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Chefs d’entreprise : Comment optimiser vos revenus ?

Oui, le dirigeant peut optimiser ses revenus. Focus sur quelques sources essentielles : PEE, PER et intéressement.

La loi PACTE de 2020 (anciennement Madelin) donne la possibilité au seul dirigeant de mettre en place une épargne retraite tirée du revenu imposable de l’entreprise. Il est à rappeler qu’une fois constituée, il n’est pas possible de procéder à une récupération en capital. En fait, lorsque le souscripteur prend concrètement sa retraite, il retrouve son investissement sous forme d’une rente dont le taux varie entre 4 % et 6 %. souscrire à un contrat retraite facultative est fortement conseillé à un TPE si son dirigeant est fortement imposé. De plus, il est essentiel de préciser que cette souscription reste l’un des derniers outils d’optimisation fiscale.

L’épargne salariale (PEE – PER) n’est pas réservée qu’aux salariés. Depuis 2005, les patrons peuvent même bénéficier de l’intéressement, s’ils emploient au moins un salarié.

Le plan d’épargne entreprise (PEE)

Le plan d’épargne entreprise (PEE) est un système collectif d’épargne qui permet aux salariés (et aux dirigeants des petites entreprises) d’acheter des valeurs mobilières avec l’aide de l’entreprise. Les salariés et les entreprises peuvent effectuer des versements sur le PEE. Les sommes sont indisponibles pendant au moins 5 ans, sauf cas de déblocages exceptionnels. 

Les bénéficiaires

Si l’effectif de l’entreprise ne dépasse pas 250 salariés, son dirigeant peut également bénéficier du PEE, quel que soit son statut. L’époux ou le partenaire de Pacs du dirigeant peut aussi bénéficier du PEE s’il a le statut de conjoint collaborateur ou de conjoint associé.

L’abondement

Le PEE peut être alimenté par des versements de l’entreprise qui viennent compléter les versements des salariés. Ces versements complémentaires de l’entreprise sont appelés abondements. L’abondement ne peut pas dépasser 3 fois le montant que vous avez vous-même versé, ni être supérieur à 3 519,36 €. Si vous investissez dans des actions ou des certificats d’investissement émis par votre entreprise ou par une entreprise liée, l’abondement peut aller jusqu’à 6 334,85 €.

À savoir  

Lorsqu’une entreprise de 50 salariés ou plus fait un versement complémentaire, elle doit payer une contribution spéciale, appelée forfait social.

Les versements volontaires de l’entreprise

L’entreprise peut aussi effectuer des versements sur le PEE, même en l’absence de versements des salariés. Ces versements volontaires de l’entreprise se destinent exclusivement à l’achat d’actions ou de certificats d’investissements émis par l’entreprise ou par une entreprise du même groupe.

Le blocage ou la disponibilité des sommes

Les sommes investies dans le PEE sont bloquées pendant au moins 5 ans.

Toutefois, vous pouvez demander le déblocage anticipé des sommes dans certains cas. Les plus courants sont les suivants :

  • Mariage, conclusion d’un Pacs
  • Naissance ou adoption d’un 3e enfant
  • Divorce, séparation, dissolution d’un Pacs, avec la garde d’au moins un enfant
  • Victime de violence conjugale
  • Acquisition de la résidence principale
  • Construction de la résidence principale
  • Agrandissement de la résidence principale
  • Remise en état de la résidence principale
  • Invalidité (salarié, son époux(se) ou partenaire de Pacs, ses enfants)
  • Décès (salarié, son époux(se) ou partenaire de Pacs)
  • Cessation du contrat de travail (licenciement, démission, départ à la retraite avant l’expiration du délai de 5 ans)
  • Création ou reprise d’entreprise
  • Surendettement

La demande de déblocage anticipée doit intervenir dans les 6 mois suivant l’événement. Toutefois, elle peut intervenir à tout moment en cas de rupture du contrat de travail, décès, invalidité et surendettement.

La fiscalité

La fiscalité varie selon la nature des sommes versées sur le PEE. L’abondement versé par l’entreprise est exonéré d’impôt sur le revenu pour le salarié, dans la limite de 3 519,36 €. Ce plafond se porte à 6 334,85 € en cas d’investissement dans des actions ou certificats d’investissement émis par votre entreprise. Mais l’abondement reste soumis à la CSG (contribution sociale généralisée) et à la CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale).

Le plan d’épargne retraite (PER)

Le PER représente un nouveau produit d’épargne retraite. Il est disponible depuis le 1er octobre 2019 et remplace progressivement les autres plans d’épargne retraite. Il se décline sous 3 formes : un PER individuel, et deux PER d’entreprise. Le PER individuel succède au Perp et au contrat Madelin. Celui d’entreprise collectif succède au Perco. Le PER d’entreprise obligatoire succède au contrat article 83:. Vous pouvez transférer l’épargne des anciens plans déjà ouverts sur votre nouveau PER. Le PER permet de déduire les versements de votre revenu imposable pour réduire mécaniquement votre impôt sur le revenu. Vous pouvez aussi choisir de ne pas déduire vos versements et de profiter d’une fiscalité allégée à la sortie.

Le PER offre trois possibilités

Trois solutions s’offrent aux dirigeants d’entreprise :

  • L’individuel (PERIN), qui remplace le PERP et l’ancien contrat Madelin, peut être souscrit à la fois par le dirigeant assimilé-salarié et le dirigeant travailleur indépendant ;
  • D’entreprise collectif (PERECO) ou inter-entreprise (PERCOL-I), remplaçant du PERCO, est accessible de droit au dirigeant assimilé-salarié, tandis que le dirigeant TI ne pourra en bénéficier que si son entreprise emploie un nombre de salarié(s) compris entre un et 249 ;
  • D’entreprise obligatoire (PERO), peut être accessible pour le dirigeant salarié, tandis que le dirigeant TI ne pourra pas en bénéficier dans tous les cas.

Les versements volontaires qu’effectue le dirigeant sur son PER sont déductibles de son revenu imposable, dans la limite d’un certain plafond. Cette épargne est récupérable à la retraite, sous forme de capital, de rente, ou un mixte des deux (sortie en rente pour les versements obligatoires).

L’INTÉRESSEMENT, une excellente solution

L’intéressement reste un dispositif facultatif d’épargne salariale. Il est mis en place par voie d’accord avec les salariés et permet à la fois de motiver et de fidéliser les salariés en les associant financièrement aux résultats ou à la performance de l’entreprise. Mais comment mettre en place ce dispositif dans votre entreprise ? Sous quelles conditions ? Quels sont les avantages ? On vous dit tout.

C’est un plan d’épargne salariale qui permet aux salariés de recevoir une prime proportionnelle aux résultats ou aux performances de leur entreprise.

L’objectif est d’associer les salariés aux objectifs et résultats de l’entreprise.

Concrètement, l’intéressement se met en place dans l’entreprise par voie d’accord entre l’entreprise et les salariés ou leurs représentants.

Toutes les entreprises (quelles que soient leur forme juridique, leur nombre de salariés ou leur domaine d’activité) peuvent le mettre en place, grâce à un accord entre l’entreprise et les salariés ou leurs représentants.

Notez cependant que sa mise en place est facultative.

Les bizarreries de la gestion du temps : comment survivre en gardant le sourire ?

La gestion du temps peut parfois être un véritable casse-tête dans le monde professionnel. Entre les réunions interminables qui semblent s’étirer comme des chewing-gums et les e-mails qui se multiplient plus rapidement que des lapins en reproduction, il est facile de se sentir dépassé. Mais ne vous inquiétez pas, nous sommes là pour partager avec vous quelques anecdotes hilarantes sur les situations les plus absurdes de gestion du temps, ainsi que des conseils drôles pour garder votre santé mentale et votre sens de l’humour intacts. Accrochez-vous, ça va être un voyage épique dans le pays merveilleusement bizarre de la gestion du temps !

Les réunions interminables et leurs folies 

Les réunions, ces joyeux moments où le temps semble s’étirer comme un élastique sur le point de rompre. Voici quelques anecdotes qui vous feront sourire :

  • La réunion qui a commencé avec une présentation PowerPoint de 100 diapositives et s’est terminée deux jours plus tard, avec tout le monde endormi sous la table. On aurait dit une scène d’un film sur l’hibernation des ours.
  • La réunion où le but principal était de débattre de la couleur des stylos à utiliser dans le prochain rapport, mais où personne n’a vraiment pu prendre de décision. C’est incroyable comment une question en apparence si simple peut déclencher une véritable bataille d’idées.

Ah, les réunions interminables, où le temps se dilate comme par magie et où la productivité semble s’évaporer dans l’air. Mais ne vous inquiétez pas, voici quelques conseils drôles pour y faire face :

  • Organisez une compétition de bingo pendant la réunion, en essayant de repérer les mots et expressions clichés comme  » penser en dehors de la boîte «  ou  » passer le flambeau « . Faites en sorte que les perdants aient droit à une collation gratuite à la pause-café.
  • Amenez un coussin et une couverture pour faire semblant de dormir et voyez combien de temps cela prend avant que quelqu’un ne s’en rende compte. Vous pouvez même attribuer des points pour chaque minute passée sous la table sans être découvert. La discrétion est la clé !

L’envahissement des e-mails et leurs absurdités 

Les e-mails, ces messagers numériques qui semblent se reproduire comme des lapins. Voici quelques anecdotes loufoques sur les e-mails sans fin :

  • L’e-mail qui a été envoyé à toute l’entreprise pour demander qui a pris le dernier morceau de gâteau dans la cuisine, créant ainsi un débat épique sur les questions de propriété et de justice pâtissière. Qui aurait pensé qu’un simple dessert pouvait déclencher autant de passions ?
  • L’e-mail de trois pages pour annoncer une réunion de 15 minutes, où chaque détail insignifiant était mentionné, de la température de la salle à la disponibilité des snacks. On aurait dit le script d’un film hollywoodien, avec une intrigue palpitante autour du thermostat.

Les e-mails peuvent être une source infinie de distractions et d’absurdités, mais voici quelques conseils amusants pour y faire face :

  • Créez une boîte de réception fictive où vous répondez à tous les e-mails inutiles avec des réponses farfelues et imaginaires. Transformez-les en une histoire épique où vous êtes le héros intrépide. Qui sait, peut-être que votre créativité débridée finira par attirer l’attention des collègues et les incitera à repenser leurs envois d’e-mails inutiles.
  • Organisez un concours de la meilleure réponse automatique, en encourageant vos collègues à créer des réponses hilarantes pour filtrer les e-mails non essentiels. Le gagnant peut remporter un trophée en forme d’enveloppe géante ou une médaille  » Maître de l’Humour Électronique « . Cela apportera une dose d’amusement à votre boîte de réception et réduira peut-être le flot incessant de courriels.

En conclusion

Voilà, vous avez survécu aux bizarreries de la gestion du temps dans le monde professionnel. Des réunions interminables aux e-mails sans fin, vous avez désormais quelques anecdotes humoristiques et des conseils drôles pour affronter ces situations absurdes avec le sourire. Rappelez-vous, même si la gestion du temps peut parfois sembler être un combat perdu d’avance, gardez votre sens de l’humour intact et souvenez-vous que vous n’êtes pas seul dans cette bataille. 

Alors, la prochaine fois que vous vous retrouvez coincé dans une réunion qui n’en finit pas, pensez au bingo ou sortez votre coussin et votre couverture. Et lorsque les e-mails envahissent votre boîte de réception, répondez avec créativité et hilarité. La gestion du temps peut être bizarre, mais avec un peu d’humour, vous pouvez la rendre beaucoup plus supportable. Alors, équipez-vous de votre bonne humeur et partez à la conquête du temps avec un sourire aux lèvres !

La formation ? Un indispensable !

Interview de Nicolas Montetagaud, CEO d’Oktogone Group qui nous livre ses secrets pour bien choisir une formation pour vous ou vos salariés.

L’entreprise se scinde en deux parties : VISIPLUS academy et ISCOD ?

Oktogone Group est un groupe spécialisé dans l’éducation et de la formation en ligne à travers ses plateformes d’apprentissage VISIPLUS academy, spécialisée dans la formation continue pour les salariés et les demandeurs d’emploi, et l’iSCOD, spécialisée dans la formation initiale diplômante en alternance.
Avec ces deux activités, notre groupe conjugue l’ensemble des expertises pour accompagner les étudiants dans leur réussite professionnelle, ainsi que les salariés et les demandeurs d’emploi dans leur évolution de carrière ou dans leur reconversion professionnelle. Nos formations s’adressent aussi aux entreprises qui souhaitent faire monter en compétences leurs collaborateurs dans une démarche de formation continue, de mobilité interne ou bien encore de recrutement.

Une de vos spécificités, c’est d’être en télé-présentiel ou distanciel ?

Nous proposons exclusivement des formations à distance car nous croyons fermement que les outils numériques offrent toutes les ressources nécessaires pour permettre à chacun de se former de manière optimale et dans de bonnes conditions. Cette modalité de formation résout les multiples problèmes de logistique et les contraintes de temps. Il s’agit d’une formule vraiment plébiscitée par nos apprenants parce que nous leur apportons une flexibilité très forte, qu’il s’agisse des entreprises ou des particuliers.
Cependant, bien que nous formions à distance, cela ne signifie en aucun cas que nous laissons seuls nos apprenants tout au long de leur formation. Nous leur fournissons un accompagnement continu et nous sommes à même de leur proposer des formats très différents. Nos apprenants peuvent apprendre à travers des vidéos mais également des Lives, ou encore des séances de questions- réponses. Nous mettons en œuvre de nombreuses modalités pour être en mesure de former le plus efficacement possible nos différents publics.

Pourquoi avoir abandonné complètement le présentiel ?

Parce que clairement, nous pensons que le distanciel est aussi efficace et que c’est l’avenir. Nous n’en sommes qu’au début d’une nouvelle manière d’apprendre. Nous développons actuellement notre propre plateforme d’apprentissage, notre LMS pour Learning Management System. En l’occurrence, nous avons l’une des meilleures plateformes du marché car elle offre une variété de fonctionnalités qui permettent d’enrichir l’expérience d’apprentissage : des vidéos, des quizz, des podcasts, une bibliographie … L’e-learning a beaucoup évolué ces dernières années. Nous n’en sommes plus au stade où vous allez juste regarder une vidéo. Les modalités d’apprentissage évoluent et nous investissons beaucoup dessus. Nous sommes en train de refondre cette plateforme pour la développer encore davantage et pour qu’elle soit encore plus agile. Pour moi, c’est vraiment une modalité qui va se développer de plus en plus dans les années à venir et c’est déjà en forte évolution. Nous ne sommes pas du tout au bout de l’aventure mais à ses débuts.

Je compare souvent le stade actuel de la formation à celui du marché du voyage au début d’internet. Dans les années 2000, les clients avaient foi seulement dans une agence de voyage. Puis, ils se sont mis à acheter leur billet d’avion sur un comparateur, et aujourd’hui ils organisent tout leur voyage depuis leur mobile. Il n’y a pas de raison que l’éducation n’évolue pas de la même façon. L’essentiel reste que l’apprenant devant son écran soit impliqué. Notre rôle est de sélectionner soigneusement nos formateurs afin de garantir un niveau de qualité optimal.

« Plus qu’un outil de motivation, je pense qu’il s’agit d’un vrai levier de fidélisation. Cela peut paraître paradoxal, mais quand nous développons l’employabilité de nos collaborateurs, nous les fidélisons. »

Pour quelles raisons, les gens décident de se former ?

Il y a plein de cas différents. C’est la raison pour laquelle nous avons une équipe de conseillers en formation qui est là pour les aider à concrétiser leur projet. Une première raison peut être d’apprendre de nouvelles choses ou de remettre son niveau d’expertise à jour. Par exemple, vous êtes assistant RH dans une entreprise, vous voulez avoir davantage d’expertise sur la paie, nous vous proposons des formations pour vous aider à progresser.
Que l’on soit salarié, qu’on le fasse individuellement, avec son CPF ou qu’on soit une entreprise et qu’on veuille développer ses collaborateurs, notre accompagnement reste le même.

Le deuxième cas concerne les reconversions professionnelles. Celles-ci peuvent être initiées par l’entreprise, mais le plus souvent par les collaborateurs eux-mêmes. Les salariés décident de changer de métier, de fonction. Nous les accompagnons évidemment d’abord pour définir leur projet, et ensuite sur la recherche de financement. Nous avons beaucoup entendu parler du CPF, mais ce n’est évidemment pas le seul moyen de financement possible. Par exemple, le Projet de Transition Professionnelle (PTP) est un dispositif qui peut aussi financer une reconversion. En outre, notre public comprend également des entrepreneurs qui ont souvent des besoins très précis, très ponctuels parce qu’ils sont dans un temps différent. Ils veulent acquérir une expertise très rapidement.

Est-ce que les entreprises se servent de la formation comme un outil de motivation ?

Oui, bien sûr. Plus qu’un outil de motivation, je pense qu’il s’agit d’un vrai levier de fidélisation. Cela peut paraître paradoxal, mais quand nous développons l’employabilité de nos collaborateurs, nous les fidélisons. Tous les collaborateurs cherchent à apprendre de nouvelles choses, continuer à progresser, à avoir un quotidien qui change d’une mission à l’autre, etc.
Plus vous allez les former, plus vous allez leur montrer que vous comptez sur eux, qu’ils sont importants et donc plus vous les fidélisez. De plus dans un moment où il y a une vraie pénurie de main d’œuvre sur de multiples métiers, les entreprises forment leurs collaborateurs car le principal frein à leur croissance, c’est l’embauche. Il s’agit d’un acte fondamental pour développer et fidéliser ses collaborateurs.

Est-ce que les entreprises se servent de la formation comme un outil de motivation ?

L’origine est généralement dans un dialogue entre les deux. Imposer une formation à un collaborateur n’a aucun sens parce que le succès d’une formation dépend de l’investissement de celui-ci. S’il n’est pas motivé, c’est mal parti ! Pour nous c’est un des leviers, nous y sommes assez attentifs parce qu’évidemment, ce qui nous intéresse, c’est le succès de l’apprentissage.
L’autre cas de figure à l’extrême, c’est le collaborateur qui veut une formation qui n’a aucun rapport avec son activité. S’il la finance à travers son CPF ou par ses propres moyens, aucun problème, mais évidemment, s’il demande que ce soit fait pendant le temps de travail, il faut que l’entreprise y trouve son intérêt. C’est souvent la raison pour laquelle le dialogue est à la base de la formation.

Ils viennent vers vous pour des besoins immédiats ou des besoins futurs ?

Nous avons les deux cas et nous savons répondre aux deux. Cela peut être un salarié qui souhaite évoluer ou se reconvertir. Il a un besoin immédiat. Cela peut également être un projet plus long et à ce moment-là, nous échangeons et nous sommes vraiment là pour conseiller, que ce soit les salariés ou les entreprises, sur leurs projets.

Avec tous les outils numériques qui sont là, le besoin en formation a-t-il augmenté ?

La crise sanitaire du COVID-19 a entraîné des changements considérables de mentalité et demandé des efforts considérables. Elle a apporté la compréhension par tous les publics des enjeux du digital et du numérique. Nous ne pouvions plus passer à côté.
C’est vraiment l’essence même de notre organisme de formation puisqu’au départ, nous proposions des formations, certes en présentiel en 2002, mais sur le référencement naturel. L’entreprise est née parce que, l’intuition des fondateurs était de dire : « Le référencement sur les moteurs de recherche, ça va devenir quelque chose d’essentiel. ». C’est vrai qu’à l’époque, c’était précurseur. Nous avons commencé ainsi avec des formations en présentiel et puis pour démultiplier notre action via du numérique. Avec les années, nous nous sommes aperçus que c’était tout aussi efficace, sinon plus, et surtout beaucoup plus pratique.

Est-ce qu’il y a des formations qui sont plus privilégiées par les entreprises que les particuliers ?

Nous avons un catalogue assez large avec plus de 300 formations, dont une trentaine de diplômantes. Le cœur de notre savoir-faire, c’est la transition numérique. Aujourd’hui, c’est évidemment un lieu commun, mais quand nous nous remémorons ces dernières années, il a fallu accompagner toutes les entreprises dans cette révolution. Nous avons acquis un réel savoir-faire en marketing, en digital et en communication.

Pour les salariés, leurs objectifs ce sont des formations souvent en marketing digital, type « apprendre à utiliser Google Analytics » ou « apprendre à utiliser les réseaux sociaux ». Pour les entreprises, leurs objectifs ce sont des modules plus sur « apprendre à utiliser les outils numériques pour manager ». Ce sont deux facettes finalement de la même problématique, mais avec des angles différents. Ensuite, nous avons des entrepreneurs qui sont un troisième public pour tout ce qui est développer son activité avec le web marketing.

Est-ce qu’il y a beaucoup de demandes sur les métiers d’avenir du type big data et autres ?

Bien sûr, et d’ailleurs, nous avons de nouveaux cycles diplômants sur ces sujets-là. Nous lançons, par exemple, un MBA en intelligence artificielle. Il y a une demande très forte, c’est sûr. Et c’est justement notre rôle d’y répondre ! Nous, nous sommes partis à l’origine de formations sur le référencement naturel et nous nous devons de suivre toutes les tendances afin d’y apporter des formations. Les collaborateurs doivent pouvoir se former le plus efficacement possible. C’est pourquoi nous mettons à jour toutes nos formations très régulièrement, parce qu’évidemment cela va très vite. Les modules changent, Google Analytics 3, ce n’est pas le même que le 4 par exemple… Il est important pour nous de suivre toutes ces changements et nous formons nos apprenants dans différentes filières au marketing, digital, finances, RH, et évidemment la filière développement IT.

Si vous devez faire un top 3 des formations les plus prisées par les entrepreneurs et les salariés ?

Les réseaux sociaux. Cela reste quand même un sujet assez essentiel pour développer son activité. Mais aussi la relation client à distance, parce qu’évidemment, cela évolue vite. Toute la relation client accélère sur la digitalisation.

Enfin, notre formation historique sur le web marketing au sens large continue à avoir un grand succès. Il s’agit de thématiques sur comment créer un plan marketing digital, comment piloter cette activité, …
Forcément, quand on est entrepreneur, on a peu de temps et on veut tout de suite une formation sur un besoin très précis, et à ce moment-là, nous sommes capables de proposer nos formations par bloc de compétences.

Si demain, je dois choisir une formation d’un centre de formation, qu’est-ce que je dois regarder ?

La première chose, c’est le programme. Il faut le regarder et il faut que ce soit clair. Il doit correspondre à ce que vous souhaitez. Ensuite, il faut évidemment en discuter avec le conseiller en formation pour voir ce qui est le plus adapté pour vous. Par la suite, il faut regarder la structure de la formation et son volume d’heures. En fait, qu’est-ce qu’on vous propose et à quel prix ? Parce que toutes les formations ne sont pas équivalentes et n’ont pas toutes la même qualité. Tous les organismes de formations ne délivrent pas tous les mêmes services. Chez Visiplus Academy, ce qui fait notre force, c’est l’accompagnement.
Si vous êtes tout le temps seul derrière votre écran, c’est certes une formation mais une formation « Netflix ».

Dans certaines formations, il « suffit » d’être derrière son écran et vous avez les vidéos qui s’enchaînent. Chez nous, vous avez toute une équipe qui s’occupe de vous, d’abord un conseiller en formation qui va vous suivre tout au long de votre parcours.

Ensuite les « learning coachs », qui sont des professionnels auxquels vous avez accès régulièrement et qui sont là pour répondre à vos questions. Ils vous amènent à la certification, au diplôme.
Enfin, vous avez aussi ce que nous appelons, la coordination pédagogique pour toutes les questions de suivi. Il y a toute une équipe qui se met à votre service pour vous permettre in fine d’atteindre votre objectif de certification, de diplôme, de connaissances acquises, et c’est extrêmement important. C’est une de nos différences essentielles.

Comment se passe concrètement le choix de la formation ?

Souvent, la personne arrive avec une idée en tête. Nous sommes quand même dans un domaine où les personnes ont une réflexion forcément initiale. Ensuite, charge à nous, à nos collaborateurs, les conseillers en formation, de les accompagner et de voir avec eux en fonction de leur projet global ce qui est le plus adapté pour eux. Par exemple, quelqu’un qui veut faire une reconversion sur un métier de développeur web, cela dépend de son niveau académique et de son expérience professionnelle.

En ce sens, c’est notre rôle de l’alerter, s’il y a des formations qui peuvent être assez techniques, et si nous nous apercevons que la personne n’a pas forcément le niveau ou n’a pas déjà travaillé dans des domaines proches. Rien n’est impossible, mais c’est notre rôle d’alerter. Les projets en général évoluent significativement entre l’idée initiale de la personne et la réalité de la formation qui démarre, et c’est normal.

Ast-ce qu’il y a un point que je n’ai pas abordé que vous souhaitez aborder ?

Oui, un mot sur l’alternance, parce que c’est un modèle qui rencontre un vif succès. L’ISCOD, est notre école business et IT où nous avons des rentrées tous les mois. Cela intéresse beaucoup les entreprises parce qu’elles sont confrontées à un calendrier qui part du mois de juin et qui s’arrête à septembre dans bien des cas. Or, si l’entreprise a un besoin de compétences en décembre, elle ne peut pas forcément attendre.

Nous proposons un modèle d’alternance de quatre jours en entreprise et un jour par semaine en formation. Ce jour peut être choisi par l’entreprise, nous sommes extrêmement flexibles. En plus, il y a des aides d’État en ce moment qui favorisent le développement de l’alternance. Quand on connaît la difficulté à recruter dans certains métiers, on comprend pourquoi les entreprises font de plus en plus appel à l’alternance pour former leurs collaborateurs. Après leur alternance, il y a souvent une embauche à la clé, c’est un levier extrêmement puissant. 

« Quand on connaît la difficulté à recruter dans certains métiers, on comprend pourquoi les entreprises font de plus en plus appel à l’alternance pour former leurs collaborateurs. »

Les concepts de base de la trésorerie

C’est une évidence : la trésorerie constitue une composante incontournable de la gestion d’entreprise. Le plan de trésorerie permet d’en assurer le suivi et de parer à d’éventuelles difficultés résultant d’une baisse ou d’une hausse de vos activités.

Les caractéristiques du plan de trésorerie

Sous forme de tableau, le plan de trésorerie recense l’ensemble de vos décaissements et encaissements. Ceci, selon une périodicité adaptée aux spécificités de votre entreprise (taille, obligations fiscales et sociales, niveau d’activité,…). Celle-ci sera logiquement quotidienne pour une grande entreprise. Un tel choix pourrait s’avérer lourd pour une structure de taille réduite. Bien entendu, cette périodicité peut aussi être hebdomadaire, mensuelle ou bimensuelle. Il permet de gérer dans le temps les décalages de paiement entre les entrées (chiffre d’affaires…) et les sorties (achats de marchandises, versement des salaires et charges sociales, charges diverses, impôts et taxes, TVA, etc.) d’argent. Ainsi, il peut y avoir des décalages entre les délais de paiement accordés par vos fournisseurs (décaissements) et ceux que vous avez accordés à vos clients (encaissements).

L’idéal pour une entreprise de petite taille semble être la décade puisque les échéances majeures surviennent souvent les 10 et 15 du mois ainsi qu’en toute fin de mois. Cela permet à la fois d’alléger le travail, de prévenir tout risque de tension de trésorerie et de repérer les jours susceptibles de poser problème.

Le plan de trésorerie sert aussi à connaître le solde de trésorerie pour chaque mois et en cumulé d’un mois sur l’autre. Cela permet aussi de déterminer au regard des prévisions d’activité si les paiements pourront aisément être honorés grâce aux disponibilités du moment.

Comment faire son plan de trésorerie

Une fois la périodicité arrêtée, il convient de reporter chaque entrée ou sortie de fonds en TTC. Ceci, pour les opérations soumises à la TVA dans la colonne du jour, de la semaine ou du mois où elle doit avoir lieu en n’oubliant pas de tenir compte des délais de paiement.

N’oubliez pas la TVA. En effet, il existe parfois un décalage non négligeable entre l’instant où vous la payez sur vos achats et le moment où vous la récupérez sur vos ventes. Il vous appartient d’en tenir compte dans votre plan de trésorerie.

Sur quelle durée doit-il être construit ?

Ici aussi, tout dépend de la taille de votre entreprise et de la nature de votre activité. Il est recommandé de constituer un plan de trésorerie glissant – où une nouvelle période prend la suite de celle qui s’achève afin de posséder un plan pour toute la durée voulue – qui peut couvrir entre 6 mois et une année ou simplement un trimestre pour une entreprise de taille réduite. 

La création d’entreprise

Le plan de trésorerie est également utilisé en phase de création de l’entreprise. Dans le cadre de la réalisation du bilan prévisionnel. Il permet :

  • de s’assurer qu’avec les prévisions retenues, l’entreprise parvient à dégager de la trésorerie et à faire face aux dépenses budgétées ;
  • de mettre en évidence le besoin de financement du projet de création d’entreprise.

Comment le réaliser ?

  • soit sur un tableur de type Excel
  • soit à l’aide d’un logiciel

Quelques exemples de logiciel 

  • Agicap

Agicap est le leader français des logiciels de trésorerie. La startup lyonnaise compte plus de 6 000 clients grâce à un logiciel complet et facile d’utilisation. Agicap est un logiciel premium destiné auxTPE, PME et ETI. Le logiciel de trésorerie propose également un module de paiement pour diminuer les impayés, les retards de paiement.

  • Fygr

Fygr est un logiciel de trésorerie destiné aux  TPE et PME. Le logiciel SaaS se distingue par sa facilité d’utilisation, sa prise en main rapide. Fygr est indispensable pour le suivi de votre trésorerie et la mise en place d’un prévisionnel de trésorerie.

  • Pennylane

C’est un logiciel de comptabilité avec des fonctionnalités de gestion de la trésorerie. 

  • iPaidThat

iPaidThat est un logiciel de gestion qui automatise la collecte de vos factures, vos paiements, vos notes de frais et la gestion de votre trésorerie grâce au module Tréso By iPaidThat. 

Les traits de caractère et les compétences essentielles des entrepreneurs à succès !

Être un entrepreneur à succès ne repose pas uniquement sur des compétences techniques ou une idée novatrice. Cela nécessite également des traits de caractère particuliers et des compétences clés qui permettent de surmonter les défis, de prendre des décisions éclairées et de prospérer dans un environnement commercial en constante évolution. Dans cet article, nous explorerons en détail les traits de caractère et les compétences essentielles des entrepreneurs à succès.

La passion et la détermination 

La passion et la détermination sont des traits de caractère fondamentaux pour les entrepreneurs à succès. Cette première les anime, les motive et les pousse à poursuivre leurs objectifs malgré les obstacles. C’est cette passion qui leur permet de surmonter les échecs et les revers. Grâce à elle, ils peuvent persévérer dans la réalisation de leur vision. La détermination est également cruciale, car elle les pousse à travailler dur, à prendre des risques calculés et à sortir de leur zone de confort pour atteindre leurs objectifs.

La créativité et l’innovation

La créativité et l’innovation sont des compétences essentielles pour se démarquer dans un environnement entrepreneurial compétitif. Les entrepreneurs à succès sont capables de penser de manière créative, de trouver des solutions uniques aux problèmes et de remettre en question les conventions établies. Ils sont constamment à la recherche de nouvelles idées, de nouvelles opportunités et de nouvelles façons de faire les choses. Cette capacité à innover leur permet de rester pertinents sur le marché et de se différencier de leurs concurrents.

La vision stratégique 

Un entrepreneur à succès possède une vision claire et stratégique de son entreprise. Ils ont la capacité de voir au-delà du court terme et de visualiser où ils veulent aller à long terme. Cette vision stratégique leur permet de définir des objectifs précis, d’élaborer des plans d’action et de prendre des décisions alignées sur leur vision. Ils ont également la capacité de communiquer efficacement cette vision à leur équipe. Ils savent aussi mobiliser les ressources nécessaires pour la concrétiser.

La résilience et l’adaptabilité

Le monde des affaires est en constante évolution et les entrepreneurs à succès doivent être résilients et adaptables pour faire face aux changements et aux défis. Ils sont prêts à faire face à l’échec et à apprendre de leurs erreurs. Les dirigeants à succès savent que les obstacles sont inévitables. Cependant, ils ils les considèrent comme des opportunités d’apprentissage et de croissance. Ils sont flexibles dans leur approche, capables de s’adapter aux nouvelles technologies, aux tendances du marché et aux demandes changeantes des clients.

La gestion du temps et la prise de décision

La gestion efficace du temps est essentielle pour les entrepreneurs à succès. Ils sont capables de hiérarchiser les tâches, de fixer des échéances réalistes et de rester concentrés sur les activités qui génèrent le plus de valeur pour leur entreprise. De plus, ils sont habiles à prendre des décisions rapidement et de manière éclairée. Ils recueillent les informations nécessaires, évaluent les risques et les avantages,. Leurs décisions sont basées sur des données tangibles et leur intuition entrepreneuriale.

Le leadership et la gestion des équipes 

Un entrepreneur à succès est un leader efficace et sait comment gérer une équipe. Ils sont capables de motiver, d’inspirer et d’encadrer leurs collaborateurs. Ils créent un environnement de travail positif où les talents individuels sont valorisés et exploités au maximum. Pour cela, ils délèguent les responsabilités de manière stratégique, tout en maintenant une communication claire et une vision partagée au sein de l’équipe.

La communication efficace

La communication efficace est une compétence cruciale pour les entrepreneurs à succès. Ils sont capables d’exprimer clairement leurs idées, de persuader les autres de se joindre à leur vision et de négocier avec succès. Ils écoutent également activement et sont ouverts aux commentaires et aux idées des autres. La communication efficace leur permet de construire des relations solides avec les clients, les investisseurs, les partenaires commerciaux et les membres de leur équipe.

La gestion financière

Une bonne gestion financière est essentielle pour la réussite d’une entreprise. Les entrepreneurs à succès comprennent l’importance de gérer efficacement les ressources financières, de prévoir les flux de trésorerie, de contrôler les coûts et de prendre des décisions financières éclairées. Ils sont capables de comprendre les états financiers, d’élaborer des budgets et d’identifier les opportunités de croissance rentable.

Les entrepreneurs à succès ne se distinguent pas seulement par leurs compétences techniques, mais aussi par leurs traits de caractère et leurs compétences clés. La passion, la détermination, la créativité, la vision stratégique, la résilience, l’adaptabilité, la gestion du temps, la prise de décision, le leadership, la gestion d’équipe, la communication efficace et la gestion financière sont autant d’éléments qui contribuent à leur réussite. En développant ces traits et compétences, les entrepreneurs peuvent augmenter leurs chances de prospérer dans le monde des affaires et de concrétiser leurs aspirations entrepreneuriales.

Le dictionnaire humoristique des jargons d’entreprise

Bienvenue dans notre dictionnaire humoristique des jargons d’entreprise, où nous vous dévoilons les perles cachées derrière les expressions les plus ridicules du monde professionnel. Préparez-vous à rire aux éclats alors que nous révélons les véritables significations de ces termes alambiqués. Plongez dans ce monde étrange et merveilleux du jargon d’entreprise, où les mots prennent une toute nouvelle dimension comique !

Le langage énigmatique des réunions 

Dans cet univers où les réunions se multiplient, il est temps de décoder le langage énigmatique qui y règne. Les expressions suivantes sont parmi les plus courantes :

  • « Penser en dehors de la boîte » : Trouver des idées créatives et innovantes, car penser à l’intérieur de la boîte est réservé aux amateurs du Rubik’s Cube.
  • « Alignement des objectifs » : Tenter de comprendre ce que font réellement vos collègues afin de ne pas paraître totalement perdu lors des réunions interminables.

Imaginez-vous dans une salle de réunion où votre patron vous demande de « penser en dehors de la boîte «  pour résoudre un problème. Vous vous demandez alors pourquoi vous êtes enfermé dans une boîte en premier lieu. Mais ne vous inquiétez pas, votre créativité va être libérée pour explorer des horizons inconnus !

Les expressions pompeuses du management 

Le monde du management est un terrain fertile pour les expressions pompeuses. Voyons ce qu’elles signifient réellement.

  • « Piloter le changement » : Essayer de garder le cap pendant que tout s’effondre autour de vous, tout en affichant un sourire forcé et en répétant « Nous sommes sur la bonne voie ! »
  • « Synergie » : Se rendre compte que travailler en équipe signifie que tout le monde peut se plaindre du projet, mais personne ne peut y apporter de solutions concrètes.

Ah, le monde du management, où les dirigeants s’expriment dans un langage qui semble tout droit sorti d’une pièce de théâtre shakespearienne. Leur capacité à « piloter le changement » est vraiment impressionnante, surtout lorsque le changement semble totalement incontrôlable. Quant à la « synergie », c’est comme un rêve utopique où tout le monde travaille ensemble en parfaite harmonie, sauf que dans la réalité, c’est souvent un joyeux désordre.

Les euphémismes pour les mauvaises nouvelles 

Quand les nouvelles sont mauvaises, les expressions euphémistiques entrent en scène pour adoucir le coup.

  • « Opportunité d’amélioration » : Vous avez complètement raté quelque chose, mais nous essayons d’être polis en appelant cela une « opportunité d’apprentissage ».
  • « Réduction des effectifs » : L’art délicat de vous faire comprendre que vous êtes viré, mais avec une touche de classe.

Ah, les euphémismes, ces petites perles linguistiques qui transforment les échecs en opportunités et les licenciements en « réductions des effectifs ». Lorsque vous entendez parler d’une « opportunité d’amélioration », vous savez que vous avez totalement foiré. Au moins on essaie de vous remonter le moral en vous disant que vous allez apprendre de vos erreurs. Quant à la « réduction des effectifs », c’est un peu comme une visite surprise de votre patron dans votre bureau, où il vous dit aimablement de prendre un chemin différent dans la vie professionnelle.

Les expressions « buzzword » à la mode 

Les expressions « buzzword » font fureur dans le monde de l’entreprise, mais qu’est-ce qu’elles signifient réellement ?

  • « Pivoter » : Changer radicalement de direction pour éviter de dire que votre idée était un échec total.
  • « Disruption » : Faire du bruit et semer le chaos tout en portant un t-shirt à capuche pour vous donner un air de rebelle.

Elles sont la nouvelle tendance de la scène professionnelle. Tout le monde aime les utiliser pour paraître branché et innovant. « Pivoter » est devenu un mot magique pour justifier un changement radical de stratégie lorsque votre idée s’est révélée être un véritable fiasco. Quant à la « disruption », c’est l’art de semer le chaos tout en prétendant révolutionner le monde des affaires. Vous savez que vous êtes un vrai rebelle quand vous portez un t-shirt à capuche et que vous parlez de  » disruption «  à chaque occasion.

Les acronymes déroutants 

Les acronymes sont monnaie courante dans l’univers professionnel, mais ils peuvent être déroutants. Découvrons leur véritable signification.

  • « KPI » (Key Performance Indicator) : Un sigle mystérieux utilisé pour donner l’impression que vous comprenez les chiffres, alors qu’en réalité vous les regardez comme si c’était du chinois.
  • « ROI » (Return on Investment) : Le temps qu’il faut pour réaliser que votre dernier projet était une pure perte de temps et d’argent.

Ah, les acronymes, ces petites créatures mystérieuses qui peuplent le monde de l’entreprise. Le  » KPI «  est censé être un indicateur clé de performance. Cependant, la plupart d’entre nous le regardent avec autant de compréhension qu’un manuel de physique quantique. Quant au « ROI », il est souvent utilisé pour évaluer le succès d’un projet, mais parfois il ne fait que nous rappeler à quel point nous avons gaspillé du temps et de l’argent dans une entreprise vouée à l’échec.

Vous voilà plongés dans notre dictionnaire humoristique des jargons d’entreprise, où nous avons révélé les véritables significations des expressions les plus ridicules utilisées dans le monde professionnel. Riez aux éclats en découvrant les absurdités cachées derrière ces termes alambiqués. La prochaine fois que vous entendrez un collègue vous parler de « piloter le changement » ou de « synergie », vous pourrez sourire en pensant à leur véritable signification. Dans l’univers de l’entreprise, il est parfois préférable de prendre ces expressions avec humour et de ne pas se laisser piéger par leur apparence pompeuse. Alors, gardez ce dictionnaire à portée de main et préparez-vous à dévoiler les vérités cachées derrière les jargons d’entreprise avec un sourire aux lèvres.

De multiples possibilités pour financer sa boîte !

Après les débuts, il existe des moyens très divers pour financer sa boîte et dénicher les fonds nécessaires à développer votre activité. Petit tour d’horizon des techniques de financement.

Les techniques de financement

Crédit d’exploitation : ou crédits de fonctionnement

De courte durée (1 an en général), il permet à l’entreprise de subvenir à un besoin ponctuel lié à un problème de trésorerie, accordés habituellement par des banques ou des fournisseurs aux entreprises.

L’escompte 

Une formule peu pratiquée car lourde et peu souple. Cette opération est utilisée par le banquier lorsque les délais de paiement des clients sont trop lourds. L’entrepreneur ne peut, de ce fait, pas développer son entreprise. Pour cela, la banque lui prête le montant d’une remise d’effet de commerce, en déduisant les agios à venir jusqu’à ce que ces effets viennent à échéance.

La loi Dailly 

 Une forme de crédit qui peut remplacer l’escompte et qui a l’avantage d’être plus rapide et plus souple. Seul bémol, les banques n’acceptent pas souvent d’accorder ce type de crédits (notamment s’il n’y a pas de notification aux débiteurs). Cette opération de financement permet à l’entrepreneur de transférer à son banquier une partie de son poste client. En échange, il reçoit une ligne de crédit rémunérée.

L’affacturage 

Une opération de recouvrement qui permet à l’entrepreneur de se garantir contre l’insolvabilité des clients. L’affacturage consiste à faire acheter une créance client en la payant directement à l’entreprise. La mobilisation du poste clients peut être intégrale si l’entrepreneur demande au factor de lui verser de suite la somme des créances cédées. Cette opération reste néanmoins assez chère, mais pour les nouvelles entreprises, les factors peuvent proposer des forfaits.

La facilité de caisse 

La banque donne l’autorisation à l’entreprise d’afficher sur une courte durée un compte débiteur. Cette opération permet de couvrir des écarts ponctuels entre dépenses et recettes. Elle peut être reconduite si le banquier donne son accord.

Le découvert 

Il permet à l’entreprise de compléter le besoin en fonds de roulement si celui-ci est insuffisant. Ce crédit peut s’étendre sur quelques semaines, voire quelques mois. Il est donc d’une durée plus importante que la facilité de caisse. Attention : le compte de l’entreprise ne peut être débiteur sur de trop longues durées. Pas toujours facile à faire accepter à la banque, la demande de découvert aboutira ou pas en fonction des relations entre l’entrepreneur et son banquier, de la situation de l’entreprise et des garanties. Cette forme de crédit a un taux d’intérêt plus élevé qu’un crédit de mobilisation de créances.

Les crédits de campagne 

Destinés aux activités saisonnières, ces crédits permettent de combler les écarts de trésorerie dus au cycle d’exploitation. Ces crédits sont de longues durées de 7 à 9 mois. Ils portent généralement sur des montants importants. Pour bénéficier de ce type de crédit, il faut présenter un plan de trésorerie très précis, une bonne santé financière et de solides garanties, car le crédit de campagne représente un réel risque pour le banquier. En effet, le remboursement de ce crédit repose sur les ventes hypothétiques de l’entreprise.

Le prêt bancaire 

Il est destiné à financer les investissements à moyen ou long terme, mobiliers ou immobiliers

Le crédit bail mobilier* 

Il sert à financer des investissements mobiliers ou leasing, c’est-à-dire de permettre à l’entrepreneur d’acquérir du matériel d’équipement. Ceci, grâce à une opération de location (à hauteur minimum de 40 000 € HT). Le loyer que l’entreprise paye pour cela est déductible de ses bénéfices. La durée de location correspond à la durée d’utilisation du matériel. La période de location terminée, l’entreprise peut choisir d’acheter le bien matériel.

La location financière 

Une opération qui concerne les entreprises lourdement endettées mais ayant néanmoins une forte rentabilité. Elle permet à l’entreprise d’employer de nouveaux biens de production mais sans avoir besoin de les acheter. Cela lui évite de s’endetter sur une longue durée.

Le crédit bail immobilier* 

Un crédit pour financer les biens immobiliers réservés à un usage professionnel, à hauteur minimum de 200 000 €. A noter que le crédit-bail OSEO (une filiale de bpifrance) finance la totalité de l’investissement immobilier (en se couplant avec les aides des collectivités locales). Durée de location de 8 à 15 ans.

Le compte courant d’associé* 

C’est un prêt des associés pouvant produire des intérêts. Cette technique source de financement s’utilise pour combler des besoins de trésorerie momentanés. Ne pas se fier au terme « compte courant » qui est utilisé de manière abusive. Il se définit comme une créance sociale de l’associé envers la société. Ce prêt est remboursable mais aussi rémunéré. Pour les entreprises, le compte courant d’associé représente un mode de financement assez peu cher. Il peut se substituer à d’autres méthodes de financement. Sur le compte sont signifiées à la fois les sommes dues par la société à l’associé, sommes qu’il cède de manière momentanée (salaire, paiement d’une facture…), et les sommes délivrées par l’associé pour aider la trésorerie de l’entreprise. Cette créance n’est pas soumise au risque social comme l’apport en capital et les conditions de son

Les dispositifs OSEO, filiale de bpifrance

Le prêt à la création d’Entreprise 

Il sert aux entreprises qui auraient besoin de fonds pour développer leur entreprise, quels que soient leur secteur d’activité ou leur taille. Un prêt bancaire d’une somme au moins égale doit être associé à ce prêt. Cette opération permet à l’entrepreneur de financer les achats d’immeubles ou de terrains, des constructions neuves, des aménagements ou des modernisations de lieu, un transfert d’activité ou une reprise d’entreprise.

Le Contrat de Développement 

Il est destiné aux entreprises qui souhaitent effectuer des investissements immobilier ou matériel, qui ont des dépenses immatérielles et qui ont plus de 3 ans. C’est un prêt dont la somme se situe entre 40 000 et 400 000 €. Ceci, dans la limite des fonds propres et quasi fonds propres de l’entreprise. Il ne nécessite pas de garantie personnelle et s’étale sur 6 ans (avec allègement du remboursement à année 1). Il doit être associé à un prêt bancaire d’une somme au moins égale au double du Contrat de Développement.

Le contrat de Développement Participatif 

Pour augmenter les fonds propres en vue de financer les dépenses et investissements immatériels. C’est un financement bancaire subordonné. Son taux de rémunération (fixe ou variable, au choix) se fixe en fonction du risque de la banque. Ce contrat doit être associé à un prêt bancaire pour une parité 2 pour 1, ou bien, sous forme d’intervention en fonds propres pour une parité 1 pour 1.

Avance Plus

Une mobilisation de créances pour les créances qui concernent les commandes passées avec des institutions. Les créances sont cédées à OSEO, filiale de bpifrance, ce qui permet à l’entreprise de bénéficier d’une avance correspondante. Ceci, pendant une durée d’une année renouvelable. Cette opération s’adresse aux entreprises qui ont d’importants délais de paiement. Il s’utilise notamment pour les contrats avec les grands donneurs d’ordres, publics ou privés.

Le prêt Participatif de Développement « collectivités territoriales » 

Ce prêt est  destiné à financer le développement ou l’extension de l’activité et qui concerne surtout les investissements de nature immatérielle. La somme prêtée va de 15 000 à 100 000 € (sans dépasser la somme des fonds propres et des quasi fonds propres de la société). Peuvent accéder à ce prêt, les entreprises de plus de 3 ans et dont l’activité se situe dans la zone d’intervention de la collectivité locale. Ce prêt à une durée de 4 ans minimum et 7 ans maximum, sur le même programme d’investissement. L’entrepreneur bénéficie d’un différé d’amortissement en capital de 2 ans.

Le nouveau fonds de garantie pour soutenir la trésorerie des PME et des TPE du Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi.

L’objectif est de soutenir la trésorerie des PME et TPE en permettant le déblocage de plus de 500 millions d’euros de crédits bancaires. Ce fonds de garantie spécifique permet dès maintenant à OSEO de garantie les crédits de trésorerie accordés par les banques aux PME et TPE. Ce dispositif concerne des prêts de 2 à 7 ans, d’un montant pouvant aller jusqu’à 3 millions d’euros maximum par entreprise. Il concerne toutes les PME et TPE, quelle que soit leur date de création, à condition qu’elles ne soient pas en difficulté structurelle, conformément à la législation européenne. Pour en bénéficier, les PME et TPE pourront s’adresser directement à leurs agences bancaires habituelles.

L’art de la paresse productive !

Préparez-vous à plonger dans le merveilleux monde de la procrastination productive ! Vous savez, cette discipline rare qui vous permet de repousser vos tâches tout en étant étonnamment efficace. Ne vous inquiétez pas, nous sommes là pour vous donner les conseils les plus astucieux pour transformer votre procrastination en une véritable force productive. Préparez-vous à vous divertir tout en apprenant, car l’heure de la paresse productive a sonné !

Tout d’abord, parlons de l’art de repousser les tâches. Qui n’a jamais trouvé des moyens créatifs de différer les corvées ? Si vous êtes du genre à nettoyer votre frigo plutôt que de faire cette présentation importante, vous êtes notre héros. Nous saluons votre ingéniosité procrastinatrice ! Il vous faut cependant apprendre à prioriser. 

En parlant de créativité, saviez-vous que la procrastination peut stimuler votre imagination ? C’est vrai ! Pendant que vous repoussez une tâche, votre cerveau travaille en coulisses pour trouver des idées géniales. Donc, si vous vous retrouvez à rêvasser pendant des heures, vous pouvez dire à votre patron que vous étiez en train d’incuber de nouvelles stratégies révolutionnaires.

Se créer des tâches futiles pour procrastiner

La première technique consiste à créer une liste de tâches annexes qui semblent urgentes mais qui sont totalement futiles. Par exemple, au lieu de rédiger cet article, vous pouvez vous concentrer sur l’organisation de votre tiroir à chaussettes par couleur. Croyez-nous, une telle harmonie chromatique dans votre tiroir vous apportera une satisfaction bien supérieure à celle de boucler ce rapport ennuyeux.

Multiplier les pauses 

Enfin, n’oubliez pas la puissance des pauses régulières. Si vous avez besoin de regarder des vidéos de chats mignons pendant 10 minutes toutes les heures, faites-le ! Votre moral en sera reboosté et vous serez prêt à affronter le reste de votre travail avec un sourire aux lèvres (et des images de chats dans la tête).

Mais attention, il y a une ligne fine entre la procrastination productive et la simple procrastination. Il est important de trouver le bon équilibre. Si vous vous retrouvez à regarder des vidéos de chats pendant des heures sans rien accomplir, il est peut-être temps de reconsidérer vos méthodes. Gardez à l’esprit que la procrastination productive doit vous aider à accomplir vos tâches de manière plus efficace, pas à les éviter indéfiniment.

Des cas courants de procrastination

Maintenant, laissez-moi vous partager quelques histoires hilarantes de procrastination productive pour vous mettre dans l’ambiance. Nous avons tous entendu parler de ces grands procrastinateurs qui ont accompli des choses incroyables à la dernière minute. Comme cet étudiant qui a écrit son mémoire de fin d’études en une nuit et a obtenu la meilleure note de sa promotion. Ou cet écrivain qui a passé des semaines à faire le ménage dans sa maison au lieu d’écrire son prochain roman, pour finalement écrire une œuvre magistrale en quelques jours.

Mais le véritable génie de la procrastination productive réside dans les petites choses de la vie quotidienne. Comme au moment où vous décidez soudainement que votre ordinateur a besoin d’un nettoyage approfondi. Vous le démontez complètement, vous dépoussiérez chaque recoin et vous le remontez avec une précision chirurgicale. Vous perdez peut-être quelques heures, mais votre ordinateur brille maintenant comme neuf, prêt à vous accompagner dans vos futures procrastinations.

La formation : un investissement clé pour les entreprises

Dans le monde professionnel d’aujourd’hui, la formation des salariés joue un rôle essentiel dans la réussite et la croissance des entreprises. Cette pratique permet aux employés d’acquérir de nouvelles compétences, de s’adapter aux changements et d’améliorer leurs performances. Découvrons pourquoi il s’agit d’un investissement incontournable pour les entreprises soucieuses de rester compétitives.

L’acquisition nécessaire de nouvelles compétences

La formation permet aux salariés d’acquérir, tout d’abord, de nouvelles compétences, de se perfectionner et de se tenir à jour avec les dernières avancées dans leur domaine d’expertise. Qu’il s’agisse de compétences techniques, de connaissances pratiques ou de compétences interpersonnelles, la formation offre aux employés l’opportunité d’élargir leur champ de compétences et d’approfondir leur expertise. Ils renforcent ainsi leur efficacité et leur polyvalence dans leurs responsabilités professionnelles.

Une lutte contre l’obsolescence

Un autre aspect crucial de la formation est la prévention de l’obsolescence des aptitudes. Les avancées technologiques et les transformations du marché peuvent rapidement les rendre caduques. Les industries évoluent rapidement, et les qualifications qui étaient pertinentes hier peuvent devenir dépassées aujourd’hui. Par conséquent, la formation permet aux salariés de suivre le rythme des changements et d’acquérir les connaissances nécessaires pour rester à jour. En investissant dans la formation de leurs salariés, les entreprises veillent à ce que ces derniers continuent à apporter une valeur ajoutée au sein de leur service. La formation développe de nouvelles compétences en adéquation avec les besoins actuels et futurs de l’entreprise, et maintient leur employabilité sur le long terme.

Le développement d’une expertise de pointe et le perfectionnement des compétences

Les programmes de formation fournissent aux salariés un accès privilégié à des connaissances de pointe et à des experts dans leur domaine. Cela leur permet d’approfondir leur compréhension des sujets spécifiques, d’explorer de nouvelles perspectives et de développer des compétences de dernière génération. Par le biais de cours, de séminaires, de conférences et d’ateliers, les salariés peuvent bénéficier d’un apprentissage continu et actualisé. La formation permet également aux salariés de se perfectionner dans leurs compétences existantes. Que ce soit pour améliorer leurs qualités techniques, fortifier leur leadership ou développer leurs expertises en communication, la formation offre des opportunités d’amélioration continue. Les salariés peuvent se concentrer sur les domaines dans lesquels ils souhaitent se développer davantage et acquérir les compétences indispensables pour exceller dans leur rôle.

Une opportunité de mise en pratique des nouvelles compétences

En outre, la formation facilite la mise en pratique. Les programmes de formation sont souvent conçus de manière interactive, incitant les salariés à mettre en pratique ce qu’ils ont appris dans des contextes réels. Cela renforce leur confiance et leur capacité à appliquer avec pertinence les nouvelles acquisitions dans leur travail quotidien, les rendant ainsi plus performants dans leurs responsabilités professionnelles. En proposant des opportunités de formation à leurs salariés, les entreprises favorisent une culture de développement et d’apprentissage. Cela encourage les salariés à être curieux, à se tenir informés des évolutions de leur domaine et secteur ainsi qu’à chercher constamment à se perfectionner. Les salariés motivés par l’apprentissage sont davantage susceptibles d’apporter des idées novatrices et de contribuer à la croissance et à la compétitivité de leur entreprise.

Des formations pas seulement techniques

Il est important de souligner que la formation ne se limite pas seulement aux compétences techniques. Elle englobe également le développement personnel, avec des savoir-faire telles que la gestion du temps, la résolution de problèmes, la collaboration et la communication. Ces compétences transversales sont essentielles pour réussir dans tous les domaines professionnels et pour évoluer vers des postes de responsabilité. Elle donne l’occasion également aux salariés de développer des savoir-faire spécifiques qui peuvent avoir un impact direct sur la productivité. Par exemple, une formation axée sur la gestion du temps et l’organisation peut aider les salariés à mieux gérer leurs tâches et à optimiser leur efficacité. De même, une formation axée sur la communication interpersonnelle peut améliorer les relations dans les équipes et favoriser un environnement de travail harmonieux et productif.

Une amélioration de la productivité

La formation a un impact direct sur les performances globales de l’entreprise puisqu’elle augmente la productivité des salariés. Ces derniers, formés, sont mieux équipés pour relever les défis professionnels, utiliser les outils et les technologies adéquats, et adopter les meilleures pratiques. Ils travaillent de manière plus judicieuse, économisent du temps et des ressources, et contribuent à l’amélioration de la productivité individuelle et collective au sein de l’entreprise. L’une des principales retombées est sur la croissance de l’entreprise. Lorsque les employés sont formés de manière appropriée, ils acquièrent les capacités et les connaissances nécessaires pour effectuer leur travail sans difficultés. Ils sont mieux préparés pour relever les défis liés à leur domaine d’expertise, maîtrisent les meilleurs outils et techniques, et sont capables d’adopter les bonnes pratiques.

Grâce à la formation, les collaborateurs peuvent également parfaire leur compréhension des processus de travail et des objectifs de l’entreprise. Ils deviennent plus conscients de l’importance de leur rôle dans la réalisation des objectifs globaux de l’organisation. Cette compréhension accrue motive les salariés à donner le meilleur d’eux-mêmes, à être plus engagés et à aligner leurs efforts sur les priorités stratégiques de l’entreprise.

La qualité du travail également impactée

En investissant dans la formation de ses salariés, une entreprise peut optimiser la qualité de son travail. Les salariés formés sont mieux préparés pour répondre aux exigences de leur poste, à comprendre les attentes des clients et à fournir un service de qualité supérieure. Ils sont en mesure de résoudre les problèmes plus rapidement, d’éviter les erreurs coûteuses et de prendre des décisions éclairées, ce qui contribue à renforcer la réputation de l’entreprise et sa capacité à satisfaire les besoins de sa clientèle.

Une réduction des coûts opérationnels

Une autre conséquence positive de la formation sur la productivité est la réduction des coûts opérationnels. Lorsque les salariés sont formés de manière adéquate, ils peuvent mieux accomplir leurs tâches, ce qui se traduit par une utilisation plus judicieuse des ressources et une réduction des délais. Par exemple, une formation sur l’utilisation d’outils logiciels spécifiques peut permettre aux salariés de travailler plus rapidement et avec moins d’erreurs, ce qui réduit les coûts de correction et d’ajustement.

Une adaptation aux changements nécessaires

La formation est également essentielle pour donner la capacité aux salariés de s’adapter aux changements constants du monde professionnel. Dans la course effrénée actuelle, elle se présente comme une boussole essentielle pour les guider et les conduire à s’adapter avec succès à ces transformations. Que ce soit l’introduction de nouvelles technologies, l’évolution des réglementations ou l’émergence de nouvelles tendances, les entreprises doivent rester à la pointe. En fournissant une formation continue à leurs salariés, les entreprises s’assurent que les collaborateurs disposent des aptitudes pour s’habituer rapidement à ces changements, en évitant ainsi leur obsolescence et en maintenant leur compétitivité.

Des outils à maîtriser

La formation offre aux salariés les outils indispensables pour anticiper et naviguer avec agilité à travers les changements. En leur dispensant des connaissances actualisées et des compétences pertinentes, ils restent opérationnels dans leur domaine d’expertise et sont prêts à relever les nouveaux défis. Par exemple, une formation sur une nouvelle technologie émergente amène les salariés à comprendre son fonctionnement et à exploiter son potentiel pour développer leurs performances.

Une question d’adaptation ?

Les salariés développent également leur capacité à s’adapter rapidement aux nouvelles exigences. Ils apprennent à sortir de leur zone de confort et à embrasser le changement plutôt que de le craindre. Elle leur offre la confiance nécessaire pour relever de nouveaux défis, en renforçant leur agilité cognitive et leur capacité d’apprentissage continu. Ils acquièrent ainsi la flexibilité mentale pour s’adapter rapidement aux nouvelles situations et saisir les opportunités qui se présentent.

La mise en place d’une culture d’innovation

Enfin, la formation favorise également une culture d’innovation au sein des entreprises. En confrontant les salariés à de nouvelles idées, à de nouvelles approches et à des méthodes novatrices, elle stimule leur créativité et leur esprit d’initiative. Les salariés formés sont encouragés à remettre en question les pratiques existantes, à proposer de nouvelles solutions et à contribuer activement à l’amélioration continue de l’entreprise. Ainsi, elle alimente un cercle vertueux où les salariés adaptés aux changements favorisent à leur tour l’apparition d’une culture d’innovation.
Il faut également prendre en compte qu’elle encourage l’adaptabilité organisationnelle. En dotant les salariés des qualités nécessaires pour s’adapter aux changements, elle contribue à créer une culture d’entreprise résiliente et flexible. Les entreprises qui investissent dans la formation sans hésiter démontrent leur volonté d’embrasser le changement et de se mettre au diapason avec les nouvelles réalités du marché. 

Levée de fonds : à qui s’adresser et quand ?

Si vous avez besoin de financements et de levée de fonds vos premières questions seront à qui s’adresser et quand. Retrouvez dans cet article les organismes de financements susceptibles de vous soutenir aux différentes étapes du développement de votre entreprise.

Faire appel à la levée de fonds

Les entreprises ont besoin de recourir, faute de capacité d’autofinancement, à une levée de fonds. Ceci, pour développer une idée, produire un concept, envisager une croissance externe, transmettre sa société ou encore se développer à l’international, Le principal enjeu qui se pose à elles est de composer entre l’identification rapide des acteurs du capital investissement pouvant répondre à leurs problématiques et la taille de leur société. Que les dirigeants de PME/PMI françaises se rassurent, 80 % des entreprises accompagnées par le capital investissement sont des PME/PMI.

Les plus grosses levées de fonds de startups en France en janvier 2023

France Invest (Association des Investisseurs pour la Croissance) et Grant Thornton ont présenté lors d’un communiqué de presse l’activité pour l’année 2022 des acteurs français du capital-investissement (entreprises et projets d’infrastructure). Ainsi, 309 sociétés de gestion y ont en effet participé (soit un taux de couverture de 93 %).

  • 2 857 entreprises et projets d’infrastructure ont fait l’objet de 36 Md€ d’investissement en 2022. Le marché français se distingue du marché mondial avec une baisse limitée des investissements dans les PME.
  • 41,5 Md€ ont été collectés auprès des souscripteurs, à investir en 5 ans en moyenne, avec un ralentissement observé au deuxième semestre.
  • Comme en 2021, les particuliers et family office, avec 19 % des souscriptions en direct et via l’assurance-vie. Cela confirme leur intérêt pour le capital-investissement (hors infrastructure)

Un critère de proximité…

Les start-up devront privilégier un critère de proximité qu’il soit géographique, relationnel ou professionnel. La love money (famille, amis) est généralement le premier apport en capital pour les sociétés naissantes. Les FIP régionaux (Fonds d’Investissement de Proximité) ou les réseaux de Business Angels (voir notamment France Angels) peuvent également constituer un apport significatif dans la levée de fonds. Ceci, à condition d’optimiser le couple rentabilité/temps passé pour la levée. Les fonds d’amorçage et les associations structurées accordant des prêts d’honneur (voir notamment les réseaux « Initiatives », les réseaux « Entreprendre »,…) pourront répondre à vos premiers enjeux.

… Mais pas que !

Les sociétés ayant déjà une réussite liée à une innovation pourront se tourner vers les fonds de capital investissement. N’oubliez jamais que les opérations de capital investissement s’analysent du point de vue de l’investisseur comme une opération de placement financier. Ce faisant, le chargé d’affaires qui analysera votre projet de développement va faire le lien entre les probabilités de revenus, les plus-values futures et les risques encourus. Les sociétés de capital investissement sont regroupées auprès de l’Association France Invest.

Les sociétés déjà développées se tourneront vers le capital développement et les marchés boursiers. Attention toutefois à la liquidité du marché sur lequel vous vous placez. Nombre de sociétés se retirent de la cotation faute de réelle valeur ajoutée !

Des exigences réciproques

Les exigences des investisseurs, quelles qu’elles soient, tourneront autour de reportings mensuels rapides et de bonne qualité. Sont également pris en compte le fait que le business plan soit respecté. La transparence dans les choix stratégiques effectués joue également. Pour les fonds d’investissements l’impératif de rentabilité reste fondamental, de même que la durée de l’investissement généralement entre 3 et 5 ans. Les solutions de sortie sont variables et seront envisagées rapidement lors de l’entrée au capital.

Afin d’optimiser le couple temps/rentabilité, n’hésitez pas à vous faire accompagner par des professionnels de la levée de fonds.