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Olivier Le Faouder, l’entrepreneur qui s’assure de votre santé partout dans le monde !

Après avoir été entrepreneur en France et en Asie, Olivier Le Faouder a créé il y a quatre ans son comparateur d’assurance santé à échelle mondiale. Portrait d’un dirigeant lancé dans l’aventure entrepreneuriale depuis près de 22 ans.

Quel parcours avez-vous effectué avant de devenir entrepreneur ?

J’ai débuté ma carrière dans l’administration fiscale, ou j’ai passé 5 ans avant de bénéficier d’un détachement à la CNP Assurances. A la suite de cette première expérience dans le monde du privé, j’ai décidé de démissionner de la fonction publique et de monter ma première société de conseil et d’expertise financière et courtage d’assurance en 1995. Je ne souhaitais pas particulièrement m’établir dans ce domaine d’activité mais j’étais sans cesse rattrapé par mon premier métier. De nombreuses entreprises me demandaient constamment des conseils fiscaux et financiers pour les accompagner dans leur projet ! Je me suis donc naturellement retrouvé dans cette filière alors que le monde de l’assurance m’intéressait davantage. Après presque 17 ans dans le conseil dédié aux entreprises, j’ai décidé de faire un break et de partir en Asie. L’idée de créer un comparateur en assurance santé internationale pour expatriés m’est venue à ce moment-là. Des amis et entrepreneurs qui vivaient sur place m’avaient confié les difficultés qu’ils rencontraient dans ce domaine pour choisir le plan santé expatrié représentant le meilleur rapport garantie prix avec des services de proximité dans leur pays d’arrivée. J’ai d’ailleurs été directement concerné par la question après avoir été victime d’un accident sur place, qui m’a conduit à m’y intéresser davantage. J’ai donc effectué une étude de marché et rencontré tous les assureurs qui étaient les acteurs de la santé internationale pour bien appréhender le fonctionnement de l’assistance, de la gestion des remboursements et des services qui pouvaient être offerts aux expatriés. Ce préalable a duré un peu plus d’un an et je me suis ensuite lancé dans l’aventure créant AOC Insurance Broker, un comparateur d’assurances santé internationale, il y a un peu plus de quatre ans.

Pourquoi créer votre boite ? Vocation ou expérience ?

Je n’ai été salarié qu’une seule fois et c’était dans l’administration ! A bientôt 50 ans, j’ai presque 22 ans d’expérience en tant qu’entrepreneur. J’ai toujours dirigé, créé, revendu des entreprises. Mes activités sont toujours restées liées au conseil. Celles-ci s’adressaient à des dirigeants, détaillaient la réalisation de levées de fonds, développement, restructuration avec des plans sociaux, etc… A un moment de ma vie, je voulais revenir dans l’assurance, qui m’avait toujours attiré. Cette niche de marché s’est alors présentée à moi et j’ai sauté le pas.

Pouvez-vous nous rappeler le concept de votre entreprise en quelques mots ?

Nous sommes un comparateur d’assurances dédié aux expatriés. Nous avons développé une plateforme web de comparaison multilingue qui combine toutes les offres santé du marché, en fonction des besoins et des destinations. Cette plateforme définit l’assurance qui convient le mieux aux besoins des expatriés (particuliers/familles/entreprises/organisations internationales) et assure le meilleur rapport garantie / prix. Nos services s’adressent aussi aux entreprises qui gèrent la mobilité internationale de leurs collaborateurs à l’étranger. Pour elles, nous analysons, comparons et créons des plans santé sur-mesure avec des services digitaux liés à la prévention et au bien-être. Nous pouvons gérer un appel d’offre dans son intégralité, de la détermination des besoins à la souscription et en assurer le suivi en tant qu’intermédiaire. Le but consiste à accompagner nos clients dans la durée en intégrant ces derniers au cœur de leur santé. Pour ce faire nous lançons actuellement une application mobile en relation avec notre plateforme de comparaison qui comprend la santé digitale liée à des objets médicaux connectés accompagnée d’un programme de reward (fidélisation / récompense) pour nos clients.
Notre développement nous a valu de recevoir un label du pôle de compétitivité mondial Finance Innovation, en relation avec la French Tech dans la catégorie des « Insurtech » innovantes avec un modèle disruptif.

Quelles grandes difficultés avez-vous rencontré avec cette société ?

Au départ, notre première difficulté consistait à aborder un marché global et international mais aussi un marché de nationalité et d’en comprendre tous les tenants et aboutissants. Personne n’aborde les questions d’assurance santé de la même manière. Un Américain ou un Anglais ne recherchent pas les mêmes garanties qu’un Français à l’étranger, cela repose sur ce qu’ils connaissent dans leur pays d’origine.
Actuellement, notre défi et celui des assureurs santé consiste, à mon sens, à travailler de plus en plus en amont de la chaîne, c’est-à-dire en prévention des risques. Les coûts liés à la santé augmentent partout dans le monde, de même que les primes d’assurances, qui grimpent en moyenne de 9% à 10% par an.

Comment souhaitez-vous évoluer ?

Nous cherchons sans cesse à regarder devant nous et essayons de faire preuve d’innovation mais aussi de réalisme. Depuis sa création, AOC se présente sous une forme 100% digitale. Aujourd’hui, nous allons mettre à disposition notre plateforme au grand public via cette application mobile, des conseils interactifs, un chatbot et de la santé connectée, permettant ainsi au plus grand nombre d’accéder aux meilleures solutions santé internationale et au meilleur prix.

Votre business model a-t-il évolué depuis sa création, avez-vous quelques détails ?

Il a évolué avec les nouvelles technologies et les nouveaux acteurs dans la healthtech. Toutes ces nouveautés vont permettre d’apporter des solutions complémentaires que nous avons intégrées à notre business model. Notre engagement envers nos clients se fait sur le long terme. Notre programme de fidélisation « AOC The Family », leur permet d’accéder à des solutions médicales en ligne avec des objets connectés pour mieux se protéger et prévenir des maladies graves. Notre programme de « reward » invite nos clients à la recommandation et à la fidélisation tout en leur faisant bénéficier des dernières avancées en matière de technologie sur la santé connectée.

Quel est votre chiffre d’affaires ?

Aujourd’hui, notre volume de commission récurrent atteindra environ 600 000 euros en fin d’année. Notre croissance s’élève à 30% en moyenne. Nous pourrions faire plus, sauf qu’il nous faudrait recourir à l’aide de tiers avec des capitaux et surtout partageant une vision commune du marché dans lequel nous nous trouvons. Nous sommes restés concentrés, les premières années, sur une clientèle de particuliers et de petites entreprises, ce qui nous a apporté une certaine stabilité sans aucun financement extérieur. Désormais, notre stratégie et notre modèle éprouvé nous amènent à traiter des entreprises de taille plus importante. Par conséquent, nos revenus devraient augmenter plus rapidement encore, nous amenant à gérer notre croissance organique avec de nouveaux collaborateurs.

Quelle est la plus grande réussite de votre entreprise ?

L’une de nos grandes réussites réside dans le développement de notre plateforme de comparaison multilingue AOC Expatcare ainsi que d’un algorithme puissant permettant de traiter tous les besoins des assurés à l’étranger, quelle que soit leur nationalité.
La reconnaissance de la part de l’ensemble des assureurs dans notre secteur d’activité ainsi que la labellisation par le pôle de compétitivité mondial Finance Innovation, reconnaissant le caractère innovant et disruptif de notre activité, constituent également de très belles réussites !

Prévoyez-vous de vous étendre encore à l’international ?

Nous avons commencé en Asie et sommes depuis toujours présents à Hong Kong avec notre responsable Romain Camillo, en charge du développement de cette zone. Celle-ci demeure une priorité car ce marché s’avère dynamique et l’acquisition de nouveaux clients est importante. Depuis la fin de l’année 2016, Guillaume Fernandes nous représente en Amérique du Sud et nous continuons de nous intéresser aux pays qui représentent un fort développement en assurance santé privée. Nous recherchons des zones à fort potentiel d’expatriés et travaillons notamment beaucoup sur l’Afrique. Ce continent compte énormément d’expatriés et leur nombre est en forte croissance chaque année.

Quel conseil pourriez-vous donner aux entrepreneurs d’aujourd’hui ?

Je dirai qu’il faut faire preuve de pugnacité, de professionnalisme et de patience. J’ai appris la patience en Asie, car la négociation dans les affaires exige cette qualité. Les asiatiques peuvent vous recevoir, vous répondre « oui » mais lorsque vous revenez vers eux ils peuvent avoir changé d’avis et renégocier. Se montrer patient en tant qu’entrepreneur réclame également d’avoir suffisamment de cash pour se donner le temps de faire les choses correctement et de manière professionnelle.

10 conseils pour s’affirmer sur un jeune marché

10 conseils pour, comme les fondateurs de chauffeur-prive.com, naître et s’affirmer sur un jeune marché.

Inspirez-vous d’autres modèles. 

Cela ne veut pas dire copier mais souvent améliorer une solution déjà existante.

Soyez rapide !

La concurrence ne va pas tarder à s’installer, il vous faut toujours un coup d’avance.

Soignez votre business plan,

il vous permettra de convaincre investisseurs, clients et partenaires.

Insistez sur l’innovation technique, 

pour chercher à améliorer votre offre. Les progrès de la technologie vont vous permettre d’innover et de simplifier votre produit, ce qui vous différenciera.

Créez une viralité sur l’accès à votre produit. 

Comme avec le parrainage, il doit être facilement partageable physiquement ou virtuellement.

Songez aux petits coups marketing.

Ils sont tous susceptibles de faire le buzz et contribuent à ériger votre image de marque.

Votre objectif doit être simple : 

simplifier et aider le quotidien des gens.

Pensez à vos limites législatives.

Les différentes lois jugeant la concurrence sont complexes, fondez-vous sur des bases juridiquement saines.

Bouleversez les vieilles institutions de votre secteur, 

pour moderniser la société dans laquelle vous vous inscrivez.

Visez les secteurs qui ne connaissent pas encore la concurrence,

il y est plus facile d’innover et de se faire connaître.

Quels sont les avantages du statut juridique SAS ?

Lorsque vous fondez votre entreprise avec des associés, les premiers choix de statut qui se présentent à vous restent la SAS et la SARL. Parce qu’il n’est pas toujours aisé d’y voir clair, voici un petit guide des avantages à opter pour le statut de SAS (Société par Actions Simplifiée), réputé pour sa grande liberté.

Qu’est-ce qu’une SAS ?

Le statut de SAS (Société par Actions Simplifiée) a vu le jour le 3 janvier 1994. Celui-ci a été créé suite à la demande d’entrepreneurs qui souhaitaient monter des entreprises par actions (SA) sans les lourdeurs administratives traditionnelles. Son objectif consiste à procurer une grande liberté aux associés dans l’organisation de la firme, couplée à une plus grande souplesse au niveau du fonctionnement interne. La SAS se présente sous la forme d’une personne morale, ce qui en fait une structure indépendante de ses fondateurs. L’un des premiers avantages impliqués par ce statut réside dans le patrimoine propre de la SAS : celui-ci n’appartient qu’à la personne morale qu’elle représente et les biens des fondateurs ne craignent rien en cas de problème.

Pourquoi choisir le statut de Société par Actions Simplifiée ?

Une SAS présente de nombreux avantages, en plus de son indépendance vis-à-vis de ses créateurs. La raison principale pour laquelle les entrepreneurs optent pour ce statut demeure la grande souplesse de son fonctionnement. Les associés s’organisent comme ils le désirent et déterminent eux-mêmes un grand nombre de détails. Le montant du capital conserve, lui aussi, une grande marge de variabilité et peut subir une hausse ou une baisse sans nécessité de rassemblement préalable de tous les associés au cours d’une assemblée générale extraordinaire. Ceux-ci gardent également le contrôle sur les entrées et sorties des actionnaires dans le capital grâce à des clauses spécifiques d’incessibilité, d’agrément ou encore de péremption. Les premières interdisent, sous certaines conditions, la vente d’actions ou de parts sociales d’une société. Les clauses d’agrément permettent précisément de contrôler l’entrée d’associés dans le capital d’une société et une clause de préemption confère le droit d’acheter en priorité une ou plusieurs actions dont la cession s’avère envisagée.
Ces aménagements confèrent à la SAS la possibilité de croître très rapidement, en termes de taille comme d’activité.
Du fait de son caractère flexible, créer une SAS avec un capital de départ d’un euro seulement s’avère théoriquement faisable. Il s’agit d’une autre des raisons pour lesquelles les entrepreneurs apprécient ce statut. En plus de cela, les associés jouissent d’une responsabilité limitée qui ne les rend responsables des dettes de la société qu’à hauteur de leur contribution de départ. La définition de la SAS insiste sur la dissociation entre le patrimoine de la société et celui des professionnels, intouchables en cas de saisie. Il existe cependant deux exceptions à cette insaisissabilité : si l’un des associés s’est porté caution pour l’entreprise et que celle-ci fait faillite, il pourrait être forcé de rembourser ces dettes. D’autre part, lorsque le gérant se trouve à l’origine d’une faute de gestion, celui-ci peut s’avérer contraint de verser des indemnités.

Une fiscalité et un statut de président spécifiques

La grande flexibilité de ce statut ne constitue pas son seul point fort. D’un point de vue fiscal, la SAS reste soumise à l’impôt sur les sociétés qui s’étend sur deux paliers. Le premier, fixé aux premiers 38 120 euros de dividendes réalisés, prévoit un taux d’imposition de 15%, prélevés sur les bénéfices. Si ceux-ci se révèlent supérieurs à cette somme, ce taux passe à 33,33%. Pour les entreprises de moins de cinq ans, lorsque 50% du capital s’avèrent détenus par des personnes physiques, dont 34% par le dirigeant et sa famille, la possibilité de passer à l’impôt sur le revenu existe.
Toujours dans le domaine des cotisations et des impôts, le président d’une SAS jouit d’une position particulière. Officiellement, celui-ci se voit considéré comme Assimilé Salarié et demeure inscrit à la Sécurité Sociale. En cas d’échec de la société, il ne perçoit pas d’assurance-chômage, sauf s’il cumule son statut de président avec un contrat de travail. Pour ce faire, trois conditions restent à remplir : les rôles et fonctions en tant que salarié et dirigeant doivent d’abord être clairement distinctes. Un lien de subordination entre elles doit exister et les fonctions d’employé et de dirigeant devront être rémunérées séparément.

Quels pouvoirs pour le dirigeant d’une SAS ?

En plus de ces avantages en termes d’assurance, le dirigeant de ce type de sociétés garde plusieurs responsabilités. Ce dernier peut diriger totalement l’entreprise, traiter avec des tiers en son nom et l’administrer en même temps qu’il la gouverne. Il garde aussi la possibilité d’engager contractuellement la firme avec des tiers. Le président d’une SAS engage également sa responsabilité civile, pénale et fiscale dans l’exercice de ses fonctions, comme tout dirigeant d’entreprise.

L’organisation interne d’une Société par Actions Simplifiée

Une SAS se constitue avec un associé minimum. Dans ce cas précis, il s’agit d’une SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle, ndlr), sans limite de nombre. Ces associés créent le capital social avec des apports en nature ou en espèces et reçoivent des parts sociales en échange. Ils définissent à leur guise les statuts et fonctions de chacun à l’intérieur de l’entreprise. Ils gèrent également les entrées et sorties des actionnaires dans le capital social grâce à des clauses relatives à la cession des parts sociales (clauses d’agrément, de préemption, d’exclusion…). Les fondateurs de ce type d’entreprise conservent donc une grande liberté dans leurs mouvements tout en restants maîtres de leur société. La seule obligation légale consiste à nommer un président pour représenter la firme devant la loi.

Crowdfunding, crowdlending, crowd-equity : comment s’y retrouver ?

Ces termes très en vogue n’ont pas pu vous échapper. Le financement participatif connaît un véritable engouement chez les porteurs de projet depuis quelques années, mais que savez-vous réellement des variantes de ce mode d’investissement ? Voici un petit guide des spécificités du crowdfunding, du crowdlending et du crowd-equity.

Le financement participatif : toute une histoire !

Apparue au XVIIIèmesiècle, la pratique qui consiste à demander de l’aide aux populations pour financer un projet ne date pas d’hier ! Lorsque les banques refusent un prêt aux porteurs de projet, ceux-ci se tournent alors vers le public. A cette époque, cela se faisait au cours de grandes manifestations dans lesquelles les entrepreneurs hélaient la foule pour convaincre d’éventuels investisseurs. De nos jours, le financement participatif s’opère sur internet. Les créateurs exposent leurs idées sur une plateforme et les visiteurs intéressés peuvent y contribuer en leur versant un montant de leur choix. Il s’agit du crowdfunding, littéralement « financement de foule ». Il en existe cependant quelques variantes, telles que le prêt participatif, aussi appelé crowdlending ou le financement permettant de devenir actionnaire, crowd-equity. Commençons par le plus basique, le crowdfunding.

Le crowdfunding : un financement communautaire par le don

Le financement participatif, ou crowdfunding, reste un moyen fiable de financer un concept. Cette pratique, qui a fait ses preuves, consiste à recueillir des fonds sous forme de dons. Ceux-ci sont versés par des tiers, particuliers ou professionnels, qui s’engagent à contribuer à un projet à hauteur d’un montant qu’ils déterminent eux-mêmes. Aussi dénommé financement communautaire, le crowdfunding s’effectue aujourd’hui sur des plateformes en ligne telles qu’Ulule ou KissKissBankBank. Les visiteurs séduits par une proposition restent libres de donner et reçoivent parfois des cadeaux en échange, tels que des goodies ou des remerciements personnalisés. De nombreux projets dans tous les domaines optent pour cette méthode pour financer tout ou partie de leurs besoins. A titre d’exemple, beaucoup d’associations s’en servent pour mener à bien certaines initiatives. Dans ce cas précis, ces établissements comptent sur la générosité de publics défenseurs de leur cause. Pour les entreprises souhaitant adopter un fonctionnement similaire, le prêt participatif peut aussi constituer une option adéquate.

Emprunter aux particuliers pour se développer : le crowdlending

Les sociétés déjà installées peuvent employer une technique similaire : le crowdlending. Signifiant littéralement « prêt participatif », ce mode de financement se présente sous la même forme que le crowdfunding, c’est-à-dire sur une plateforme en ligne. Il consiste, en revanche, à demander un prêt et non un don, à des particuliers qui recevront des bénéfices en échange de leur investissement. Le crowdlending semble mieux adapté aux entreprises et permet d’emprunter à des personnes intéressées plutôt qu’à une banque. Des bénéfices restent à verser aux prêteurs dans les deux cas mais la solution communautaire paraît souvent plus humaine et personnalisée. Le prêt participatif se déroule sur la toile, au travers de plateformes comme Bolden ou Unilend. Ces serveurs présentent les différents projets auxquels les investisseurs accordent une somme de leur choix. Les demandeurs proposent également un taux d’intérêt afin de permettre aux à ceux qui souhaitent financer d’estimer le montant de leurs gains plus facilement. Les TPE/PME réalisant déjà un bon chiffre d’affaires raffolent de cette pratique, qui leur confère la possibilité de se financer rapidement auprès d’investisseurs impliqués.

Le crowd-equity pour attribuer des actions aux investisseurs en ligne

Ce mode de financement attribue directement des parts d’une société à ses investisseurs. Idéal pour les start-up en gestation, le crowd-equity, ou crowdfunding en capital, confère à l’internaute des actions dans la société qu’il finance. Egalement présenté sous la forme d’une plateforme participative, le crowd-equity représente un moyen de lever des fonds rapidement pour mettre au point un nouveau produit, service ou encore recruter du personnel. Le financement avec participation s’adresse aux jeunes pousses souhaitant toucher des investisseurs potentiels, de futurs clients ou même des groupes d’intérêts prêts à assumer un risque financier. La rétribution des donateurs-actionnaires ne rapporte que si la société rencontre le succès ! Les plus célèbres plateformes de crowdfunding en capital demeurent Wiseed, Anaxago, SmartAngels et Sowefund. Ces dispositifs offrent la possibilité aux investisseurs de prendre part eux-mêmes à l’entreprise : en acquérant une action, ils gagnent également une voix de participation.

Le financement participatif, réellement bénéfique aux entreprises ?

Ces trois modes de financement participatif rencontrent un succès grandissant. Véritable alternative au prêt bancaire, ils offrent une plus grande liberté aux investisseurs comme aux entreprises. Les sites comme MyMajorCompany (célèbre plateforme de crowdfunding, ndlr) existent parfois depuis une dizaine d’années mais cartonnent depuis moins longtemps. Ce mode de financement entre petit à petit dans les mœurs : fin 2015, plus de 2 300 000 Français auraient déjà participé au moins une fois sur l’une de ces plateformes. Le montant des fonds collectés ne cesse d’augmenter. Entre 2014 et 2015, il a littéralement doublé pour passer de 152 millions d’euros à 296,8 millions d’euros.
Si les associations recourent de plus en plus au financement participatif, qui leur réussit, les entreprises semblent aussi tirer leur épingle du jeu. 94% des demandes de prêts et 99% des demandes d’investissement provenaient de firmes en 2015. Le taux de réussite se révèle très encourageant : 60% des dons avec contreparties se révèlent gagnants contre 90% dans les autres familles réunies.

Quand entreprendre rime avec participation à la société

Interview de Kalima LYCAKIS, fondatrice de Buyer Consulting & Business. Une entrepreneure pour qui créer son entreprise et la développer signifient participer de manière active et pragmatique à la société.

Quel est votre parcours avant la création de votre entreprise ?

Après des études techniques, j’ai occupé des postes de collaboratrice projet dans de grands groupes industriels et c’est ainsi que j’ai découvert le domaine des achats.

Acheteur leader puis Responsable des achats dans les secteurs de l’énergie (AREVA) et bancaire (RCI Banque), j’ai complété mes connaissances à Kedge Business School en obtenant le Master 2 « Management des Achats Internationaux & Innovation ».

Quand avez-vous créé votre propre entreprise ?

Buyer Consulting & Business, société spécialisée dans le conseil en achat (industrie, Banque, Assurance) pour les TPE et PME, a été créée en mars 2016. J’ai créé Buyer Consulting & Business pour permettre aux entreprises de réaliser des gains sans avoir nécessairement une fonction achat présente dans leur entreprise. Cela permet à l’entreprise de se recentrer sur son cœur de métier.

Pouvez-vous me donner les chiffres de votre entreprise (date de création, nombre de salariés, chiffre d’affaires…) ?

La création de Buyer Consulting & Business étant récente, son activité se développe principalement avec des partenaires.

Que représente l’entrepreneuriat pour vous ?

L’entrepreneuriat est, pour moi, la liberté d’entreprendre et la mise en pratique de ses propres idées. C’est également une excellente manière de progresser car l’entrepreneur se remet en cause très souvent et recherche des solutions innovantes pour faire évoluer son business.

Quelles ont été les principales difficultés rencontrées ? Et inversement, les principales satisfactions ?

La principale difficulté d’un entrepreneur est la solitude. Il est donc important qu’il participe a des réseaux d’affaires comme le Club Dynamique.

Les satisfactions sont multiples :

– décider et mettre en œuvre sa propre stratégie.

– le pouvoir de tout changer.

– avoir une grande liberté d’action.

– apprendre chaque jour.

Comment vous êtes-vous financé ?

Buyer Consulting & business est spécialisée dans les services donc aucun financement n’était nécessaire.

Comment conciliez-vous vie professionnelle et vie personnelle ?

J’ai un emploi du temps précis et chaque tâche est bien séparée. L’une n’empiète pas sur l’autre.

Avez-vous une anecdote à partager ?

Passionnée d’aviation, je dirais que « diriger une entreprise c’est comme piloter un avion ». Il est indispensable d’avoir un objectif et savoir s’adapter aux conditions extérieures.

Quel conseil donneriez-vous à un entrepreneur qui se lance pour réussir ?

Pour créer sa société, il est indispensable d’être dans un état d’esprit positif. Il faut être inspiré, créatif et passionné. Il faut également être très organisé.

Quelles sont les perspectives d’avenir pour votre entreprise ? Pensez-vous vous développer à l’international ? Pensez-vous à effectuer des levées de fonds ?

Buyer Consulting & Business a pour ambition de se développer à l’international dans les cinq années à venir.

Aujourd’hui, comment faites-vous pour développer votre réseau ?

Je développe mon activité à l’aide des réseaux sociaux comme LinkedIn et Facebook. Je participe également à des déjeuners d’affaires et forums d’un certain nombre de clubs de dirigeants d’entreprise.

Steve Jobs n’est pas la seule référence…

Steve Jobs est devenu LA référence parmi les entrepreneurs de notre décennie. Pourtant ce n’est pas le seul à avoir marqué l’Histoire de son empreinte. Si notre siècle va très certainement être le plus impacté en termes d’innovations, les 5 entrepreneurs ci-dessous n’y seront certainement pas étrangers…

Larry Page et Sergueï Brin

Les deux créateurs de Google ont eux aussi révolutionné à leur manière notre quotidien sur internet. Depuis le 20 septembre 2011, Google est devenu l’un des moteurs de recherches les plus utilisé dans le monde et ne cesse de prendre de l’ampleur depuis l’extension de ses activités. Preuve de son hégémonie : en 2013, une panne du site de 5 minutes avait eu pour conséquence une chute de 40 % du trafic internet mondial ! Aujourd’hui, les recherches Google en quelques chiffres, c’est 30 000 milliards de pages indexées, 20 milliards de sites visités par Google chaque jour, 3,3 milliards de requêtes effectuées chaque jour, soit environ 100 milliards par mois, et 15 % des requêtes qui sont de nouvelles requêtes, soit 500 millions par jour.

Mark Zuckerberg

Créé depuis 2006, Facebook est devenu le réseau social n°1 dans 128 pays sur 137 étudiés en 2014, ce qui fait de son créateur âgé de 23 ans le plus jeune milliardaire de la planète. Facebook a véritablement changé notre mode de vie et a bouleversé notre façon de communiquer. En juillet 2015, le site regroupait 1,49 milliard d’utilisateurs actifs mensuels. La clé de son succès ? Il a toujours possédé une longueur d’avance sur tous les réseaux sociaux, joue constamment sur la curiosité des gens et permet à chacun de se mettre en scène et de garder le contact avec ses amis à travers le monde. En 2010, le fondateur de Facebook a été désigné « Personnalité de l’année » par le magazine Time. Le deuxième sur la liste n’était autre que… Steve Jobs !

Elon Musk

Entrepreneur de génie qui ne cesse de diversifier ses projets innovants (aérospatial, paiement en ligne, construction automobile), Elon Musk est l’un des visages entrepreneuriaux du 21e siècle. Fondateur de SpaceX en 2002, qui est à l’origine de la fusée Falcon 9 qui connaîtra un important succès en 2010, il se lance en 2004 dans la construction automobile électrique haut de gamme en devenant dirigeant de la société Tesla Motors. Vers la fin des années 1990, il profite de la sphère internet en créant notamment le service de paiement en ligne Paypal, qu’il revend à eBay en octobre 2002 pour 1,5 milliard de dollars. En septembre 2012, l’entrepreneur présente un projet de recherche : Hyperloop. La fortune de l’entrepreneur est estimée à 13 milliards de dollars.

Travis Kalanick

En 2009, cet entrepreneur américain a fondé l’application Uber, qui met en relation les passagers avec des conducteurs de véhicules de location et permet un service de transport en temps réel. Présent dans une centaine de villes à travers le monde, l’application a révolutionné notre manière d’utiliser les transports. L’entreprise fait d’ailleurs face à de très vives critiques dans plusieurs villes du monde, dont Paris, où les taxis ont fortement manifesté fin juin. Depuis sa dernière levée de fonds, la start-up est valorisée à 41 milliards de dollars. Quant à Travis Kalanick lui-même, il est entré l’an passé dans le classement Forbes des 400 américains les plus riches. Sa fortune est estimée à 5,3 milliards de dollars.

Brian Chesky

Fondateur en 2008 de la célèbre plateforme de couchsurfing AirBnb, Brian Chesky fait partie des entrepreneurs qui ont considérablement révolutionné nos modes de vie. Ce site communautaire met en relation des personnes qui ont un logement disponible avec d’autres qui recherchent un endroit où dormir. Le principe est simple, et fait des émules : l’application prévoit 10 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2020 ! Airbnb est devenue le symbole de l’économie du partage. L’application offre désormais plus de 1 500 000 logements dans plus de 190 pays différents. En 2014, l’entreprise était valorisée à 10 milliards de dollars. Et ses fondateurs sont aujourd’hui milliardaires !

Start-up française à vendre !

Peut-être l’avez-vous remarqué, les start-up françaises présentent une certaine tendance à se vendre au plus offrant. Alors que dans d’autres pays, cette pratique semble rejetée, la France voit ses lucioles partir à l’étranger pour ne jamais en revenir. Pourquoi les Français vendent-ils si facilement aux étrangers ?

La France, cette fabrique à start-up

Environ 10 000 jeunes pousses ont vu le jour dans l’Hexagone au cours des cinq dernières années. Le pays serait donc une véritable usine à start-up qui sait encourager les entrepreneurs. Avec de grandes écoles, telles que Polytechnique, qui mettent des aides à disposition des projets innovants et des fonds d’investissements aux capacités immenses, la France présente plusieurs arguments affûtés pour convaincre les startuppers de se lancer. Les sources de financement s’avèrent, en effet, nombreuses pour les entrepreneurs du pays : le crowdfunding, les business angels, ainsi que des structures comme Bpifrance, qui comptent d’importantes réserves financières dédiées aux jeunes projets. Beaucoup de grands groupes se chargent aussi d’encourager les start-up, de peur de devenir obsolètes face aux nouvelles technologies disruptives. Ces grandes firmes développent de plus en plus de programmes d’accompagnement destinés aux lucioles. Ces contrats leur permettent également de construire des partenariats avec ces dernières afin de rester « dans le coup ».

L’enthousiasme de la France pour les nouvelles technologies contribue aussi fortement à cette intense apparition de start-up. Les secteurs de la medtech, secteur des technologies médicales, fintech, concernant celui de la finance, greentech, technologies en matière d’environnement ou encore de la biotech, domaine des biotechnologies, connaissent une grande croissance dans le pays. Pour aider les entreprises naissantes à se développer jusqu’au bout, les villes et communautés mettent en place des dispositifs particuliers comme des espaces de coworking, des fablabs (lieux ouverts au public mettant à disposition de chacun plusieurs ordinateurs et machines, ndlr), des accélérateurs ou des incubateurs.

L’Hexagone comme piste de lancement des start-up… vers d’autres horizons

Malgré tous ces efforts déployés pour accueillir les start-up, on observe un phénomène récurrent. Les plus brillantes d’entre elles persistent à se vendre à l’étranger. Les lucioles françaises les plus prometteuses tombent toutes aux mains de groupes internationaux, les unes après les autres. L’une des explications réside dans le manque de moyens mis à disposition des jeunes pousses une fois leur installation terminée. D’après Bertin Nahum, fondateur de MedTech, une société de robotique chirurgicale rachetée par l’américain Zimmer Biomet, ces firmes ne bénéficient pas d’un suivi adapté. Elles ne trouvent, en France, ni les analystes spécialisés, ni les grands fonds d’investissements, ni les grands partenaires industriels dont elles auraient besoin pour attaquer les importants marchés internationaux tout en restant indépendantes. S’exporter outre-Atlantique déboucherait aussi sur une valorisation, pour une jeune start-up française, cinq à dix fois supérieure à celle d’une entreprise américaine. Une démarche qui plutôt alléchante ! L’Hexagone constituerait ainsi une parfaite piste de lancement mais ne donnerait pas les moyens de décoller…

Ces jeunes pousses à succès revendues à des étrangers

Tous les secteurs sont touchés par ce phénomène et de nombreux exemples l’illustrent. Le site de rencontres Meetic appartient désormais à l’américain Match.com, le site de petites annonces PriceMinister s’est vu racheté par le japonais Rakuten et l’Allemand Axel Springer a acquis les sites d’immobilier et de presse féminine Seloger et Auféminin. D’un autre côté, Leboncoin.fr, leader français des petites annonces a été cédé au norvégien Shibsted, tandis que le site de marketing Neolane fait aujourd’hui partie du géant américain Adobe. Captain Train, le vendeur de tickets en ligne a été repris par son concurrent Britannique Trainline. Les start-up des nouvelles technologies se voient également rachetées : Aldebaran, inventeur des robots humanoïdes Pepper et Nao, appartient maintenant au japonais Softbank. Quant à Withings, précurseur tricolore des objets connectés, il fait désormais partie du groupe norvégien Nokia.

Pour d’autres exemples de start-up française en voici une liste exhaustive : Allo Resto rachetée par Just Eat, Sticky ads TV rachetée par Comcast, Teads rachetée par Altice, Zeensoon (devenue Treatwell) rachetée par Wahanda. Et on pourrait encore en citer !

Le cas de l’Allemagne : un contre-exemple

Nos voisins allemands se trouvent dans la situation opposée. Les start-up de ce pays ne cèdent pratiquement pas aux étrangers et ce, pour une bonne raison : elles comptent sur eux pour venir entreprendre dans leur pays ! Les Allemands n’auraient pas spécialement la fibre entrepreneuriale et la majorité des jeunes pousses nées outre-Rhin seraient en réalité fondées par des personnes venues d’autres nations. Une stratégie qui semble fonctionner car, en 2015, on recensait 44% des entreprises allemandes créées par des étrangers. Cela représente près d’un tiers des entrepreneurs sur le sol allemand. Si celui-ci reste une terre d’accueil, l’activité entrepreneuriale y resterait assez peu développée. La mentalité locale ne se porte tout simplement pas sur cette voie professionnelle et beaucoup d’immigrés monteraient leur affaire faute d’autres options professionnelles satisfaisantes.

Quelques business insolites interdits en France

La manie des start-up françaises reste de se vendre au plus offrant, ce qui déplaît beaucoup à certains. La réglementation en vigueur freine, voire interdit, tout de même certains domaines dans lesquels d’autres start-up cartonnent à travers le monde. A titre d’exemple, la WeedTech, technologie dédiée au cannabis, demeure prohibée dans l’Hexagone. Légale dans 25 Etats des États-Unis, cette herbe représente le nouvel or vert de nombreuses jeunes pousses américaines. Ce marché constitue l’un des plus rentables outre-Atlantique et serait estimé à 22 milliards de dollars en 2020. Autre filière interdite en France : la conservation de cordons ombilicaux… Business en pleine expansion en Belgique, cette activité reste maintenue hors de nos frontières.

5 bonnes raisons de communiquer autrement grâce aux papiers de création

Le papier est le support de référence du marketing direct, mais c’est aussi un support de communication qui doit sans cesse se transformer afin de s’adapter au marché. Découvrez donc les 5 bonnes raisons d’utiliser nos papiers de création pour faire évoluer votre communication !

Innover grâce à la rareté

Soyez novateurs sans nécessairement surfer sur l’ère du digital ! Vous pouvez tout aussi bien innover en proposant à vos clients une expérience sensorielle notamment grâce à la texture et/ou au grammage d’un papier. Cette nouvelle collection est un excellent support pour présenter des visuels uniques. Surprenez votre client en lui présentant par exemple les papiers de notre gamme Conqueror. Cet éventail de papiers de couleur blanche est composé de textures aux touchers différents peu ordinaires dans le milieu de l’impression. Vous pourrez alors imprimer sur un papier rives shetland si vous souhaitez apporter un toucher brut à votre création, ou encore un papier rives dot si vous êtes désireux de véhiculer une image originale.

Se différencier de la concurrence

A l’ère du digital, les annonceurs qui souhaitent se distinguer se servent souvent du papier pour communiquer sur leur image. La créativité dans l’innovation est aujourd’hui LA qualité nécessaire pour vous démarquer et contribuer à la réussite de votre produit. Vous améliorerez votre productivité, votre croissance et de ce fait votre rentabilité. Les papiers de création ont justement été pensés pour vous permettre d’être encore plus inventif et créatif. Jouez sur les couleurs, les nuances ou les textures pour sublimer vos idées et sortir du lot.

Créer un lien privilégié grâce à la personnalisation

Sortir du lot c’est bien, rester dans les mémoires c’est mieux ! Depuis 5 ans, le numérique est monté en puissance et a pris le pas sur l’offset. Fini la distribution de masse, bienvenue à la personnalisation ! Segmenter, cibler, marketing direct… L’analyse des données/le big data a fait évoluer le marketing, la communication et la stratégie Print avec. On imprime en moins grande quantité, mais on propose une impression qualitative grâce à des produits sortant de l’ordinaire. Votre communication ciblée et personnalisée grâce son visuel, alliée avec un message créatif, va donc créer un lien privilégié avec votre interlocuteur. Il est devenu facile de personnaliser une série d’impression. La création avec un simple Excel des noms ou image, texte ou code barre à personnaliser : les machines numériques sont désormais capables de faire de la donnée variable. Alors profitez-en !

Aspect haut-de-gamme

Vous souhaitez refléter une image de luxe ? Misez sur la couleur mais aussi et surtout à son éclat. Tout comme les finitions couché mat ou vernis sélectif, la plupart des papiers de création apporteront à vos visuels l’effet recherché. Les tendances luxe pour le 3e millénaire vont vers des papiers « lumière » dotés de textures avec des effets brillants, métallisés ou nacrés qui la capte et l’intensifie. La gamme Curious metallics vous propose par exemple des nuances métallisées et irisées qui apportent brillance et luminosité. Associez par exemple votre papier avec une typo de couleur noire ou bleue foncée pour un rendu encore plus élégant.

Leur prix abordable

Envie de vous démarquer tout en ayant un petit budget ? Privilégiez tout d’abord les formats classiques ! Concernant les papiers, la gamme POP SET ci-dessous est constituée des papiers les moins chers. Pour 50 exemplaires d’un flyer ou une carte de visite classique avec les papiers ivoire ou citron, vous dépenserez seulement une quarantaine d’euros et éviterez de vous ruiner. Sachez qu’il ne coûte pas forcément plus cher de choisir un papier de création et d’imprimer en une seule couleur, plutôt que de choisir un papier couché mat avec une illustration en quadrichromie et un passage de vernis.

En 2016, PrintShot.fr a lancé sa gamme de papiers texturés pour proposer à tous ses clients d’exprimer encore plus leur créativité. Fort de ce succès ils ont décidé, à l’approche de l’été, de vous présenter notre nouvelle collection de papier : les papiers de création. 21 nouveaux papiers avec des textures, nuances et couleurs différentes pour vous offrir un large choix d’impression et de personnalisation. Ces papiers vous ont intéressé ?

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L’évolution des banques 100% en ligne pour les particuliers

L’ouverture d’un compte constitue un passage obligatoire pour tous les particuliers. Ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers des banques en ligne. Modernes, pratiques, disponibles partout et tout le temps, ces plateformes présentent plusieurs avantages qui séduisent les particuliers. 

Les avantages de la banque en ligne

De nombreux particuliers décident d’ouvrir leur compte dans une banque en ligne. Ce système permet, sur le long terme, d’économiser du temps et de l’argent. Finis les temps d’attente interminables au téléphone, les banques en ligne proposent des conseillers joignables à tout moment, par téléphone mais aussi par internet, vidéo… Plus besoin de vous déplacer en agence, vos téléphones, tablettes ou ordinateurs suffisent pour poser rapidement une question à un spécialiste. Sur le plan financier, les banques en ligne délivrent généralement des services gratuits comme la carte bancaire ou la gestion des comptes en ligne. Disponibilité, économies, des mots qui font évidemment écho chez de nombreux particuliers (notamment chez les jeunes) pleins de rêves mais aux poches vides. Ceci dit, les formules tout en ligne présentent quelques inconvénients dont il convient d’être averti.

Limites des banques 100% en ligne

Les banques tout en ligne attirent de par leurs tarifs compétitifs et leur disponibilité mais compliquent aussi certains aspects pratiques. Pour commencer, où déposer des chèques et retirer du liquide ? Ces actions naturelles se révèlent beaucoup plus difficiles à effectuer alors qu’elles restent indispensables. Bien qu’il suffise d’envoyer ses chèques au siège de la banque en question, le délai d’encaissement se voit évidemment rallongé. Le retrait et le dépôt d’argent liquide se font quasi quotidiennement mais dans un service tout en ligne sans agence fixe, ils se révèlent plus compliqués. La majorité de ces établissements permettent à leurs clients de retirer du liquide à n’importe quel distributeur, mais d’autres peuvent prendre une petite commission à partir d’un certain nombre de retraits. La perte de contact humain rebute également de nombreux candidats. Le besoin de trouver une personne réelle en face de soi demeure très présent, encore plus lorsqu’il s’agit d’argent. Dernier point critique : les crédits, difficilement accordés par les banques en lignes. Dans un tel contexte, mieux vaut sans doute se tourner vers des solutions alternatives, proposées notamment par plusieurs agences traditionnelles.

Des solutions alternatives en ligne en agences traditionnelles

Des banques telles que HSBC ou la Bred proposent des comptes exclusivement en ligne. Souvent destinés davantage aux particuliers, ces programmes relient tout de même leurs utilisateurs à des conseillers en agence. D’autres établissements comme le Crédit Agricole Normandie mettent au point des services de comptes en lignes adaptables à tous les profils de clients. Cette banque vient de lancer son offre « Devenir client », qui propose aux particuliers d’ouvrir un compte en ligne gratuitement et rapidement. Recommandé par la certification AFNOR, le site de cette institution dispense plusieurs services : une application pour gérer ses comptes à distance, la possibilité de signer électroniquement des documents en agence et même des aménagements spéciaux pour les personnes mal voyantes et handicapées. Cette offre, qui s’adresse à tout le monde, propose la création d’un compte en ligne et un accompagnement : elle est disponible pour l’agence en ligne Normandie Direct comme dans l’une des 180 agences présentes sur le territoire. L’utilisateur devra d’ailleurs en choisir une en guise de référence lors de son inscription.

Start-up : une génération qui vise l’international

Les jeunes pousses ne tiennent pas en place ! On observe, depuis quelque temps, que la majorité des levées de fonds effectuées par ces dernières sont consacrées à leur implantation à l’international. La nouvelle génération de start-up semble partie à la conquête du monde et rien ne paraît l’arrêter. Les détails.

Les start-up : les enfants polymorphes d’un monde multipolaire

Les jeunes bacheliers l’ont étudié au cours de leurs révisions : le monde actuel présente une forme multipolaire. Tous les cerveaux ne se concentrent plus uniquement dans la Silicon Valley, bien que la fascination historique des entrepreneurs pour cette région reste très présente. Les États-Unis ne constituent plus l’épicentre de l’innovation technologique mondiale. Ce pays reste l’une des destinations favorites des entrepreneurs, mais ceux-ci ne cherchent pas davantage à s’y exporter qu’à y implanter une filiale. L’Europe et l’Asie représentent aussi de formidables opportunités de développement pour de jeunes entreprises. Les start-up prennent ainsi la forme de sociétés polymorphes : leur siège se situe à un endroit du globe et compte une ou plusieurs ramifications à l’étranger. Le monde actuel offre des opportunités de transport et de connexions inouïes et les jeunes l’ont bien compris.

Une génération ultra connectée prête à se déplacer

Les entrepreneurs d’aujourd’hui, baignés dans les nouvelles technologies depuis leur plus tendre enfance, craignent moins que leurs prédécesseurs d’avoir à gérer un site à distance. Les moyens de communication modernes prennent des formes diverses et s’immiscent partout. Les réseaux sociaux permettent de se tenir informés, de communiquer, les messageries électroniques possèdent des fonctionnalités d’appels via internet… Tous ces services demeurent accessibles depuis un Smartphone, une tablette, voire une montre connectée, à tout moment de la journée. Il s’avère très simple, de nos jours, de dialoguer quotidiennement avec une personne située à l’autre bout de la Planète. Les précédentes générations d’entrepreneurs s’adaptent plus ou moins bien à ces nouveaux modes de communication, tandis que les jeunes ont très tôt pris l’habitude de les utiliser. Ceux-ci perçoivent de moins en moins les limites géographiques et cette vision du monde les encourage davantage à créer des filiales à travers le monde.

Des business model adaptables

La mentalité connectée des jeunes générations les conduit à penser leur développement à l’échelle internationale. Ils adaptent ainsi leurs business model à une expansion à l’étranger. Dès la création de leur société, ils imaginent un concept reproductible, scalable ou encore un fonctionnement gérable à distance. Beaucoup optent pour un modèle reproductible ailleurs, qui leur permet de développer leur firme quasi à l’identique dans un autre pays, tout en centralisant un certain nombre d’informations. D’autres choisissent d’ouvrir des filiales commerciales à l’international afin de vendre leurs produits partout à travers le monde. De nombreuses start-up lèvent d’ailleurs des fonds afin de créer une filiale à l’étranger.

Les start-up françaises à l’étranger en chiffres

Les lucioles de l’Hexagone rencontrent un franc succès dans leur expansion à l’international. Une récente étude menée par le cabinet Pramex International et Banque Populaire met en lumière le fait que près de la moitié (48,7%) des 1919 start-up analysées possède une implantation à l’étranger. Tous les secteurs sont touchés : les plus enclins à cette pratique s’inscrivent dans le domaine du web. 33,8% des sociétés spécialisées dans l’Adtech et le Martech (industries de la publicité et du marketing) présentent une filiale internationale. Les loisirs, les services B2B ou encore la Fintech ne sont pas en reste et partent également à la conquête du monde. Si la dimension « ultra connectée » compte pour beaucoup dans la décision de s’étendre dans un autre pays, la réalité en France contribue aussi à faire fuir certains entrepreneurs…

Des freins à l’entrepreneuriat en France

L’Hexagone constitue, théoriquement, une destination de rêve pour lancer une start-up. Des financements surabondants, des dispositifs comme JEI (statut de Jeune Entreprise Innovante, ndlr) ou CIR (Crédit d’Impôt de Recherche) pour réduire les impôts et cotisations des sociétés, semblent idéaux. La réalité se révèle pourtant plus complexe, notamment à cause du très lourd système administratif français. Monter et gérer un dossier JEI ou CIR s’avère très chronophage. Un autre problème très prégnant en France réside dans le manque de communication entre petites et grandes entreprises. Certains grands groupes soutiennent des jeunes pousses mais cette pratique reste très rare. La majorité des grands groupes ne s’intéressent aux PME et start-up que pour les racheter, ce qui ne contribue pas à instaurer une réelle harmonie. Ces facteurs participent à l’implantation de certaines entreprises dans d’autres contrées.

Les destinations préférées des start-up françaises

Les entreprises qui choisissent d’ouvrir une filiale à l’international ne le font pas n’importe où. L’Union européenne représente la première destination des start-up françaises, suivie par les États-Unis et d’autres régions très portées sur l’innovation technologique comme Singapour. L’étude menée par Pramex International et Banque Populaire indique que plus de 70% des branches d’entreprises de l’Hexagone se concentrent au sein de quinze grandes villes à travers le globe. Londres reste le premier choix des lucioles, suivie de New York, puis Montréal, San Francisco et Barcelone.