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Diversifier son activité

Les entreprises sont pléthores à avoir diversifier leur activité pour des raisons fort diverses. Qu’elle soit à l’origine due à la vision stratégique que le produit ou le service deviendra obsolète, qu’elle soit due à une évolution du marché qui par exemple passe du marché national à un marché international, qu’elle soit due à de nouvelle tendances de consommer, qu’elle soit guidée par des demandes de clients dont on a acquis la confiance…La diversification d’une activité est une stratégie dont il faut bien mesurer les conséquences.

Une des solutions pour faire évoluer son entreprise consiste à diversifier son activité. Le géant Samsung s’avère être une bonne illustration de la diversification des activités. Si à l’origine le groupe Sud-Coréen évoluait dans l’exportation du poisson séché, des légumes et des fruits, il se positionne aujourd’hui comme l’un des principaux chaebols coréens mais aussi comme un sérieux concurrent du géant Apple. De même dans l’hexagone que ce soit les maisons de Haute couture, les sociétés d’articles ménagers, les sociétés liées à la Hight tech et bien d’autres encore dont on peut constater la diversification est en général porteuse de développement.  Alors, comment faire pour diversifier son activité ?

Se diversifier avec de bonnes bases.

Avant de vous lancer dans la diversification, un grand préalable reste à respecter. Une entreprise qui marche respecte toujours la vision originelle et ses valeurs afin de rester cohérente. Selon Frédéric Mazzella, cofondateur de BlaBlaCar, il faut garder la même culture d’entreprise, les mêmes valeurs et une bonne proximité entre les salariés et le produit proposé. On considère souvent que la diversification doit prendre en compte les valeurs de l’entreprise car ces dernières montrent la direction où l’entreprise peut aller et ne doit pas aller. Autrement dit, se diversifier ne signifie pas occulter totalement son activité principale et ce qui forme l’essence même de votre entreprise mais plutôt, la complémentariser pour la rendre plus forte.

Étoffer votre offre sur votre portefeuille client

La diversification reste souvent liée au portefeuille client. Une fois que votre cible est captive et la confiance établie, vous pouvez lui proposer un nouveau produit qu’elle serait plus encline à acheter que si elle ne vous connaissait pas. Ayant créé une certaine relation de proximité avec votre clientèle, vous pouvez plus facilement déterminer ses besoins par le biais d’une enquête, par exemple. Il peut s’agir d’un produit ou service amélioré par rapport à celui que vous proposez actuellement ou d’un besoin bien différent qui s’adresse à la même cible. Ainsi, si vous avez créé une relation forte avec une cible qui aime le low-cost et qu’ils ont adopté votre premier produit, vous pouvez leur proposer un produit qui réponde à ce même besoin. Un produit d’une qualité plus élevée qui ne s’adresse qu’à une partie de votre cible habituelle.

Viser un public différent

On y pense, en principe, moins souvent car il ne s’agit pas de la cible principale. Il arrive pourtant assez fréquemment que vous accumuliez des données sur des prospects qui ne souhaitent pas utiliser votre produit ou service initial car il s’avère inadapté à leurs besoins. Une certaine partie de votre fichier peut se révéler sous-exploitée voire totalement inexploitée.

Ainsi, si vous visez le haut de gamme, il se peut que vous ayez accumulé des données sur des consommateurs qui cherchent du milieu de gamme et qui n’ont pas les moyens de s’offrir votre produit. Il serait dommage de ne pas profiter d’une telle source potentielle de profits alors qu’elle se trouve déjà dans votre base de données. La matière est là, vous connaissez les besoins de la majorité de ces prospects. Il ne vous reste alors plus qu’à les transformer en clients. Un pari risqué car l’enjeu est de démontrer que votre marque, positionnée sur un segment différent, demeure tout aussi viable et sérieuse.

Les grands gagnants de la grève

Alors que la grève fait rage et que chacun doit faire face aux difficultés inhérentes et trouver des solutions pour se déplacer, certains profitent des conséquences de celles-ci pour multiplier leur chiffre d’affaires comme jamais. Zoom sur ces entreprises qui n’ont rien perdu avec les mouvements sociaux.

Les transports alternatifs en premier

Il s’agit de ceux qui ont peut-être le mieux vécu la situation. Ainsi, Il suffit de voir le nombre de trottinettes électriques ou vélos qui circulent en ce moment à Paris pour comprendre qu’ils sont les grands gagnants de la grève. Il y aurait eu augmentation proche de 90% par rapport aux mois précédents. On pourrait même dire qu’ils y ont gagné sur le temps puisque de nombreux usagers se sont créés des comptes pour les grèves et qu’ils continueront à utiliser ses transports par la suite. On peut également penser aux scooters qui ont le vent en poupe lors de ses grèves

Les cars, autocars et covoiturage. 

La demande a doublé pour eux qui vont jusqu’à organiser des rotations supplémentaires pour parer à la suppression des trains. Flixbus et Blablabus peuvent se frotter les mains puisqu’ils n’existent aujourd’hui plus que ces deux grandes compagnies sur le marché. Le gouvernement aurait même fait une demande expresse aux deux compagnies afin qu’elles déploient des cars pour assurer les liaisons interurbaines en Ile de France. Leurs problématiques ? Trouver des sous-traitants capables d’augmenter le nombre de véhicules et de chauffeurs. 

Certains commerces de proximité

L’incapacité ou la difficulté à se rendre en grande surface pour bon nombre de citadins est également pour certains commerces de proximité. D’autres auront connu la tendance inverse et notamment certains cafés qui se sont vus désertés. Cependant, certains marchés, par exemple, ont eu la part belle. Et il n’y avait qu’à constater le monde présent pour comprendre que le succès rencontré cette année a pour origine la grève. La tendance a été de prendre des produits près de chez soi plutôt que de se déplacer et de découvrir des commerçants avenants et qui leur font l’article. 

Les e-commerçants ?

Si on a pu penser que les e-commerçants ont profité de la grève, il semblerait que ce ne soit pas le cas. Selon des propos recueillis par le Monde auprès de la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (Fevad) « Une étude, réalisée auprès d’un panel d’une trentaine de sites d’e-commerce leaders [pure players et distributeurs], représentant un tiers des ventes d’e-commerce de produits, montre que, sur la période allant du 5 au 9 décembre, le chiffre d’affaires des sites était en recul de 4 % par rapport à l’an dernier, alors que la référence de décembre 2018 avait déjà été affectée par le mouvement des “gilets jaunes” »

Les VTC

On aurait pu s’en douter puisqu’elles adaptent leur prix en permanence et en temps réel l’offre et la demande. Avec également une tarification horokilométrique, les prix flambent forcément même si on leur accorde que rester bloquer dans des bouchons n’est peut-être pas le plus agréable pour eux et qu’il n’y gagne pas forcément sur ce critère. Les VTC n’auraient donc pas une augmentation du volume de courses mais bien de la durée de celles-ci et donc du prix. 

Si la plupart des entreprises ont souffert des grèves, certaines peuvent donc se réjouir et espérer qu’elles durent le plus longtemps possible. 

Écologie et bien-être au bureau

Il y a aujourd’hui en France environ 30 millions d’actifs en France. Certes, ils ne sont pas tous dans des bureaux mais on peut imaginer que si les 30 millions d’actifs faisaient chaque jour un geste pour la planète aussi bien dans leur vie professionnelle que personnelle, la planète s’en ressentirait et notre futur pourrait se parer de belles couleurs. Ce modèle qui est en train de prendre vie dans les habitudes et comportements des Français donne bon espoir sur la répercussion qu’il aura sur l’ensemble de la population inactive dont les enfants entre autres qui dès le départ apprendront à respecter l’environnement.

D’après Philippe Frémeaux, président et éditorialiste d’Alternative économiques, « l’écologie n’est pas l’ennemie de l’emploi, ni du mieux-vivre pour tous. Elle en est la condition ». Il est vrai que le travail en entreprise est prenant, mais ce n’est pas une raison pour exclure l’attitude verte de son mode de vie, surtout en tant que dirigeant. 

Pourquoi être écologique au bureau

Il est très important d’orienter le comportement écologique de chacun des membres de votre équipe dans le but de minimiser l’impact sur l’environnement. L’enjeu est de taille, car il ne s’agit pas uniquement de convaincre les acteurs de l’économie. Le but est de restituer des canaux qui répondent à nos besoins vitaux. Que ce soit au travers des logements, de la nourriture, des habillements et du déplacement, il faut adopter une attitude éco-constructive. Même dans les moments de crise, quand l’entreprise est confrontée aux baisses de parts de marché, il ne faut jamais sacrifier l’aspect écologique qui se révèle un bénéfice à long terme. Il est important d’intégrer dans une même politique ces deux objectifs. 

Les défis à relever pour les entreprises

En 2010, seulement 2% des entreprises mondiales ont intégré une politique verte au sein de leur direction, ce qui est insignifiant. C’est pour cette raison que les entreprises devraient relever plusieurs défis pour pouvoir agir sur le développement durable et s’engager dans la voie de l’ingénierie écologique, l’écologie industrielle, ou l’éco-conception. Le premier défi à relever concerne la construction des locaux écologiques qui répondent aux besoins de tous. Le second est le défi culturel, qui consiste à réétudier les expertises des entreprises et à les adapter au monde vivant d’aujourd’hui. Cela impliquerait la compréhension des impacts de la société sur l’environnement. Le dernier est le défi institutionnel qui consiste à reconsidérer la fiscalité, le droit et les normes sur les activités des entreprises, dans le but de les obliger à s’engager vers une économie plus prévenante des écosystèmes. 

Les gestes à adopter pour devenir écologique au bureau

Pour devenir écologique au bureau, vous devrez juste adopter des gestes faciles. Même les petits gestes peuvent avoir des impacts non négligeables sur l’environnement. Vous devrez privilégier les tasses ou les verres réutilisables et ne plus utiliser les gobelets en plastique des distributeurs. Vous pouvez aussi minimiser les recherches sur internet parce qu’une recherche sur Google équivaut à faire 56 mètres en voiture. Ils produisent 7 g de CO2 à cause des 500 000 serveurs utilisés. Vous pouvez aussi utiliser des fonds d’écrans sombres et fixes. Pour les impressions, privilégiez le papier recyclé.

Vous pouvez également opter pour les impressions en noir et blanc et utiliser le recto-verso. Lorsque vous n’utilisez par votre ordinateur, mieux vaut mettre « en veille » les écrans ou mieux encore, les éteindre si la durée d’absence est supérieure à 30 minutes. Au cours de vos réunions, vous ne devrez pas vous déplacer à moins que cela ne soit vraiment nécessaire. Vous pourriez utiliser les nouvelles technologies pour réduire les empreintes de carbone. Optez par exemple pour les vidéo-conférences. Une bonne alternative est aussi de favoriser le télétravail. Ce qui éviterait le déplacement des employés et qui permettrait de réduire le nombre de voitures qui circulent. Vous pouvez aussi utiliser des navettes pour votre entreprise. Vous pouvez aussi de moins en moins prendre les ascenseurs et utiliser les escaliers.

POURQUOI UTILISER UN VPN ET COMMENT CHOISIR LE BON ?

Le réseau privé virtuel ou en anglais Virtual Private Network (VPN) est un réseau informatique qui permet de faire des liens directs entre deux ordinateurs. Si on peut penser que tous se valent, il existe en réalité des critères à prendre en compte avant de sélectionner celui qui vous conviendra. 

Un VPN, qu’est-ce que c’est ?

Un VPN est un type de réseau informatique qui permet la création de liens directs entre des ordinateurs distants. A l’origine, vous faites appel à un VPN au travers de votre box internet qui relie à la fois votre PC de bureau, PC portable, tablette, imprimante, smartphone ou encore votre télévision. Ces appareils communiquent entre eux au travers de celles-ci et vous disposez d’un réseau local, celui de votre domicile.

Une connexion est établie et vous pouvez facilement transférer vos données. C’est ce qui se passe par exemple quand vous imprimez. Le fichier est transmis à l’imprimante. 

A quoi cela sert ? 

Un VPN fait exactement la même chose sauf qu’il le fait à distance (même si vous pouvez en avoir un à la maison). Il relie les appareils géographiquement distants et vous pouvez ainsi accéder à distance aux données qui sont chez vous.

Il est particulièrement utilisé par les entreprises où le besoin d’accéder aux informations doit se faire de la manière la plus sécurisée possible. Il s’agit avant tout de sécuriser la connexion au réseau local, peu importe l’endroit où vous ou vos salariés se situent. Ils peuvent ainsi accéder aux données de l’entreprise de manière sécurisée. Le VPN, contrairement à internet crée un tunnel de connexion sécurisé entre ces 2 réseaux. Les données sont cryptées et ne sont donc ni lisibles ni déchiffrables.

Il est également utilisé car il permet de masquer son adresse IP. Il ne s’agit pas de faire des activités illégales mais parfois simplement d’accéder à des données ou sites qui ne sont pas autorisés dans votre pays mais qui le sont ailleurs. Vous pouvez d’ailleurs constater que certaines vidéos étaient innaccessibles depuis certains pays. Les VPN sont présents partout sur la planète et vous permettent d’y avoir accès.

Sans lui, la source de votre requête demeure votre réseau local. Le VPN modifie la source de votre requête puisque c’est lui qui en est à l’origine. Le site reçoit donc une requête du réseau local du VPN. L’adresse IP qui vous identifie devient donc celle du VPN. Votre fournisseur d’accès quant à lui voit qu’il y a une connexion entre vous et votre VPN mais celle-ci demeure chiffrée. 

Les éléments fondamentaux pour choisir son VPN

On pourrait se dire que tous les VPN se valent et qu’il suffit de se référer au prix pour choisir celui qui nous convient le mieux. En réalité d’autres critères sont à prendre en compte.

Déjà, il faut avoir un fournisseur sérieux qui n’utilise pas des versions dépassées et qui ont déjà des programmes malicieux en son sein notamment si vous ne souhaitez pas que vos données soient enregistrées. En ce sens, NordVPN fait figure d’un des fournisseurs les plus sérieux sur le marché.

Ensuite, il vous faut vous demander si vous avez besoin d’une grande bande passante, ce qui peut être le cas si vous envoyez de gros fichiers ou que vous regardez des films en streaming par exemple. Une faible bande passante reste suffisante pour les emails et aller sur les réseaux sociaux. 

Vous pouvez également regarder les lieux où sont situés les VPN notamment si vous devez accéder à du contenu bloqué dans le pays, et ne vous trompez pas, beaucoup de contenus sont également censurés en France. Si on imagine que vous êtes en déplacement dans un pays qui ne laisse pas accès aux médias français par exemple, cela peut se révéler très utile. Il est donc préférable que celui dispose de serveurs partout sur la planète. 

Autre critère, certains VPN stockent vos données, ce que vous ne souhaitez pas forcément car on peut alors remonter jusqu’à vous et savoir ce que vous faites. Plus le nombre d’utilisateurs sur un service VPN est élevé, plus il est difficile de remonter à la source. C’est d’ailleurs une des raisons qui font que les VPN sont parfois basés aux USA car la justice américaine ne peut pas imposer de fournir les données dans ce cas précis. 

Le niveau de sécurité est particulièrement à regarder car le cryptage des données varie d’un VPN à un autre. Les protocoles ne sont pas tous identiques et n’offrent pas tous le même niveau de sécurité. Aujourd’hui, le privilégié demeure le protocole OpenVPN. Les protocoles PPTP et même L2TP/IPsec demeurent considérés comme relativement obsolètes (surtout le premier). A noter que OpenVPN ne fonctionne pas dans certains cas et qu’il vous faudra faire appel à ce deuxième. Il est donc toujours bien d’avoir le choix, d’autant que la cybersécurité est devenu un enjeu majeur, sujet que nous avons déjà abordé sur Dynamique Mag.

Deux autres critères : le nombre de connexions autorisées notamment si vous souhaitez que plus d’un appareil se connecte à la fois mais aussi la bande passante. Certains VPN limitent cette dernière, ce qui peut ralentir votre connexion et donc votre transfert notamment quand il s’agit de gros fichiers.

Le dernier élément de choix reste souvent sur le fait que le VPN enregistre des données ou non sur vous. Certains le font pour une période de temps limité et d’autres ne le font pas du tout (ce qui réduit leurs coûts et renforcent votre anonymat). Le stockage de vos données est rarement à leur avantage car il y a un coût lié à l’espace de stockage et l’énergie utilisée. 

Six personnalités de salariés toxiques !

Dans le panier des êtres humains, la diversité existe sur le plan des personnalités. Une évidence ! S’il est intéressant de repérer les salariés toxiques, c’est pour mieux s’en protéger, en protéger les autres collaborateurs mais surtout à les conduire au final à transformer ce qui nuit aux autres et nuit en premier à eux-mêmes. Il est des situations où l’on pense qu’il vaudrait mieux qu’elles quittent la société mais les circonstances ne le permettent pas et puis autant créer la cohésion. L’enjeu va être d’établir un dialogue constructif avec elles pour sortir de l’impasse.

Vous l’avez bien remarqué, tel ou tel collaborateur sape le moral des autres, un autre passe son temps à les réprimander, un autre à critiquer … les personnalités dites « toxiques » ne sont pas forcément ingérables mais elles demeurent un vrai problème, capable de briser complètement une équipe. Entre le manipulateur, le pervers narcissique et l’obsessionnel, voici les traits de caractère typiques de six de ces personnalités pour vous permettre de les déceler à temps !

Le paranoïaque

Tout le monde pense connaître un paranoïaque, cette personne qui semble craindre tout et son contraire. Il s’agit en réalité d’un profil psychologique bien particulier qui se caractérise par une victimisation très poussée. Le paranoïaque demeure persuadé que le monde entier lui en veut. Si son sérieux inspire tout d’abord confiance, il reste méfiant, distant voire blessant dans ses propos. Constamment sur ses gardes, cet individu ne fait confiance à personne et ne supporte pas la concurrence. Cette dernière représente exactement ce qu’il redoute le plus : une rivalité susceptible de l’évincer. Au bout d’un certain temps, il accusera sans doute un collègue de l’avoir trahi pour confirmer son statut de victime. Le paranoïaque vit dans une crainte ininterrompue du complot qui touche tous les domaines de son existence. Il nécessite une écoute attentive et bienveillante mais attention toutefois à ne pas le suivre dans son délire.

L’antisocial

Qu’il soit expert ou psychopathe, l’antisocial présente un défaut majeur : il n’aime ni les gens, ni les règles ! Cette personne peut tout à fait s’avérer très compétente dans son domaine, elle ne s’encombre tout simplement pas de la plus élémentaire politesse. Un peu égocentré, l’expert asocial ne tolère pas la moindre faute de la part de ses collègues et le leur fait savoir de façon particulièrement violente.

Le psychopathe, lui, ne supporte pas plus la présence de ses collaborateurs et se révèle aussi un adepte de la violence verbale. Ce type de profil émerge surtout dans les milieux où le pouvoir constitue un réel enjeu, notamment à cause de la compétition présente. L’antisocial s’avère facile à repérer puisqu’il adresse difficilement la parole aux autres, sauf pour leur faire des remarques pénibles. Pour le cadrer un peu mieux il reste important de clarifier vos positions et les objectifs et lui montrer les bénéfices qu’il peut en retirer.

Le pervers narcissique

Ce grand manipulateur se cache bien souvent derrière un collaborateur fort sympathique. Véritable caméléon, le pervers narcissique s’adapte à ses interlocuteurs et se repère à son opportunisme. Séducteur, flatteur, il ne recule devant rien pour parvenir à ses fins et ne se préoccupe que de sa réussite. Ne vous y trompez pas, il ne se montre accommodant que parce qu’il a besoin de vos services.

Les pervers de ce type constitueraient environ 4% du personnel d’une entreprise d’après plusieurs études menées par des psychologues. Ils demeurent donc les « toxiques » les plus répandus mais aussi les plus dangereux. Incapable de ressentir la moindre empathie pour ses collègues, sûr de lui et implacable, le pervers narcissique peut détruire une équipe en un temps record et représente une réelle menace. Peu de solutions s’offrent malheureusement aux collaborateurs de ce type d’individus, souvent démasqués trop tard : soit ils réussissent à le contrer sans pour autant chercher à se venger, soit il faut fuir !

Le râleur

Présent dans chaque entreprise, dans chaque service et même dans chaque famille, le râleur agace mais ne constitue pas une menace aussi importante que le pervers narcissique. Ce personnage met en évidence certains problèmes de l’entreprise, ses interventions peuvent donc, somme toute, s’avérer utiles. Ses remarques et plaintes incessantes sont souvent prises en compte et engendrent des changements dans la firme mais ces complaintes lui valent aussi une mise à l’écart de la part de ses collègues. Ce type de profil demeure sincère, contrairement au pervers narcissique, le râleur exprime ses sentiments de façon authentique. Un peu d’opposition de peut pas lui faire de mal, il convient, pour le calmer, de l’écouter avant de lui expliquer les décisions de la société.

L’obsessionnel

Ce collègue irréprochable n’aime pas les détails, il les adore ! Si sa rigueur et sa maniaquerie peuvent susciter l’admiration ou l’irritation, elles peuvent, au bout du compte, ralentir et démotiver complètement une équipe. L’obsessionnel demeure une personne de confiance, qui a besoin de respecter chaque règle à la lettre, de travailler dans un endroit propre et rangé selon des procédures fixes et bien définies. Cet individu déteste l’improvisation et son perfectionnisme extrême peut le mettre en retard dans son travail. Son besoin de diriger pour tout rendre aussi parfait que lui peut rapidement peser sur ses collègues.

L’obsessionnel reste toutefois modeste et réservé, les autres savent peu de choses de lui. Lorsqu’il commet une erreur, il continue de présenter des excuses pendant longtemps et se révèle extrêmement poli avec ses collaborateurs. Son comportement paraît, au premier abord, davantage nuisible à lui-même plutôt qu’aux autres, sauf que son obsession de la perfection peut vite énerver ou décourager les membres d’une équipe. Il convient donc de prendre cette personnalité en main avant qu’elle ne ralentisse tout le monde en lui donnant des objectifs très clairs et atteignables.

L’hystérique

Qui n’a jamais qualifié quelqu’un d’hystérique ? Nous le serions tous 70% du temps, d’après le psychologue Roland Guinchard. Celui-ci indique que ceux qui dépassent ce seuil constituent les personnalités hystériques toxiques. Hyper affectifs, ces individus racontent les détails de leur vie à tout le monde sans aucune gêne et se retrouvent souvent à côté de la plaque. Leurs interventions au cours de réunions ou dans des discussions entre collègues tombent comme un cheveu sur la soupe ou sont totalement déplacées. L’hystérique présente un décalage avec les autres membres de son équipe, en retard ou en avance, souvent absent, il surprend jusque dans son style excessif. Difficile à maîtriser, cet individu a, lui aussi, besoin d’être écouté sans être mis à l’écart tout de suite.

Quel statut choisir si vous décidez d’entreprendre seul ?

Cela fait des années que cette idée vous taraude l’esprit… Déjà tout-petit, quand la maîtresse vous demandait quel métier vous souhaitiez exercer plus tard, vous répondiez « patron ». Plus tard, votre pensée s’est affinée tout en préservant votre soif d’indépendance…

Se mettre à son compte est un rêve pour beaucoup de personnes… Un Français sur trois désire ardemment voler de ses propres ailes. Pour y arriver, impossible de faire l’impasse sur la jurisprudence…

À un moment donné, vous allez devoir choisir une forme juridique adaptée à votre profil. Entre la flexibilité du statut d’auto-entrepreneur et la liberté d’une SASU ou d’un EURL, votre cœur balance… Avant d’arrêter votre décision finale, autant savoir quels sont les avantages et les inconvénients propres à chaque statut.

Devenir auto-entrepreneur

C’est le statut préféré des travailleurs indépendants. En même temps, au vu de ses nombreux avantages, il est facile de comprendre son immense popularité…

Les démarches administratives sont d’une simplicité enfantine et ne risquent pas de vous mettre sur la paille. Dans ce site, vous trouverez toutes les informations nécessaires pour ouvrir votre propre auto-entreprise. Saviez-vous que ce statut vous permet de ne payer les  cotisations sociales qu’au moment où vous commencez à générer des revenus ? L’auto-entreprise a beaucoup à offrir… Foncez sur ce site pour en savoir plus.

Néanmoins, être auto-entrepreneur n’est pas exempt d’inconvénients. Comme vos biens personnels et votre activité professionnelle ne sont pas dissociés, les premiers sont susceptibles d’être saisis en cas de soucis financiers.

C’est pourquoi il est recommandé d’adopter le statut d’auto-entrepreneur pour tester la viabilité de son projet ou avoir un revenu complémentaire. Si votre business croît ou que vous décidez de vous y consacrer à plein temps, il deviendra alors préférable de passer en SASU ou EURL.

Créer une société unipersonnelle

Il fut une époque au cours de laquelle il fallait obligatoirement être deux pour créer une société… Les plus anciens s’en souviennent encore avec un pincement au cœur… Nombre d’entrepreneurs n’ont jamais pu pleinement déployer leurs ailes à cause de cette limitation…

Heureusement, les choses ont bien changé… Désormais, même seul, vous pouvez créer une personne morale dont vous aurez l’entière responsabilité. Vous avez le choix entre la SASU, société par actions simplifiées unipersonnelle, et l’EURL, entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée.

Pourquoi créer une SASU ou une EURL en lieu et place d’une auto-entreprise ? Simplement parce qu’elles vous permettent de mettre votre patrimoine à l’abri des créanciers. De même, si vous désirez lever des fonds, cette forme est la plus crédible aux yeux des investisseurs.

Attention cependant car les coûts liés à leur ouverture et à leur maintenance sont élevés… Pour beaucoup, cela implique d’engager un comptable professionnel ou de faire appel aux services d’un cabinet de comptabilité-fiscalité.

C’est pourquoi la SASU et l’EURL sont recommandées pour les entrepreneurs chevronnés, rompus à la gestion de compagnies et à toute la paperasserie administrative qui va avec. Si tel n’est pas votre cas, débutez avec une auto-entreprise quitte à muter en SASU ou EURL par la suite.

Développer son réseau en 2020

Le réseau qui se limitait à quelques cercles fermés il y a peu de temps encore joue un rôle fondamental dans la vie professionnelle, comme nous le montre une étude réalisée par Kantar et LinkedIn France où la majorité des actifs (60%) ont un réseau professionnel et soulignent l’intérêt de celui-ci (85%). Ce réseau revêt une particulière utilité pour le dirigeant d’entreprise. 

Une utilité qui a augmenté 

Le réseau professionnel est de plus en plus prépondérant dans la vie des actifs et aujourd’hui ils sont même 31% à trouver cela essentiel alors qu’une majorité (60%) ont estimé qu’il est « plus utile d’avoir un réseau aujourd’hui qu’il y a une dizaine d’années ». Les indépendants en sont d’ailleurs convaincus puisqu’ils sont 44% à déclarer qu’il est essentiel et il figure d’ailleurs en tête de liste. On comprendra qu’avec l’avènement des réseaux sociaux professionnels et personnels, il est désormais bien plus facile de faire appel à son réseau ainsi qu’à celui des autres qu’autrefois. 

A quoi bien me servir le réseau ?

Le réseau a d’abord une réelle utilité pour vos recrutements car il sert le plus souvent à la recommandation, 1/4 des actifs déclarent avoir trouvé un emploi grâce à leur réseau. Il peut vous servir à éditer une offre d’emploi, demander des conseils ou encore à obtenir des opportunités d’affaires. Par ailleurs, le réseau offre souvent l’opportunité de rencontrer des personnes clés qui peuvent débloquer bien des situations. On l’aura compris, l’intérêt est multiple et entretenir son réseau reste une des bonnes pratiques pour les entrepreneurs notamment si vous souhaitez développer votre business sans non plus vous retrouver dans les conditions d’une prospection commerciale classique. 

Par où commencer ? 

Le réseau commence par votre famille, vos proches et vos amis. Il peut donc être utile de vous rappeler à la bonne mémoire de chacun si vous ne l’avez pas fait. Il s’agit ensuite de toutes vos connaissances ainsi que de toutes les leurs tels que des cercles concentriques. Pour bien commencer, vous pouvez créer également un profil professionnel sur les réseaux sociaux professionnels afin que l’on puisse vous contacter, ce qui vous permettra de développer votre réseau sans trop vous investir dans un premier temps si vous le souhaitez. N’oubliez pas d’ajouter une photo, de détailler ses expériences professionnelles ainsi que de contacter vos anciens collègues, camarades, amis ainsi que votre famille. Cette démarche vous prendra peu de temps et vous aurez déjà fait un pas. 

Devenez actif sur les réseaux sociaux

Pour amplifier votre action, vous pouvez ajouter les nouvelles personnes que vous rencontrez, en n’oubliant pas de recontextualiser une invitation en précisant le lieu ou les circonstances dans lesquelles vous avez rencontré la personne. Si vous voulez développer votre réseau sur la toile, il vous faudra également partager des posts, liens, articles, photos, citations ou toute information susceptible d’intéresser votre réseau. Certains vont plus loin et écrivent sur les sujets qui les intéressent dans leur domaine d’expertise. Autant de bonnes pratiques qui feront que vous pourrez augmenter votre visibilité mais également renforcer votre image d’expert.

Se déplacer dans les réseaux physiques

Si vous vous êtes enfermé dans votre cave lors du développement de votre produit, il est peut-être temps d’en sortir et d’aller dans des réseaux professionnels. Vous pouvez également vous rendre à des évènements. Il s’agit de faire des nouvelles rencontres et le réseau peut prendre un temps certain à se former donc autant y aller si vous n’avez pas d’objectifs précis pour le moment. Si vous recherchez des clients, essayez de ne pas être trop agressif et de toujours chercher à aider plus qu’à être aidé. A défaut, vous pourriez vite faire fuir les membres du réseau. Si les personnes qui en font partie vous trouvent sympathiques et professionnels, ils vous recommanderont quand on leur posera des questions sur votre personnalité ou sur votre activité.

Si vous souhaitez vraiment développer rapidement des actions commerciales des réseaux de recommandation d’affaires existent. Attention tout de même à ne pas « cramer » votre propre réseau en recommandant n’importe qui. Si votre réseau est trop sollicité, il pourrait bien considérer le fait de vous faire sortir de sa liste de contacts. N’oubliez pas vos cartes de visites quand vous allez dans ce type de réseau et n’hésitez pas à mettre des notes au dos des cartes des personnes que vous recevrez afin de vous rappeler d’eux. Une dernière bonne pratique reste de recontacter rapidement la personne que vous avez rencontrée.

Faire une liste de ses différents cercles.

Si vous souhaitez aller plus loin dans votre démarche, vous pouvez également créer des listes et en catégorisant chaque personne par des critères afin de pouvoir les joindre rapidement ou d’identifier rapidement ceux qui peuvent répondre à une problématique en particulier. Par exemple, vous pouvez classer vos contacts par métier pour retrouver rapidement un avocat si quelqu’un vous en demande un ou pour vos propres demandes. Ceux qui pratiquent cette méthode utilisent en général des classifications comme amis, familles, ancien camarade…  N’oubliez pas d’inscrire toutes les coordonnées et de mettre à jour régulièrement votre liste car les gens changent de postes, d’email ou encore de numéro de téléphone. 

Ces plantes qui boostent la productivité au travail

Les plantes, on les offre souvent pour faire plaisir et pour décorer. Et pourtant, elles ont des vertus comme celles des arbres qui absorbent la pollution dans les allées des villes. Et d’ailleurs ces plantes, elles manifestent leur inquiétude quand la canicule envahit et que l’air est devenu irrespirable.  On voyait les écorces des arbres jonchaient le sol et se révélaient comme un avertissement sur le changement climatique. A ce moment, on se pose la question : « est-ce que j’avais déjà vu ce phénomène ? ». Les plantes c’est la vie.

Dans les sociétés modernes faites de béton, de médicaments chimiques et de fast-food, on oublie bien souvent le pouvoir des végétaux sur l’organisme. Installées dans le décor, dans l’assiette ou la tasse des salariés, certaines plantes célèbres pour leurs effets sur le corps humain contribuent à augmenter la concentration, la productivité… et de façon totalement naturelle !

Un retour à la nature bien nécessaire

De Paris à Singapour, de plus en plus de grandes villes investissent dans la création d’espaces verts. Les mégalopoles ultra polluées comme Pékin ne respirent plus et la fumée des gaz d’échappements qui envahit nos poumons ainsi que nos cerveaux rendent parfois la réflexion difficile. Une série d’études menées par la NASA dans les années 80 mettait en valeur les propriétés dépolluantes de certains végétaux. Le retour à la nature s’impose comme une solution pour rendre un peu d’air aux populations des grandes villes. Il en va de même pour les entreprises : ces espaces clos aux fenêtres souvent fermées peuvent vite se transformer en aquarium insupportable pour le corps humain.

Les vertus purificatrices des plantes d’ailleurs autant aux lieux de travail qu’à leurs occupants. A l’ère du numérique où les yeux et le cerveau s’avèrent ultra sollicités, quelques végétaux aux propriétés parfois insoupçonnés peuvent supplanter les dizaines de médicaments chimiques disponibles et remplacer (exceptionnellement !) les frites, si appétissantes. Certaines plantes augmentent jusqu’à 45% de la productivité…

Faire respirer et assainir vos locaux avec des végétaux

Une plante de bureau constitue plus qu’une simple décoration. Certains végétaux purifient l’air et permettent à l’esprit de s’aérer quand d’autres dégagent des substances chimiques aux effets directs sur le cerveau humain. Dans un local sans fenêtres, une plante araignée (aussi appelée chlorophyton chevelu) nettoie et dépollue l’air ambiant. Très facile à entretenir, elle peut être présentée dans un pot ou en suspension. Un air plus propre aide à la concentration. Dans cet objectif, le philodendron, qui occupe un peu plus de place, constitue un bon investissement. Cette plante, qui ne nécessite aucun entretien, assainit l’air et amoindrit les maux de tête en diffusant une importante quantité d’oxygène.

D’autres plantes présentent des vertus similaires, telles que la Fleur de Lune, discrète et plébiscitée pour ses jolies courbes, et l’epipremnumaureum. Cette dernière plante grimpante instaure un climat de détente notamment grâce à ses feuilles en forme de cœur. D’un autre côté, la mélisse citronnelle constitue aussi un excellent remède à de nombreux maux dont se plaignent les salariés. En plus de la bonne odeur qu’elle dégage, cette plante possède une foule de vertus insoupçonnées. La mélisse agit sur le stress et la nervosité qu’elle apaise. Elle renforce également la concentration ainsi que la mémoire. Au niveau individuel comme global, ce végétal permet d’assainir l’air et l’ambiance qui règnent dans les locaux. D’autres se consomment en infusion et présentent des vertus similaires. Si vous souffrez de maux de tête chroniques ou de difficultés à vous concentrer, certaines herbes thérapeutiques peuvent remplacer quelques produits pharmaceutiques.

Les infusions qui calment les maux de tête et stimulent la concentration

En soi, il ne s’agit pas d’une grande nouveauté, les végétaux sont connus pour leurs multiples vertus sur l’organisme, sauf que rares sont les personnes qui se tournent vers une infusion en cas de difficulté à se concentrer. Pour reprendre l’exemple de la mélisse, qui peut tout à fait se boire mélangée à de l’eau chaude, cette plante accumule les bienfaits. Ainsi consommée, elle soigne le stress mais aussi les maux de ventre et accroît les capacités de concentration. La grande camomille (Tanacetumparthenium) demeure aussi une référence pour calmer les céphalées. Aujourd’hui, l’Organisation Mondiale de la Santé et l’ESCOP (European Scientific Cooperative On Phythotherapy) reconnaissent officiellement son efficacité dans la prévention et la diminution de la fréquence et de l’intensité des crises de migraine.

Il convient toutefois de faire la différence entre la grande camomille et ses autres variétés aux propriétés différentes. Pour stimuler sa mémoire et sa concentration, rien de tel que gingkobiloba, utilisé pour traiter l’hyperactivité. Consommé sous forme de breuvage, le gingko présente de réelles vertus et certaines études ont d’ailleurs montré des résultats encourageants sur des personnes atteintes de TDAH1,2 (Trouble de Déficit de l’Attention avec Hyperactivité). Les infusions de romarin et de thé vert sont pourvues des mêmes propriétés. Cette dernière plante a fait l’objet d’une étude qui démontrait que les extraits de thé vert augmentaient la connectivité entre les lobes pariétal et frontal du cerveau, ce qui a pour effet d’améliorer la mémoire de travail. En plus de boire des infusions telles que celles-ci, manger certains fruits et féculents stimule également de nombreuses capacités cognitives.

Les aliments pour se concentrer

De nombreux fruits et légumes agissent sur la concentration. Les noix, par exemple, contiennent le la vitamine E qui évite le déclin des facultés cognitives. Le curcuma, épice indienne, permet aussi d’augmenter et conserver sa mémoire. Dans un autre domaine, les légumineuses et féculents fluidifient la circulation sanguine et permettent à l’esprit de rester alerte toute la journée. Les bananes, riches en potassium, redonnent aussi de l’énergie à l’organisme. Les légumes verts comme la salade ou les épinards, auraient, quant à eux, des effets positifs sur l’humeur grâce à leur forte concentration en vitamines B. Celles-ci, en agissant directement sur les neurotransmetteurs, protègeraient même de la dépression.

Les écrans constituant l’un des principaux supports de travail de beaucoup de salariés, la protection des yeux s’avère aussi très importante ! Certaines baies et notamment les myrtilles, possèdent des vertus thérapeutiques pour les yeux. Le ginseng présenterait lui aussi des vertus stimulantes pour les yeux mais davantage sujettes à débat.

La dématérialisation des entreprises

Les entreprises se sont largement dématérialisées et bon nombre de leurs processus internes n’est aujourd’hui plus que sous forme numérique. Si certaines se servent de la dématérialisation comme d’un véritable outil pour collaborer avec le client, d’autres sont devenues totalement numériques.

Les secteurs touchés par la dématérialisation

Quasiment tous les secteurs offrent aujourd’hui leurs prestations en numériques. L’information est bien entendu l’une des premières activités à passer au numérique. Seuls les secteurs ne pouvant y faire appel ont gardé une offre physique. Pour ne citer qu’eux, voici des secteurs qui étaient hier avec un produit physique et qui aujourd’hui proposent la plupart du temps des offres numériques : comptabilité, jeux, paris sportifs, covoiturage, image, banque et assurance, communication, éducation, domotique, médias. Même des secteurs comme la médecine, le bâtiment ou encore la santé et le bien-être ont des offres uniquement numériques. Autant dire, qu’il est aujourd’hui présent un peu partout même si certains métiers ou encore produits ne se prêtent pas à la numérisation de leurs activités.

La relation client de plus en plus dématérialisée

S’il y a bien une chose qui a changé c’est la relation à la vente qui s’organise de plus en plus sur le numérique. Aujourd’hui, la plupart des entreprises concluent leur contrat via le numérique que ce soit grâce à des emails, factures et devis entièrement en ligne. Ce canal est l’un des socles de nombreuses activités pour conclure les ventes mais également pour le SAV qui se fait par tchat ou par réponse à des questions courantes sur le site. Les régulations de facture se passent de moins en moins par téléphone au profit du numérique. En bref, c’est toute la relation client qui semble avoir été affectée par les nouvelles méthodes. Les raisons peuvent être bien différentes d’une entreprise à l’autre mais en général il s’agit de répondre à toute heure et rapidement au client qui ne souhaite plus perdre son temps et désire une réponse rapide. On est loin du temps où il fallait attendre plusieurs semaines pour un devis ou une livraison du produit. Aujourd’hui, la réponse se veut de plus en plus immédiate.

Ces actes qu’on dématérialise dans l’entreprise

Globalement, c’est toute l’entreprise qui s’est transformée en numérique. Rapport, préparation de réunion, échange, newsletter, communication interne ou externe… Tout est devenu de plus en plus numérique et les collaborateurs d’une même entreprise ne se rencontrent parfois jamais. Il faut dire que les avantages d’internet comme la capacité d’internet à ne pas perdre d’information, à communiquer en temps réel, à distance, à n’importe quelle heure a séduit la majorité des travailleurs et s’adapte bien au monde moderne. Les métiers des entreprises ont également évolué et tendent vers le numérique avec une réponse de plus en plus personnalisée. La communication a particulièrement été impactée. L’apparition de nouveaux enjeux liés à l’informatique comme les réseaux sociaux ou l’analyse de la data pour ne citer qu’eux, a créé l’apparition de nouveaux métiers. Les profils recherchés incluent désormais une maîtrise relative minimum d’internet dans bon nombre de postes.

Un duo physique-internet qui devient la norme.

On pourrait se dire que le physique a disparu mais pas du tout ! Les entreprises allient de plus en plus le physique avec le numérique. Les rapports humains demeurent encore à la mode et les pure players ont été nombreux à ouvrir des boutiques physiques. Si hier, le numérique était la panacée, certaines habitudes ont la vie dure. Les technologies doivent encore évoluer mais le physique ne devrait pas totalement disparaître pour une raison simple : les relations humaines gardent toujours de l’importance et ne se remplacent pas. Même si vous avez d’excellents rapports avec une personne par email, cela ne remplacera jamais une rencontre physique. Les marques l’ont bien compris notamment dans ce qui est fidélisation client et n’hésitent pas à rencontrer leurs clients autour de réunion thématique, de journées portes ouvertes ou encore de création d’évènements spécifiques.

Une habitude pour les plus jeunes

Si les générations plus âgées sont parfois récalcitrantes à passer au numérique, il faut bien noter que la nouvelle génération est beaucoup plus encline à utiliser le numérique. Déjà pour des impératifs écologiques ou pratiques. La question des serveurs nécessaires à l’ensemble du stockage devrait cependant devenir majeure dans les années à venir car ils coûtent cher à l’écologie contrairement à ce qu’on peut penser. On peut d’ailleurs penser que demain, l’énergie consommée par des échanges de plus en plus nombreux (et souvent inutiles) devrait être une des grandes problématiques à résoudre notamment pour le réchauffement climatique. A noter tout de même une contradiction avec une consommation qui se voudrait de plus en plus locale (aussi pour l’écologie / qualité de produits).

J’ai une idée, par où commencer ?

Ça y est ! Vous avez enfin trouvé votre idée de création d’entreprise mais vous ne savez pas trop ce que vous devez en faire et par où commencer. Si vous voulez que votre idée n’en reste pas une mais devienne un véritable projet, voici quelques conseils. 

Commencez par la formaliser sur le papier

Une fois votre idée trouvée, il vous faut passer à une première étape toute simple, celle de la poser sur le papier et de bien en définir les contours. Celle-ci pourrait s’affiner et être complétée par votre réflexion. Il s’agit de vous demander d’abord si elle répond à un vrai besoin dans un premier temps et pourquoi on vous achèterait vous plutôt que d’aller voir votre concurrent direct ou indirect. Vous devez savoir quel est votre avantage concurrentiel et si l’on peut aisément vous copier. A défaut, vous devrez peut-être chercher à étoffer votre offre. 

Réalisez une étude de marché

Dans un second temps, cernez votre marché. Il faut savoir s’il est assez grand pour vous faire vivre et qui sont vos clients. Vous devrez bien définir sa taille car il ne sert à rien de penser que vous aurez 100% du marché potentiel. Par exemple, vous pouvez dans cette étape commencer par la taille du marché général jusqu’à la taille de votre marché bien particulier. Vous pouvez agrémenter celle-ci par des sondages afin d’affiner le besoin exact, de connaître le prix estimé par le client ou d’appréhender les offres complémentaires à la vôtre. Intéressez-vous également à votre concurrence pour savoir ce qu’ils apportent de plus ou de moins que vous. N’hésitez pas à la confronter avec des prospects pour savoir s’il y a un véritable intérêt ou si votre offre a des défauts. Vous pourrez ainsi voir si elle rencontre véritablement un succès auprès de votre cible. 

Faites un bilan personnel

Avant d’aller plus loin dans votre analyse, il vous faut commencer par vous afin d’être lucide votre motivation à entreprendre. Certaines raisons peuvent être mauvaises et il faudra prendre en compte qu’une motivation à toute épreuve est nécessaire quand on monte son entreprise. Vous allez passer par de rudes épreuves donc il vaut mieux vous assurer qu’elle est solide. Il s’agit également de faire un bilan de compétences afin de déterminer celles que vous avez et celles qui vous manquent pour parvenir au succès. A défaut, il vous faudra penser à une association, à recruter du personnel ou faire appel à des prestataires spécialisées. 

Concrétisez votre offre

Une fois que vous avez bien défini les pourtours de votre idée, approfondi votre marché et votre bilan personnel, vous pouvez commencer à arrêter de rêvasser et à la rendre concrète. Informez-vous tout ce qui touche à votre produit ou service. Vous devez savoir combien le mettre sur le marché va coûter afin de déterminer si votre coût pour le réaliser dépasse celui de vente. A défaut, il se pourrait bien que votre idée ne soit pas réalisable en l’état car il ne suffit pas d’avoir un super produit, il faut encore qu’il puisse être rentable et se vendre. Parfois, certains problèmes ont des solutions qui peuvent être mises en place si vous prenez le temps de réfléchir à comment contourner ces difficultés. 

Constituez votre équipe

C’est un des moments où les porteurs de projets bloquent. Ils s’aperçoivent qu’ils n’ont pas certaines compétences et qu’ils ne peuvent concrètement réaliser leur projet sans trouver de partenaires, voire des associés. La constitution de l’équipe représente un point clé à tel point que certains n’hésitent pas à réunir une équipe en premier puis à chercher l’idée qu’ils aimeraient bien concrétiser ensemble. Souvent, il est considéré comme utile d’avoir certains profils au sein de l’équipe dirigeante afin de diminuer les coûts, certes, mais également d’avoir la maîtrise totale sur son produit / service. 

Développez votre stratégie de conquête du marché.

On dit souvent que la même idée naît à deux endroits du monde en même temps, la différence se ferait sur l’exécution. Vous devez donc vous attarder sur la manière dont vous allez conquérir votre marché. Ce n’est pas parce que vous allez le meilleur produit qu’il va se vendre tout seul. Vous devez ainsi analyser comment vous allez réussir à vendre votre produit ou encore vous faire connaître. Ces éléments seront déterminants dans votre réussite. La grande question que l’on peut se poser est comment je vais contacter et conquérir des clients.

Vous penchez sur les finances

Une fois tout ce long travail fait, le moment de vérité est arrivé à savoir est-ce que le projet tient concrètement la route. La première question reste de savoir à partir de quel volume de vente vous êtes rentable. Ne répondez pas dès le premier produit vendu car vous avez déjà oublié que votre masse salariale (même si vous la considérez comme nulle au début) est à inclure.

Connaître l’ensemble de vos dépenses et le volume que vous devez atteindre pour que votre entreprise arrive au point mort est une opération à ne pas sous-estimer. Il vous faudra souvent de longs mois voire des années avant d’atteindre ce chiffre. N’oubliez pas d’inclure absolument tous les frais car vous pourriez bien vite déchanter. Il s’agit d’être le plus réaliste possible dans vos projections de vente. Soyez le plus pessimiste possible car il vous faut prendre en compte que si votre produit/service ne décolle pas aussi vite que prévu, vous pourriez bien faire faillite avant d’avoir atteint ce stade. Il s’agira ensuite de vous demander comment vous fournir les fonds nécessaires à l’atteinte de ce point mort. 

Trouver votre nom de marque et d’entreprise

Une fois tout ceci bien ficelé, le nom de marque ou d’entreprise peut enfin devenir une vraie question car rien ne sert de le définir si votre entreprise ne voit jamais le jour et de penser tout de suite international si jamais vous compter un jour vous y rendre et essayer dans la mesure du possible qu’il évoque votre service ou ce que celui-ci apporte sans toutefois être descriptif. A défaut, il pourrait être difficile de le protéger par la suite. Renseignez-vous sur sa disponibilité en tant que marque ou encore sur la future url du site internet