s’exprimer et surtout, se faire comprendre de ses interlocuteurs facilite grandement les affaires, d’autant plus si vous projetez de vous étendre à l’international. Encore faut-il savoir parler le même langage…

« Je ne parle pas cette langue donc je préfère ne pas m’aventurer dans ce pays. » Voilà une phrase que l’on entend, aujourd’hui encore, trop souvent dans la bouche de certains dirigeants d’entreprise. Pourtant, ces derniers le savent, communiquer fait partie des clés de la réussite d’un entrepreneur. S’ils n’ont, certes, pas toujours le temps d’apprendre une voire plusieurs langues, cet effort n’est pas toujours indispensable pour bien communiquer. Pressés par le temps, nombreux sont, par exemple, ceux à faire appel à des services de traduction. Petit tour d’horizon des différentes manières de s’émanciper des barrières de la langue.

Ne pas partir sur place les mains vides…

Visiter un pays étranger comme rencontrer des partenaires qui ne parlent pas votre langue n’a rien d’un défi insurmontable. Des précautions restent néanmoins à prendre si vous ne voulez pas passer votre temps à faire une multitude de gestes ridicules dans l’espoir d’être compris de vos interlocuteurs. Parmi ces précautions, le traditionnel guide de conversation peut s’avérer bien utile dans certaines situations. Disponible dans de nombreuses langues telles que l’anglais, l’espagnol, l’italien et même le japonais, il constitue une bonne alternative à l’apprentissage formel d’une langue. Autre possibilité : les agences de traduction et d’interprétariat comme Global Voices. Que cela se passe face à face, par téléphone ou bien par vidéo, vous pourrez alors communiquer de façon fluide et intelligible, un point indispensable lors de négociations.
Notez que des applications de traduction existent également sur Smartphone. Ces dernières restent, en revanche, bien souvent moins performantes mais aussi moins fiables.

S’imprégner d’une culture qui n’est pas la sienne

Avant de foncer tête baissée à un rendez-vous avec des interlocuteurs étrangers, menez votre petite enquête sur le sujet. L’objectif est de mieux connaître la culture des personnes que vous aurez en face de vous. Renseignez-vous sur l’entreprise qu’elles représentent (secteur d’activité, positionnement…) ainsi que sur leur parcours professionnel. Pour obtenir ce type d’informations, consultez le site Internet de l’entreprise et jetez un rapide coup d’œil à leur profil sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter ou encore LinkedIn. Scruter de la sorte l’environnement professionnel de vos interlocuteurs devrait vous permettre de déceler certaines mœurs provenant de leur propre culture. Lors du rendez-vous, n’hésitez d’ailleurs pas à poser quelques questions sur les spécificités culturelles du pays en question. En plus d’en apprendre davantage, vous démontrerez votre intérêt à l’égard de celui-ci.

Attention à la communication non-verbale !

En France comme ailleurs, certains détails visibles mais non-verbaux détiennent une importance particulière en matière de communication. Et, dans certains pays, leur enjeu est même capital. Votre manière de vous habiller, votre posture, vos gestes ou encore votre façon de dire bonjour peut en dire long sur votre savoir-vivre. Les pays d’Asie sont notamment très sensibles à des détails qui pourraient nous sembler, en tant que Français, insignifiants. Ces détails sont souvent liés aux coutumes de la politesse, de la courtoisie et surtout, du respect envers autrui. Pour prendre l’exemple du Japon, suivant votre niveau hiérarchique, vous devrez adapter votre façon de saluer la personne en face de vous. Si les efforts sont appréciés, l’imperfection n’est pas non plus rédhibitoire. Tout comme vous, vos interlocuteurs auront connaissance du fait que vous ne partagez pas la même culture ni la même langue.

Vous l’aurez compris, les barrières de la langue sont loin d’être insurmontables. La meilleure option reste sans doute l’apprentissage des langues étrangères, mais il reste difficile de les parler toutes couramment. Piochez donc dans votre boîte à outils et utilisez tout ce qui vous permettra de dialoguer de manière optimale, tels qu’un guide de discussion ou qu’un service de traduction. N’oubliez pas, pour avancer, il faut savoir bien communiquer !

Top 10 des entreprises au plus grosses levées de fonds en 2017

Les petites entreprises pour tenter de se démarquer réalisent régulièrement des levées de fonds au montant les plus fous. Les cabinets Capgemini Consulting et ECap Partner ont dévoilé leur baromètre des start-up de 2017, démontrant une diminution du nombre de levées de fonds par rapport à l’année précédente. Moins nombreuses, elles deviennent a contrario plus élevées. Tour de table des 10 plus grosses levées de fonds de 2017. 

Actility

Créée en 2010, à Lannion en Bretagne, Actility se consacre au domaine de l’Internet des objets. Elle s’occupe de développer des réseaux bas débit longue portée pour les opérateurs. Durant l’année 2017, elle a obtenu une levée de fonds de 71 millions d’euros grâce à des investisseurs comme Bosch, Orange, Swisscom, Ginko et KPN. Actility s’impose comme une start-up émergente, compte plus de 180 salariés et avec un chiffre d’affaires autour de 15 millions d’euros.

Doctolib 

L’entreprise s’impose comme un leader du rendez-vous médical en ligne et existe seulement depuis 2014. Avec plus de 11 millions d’utilisateurs par mois, Doctolib devient une référence pour les médecins et leurs patients. Pour suivre la cadence, elle s’est dotée de Philippe Vimard, un ancien de Expedia et eDreams, au poste de CTO. Il a annoncé le recrutement de 50 ingénieurs en 2018. Doctolib a désormais le vent en poupe et a réussi à lever 61 millions d’euros sur l’année 2017. 

ManoMano 

Fondée en 2013, ManoMano se définit comme un marketplace destiné au jardinage et au bricolage. Durant l’année 2017, l’entreprise a réalisé une levée de fonds de 60 millions d’euros, se démarquant ainsi des autres plateformes. Pour poursuivre sa lancée elle a d’ailleurs recruté l’ancienne directrice générale de Zalando, Christine de Wendel, pour la placer au poste de directrice de l’exploitation. Avec une experte, cette marketplace pourrait bien devenir un leader dans le secteur. 

Blade 

Le concept de cette entreprise consiste à fournir un ordinateur dématérialisé pouvant être exploité sur tous les écrans. Elle s’instaure comme une des premières à concevoir ce type de technologie et possède déjà plus de 5 000 utilisateurs, avec 12 000 autres sur liste d’attente. L’objectif est de pouvoir fournir ce service à au moins 100 000 utilisateurs courant 2018. En juin 2017, elle lève 51 millions d’euros pour développer son concept malgré le scepticisme des consommateurs et des professionnels de l’informatique. 

Algolia

Algolia est une start-up française fondée en 2012, elle conçoit un moteur de recherche qui peut s’installer aussi bien sur des sites que des applications. La start-up a réussi en juin 2017, à lever 47 millions d’euros de la part de gros investisseurs, parmi eux, LVMH, Twitch, Twitter, Periscope et même la Mairie de Paris et En Marche. L’entreprise réalise une croissance de 127% sur l’année, passant de 4 à 115 salariés en l’espace de quatre ans. 

GuesttoGuest

Créée en 2011, GuesttoGuest a développé une plateforme d’échange de maison entre particuliers. Elle compte désormais plus de 330 000 logements disponibles dans 187 pays. Elle a réalisé une levée de fonds de 33 millions d’euros durant l’année 2017 et prend son essor sur le marché français. Elle se rémunère grâce à des commissions sur l’assurance souscrite lors de la réservation. Une de ses spécificités reste sa rentabilité, un facteur difficile à obtenir pour les start-up. 

iAdvize 

Cette start-up a levé 32 millions d’euros en 2017et s’impose comme un nouveau concept. Son concept consiste à mettre à disposition un chatbot sur les sites de marque. L’intelligence artificielle conseille les clients sur le site, comme un conseiller dans un magasin. La levée de fonds de l’entreprise a été réalisée grâce à la BpiFrance et Quadrille Capital. Pour continuer son activité, l’entreprise rémunère 10 000 particuliers pour prendre le relais de l’intelligence artificielle en termes de conseil. 

Frichti 

Ce site de livraison et de repas à domicile a acquis une grande notoriété auprès des consommateurs. La petite entreprise en mai 2017 a réussi à lever 30 millions d’euros. Son principal rival, FoodChéri racheté par Sodexo laisse Frichti sur le devant de la scène. Elle emploie plus de 300 personnes alors qu’elle existe seulement depuis 2015. La levée de fonds a pour but de développer l’entreprise à l’international et en province. 

Shift Technology 

Cette start-up spécialisée dans une technologie d’algorithmes d’apprentissage pour contrer les fraudes à l’assurance a obtenu sa troisième levée de fonds en 3 ans. Cette dernière s’élève à près de 24 millions d’euros grâce aux investisseurs Accel, General Catalyst, Iris Capital et Elaia Partners. Utilisé par les différentes assurances, l’outil a permis d’analyser plus de 100 millions de déclarations pour les assurances automobiles, habitation et autres risques ainsi que 300 millions pour les assurances santé. L’entreprise possède des bureaux dans plusieurs villes à travers le monde. 

Dataiku 

Cette entreprise s’est spécialisée dans le traitement de données pour permettre une gestion plus simple grâce à sa plateforme. Elle se destine à de nombreux domaines comme la santé, l’agro-alimentaire, le retail, l’automobile, les médias et bien d’autres. En 2017, l’entreprise a réalisé une levée de fonds de 23 millions d’euros. Elle emploie plus de 100 personnes dont un tiers est implanté en France, le reste des employés lui se situe aux Etats-Unis avec le siège social. Prochainement, l’entreprise vise l’industrialisation de son outil. 

Les levées de fonds des start-up deviennent de plus en plus courantes et les entreprises françaises savent se démarquer à l’aide de levées considérables qui permettent un large développement de leur activité. Ces 10 entreprises françaises vont pouvoir s’étendre sur le marché et devenir attractives d’ici les prochaines années. 

Le prêt de salarié : une pratique en plein essor

Avec les ordonnances instaurées par le président Emmanuel Macron, le prêt de salarié revient sur le devant de la scène. Il consiste pour une entreprise à prêter ses salariés pour une durée déterminée dans le but de développer des projets ou l’entreprise elle-même. Une telle démarche va-t-elle rencontrer du succès auprès des salariés et des entreprises ?

Les modalités du prêt de salarié

Initialement appelée le prêt de main d’œuvre, cette pratique encadrée par la loi Cherpion du 28 juillet 2011, autorise une entreprise à mettre à disposition les compétences et les qualités de ses salariés pour une autre entreprise. La loi encadrant le prêt de main d’œuvre se caractérise comme une pratique à but non-lucratif. L’article 40 et l’article L 8241-1 du Code du travail précisent que : « L’entreprise prêteuse ne facture à l’entreprise utilisatrice, pendant la mise à disposition, que les salaires versés au salarié, les charges sociales afférentes et les frais professionnels remboursés à l’intéressé au titre de la mise à disposition. ». Aucun tarif ne peut être négocié en fonction du salarié, il s’agit d’un prêt et non d’un intervenant. 

Le prêt de salarié a évolué dernièrement à la suite des ordonnances d’Emmanuel Macron proposant de favoriser les petites et moyennes entreprises. En vigueur depuis le 1er janvier 2018, l’ordonnance n°2017-1387 préconise aux grandes entreprises de pratiquer le prêt de salarié auprès des start-up pour engendrer leur développement et leur structuration. L’ordonnance concerne uniquement les grandes entreprises possédant au moins 5 000 salariés et les jeunes entreprises de moins de 8 ans avec moins de 250 salariés. Un prêt temporaire de main d’œuvre doit s’établir sur une période de 2 ans maximum. En ce qui concerne le salarié, il reste affilié à son entreprise, dite « prêteuse », tout en gardant son contrat de travail et ses avantages. Cette pratique pour le salarié se caractérise comme une mission, il regagne alors son poste à la fin de celle-ci. Pour permettre un prêt de main d’œuvre, le salarié n’a aucune obligation et peut refuser l’offre proposée sans engendrer de sanctions. 

L’intérêt du prêt de salarié pour l’entreprise prêteuse

Pour l’entreprise prêteuse, ce prêt engendre des retours positifs des salariés concernés. Ils peuvent jouir d’une certaine mobilité leur permettant de connaître d’autres horizons et processus sans pour autant changer d’entreprise. Ce prêt se relève être aussi un atout pour l’employeur, donnant des perspectives d’évolution aux employés en demande. Sur le modèle préconisé par Emmanuel Macron avec les ordonnances, les salariés de grandes entreprises intégreraient des PME, auraient certes des parcours atypiques tout en   proposant leur expertise aux entreprises émergentes. Les compétences et expertises  du salarié participent au développement de plus petites entreprises. L’avantage pour les entreprises prêteuses est de développer une capacité d’adaptation de ses équipes à la nouvelle activité. Lors d’une période de faible activité ou encore de crise, elle permet de conserver des salariés sans avoir à recourir à un plan de licenciement.

Pour les grands groupes, le prêt de salarié s’instaure comme une nouveauté grâce à la mise en relation avec des start-up. Il engendre finalement une transition numérique pour les grandes entreprises. Les start-up innovant continuellement dans une visée « corporate », les salariés des grands groupes ont besoin de se familiariser avec les nouveautés numériques. Ils engendrent alors de la modernité à leur retour dans leur entreprise prêteuse. L’entreprise prêteuse et le salarié donnent accès à des entreprises qui ne possèdent pas forcément les moyens financiers d’avoir des intervenants compétents. Ce principe de prêt s’inscrit dans une politique de développement des entreprises, particulièrement pour les PME avec les ordonnances initiées par Emmanuel Macron. Mais à travers les missions réalisées par le salarié, il s’agit aussi de développer des projets et des missions grâce à l’intégration de personnes expérimentées. 

Pour l’entreprise accueillante 

Une société souhaite généralement avoir recours à cette pratique pour avoir accès à de la main d’œuvre en toute sécurité. Les entreprises sont liées par un contrat et la confiance est donc instaurée dès le départ par le choix d’un salarié adapté à la situation de l’entreprise d’accueil. Un salarié qui accepte d’intégrer une autre entreprise possède forcément une certaine motivation, qualité rédhibitoire pour l’entreprise d’accueil. Grâce à la mise en place de ce prêt, les entreprises nouent des partenariats stratégiques dans le but de créer une collaboration harmonieuse et un développement qui satisfera les deux parties. Grâce à ces missions, elles ont la possibilité de renouveler l’expérience avec d’autres employés et faire bénéficier différentes entreprises, d’une immersion dans leur univers. 

A la suite des ordonnances applicables depuis le 1er janvier 2018, une entreprise accueillant un salarié d’une autre entité peut bénéficier du prêt gratuitement. Dans le cadre d’un transfert vers une start-up, l’entreprise prêteuse garantit alors de subvenir aux besoins de son salarié avec son salaire et ses avantages. Pour une jeune entreprise, cette pratique relève d’un atout, elle créée de la qualification et un développement considérable pour l’entreprise sans investir dans un salaire. 

Le prêt de main d’œuvre n’est pas encore développé et les entreprises et les salariés sont encore réticents. Ce nouveau concept donne une spécificité aux entreprises et à leurs salariés et se révèlera dans l’avenir porteur de croissance. Dernièrement, une plateforme spécialisée dans le prêt de salarié s’est lancée sur internet. Intitulée MobiliWork, elle incite les entreprises à se développer à travers d’autres schémas. Elle s’occupe essentiellement de mettre les entreprises en relation et de les aider à développer cette pratique, selon leurs envies et leurs besoins. 

Comment trouver votre identité visuelle ?

L’identité visuelle va vous accompagner dans toutes les phases de votre entreprise. Elle est cœur de votre communication avec vos partenaire, clients, consommateurs, fournisseurs, investisseurs…. Et donc dans tous les cas, il vous faudra prendre le temps pour la choisir. Située au cœur des stratégies de communication d’entreprise, la réalisation d’une identité visuelle constitue un élément essentiel dans la réussite de votre entreprise.

Qu’est-ce qu’une identité visuelle et à quoi sert-elle ?

L’identité visuelle s’apparente à un ensemble de signes graphiques (couleurs, formes, mots) ayant vocation à symboliser, à créer un univers facile à identifier et porteur de valeurs ou messages. Autrement dit, elle doit représenter l’entreprise et se distinguer de ses concurrents. Contrairement aux idées reçues, l’identité visuelle ne s’arrête pas uniquement au logo, mais s’étend du logo à la vidéo en passant par les supports papier et électronique et les réseaux sociaux : le nom de la marque, le slogan, le logo, la couleur, la police et la taille des caractères.

La notion d’identité visuelle peut se scinder en 3 mouvements dans la communication :

• L’image voulue,
• L’image transmise,
• L’image perçue.
L’image voulue représente le message que l’entreprise voudrait faire passer à sa cible grâce aux méthodes de communication.
L’image transmise renvoie à la traduction de l’image voulue via les supports de communication dans le but de faire passer le bon message à la bonne cible.
L’image perçue désigne l’image que les cibles se font après avoir visualisé les supports de communication déployés par l’entreprise. Cela réfère à la façon dont le message est interprété, à l’analyse et la compréhension de ce dernier par la cible. C’est donc tout simplement le résultat de l’action de communication.

Si vous n’en avez toujours pas, vous pouvez facilement le créer avec des services en ligne comme Logaster. Il vous suffit d’entrer le nom de votre entreprise et votre secteur d’activité et le site vous propose un choix entre différents logos. Vous pouvez ensuite le personnaliser et le télécharger.

C’est donc, lorsque bien menée, un moyen d’asseoir sa notoriété et sa crédibilité auprès de ses clients ou potentiels clients, mais aussi auprès de partenaires commerciaux ou institutionnels. Elle occupe ainsi, en premier lieu, une fonction publicitaire. Les techniques de diffusion s’accompagnent de supports de communication tels que des cartes de visites, journaux, sites web, etc. L’identité visuelle a un rôle d’amélioration de l’identification auprès du public ainsi qu’un rôle de renforcement du positionnement de la marque.

Quels sont les incontournables ?

Plus le projet de votre entreprise apparaît comme simple et clairement défini, plus il vous sera facile de réaliser une identité visuelle en adéquation avec votre entreprise.

Tout d’abord, il faut que votre identité visuelle soit simple et claire pour bien être identifiable et mieux mémorisable. Elle doit nécessairement être représentative en se rapportant, et ce explicitement, à votre domaine d’activité. La cohérence est primordiale. L’identité visuelle reste la même quel que soit le support de diffusion utilisé. Le concept de différence est, lui aussi, à ne pas négliger. Unique, votre identité doit permettre au public de différencier votre entreprise de celles présentes sur le marché.
Outre une excellente lisibilité, faites primer l’originalité pour mieux vous démarquer !


On note 3 éléments essentiels à l’identité visuelle :

• La concordance (représentation d’une structure logique),
• Le symbolisme (représentation des valeurs et promesses),
• Le positionnement (représentation des valeurs de différenciation).
Afin de vous aider dans la constitution de votre identité visuelle, il est conseillé de faire au préalable une charte graphique. Cette charte graphique décrit techniquement l’identité visuelle et pose les limites de son utilisation.
Pour être correctement mise en place, l’identité visuelle se doit de passer par 3 phases.

  • La phase de pré-création consiste en une analyse documentaire comprenant un recueil d’information sur l’histoire, les activités et l’organisation de l’entreprise.
  • La phase de création qui, sous forme de croquis non achevés rend compte des idées envisageables. Cela permet d’avoir un aperçu pour ensuite choisir le plus pertinent en fonction de l’image de l’entreprise et de la demande du client.
  • La phase d’application sur les supports se définit par la création d’un style graphique propre à l’entreprise dont il est question. C’est la phase de concrétisation. En plus d’être compréhensible, mémorisable, clair et cohérent, le rendu doit être véritablement explicite dans le but d’une identification rapide qui marque les esprits.

Savoir allier efficacité et cohérence

Pour être efficace, votre identité visuelle doit être cohérente. Il doit en ressortir un sentiment de sérieux et de professionnalisme, notamment par rapport à la perception de la population cible, à savoir les clients et clients potentiels. Il est surtout question d’originalité, mais avant tout, de cohérence avec votre activité. Mis à part les choix structurants et techniques, une des choses les plus difficiles est d’inscrire cette identité dans le temps.

Pour pallier le manque de logique et de cohérence de votre identité visuelle, cette dernière doit s’articuler autour de certains critères. Il est important de cibler correctement vos interlocuteurs pour mieux répondre à leurs attentes. Vous pouvez d’ailleurs faire appel à une agence de communication ou à un bureau d’audit afin d’établir un diagnostic approfondi. Des croquis et ébauches sont alors réalisés. Vous pouvez, par la suite, soumettre le prototype aux collaborateurs de l’entreprise qui vous donneront leur avis quant à d’éventuelles modifications, en vue d’une amélioration.

Définissez votre communication et votre positionnement.

Le choix de votre identité doit coïncider avec votre projet d’entreprise. Pour cela, vous devez observer le positionnement de votre entreprise sur le marché et tenir compte de la tendance actuelle. Choisissez un public cible, afin de destiner cette identité visuelle à l’ensemble des acteurs avec lesquels vous souhaitez communiquer. Certes, tous ne seront pas réceptifs au même type de logo, couleurs et autres, mais il faut essayer de faire en sorte de toucher la majorité en sélectionnant un public en particulier. Pour ce faire, vous devez exceller dans l’art de la mise en valeur.

Enfin, il ne vous reste plus qu’à choisir un bon support de diffusion. Ces supports peuvent être de différentes natures : flyers, dossiers de presse, site web, panneau publicitaire, emballage (audit visuel), véhicules publicitaires, logotypes, l’éditique, signalétique, documents de présentation (papier ou électronique : cartes de visite, signature de courriel, etc.), design de produit, annonces, rapports annuels, communication silencieuse (hall de réception, standard, salle de réunion, tenue vestimentaire, etc.). Pour bien choisir votre support, il est nécessaire de prendre en compte deux éléments : le public cible et la nature de votre projet de communication.

En assurant la bonne gestion de votre identité visuelle, votre entreprise deviendra par la suite d’autant plus efficace en améliorant la propagation de ses messages et des valeurs qu’elle s’attache à transmettre. Les enjeux de l’identité visuelle sont ainsi liés au marketing. Pour être considérée comme réussit, il doit y avoir concordance entre la représentation de l’entreprise et la perception qu’en ont les clients ou potentiels clients. L’identité visuelle pourrait ainsi être assimilée à un levier de performance faisant partie intégrante de la stratégie de développement d’une entreprise.

Les business des Jeux Olympiques

Pour les entreprises et les marques, les Jeux Olympiques restent une opportunité incontestable de communiquer ou de s’exposer. Certaines l’ont bien compris en s’invitant pendant l’édition 2018 à Pyeongchang en Corée du Sud. Des business des Jeux Olympiques s’imposent au sein des jeux d’hiver et les prix pour être visibles et profiter de leur notoriété demandes de faire preuve d’ingéniosité.

Les technologies 

Les Jeux Olympiques permettent aux nouvelles technologies et à leurs entreprises d’acquérir une forte visibilité au sein des événements et des lieux de compétition. Ainsi par exemple, les écrans géants pour diffuser les images des épreuves avec un long parcours, les caméras ou encore es bannières diffusant les sponsors. Cet évènement permet aux marques d’être visibles par les consommateurs, les athlètes et les spectateurs. Pour cette édition 2018, le partenaire du matériel est Panasonic. Couvrir un tel évènement développe une véritable notoriété de la marque et engendre un grand coup marketing. 

Les droits de diffusion 

La télévision reste un des seuls moyens de regarder les Jeux Olympiques en direct, mais les plus grandes chaînes se disputent les droits, grâce à l’audience générée par la suite. Le CIO (Comité International Olympique) attribue les droits à des chaînes en particulier. Elles s’occupent alors de vendre les droits à des groupes télévisés. En Europe, le groupe américain Discovery a acheté les droits de diffusion des Jeux Olympiques de 2018 à 2024. C’est avec ce groupe que les chaînes négocient un prix, créant un véritable business autour des images de la compétition. 

Les produits dérivés 

Lors de tout évènement sportif, la présence de produits dérivés reste une des priorités pour les organisateurs. Les goodies deviennent de plus en plus nombreux, à l’effigie des jeux, de la mascotte et des athlètes. Les marques s’associent pour créer des objets attractifs et des souvenirs pour les spectateurs. Cette année à l’honneur, c’est Soohorang un petit tigre blanc mascotte des jeux. Lors de la remise des récompenses en Corée, la tradition est de donner une peluche avant la médaille. Soohorang devient alors une peluche fétiche incontournable pour tous les fans des jeux. 

Les sponsors 

Durant les Jeux Olympiques, les marques se bousculent pour être les plus visibles sur les équipements sportifs. Comme presque chaque édition, les marques Coca-Cola, Samsung et Visa et bien d’autres seront au premier rang. Elles seront visibles par tous, que ce soit sur les écrans, les bannières et parfois même les produits dérivés. Les droits se payent très chers en ce qui concerne les sponsors de l’évènement ou ceux des athlètes. Les réglementations du CIO restent très strictes, les marques non-autorisées n’ont pas le droit de communiquer lors de l’évènement. Aucun marketing sauvage ne peut être réalisé dans le cadre des jeux, rappelé scrupuleusement par la règle 40. Pour les marques autorisées, le butin reste fort juteux.

Les publicités 

En matière de publicité, les marques sont soumises à des réglementations, mais pour la diffusion à la télévision, s’inspirer des Jeux Olympiques permet une plus grande visibilité. L’un des partenaires essentiels du CIO, Toyota a fait le choix de communiquer partout dans le monde sauf sur le site olympique à cause de la présence de Hyundai et Kia. La marque a communiqué à l’aide d’une publicité sur des athlètes handicapés pour les paralympiques, lui donnant ainsi une image humaniste. Lors de Jeux Olympiques, les marques en profitent pour déclarer leur soutien aux athlètes et leurs tenues sont soigneusement étudiées pour donner à la marque un réel attrait. Elles profitent aussi de leur notoriété, particulièrement si leurs athlètes sont victorieux et de ce fait attireront tous les caméras de télévision sur eux. 

Les placements de produits 

Ce procédé consiste à exposer délibérément un produit à la vue de tous, pour promouvoir indirectement sa marque. Dans les évènements sportifs comme les Jeux Olympiques, la pratique reste courante. À Pyeongchang, la marque coréenne Samsung a fait fort avec son produit phare, le Galaxy Note 8. Grâce à la distribution aux athlètes de 4 000 exemplaires aux couleurs des Jeux Olympiques 2018, la marque a fait un placement subtil et judicieux d’un produit lors de la cérémonie d’ouverture. Avec leur nouveau téléphone, les athlètes ont pris des photos et ont filmé en direct leur présence lors de la cérémonie d’ouverture. Un super coup de publicité pour le géant coréen. 

Les partenariats 

Pour les marques, les partenariats sont une manne surtout pour celles dont les moyens financiers ne leur permettent pas de s’exposer seuls lors de l’évènement sportif. Ils s’établissent directement sur le marché des Jeux Olympiques, destinés aux athlètes ou aux spectateurs. Les marques s’associent pour disposer d’une plus grande visibilité, créant des meilleures ventes ou des meilleures audiences. C’est le cas de France Télévisions et Snapchat qui ont décidé de s’associer pour les Jeux Olympiques de Pyeongchang. La première bénéficie de la notoriété du réseau social auprès des jeunes. Quant à Snapchat, elle augmente son audience avec un sujet d’actualité. Un événement mondial comme celui-ci permet à des marques et des entreprises de diffuser leur image. 

Les stands 

Entre les épreuves, les spectateurs rencontrent le besoin de se mettre au chaud, surtout avec les températures négatives à Pyeongchang. Les sponsors l’ont bien compris et ils investissent donc dans des stands pour promouvoir leurs nouveautés. Samsung, l’un des premiers sponsors des Jeux Olympiques 2018 a installé neuf stands destinés à son casque de réalité virtuel et ses téléphones. Les jeux se transforment alors en mini CES. Les marques n’hésitent pas à promouvoir leurs produits lorsque les spectateurs patientent entre deux épreuves. Hyundai a fait de même avec des pavillons destinés à promouvoir l’hydrogène sur ses voitures. Tout est bon pour sensibiliser les athlètes et les spectateurs à une marque et ses produits. 

Alors, pourquoi, ne pas profiter d’un évènement pur que votre entreprise développe sa notoriété !!!!

Soyez vigilant sur la géolocalisation pour véhicules d’entreprise

Dans les articles liés aux accidents et particulièrement ceux qui engendrent des décès, la géolocalisation du véhicule est évoquée pour permettre une expertise exacte. Voitures, camions, utilitaires, et autres… il existe aujourd’hui tout un panel de solutions de géolocalisation pour véhicules, qui se développent à vitesse grand V auprès des entreprises quelle que soit la nature de leur activité. Quels intérêts à se doter d’un système de géolocalisation pour sa flotte automobile ? Quelles sont les précautions à prendre en compte ?

Qu’est-ce que la géolocalisation ?

Pour bien comprendre le concept, la géolocalisation est un système qui permet de suivre en temps réel la position de tout type de véhicules (voiture, camion, engin de chantiers, machine agricole…) grâce à un dispositif de traçage utilisant la technologie GPS (par satellite) ou GPRS/GSM (par antenne relai).

Pourquoi géolocaliser ses véhicules ?

Depuis quelques années maintenant, les solutions de géolocalisation professionnelle sont en plein essor auprès des entreprises. De moins en moins chers, ces systèmes présentent de nombreux avantages en termes de productivité et de sécurité.
Grâce à l’implantation de petits boîtiers sur l’ensemble de sa flotte automobile, l’entreprise sait à tout moment où se situe chaque véhicule, ce qui garantit une meilleure organisation de son activité mais également une meilleure réactivité face aux situations d’urgence ; cette fonction est particulièrement adaptée pour les entreprises de transport, de livraison, ou de dépannage comme les ambulances et les ascensoristes.
La géolocalisation permet de deviser et de facturer au plus juste les prestations, tenant compte pour chacune du nombre exact de kilomètres parcourus, de l’itinéraire emprunté, mais également des éventuels temps de pauses et difficultés de circulation rencontrées. De plus, le système peut être un outil utile au calcul des indemnités de petits déplacements des salariés pour les entreprises soumises à cette obligation, comme celles du paysage par exemple.
Ces différents éléments, auxquels s’ajoute l’analyse plus globale des données statistiques issues du suivi des véhicules, fournies sous forme de tableaux, permettent à l’entreprise de mieux maitriser ses coûts et de les optimiser si nécessaire.
Les systèmes de géolocalisation favorisent la sécurité des salariés, mais également des marchandises ou des personnes dont ils ont la charge, notamment en cas de pannes ou d’accidents ; Cette exigence peut par ailleurs revêtir un caractère obligatoire d’un point de vue réglementaire selon la nature de l’activité exercée. Ils sont un moyen de dissuasion contre les vols de véhicules, et de les retrouver le cas échéant.
La gestion de flotte automobile devient un jeu d’enfants.

Quelles sont les indications données par la CNIL ?

Des dispositifs de géolocalisation peuvent être installés dans des véhicules utilisés par des employés pour :

  • Suivre, justifier et facturer une prestation de transport de personnes, de marchandises ou de services directement liée à l’utilisation du véhicule. Par exemple : les ambulances dans le cadre de la dématérialisation de la facturation de l’assurance maladie.
  • Assurer la sécurité de l’employé, des marchandises ou des véhicules dont il a la charge, et notamment retrouver le véhicule en cas de vol (par exemple, avec un dispositif inerte activable à distance à compter du signalement du vol).
  • Mieux allouer des moyens pour des prestations à accomplir en des lieux dispersés, notamment pour des interventions d’urgence. Par exemple : identifier l’employé le plus proche d’une panne d’ascenseur ou l’ambulance la plus proche d’un accident.
  • Suivre  le temps de travail, lorsque cela ne peut être réalisé par un autre moyen.
  • Respecter une obligation légale ou réglementaire imposant la mise en œuvre d’un dispositif de géolocalisation en raison du type de transport ou de la nature des biens transportés.

Comment géolocaliser ses véhicules ?

Il existe aujourd’hui de nombreuses entreprises de géolocalisation proposant des solutions diverses et variées, à l’image d’Ocean. Pour vous y retrouver, il convient, avant de vous lancer, d’identifier clairement vos besoins pour choisir le type d’offres qui vous est le mieux adapté, en tenant compte de la taille et la nature de votre flotte automobile, de votre budget, et de la législation en la matière.
Ces systèmes ne peuvent être déployés que dans un cadre précis, pour ne pas nuire aux droits de vos salariés, certains abus ayant été constatés par le passé. Ils ne peuvent pas être utilisés pour contrôler le travail de vos collaborateurs ou pour vous assurer qu’ils respectent bien le code de la route par exemple.

L’information aux salariés, une obligation

Avant d’équiper vos véhicules, vous devrez au préalable avoir informé les représentants du personnel, ainsi que les salariés eux-mêmes, de la mise en place du dispositif (finalités, destinataires des données, droits d’accès, de rectification et d’opposition). La communication sur ce point est particulièrement importante pour que la géolocalisation soit vécue le mieux possible par les équipes, qui la considèrent au premier abord comme un outil de « flicage ». Le dispositif de géolocalisation devra également, dans certains cas, faire l’objet d’une déclaration (déclaration simplifiée de conformité à la norme n°51 ou déclaration normale) auprès de la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés). Un système qui n’a pas fait l’objet d’une déclaration à la CNIL ne peut être opposé aux employés. Si l’organisme qui a mis en place un tel dispositif a désigné un Correspondant Informatique et Libertés (CIL), aucune formalité n’est nécessaire auprès de la CNIL, le CIL devant noter ce dispositif dans son registre.

L’information des employés

Les instances représentatives du personnel doivent être informées ou consultées avant toute décision d’installer un dispositif de géolocalisation dans les véhicules mis à la disposition des employés.

Chaque employé doit être par ailleurs informé :

  • de l’identité du responsable de traitement
  • des finalités poursuivies,
  • des destinataires des données issues du dispositif de géolocalisation,
  • de son droit d’opposition pour motif légitime,
  • de ses droits d’accès et de rectification. Cette information peut se faire au moyen d’un avenant au contrat de travail ou d’une note de service, par exemple.

Une fois le système en place, l’entreprise devra veiller à bien respecter le délai légal de conservation des données recueillies, qui ne peut excéder une durée de deux mois, sauf dans certains cas particuliers.

Se mettre les bloggeurs dans la poche

A l’heure de la communication planétaire, les bloggeurs sont des ambassadeurs qu’il faut choyer. Longtemps laissés de côté, les blogueurs sont aujourd’hui des « influenceurs » connus et reconnus. En effet, ils jouent un rôle primordial sur la toile. Les blogs ont un effet viral, et peuvent vous permettre de faire le buzz si un bloggeur influent dans sa communauté flashe sur votre marque. Peu importe votre domaine d’activité, ne les négligez pas dans votre plan de communication, ils sont tout simplement déterminants.

Faire parler de son activité sur les blogs apparaît être un excellent moyen de commencer à communiquer à moindres frais et avec un maximum d’impact. Pourquoi ? Les bloggeurs ont peut-être moins d’audience que les médias classiques, mais ils ont souvent une communauté plus engagée et surtout avec laquelle ils partagent un certain nombre d’affinités.

Voici quelques conseils de blogueur pour les dirigeants souhaitant faire connaître leur entreprise sur ces médias digitaux.

Comment trouver les bloggeurs influents dans votre domaine ?

Notre conseil ? Le site Internet : https://followerwonk.com/
Sachez que les bloggeurs aiment bien partager leurs informations ou émotions sur leur compte Twitter.
Et grâce à ce site, vous avez la possibilité de chercher des twittos influents à partir de mots clés. Suivant votre domaine d’activité (cuisine, financement, mode, …) vous trouverez rapidement les personnes à suivre et surtout à contacter !

Afin d’avoir l’approche la plus ciblée possible, effectuez un tri des blogs intéressants pour votre marque et établissez une cartographie(mind mapping).
– Quels sont ceux qui partagent un centre d’intérêt avec votre marque/produit ? (culinaire, mode, lifestyle…)
– Quels sont ceux qui ont un intérêt pour vos lecteurs, votre clientèle, cible ? (analyse de l’univers, des partenariats déjà établis et des parutions presse du blog)
– Localisation du blog ? (paris, bordeaux, lyon…) Si vous souhaitez communiquer sur l’ouverture d’un point de vente ou d’un événement localisé, cet élément est primordial.

Une fois que vous avez dressé cette cartographie et identifié les bloggeurs à contacter, il vous reste à les hiérarchiser selon leur degré de visibilité :
-Les « blogs professionnels » seront lus en moyenne par 50 000 lecteurs/ jour.
-Les « blogs intermédiaires » plébiscités par la presse (top 10…etc) atteindront aisément les 5 000 vus par jour.
-Les blogs commençant à faire une bonne vitrine pour les marques seront lus en moyenne par 700 à 1 000 internautes par jour.

« Vivez la vie » du bloggeur

Lorsque vous échangez avec un bloggeur, pensez avant tout à la personne plutôt qu’au site qu’il représente. Il peut :
• avoir beaucoup de sollicitations (pensez donc à être clair, concis et percutant)
• avoir peu de temps car il a une autre activité professionnelle (faites-lui gagner du temps)
L’empathie est une clef essentielle en communication, il en est de même pour des échanges à distance.
Pour cela n’hésitez pas à vous renseigner sur cette personne en cherchant :
• des interviews qu’elle aurait pu donner
• ses articles en rapport avec son activité
• ses activités sur les réseaux sociaux comme sur Facebook, Twitter, YouTube, LinkedIn…
Vous pourrez ainsi trouver des points communs qui pourraient vous rapprocher et construire vos premiers échanges sur cette base.

Identifiez la meilleure manière d’entrer en contact avec lui

Chaque personne a une manière privilégiée de communiquer. Cela peut être par Twitter, emails, téléphone… En effectuant vos recherches sur le blogueur que vous ciblez, identifiez la façon de communiquer qu’il privilégie. Pour cela regardez sur son site s’il partage plus facilement son email, son numéro de téléphone (assez rare…) son compte Twitter, etc.
Mais la « voie royale » pour entrer en contact avec une personne que vous ne connaissez pas reste la mise en relation directe avec une connaissance commune. Si possible, faites-vous introduire par un contact commun pour que vos premiers échanges soient encore plus solides.
Pour faire gagner du temps à tout le monde, rédigez des emails clairs, précis et concis :
• Évitez les demandes de partenariats en espérant que le blogueur vous fasse une proposition. Si vous avez une idée, présentez-la sans tourner autour du pot.
• L’objet de votre email est la clé qui donnera envie de lire votre message. Soignez le bien et réfléchissez à chaque mot que vous utilisez en les questionnant avec le « pourquoi ? »
• Faites des phrases simples
• Évitez les fautes d’orthographe

Comment attirer les bloggeurs ?

Vous connaissez leurs noms et leurs blogs, il ne vous reste plus qu’à les contacter… Mais attention ! L’erreur la plus fréquente est de penser que les bloggeurs sont des journalistes. Faux. Vous ne devez pas communiquer avec eux de la même façon. Une des règles d’or est de les tutoyer. Les bloggeurs sont les maîtres des réseaux sociaux et sur les réseaux pas de vouvoiement !
Si vous décidez de les inviter sur un événement ou une conférence, essayez de distinguer deux rendez-vous bien différents : un pour la presse et un autre pour vos bloggeurs. Les journalistes n’aiment pas être assimilés aux bloggeurs. Et les bloggeurs fonctionneront plus facilement au feeling avec vous.
Donc pour les attirer, donnez-leur l’impression de les privilégier. Ils sont très importants pour votre communication. Il faut les chouchouter. Organisez par exemple, un événement où ils seront les seuls à pouvoir y accéder avec des « inédits ».
Pensez également à garder le contact avec eux. Les liens avec les bloggeurs doivent s’entretenir, il s’agit d’une vraie relation à tisser sur du long terme pour devenir une marque de référence chez le bloggeur influent.

Boutique en ligne : la faire soi-même ou la faire faire par un professionnel ?

La création d’une boutique en ligne est aujourd’hui quasiment à la portée de tous. Il existe en effet de nombreuses applications open source permettant d’installer un e-commerce en quelques minutes. Mieux encore, certains hébergeurs proposent des installations en un clic où la boutique et l’hébergement sont prêts à l’emploi. Si l’installation se résume à quelques clics, la configuration et la gestion d’un site marchand demandent en revanche un minimum de connaissances commerciales, juridiques et informatiques.

Un commerçant créant son activité peut donc envisager de se lancer seul dans l’aventure. Toutefois, même si les nombreuses ressources disponibles sur internet et les retours d’expérience sont autant de guides nécessaires au bon fonctionnement d’une boutique, il faut tout de même être prudent.

Une mauvaise configuration peut être par exemple à l’origine du vol de données clients ou d’un manquement à la loi ou d’une incompréhension des prospects qui ne dépasseront jamais le stade du paiement.

Un commerçant déjà implanté dans le monde réel a quant à lui tout intérêt à s’adjoindre les services d’un professionnel. Les erreurs commises sur internet pourraient en effet avoir de graves répercussions sur l’image de marque qu’il a développée et il n’a pas forcément le temps de s’intéresser au web alors qu’il a une affaire à gérer. Par ailleurs, le monde du web n’est pas le monde du commerce classique et la logique est différente. Il est compliqué pour un commerçant habitué à certains raisonnements de basculer seul dans une autre logique.

La création d’une boutique, qu’elle soit réalisée par le commerçant ou par un prestataire, s’effectue par étapes. Nous les détaillons dans les paragraphes suivants tout en commentant leur importance ou leur difficulté.

Choix de l’application e-commerce

La création d’un site marchand ne demande plus un développement web complet. De nombreuses applications prêtes à l’emploi existent. Elles présentent majoritairement l’avantage d’être open source ou gratuites. Si la majorité des solutions proposent plus ou moins les mêmes choses, il est tout de même important pour le commerçant de connaître et d’avoir les extensions et fonctionnalités nécessaires aux caractéristiques de son activité, à la logique de sa logistique et de la vision qu’il a de son commerce.

Si le commerçant désire se lancer seul, il lui est vivement recommandé de souscrire à une offre toute en un où l’hébergeur installe la boutique et assure la maintenance de l’hébergement. L’installation s’effectue dans ce cas très facilement sur les sites des hébergeurs en s’inscrivant à une offre e-commerce.

Le commerçant travaillant avec un prestataire aura tout intérêt à choisir un professionnel maîtrisant parfaitement la solution retenue. La configuration et les développements éventuels seront ainsi réalisés rapidement et avec expertise, non seulement techniquement mais aussi fonctionnellement.

Il existe aujourd’hui une dizaine d’applications permettant de créer une boutique. Les plus utilisées sont Magento, Shopify, WooCommerce, BigCommerce ou Prestashop. De nombreux tableaux comparant leurs fonctionnalités existent. Il est important de les consulter car l’application choisie doit être au service du commerce et non l’inverse.

Création du catalogue produits

Les fiches produits sont les éléments clés d’une boutique en ligne. La création du catalogue doit faire l’objet d’une attention toute particulière et le temps ne doit pas être compté pour le réaliser. N’importe quel commerçant sur le web doit être très attentif à la qualité des photos, aux noms et aux descriptions des produits. Ce sont ces éléments qui pénaliseront ou feront la différence dans Google. Un prestataire ayant de l’expérience pourra automatiser au maximum l’opération et prodiguer de précieux conseils pour la rédaction des fiches produits car celles-ci doivent se différencier de celles des concurrents, être fournies et orientées clients et prospects. Or, bien souvent le commerçant a tendance à organiser et décrire ses produits du point de vue du fournisseur.

Fonctionnalités E-Commerce

Toutes les boutiques doivent proposer au minimum à leurs clients au moins un moyen de paiement et une méthode de livraison avec des coûts explicites. Toutes les applications e-commerce proposent de mettre en place ces deux fonctionnalités très simplement avec l’installation d’extensions, gratuites ou payantes. Il est ainsi par exemple possible d’installer un paiement Paypal en une petite dizaine de clics. Il est important avant de choisir une application e-commerce de s’assurer de sa compatibilité avec les solutions de paiement proposées par sa banque. Le développement ou l’achat d’une extension de paiement peut être très onéreux.

Le commerçant peut également optimiser son activité en utilisant des fonctionnalités marketing permettant de relancer les clients ayant abandonné leur panier, de générer des newsletters, de mettre en place un système de ventes croisées, de faire du reciblage publicitaire, etc. Si l’ensemble de ces fonctionnalités est facilement installable et configurable par le commerçant, les conseils d’un prestataire sont très utiles. Ce dernier pourra établir une liste des fonctionnalités à implémenter mais aussi proposer des configurations optimales et utiles car dans les multiples possibilités des outils à ce sujet, nombreuses sont les fonctionnalités par vraiment utiles et surtout chronophages.

Légalité, Protection des données et sécurisation de la boutique

La sécurisation d’une boutique ne peut pas être négligée. Si la mise hors service d’une boutique peut affecter le chiffre d’affaire, le vol de données peut avoir des conséquences dramatiques. La boutique sera décrédibilisée et il peut être impossible de retrouver la confiance des clients, qui trouveront sans nul doute traces des difficultés passées de la boutique.

Paradoxalement, le respect de la loi est souvent méconnu de la part des e-commerçants. Si statistiquement il y a peu de contrôle, ce n’est pas une raison pour négliger cet aspect car un concurrent mal intentionné ou un client mécontent peuvent détruire tout un e-commerce si ce dernier ne respecte pas la loi.

Il faut particulièrement faire attention à la présence des mentions légales obligatoires et des Conditions Générales de Ventes qu’on évitera de copier/coller mais qu’on rédigera avec un professionnel pour se prémunir aussi d’un trop gros nombre d’abus de la part de clients malhonnêtes. Il conviendrait aussi de veiller aux affichages obligatoires concernant les prix, les tarifs de livraison, les soldes, les promotions et les diverses opérations marketing (concours, newsletter, produits gratuits, etc..).

Par ailleurs, comme la majorité des sites internet, les boutiques en ligne devront en mai 2018 se conformer au Règlement européen sur la protection des données (RGPD). L’expertise d’un professionnel est essentielle pour mettre en conformité une boutique ou plus généralement un site internet récoltant et traitant des données utilisateurs, directement ou indirectement.

Design de la Boutique en ligne

Le design est un autre élément clé dans le succès d’une boutique. Si la première impression donnée aux visiteurs est celle d’un site amateur ou qu’il n’y a pas d’incitation à l’action, il sera impossible de convertir le visiteur en client.

Les boutiques « prêtes à l’emploi » permettent d’installer de nouveaux designs. De nombreux thèmes professionnels existent et sont en vente sur des plateformes spécialisées. Pour moins de 100 euros, un commerçant peut offrir à son e-commerce un thème irréprochable, attrayant, adapté à son activité et compatible avec les dernières exigences des moteurs de recherche en responsivité et temps de chargement.

Les commerçants voulant installer un design totalement personnalisé devront faire appel à une agence ou du moins à un développeur web mais attention au coût du design qui est souvent élevé.

Le design n’est pas seulement du graphisme. C’est aussi l’ergonomie qui poussera l’internaute à acheter ou alors qui le distraira et empêchera la concrétisation d’une vente. L’allure de la page d’accueil, des pages de catégories de produits, le juste milieu entre trop d’infos ou de liens et des pages trop épurées doit être trouvé pour n’importe quelle page d’un site, afin de pousser le client à acheter.

Un œil extérieur est plus à même de trouver la solution, tandis que le propriétaire d’une boutique, naturellement, aura souvent tendance à faire quelque chose qui lui plaît, alors qu’il n’est pas ni prospect ni client.

Expérience client et taux de conversion

L’expérience client et plus particulièrement le taux de conversion sont des facteurs importants. Un ensemble de bonnes pratiques facilitent la navigation et favorisent le passage à l’achat.

La mise en place, par exemple, d’une recherche dite à facettes, c’est-à-dire multi-critères, offre aux visiteurs un accès rapide et ludique aux produits.

La création d’éléments dits de réassurance apporte du crédit à la boutique et par conséquent donne confiance aux visiteurs. L’installation d’un chat ou de blocs indiquant clairement les moyens de paiement, le remboursement garanti ou les délais de livraison augmentent le taux de conversion.

L’optimisation des performances, principalement le temps de chargement, est un élément déterminant dans la réussite d’un e-commerce. Les internautes préfèrent quitter un site plutôt que d’attendre l’affichage des informations. A chaque dixième de temps de chargement correspond le départ d’un visiteur.

Si ces dispositions peuvent être réalisées avec peu de connaissances informatiques par un commerçant, les conseils d’un prestataire peuvent devenir très vite rentables, notamment quand l’hébergement sature ou que le site est relié à des logiciels de logistique, de caisses en magasins réels, ou qu’il existe beaucoup de règles de remises en fonction des clients ou des paniers ou même que l’affichage est adapté à chaque profil d’internaute.

Référencement de la Boutique en ligne et publicité

Le référencement de la boutique dans les moteurs de recherche comme Google et la promotion de votre entreprise sur les réseaux sociaux requièrent de l’expérience. Si un commerçant peut configurer de manière optimale une boutique pour générer du trafic via ces sources, les compétences d’un professionnel peuvent permettre d’optimiser son retour sur investissement.

Dans une grande partie des cas de e-commerces, le référencement naturel ne servira pas seul à faire des ventes. La publicité, sur Google ou Facebook ou d’autres plateformes sera inévitable si l’on veut attirer de nouveaux clients. Comme toutes ces plateformes maximisent leurs revenus au détriment des dépenses des annonceurs, il vaut mieux passer par des professionnels pour optimiser ses dépenses publicitaires.