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Les tendances en web communication pour 2021

Pour réussir un marketing percutant pour les nouvelles générations, les entreprises doivent sans cesse s’adapter. Les tendances en web communication sortent des sentiers battus et offrent une panoplie d’outils de communication qui peuvent porter leurs fruits. 

Selon Meryem AMRI Directrice Marque & Expérience Union des marques :

« De par leurs prises de position et l’impact de leurs messages sur leurs communautés, les KOLs (Key Opinion Leaders) prouvent qu’en plus d’influencer un comportement d’achat, ils poussent à la réflexion. Ces messages ont été salués par les professionnels du marketing mais aussi par leurs abonnés appréciant leur investissement. Ils ne portent plus simplement la casquette d’influenceur, mais désormais celle d’ambassadeur et d’expert. » Elle ajoute

« En une année, le secteur du marketing d’influence s’est démocratisé. En 2020, il pourrait peser 10 milliards de dollars, soit 20 fois plus qu’il y a 5 ans. Et que nous réservent ces 12 prochains mois ?

Les budgets alloués au marketing d’influence pourraient continuer d’augmenter tant les outils mis en place par les réseaux sociaux incitent les annonceurs à s’investir pleinement sur les plateformes sociales. Ces derniers mois, le commerce social a fait son entrée. Instagram a déployé son option shopping à toutes ces fonctionnalités (sauf les Reels pour le moment) pour accoler des liens vers des pages de ventes directement sur les publications. »

Le marketing d’influence

La tendance qui s’impose  ces derniers temps est le marketing d’influence. Beaucoup de marques et d’entreprises facilitent la publicité et la communication grâce à des influenceurs. Issus des réseaux sociaux, ils ont construit leur notoriété et la génération Y et Z les apprécient. Présents essentiellement sur Twitter, Instagram ou encore Youtube, les marques se les arrachent pour tenter une promotion décalée. Cette tendance des influenceurs dans le marketing et la communication devient nécessaire pour les marques. Pour pratiquer le marketing d’influence, il suffit de convaincre un influenceur de promouvoir la marque, à l’aide d’un placement de produit ou encore d’un takeover.

La première pratique devient régulière sur Youtube, où les vidéastes s’adonnent à des références et des mises en avant de produit dans leurs vidéos. Instagram reste largement impacté par le marketing d’influence car toutes les célébrités y promeuvent leurs « essentiels » au quotidien. Le takeover consiste pour une marque à confier son compte Twitter, Instagram ou Snapchat à un influenceur pour donner sa patte sur la page du réseau social. Cette technique permet d’attirer une nouvelle clientèle, les « influencés », très friands des coût marketing de leur influenceur préféré. Cette pratique peut provoquer le buzz et engendrer une promotion impactante auprès d’un large public. 

La vidéo sous toutes ses coutures 

Les vidéos deviennent désormais omniprésentes sur Internet, 22 milliards de vidéos sont visionnées chaque jour sur toutes les plateformes (Instagram, Youtube, Snapchat, Facebook). La communication passe désormais par ce format devenu une superstar auprès des plus jeunes générations. Par leur marketing, les entreprises et les marques ont fortement compris l’impact de ce format sur leurs clients. Les nombreux médias comme BuzzFeed, Kombini ou encore Brut rencontrent une grande notoriété. Les formats attractifs deviennent alors des formats courts, attractifs et interactifs. La rubrique Discovery de Snapchat est l’exemple parfait, les stories (vidéos très courtes) exploitent tous les sujets de différentes marques ou médias pour se mettre en avant.

Autre format court et animé, le GIF devient une grande tendance chez les jeunes grâce à des blagues ou des memes dont les entreprises s’en servent pour être plus à même de séduire ce public plus facilement. En termes de marketing, la vidéo devient incontournable, elle touche les 15-30 ans à l’aide des réseaux sociaux. Tous les types de formats sont adaptés pour réaliser de la promotion ou juste de l’information. Les vidéos peuvent se composer de storytelling, être muettes, interactives, courtes, animées, tout est réalisable pour une communication et un marketing diversifié. 

Une interactivité pour être au plus près du consommateur 

Pour une campagne marketing en 2021, l’interactivité reste de mise, il faut pouvoir sensibiliser l’audience. Sans cette interactivité, les personnes seront intéressées seulement par un post, une vidéo, un tweet, les internautes se contenteront de « liker » ou de partager. Pour créer une communauté et garder l’audience, l’interactivité nécessite d’être mise en avant à l’aide d’outils déterminés. Les jeux, les quiz, les concours attirent le public qui souhaite partager et s’amuser en même temps. Heetch, l’entreprise de VTC met régulièrement ce type de jeux en place sur sa page Facebook. À l’aide de mots fléchés et de mots croisés, elle propose de faire gagner une promotion sur une prochaine course, les personnes jouent et partagent dans le but de gagner.

Ces solutions créent d’autant plus d’audience et permettent de fidéliser la clientèle sur le profil du réseau social. Les joueurs de Heetch restent abonnés à la page pour connaître les prochains concours. Ces campagnes marketing interactives sensibilisent les futurs acheteurs. Un tel contenu peut concerner le marketing de toutes les entreprises, un quiz ou un jeu sur un sujet importera toujours des personnes friandes de ce genre de pratiques. En 2015, une étude sur le sujet de l’interactivité a été réalisée par Demand Gen Report et 90% des acheteurs en ligne déclaraient préférer les contenus interactifs.

Le marketing par l’innovation

La tendance en matière d’innovation devient l’intelligence artificielle, passionnant les foules. En matière de marketing pour 2021, il en est de même. Le numérique ne s’arrête plus à notre smartphone, les assistants connectés d’Amazon ou Google deviennent une vraie tendance à travers le monde. Ces outils se relèvent être désormais un moyen de communication car les marques commencent à diffuser des publicités sur les assistants vocaux. Tout ceci, permet aux entreprises d’avoir une large visibilité sur le panel d’utilisateurs de ces assistants.

Au lancement de la saison 2 de la série Stranger Things, Google Home proposait un jeu pour promouvoir la série. Cette pratique est encore très marginale mais on peut facilement imaginer la démocratisation de cette pratique d’ici quelques années. L’intelligence artificielle s’installe réellement dans le marketing ces dernières années grâce à l’émergence des chatbots à travers Messenger, WhatsApp, Twitter ou Skype. Ce sont des intelligences artificielles pouvant répondre rapidement à des questions, apprenant au fur et à mesure. La mise en place de ce système devient essentiellement basée sur le service client, mais il permet de créer une proximité entre le client et l’entreprise. 

Les tendances de marketing s’inscrivent dans une modernité aux diverses facettes, permettant de toucher tous les publics grâce aux technologies, aux influenceurs et aux réseaux sociaux. Le marketing est un élément essentiel pour les entreprises pour s’imposer auprès de tous les acteurs. 

Les logos célèbres, histoire et anecdotes

Les logos reflètent l’histoire et l’aventure de la marque. Au fil du temps, il imprègne la marque et devient indivisible d’elle. Voici 12 anecdotes de logos célèbres qui vous inspireront peut-être pour le nom de votre entreprise.

Le logo des voitures, des signes qui n’ont plus besoin de mots

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Le logo VW dont la notoriété n’est plus à faire se compose de 2 lettres blanches (V au-dessus de W, unis dans un monogramme) dans un cercle unicolore, elles sont sur un fond bleu. La couleur blanche est synonyme de la pureté, de la créativité, de la perfection ; la couleur bleue représente la fiabilité, de la sécurité et l’excellence qui se doivent être les caractéristiques d’une voiture.

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Le créateur de la marque Lamborghini, Ferruccio Elio Arturo Lamborghini,

Il a choisi pour logo le taureau car il nourrissait une passion pour l’animal ainsi que pour la corrida mais aussi parce qu’il s’agit de son signe astrologique. Le taureau prêt à s’élancer est le symbole de la détermination de l’animal comme de la voiture. Il est à noter que de nombreuses voitures Lamborghini portent un nom en rapport avec les taureaux en lien avec la passion Ferruccio pour la corrida et les combats de taureaux. En ce qui concerne les couleurs du logo, elles étaient à l’origine blanche et rouge identiques aux couleurs de la ville de Sant’Agata Bolognese. Par la suite, le fond devient noir et le taureau couleur or.

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Le nom de la famille propriétaire était Toyoda. En japonais, Toyoda s’écrit en dix traits de pinceau, et le nom a été volontairement changé en Toyota qui s’écrit lui en huit coups de pinceau, le 8 étant un chiffre qui porte bonheur en Asie et signifie ouvrir. Il faut savoir que Toyota a d’abord été une usine de textile qui s’est reconvertie dans l’armement pendant la guerre, puis s’est concentrée sur son activité automobile. C’est en 1936 que Toyota commercialise sa toute première voiture.

Le Logo Toyota représente non seulement le T de Toyota, mais également, si on y regarde bien, toutes les lettres du mot Toyota, Il se constitue aussi de trois ellipses qui symboliseraient, d’après Toyota « l’union du consommateur et de l’âme du produit ».

André Citroën avant d’être constructeur automobile était un mécanicien très doué. Il découvre en Pologne des chevrons, qu’il ramènera en France et dont il déposera le brevet. Il les choisit comme emblème pour sa marque Citroën.

Les vêtements, toujours à la conquête de nouveaux marchés

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Le logo de la marque de vêtements féminins de surf et snowboard, Roxy, est en forme de cœur, identique à celui de Quiksilver, sauf qu’il est retourné et doublé. La marque Roxy est venue sur le devant de la scène quand la marque Quiksilver a décidé d’ouvrir de nouveaux marchés et vendre des maillots de bains pour les femmes et ont acquis très vite une excellente notoriété.

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35 dollars : c’est le prix versé pour l’achat du logo Nike. La créatrice du logo de la marque, Carolyn Davidson, n’aurait été payée que cette somme pour sa conception en 1971. Douze ans plus tard, afin de lui exprimer sa reconnaissance, l’entreprise lui aurait toutefois offert en 1983, 500 actions de la marque et une bague en or sertie de diamants représentant le logo. Le Swoosh est imaginé par Carolyn Davidson, alors étudiante en graphisme à l’Université de Portland en 1971 fait référence à la mythologie grecque, car la virgule s’inspire des ailes de la déesse.

Le logo Chanel (Comble du luxe et du raffinement) est composé de deux C. Les C de Coco Chanel mais aussi les deux C présents sur l’une des arches du château de l’une de ses meilleures amies :Irene Bretz. Une petite histoire peu connue d’une Coco qui adorait son amie : « La Belle Irène’

Les logos des produits alimentaires, une séduction permanente

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LU a pour origine une passion partagée entre deux artisans biscuitiers : Jean-Romain Lefèvre et Pauline-Isabelle Utile.  De leur mariage naît la maison LU (Lefèvre-Utile) en 1848 ainsi que son ambition de créer les meilleurs biscuits au monde. Louis Lefèvre Utile, le fils issu de cette passion, crée le Véritable Petit Beurre ! Avec ses 4 oreilles et ses 52 dents, il ne tardera pas à devenir le biscuit emblématique de la marque. La célèbre marque LU est, en réalité, l’acronyme de Lefèvre-Utile, les noms des parents du fondateur.

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L’appellation « Häagen-Dazs » ne signifie absolument rien. C’est en 1961 que la marque a été lancée à New-York par Reuben et Rose Mattus. Ils décident de créer un produit de qualité à consonance danoise afin de profiter de la bonne réputation de leurs produits aux États-Unis. Et c’est en répétant plusieurs fois des mots absurdes que la combinaison d’Häagen-Dazs vint à Reuben…

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Créée en 1920, la marque de confiserie allemande, Haribo, tient son nom de son créateur et de sa ville d’origine. Hans Riegel a, en effet, tout simplement choisi de contracter les deux premières lettres respectives de son nom et prénom ainsi que celles de sa ville, Bonn.

Le logo du géant du Fast Food Mc Donald a une anecdote. Crée 10 ans après l’ouverture du premier restaurant (1952) par Jim Schindler, il s’inspire des arches de l’architecte Stanley Meston de Phoenix. Ce logo peut avoir différentes formes selon les pays et supports. Depuis deux ans, il n’y a plus que le M sur le logo et plus « Mc Donalds ».


Chupa Chups : Ici pas d’évolution ou autre, mais une anecdote. Le logo de la plus célèbre marque de sucreries espagnoles a été dessiné par … Salvador Dali ! En forme de marguerite, il se veut le plus visible possible et .. aux couleurs de l’Espagne.

Les logos du règne d’internet, toujours avant-gardistes

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Lorsque Larry Page et Sergueï Brin choisirent un nom destiné au géant des moteurs de recherches, ils trouvèrent Googol. En langage mathématique, cela équivaut à 1 suivi de 100 zéros. Posant des problèmes juridiques pour le dépôt du nom de domaine, ils optèrent pour Google.

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Le géant Apple avait d’abord choisi une pomme entière pour logo afin de représenter celle d’Isaac Newton. Jugée difficile à comprendre, celle-ci a été transformée en pomme croquée et colorée. Le logo sera ensuite chromé pour insister sur le côté high-tech. C’est le designer Rob Janoff qui a créé le logo d’Apple.

Le logo Gmail a été conçu quelques heures seulement avant le lancement du service de messagerie électronique. Le webmaster Dennis Hwang, en charge de sa conception, avait repoussé l’échéance à la veille du lancement.  Avec un autre concepteur, ils se sont enfermés dans une cabine dans le siège de Google pendant presque toute la nuit et ont terminé le design du fameux logo quelques heures avant que le service soit lancé.

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Qui n’a jamais perçu un renard dans le célèbre logo du navigateur web Mozilla Firefox ? Il s’agit pourtant d’un panda roux, originaire de l’Himalaya et de la Chine méridionale. Daniel burka, le créateur du logo, trouva son inspiration dans la Bible qu’il lisait durant son enfance et dans le passage célèbre de La vengeance de Samson contre les Philistins, qui utilisa ces animaux afin de ravager les champs de ces ennemis.

Les bonnes raisons de bien se préparer à un concours de création d’entreprise

Bien fignoler le business plan qu’on va présenter lors d’un concours de création d’entreprise permet de tester la fiabilité de son projet.

Présenter lors du concours un business plan bien travaillé permettra aux membres du jury, composé souvent d’experts de l’entrepreneuriat, de vous donner leur avis et leurs conseils au sujet de votre projet.

Le concours c’est créer un réseau de personnes convaincues par votre projet

Qui sait, peut-être que dans le jury se trouvera votre futur client ou partenaire ? Ce qu’il faut savoir c’est que ce ne sont pas forcément les vainqueurs qui s’ouvrent les plus grandes portes grâce aux concours : les perdants dont le projet a attiré des personnes influentes peuvent également être considérés comme les gagnants

Le concours sera un excellent entraînement

Quelle meilleure façon de progresser que de vous entraîner en conditions réelles ? En travaillant bien votre dossier pour la participation à un concours, vous vous préparerez en même temps à toutes les futures présentation que vous serez amené à faire, notamment face à des investisseurs.

Le concours, une avancée dans votre projet

C’est bien connu, l’être humain a besoin de motivations extérieures pour le pousser à avancer. Et la perspective de gagner un concours peut représenter la « carotte » qui fera avancer l’entrepreneur à vitesse grand V sur son projet.

Qui sait, vous pourriez même gagner le concours !

Vous ne perdez rien à vous lancer dans la participation à un concours, alors autant le faire le mieux possible. Et en vous préparant bien, vous accroissez vos chances de le remporter.

Concours mondial de l’OMT pour le tourisme rural

Date limite de dépôt du dossier : le 1er juillet 2021.

Prix de l’entrepreneuriat féminin Pays d’Aix

Date limite de dépôt du dossier : le 4 juillet 2021.

Tech4Islands Awards 

Date limite de dépôt du dossier : le 7 juillet 2021.

Trophées 2021 h’up entrepreneurs

Date limite de dépôt du dossier : le 8 juillet 2021.

Challenge StartMeUp

Date limite de dépôt du dossier : le 9 juillet 2021.

Appel à candidatures Programme SUNS

Date limite de dépôt du dossier : le 9 juillet 2021.

Les Village Awards

Date limite de dépôt du dossier : le 11 juillet 2021.

Programme de pré-incubation Les Impacteurs

Date limite de dépôt de projet : le 15 juillet 2021.

Programme Gene.IO

Date limite de dépôt du dossier : le 16 juillet 2021.

Programme Immersion par LFA Startup Studio

Date limite de dépôt de dossier : le 17 juillet 2021.

Challenge d’innovation Océan et Environnement

Date limite de dépôt de dossier : le 18 juillet 2021.

Appel à candidatures Obratori, L’Occitane Innovation Lab

Date limite de dépôt du dossier : le 20 juillet 2021.

Sportup Summit organisé par AD’OCC

Date limite de dépôt du dossier : le 30 juillet 2021 à midi.

Appel à candidature Innovact

Date limite de dépôt du dossier : le 30 juillet 2021. 

Appel à projets collaboratifs d’innovation Industrie du Futur Hauts de France

Date limite de dépôt du dossier : le 31 juillet 2021.

Club des Entrepreneurs de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires

Date limite de dépôt du dossier : le 31 juillet 2021.

Addict Paris Challenge

Date limite de dépôt du dossier : le 31 juillet 2021.

NouveauCap

Date limite de dépôt du dossier : le 31 juillet 2021.

Appel à projet d’Avant-Garde Investment

Date limite de dépôt du dossier : le 31 juillet 2021.

Mastermind Competition

Date limite de dépôt du dossier : le 9 août 2021.

Covid-19 : Aide « coûts fixes »

Date limite de dépôt du dossier : le 15 août 2021.

Concours Digital InPulse par Huawei

Date limite de dépôt du dossier : le 15 août 2021.

Creative Valley

Date limite de dépôt du dossier : le 15 août 2021.

Creative Valley – Creative For Good

Date limite de dépôt du dossier : le 15 août 2021.

Handitech Trophy

Date limite de dépôt du dossier : le 18 août 2021.

Concours Les Audacieux « Start-up 18 mois » par Kite and Connect

Date limite de dépôt du dossier : le 20 août 2021.

Incubateur Innovation Sociale ATIS

Date limite de dépôt du dossier : le 22 août 2021.

Prix National du Créateur d’une Entreprise Sociale (Créenso)

Date limite de dépôt du dossier : le 27 août 2021.

Concours Bizon for Good

Date limite de dépôt du dossier : le 28 août 2021.

Programme Horizon

Date limite de dépôt du dossier : le 31 août 2021.

Fonds de structuration des filières issues de l’agriculture biologique

Date limite de dépôt du dossier : le 1er septembre 2021.

Appel à projets Ecosystèmes territoriaux hydrogène

Date limite de dépôt du dossier : le 14 septembre 2021.

Aide Covid-19 « Relancer mon entreprise autrement »

Date limite de dépôt du dossier : le 15 septembre 2021.

Incubateur Alter’incub

Date limite de dépôt du dossier : le 22 septembre 2021.

Prix Galaxie

Date limite de dépôt du dossier : le 24 septembre 2021.

3IA Start-it-up

Date limite de dépôt du dossier : le 30 septembre 2021.

Appel A Projets Energie CSR 2021

Date limite de dépôt du dossier : le 14 octobre 2021.

Aide Covid 19 : UrgencESS

Date limite de dépôt du dossier : le 30 décembre 2021.

Partenariats en innovation France-Singapour, France-Canada et France-Taïwan par BpiFrance

Date limite de dépôt du dossier : le 31 décembre 2021.

Crédit d’impôt pour la rénovation énergétique des TPE/PME

Date limite de dépôt du dossier : le 31 décembre 2021.

L’esprit start-up : avantages et inconvénients

Dans l’imaginaire collectif, posséder l’esprit start-up revient à briser les codes traditionnels du monde de l’entreprise grâce à une communication optimale entre collaborateurs, une excellente réactivité et de l’audace, le tout dans une ambiance de travail qui se veut conviviale. Quels sont les avantages et les inconvénients de l’esprit start-up ?

La créativité : un avantage à l’esprit start-up

Être créatif est généralement bénéfique pour toute personne qui se lance dans une start-up. C’est probablement le facteur clé du succès, car elle vous différencie de la concurrence. La créativité est un élément prépondérant dans le démarrage et l’exploitation de la start-up. Être innovant crée une émulation car l’innovation permet de sortir des sentiers battus et être pionnier quel que soit le domaine. Il permet de dépasser toute stagnation. À titre d’exemple, la créativité de Michel et Augustin a fait de cette entreprise qui avait pourtant de nombreux concurrents aujourd’hui un leader qui a tellement bien réussi que le grand groupe Danone l’a intégré pour mieux conquérir les consommateurs.

Un côté « cool »

Vous noterez que dans la plupart des entreprises, le vouvoiement est de rigueur entre les employés et la hiérarchie. Cependant, le caractère « cool » de la start-up est propice au tutoiement et de ce fait, même le dirigeant se fait généralement appeler par son prénom. Il ne s’agit nullement d’un manque de professionnalisme, mais d’une attitude qui brise les attitudes conventionnelles entre employeurs et employés. Dans le même temps, une start-up de par sa taille permet par exemple aux employés de déjeuner avec le fondateur quel que soit le poste occupé ou de jouer une partie de ping-pong avec ce dernier, ce qui facilite les liens et l’échange.

Une structure moins pesante

La simplicité est certainement l’esprit qui règne le plus souvent dans une start-up. Ici, il n’y a aucune formule prédéterminée ni de règles à suivre. La start-up paraît moins restrictive qu’une grosse société. Prenons l’exemple d’une société comme Instagram qui permet aux employés de se vêtir de façon décontractée, ou de se faire accompagner de leur animal de compagnie au travail. Il s’agit de motiver l’employé en le laissant travailler dans un univers simple, mais adéquat au rendement. Par ailleurs, la start-up s’encombre généralement beaucoup moins de la hiérarchie inhérente aux grands groupes, qui peut parfois paralyser les prises de décision.

Pas de limites au travail ?

Si l’on peut dégager de nombreux avantages à ce fameux esprit start-up, il n’en existe pas moins quelques inconvénients. Souvent plongés dans un état d’esprit de conquête, ce qui semble logique au vu de la jeunesse de leur activité, les dirigeants d’une start-up peuvent parfois en demander énormément aux collaborateurs, ce qui peut avoir pour conséquence de les décourager. Le taux de turn-over, important dans les start-ups, semble venir confirmer cette observation mais à l’inverse certaines start-ups gardent leurs collaborateurs car ils croient dans sa capacité à se développer.

Le manque de moyens face à la concurrence…

Sans moyens, une start-up n’est rien. Et c’est malheureusement bien souvent le cas d’une entreprise qui se lance. Si les start-ups se placent constamment dans une position d’innovation, elles peuvent néanmoins assez vite se retrouver doubler par les concurrents qui peuvent s’appuyer sur leurs idées pour les développer à leur manière, avec leurs moyens, plus conséquents. Les exemples sont nombreux de faillite de start-ups qui n’ont pas pu obtenir les moyens financiers qui leur aurait permis de faire une success story.

Finalement, on pourrait dire que l’esprit start-up c’est d’abord le fait de croire à l’espoir d’un avenir meilleur mais aussi la volonté de vivre le travail comme un moment à part entière et non comme une obligation. La start-up remet l’humain au centre et non plus les procédures, véritable carcan qui nuit à la créativité.

À la conquête des premiers clients !

2007, ce sont les débuts de Dynamique entrepreneuriale. Déjà 14 ans. Le dirigeant a affronté mille tempêtes dans un secteur où les concurrents avaient déjà pignon sur rue et sans cesse innover pour mieux rebondir. Quand les vagues se présentaient, il fallait être novateur mais la première vague à affronter est bien celle des clients. Olivier Nishimata, cofondateur de Dynamique Entrepreneuriale, revient pour vous sur les débuts de l’aventure Dynamique afin de partager avec vous, son expérience et vous confier comment il a pu réussir à sortir du labyrinthe du commercial inexpérimenté qu’il était. 

Au démarrage de l’activité, nous n’avions aucune commande émanant de clients, comme cela arrive plus souvent qu’on ne le pense. Notre carnet d’adresse d’étudiants était quasi-inexistant et comme l’aventure avait débuté sous forme d’association au sein de notre école, nous ne disposions pas de fonds. Il nous fallait convaincre les annonceurs d’investir dans notre magazine afin que celui-ci puisse paraitre.

Les démarrages : le tâtonnement

Nous ne savions pas vraiment par où ni quoi commencer. Nous nous sommes lancés dans la création d’une plaquette, rose fluo, qui décrivait notre projet, le prix des insertions publicitaires et les avantages à insérer de la publicité dans notre futur magazine. Ensuite, nous avons parallèlement constitué une liste des annonceurs potentiels pour le magazine en nous basant sur ceux présents chez les concurrents directs ou indirects. Il s’agissait de tous ceux qui pouvaient avoir intérêt à communiquer auprès d’une cible étudiant/entrepreneur. La première difficulté que nous avons rencontrée a été que nous n’arrivions pas à identifier l’interlocuteur final, celui qui était le décideur et donc l’acheteur. Nous avons cherché dans notre réseau des personnes travaillant pour les enseignes et pouvant nous renseigner sur la personne à joindre. Parallèlement, nous avons effectué des recherches sur internet et nous avons pris notre courage à deux mains pour appeler.

Les premières difficultés

Dès les premiers rendez-vous, nous avons vite compris que nous ne connaissions pas bien les codes du métier. Les termes nous semblaient obscurs et nous avons donc dû comprendre au fur et à mesure ce qu’ils signifiaient. C’est ici que la concurrence s’est avérée fort utile car nous nous sommes servis de leur manière de faire pour appréhender les ficelles du métier. Au cours de notre avancée, nous avions quelques éléments « solides » à présenter que nous avons complété par notre plaquette (dite kit média, un peu présomptueux à l’époque, je l’avoue) qui a été modifiée à de nombreuses reprises.

La principale difficulté que nous avons rencontrée par la suite est que nous n’avions pas de produit à montrer, le magazine étant en cours de réalisation ! Un challenge. Nous avons finalement réussi à convaincre quelques annonceurs, séduits par notre enthousiasme et aussi portés par leur intuition,  qui nous ont permis de sortir notre premier numéro. Et il faut le dire : « le culot, cela paie ! » et « merci à ceux qui nous ont fait confiance ! »

Du démarrage à la professionnalisation

Pour la seconde parution, nous avons utilisé la même stratégie à la différence près que nous avions déjà réalisé un premier magazine. Nous pouvions nous servir de ce qui avait été réalisé pour montrer et  convaincre de nouveaux annonceurs et fidéliser les premiers annonceurs. Nous avons beaucoup insisté sur le côté novateur mais aussi sur la richesse de la seconde édition. Le kit média est devenu plus performant et nous avons réussi à convaincre davantage d’annonceurs. A la suite de cette seconde expérience, nous avons pu constater les faiblesses de notre produit et elles étaient nombreuses : logo à créer, maquette à refaire, pages trop chargées, chaine de distribution à roder etc…

Nous avons décidé d’investir du temps sur l’amélioration du produit pour combler toutes les failles. Et il faut bien constater qu’entre la deuxième et la troisième édition du magazine, elles n’avaient que peu de points communs si ce n’est le nom. Les outils commerciaux tels que la plaquette ont été les premiers à subir un lifting et nous avons rapidement mis en place des adresses emails professionnelles. En juin 2008, nous nous lancions dans la création de la structure juridique qui marquait notre volonté de nous lancer définitivement dans l’aventure.

L’obstacle téléphonique en premier

La crise commençait à faire sentir ses effets alors que nous commencions nos démarches commerciales. Malgré une amélioration conséquente de la qualité du magazine et de nos outils commerciaux, nous devions, avant tout, développer notre carnet d’adresse. Autrement dit, à aller dans le dur. Nous appelions tous les numéros afin d’identifier notre interlocuteur final et l’avoir en ligne. Nous avons vite appris à balayer les objections telles que « je n’ai pas le temps » ou encore « j’ai déjà tout ce qu’il me faut » par des « c’est justement pour cela que je veux fixer un rendez-vous avec vous quand vous aurez plus de temps » ou « cela ne coûte rien de comparer ».

Il est drôle au final de constater qu’il n’existe seulement qu’une dizaine d’objections courantes. Le plus grand apprentissage de cette période demeure que les appels téléphoniques ne servent pas à étaler votre offre mais plutôt à fixer un rendez-vous. Parallèlement, nous avons commencé à nous former aux techniques de vente.

Le grand apprentissage de la vente.

Nous commencions à décrocher des rendez-vous grâce à notre obstination.

Organisés, une liste sur Excel à l’appui, nous appelions sans répit nos interlocuteurs jusqu’au moment où nous les avions au bout du fil et arrivions à décrocher des rendez-vous. Les rencontres avec nos clients se sont avérés beaucoup plus conviviales qu’au téléphone. Conscients que nous n’étions pas les seuls et qu’ils étaient assaillis par des demandes pour leur vendre des insertions publicitaires, nous avions travaillé avec rigueur notre discours commercial afin de leur montrer l’intérêt d’investir dans notre magazine. Oui mais voilà : les premiers rendez-vous n’entrainaient aucune transformation.

Nous avons rapidement identifié que la crise rétrécissait les budgets et que la plupart des annonceurs étaient contraints de réduire leurs investissements. Heureusement, les caractéristiques de notre support et notre prix, représentaient des avantages non-négligeables qui auraient dû convaincre plus d’un interlocuteur. La formation en vente (ndlr : chez Booster Académy) a été particulièrement utile ici. Déjà car nous avons compris qu’il fallait développer une première capacité : l’écoute et de plus qu’un argumentaire débité à toute vitesse  provoque l’effet contraire à celui attendu. Vous avez assommé sous le flot de vos paroles votre interlocuteur et le résultat est négatif.

Pour que votre argumentaire soit performant, vous devez chercher à mettre en avant son intérêt c’est-à-dire l’aider à remplir ses objectifs. S’il vous a accordé un rendez-vous, c’est en général qu’il a perçu un intérêt aussi petit soit-il dans votre offre. A vous de découvrir lequel et saisir cette opportunité pour lui montrer que grâce à votre produit ou service il pourra atteindre ses propres résultats. Rien ne sert ainsi d’insister sur la puissance d’un moteur de voiture si ce qui intéresse votre interlocuteur réside dans le fait de pouvoir y mettre quatre personnes ! Désormais c’est à vous de jouer ! Mais n’oubliez jamais que c’est votre client qui demeure votre meilleur conseiller.

Les actions marketing à mettre en place pendant l’été

Les Français, depuis la réouverture  des cafés, ont retrouvé la joie et la bonne humeur, à la veille des vacances. C’est donc le moment de les solliciter et de trouver des idées novatrices pour les attirer à ne serait-ce que pour  venir surfer sur votre site et ils peuvent le faire d’autant plus facilement que leur mobile est devenu leur compagnon de la vie quotidienne. Durant les mois de juillet et le mois d’août les entreprises en B2B et en B2C vivent souvent une période creuse. Les vacances engendrent une perte d’activité pour de nombreux secteurs. Les clients ne sont pas suffisamment au rendez-vous et des actions marketing peuvent s’avérer nécessaires pour les motiver. Le beau temps est aussi une occasion de faire des actions différentes parfois impossibles à mettre en place le reste de l’année.

Faire un concours

Durant l’été, les réseaux sociaux deviennent un outil essentiel pour les entreprises. Elles rencontrent souvent un pic d’inactivité et il se révèle être moment opportun pour améliorer son image de marque. Les clients sont relativement absents comme une partie des équipes pour cause de vacances, alors autant en profiter pour communiquer sur les réseaux sociaux avec des actions marketing. Ils restent les plateformes les plus utilisées durant les vacances, il faut alors les exploiter avec des actions en rapport avec l’été comme un jeu-concours. Ainsi, en fonction des entreprises, il sera possible de proposer à la communauté un kit pour la plage, des places pour un parc aquatique ou encore un voyage pour celles avec un plus gros budget. Durant les vacances, la cible diffère ainsi que les envies des clients, il faut donc prévoir une nouvelle stratégie pour cette période.

Animer les différentes plateformes avec des gifs animés et des memes

Comme avec les concours pour rassembler la communauté, il est important de paraître un peu plus amusant durant l’été auprès des abonnés sur les réseaux sociaux. En vacances ou non, l’été est synonyme de divertissement, de soleil et de plage. Des sujets trop sérieux et une communication comme le reste de l’année s’avéreront un peu déprimants pour les clients. Il est donc important d’être un peu plus original. Sur les réseaux sociaux, la diffusion de gif ou de meme animent plus facilement une plateforme.

Amener les gens à venir sur le site lors d’une période creuse

Pendant l’été, les visiteurs sur un site se font de moins en moins nombreux et le taux de conversion est souvent beaucoup plus bas. Les vacanciers réalisent moins d’achats en ligne. Il est donc primordial en été de ne pas se focaliser sur un chiffre d’affaires précis, mais plutôt sur la solution pour continuer d’attirer des personnes sur un site web. Encore une fois, les réseaux sociaux entrent en jeu ou même avec des contenus publicitaires sur Google. Il s’agit de faire dans l’originalité et de conserver le thème des vacances. Un vacancier ramené à la dure réalité de la vie quotidienne n’a pas forcément envie de se déplacer sur un site internet.

Distribuer des produits ou des flyers

En été, les grandes villes sont désertées pour les plages, mais il s’agit aussi de réaliser les actions marketing impossibles à mettre en place le reste de l’année. Une entreprise avec moins d’activité en été peut en profiter pour réaliser des actions de « rue » comme la distribution de flyers ou de produits. Le beau temps est propice à ce type de pratique et il s’agit de trouver un endroit stratégique pour permettre la distribution.

Les marques le font régulièrement en été, comme Lipton ou encore Danone qui distribuent leurs produits dans les rues des grandes villes. Les passants peuvent alors tester les produits en direct et être amené par la suite à les acheter. Pour les flyers, l’été peut être l’occasion d’annoncer des promotions avec les soldes ou même au mois d’août pour attirer du monde sur le site web. Pour ces actions marketing, il est possible de faire appel à des personnes en intérim ou même envoyer quelques salariés sur le terrain. Le manque d’activité d’une entreprise peut être une opportunité pour envisager d’autres pratiques de la part de vos salariés.

Organiser des évènements autour de l’été

En été, tout le monde souhaite profiter du beau temps et d’une ambiance décontractée. En tant qu’entreprise, il peut s’avérer utile d’organiser des évènements sur le thème des vacances et de l’été. Que ce soit en B2B ou bien en B2C, tout le monde apprécie de profiter d’un moment de détente autour d’un apéritif, d’une soirée mousse. Il s’agit de faire dans l’originalité contrairement au reste de l’année.

Un moment agréable peut aussi être l’occasion de mettre les produits ou des informations à disposition pour le public. Redécorer un lieu sur le thème de la plage, proposer des glaces, un cocktail sur un transat, tout cela, aidera les clients à se sentir un peu plus en vacances, un avantage pour une entreprise. Attention toutefois, il n’est pas nécessaire de consacrer un budget conséquent pour un tel évènement si vous avez conscience du manque de personnes à cause des vacances. Il est important de savoir si suffisamment de personnes seront prêtes à faire le déplacement.

10 pratiques imparables pour son emailing

En matière de retour sur investissement en communication, les réseaux sociaux et AdWords sont devenus des canaux privilégiés pour communiquer par les entreprises. Pourtant l’email est loin d’être mis au placard car il possède encore des atouts considérables. Que ce soit pour contacter de futurs clients ou simplement pour diffuser une newsletter, l’email peut s’avérer réellement bénéfique pour vos affaires. Alors à vous les techniques et pratiques imparables à ne pas omettre lors de la réalisation de son emailing.

Les statistiques email marketing

Selon le site Oberlo,

  1. Le nombre d’utilisateurs d’e-mails devrait atteindre les 4,48 milliards en 2024.
  2. 293,6 milliards d’emails ont été envoyés et reçus chaque jour.
  3. Le retour sur investissement moyen sur l’emailing est estimé à 32 € pour 1 € dépensé.
  4. Près de 9 responsables marketing sur 10 utilisent l’emailing pour la diffusion de contenus.
  5. 81 % des petites entreprises considèrent l’emailing comme leur premier canal d’acquisition et 80 % comme canal de rétention.
  6. Le taux d’ouverture moyen d’un e-mail de bienvenue est de 82 % contre 20 % pour un mail normal.
  7. Les emails dont l’objet est personnalisé génèrent une augmentation de 50 % du taux d’ouverture.
  8. Envoyer 3 mails d’abandon de panier provoque une augmentation des transactions de 69 % par rapport à l’envoi d’un seul mail.
  9. Les emails contenant des vidéos génèrent 300 % d’engagement supplémentaire.
  10. 49 % des consommateurs aimeraient recevoir plus d’emails promotionnels de la part de leurs marques favorites.

1. Bien choisir l’objet de son mail

Vos futurs clients, submergés par les nombreux mails qu’ils reçoivent, ont tendance à les supprimer. Pour se démarquer face à la quantité de messages qui inondent leur boite mail chaque jour, misez sur la rédaction de l’objet de votre mail qui doit être percutant et concis. Par conséquent, comme un slogan, il faut pouvoir trouver la juste longueur tout en captant l’attention. Pour attirer l’œil, utilisez les majuscules, le gras, les couleurs sans en abuser toutefois.

2. Penser toujours à la version mobile

Depuis que les smartphones se sont imposés comme moyen de communication, la consultation des e-mails se fait tout au long de la journée sur le téléphone. Vos clients parfois en déplacement ou bien dans les transports, n’ont pas toujours accès à un ordinateur. Alors, ajustez votre mail pour qu’il corresponde à une version mobile. Par ailleurs, la taille des images et la forme du texte doivent être bien adaptées pour qu’elles puissent être lisibles en toutes circonstances.

3. Rédiger un texte court et attractif

Le mail est souvent l’occasion d’exposer votre actualité, vos projets. Le sujet peut sembler pertinent pour beaucoup de vos clients, mais pour générer des réponses ou même un rebond sur votre site, pensez à faire un texte court et clair. Les mails consistent à engendrer un réel intérêt et une action de vos futurs clients, s’ils ne vont pas jusqu’au bout de votre message, vous aurez perdu votre temps et vous leur aurez fait perdre du temps.

4. Ecrire en utilisant le style journalistique

Les journalistes pour attirer l’attention des lecteurs suivent des principes rigoureux : le titre et donc l’objet pour un e-mail, et écrivent en pyramide inversée : l’essentiel au début qui suscite l’intérêt et qui donne envie de lire les explications qui suivent.  Comme pour la longueur du texte, le lecteur de votre mail doit être sensible à ce que vous racontez. Il s’agit de pouvoir provoquer l’intérêt au sein de votre message, à travers des images, de la couleur et une bonne rédaction. Prêter particulièrement attention aux fautes d’orthographe qui vous décrédibiliseront. Pensez à miser sur un texte original avec un peu de storytelling ou du moins des phrases bien tournées pour intéresser d’autant plus le lecteur.

5. Relier les images au site via des liens

Un emailing a souvent pour but de convertir des futurs clients, n’hésitez pas à les rediriger vers votre plateforme à l’aide d’une image, d’un logo ou encore de votre slogan. Un lien intégré à ces éléments facilite la navigation et encourage votre interlocuteur à se diriger vers vos réseaux sociaux ou votre site.

6. Envisager que l’e-mail ne s’affiche pas correctement

Il arrive que les images au sein d’un mail n’arrivent pas à s’afficher. Pour faciliter la navigation, pensez aux solutions pour que votre mail reste interactif. Une des solutions les plus courantes reste celle de l’alt-text, il s’agit d’un texte qui remplacera votre image si elle ne s’affiche pas. Cette solution évite de montrer un manque de professionnalisme de votre part et surtout de détourner l’internaute de votre message.

7. Penser aux réseaux sociaux

Renvoyer vers un site s’avère pertinent dans un email, mais n’oubliez pas les réseaux sociaux. Si vous avez différentes informations à diffuser, vous pouvez inciter vos interlocuteurs à se diriger vers vos réseaux pour en apprendre plus. Un bouton de partage intéressera forcément quelques personnes de votre campagne emailing.

8. Tester son mail en interne

En fonction des différentes plateformes, les e-mails ne sont pas toujours affichés de la même manière. Avant de vous lancer dans une campagne e-mailing de grande envergure, vérifiez le contenu de votre mail et son affichage. Pour s’assurer d’une bonne qualité, n’hésitez pas à le tester en amont vers toutes les plateformes comme Gmail, Outlook, Yahoo etc.… mais aussi sur PC, Mac et smartphones.

9. Faire de l’analyse après avoir envoyé les emails

Envoyer une grande quantité d’e-mails est le plus souvent bénéfique en retour

d’investissement pour votre entreprise, mais il s’avère nécessaire de connaître leur portée et l’impact qu’ils ont sur les visites de votre site. Il existe des logiciels qui pourront vous aider à savoir si vos interlocuteurs les ont lus, ouverts ou directement mis dans les spams. Une analyse rigoureuse s’impose pour comprendre ce qui a pu faire défaut dans votre objet ou votre message. En fonction des résultats vous améliorerez votre prochaine campagne emailing.

10. Entretenir sa base client

Avant d’envoyer des emails, pensez à bien entretenir votre base clients et à contrôler la validité des adresses mails ainsi que le nom de vos interlocuteurs. Vérifier les informations permet aussi d’écrire des mails personnalisés qui tisseront des liens plus étroits avec vos clients. Votre base nécessite d’être régulièrement analysée pour éviter les doublons ou encore les adresses incorrectes. Une campagne emailing aura plus d’impact si elle est menée avec sérieux.

Les entreprises réalisent régulièrement des envois massifs de mails pour diffuser une newsletter, une nouvelle information ou simplement pour recontacter des anciens clients. Avoir les bonnes pratiques aide à convertir des prospects en véritables clients en les menant directement vers votre site ou vos réseaux sociaux. Alors l’e-mail a encore de beaux jours à vivre pour réaliser les campagnes de communication et de marketing.

Mounir Digital 💻 on Twitter: "🆕 #NEWSLETTER & #EMAILING : QUELLES  DIFFÉRENCES ? 🤔 On confond souvent les deux, mais ils sont différents. En  écoutant le #superdaily de @supernatifs l' #infographie a
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Les bonnes raisons de travailler avec une agence web

Se focaliser sur un site internet lorsque l’on n’a pas développeurs au sein de l’entreprise est une gageure car l’entrepreneur prend le risque de réaliser un site peu performant. Pour mieux se positionner et avoir un meilleur taux de conversion, il peut s’avérer utile de faire appel à une agence web. Composée de professionnels, une agence web vous apportera les qualités et compétences nécessaires pour développer un site. Les prix peuvent vous paraître hors de la portée de votre bourse, mais sachez-le un site bien réalisé génère du chiffre. À vous la rentabilité !

Pas besoin de recruter et de perdre du temps

Les petites entreprises tentent souvent de faire elles-mêmes leur propre site, ce qui prend souvent du temps. Lorsque l’on ne possède pas les connaissances en matière de développement, gérer tous les aspects d’un site peut être réellement chronophage. Ainsi vous aurez besoin non seulement besoin de recruter un développeur qui possède les compétences pour vous réaliser un site agréable et design mais aussi d’une personne qui maîtrise tous les aspects du marketing et de la communication. Bien qu’une agence web relève d’un coût conséquent, elles possèdent les différents pôles qui pourront aborder tous les points nécessaires pour réaliser un site qui attirera la clientèle.

Des professionnels pour un site performant

Les agences web ont la capacité de rassembler sur tous les éléments nécessaires pour que votre plateforme soit performante et ressorte sur les moteurs de recherche. La plupart des internautes se perdent sur Internet sans rechercher un site en particulier. Une agence web justifie des qualités pour mettre en place des techniques afin que les utilisateurs se dirigent vers votre site et en fassent leur site de référence.  C’est pourquoi, les agences web s’occupent de suivre vos utilisateurs pour comprendre leur comportement. À l’aide de statistiques et d’analyses, elles seront en capacité de décupler votre audience et vos acheteurs.

Une maîtrise des outils pour engendrer une conversion des utilisateurs

Pour permettre une meilleure conversion des internautes afin qu’ils deviennent des consommateurs ou du moins des prospects, les agences web utilisent de nombreux outils qui restent difficiles à maîtriser en tant qu’amateur. Elles possèdent une meilleure connaissance du SEO, du design responsive et des boutons call-to-action qui permettent une meilleure visibilité et activité sur votre site. Utiliser toutes les facettes d’internet relève d’une certaine complexité qui demande beaucoup de temps sans professionnels et vous risquez de vous perdre dans les dédales des nouvelles technologies.

Une originalité sans faille

Les agences web possèdent une véritable expertise dans leur domaine particulièrement en matière de créativité. Ils réalisent de la veille régulièrement pour s’informer sur les tendances à suivre en matière de référencement et de design. L’expertise des agences web aide à créer un site avec une véritable originalité tout en attirant les internautes. Ayant de multiples qualités, elles vous permettront d’avoir un design inédit et une communication adaptée à votre entreprise et à votre site d’e-commerce. Elles ne s’arrêtent pas à la simple création du site, elles aident à avoir un vrai suivi en fonction de ce que vous attendez.

Un regard critique pour une bonne performance

Performantes dans leur domaine, elles proposent un véritable regard critique sur les entreprises avec lesquelles elles travaillent. Une agence web pourra directement vous faire un retour sur ce qui ne va pas en matière de marketing et de communication. Comme pour tout travail de cible, il s’agit d’apprendre à connaître votre entreprise pour proposer la meilleure approche possible sur votre plateforme. Vous pourrez alors vous organiser en fonction de vos attentes et des éléments primordiaux à suivre sur le net. Un regard extérieur sur votre communication aidera aussi à vous améliorer particulièrement si vous souhaitez vous en occuper personnellement.

Le marketing et la vente, des missions d’agence web

Les apparences démontrent souvent qu’une agence web se focalise uniquement sur la plateforme. Avec les différents CMS comme WordPress créer un site ne s’avère pas extrêmement complexe. Une agence web permet d’obtenir beaucoup plus d’éléments, elle s’engage aussi à gérer le marketing et le côté e-commerce. Bien qu’une agence s’avère utile pour un site de vente, l’option peut paraître pertinente si votre site propose une présentation de vos produits ou vos services. Elle s’occupera de créer un tunnel de vente, ce qui vous aidera à développer vos affaires. Le commerce sur Internet manque de simplicité et les entreprises rencontrent parfois des difficultés à se positionner. Les agences web s’engagent pour que votre site devienne pertinent pour les acheteurs et pour votre entreprise.

Une solution rentable

Les entreprises n’envisagent pas toujours les agences web, en raison du coût. Cependant, Les prix varient en fonction de ce que vous recherchez, et ce dont vous avez besoin. Il s’agit souvent d’un coût important mais une agence web peut s’avérer rentable pour vous. Grâce à une telle aide au quotidien, vous serez face à des professionnels qui maîtrisent le web, la communication, le marketing et la vente.

Pour avoir de telles capacités en entreprise, cela nécessite de recruter différents postes qui avec les salaires deviennent coûteux et vous obligeraient aussi à faire face à un coût salarial pérenne. Un site de qualité demande aussi de nombreuses licences pour des logiciels qui génèrent elles aussi un coût important. En réalité même si les chiffres annoncés par les agences web peuvent paraître exorbitants, ils restent souvent plus avantageux que des salariés et des licences professionnelles. Pour être sûr de vous, n’hésitez pas à vous renseigner pour choisir celle qui correspondra à vos attentes.

Comment profiter de l’échec pour mieux rebondir ?

Constituées de petites équipes, les start-up doivent s’investir sur tous les fronts (gestion, commercial, communication, marketing…). Chaque année, des entrepreneurs mettent la clé sous la porte à la suite des difficultés entraînant un échec parfois insurmontable. Comment faire alors pour profiter de l’échec pour mieux rebondir et réussir à le transformer pour en succès ?

La crise sanitaire a mis plus d’une start-up en difficultés. pour certaines le confinement a stoppé toutes les opportunités. Il a fallu à bon nombre d’entreprises rechercher des solutions pour traverser cette crise et ne pas mettre la clef sous la porte.

Mais pourquoi donc certaines start-up font faillite ?

La survie des start-up est un sujet de préoccupation qui fait souvent la une de certains médias, créant une atmosphère délétère. Très jeunes et pourtant innovantes, elles restent encore trop nombreuses à devoir déposer le bilan. Sur la totalité des start-up seulement 10% d’entre elles arrivent à survivre. Si ce chiffre sème l’inquiétude, il est révélateur du fait que réussir à gérer une start-up dans le contexte actuel n’est guère une tâche facile et ne s’improvise pas et que les dirigeants font face à de nombreuses difficultés qu’il leur est parfois impossible de surmonter.

Parmi les causes les plus courantes de la faillite des start-up, une des premières est liée à la cible mal choisie ou mal cernée mais aussi au projet ou produit, certes génial, mais qui ne correspond pas aux besoins du marché et des clients. Or établir un business model qui permet d’appréhender les besoins et les souhaits des consommateurs ne semble pas être la priorité d’un grand nombre de dirigeants. Ils préfèrent parfois se focaliser sur des problèmes à « résoudre » et se noient dans des détails. Les entreprises justifient d’innovations performantes mais elles n’intéressent pas suffisamment les acheteurs ou ne correspondent pas leur pouvoir d’achat. Pour d’autres, il s’agit d’un plan de trésorerie défaillant ou encore d’une mauvaise stratégie marketing ou de gestion. Il arrive que l’échec provienne également de l’équipe recrutée ou encore des associés. Comme on peut le constater les raisons d’un échec peuvent aussi se cumuler, l’une générant l’autre. Créer veut dire maitriser tous les domaines et comprendre l’importance d’établir une stratégie sans faille. Alors face à l’échec analyser toutes les failles permet de rebondir en ne commettant pas les mêmes erreurs.

La durée de vie des start-up s’allonge, mais les échecs persistent

Ces dernières années, l’espérance de vie des start-up s’est allongée promettant une possible survie d’un plus grand nombre de structures. Aux Etats-Unis, une start-up sur deux ferme avant son premier anniversaire.  A contrario, en France, la tendance reste plutôt encourageante. 60% des start-up de l’Hexagone atteignent au moins les quatre ans d’ancienneté. Si le chiffre reste encore peu élevé, la durée de vie se prolonge. Cette stabilité peut être mis à mal par les difficultés que les start-up rencontrent. L’échec fait peur à de nombreux entrepreneurs qui envisagent cette aventure entrepreneuriale comme un voyage sans retour. Inquiets de mettre la clé sous la porte, ils n’imaginent pas pouvoir rebondir et être capables de dépasser leurs erreurs alors que l’échec est avant tout synonyme d’expérience.

La peur de l’échec

Pour de nombreux entrepreneurs de start-up envisager l’échec leur donne des sueurs froides. La peur de l’échec génère souvent plus d’angoisses que l’échec lui-même. Pour pouvoir l’appréhender s’il arrive un jour, mieux vaut maitriser cette peur. Accepter que l’échec puisse survenir vous permet de vous remettre en cause et d’être davantage attentif et de mieux gérer vos émotions afin de rebondir. Développer une start-up ne s’avère pas une sinécure. Personne n’a réussi à créer une entreprise parfaite sans jamais vivre des péripéties. Le professeur de Berkeley en entrepreneuriat, Mark Coopersmith, évoque que pour transformer l’échec en réussite, mieux vaut se focaliser sur le modèle scientifique. En science, lorsqu’une expérience se solde par un échec, les scientifiques y voient seulement une expérience non-concluante à laquelle il faut réfléchir pour trouver la solution. La métaphore de Mark Coopersmith envisage donc de condamner l’échec en y voyant simplement une expérience non-concluante et de continuer à chercher une issue heureuse.

Voir l’échec comme une expérience

En tant qu’entrepreneur, au fur et à mesure de votre aventure vous vivrez différents échecs et difficultés qui font partie inhérente de la vie d’une entreprise, ce à quoi il faut vous préparer. Il s’avère important de ne plus se focaliser sur la peur qui peut vous paralyser mais de développer des capacités pour l’affronter et  pour le vivre comme une expérience. Être maître de soi face à de telles situations vous aidera à vous relever plus facilement lorsque vous échouerez. Les expériences ne peuvent pas toujours être réussies et elles font partie de votre construction et de celle de votre entreprise. Bien que ce soit angoissant, vous serez plus à même de gérer les situations de crise et les difficultés au quotidien. Vous vous forgerez une maîtrise . Les scientifiques à la suite d’une erreur remettent en question tous leurs procédés pour trouver ce qui ne va pas. N’attendez pas forcément des erreurs pour vous poser les bonnes questions ou vous remettre en cause. Quoi qu’il arrive, elles vous serviront pour avancer.

Des sujets relatifs à l’échec reviennent souvent dans les discussions. Certaines start-up réussissent grâce à une bonne stratégie mais aussi parce que les dirigeants se remettent en question régulièrement et profitent des échecs passés pour s’en servir de tremplin.

Les Français, une confiance aveugle pour les marques ?

Les consommateurs restent le point incontournable à privilégier quelle que soit l’entreprise. Pour les satisfaire, certaines d’entre elles n’hésitent pas à changer leur business model ou à se diriger vers des secteurs davantage éthiques qui correspondent à la tendance actuelle. Les Français accordent une confiance aveugle pour les marques, à la qualité des produits ou bien aux valeurs. Elles sont aujourd’hui essentielles pour développer un business. Prendre conscience des volontés des consommateurs pour qu’ils se sentent en cohésion avec une entreprise et ses produits est devenu un principe auquel il ne faut pas déroger.

Quelles sont les attentes des Français ?

Kantar a mené la 3e vague de l’enquête exclusive #çaMarque! pour l’Union des Marques en 2021, explorant les relations et les attentes des Français envers les marques. Les Français réaffirment clairement leur confiance dans les marques, pour les écouter et tenir compte de leur avis. Les  marques locales/régionales à 82% de confiance et les marques Françaises à 79%  sont sur le podium ; les marques internationales sont plus en retrait à 50% sur ce critère, mais démontrent dans cette période incertaine une très forte progression de +8 pts.

Les consommateurs attendent que les marques s’engagent, car 43% estiment que ce sont elles qui pourraient avoir le plus d’impact pour lutter contre les dommages environnementaux par exemple. Mais peu d’entre elles sont identifiées comme engagées :  seulement 1 français sur 5 est capable de nommer une marque « qui fait beaucoup pour l’environnement ».

Que doivent faire les marques ?

Les marques doivent ‘faire’, mais aussi ‘faire savoir’ : en effet quand les marques communiquent sur leurs engagements, le bénéfice est bien mesuré ! Cela joue fortement sur l’item de ‘Confiance’ qui gagne 7pts chez les exposés à ces campagnes, et cela améliore aussi leurs performances, grâce à des gains de CA de 23% supérieurs auprès des cibles exposées.

La proximité est un atout essentiel pour entretenir un dialogue constructif et efficace entre marques et clients. L’enquête #çaMarque! de Kantar pour l’Union des Marques montre que les Français cherchent aussi à se rapprocher des marques, et les marques doivent encourager cela.

Arielle Bélicha-Hardy détaille : « La proximité se construit quand chacun fait un pas vers l’autre. Alors, que signifie aujourd’hui être une marque proche de ses clients et de ses publics ? Les marques peuvent chercher à créer une ‘proximité directe’ (entrée en relation, dialogue, écoute, cocréation, personnalisation), une ‘proximité indirecte’ (montrer qu’elles sont en phase avec leurs publics : en s’engageant sur les sujets qui gagnent en importance, en évoluant avec eux, en s’adaptant), sans oublier de créer une ‘proximité émotionnelle’ pour sublimer l’expérience de marque (faire vivre des émotions positives, surprendre)

Une exigence de la part des consommateurs

Dans une étude OpinionWay pour Eclosion en 2018 , 4012 personnes représentant un échantillon de la population française ont été interrogées sur leur confiance envers les entreprises. Le lien entre les consommateurs et les sociétés s’avère primordial puisqu’ils achètent des produits au quotidien. Ils possèdent d’ailleurs une plus grande confiance envers les entreprises que l’État pour améliorer le pays. 65% des sondés évoquent qu’elles possèdent le pouvoir de changer les choses.

Pour les consommateurs, il existe différents critères pertinents lorsqu’ils souhaitent acheter des produits. La confiance s’établit grâce à des éléments particuliers concernant la qualité des services et des produits, les valeurs ou encore la production. En matière de confiance, les Français privilégient la qualité sur ce que propose une entreprise, selon l’étude d’OpinionWay pour Eclosion. Au fil des années, leurs critères évoluent tout de même en fonction des préoccupations. Lors de la première étude de 2016, les valeurs éthiques et les actions des grandes entreprises rentrent en jeu pour un plus grand nombre de consommateurs. Ils s’attachent particulièrement à l’engagement pour l’environnement, le Made in France ou encore la création d’emplois.

Des critères précis en matière de confiance

Les critères principaux des Français pour que leur confiance se développe envers une entreprise restent relativement nombreux. Certains consommateurs préfèrent se baser sur la réputation, quand d’autres évoquent une qualité et des valeurs.

  • L’appréciation sur la qualité des produits et des services : 53%
  • L’éthique en matière sociale et financière : 45%
  • La préoccupation du Made in France : 43%
  • Le prix des produits et des services : 39%
  • L’engagement en faveur de l’environnement : 35%
  • La santé financière : 35%
  • La réputation internationale : 30%
  • Les actions en faveur de l’emploi des jeunes : 22%
  • La notoriété, le fait d’être très connue : 21%
  • La communication, la publicité, ce qu’on en dit dans les médias : 13%
  • La crédibilité du Président : 11%

Dans l’étude d’OpinionWay pour Eclosion, consommer des produits selon les sondés doit se faire en accord avec leurs convictions. Pour l’entreprise, la confiance génère des opportunités en matière de vente, de réputation ou encore même pour attirer de futurs salariés. 92% estiment que la confiance aide à développer une excellente image pour l’entreprise et permet d’ailleurs que les utilisateurs des services et des produits en parle autour d’eux. L’entreprise développe une communication naturelle et transmet la confiance à d’autres personnes. 87% des sondés estiment qu’elle joue un rôle primordial dans la consommation et la recommandation des produits. À l’inverse, les entreprises ayant vécu des bad buzz notoires peinent souvent à reconquérir une image d’intégrité, ce qui engendre des grandes difficultés en matière de vente.

Une volonté de se diriger vers des produits équitables

Depuis l’étude de 2016, une certaine évolution se fait ressentir et s’avère être en lien avec les idéaux du XXIème siècle. L’intérêt pour l’environnement et les pratiques équitables, connaît un véritable engouement. Inquiets par le dérèglement climatique et le manquement aux droits de l’Homme, les acheteurs font d’autant plus attention au choix de leurs produits. Le critère de confiance concernant l’engagement d’une entreprise en faveur de l’environnement a augmenté de 9 points par rapport à 2016. Devenant une véritable préoccupation pour beaucoup d’utilisateurs, les marques ressentent le besoin de développer leurs valeurs. Très concernés par l’avenir de la planète, certains consommateurs n’hésitent plus à boycotter des marques qui ne produisent pas de manière éthique. Point désormais incontournable pour les entreprises, il s’avère bénéfique de mettre en place des solutions environnementales au sein d’une entreprise.

Les entreprises qui instaurent la confiance

Parmi toutes les entreprises françaises, certaines arrivent à établir une confiance reconnue chez les consommateurs. Décathlon, Michelin et Leroy Merlin font partie du top 3 des entreprises qui arrivent à générer un sentiment positif auprès de leurs acheteurs. Elles arrivent à diffuser une bonne image grâce à leurs valeurs présentes constamment au quotidien.

En tête de ce classement, Décathlon se démarque comme une entreprise qui arrive à satisfaire ses clients ainsi que ces salariés. L’entreprise a dernièrement remporté la première place du classement de The Great Place to Work. Cette étude menée auprès des salariés et de la direction permet de déterminer la qualité de travail au sein d’une entreprise. Décathlon a su développer une image positive et travaille à l’amélioration de ses services et de sa production. Très attachée à l’éthique et au développement durable, la marque a gagné le cœur de ses salariés ainsi que celui des acheteurs. Avec une confiance de 80%, elle se place en tête du classement dans la Grande distribution, ce qui lui vaut une bonne réputation.

La confiance des acheteurs participe à l’image de marque et elle-même engendre un sentiment de confiance chez les consommateurs. Il s’agit d’un enchaînement qui ne s’arrête seulement lors de bad buzz ou de mauvaise réputation. En tant qu’entreprise, mieux vaut se focaliser sur des pratiques éthiques et durables pour attirer d’autant plus les acheteurs. Une fois la confiance instaurée, une bonne réputation génère automatiquement de la communication entre les acheteurs, fonctionnant sur le principe du bouche-à-oreille. Alors n’hésitez pas à vous lancer et mettez en avant vos valeurs.

Graphique: Sport : Marques et magasins de confiance 2018 | Statista
fr.statista.com