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Comment réduire le taux d’absentéisme au travail ?

L’absentéisme au travail est un cas de plus en plus fréquent dans les entreprises. Ayant atteint des proportions énormes, le temps d’absentéisme est équivalent à 16,6 jours d’absence pour un salarié. Les causes de l’absentéisme sont diverses. Pour pouvoir les réduire au minimum, il faut effectuer un diagnostic et revenir aux sources du problème.

Trouver la source

Avant de résoudre un problème, il est indispensable de savoir d’où il provient. Faites un diagnostic pour toutes les catégories : par tranche d’âge, par département, par équipes et par catégories professionnelles. Cette technique vous permettra de relever plus facilement les problèmes et de savoir où chercher. Lorsque vous avez réussi à cerner le groupe qui est le plus sujet à l’absentéisme, il vous sera plus facile de prévoir les contre-mesures où d’en comprendre l’origine. 

Un facteur externe ou un facteur interne ?

Suivant une étude effectuée au sein de quelques entreprises, les responsables des ressources humaines ont affirmé qu’il existe généralement quatre raisons qui sont à l’origine de l’absentéisme des employés. La première est liée aux facteurs extérieurs comme la maladie, la fatigue ou à un état de santé psychologique. 

La seconde raison est relative aux conditions de travail. On entend par conditions de travail, l’infrastructure et les matériels du travail comme la salle de travail, les lumières, les bruits qui circulent. Mais à part le confort du lieu du travail, on note également que l’ambiance au travail démotive les salariés. 

La troisième cause est liée au travail qui attend le salarié : des tâches ardues, une masse de travail à effectuer ou des pressions liées à un objectif non atteint. Pour la dernière cause, ce sont les personnes qui se sentent incomprises ou celles qui ne ressentent aucun espoir d’évolution.

Les solutions envisageables

Certaines entreprises utilisent la contre-visite médicale pour réduire les absentéismes, mais nous savons tous que cette méthode ne résout qu’une infime partie du problème et peut vite montrer un défaut de confiance. Il faut trouver des solutions plus intelligentes qui peuvent être un moyen détourner de favoriser le présentéisme. On peut par exemple envisager de proposer la prime à la présence mais le problème demeure entier, car les salariés les plus assidus peuvent rencontrer des accidents de travail ou des maladies saisonnières et sont obligés de s’arrêter ponctuellement. L’absence de cette prime peut donc les décourager. 

Un problème des RH ou des managers ?

Quelques managers pensent que le taux d’absentéisme au travail ne les regarde pas et que résoudre ce problème incombe aux ressources humaines. Pourtant, d’après les diagnostics effectués ci-dessus, on voit bien qu’un seul facteur n’est pas lié à l’environnement du travail. Établir une bonne communication avec ses subordonnés est donc la solution pour le manager, afin d’être à l’écoute de son équipe et ainsi de mieux trouver quels sont ses problèmes et ses attentes.

Cette communication n’est pas forcément effectuée en face à face, certaines personnes peuvent être plus souples en parlant dans l’anonymat, une boîte à idées peut être votre solution. Cependant, si vous installez un bon environnement au travail, si vous vous comportez comme un bon manager plutôt que comme un chef suprême, il sera plus facile pour vos subordonnés de vous aborder. Et de réduire de fait leur taux d’absentéisme !

5 bonnes raisons de tester son idée avant de lancer son entreprise

Il est courant de vouloir peaufiner son produit ou service jusqu’à la perfection et de le présenter une fois que l’on pense avoir terminé le produit « parfait ». Seulement, celui n’existe pas et subira très probablement des améliorations tout au long de la vie de l’entreprise. Zoom sur les bonnes raisons de tester son idée avant de créer votre entreprise. 

Cela vous permettra de voir si les clients apprécient votre produit

Quoi de mieux qu’un petit tour sur le terrain pour voir comment les clients perçoivent vos produits/services ? Allez à la rencontre de vos clients avant même que votre entreprise ne soit officiellement lancée : vous pourrez ainsi savoir si cela vaut réellement le coup de vous lancer dans la création d’une entreprise. Autre point qui a son importance : avoir déjà eu une expérience positive sur le terrain vous facilitera le travail lorsque vous devrez convaincre financeurs et partenaires de la fiabilité de votre projet.

Vous allez pouvoir améliorer votre offre 

En testant votre offre auprès des clients, vous allez repérer nombre d’améliorations potentielles de votre produit. Vos premiers clients vous indiqueront les failles et éléments à améliorer dans votre produit/service. Ecoutez ces précieux conseils et faites évoluer votre projet grâce à ces premiers tests : lorsque vous monterez votre entreprise et proposerez votre offre au public, celle-ci correspondra parfaitement aux attentes de vos clients !

Vous ferez des économies

Inutile de vous lancer dans la production massive d’un produit qui ne fonctionne pas ou ne satisfera pas suffisamment vos clients. Il faut tester votre idée à petite échelle avant de vous lancer dans d’importants frais de production. Confronter son idée au marché représente une chance de viser juste lorsque vous proposerez votre produit/service au public et ainsi d’attirer tout de suite les clients vers votre offre. D’ailleurs certains pourraient très bien vous prendre des pré-commandes et vous demander de les tenir informés de la future sortie. Ils deviendront alors vos « early-adopters » voire des « bêta-testeurs »

Vous vous ferez connaître du public grâce au bouche-à-oreille

Quelques clients qui testent votre produit en avant-première et c’est le buzz qui démarre ! Si les premiers clients à qui vous avez fait tester votre produit/service sont conquis, ils en parleront sans aucun doute à leurs connaissances. Avant même que vous ayez créé votre entreprise, vous pourrez ainsi avoir un vivier de clients potentiels qui voudront eux aussi bénéficier de votre offre. Un bon moyen de convaincre des investisseurs de croire en votre projet !

Vous pourrez vous tester

Tester le produit vous permettra de tester également vos qualités d’entrepreneur : êtes-vous prêt à vous investir suffisamment pour développer votre entreprise ? Savez-vous quelques astuces pour vendre plus votre produit/service ? … Certaines tâches du chef d’entreprise peuvent vous rebuter et vous pouvez être carrément incompétent dans certains domaines. Ce n’est pas parce que votre idée est géniale que vous avez forcément la capacité à la porter dans tous les domaines. Il s’agit parfois de s’associer pour combler vos lacunes ou de se former, encore faut-il en avoir conscience. La confrontation permet de faire un point sur l’élément le plus important de votre entreprise : vous. 

La Ville de Toulon crée un Bad buzz !

Ce n’est pas parce que c’est la journée des droits des femmes qu’il faut offrir n’importe quoi ! La ville de Toulon n’échappe pas au Bad buzz que pourraient bien rencontrer des entreprises si elles ne réfléchissent pas assez aux cadeaux qu’elles offrent.

facebook.com/villedetoulon

Les faits : un cours de gym offert

La municipalité de Toulon s’est voulue originale pour célébrer la journée des droits des femmes en décidant d’offrir via un post sur Facebook une invitation à un cours de gym gratuit pour célébrer le 8 mars la journée du droit des femmes à Mourillon. Son initiative, qui partait d’un bon sentiment, a vu son message être très mal accueilli. En effet, celui-ci a créé un Bad buzz comme on le lit sur les commentaires des internautes.

Des internautes loin d’être tendres

Ils ont d’ailleurs été loin d’être tendres envers la ville avec de nombreuses personnes qui ont trouvé la proposition sexiste :

  • « Quel est le rapport avec la journée des droits de la femme ? »,
  • « En 2023, on en est encore à associer la femme à son physique… »,
  • « La gym, cet énorme enjeu pour le droit des femmes… »,
  • « Pourquoi pas des promos sur les aspirateurs aussi ? »
  • « Un cours de gym gratuit ? »
  • « La salle de sport, cet enjeu énorme pour les droits des femmes… »,
  • voire « C’est un poisson d’avril, c’est pas possible ! »
  • ou encore« Et une pépite sexiste de plus, une… »

Le principe de la journée du 8 mars

La journée du 8 mars est, rappelons-le, une journée qui est appelée de trois manières : la Journée Internationale des Droits des Femmes, Journée Internationale de la Femme ou Journée de la Femme. Celle-ci a pour but de promouvoir la défense des droits des femmes. Aussi, plus largement, elle sensibilise à la lutte contre les inégalités entre les sexes, célébrer les réalisations des femmes dans des domaines divers et rappeler qu’elles restent victimes de discriminations et de violences ainsi que sous-représentées dans les sphères politiques et économiques. C’est pourquoi, ce jour-là, sont organisés de nombreux événements sur des sujets essentiels comme l’égalité des chances, l’éducation, la santé ou encore la justice.

Un mea-culpa à demi-mot

Comme le confirme Var Martin qui a contacté Laurent Bonnet, adjoint délégué aux sports, le message n’a pas été pris pour ce qu’il était et il regrette que : « le bon message ne soit pas passé ». Il ajoute pour expliquer la démarche initiale « Le but, c’était surtout de dire que le sport est une pratique non genrée, destinée à tous et que tout le monde peut en faire. Le droit des femmes c’est aussi le droit de faire du sport, ce qui malheureusement n’est pas universellement le cas encore ce jour ».

Une erreur modifiée

Pour minimiser l’erreur, la collectivité a depuis modifié sa publication en remplaçant la partie « à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes » par la seule date du 8 mars. Il faut dire que l’ancienne formulation était fort maladroite voire complètement mal venue. On vous laisse juger. 

Comment bien préparer son voyage d’affaires ?

Un voyage d’affaires n’est déjà pas de tout repos. Il est souvent synonyme de fatigue intense et met à rude épreuve votre organisme. S’il faut compter sur le stress dû à une mauvaise préparation préalable, il peut vite tourner au cauchemar. Voici quelques trucs et astuces à prendre en compte avant de partir.

Faites le point sur les documents administratifs

Attention aux délais de l’administration. Les demandes de passeport et de visa prennent du temps. Faites le nécessaire dès que les dates du voyage sont établies. Prenez également garde à la validité de vos documents d’identité. Ils doivent être en règle durant votre séjour même si cela peut paraître évident. 

Pour connaître les informations pratiques et de dernière minute du pays dans lequel vous vous apprêtez à séjourner, le ministère des affaires étrangères met à votre disposition des indications utiles dans l’onglet « conseil aux voyageurs ». (www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs)

Jouez la sécurité

N’oubliez pas de voyager de faire une copie de vos documents d’identité en cas de perte ou de vol ainsi que la copie des documents propres à votre séjour. N’hésitez pas à en imprimer un exemplaire que vous séparerez des autres documents car réunir le tout n’aurait que peu de sens. Vous pouvez également en garder une trace sur le cloud au cas où.  Lors de la réservation de votre hébergement, de votre vol ou de votre moyen de locomotion, demandez toujours une confirmation écrite. Notez aussi les adresses et les numéros de téléphone de vos futurs interlocuteurs. 

Essayez, tant qu’à faire, de voyager léger afin d’éviter la perte de vos bagages, qui augmenterait naturellement votre stress. Une valise cabine légère suffira surtout si l’hôtel où vous séjournez est équipé d’un pressing. A l’intérieur, s’y trouveront une à deux tenues de rechanges sobres, un ordinateur réservé aux déplacements et qui ne contient pas de données importantes, le dossier contenant les réservations et les documents essentiels à votre séjour, des devises locales. N’oubliez pas de sauvegarder au préalable votre présentation professionnelle et les documents à partager avec vos contacts sur place sur une clé USB et de le faire également pour toutes vos données sur un disque dur qui restera au bureau ou dans votre habitation. 

Prenez soin de votre santé

Avant le départ, mettez à jour vos vaccinations et informez-vous sur les recommandations de santé. Le site de l’Institut Pasteur notifie les actualités épidémiologiques ainsi que les vaccinations recommandées en fonction des modalités de séjour. (https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical)

Adaptez vos départs et vos rendez-vous au phénomène du jetlag. Prenez du temps pour vous détendre et vous reposer avant de commencer vos entretiens professionnels. Des boules quiès ou des masques de nuit sont des indispensables à vous doter surtout si le voyage est long. 

Enfin entre les réunions, accordez-vous du temps de repos, de relaxation ou de visites guidées dans la ville où vous séjournez. Cela vous permettra de recharger les batteries avant un nouveau rendez-vous.

Prenez en compte les détails logistiques

Avant de partir, il faut élaborer une check-list qui sera le garant mémento de votre voyage. Pensez à prévoir des vêtements spécifiques suivant le programme de votre séjour (réunion, gala, rendez-vous d’affaire…) et suivant la météo.

Prévoyez vos déplacements à l’avance. Lors de votre arrivée à l’aéroport, faites-vous accueillir afin d’être conduit à l’hôtel sans peine. Quant à l’hébergement, choisissez-le en fonction de son positionnement géographique afin d’être bien placé pour arriver à l’heure aux rendez-vous. Vérifiez également les options proposées au sein du bâtiment et qui pourraient vous être nécessaires (laverie, réseau wifi/4G,…).

N’oubliez pas votre adaptateur, sans quoi il vous sera peut-être difficile d’utiliser votre ordinateur ou votre téléphone portable sur place. Sachez également la durée de vie de chacun de vos appareils, n’oubliez ni de les charger ni de prendre les appareils de recharge adéquats.

Organisez-vous

Pour bien préparer un voyage d’affaires, faites un planning du déroulé de votre voyage d’affaires. Renseignez-vous sur les coutumes locales, les codes vestimentaires, la gestuelle et les salutations propres au pays. Lors de vos discussions sur place, n’abordez pas de questions personnelles avec vos interlocuteurs. Apprenez également quelques expressions qui vous seront utiles durant votre séjour surtout si le pays n’est ni anglophone ni francophone. Faites imprimer également de nouvelles cartes de visites suivant la langue de vos interlocuteurs et n’hésitez pas à en prévoir davantage.

Durant votre absence, déléguez vos dossiers à vos plus proches collaborateurs. Mettez en place également des mails automatiques d’absence avec l’adresse numérique et le numéro de téléphone de la personne à contacter en cas d’urgence.

4 choses à ne pas faire quand on devient entrepreneur

Si vous consultez des blogs ou sites internet consacrés à l’entrepreneuriat, vous avez déjà probablement lu énormément d’articles sur ce qu’il faut faire quand on se lance dans la création d’entreprise. Pourtant, les gens ont plutôt tendance à porter davantage d’attention à ce qu’il ne faut pas faire. Voici donc 4 choses à ne pas faire quand on devient entrepreneur.

1/ Ne pas se fixer d’objectifs clairs

Pouvoir communiquer dessus

S’il est indispensable de fixer un cap à long terme, il l’est tout autant de fixer des objectifs précis à moyen terme et même à court terme. Vous allez probablement rencontrer de nombreux autres entrepreneurs, lors de divers événements. Certains vous poseront la question de vos projets et objectifs dans un futur proche. Vous ne pourrez pas paraître crédible si vous êtes incapable de répondre ou si vous vous contentez d’un « on est en train d’y réfléchir ». Vos objectifs doivent donc être définis et clairs même s’il existe une incertitude quant à leur réalisation.

Avoir une vision de l’avenir

En plus de ce premier aspect crédibilité vis-à-vis des acteurs extérieurs, il y a bien sûr l’aspect gestion et stratégie. Les grands entrepreneurs ne perdent pas de temps à faire des choses peu importantes. Cela, parce qu’ils sont capables de fixer des objectifs clairs, ils savent où ils vont et peuvent définir une feuille de route. Cette ligne va permettre de définir les moyens d’y parvenir et va les guider. Sans oublier, le dernier point : la motivation. Si vos objectifs sont clairement définis vous travaillerez évidemment plus dur pour les atteindre que si vous vous laissez porter simplement et improvisez en fonction des circonstances.

2/ Négliger l’importance du réseau

Et oui, même si vous avez confiance en vous et en votre projet, ce n’est pas une raison pour négliger l’importance de constituer un réseau professionnel. Les entrepreneurs qui réussissent sont souvent des maîtres dans l’art du networking. Ils peuvent contacter de nombreuses personnes suivant leur besoin.

Les autres entrepreneurs pourront vous aider sur de multiples points, et par conséquent, les aider en retour n’est absolument pas une perte de temps. Votre réseau vous sera très utile, lorsque vous rencontrerez une difficulté. Si votre réseau est suffisamment large, il y a fort à parier que vous pourrez trouver de l’aide facilement de la part de quelqu’un qui a déjà rencontré cette même difficulté.

3/ Procrastiner 

Il y a toujours des exceptions mais l’immense majorité des entrepreneurs ne repousse jamais à plus tard ce qui peut être fait tout de suite. En laissant les tâches s’accumuler vous perdez ensuite du temps à les trier et leur accordez une priorité. Vous faites également des erreurs entre les différentes tâches… De plus, procrastiner au travail vous rajoute une pression supplémentaire : vous prenez le risque de dépasser les délais pour la réalisation de certaines tâches. La pression sur les épaules des entrepreneurs est certainement déjà assez importante pour ne pas en rajouter.

Des imprévus surviennent tout le temps, si bien que vous pouvez vous retrouver rapidement en difficulté si vous avez à gérer en plus ceux-là ou encore des anciennes tâches que vous aviez repoussées à plus tard. Si vous sentez la flemme vous envahir, ayez conscience qu’il vaut mieux faire une tâche, n’importe laquelle, que de la subir. Vos instants de repos doivent être décidés et non subis. 

4/ Ne penser qu’au business

Beaucoup de personnes le font sans s’en rendre compte réellement. Elles parlent de business et uniquement de ça, partout, tout le temps. Le résultat est simple, les gens finissent par les éviter. Quand vous parlez à d’autres entrepreneurs, ne vous sentez pas forcé de parler que d’entrepreneuriat, le plus important est plutôt d’établir une relation forte et durable. La clé est bien sûr de faire sentir aux gens que vous n’êtes pas là uniquement pour leur argent ou pour leurs conseils. Il faut également savoir profiter, pour vous, de vos instants de détente même si votre cerveau vous jouera des tours. 

Les signes qui montrent qu’un salarié est prêt pour une promotion

Lorsque vous managez des salariés, il est important de toujours leur proposer une perspective d’évolution. Lorsqu’un poste à responsabilité se libère et que vous voulez « l’offrir » à un employé déjà dans l’entreprise, vient alors la fameuse question : quel salarié mérite de recevoir cette promotion ? La décision de permettre à un employé de gravir un échelon dans la hiérarchie de l’entreprise n’est pas anodine, pour vous aider, voici quelques signes qui montrent qu’un salarié est prêt pour une promotion. 

Un choix à faire judicieusement

Le risque de se tromper est double, accorder une promotion au mauvais salarié (qui ne pourra pas effectuer correctement ses nouvelles tâches) et ne pas faire monter dans la hiérarchie quelqu’un qui le méritait (qui se sentira floué et diminuera son implication dans l’entreprise). Pas de panique pour autant, dans une grande partie des cas, le choix apparaît comme naturel, il est rare de passer à côté d’un salarié qui est bon, motivé et prêt à accepter plus de responsabilités ! Il y a cependant une multitude de facteurs à prendre en compte.

Les chiffres parlent pour lui

Les chiffres ne représentent évidemment pas l’unique facteur à prendre en compte dans l’optique d’accorder une promotion à un salarié mais peuvent tout de même s’avérer très utiles. Il n’est bien sûr pas possible de quantifier toutes les performances mais si vous pouvez le faire cela vous permettra de repérer quels sont les meilleurs employés au niveau de la performance brute et de prendre donc une décision qui sera vu comme impartiale.  Ces chiffres peuvent également vous aider à rester au courant des performances individuelles des employés. Cela vous donnera la possibilité de noter des tendances, par exemple si un vendeur a l’habitude de dépasser ses objectifs de vente. 

Il propose des solutions au lieu de se plaindre

Tout le monde se plaint à un moment ou à un autre, les employés, les managers, les dirigeants. Les meilleurs salariés ne sont pas ceux qui ne se plaignent pas du tout mais plutôt ceux qui peuvent se plaindre mais qui proposent toujours ensuite une solution pour régler le problème. C’est une des manières de repérer les salariés qui sortent du lot. L’employé qui fait cela vous prouve qu’il est prêt à recevoir plus de responsabilités et à aider au succès de l’entreprise. Il vous prouve qu’il n’est pas le genre de personne à simplement accepter les mauvaises choses qui surviennent, s’en plaindre, et ne rien faire pour qu’elles s’améliorent. 

Il cherche à partager ses connaissances

Avoir une position plus élevée ou devenir manager implique généralement l’obligation de transmettre un savoir, des connaissances, un savoir-faire. Cela implique de repérer le ou les employés qui ont des difficultés et les aider à se développer sur ces points. Lorsque vous devez accorder une promotion, regardez par exemple les employés qui sont plus enclins à transmettre leurs connaissances aux nouveaux arrivés. Par cette attitude, ils montrent qu’ils sont investis dans le développement de l’entreprise ou du moins du service en question. Ils montrent aussi qu’ils ont compris que c’est la force du groupe qui fait la force du périmètre dans lequel il est.

Ils essaient d’élargir leurs connaissances

Si un employé obtient un poste supérieur, il est fort probable qu’il ne possédera pas dès l’origine les connaissances nécessaires à ses nouvelles tâches. Pour cette raison, la volonté d’apprendre doit être une chose déterminante dans votre choix. Les meilleurs employés, les plus motivés, vont sans cesse essayer de s’améliorer, même sur des détails. Ils trouvent des moyens pour acquérir de nouvelles connaissances et n’hésitent pas à le faire sur leur temps libre. 

Ils demandent votre feedback et acceptent les remarques

Tous les employés ne prennent pas bien le fait d’avoir un retour sur leur travail. En conséquence, si certains salariés vous demandent votre avis sur leur travail pour s’améliorer, prenez en note. En vous demandant votre feedback, ils vous prouvent leur ouverture d’esprit et leur acceptation de la critique. Soyez attentif aux salariés qui vous interrogent sur leurs performances actuelles, sur ce qu’ils pourraient faire mieux. C’est un bon indicateur de leur volonté de s’impliquer dans l’entreprise et de leur faculté à s’adapter à un poste plus élevé dans la hiérarchie. C’est en quelque sorte la preuve qu’ils ont envie de se développer dans l’entreprise. Ensuite, évidemment, il faut observer ce qu’ils font du feedback que vous leur donnez, s’ils n’appliquent pas vos conseils, qu’ils ne mettent pas en action ce que vous dites, l’intérêt de vous avoir demandé votre feedback est réduit à néant. 

Ce ne sont bien sûr que des indications qui peuvent vous aider dans votre choix.

Twitter, un réseau social qui continue à plaire

En 2022, Twitter compte environ 330 millions d’utilisateurs actifs par mois dont 62 % soit 206 millions, utilisent le service quotidiennement selon les données de Statista en 2022. Twitter a généré en 2021 un chiffre d’affaires de 5,07 milliards de dollars. Twitter compte 16,1 millions d’utilisateurs mensuels en France dont 5,1 millions d’utilisateurs quotidiens. 82 % de toutes les entreprises B2B utilisent Twitter comme outil de marketing digital.

Quelques idées de publications Twitter

Pour Twitter, il est conseillé d’avoir un contenu lié à l’actualité. Il faut donc réaliser une veille sur des informations chaudes. Vous pouvez poster des contenus variés comme une infographie, un conseil, un chiffre clé, une vidéo ou encore faire un sondage. Gardez à l’esprit que « tweet » est un message court de 280 caractères. Si celui-ci peut contenir des images, liens, vidéos…, il faut être le plus succinct possible puisque les tweets les plus suivis font environ 100 caractères. À noter que vous avez la possibilité de « Retweet », c’est-à-dire transmettre le message d’un autre à vos « followers ».

Utilisez les hashtags

Ils sont particulièrement utilisés sur ce Twitter, il faut au moins en insérer un mais pas plus de 3. Celui-ci sert à promouvoir le thème de votre post, le faire apparaître dans la veille des utilisateurs. Sachez que votre tweet sera ainsi ajouté à une liste avec tous les tweets ayant le même Hashtag, ce qui peut vous servir à proposer une ligne éditoriale. L’utilisation des hashtags sur twitter doit être pertinente et vous devez garder à l’esprit qu’un tweet, sans hashtag, ne sera visible que de vos abonnés.

Souhaitez la bienvenue et remerciez

Les nouveaux abonnés apprécient généralement que vous les accueillez avec le hashtag #Twelcome ou un message personnalisé. N’oubliez pas de remercier ceux qui vous partagent. Cela vous permet d’augmenter votre capital sympathie et d’encourager votre communauté à le faire.

Retweetez vos followers et influenceurs

Sur Twitter, il ne s’agit pas seulement de partager ses propres contenus mais également à retweeter les contenus de certains utilisateurs ou influenceurs de votre secteur. Certains pourraient commencer à vous suivre et également partager vos tweets en retour.

Surveillez la fréquence des tweets

La tendance de quelques-uns est de poster souvent voire très souvent. Or, ces actions sont souvent l’origine de désabonnements. N’excédez pas les 3-4 tweets par jour et ceux-ci doivent avoir au minimum 1 heure d’intervalle.

Ayez du contenu de qualité

Mettez avant tout les fautes d’orthographe au pilori. Si cela est aujourd’hui toléré, n’en abusez pas si vous ne voulez pas avoir une vague de désengagement. Votre contenu doit être de qualité et surtout vérifié. Votre tweet doit être préparé et de plus ajouter une image augmente largement le taux d’engagement. Une des grandes règles sur Twitter reste : un message = un tweet et n’hésitez pas à utiliser des émojis. 

Meilleurs moments pour publier Twitter en 2023 :
Sur Twitter les meilleurs créneaux ne sont pas les mêmes en B2B qu’en B2C :

  • En B2B : de 12h à 15h du lundi au vendredi, pic à 15h
  • En B2C : avant 9h du lundi au vendredi + À 12h et à 17h du lundi au vendredi. 

Tranche d’âge des utilisateurs de TWITTER :

  • 22 % : 18-24 ans
  • 25 % : 25-34 ans
  • 24 % : 35-44 ans
  • 29 % : +45 ans

Les post-its ont-ils encore un avenir en entreprise ?

Les post-its, ces bouts de papier rassemblés en bloc, permettent de noter des messages, à coller sur un support, pour ne pas les oublier ou pour les faire passer aux autres. À l’heure de la révolution numérique, cet outil a-t-il toujours sa place en entreprise ?

Utilisation du post-it en entreprise : avantages

Chaque année, on estime que les entreprises consomment plus de 50 milliards de feuilles post-its. Plusieurs études ont prouvé qu’ils optimisent la prise de décision et l’organisation au sein de l’entreprise. Selon certains spécialistes, écrire sur un post-it permet de limiter le stress au travail et de ne pas encombrer la mémoire. Ils sont faciles à utiliser et très accessibles. Tout en écoutant son interlocuteur au téléphone, l’employé peut par exemple noter immédiatement les informations importantes qu’il entend, l’essentiel de son planning du jour : tâches importantes, rendez-vous, réunions. Cela permet d’éviter l’oubli…

Depuis 2011, des tentatives de réaction face à son abandon se succèdent. On citera notamment la « guerre » des post-its à Paris, à l’initiative d’une salariée d’Ubisoft. Ce jeu original entre entreprises consiste à utiliser un grand nombre de ces bouts de papier pour créer des images amusantes sur les vitres des immeubles professionnels, à la fois pour amuser les équipes, mais également pour les fédérer autour d’une compétition et améliorer ainsi leur engagement au sein de l’entreprise. Au vu de l’utilisation massive de ces bouts de papier en entreprise, certains fabricants, davantage respectueux de l’environnement, ont décidé de proposer des post-its écologiques réalisés avec du papier recyclé à 100%. Reste que les post-its restent une solution que vous pouvez remplacer de manière plus durable. 

Des solutions pour remplacer ou compléter les post-its

A l’heure des nouvelles technologies, le post-it a-t-il encore un avenir ? Des solutions plus modernes et ergonomiques semblent venir le remplacer progressivement.

  • Le Post-it virtuel qui est inspiré du principe du post-it traditionnel. Grâce à ses interfaces graphiques informatiques, l’utilisateur peut coller des notes de couleur vive sur le bureau de son ordinateur. Il peut choisir le style et la taille des écritures, la couleur et la taille de la note. Parmi ces systèmes basés sur le concept de post-it, on peut citer à titre indicatif Pense-bête, Padlet, Scrumblr, PrimaryWall et Lino.
  • La tablette constitue une autre solution pour garder les idées ou informations à mémoriser. Vous pouvez employer cet écran tactile comme un bloc-notes personnel. Le stylet intelligent permet d’écrire à la main des notes virtuelles en toute simplicité.
  • Des Internet de gestion des « to-do » de la journée, comme Google Tasks, qui permettent d’organiser facilement ses tâches professionnelles et son temps. Ces outils comprennent des fonctionnalités simples qui permettent d’ajouter des tâches et de marquer celles qui sont prioritaires. Certains proposent un compteur du nombre de tâches réalisées.

Vous pouvez également télécharger sur Internet des logiciels de prise de notes sont téléchargeables gratuitement, tels que OneNote et EverNote. Ils sont efficaces dans le cadre d’une utilisation professionnelle pour prendre des notes à ne pas oublier, stocker des informations et les partager facilement aux collaborateurs.

Pourquoi les retards de paiement sont-ils le véritable problème de la croissance des TPE/PME ?

Les retards de paiement sont un problème qui peut toucher les grandes entreprises et les PME tout autant. Ses répercussions sont toutefois plus lourdes chez les sociétés en voie de développement qui ont souvent besoin de fonds pour alimenter leur trésorerie. 

Retards de paiement : un véritable frein pour la croissance des PME

Les retards de paiement constituent un problème de taille surtout pour les PME qui font preuve de beaucoup de tolérance afin de commercialiser leurs produits et d’asseoir leur réputation dans un marché très concurrentiel. Les crédits finissent toutefois par s’accumuler et par bloquer la croissance de ces entreprises naissantes qui ne peuvent à leur tour plus payer leur fournisseur ou encore subissent les pénalités de retard.

La médiation inter-entreprises rapporte que 20% des faillites qui touchent les PME sont dues à un retard de paiement. Aux délais de paiements habituels s’ajoutent les retards non comptabilisés. Ce qu’il faut savoir, c’est que les clients utilisent de plus en plus de moyens détournés pour déroger aux paiements notamment sur la forme : facture incomplète, adresse défaillante, retard d’émission de bon de commande…  Plus qu’un simple problème, les retards de paiements nuisent à l’économie française. La Banque de France estime d’ailleurs que ces retards coûtent plusieurs milliards d’euros à la trésorerie. Un chiffre considérable qui explique le désarroi dans lequel se retrouvent nos PME.

Les retards de paiements : un phénomène de cascade

Les PME subissent des retards de paiements et deviennent ainsi victimes du manque de rigueur de certaines entreprises dont elles sont les fournisseurs. Malheureusement, cela finit par créer un phénomène de cascade puisque ces PME n’arrivent plus à payer par la suite leurs employés ou fournisseurs. Numericable-SFR a fini par acquérir la mauvaise réputation de l’entreprise de ne pas payer ses fournisseurs pendant des années. Bouygues Telecom, Valeo et Vinci étaient également connus comme des mauvais payeurs même si aujourd’hui les grandes entreprises ont largement travaillé sur leur process.

La source du problème reste que certaines entreprises profitent de leur situation confortable et de leur réputation. De l’autre côté, les PME hésitent à signaler les mauvais payeurs de peur de perdre un gros client. Mais cette attitude hésitante est en voie de changer. Par exemple, la PME dijonnaise « Pacotte et Mignotte », fabricant de fenêtres, n’a pas hésité à saisir la médiation inter-entreprises pour des retards de paiement.

Comment y remédier ?

  1. Mettre des processus stricts dans la facturation. Pour éviter tout retard de paiement, il convient d’abord de vérifier que votre facture se fasse en temps et en heure et qu’elle soit bien conforme. Il s’agit donc parfois seulement de demander à votre interlocuteur de vérifier leur validité ou leur bonne réception.
  2. Sur vos documents, indiquez clairement vos conditions de paiement : clauses de résiliation, clauses pénales, intérêts de retard. Ces indications permettent de sécuriser votre contrat et d’en assurer l’efficacité.
  3. Avoir recours à des solutions comme les conventions d’affacturage qui consiste à vous faire payer par une entreprise spécialisée plutôt que par le client. Même si le montant de créance est réduit, vous avez au moins la certitude d’être payé dans les délais prévus.
  4. Essayer d’obtenir un contrat de cautionnement (si vous êtes en position de force). C’est le dirigeant qui s’engage auprès de vous au lieu de la société.
  5. Avant de penser aux poursuites judiciaires, essayez de récupérer votre dû avec une procédure de médiation inter-entreprises. Si cette initiative ne marche pas, pensez à une mise en demeure par avocat. Cette démarche vous permettra de convaincre votre débiteur de vous payer avant de passer aux poursuites légales.

4 stratégies pour identifier les casinos en ligne qui paient les gains le plus rapidement

Trouver un casino en ligne sur lequel on puisse s’amuser n’est pas une tache difficile. Ce qui peut en revanche être plus complexe, c’est identifier une maison de jeux virtuelle sur laquelle le client se trouve en sécurité et puisse retirer son argent de manière rapide. Nous avons souhaité vous présenter quelques solutions qui vous permettront de mieux comprendre si le casino sur internet que vous convoitez sera à la hauteur de vos attentes de ce côté-là !

On s’appuie sur les conseils de guides spécialisés 

Il n’est jamais simple pour un grand débutant de comprendre ce que valent les services d’une entreprise et si l’on est face à un établissement qui mérite vraiment notre attention. Pour trouver des opérateurs de jeux de hasard de confiance et éviter les arnaques, il vous faut l’aide d’un guide spécialisé. 

En suivant ce lien, vous découvrirez par exemple l’un des acteurs les plus appréciés en la matière. CasinosCanada.com identifie les casinos en ligne sur le territoire Franco-Canadien et les fait tester pendant plusieurs semaines par une équipe de spécialistes. Lorsque le résultat est concluant et que la plateforme de gaming est jugée saine, le site le répertorie alors en proposant aux lecteurs de consulter une fiche de présentation des performances. Sur ces fiches, en plus de trouver l’avis des testeurs, vous découvrirez si le casino traite les retraits de façon rapide.

On lit les avis des joueurs sur les forums et sur Facebook

Les mieux placés pour vous parler d’une entreprise, ce sont bien évidemment leurs utilisateurs. Lorsque l’on recherche un excellent casino en ligne tout en souhaitant avoir la certitude de dénicher la maison de jeux qui traite rapidement les retraits, l’autre option complémentaire à ne pas oublier est de jeter un coup d’œil aux avis des joueurs que vous trouvez sur le web. 

Différentes plateformes vous permettront de collecter ces précieuses opinions. Les sites de type « guide » permettent en général aux clients de partager leurs expériences dans les commentaires, mais vous trouverez également ces témoignages sur Facebook, sur la fiche Google du casino ou bien sur des forums.

On consulte la page dédiée aux paiements sur le casino en ligne

Anticiper les besoins des clients est le propre d’une entreprise qui souhaite réussir. La plupart des casinos qui n’ont rien à cacher en matière de rapidité de validation des retraits ont donc créé une page sur leur site entièrement dédiée à la présentation de leurs procédures de dépôt et de retrait.

Vous y découvrirez dans la plupart des cas toutes les informations dont vous aurez besoin. Ce qui vous sera particulièrement utile ? Les délais de validation des demandes de retrait varient en fonction des méthodes de paiement utilisées. Si vous optez pour les virements Interac, alors le service financier aura peut-être besoin de plus de temps que si vous retirez en crypto monnaie ou bien via un portefeuille électronique. Grâce à cette section du casino, vous saurez en un coup d’œil combien de temps vous devrez patienter pour recevoir vos gains avec la solution que vous aviez envisagé d’utiliser.

On lit les Termes & Conditions du casino en ligne

Pour compléter le portrait que les informations collectées plus haut vous auront permis de dresser, il est important de terminer ces vérifications en jetant un coup d’œil aux Termes et Conditions. Vous découvrirez une section entièrement dédiée aux paiements et saurez ainsi quel délai légal la maison de jeux s’est imposée pour traiter les demandes de récupération des gains. Quoi qu’il arrive, elle n’aura pas le droit d’excéder cette limite !