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Trouver l’associé idéal !

Vous rêvez de monter votre entreprise avec un ou plusieurs associés ? Ou vous réfléchissez si vous allez vous associer. Alors attention : si avoir un associé est un vrai plus pour un entrepreneur, cela peut également s’avérer être une source de soucis s’il est mal choisi. Voici quelques conseils pour trouver l’associé idéal et ne pas vivre l’enfer d’ici à peine quelques mois…

Nous ne vivons pas dans le monde des bisounours et nous ne faisons pas comme les personnages de Voltaire dans Candide pour affirmer que « tout est beau dans le meilleur des mondes » et donc qu’avec l’associé que l’on aura choisi soit au feeling, soit après de nombreux jours de réflexion tout ne sera qu’harmonie !

On est mieux seul que mal accompagné.

Certes, en dehors de l’apport en capital, il ne faut pas oublier que deux ou plusieurs cerveaux seront toujours plus efficaces qu’un seul ! Être au moins deux dans l’aventure entrepreneuriale permet d’avancer plus vite, plus efficacement. Former une équipe de fondateurs permet d’échanger sur le projet et de nourrir la stratégie des compétences et sensibilités de chacun. Un vrai plus donc qui apporte une richesse au business. S’associer est aussi la solution pour ne pas être victime de la solitude ressentie par bien des dirigeants en solo. Il est vrai que, créer sa boîte seul, c’est se garantir de garder le contrôle total de son business.

Mais, avoir des associés, c’est multiplier les forces de travail engagées et capables de faire avancer rapidement le projet. Et, comme il est naturel de ne pas être le meilleur dans tous les domaines, constituer une équipe d’associés aux compétences multiples est la solution pour faire les bons choix à tous les niveaux de l’entreprise. Dernier avantage, non négligeable : former une équipe fondatrice regroupant des talents booste les chances de réussir à convaincre des investisseurs de parier sur le projet. Alors, convaincu ? Il est donc temps pour vous de trouver la perle rare, l’associé parfait qui, en plus d’avoir les compétences qui vous manquent, s’entend très bien avec vous. Autant vous dire tout de suite que trouver l’associé idéal n’est pas une chose aisée…
Difficile, mais pas impossible !

Trouver son associé

Beaucoup d’entrepreneurs décident de s’associer dans leur entreprise car ils partagent déjà leur projet avec un ou des amis ou encore avec un membre de la famille. Ces types d’associations par affinité sont extrêmement courants, même s’ils ne sont pas forcément les plus efficaces. être associé avec son meilleur ami, sa cousine, son frère, une amie d’ami, son conjoint… ça passe ou ça casse ! Ça passe si les deux « amis-associés » ont réellement des compétences complémentaires, ça casse si leurs motivations profondes dans la création sont divergentes.

Si vous n’avez pas un proche susceptible de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale avec vous, pas de panique, il existe d’autres solutions pour trouver son alter ego. Vous pouvez faire appel à des agences de mise en relation d’associés, chercher la perle rare parmi vos anciennes connaissances professionnelles, laisser une annonce sur des sites et blogs dédiés à l’entrepreneuriat, essayer de trouver un profil correspondant à vos besoins dans le cadre de soirées networking ou encore envoyer le profil type de la personne recherchée à vos contacts.

Dans tous les cas, commencez par dresser le « portrait robot » de l’associé idéal pour cibler vos recherches au plus précis. Cherchez avant tout la complémentarité. Vous êtes ingénieur et avez développé un outil révolutionnaire ? Associez-vous avec un profil commercial qui saura vendre votre outil. Vous êtes un fin stratège et avez développé une idée innovante de site web que, malheureusement, vous ne savez développer ? Alors cherchez un profil de technicien qui saura concrétiser votre idée.

Comment savoir si l’association fonctionnera bien ?

Un mélange subtil ?

Une association réussie, c’est un mélange subtil entre des compétences qui se complètent bien et une bonne affinité entre les fondateurs amenés à faire équipe ensemble. Pour réussir cette alchimie, les experts conseillent de ne pas utiliser des « méthodes artisanales » pour trouver son associé. Choisir son associé parmi ses amis n’est pas toujours une bonne idée. « Il faut partir d’une affinité professionnelle et non pas d’une affinité personnelle. » affirment les experts.

« Le pire est de s’associer sur un coup de tête, sans valider en amont la complémentarité de compétences, la cohérence dans la vision des deux entrepreneurs et l’adéquation entre les valeurs. Avant de s’associer, il faut prendre le temps de clarifier ses attentes, ses besoins et ses ambitions. Sans cela, une association a toutes les chances de mal finir à court ou moyen terme. Parallèlement à la validation de tous ces items avec l’associé pressenti, il faut également se soucier de l’affinité humaine. » . Alors, une fois que l’associé parfait a été déniché, comment savoir si le binôme supportera bien le poids du stress lié au quotidien du développement d’une entreprise ? « Il faut tester l’association en la mettant en condition. » .

Comment tester votre futur associé ?

« Ce n’est qu’en testant votre futur associé, en validant concrètement l’adéquation homme / projet à travers des réalisations concrètes, qu’on peut s’apercevoir si l’association a du sens. ». Reste ensuite, pour mettre toutes les chances à identifier les différences qui existent entre soi et son futur associé et de se demander si le mode de fonctionnement de l’autre sera acceptable pour soi sur le long terme. Attention également à bien identifier si la ou les personnes avec qui on s’apprête à s’associer ont bien des personnalités complémentaires et non pas similaires à la sienne.

« Si deux profils leader s’associent, on peut s’attendre à ce que tôt ou tard ça fasse des étincelles. »  Les experts recommandent enfin de surtout bien écouter son intuition : « Lorsqu’on rencontre un associé potentiel, au bout de 2 minutes, on s’est déjà fait un avis de la personne. Si un avis positif peut s’avérer être faux, il est assez rare qu’un avis négatif se révèle faux. Donc, un petit conseil : si en rencontrant un associé potentiel on ne le sent pas, même un petit peu, il vaut mieux ne pas se lancer avec lui. Rien ne sert de se forcer ! ».

Je m’associe avec mon amoureux(se) : comment éviter le divorce dans 3 mois ?

Que ce soit avec son épous(e) ou avec un membre de la famille, une association professionnelle peut s’avérer à haut risque pour l’avenir de la relation. Et pourtant, s’associer avec son/sa chéri(e) en qui on a tellement confiance est très tentant ! Mais trouverez-vous cela encore si tentant quand, d’ici quelques mois, votre associé quittera à la fois l’entreprise et la maison, lassé par la situation ? Rassurez-vous, il existe des techniques pour protéger cette association d’un genre à part.

Le secret des couples / associés qui durent ? Ils définissent très clairement leurs territoires de responsabilité et font bien attention à ne jamais marcher sur les plate-bandes de l’autre auquel ils font pleinement confiance. Autre astuce : ils apprennent à séparer leur vie professionnelle de leur vie personnelle et savent couper avec les soucis de l’entreprise lorsqu’ils se retrouvent en famille le soir. Un défi pas forcément facile à réaliser, mais obligatoire pour préserver le couple pris dans l’association professionnelle.

Les questions à se poser avant de s’associer

Pour vous aider à réussir votre association, voici une petite checklist des questions utiles à se poser avant de se lancer : avez-vous réellement confiance en votre futur associé ? Si ce n’est pas encore le cas, comment comptez-vous renforcer cette confiance mutuelle ? Partagez-vous les mêmes valeurs ? Avez-vous la même vision à long terme du développement de l’entreprise ? Vos ambitions dans l’entreprise sont-elles cohérentes ? Quels sont les moteurs qui vont booster l’implication de votre futur associé dans l’entreprise ? Vos capacités de travail sont-elles équivalentes ? L’horizon personnel de votre futur salarié correspond-il au développement de l’entreprise (compte-t-il par exemple partir à la retraite dans 2 ans ou voyager) ? Vous poser toutes ces questions dès le début vous évitera bien des soucis par la suite.

Les erreurs à ne pas commettre

Vous avez bien noté tous les bons conseils à suivre pour trouver un associé qui vous correspond ? Eh bien lisez attentivement maintenant la liste des erreurs à ne surtout pas faire lorsqu’on cherche un associé. La première maladresse à éviter est de recruter son associé seulement par rapport à ses compétences, à son carnet d’adresse, pour son apport en financement sans valider l’aspect humain ou, pire, car c’est un ami au chômage et qu’on voudrait l’aider. Autant de mauvaises raisons de s’associer ! Deuxième faute à éviter à tout prix : ne pas oser dire les choses clairement dès le début.

C’est en mettant de côté des sujets qui peuvent sembler tabous (tels que quoi faire en cas de conflits ?) qu’on se dirige tout droit vers le mur. Enfin, erreur souvent commise également : avoir l’illusion que l’amitié sera plus forte que tout et que le ciment qui lie les deux associés est donc indestructible. Les anciens meilleurs amis / associés pourront vous raconter à quel point les pressions liées à une association peuvent mettre en péril même la plus forte des amitiés.

Salariés associés : à ne pas prendre à la légère !

Outil de management très motivant, la cession de parts de capital à ses salariés n’est pas anodine. Pensez bien à tous les scénarios qui peuvent se produire (départ du salarié, licenciement pour faute…) et inscrivez précisément dans le pacte d’associés toutes les modalités de sortie du capital de votre collaborateur. Attention également à la fausse bonne idée qui consiste à rémunérer un prestataire en lui cédant une part du capital lorsque la trésorerie n’est pas encore au beau fixe. Avant de vous lancer dans une telle initiative, prenez conseil auprès d’un avocat.

Comment faire preuve de reconnaissance pour le travail des collaborateurs ?

Un manager sur deux avoue manquer de temps pour faire preuve de reconnaissance à ses collaborateurs. Cependant, le fait d’être reconnu et apprécié sur son lieu de travail constitue un puissant levier de motivation pour les salariés. Il existe différents moyens de reconnaître les mérites de ses collaborateurs, et de les voir ainsi plus investis dans leurs tâches. Comment s’y prendre pour signifier sa reconnaissance envers ses employés ?

Dans le contexte actuel, qui a instauré le télétravail, les managers et dirigeants communiquent grâce aux outils virtuels. Difficile donc de prendre le temps pour exprimer des sentiments. Or les dernières statistiques souligne qu’après ces périodes successives de confinement 2 millions de salariés sont fragilisés et sont en situation de burn-out.

Prôner le dialogue

Les managers oublient trop souvent que la parole peut être un facteur de motivation important pour les salariés. Il peut être judicieux de réaliser chaque mois des entretiens individuels pour exprimer directement son ressenti face à ses collaborateurs. En profiter pour les féliciter pour leurs initiatives ou leurs résultats est tout à fait recommandé. De la même manière, reconnaître publiquement les mérites d’un employé ou d’une équipe lors d’une réunion sera toujours bien perçu par l’ensemble des salariés.

Récompenser les comportements

De nombreuses entreprises récompensent les résultats obtenus par leurs salariés sous la forme de primes. Néanmoins, ce système peut vite créer de la concurrence entre les employés et nuire à l’ambiance de travail s’il est systématisé. Il peut s’avérer plus intéressant pour un chef d’entreprise de récompenser avant tout les comportements en adéquation avec les valeurs de l’entreprise. De plus en plus de sociétés remettent en interne des trophées aux collaborateurs se distinguant par leur exemplarité et leur engagement vis-à-vis de celles-ci. C’est un bon moyen de mettre en avant des membres du personnel qui se sentiront alors légitimement reconnus.

Favoriser l’autonomie

Un autre moyen de faire valoir sa reconnaissance à l’égard des salariés est de leur octroyer des responsabilités de plus en plus grandes. Déléguer les tâches importantes à des collaborateurs est une preuve de confiance et donc de reconnaissance de leurs qualités. C’est un procédé intéressant pour valoriser les salariés et montrer toute l’importance accordée à leur travail au sein de l’entreprise. Une affectation à un poste temporaire, dans un autre secteur ou à l’étranger, démontre également le crédit qui leur est donné.

Mettre en avant les compétences

Les chefs d’entreprise ne doivent pas non plus hésiter à montrer publiquement qu’ils croient en leurs salariés. Dans cette optique, il est utile de proposer à certains collaborateurs, en fonction de leurs domaines d’expertise, de participer à des conférences ou des réunions stratégiques. Ce genre d’initiative peut s’accompagner de prises de parole plus régulières dans l’entreprise, lors de briefings devant les équipes notamment. En misant sur les connaissances spécifiques des salariés, un dirigeant contribue à motiver l’ensemble de ses équipes au quotidien.

Impliquer les salariés

Toutes les études le démontrent : impliquer les employés dans la vie de l’entreprise est sans conteste le meilleur moyen d’améliorer la productivité de la société. Reconnaissez le travail fourni par vos collaborateurs en les faisant intervenir dans des projets dépassant le cadre de leurs attributions. En leur demandant de renforcer des équipes d’autres secteurs sur des projets globaux, ceux-ci se sentiront pleinement concernés par le devenir de l’entreprise. Cette démarche renforce de plus la culture d’entreprise et donne aux salariés le sentiment d’être considérés à leur juste valeur.

TOP des licornes françaises

Les jeunes pousses, valorisées à plus d’un milliard de dollars ou davantage sans être cotées en bourse, obtiennent le nom de « licorne ». Dans le monde, on compte 265 licornes dont les entreprises tricolores BlaBlaCar et OVH. Quelles sont donc les autres start-ups françaises qui pourraient prétendre à être qualifiées de licornes ?

L’hexagone n’a pas dit son dernier mot. De futures licornes sont prêtes à relever tous les défis, comme en témoignent les levées de fonds, révélatrices de la confiance des investisseurs mais également de leurs capacités de s’adapter aussi bien au marché national qu’international.

Il est à noter que l’étude de GP Bullhound a mis en exergue, les entreprises Doctolib, ManoMano, Scality, Shift Technology, et OpenClassrooms qui mettent tout en œuvre pour devenir des licornes.

OpenClassrooms, plateforme de cours en ligne, fondée en 2013 par Pierre Dubuc et Mathieu Nebra. Ils ont su développer un modèle qu’ils n’ont cessé de faire évoluer. Cependant, ils n’ont pas hésité à modifier et réorienter plusieurs fois leur business model pour répondre à des besoins tout en conservant leur conception de l’enseignement : rendre les savoirs accessibles.  La levée de 60 millions de dollars doit permettre à OpenClassrooms de réaliser son expansion internationale dans les pays francophones (France, Belgique, Suisse, Afrique) et dans le monde anglo-saxon (UK et USA).

Klaxoon, solution de travail collaboratif,

Créée en 2014 par Matthieu Beucher, a procédé à une levée de fonds de 50 millions de dollars. En trois ans, Klaxoon a déjà conquis plus d’un million d’utilisateurs. 30 % à l’international et ne compte pas s’arrêter là.

ManoMano, plateforme de bricolage, 

Rénovation, jardinage, créée en 2012 par Philippe de Chanville et Christian Raisson, a aujourd’hui un volume d’affaire de 250M€. Il a pour ambition de devenir une licorne d’ici 3 ans. Pour mener à bien son projet, ManoMano recrute : de 180 salariés au mois de janvier 2018. L’entreprise est passée à 320 en juin et projette d’employer 400 collaborateurs d’ici la fin de l’année.

Acquérir des talents fait partie de ses priorités.

Back Market, plateforme de produits électroniques reconditionnés,

Créée en 2014 par Thibaud Hug de Larauze, Vianney Vaute et Quentin Le Brouster est la première place de marché de produits électroniques reconditionnés. Pour les fondateurs l’ouverture à l’international est une priorité. Dès 2016, Back Market s’est développée en Allemagne et en Espagne. L’agilité du modèle (pas de stock, donc pas de BFR) est un atout majeur. L’ouverture d’un bureau à New York lui permet d’acquérir une forte notoriété. De plus, la dernière levée de fonds de 41 millions d’euros en 2018 doit financer de lourds investissements destinés à renforcer la qualité.

Aircall, solution de téléphonie d’entreprise,

Créée en 2014 par Olivier Pailhes, et Jonathan Anguelov. Les fondateurs ont pour ambition de révolutionner le secteur de la téléphonie d’entreprise. L’entreprise a procédé en mai dernier à une levée de fonds de 25 millions d’euros pour financer son développement et l’accélérer.  Leur objectif est de recruter des talents technos pour la R&D et des commerciaux pour atteindre 200 collaborateurs en fin d’année ». Leur ambition est de devenir une licorne d’ici trois ans. En effet, leurs résultats leur permettent d’envisager de croître sur trois marchés (USA, Europe et Océanie). Après avoir installé un siège à New York, une filiale à Paris et un bureau à Berlin, ils envisagent d’ouvrir d’autres antennes dans d’autres pays.

En conclusion, selon Tech Tour, sept startups françaises ont le potentiel pour devenir des licornes. Ce sont Actility (IOT), Doctolib (SaaS), Happn (e-commerce), PeopleDoc (SaaS), Scality (SaaS), Sigfox (IoT), VuLog (SaaS).

Comment améliorer sa concentration ?

La concentration est l’une des conditions sine qua non de la réussite professionnelle d’un chef d’entreprise. Si certains ont de réelles facilités dans ce domaine de compétences, la fatalité n’existe pas pour les autres, et il est parfaitement possible de booster sa concentration. Découvrez nos conseils pour améliorer votre concentration au travail et en faire bénéficier votre entreprise.

Selon l’entreprise dans les conclusions d’une étude commandée à The Future Laboratory, elle soulignait le fait que chute de notre capacité d’attention est passée de 12 à 8 secondes depuis l’an 2000. Il faut dire que nous sommes constamment sollicités par les mails, les images, les fonds sonores qui nous envahissent sans que nous en soyons conscients.

Déterminez votre mode de concentration

Tous les individus sont uniques, y compris dans leur concentration. Il est donc nécessaire, en tout premier lieu, de déterminer comment fonctionne votre concentration: avez-vous besoin de faire le vide ou au contraire, est-il nécessaire que vous visualisiez certaines situations ? Ces éléments, une fois déterminés, vont vous permettre de vous mettre plus facilement en situation de vous concentrer, en vous en donnant les moyens.

Travaillez votre respiration et votre relâchement

Le stress ne favorise jamais la concentration des individus. En votre qualité de chef d’entreprise, plus vous êtes exposé à des situations de tension, plus votre concentration s’en trouvera altérée. Tous les exercices respiratoires vous permettant de vous détendre ne peuvent avoir qu’un effet bénéfique sur votre concentration.

Entraînez votre concentration

Comme toutes les disciplines, la concentration s’améliore essentiellement en la travaillant. Cela peut paraître surprenant ou compliqué à mettre en œuvre et pourtant. L’entrainement de la concentration est un exercice simple à réaliser. Dès que vous avez un instant de libre, focalisez-vous sur un objet, quel qu’il soit, et concentrez-vous dessus, pour l’analyser dans ses moindres détails : forme, couleur, etc. Faites abstraction de l’environnement extérieur. Commencez par réaliser cet exercice pendant une minute et augmentez progressivement la durée. Vous serez rapidement surpris des progrès.

Donnez-vous les moyens de pouvoir vous concentrer

Ne nous mentons pas, un chef d’entreprise a du mal à se concentrer, non pas par défaut de capacité de concentration, mais surtout parce que vous êtes sans cesse interrompu, et que vous devez penser à tout en même temps. Mais dans ces conditions, même entraîné, votre esprit aura toutes les difficultés du monde à parvenir à une vraie concentration. Alors donnez-lui les moyens de faire le vide, en notant sur un pense-bête tout ce qui vous traverse l’esprit et que vous avez peur d’oublier. Ainsi, aucun risque de ne pas vous en souvenir à la lecture du pense-bête, et en même temps, vous permettez à votre esprit de se concentrer comme nécessaire.

Utilisez des moyens extérieurs

Homéopathie, acupuncture, ostéopathe, aromathérapie, etc. toutes ces médecines dites douces offrent d’excellents résultats dans la recherche de l’amélioration de la concentration. Ces techniques, sans risque d’effet secondaire, sont des alternatives à la médecine traditionnelle, qui permettent de traiter des troubles de la concentration, avec d’excellents résultats à la clé. Alors pourquoi ne pas tenter l’expérience ?

Les 5 outils pour gagner du temps et de l’argent

Gagner du temps et de l’argent, tels sont les obsessions des entrepreneurs. Les nouvelles technologies de par leur flexibilité et de par leur adaptation à la vie personnelle seraient-elles une réponse ? Quelles idées ou outils peuvent l’aider à maintenir toute cette activité dans le temps ?

1. Le freelance : efficacité et économie financière améliorées

C’est une solution qui s’offre au créateur d’entreprise qui souhaite être soulagé de divers travaux concernant notamment le secrétariat et la comptabilité. Il s’agit donc de confier des frappes de courriers, des démarches administratives, la mise en page de devis, des traductions ou des saisies de rapports ou encore un suivi comptable à un professionnel du tertiaire. Cela évite l’embauche d’un salarié ainsi que toute la gestion comptable qui en découle. Le télétravail concerne de nombreux secteurs économiques.

2. La gestion de rendez-vous en ligne, une secrétaire attitrée

Venant de Californie, le concept de la prise de rendez-vous confiée à une entreprise représente une solution intéressante pour tout entrepreneur dont le temps est judicieusement employé. En effet, la prise de rendez-vous en ligne prend en charge votre agenda grâce à une application iPhone et un site Internet. C’est elle qui recherche les coordonnées et contacte vos relations. Du coiffeur au restaurant en passant par la séance de yoga, la société prend en charge une partie de votre emploi du temps. Il en existe plusieurs : Timify, Reservio, MyTime , Doodle ou encore Live RDV pour ne citer que les plus connues.

3. La webconférence, interactivité, gains de temps et d’argent

Pour animer des réunions d’équipes et réagir le plus rapidement possible, la webconférence s’impose dans votre travail. Vous vous adressez à l’ensemble de votre entourage professionnel. Des échanges et des démonstrations s’effectuent le plus facilement du monde avec le branchement de quelques appareils numériques et une connexion internet. Plus de perte de temps dans des déplacements inutiles, plus de réservations de salle : la webconférence allie gain de temps et argent !

4. L’intérim, suppression du recrutement chronophage

Faites appel à des agences d’intérim qui proposent des salariés correspondant précisément aux compétences que vous recherchez. Beaucoup d’avantages ressortent de ces recrutements. Tout d’abord, vous passez commande et l’agence se charge de rechercher, recruter, rémunérer le salarié sans qu’aucune démarche administrative ne vous soit imposée. Vous ne réglez qu’un service parmi tant d’autres. Cela vous permet de bien cerner vos besoins qui peuvent être ponctuels sans avoir à vous engager dans un recrutement chronophage. Vous vous accordez ainsi des économies financières en évitant les trop longs contrats, les charges et les indemnités diverses.

5. Des plateformes de référencement

Vous devez impérativement assurer un bon référencement sur la Toile pour augmenter votre visibilité et votre champ d’action. Des plateformes d’optimisation vous offrent la possibilité d’obtenir des articles de présentation de votre entreprise et des conceptions PAO. Il s’agit de professionnels qui connaissent parfaitement les termes à utiliser avec les moteurs de recherche pour que votre positionnement sur le marché du Web soit efficace.

La signature électronique s’impose en 2021

Longtemps vue comme un outil exclusivement réservé aux très grandes entreprises, la signature électronique s’est vue démystifier ces dernières années. Elle est dorénavant considérée comme ce qu’elle est : un outil de travail à la portée de tous pour des prouesses et des avantages divers. Aujourd’hui, petites, moyennes et grandes entreprises ont toutes intérêt à utiliser cet outil d’une efficacité sans pareille pour des entreprises encore plus florissantes et pour des avantages insoupçonnés. Pourquoi la signature électronique apparaît-elle comme une évidence en 2021 ? Quels sont les avantages qu’elle offre et pourquoi en créer auprès d’un prestataire agréé sans plus tarder ? Toutes les réponses dans cet article.

Qu’est-ce que la signature électronique ?

La signature électronique est un moyen simple, rapide, sécurisé et validé par la loi pour la signature de documents numériques divers. Ce type de signature est réalisé à partir d’un système de cryptographie asymétrique qui lui confère sécurité et protection nécessaires à une utilisation sans aucune crainte. Au même titre que la signature manuscrite, la signature électronique produit des effets devant la loi lorsqu’elle est valide et réalisée selon les normes requises. Elle est donc utilisable au cours de plusieurs transactions financières et recevable devant des tribunaux pour ne citer que ceux-là. Il est cependant important de noter que la signature électronique perd toute sa valeur une fois sortie du contexte numérique et imprimée sur papier.

Un outil pensé dans les détails et soutenu par des normes

La signature électronique est un moyen de travail sécurisé aussi bien pour l’entreprise que pour ses différents collaborateurs. La sécurité offerte par son utilisation est le fruit de la combinaison de plusieurs normes sécuritaires utilisées. Vu son importance au sein des transactions diverses, la réalisation d’une signature électronique devrait se faire avec un professionnel comme Onespan . Riche de plusieurs années d’expérience , la signature électronique réalisée par Onespan est le gage de la réalisation de transactions sécurisées et rapides à travers le monde en 2021 grâce au respect de plusieurs normes.

Normes, certifications et sceau de sécurité

La conformité de toutes les transactions réalisées par des experts de la signature électronique est garantie entre autres par le respect des mesures ci-dessous :

  • La norme ISO/IEC 27001 ;
  • Les normes ISO/IEC 27017 et ISO/IEC 27018 ;
  • La certification FedRAMP ;
  • Les rapports SOC2 type II ;
  • L’assurance HIPAA ;
  • Le sceau anti-altération.

Un outil à adopter absolument en 2021

La signature électronique apporte de nombreux avantages dans la réalisation des différentes transactions quotidiennes à travers le monde.

Un allié efficace contre la pandémie due au Corona virus

Dans un contexte de pandémie qui nécessite le maintien de la distanciation sociale, la signature électronique est un excellent moyen de protection vu qu’elle permet de réaliser des formalités importantes et de signer des contrats de toutes sortes à distance en utilisant diverses technologies de esignatures fiables . Les risques de contamination sont donc considérablement réduits grâce à ce moyen de plus en plus adopté par tous.

Un outil sécurisé avec une excellente traçabilité

Les normes touchant à la sécurité et à l’authenticité de la signature électrique sont internationales et témoignent donc de son niveau avancé de sécurité. En plus d’être hautement sécurisée, la signature électronique offre l’avantage d’une excellente traçabilité. Contrairement à la signature manuscrite qui pourrait très vite s’égarer ou subir des dommages dus à l’usure ou au mauvais stockage, la signature électronique est conservable de façon durable.

Un signe d’innovation de l’entreprise

En optant pour l’utilisation de la signature électronique, votre entreprise montre sa volonté d’évoluer et de simplifier ses différents processus. Ce grand pas vers le numérique est un moyen de se démarquer de la concurrence, de convaincre les fournisseurs et d’autres collaborateurs et d’attirer un autre type de clientèle.

Un gain de temps considérable et des économies assurées

La signature électronique s’appose en un rien de temps sur les documents numériques. Une technique simple qui ne nécessite que l’utilisation d’un ordinateur, d’un téléphone ou d’une tablette. L’utilisation de la signature électronique ne nécessite indéniablement que de très peu de temps. Elle représente donc pour les entreprises une véritable aubaine.

Il ne s’agira plus d’effectuer des envois de courriers interminables ou des voyages coûteux et longs dans le but de récolter des signatures. Les séances de travail et les validations de contrats pourront se réaliser en ligne de façon rapide et simple. Le temps de travail est optimisé sans oublier les ressources financières épargnées et utilisées à d’autres fins, pour un meilleur développement de l’entreprise.

Un geste pour la protection de l’environnement

L’utilisation de la signature électronique est une solution écologique qui réduit l’utilisation du papier dans les différentes transactions. L’impression de documents, l’envoi de courrier de validation et bien d’autres processus sont dématérialisés et rendus plus simples à réaliser. L’environnement ne s’en porte que mieux, et l’entreprise gage le respect des écologistes et des défenseurs de l’environnement.

La signature électronique est l’outil à avoir absolument pour des transactions simplifiées et rapides à exécuter. Elle s’utilise aujourd’hui dans plusieurs secteurs d’activité et représente une véritable révélation pour les entreprises.

Tout savoir sur la facturation client

Une facture suit des règles édictées par les services publics et ne tolère pas de fantaisie et surtout pas des oublis ni des insertions approximatives. Une facture reste la preuve incontestable d’une transaction entre deux entités : le vendeur et son client. Quelques règles sont prescrites quant à sa forme, car elle risquerait dans le cas contraire de ne pas être valide et de ne pas vous être réglée. Quand et comment facturer, que mentionner sur une facture, focalisons-nous un peu sur cette formalité.

Quand facturer ?

L’émission d’une facture est obligatoire dans le cas d’une vente à un professionnel. Celui-ci en aura besoin pour tenir sa comptabilité et récupérer sa TVA. Par contre, lors d’une vente à un particulier, l’établissement d’une facture est facultatif. Elle ne sera établie qu’aux conditions suivantes :

  • si le client le demande,
  • si le client peut récupérer sa TVA,
  • si le client achète à distance.

L’omission d’une facture en faveur d’un particulier relève d’une amende maximum de 3 000€ et 75 000€, si en faveur d’un professionnel.
Attention !
En plus de la sanction pénale pouvant aller jusqu’à 75 000 €, l’entreprise qui ne respecte pas ces obligations s’expose à une amende fiscale de 15 € par mention manquante ou inexacte pour chaque facture, plafonnée au 1/4 de son montant.
Il n’est donc pas conseillé de négliger l’établissement des factures.

Comment facturer ?

Lorsque l’on procède à une facturation, que ce soit pour un professionnel ou un particulier, celle-ci doit être faite en deux exemplaires originaux :
– l’un reviendra au client,
– le second sera à conserver par le vendeur, en tant que justificatif de comptabilité, pendant au moins 5 ans.
Si l’article ou le service vendu est remis immédiatement, il doit en être de même pour la facture. Sinon, elle sera donnée au client le jour de la livraison ou de la fin des prestations vendues.

Que mentionner sur une facture ?

Les mentions obligatoires

Il existe des mentions obligatoires à faire figurer sur une facture, sous peine de non validité de celle-ci, d’où paiement ou paiement en retard, ou encore sous peine d’amendes. Voici ce qui doit être mentionné sur votre facture :
– Date d’émission de la facture
Date à laquelle elle est établie

Numérotation de la facture

Numéro unique basé sur une séquence chronologique continue, sans rupture. Il est possible d’émettre des séries distinctes, utilisant par exemple un préfixe par année (2018-XX) ou par année et mois (2018-01-XX).
À faire figurer sur toutes les pages, si la facture en comporte plusieurs.

– Date de la vente ou de la prestation de service

Jour effectif de la livraison ou de la fin d’exécution de la prestation

– Identité de l’acheteur

  • Nom (ou dénomination sociale)
  • Adresse du siège social d’une entreprise ou du domicile d’un particulier (sauf opposition de sa part, pour un particulier)

– Identité du vendeur ou prestataire

  • Nom et prénom d’un entrepreneur individuel (suivi éventuellement de son nom commercial)
  • dénomination sociale d’une société (suivie du numéro Siren ou Siret)
  • numéro RCS pour un commerçant, suivi du nom de la ville où se trouve le greffe d’immatriculation
  • numéro au Répertoire des métiers pour un artisan (n° Siren + RM + n° du département d’immatriculation)
  • adresse du siège social (et non de l’établissement)
  • si l’entreprise est une société, mention de la forme juridique (EURL, SARL, SA, SNC, SAS) et du montant du capital social

– Numéro individuel d’identification à la TVA du vendeur et du client professionnel, seulement si ce dernier est redevable de la TVA(auto-liquidation)
• Sauf pour les factures d’un montant total HT inférieur ou égal à 150 €
• Mention du numéro de TVA du client professionnel facultative pour les opérations réalisées en France

Désignation du produit ou de la prestation

  • Nature, marque, référence, etc. des produits
  • Prestation : matériaux fournis et la main-d’œuvre

– Décompte détaillé de chaque prestation et produit fourni
Détail en quantité et prix (facultatif si la prestation de service a fait l’objet d’un devis préalable, descriptif et détaillé, accepté par le client et conforme à la prestation exécutée)

– Prix catalogue
Prix unitaire hors TVA des produits vendus ou taux horaire hors TVA des services fournis

– Majoration éventuelle de prix
Frais de transport, d’emballage…
Taux de TVA légalement applicable
Montant total de la TVA correspondant
Si les opérations sont soumises à des taux de TVA différents, il faut faire figurer sur chaque ligne le taux correspondant

– Réduction de prix
Rabais, ristourne, ou remise acquise à la date de la vente ou de la prestation de service et directement liée à cette opération, à l’exclusion des escomptes non prévus sur la facture

– Somme totale à payer hors taxe (HT) et toutes taxes comprises (TTC)

Facture d’acompte et facture définitive

Si le client ne paie qu’un acompte, il faudra lui délivrer préalablement une facture d’acompte, comportant un numéro et avec le montant et la date de l’acompte. Lorsque tout le paiement sera effectué, on donnera de nouveau au client une facture définitive avec la date et le numéro de la facture d’acompte.
Au vu des amendes encourues en cas d’oubli ou d’invalidité des informations sur une facture, établissez-en un exemplaire prédéfini en veillant à n’oublier aucune des mentions légales citées ci-dessous, et transmettez-la à vos employés. Veillez également à vérifier si un logiciel de facturation répond bien à ces normes avant d’en faire l’acquisition.

Bien choisir un franchisé

Après cette période de turbulence et de confinement où les franchises implantées dans les sites commerciaux ont été fermées, votre approche sera très différente d’avant 2019. Dans le paysage des entreprises, les franchises ont pignon sur rue et deviennent une véritable vitrine pour une marque. Mais pour le franchiseur trouver les bons franchisés n’est pas chose aisée. Pas de panique, il suffit de comprendre ce que vous recherchez pour trouver les franchisés qui vous accompagneront le plus longtemps possible ! Bien choisir un franchisé parfait, c’est maintenant.

Définir une cible type  

Dans un premier temps, développer des franchises est une prise de décision cruciale pour une entreprise. Les franchisés vont représenter votre image, votre marque. Si l’aventure ne se déroule pas comme prévue, cela impactera directement les consommateurs. Le franchisé est un intermédiaire entre l’entreprise, les employés de la franchise et donc directement les clients. Pour être sûr de faire le bon choix, il est très important de définir une cible avec des critères bien précis qui correspondent à l’image de votre entreprise.

Les franchisés ?

Les franchisés sont essentiels pour le développement d’un bon réseau, non seulement, ils représentent votre entreprise, mais aussi vos valeurs. Dans l’ensemble, le franchiseur doit trouver la personne qui saura tenir la franchise avec les idéaux et les ambitions de l’entreprise. Pour cela il s’avère important dresser un cadre et définir avec précision ce que vous ne voulez absolument pas de la part d’un franchisé. Ainsi, vous lui transmettrez vos attentes mais le fonctionnement de votre entreprise.

Les sujets relatifs aux finances et à la gestion de la franchise en général découleront tout seuls. L’important est de donner une vision d’ensemble de votre franchisé parfait pour éliminer les candidats qui ne correspondent pas. Attention toutefois, le franchisé à un statut particulier, il n’est pas votre salarié sans pour autant être dirigeant de l’entreprise. Il s’avère important de projeter dès la première rencontre vos règles et vos ambitions pour commencer sur de bonnes bases lors du recrutement.

La franchise diffère de l’entreprise, le franchisé doit rendre des comptes, mais il a tout de même une liberté dans son activité. Si les candidats que vous rencontrez n’ont jamais été franchisés, il est important de comprendre leur vision de cette activité et ce qu’ils espèrent.
Les meilleurs profils sont les personnes aux ambitions entrepreneuriales. Elles souhaitent s’émanciper et diriger au sein d’une structure. Cependant, il vaut mieux déterminer si les candidats sont tout de même prêts à suivre les valeurs du franchiseur. La franchise n’offre pas non plus une totale liberté, elle nécessite d’être assidu et compréhensif des ambitions de l’entreprise.

Comprendre le candidat

Dans la recherche d’un candidat pour une franchise, des critères sont incontournables. L’entreprise a besoin de personnes de confiance, car le franchisé s’occupe de l’activité de l’entreprise, c’est lui qui fera du chiffre ou non. Lors de son entretien, renseignez-vous dès le début sur son sérieux et sa volonté de travailler plusieurs années avec vous. Les franchises qui ferment régulièrement à cause de franchisés peu sérieux, deviennent peu rentables et l’entreprise peut y perdre sa crédibilité. Assurez-vous que le candidat est prêt à s’engager plusieurs années avec vous.

Comme tout recrutement, vous devez avoir confiance en la personne qui représentera votre enseigne. Durant plusieurs années vous serez en contact et vous discuterez régulièrement des chiffres réalisés ou du développement de la franchise, la confiance s’avère donc primordiale dans votre relation franchiseur/franchisé. Pour apprendre à vous connaître, réalisez un entretien performant c’est-à-dire bien préparé et une évaluation sans concessions sentimentales. Vous devez voir les qualités et les défauts de votre candidat pour que votre nouvelle franchise soit un succès.

Faire un recrutement gagnant

Recruter un franchisé passe essentiellement comme tout recrutement par un entretien de motivation. Mais cette fois, il ne s’agit pas de laisser des projets ou des dossiers entre les mains d’un salarié, c’est beaucoup plus que ça. La franchise a un enjeu conséquent sur une entreprise et recruter la bonne personne passe par des questions évidentes. La toute première consiste à savoir pourquoi le candidat a choisi votre enseigne et s’il est capable de s’acclimater à celle-ci.

L’étape de la franchise revient à mettre une partie de votre affaire entre ses mains.

Une fois votre sélection  achevée, n’hésitez pas à prendre votre temps. Le choix du prochain franchisé reste primordial, et même s’il peut s’avérer laborieux, n’hésitez pas à développer une évaluation. Le franchisé doit répondre à certaines préoccupations de votre part comme : Est-il sérieux ? Gérera-t-il les finances correctement ? A-t-il la fibre entrepreneuriale ? Toutes ces questions demandent une réelle réflexion avec le candidat, n’hésitez pas à le convoquer plusieurs fois, et à le mettre en situation.

Si jamais après plusieurs mois, votre franchise ne porte pas ses fruits et que le choix devient regrettable, il est toujours possible de faire machine arrière. Recruter un franchisé consiste à sceller un contrat, il est donc possible d’y mettre fin si jamais il ne respecte pas les engagements de celui-ci. Cependant, il faudrait investir ailleurs, ce qui peut prendre du temps. Pour éviter de perdre du temps et de l’argent, concentrez-vous dès la première étape, cela garantira surement une de vos franchises sur le long terme.

Le recrutement d’un franchisé est bien différent du recrutement d’un salarié car  ils n’ont pas la même responsabilité et les objectifs sont diamétralement opposés. Pour remplir vos ambitions, la meilleure solution s’avère de trouver quelqu’un qui correspond à l’image de votre marque et à ses valeurs. Si vous le pouvez, prenez quelqu’un qui a déjà de l’expérience dans le domaine ou qui possède une bonne fibre entrepreneuriale. Laissez-vous tenter pour construire un large réseau de franchisés.

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Mon salarié fait des heures supplémentaires : suis-je obligé de les payer ?

Accroissement d’activités, deadlines à respecter, … En période de crise et face à la concurrence, l’entreprise se doit d’être réactive face à la demande. Conséquence ? Vous allez demander à vos salariés de faire des heures supplémentaires. Mais dans ce cas, êtes-vous obligé de lui payer ?

Des heures au-delà de la durée légale

On parle d’heures supplémentaires pour les heures effectuées au-delà de la durée légale fixée à 35 heures. En tant qu’employeur, vous avez le droit à un contingent d’heures de 220 heures par an et par salarié. Des heures qui peuvent être réparties selon vos besoins, avec une contrainte : informer l’inspecteur du travail, qui donne son autorisation ou pas pour le dépassement de celui-ci. Quant à votre salarié, il est obligé de les effectuer, sous peine, d’être considéré en « abandon de poste ». Le contingent n’est pas rigide puisque ce dernier peut être réduit ou augmenté par convention ou accord collectif. Quel que soit le nombre d’heures supplémentaires, la journée de travail ne devra pas excéder 10 heures et la semaine, 48 heures ou une moyenne de 44 heures par semaines à l’année.

Majoration et congés

En la matière, le droit du travail vous permet à vous, employeur ou futur employeur, deux options :

  • L’une consiste tout simplement à effectuer une majoration de salaires. En effet, les heures supplémentaires ouvrent droit à une majoration de salaires, fixée par voie de convention ou d’accord collectif. Ce taux ne peut être inférieur à 10%. S’il n’y a pas d’accord ou convention, il faudra appliquer les taux légaux comme suit : une majoration de 25% pour les huit premières heures, donc de la 36ème à la 43ème heure incluse) et une majoration de 50% au-delà.
  • La seconde relève du repos compensateur. Quand ? Selon la taille de l’entreprise, le salarié a le droit à un repos compensateur en sus de la majoration de salaires. Pour les entreprises de moins de 20 salariés, ce repos est accordé uniquement pour les heures supplémentaires dépassant le contingent. En deçà, il n’est pas obligatoire. Sa durée sera dès lors de 50% des heures effectuées en plus.

L’employeur doit-il respecter un délai de prévenance ?

Lorsque l’employeur demande à l’un de ses salariés de réaliser des heures supplémentaires, il doit l’en avertir suffisamment tôt, pour que celui-ci ait le temps de prendre les mesures nécessaires pour faire face à ses impératifs personnels (faire garder ses enfants par exemple).
Cependant, la loi n’instaure aucun délai minimal à respecter, ce délai ne doit cependant pas être trop court sous peine d’être jugé abusif.
Si l’employeur ne respecte pas de délai suffisant, alors le salarié est en droit de refuser de rester travailler plus tard, sans que ce refus ne soit constitutif d’une faute.

Le COR, contrepartie obligatoire en repos

COR. Deux consonnes et une voyelle qui signifient tout simplement contrepartie obligatoire en repos. Outre la majoration de salaires, un salarié a également droit à un repos obligatoire pour toute heure effectuée au-delà du contingent annuel. Un COR qui correspond à une période de travail effectif pour le calcul des droits du salarié. Donc pas d’incidence en termes de rémunération. Ce droit prend effet lorsque la durée de ce repos atteint 7 heures. La contrepartie obligatoire de repos est prise dans un délai de deux mois suivant l’ouverture des droits, soit par journée entière ou demi-journée. Vous avez dès lors une semaine pour donner votre accord ou pas. Dans la négative, il vous faudra proposer une autre date avec un différé maximum de 2 mois.

Quand ne pas payer ?

Si une convention ou un accord collectif d’entreprise ou d’établissement ou à défaut, une convention ou un accord de branche prévoit de remplacer le paiement des heures supplémentaires par l’attribution d’un repos compensateur équivalent. On parle aussi de Repos Compensateur de Remplacement (RCR). Le paiement de deux heures supplémentaires rémunérées à 150% peut être remplacé par un repos d’une durée de 3 heures.

Quand reporter ?

En cas de demandes simultanées de plusieurs salariés et afin de préserver le bon fonctionnement de l’entreprise, il vous faudra prendre en compte l’ancienneté des demandes (déjà différées), la situation familiale mais aussi l’ancienneté dans l’entreprise. Enfin, en cas de rupture de contrat avant que le salarié n’ait pu bénéficier de ce droit, l’employeur versera une compensation en espèces. Indemnité qui revêt le caractère de salaires.

En résumé, un employeur est obligé de payer les heures supplémentaires. Si la mesure de défiscalisation (exonération des charges sociales salariales sur les heures supplémentaires) a été abrogée, les entreprises de moins de 20 salariés gardent, cependant, le bénéfice de l’exonération sur les cotisations patronales de sécurité sociale. Cela correspond à une déduction forfaitaire d’1 euros 50 par heure supplémentaire. A noter que la nouvelle déduction ne concerne pas les cotisations salariales.

À savoir

Une exonération de cotisations salariales est appliquée au titre des heures supplémentaires (et complémentaires pour les salariés à temps partiel) effectuées à compter du 1er janvier 2019. Les rémunérations liées à l’accomplissement de ces heures supplémentaires et complémentaires sont également exonérées d’impôt sur le revenu dans la limite de 5 000 € par salarié et par an ; cette limite annuelle est égale à 7 500 € lorsque ces rémunérations, versées à raison des heures supplémentaires (et complémentaires pour les salariés à temps partiel) réalisées pendant la période d’état d’urgence sanitaire (soit entre le 16 mars 2020 et le 10 juillet 2020), entraînent le dépassement de la limite annuelle de 5 000 euros (la limite reste fixée à 5 000 euros pour les rémunérations perçues au titre des heures travaillées hors de la période de l’état d’urgence sanitaire). Cette disposition résulte de la loi du 25 avril 2020 citée en référence ; elle est codifiée à l’article 81 quater du Code général des impôts.

Brown-out au travail : comment le déceler et l’éviter ?

Le  livre de François Baumann intitulé « Le Brown-Out : Quand le travail n’a plus aucun sens », sort en librairie nous donne quelques clefs pour mieux comprendre la souffrance au travail. Nouveau mal-être dans le milieu professionnel, il traduit la perte de motivation au travail. S’il touche principalement le secteur tertiaire, où l’innovation a tendance à réduire les tâches des travailleurs, le phénomène s’étend de plus en plus chez les entreprises. Mais alors, comment le détecter et surtout, l’éviter ?

Qu’est-ce que le brown-out ?

On connaissait déjà le burn-out, autrement appelé « syndrome d’épuisement professionnel », caractérisé par un excès d’investissement dans le milieu de l’entreprise. Il existe aussi le bore-out, un syndrome lié à l’ennui au travail. Ce dernier peut toucher des salariés dont les tâches professionnelles, très peu nombreuses, mènent à l’ennui ainsi qu’à des pathologies psychologiques. Le brown-out, quant à lui, a été conceptualisée par André Spicer et Mats Alvesson au sein d’un livre intitulé « The Stupidity Paradox », en 2016, nous faisant découvrir une nouvelle pathologie en « -out ».

Concrètement, le brown-out fait état d’une désillusion pour le salarié face à son métier et à l’absurdité des tâches demandées. Celui-ci ne se retrouve alors plus dans son métier, le trouve « absurde » et sans intérêt. Cet état psychologique peut dériver vers une dépression et des troubles psychiques graves. L’auteur du livre sur le brown-out, François Baumann, définit cette pathologie comme « une baisse de tension et d’attention au travail, une prise de conscience brutale de l’absurdité de son métier qui paralyse ». Pouvant affecter un voire plusieurs de vos salariés, l’enjeu reste, en premier lieu, de savoir l’identifier.

Comment reconnaître cette nouvelle pathologie ?

Différent du burn-out, le brown-out est plus difficile à repérer, les salariés étant toujours aptes à travailler. Ce syndrome ne se manifeste pas de manière caractérisée sur le plan physique ou psychique. Pour le déceler, il faut être attentif afin de savoir si les salariés se sentent utiles dans l’entreprise et s’ils pensent que leur travail à un sens. Ces dernières années, cette pathologie s’avère d’autant plus présente à cause de ce que l’on appelle les « jobs à la con », théorisé par l’anthropologue américain David Graeber. Cette théorie consiste simplement à dénoncer les métiers qui, chamboulés par l’innovation et ses nouvelles technologies, manquent de sens. Seulement 5 % des collaborateurs se disent « fortement engagés et très satisfaits  de leur travail », selon une étude de l’Ipsos (entreprise de sondage française) pour Steelcase en 2016.

Le brown-out serait plus fréquent dans le secteur tertiaire, où le travail s’effectue souvent dans des bureaux, sur des logiciels optimisés. Pour cause, le salarié se sent dépendant de la machine et aliéné. Pour reconnaître les symptômes, il est important d’être attentif à la motivation de ses salariés et à leur niveau d’investissement dans l’entreprise. Le symptôme caractéristique le plus élémentaire est la baisse de l’estime de soi : le salarié n’ayant plus confiance en lui, perd toute estime pour son travail.

Que faire pour l’éviter ?

Dans le cadre professionnel, pour éviter le brown-out, vos employés doivent se sentir à l’aise et reconnus pour leur travail. Pour parvenir à cette situation, n’hésitez pas à féliciter vos salariés pour les tâches accomplies. Pour remédier à l’impression de « vide » que procure le brown-out, il faut que ces derniers soient encouragés à faire des choses plaisantes. Le travail doit être accompagné de loisirs et donner envie aux salariés de s’impliquer. Organiser des évènements d’entreprise ou des repas entre salariés peut mener à un esprit de cohésion et amener des éléments positifs dans le quotidien professionnel. De quoi retrouver un peu d’enthousiasme à l’idée d’aller travailler. Si vos salariés détiennent un objectif concret comme une promotion, ils pourront d’autant plus se projeter dans leur vie professionnelle et personnelle. Autre exemple, aménager les horaires de travail en fonction des obligations personnelles peut aider vos salariés à se sentir mieux compris.

Vous l’aurez compris, le brown-out peut être une fatalité pour les salariés comme l’employeur. Mieux vaut l’éviter à tout prix. Tenter d’apporter de l’intérêt aux tâches les plus insignifiantes et aider à revaloriser celles-ci débloque parfois la situation. S’il est déjà trop tard et que l’un de vos salariés est en plein brown-out, vous pouvez faire appel à un professionnel (psychologue, coordinateur…). Il pourra alors se déplacer pour faire le bilan avec vos employés et leur permettre de retrouver du sens dans leur travail.

Les solutions pour un bien-être salarial

Mais le plus important dans la lutte du brown-out au sein d’une entreprise reste de revaloriser ses salariés et leur accorder des moments de détente. Investir dans des salles de détente ou de jeux peut permettre à vos salariés de percevoir leur journée de travail comme quelque chose de plus attractif. Il ne s’agit pas de les mettre de côté et de les laisser vaquer à leurs occupations mais de prendre conscience du problème et de tenter de le résoudre.

En tant qu’entrepreneur, vous pouvez penser à améliorer votre espace de travail. Quant au management des équipes, une approche ouverte à l’écoute des salariés doit être privilégiée. Un salarié se sentant à l’écoute sera plus à même de se confier sur sa situation, ce qui permettra d’envisager des solutions au plus tôt. Quoi qu’il en soit, envisager une stratégie prônant le bien-être peut se révéler bénéfique et même permettre à votre entreprise une meilleure performance.