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Comment donner du sens au travail de ses salariés ?

Votre entreprise, c’est une part de votre entité. Vous l’avez choyée en la modelant, lui donnant votre vision. Elle fait sens pour vous. En intégrant des salariés, que ce soit dans une petite équipe ou au cœur d’un groupe renforcé, vous devez conserver le socle de vos valeurs et les partager.

Travailler, pourquoi donc ?

Les citations ne manquent pas sur la valeur du travail. En effet, celui-ci est souvent associé au mot corvée, boulet, besogne, sueur, labeur… qui sont loin de lui attribuer une notion de plaisir. Enfant, à l’école et encore aujourd’hui, il y a toujours cette question taraudante : Pourquoi le travail ? Empreinte d’existentialisme, elle est souvent bannie à la dernière place. Au fond, il faut bien aller travailler pour gagner de l’argent, pour créer de la valeur, pour partir en vacances… Pourtant, à l’heure des crises et du burn-out, quand vient la démotivation, c’est cette question qui ressort toujours en premier lieu. On sait qui paie mais on ne sait plus pourquoi.

Le “bullshit job », le désintérêt du travail ?

Au 21e siècle, la bureaucratisation, la dématérialisation et les nouvelles technologies engendrent un rapport au réel distant. En conséquence, cela ne facilite pas l’acquisition de sens et de retombées symboliques immédiates. Surtout en France, où la valeur donnée à l’entreprise et au monde professionnel est au top. Les attentes sont de l’ordre de la réalisation de soi. Alors quand les tâches deviennent automatiques, sans intérêt, le travail acquiert un autre nom, celui de “bullshit job”, des activités professionnelles sans aucun intérêt.

Chez les nouvelles générations, la recherche de sens est très prononcée. En tant que chef d’entreprise, vous devrez le prendre en compte et veiller également à ce que l’ensemble de vos salariés sachent pourquoi ils se lèvent le matin, en partageant avec eux votre vision et votre motivation. Voici quelques pistes de réflexion sur lesquelles vous pouvez vous pencher.

Favoriser l’adhésion de vos salariés

Votre entreprise, qu’elle soit spécialisée dans le commerce responsable ou l’arrosage automatique, est porteuse de sens. Elle produit des biens et des services, utiles à des clients, des collaborateurs et des fournisseurs. Elle s’inscrit dans un ensemble de valeurs qui en ont créé le socle. Cependant, l’entreprise doit communiquer sur ses valeurs et si elle est devenue un espace où se tisse le lien social, elle doit surtout générer une adhésion autour de son identité, de sa marque et de son ambition créatrice.

Cela vous sera peut-être plus facile de créer du sens si votre société se spécialise dans le développement durable par exemple. Pourtant la notion fondamentale est de remettre l’humain au centre des échanges et de valoriser vos salariés en les intégrant à l’identité de l’entreprise. Ce seront à vos managers, sur le terrain, d’être porteurs de l’image et des valeurs que votre société veut communiquer.

Laissez vos salariés être eux-mêmes

Chacun des membres de votre équipe est une personne à part entière, dotée de compétences et de qualités qui la rendent unique. Des caractères qui vous sont parfois opposés dans les décisions que vous avez à prendre. Et c’est tant mieux ! Votre équipe, dans sa richesse, ne s’en porte que mieux !

En donnant à vos salariés la possibilité de s’exprimer sur qui ils sont, sur leurs idées et leurs ambitions, vous les encouragez à développer leur créativité, à découvrir ce qu’ils veulent faire et les buts qu’ils ambitionnent. Vous éviterez de les freiner et de les contraindre. En valorisant leur habileté, vous les rendrez plus à l’aise pour montrer ce qu’ils savent faire et plus confiants envers eux-mêmes et envers la structure qui les accueille.

L’une des nouveautés dans le management pour redonner du sens au travail des salariés est le “Job crafting”, c’est-à-dire la possibilité donner à la personne de modeler son travail et de l’adapter à ses envies. Le principe du Job craftingest de laisser l’employé libre de choisir ce qu’il veut ou non faire. Partant du principe que dans tous métiers, il y a une tâche répétitive, la motivation passerait par la possibilité laissée à tous de choisir quand et comment diversifier son activité. Les missions redéfinies, le salarié se sent plus à l’aise à sa place et partie prenante de l’entreprise.

Adapter des règles claires et efficaces

Le respect de ses salariés est une notion très importante dans la culture anglo-saxonne. Les intégrer à l’entreprise et donner du sens à leur travail, c’est aussi leur donner accès à une information claire et de qualité. Vous leur transmettrez avant l’externe ce qu’ils ont à savoir sur la vie de l’entreprise, avec honnêteté. Pour ce faire, la mise en place de canaux de communication efficaces et maîtrisés au sein de votre entreprise est un pré-requis.

Parallèlement, adopter des règles qui soient justes et précises permet de donner un cadre. Vous éviterez cependant un système hiérarchique d’un autre temps. Une des questions que vous devez vous poser est la suivante : est-ce que le cadre permet à chacun d’accomplir son travail le plus efficacement possible ? Trop de bureaucratie peut nuire à la motivation alors qu’une communication franche sur les quelques règles établies donne plus de visibilité et de liberté.

A l’heure des inégalités sociales, de la précarité au travail et chez les jeunes, le travail peut être source de stabilité, de valeur et de sens. Remettre l’humain au centre est le début d’un cercle vertueux qui appelle efficacité, motivation et dynamisme. Une notion à ne pas laisser à la marge !

Arrago, la fintech qui finance les seniors de manière équitable et responsable !

Interview de Alexis Rouëssé, cofondateur et CEO d’Arrago, qui vient de réaliser une levée de 55 M€ en Seed afin d’aider les seniors à améliorer leur confort de vie et préserver leur indépendance.

Comment vous est venue l’idée de créer votre entreprise et quand ?

A trente-trente-cinq ans, je me disais déjà qu’il faudrait un jour que je crée mon entreprise. J’étais alors dans un grand groupe bancaire qui s’appelle la BPCE aujourd’hui. A chaque fois que je lançais une activité dans ce groupe, j’avais l’impression de créer un peu ma PME. J’étais convaincu qu’à un moment, il allait falloir que j’ose. Pour sauter le pas, il m’a fallu être un peu poussé. C’était en 2016, alors que je travaillais au Crédit Foncier. J’avais développé une activité pour aider notamment les banques régionales à gérer leur bilan. Mes supérieurs m’ont prévenu qu’ils allaient arrêter cette activité que j’avais lancée depuis 2011. Or, mes clients voulaient continuer. Je suis allé voir le DG et je lui ai dit « J’ai encore du boulot ». Nous nous sommes quittés en très bons termes et j’ai continué l’activité. C’est ainsi que fin 2016-début 2017, j’ai lancé ma société.

Est-ce qu’elle faisait exactement la même chose ?

Pas exactement. Nous aidons les banques mais pas les BFI, celles qui sont très importantes. Nous nous adressons plutôt au deuxième tiers pour acheter des créances qu’elles détiennent. Cette activité permet aux banques de continuer à faire la leur car elles ont toutes des ratios de risques, de liquidité, de fonds propres… Depuis 2008 (crise des subprimes, ndlr), la réglementation s’étant renforcée, elles rencontrent davantage de difficultés en la matière. Au final, nous les aidons à vendre leurs créances pour qu’elles puissent reprêter à leurs clients. Nous avons réalisé rapidement six cents millions d’euros de cessions de créances. Cela peut paraître énorme mais c’est assez facile dans la finance. Tout de suite les chiffres sont exponentiels. Nous avons continué cette activité mais elle reste très liée à la conjonction de taux, de liquidité. C’est donc une activité très dépendante du marché.

Comment avez-vous réagi ?

A partir de fin 2019, nous voulions moins dépendre de ces aléas et nous avions identifié un besoin. C’est ainsi que nous en sommes venus à développer un produit qui est le prêt 60, un prêt pour les personnes de plus de soixante ans. Nous avons investi tout ce que nous avions gagné dans l’activité précédente pour cette nouvelle qui a l’avantage d’être récurrente.

Il y a eu un long délai de maturation car nous avons dû notamment monter un partenariat avec une banque, filiale du crédit mutuel qui s’appelle le CFCAL (crédit foncier communal d’alsace lorraine, ndlr) et trouver le refinancement ainsi que réaliser une levée de fonds. En dehors même de cette dernière, il fallait que les process soient « compliant » avec la régulation bancaire, et que nos systèmes informatiques soient au niveau. Cela prend du temps et n’avons octroyé le premier prêt que depuis avril, soit 3 ans et demi après le lancement.

Est-ce que c’est cela qui vous a pris le plus de temps ?

Surtout, aussi, et c’est un point très important pour nous, nous voulions que notre méthode d’action protège la clientèle. Les personnes de plus soixante ans sont généralement en pleine forme. Comme nous prêtons jusqu’à cent vingt-deux ans (âge de Jeanne Calment à son décès, ndlr), nous savons que certains seniors sont moins en forme que d’autres. Il reste néanmoins que ce sont des personnes considérées comme « fragiles » même si elles sont en pleine forme. Ce à quoi nous portons une particulière attention afin qu’il n’y ait pas d’abus de faiblesse.

En quoi consiste votre offre exactement ?

Notre prêt est assez particulier, car c’est un prêt sans mensualités. En conséquence, il ne touche pas le reste à vivre des personnes. Il est remboursable quand vous voulez et au plus tard à la succession. C’est vraiment quand vous voulez ! Cela peut paraître miraculeux mais cela ne l’est pas ! Nous ne sommes pas des personnes insensées car nous prenons une garantie immobilière mais celle-ci ne reste qu’une garantie. En effet, s’il y a une hausse de l’immobilier, nous n’en bénéficions pas. Elle est pour l’emprunteur ou ses héritiers. Autrement dit, l’emprunteur reste totalement propriétaire et le jour où il veut vendre, il vend et généralement nous remboursent. Bref, ils font ce qu’ils veulent et empruntent le montant dont ils ont besoin.

Qui cela concerne-t-il ?

Il y a de nombreuses personnes qui ont acheté des biens dans Paris ou dans les métropoles, il y a un certain nombre d’années alors qu’ils n’étaient pas trop chers. Ces biens ont pris de la valeur et valent parfois une fortune. Ils sont assis sur des lingots d’or mais ils peuvent rencontrer des difficultés à acheter leur baguette de pain. Or, elles n’ont pas forcément envie de vendre ce bien et de déménager. Grâce à notre prêt, nous leur permettons d’utiliser un peu de cette richesse patrimoniale. Bien sûr, ce n’est pas le seul exemple.

Comment assurez-vous la protection des emprunteurs ?

Il faut comprendre qu’on est dans un produit bancaire et que ce n’est pas quelque chose qui se fait en un clic. D’ailleurs, nous ne voulons pas que cela soit le cas. Nous avons ainsi refusé de faire des crédits à des personnes même si leur bien immobilier était parfait. Par exemple, il y avait une suspicion assez forte d’un abus de faiblesse de la part d’une personne de la famille.

En l’occurrence, une personne âgée faisait régulièrement des virements de 20 000 euros alors qu’elle ne disposait pas d’un gros revenu. Nous avons refusé le dossier car nous nous sommes dit que si elle faisait un emprunt, ce serait juste pour l’autre personne et non pour elle-même. Elle en a tout à fait le droit mais ce comportement n’était pas très rassurant.

Souvent, il y a également des personnes qui s’endettent trop vite et qui n’ont plus de reste à vivre. Le problème reste que, même si nous leur donnions un peu d’air, dans les 6 mois, cela va se révéler encore pire car elles n’auront plus du tout de solutions. Cela nous a pris énormément de temps pour caler notre process là-dessus.

Avez-vous d’autres mécanismes de protection ?

L’autre point c’est que notre crédit se signe devant notaire. Alors, certes, c’est plus lourd qu’une procédure classique de prêt mais cela possède un avantage : les notaires sont responsables que chaque partie comprenne bien l’intérêt de tout le monde à signer. Il y a ainsi une personne indépendante qui sert les intérêts des deux parties.

Nous demandons également un avis médical pour les emprunteurs pour être bien sûr qu’il n’y ait pas un abus de faiblesse, que l’emprunteur ait bien toute sa tête, car les notaires ne sont pas des médecins. Cela nous ralentit certes dans notre développement mais nous trouvons que c’est plus serein pour l’emprunteur mais aussi pour nous. Je préfère que le chiffre d’affaires monte moins vite mais que nous ne rencontrions jamais un problème du type abus de faiblesse. C’est assez sain au final.

Je suppose que c’est dans le cadre de du lancement de cette activité que vous avez levé les cinquante-cinq millions d’euros ?

Tout à fait. A noter que ce n’est pas cinquante-cinq millions d’euros en capital. C’est cinq millions d’euros de capital et cinquante millions pour le financement. Autrement dit, il y a cinq millions d’euros pour développer l’entreprise, augmenter les équipes ou encore investir en tech. Cette somme finance ainsi nos calculateurs d’octroi de crédits ou encore notre plateforme qui permet à la banque et ses intervenants d’octroyer des crédits. Les cinquante millions d’euros servent, quant à eux, à faire des prêts. Il s’agit d’une première étape. D’ici fin mars prochain, l’objectif c’est d’avoir octroyé cent millions d’euros. Il en manque la moitié même si nous avons déjà la chance d’avoir passé cette première marche.

Et cette activité fonctionne bien ?

Nous avons déjà eu 1 500 demandes. Sur celles-ci, il y en a quelques-unes qui sont venues au début de l’année au moment de l’ouverture de notre boutique en janvier-février mais le premier prêt réalisé date d’avril. Ce sont des demandes qui sont venues spontanément : nous n’avons fait aucune publicité et très peu de communication.

Ce produit n’est cependant pas nouveau puisqu’il a existé en France mais la banque qui le faisait l’a arrêté en 2018. Elle reste cependant une solution courante dans le reste de l’Europe et qui n’est guère négligeable. Par exemple en Angleterre, ils ont réalisé ce type de prêt pour six milliards d’euros. Il y a donc un vrai marché et une vraie demande. Avec le vieillissement de la population, les chercheurs de l’Insee ou de la banque mondiale considèrent d’ailleurs qu’il n’y a que ce type de prêt qui pourra le financer dans les pays occidentaux. Avec le vieillissement de la population, nous avons du travail pour un certain temps ! Le fait qu’il y ait de moins en moins de moyens, que ce soit la baisse des revenus, et que les dépenses augmentent entraîne des problématiques qui, espérons-le, vont nous porter pendant longtemps.

Un démarrage rapide ?

Là nous en sommes à trois millions d’euros de crédits octroyés. Mais cela prend du temps parce que ce sont des décisions qui sont « lourdes ». Nous faisons des prêts qui sont entre cinquante mille euros et un million d’euros. Nous n’avons en conséquence pas envie que les gens empruntent à la légère. Ce sont de vraies décisions car il s’agit quand même de sommes importantes.

Les personnes qui souhaitent emprunter en parlent souvent à leur entourage : leurs familles, leurs enfants, à leur notaire, et cela prend du temps à maturer. Aujourd’hui, nous avons octroyé 20 prêts et 100 sont en process de l’être. Au final, il devrait y en avoir 500 sur les 1 500 qui vont s’effectuer mais cela peut prendre du temps. Pour avancer sereinement, nous allons augmenter le nombre de dossiers, ce qui va accélérer le nombre de prêts grâce à un stock de demandes qui va être de plus en plus important.

Avez-vous arrêté l’autre activité ?

Elle n’est pas totalement arrêtée mais la problématique c’est qu’elle est très liée à la conjoncture de taux d’intérêt et de liquidités des banques. Avec la montée des taux d’intérêt, si vous vendez des prêts, que vous avez octroyé à 2 %, vous allez prendre des pertes. Actuellement, si vous n’êtes pas totalement coincé par la liquidité ou les fonds propres et que vous êtes une banque, vous n’allez pas les vendre. En ce moment, il n’y a pas beaucoup de vendeurs car les banques françaises sont très bien capitalisées et qu’il n’y a pas de stress majeur sur les liquidités. Elles ne vont pas en vendre. Par conséquent, il n’y a actuellement pas de demandes. Cette activité reste donc en suspens. C’est la raison pour laquelle nous avons voulu compléter notre façon de fonctionner par quelque chose de plus récurrent.

Vous êtes combien aujourd’hui chez Arrago ?

Nous sommes une dizaine et nous allons, je pense, doubler d’ici la fin de l’année. Nous ne sommes pas obligatoirement amenés à devenir une énorme entreprise en nombre de personnes, car nous sommes beaucoup digitalisés. Cependant, nous avons toujours besoin de doubler certains postes notamment pour traiter l’activité qui augmente.

Est-ce que vous rencontrez des difficultés ?

Oui bien entendu. Déjà car nous ne sommes pas encore connus ou du moins que ce type de prêt ne l’est pas. Une anecdote récente que je trouve drôle à ce sujet, est lorsque nous avons participé au salon des seniors et que les gens nous ont interrogé sur ce que nous faisions, nous disions « on prête aux gens de plus de 60 ans ». Or, dans 90 % des cas les gens nous répondaient : « ce n’est pas possible car j’ai plus de 70 ans ». En fait, ils sont convaincus que cela n’est plus possible après tel âge car on leur a toujours dit cela.

Nous avons dû ainsi changer de discours pour expliquer que nous prêtions de 60 à 122 ans. Tous les seniors sont inclus dans cette tranche. Il y a ainsi une modification culturelle de l’appréhension du sujet à faire. Cette solution peut aider pas mal de gens même si, attention, elle n’est pas miraculeuse. Son utilisation est variée et nous avons réalisé le premier prêt d’une personne qui est venue pour réaliser un tour du monde. Dans d’autres cas, certaines personnes le contractent car elles vont à la retraite et n’ont pas fini de rembourser leur prêt. Perdre 40 % de son revenu n’est pas forcément agréable et dans certains cas, il ne vous reste plus grand-chose si vous remboursez encore des échéances. Avec cette opportunité, ils peuvent rembourser quand ils veulent et ils augmentent ainsi leur revenu disponible.

Qu’est-ce qui vous a le plus surpris ?

Le bon accueil. Nous sommes habitués quand on vient du domaine de la banque au fait que l’on soit considéré comme les « méchants ». Là les gens ont trouvé que nous apportions vraiment une solution et nous sommes très bien accueillis. Certains trouvent même cela un peu miraculeux. Au final, nous faisons un prêt avec des intérêts et ce n’est donc pas gratuit. Nous le soulignons souvent en disant : « ce n’est pas de la poudre de perlimpinpin, cela coûte de l’argent ». Certes, cela redonne une solution pour des gens qui sont freinés et qui ne s’autorisent plus à concrétiser des rêves car ils pensent qu’ils ne pourraient pas les réaliser. J’étais assez sidéré par cette réaction positive et elle m’a profondément marqué. 

« Notre prêt est assez particulier, car c’est un prêt sans mensualités. En conséquence, il ne touche pas le reste à vivre des personnes. Il est remboursable quand vous voulez et au plus tard à la succession. »

3 Conseils d’Alexis Rouëssé

  1. « Never never give up ! » comme le disait Winston Churchill. Il ne faut pas lâcher !
  2. Faire confiance et déléguer. Pourquoi ? Parce que je le vois avec mes équipes, il ne pense pas comme vous. Cela vous énerve au début mais ils n’ont pas obligatoirement tort. Il faut arriver à faire confiance car en retour ils vous feront également confiance et c’est comme cela que cela fonctionne. Il faut accepter même dans une petite entreprise de ne pas tout contrôler et de bien rester dans son rôle de manager général. Certes, il se peut que dans certains cas, si vous l’aviez fait, vous l’auriez mieux fait mais pendant que vous le faites, vous ne faites pas autre chose donc tout le monde y aurait perdu.
  3. Comprendre que les personnes autour de vous ont des qualités que vous n’avez pas et aussi des défauts. Je n’ai pas toutes les qualités et pas tous les défauts. Une fois qu’on a passé les 3 à 6 mois d’adaptation les uns avec les autres, il y a une confiance qui se crée. A partir de là, on se demande presque à quoi sert le manager. Ce n’est pas en donnant des directives qu’on gagne mais en connaissant la personne. Cela change tout car tout le monde à son espace de liberté. 

Bien gérer la montée en régime des premiers mois de son activité

Souvent, lorsqu’on lance son entreprise, on envisage les pires situations dont celles de ne pas avoir assez de clients et d’avoir un démarrage lent des affaires. Si le lancement d’une activité est une étape difficile, la gestion des premiers mois et la montée en régime de l’entreprise l’est tout autant, avec certains pièges à anticiper. Quelles sont les clés pour dépasser cette étape ?

Ne pas être victime de son succès pour mieux gérer

Le lancement d’une activité fait souvent l’objet d’une attention toute particulière. En effet, vous mettez en pratique le travail que vous avez préparé de longue date. Cette étape est primordiale pour pouvoir donner de bonnes bases à son entreprise et réussir à s’implanter en devenant rapidement un acteur performant sur son marché. Mais passé les écueils des débuts, la montée en régime de l’activité n’est pas forcément un moment qui est anticipé. Alors que ce moment demeure crucial pour répondre à de nouvelles problématiques.

L’étude de marché que l’on effectue en amont de la création de son activité permet généralement d’avoir une idée précise sur la viabilité de son projet. Toutefois, ce travail ne permet que très difficilement d’évaluer avec certitude le potentiel de croissance, qui peut dès lors, connaître une évolution si rapide qu’il était difficile de l’envisager. Croire que ce phénomène est rare et un faux problème fait partie des conceptions erronées qu’il faut écarter. De nombreuses entreprises, qui ont bien préparé leur projet, connaissent une évolution très importante après six mois d’existence, après avoir trouvé sa place dans un marché, et avec une vitesse accrue lorsque l’on parvient à occuper une niche jusqu’à présent peu ou mal occupée.

Savoir s’adapter à une montée en régime

Si tout nouvel entrepreneur souhaite bien entendu être confronté à ce “problème de riche”, cela implique de pouvoir disposer d’une capacité d’adaptation très forte. Les soucis peuvent provenir d’un flux de commandes difficiles à assumer, sur le plan humain, avec une main d’œuvre insuffisante, sur le plan matériel ou encore financier, avec une trésorerie qui pourrait ne pas suivre, notamment dans le cas où l’activité implique de faire l’avance d’une partie des coûts.

Anticiper les échéances financières pour envisager la montée en régime

Pour les entrepreneurs novices, la jungle que constituent les taxes et impôts en tous genres qui ne tarderont pas à poindre au bout de quelques mois doit faire l’objet d’une préparation. En fonction du statut de l’entreprise, il conviendra de s’approprier les principes de base régissant la fiscalité des entreprises, ainsi que les implications comptables qui en résultent. On peut par exemple citer l’imposition sur les bénéfices, la détermination du bénéfice imposable (bénéfice réel pour les commerçants ou les artisans (BIC), déclaration contrôlée pour les professions libérales (BNC) ou régime des micro-entreprises) ou la TVA et toutes les évolutions réglementaires à venir pour la fin 2019 et le début 2020. La maîtrise de ces éléments est un impératif pour l’entrepreneur. Celui-ci doit connaître l’évolution de la fiscalité afin de la cerner dès les premiers mois de l’activité.

Une gestion rigoureuse impérative

La proportion d’entreprises ne parvenant pas à survivre aux premiers mois d’activité est importante, et l’explication de ses défaillances a pour origine deux raisons principales.

La croissance rapide peut impliquer des modifications difficiles à assumer sur le plan financier. Trésorerie défaillante, stocks trop importants ou pas assez importants, délais de paiements élargis, problème de paiements des clients, dépendance à un seul gros client, dépendance d’un système de livraison qui exige rapidité et donc une main d’œuvre importante… Autant de points qui peuvent tout simplement menacer l’existence même de l’entreprise. L’autre aspect qui doit faire l’objet d’une gestion précise concerne la part des frais fixes dans le fonctionnement de la société. En effet, une mauvaise évaluation à ce niveau, pouvant provenir d’une grille de prix mal calibrée ou de frais généraux trop importants par rapport au chiffre d’affaires sera nuisible pour la pérennité de l’activité. Définir des prix avec des marges en adéquation avec les besoins de l’entreprise, respecter sa politique commerciale, évaluer les frais fixes méticuleusement : voilà les règles de gestion à suivre scrupuleusement.

Le pouvoir du rire au bureau

Dans le monde professionnel souvent empreint de sérieux et de stress, il est facile de perdre de vue l’importance de l’humour et de rire au bureau. Pourtant, ces deux ingrédients magiques peuvent transformer un environnement de travail terne en un lieu joyeux et dynamique. Préparez-vous à relâcher vos zygomatiques et à en savoir plus sur la puissance du rire sur votre productivité et votre bonheur professionnel !

Les bienfaits du rire au bureau

Le rire est bien plus qu’un simple divertissement. Il a le pouvoir de libérer des endorphines, de réduire le stress, de renforcer les liens entre collègues et d’améliorer notre bien-être général. Des études ont montré que le rire régulier au travail peut augmenter la productivité, stimuler la créativité et améliorer la satisfaction au travail. Il crée une atmosphère positive et légère, propice à la collaboration et à l’innovation. Surtout, il permet de se sentir mieux au travail. Alors, pourquoi ne pas exploiter le pouvoir du rire pour faire de votre environnement de travail un lieu où règnent la bonne humeur et la positivité ?

L’humour au quotidien

Maintenant que nous avons compris l’importance du rire, explorons comment intégrer l’humour dans votre culture d’entreprise de manière authentique et efficace.

1/ Faites place aux jeux de mots 

Les jeux de mots peuvent être une source inépuisable de rires et de sourires. Organisez des concours de jeux de mots dans votre équipe, où chacun peut apporter sa contribution hilarante. Vous serez étonné de voir comment quelques jeux de mots bien placés peuvent égayer l’atmosphère et créer des moments de complicité entre collègues.

Prenons l’exemple de l’entreprise « Papeterie Rigolote ». Chaque vendredi après-midi, l’équipe se rassemble pour un « Défi du jeu de mots ». Chacun apporte sa meilleure blague ou son jeu de mots le plus drôle. Les rires fusent et une ambiance légère envahit le bureau. Les employés se sentent plus connectés les uns aux autres, renforçant ainsi leur esprit d’équipe.

2/ Laissez parler votre créativité 

Organisez des activités créatives régulières où les employés sont encouragés à exprimer leur côté artistique ou comique. Que ce soit par le biais de dessins, de vidéos amusantes ou de mimes burlesques, ces activités créeront une ambiance détendue et favoriseront les interactions positives entre les membres de l’équipe.

L’entreprise de technologie « InnoFun » organise un concours de dessin humoristique une fois par mois. Les employés sont invités à créer des caricatures humoristiques basées sur des situations de bureau ou des anecdotes comiques. Les dessins sont affichés dans l’open space, créant ainsi un environnement visuel amusant et suscitant des rires réguliers. Cette activité permet aux employés de laisser libre cours à leur créativité et de partager des moments de légèreté ensemble.

3/ Les blagues du vendredi 

Instaurez une tradition du vendredi dédiée à l’humour. Chaque vendredi, partagez des blagues, des anecdotes amusantes ou des vidéos hilarantes avec vos collègues. C’est une excellente façon de clôturer la semaine de travail en beauté et de commencer le week-end avec le sourire.

Chez « Société Sourire & Compagnie », chaque vendredi après-midi se dédie aux « Blagues du vendredi ». Les employés envoient leurs meilleures blagues par e-mail. Il faut alors sélectionner les et partager avec toute l’entreprise. Cela crée une ambiance festive et détendue, où les rires fusent et les sourires illuminent les visages.

Les grands événements comiques

Pour des moments de rire intenses et mémorables, envisagez d’organiser des événements comiques au sein de votre entreprise.

1/ Soirée stand-up 

Engagez des humoristes professionnels pour une soirée de stand-up hilarante. Les rires résonneront dans toute l’entreprise et permettront à chacun de se détendre et de profiter d’un moment de divertissement de qualité. Cette soirée peut s’organiser lors d’un événement spécial ou même lors d’une célébration d’équipe.

L’entreprise « Joyeux Rire Inc. » organise chaque année une soirée de stand-up pour célébrer l’anniversaire de la société. Les employés se réunissent dans une salle de conférence transformée en club de comédie, où des humoristes professionnels font rire la foule. Cette soirée est toujours très appréciée et laisse des souvenirs mémorables à tous les participants.

2/ Concours de talents comiques 

Organisez un concours de talents où les employés peuvent montrer leurs compétences humoristiques. Que ce soit à travers des sketches, des imitations ou des numéros de clown, laissez briller le talent comique de vos collègues. Cela créera une atmosphère festive et renforcera les liens entre les membres de l’équipe.

L’entreprise « Comédie au Bureau » organise un concours de talents annuel, où les employés ont l’occasion de montrer leur côté comique. Les participants se préparent pendant des semaines, répétant leurs sketches et leurs numéros pour impressionner le public. Cet événement est très attendu et les rires sont garantis !

3/ Journée à thème décalé 

Choisissez une journée dans l’année où tout le monde peut se déguiser ou adopter un thème décalé. Que ce soit le jour des chapeaux farfelus, des pyjamas au travail ou du retour en enfance avec des jouets et des bonbons, laissez libre cours à la créativité de vos collaborateurs. Ces journées à thème apporteront une touche de légèreté et de fantaisie à votre culture d’entreprise.

Chez « Fantaisie Corp. », ils organisent une journée annuelle du « Retour en Enfance ». Les employés peuvent venir, au travail, vêtus de costumes de super-héros, jouer à des jeux de société pendant la pause déjeuner et se régaler de friandises sucrées. Cette journée spéciale ramène chacun à l’époque insouciante de l’enfance, créant ainsi une atmosphère ludique et joyeuse dans toute l’entreprise.

Le rire et l’humour sont des ingrédients essentiels pour créer une culture d’entreprise positive, légère et productive. En intégrant l’humour dans votre quotidien professionnel, vous favorisez la créativité, renforcez les liens entre collègues et améliorez le bien-être général au travail. Alors, ne sous-estimez pas le pouvoir du rire et laissez votre entreprise rayonner de joie et de bonne humeur. Rappelez-vous, un peu d’humour chaque jour éloigne l’ennui et rend votre aventure professionnelle délicieusement amusante !

A noter 

N’oubliez pas que l’humour doit toujours être respectueux et inclusif. Soyez attentif aux différentes sensibilités et assurez-vous que personne ne se sente exclu ou offensé. L’humour peut être un outil puissant pour renforcer les liens et améliorer l’expérience au travail, alors utilisez-le avec intelligence et bienveillance.

Gérer les oiseaux rares au travail : le guide pour survivre à l’extravagance professionnelle !

Au cœur de chaque environnement de travail se cachent des individus tout à fait particuliers. Des personnalités excentriques, des originaux intrépides, des spécimens uniques qui défient les lois de la normalité professionnelle. Mais ne vous inquiétez pas, chers lecteurs, car nous sommes là pour vous guider à travers ce merveilleux zoo professionnel et vous apprendre à interagir avec ces personnalités farfelues de manière constructive. Préparez-vous à prendre des notes, car voici notre guide ultime de la gestion des personnalités excentriques au travail !

Les espèces rares d’excentriques

Dans cet océan de cravates monotones et de chemises repassées, vous trouverez des espèces exotiques qui se démarquent de la masse. Du passionné des costumes de super-héros au maître du bureau encombré, découvrez les personnalités uniques qui peuplent votre lieu de travail. Prenez le temps de les observer et d’apprécier leur beauté excentrique.

Imaginez-vous dans un bureau ordinaire, avec ses murs gris et ses chaises inconfortables. Tout à coup, un éclair de couleur apparaît. C’est votre collègue, celui qui arrive tous les jours vêtu d’un costume de super-héros différent. Il a le pouvoir de transformer une journée banale en une aventure épique. Vous ne savez jamais si vous allez rencontrer Batman, Spider-Man ou peut-être même un héros totalement inventé. Une chose est sûre, il saura toujours vous surprendre.

Puis, il y a celui qui transforme son bureau en un véritable musée du bizarre. Des bibelots étranges, des posters de films cultes et des figurines de collection se disputent l’espace sur son bureau. Chaque jour, il apporte un nouvel élément à sa collection déjà impressionnante. Vous vous demandez comment il peut encore trouver de la place pour travailler. Mais au fond, vous admirez sa capacité à créer un environnement qui lui ressemble.

Adopter une approche ludique

Maintenant que vous avez identifié les créatures bizarres de votre environnement professionnel, il est temps d’apprendre à interagir avec elles de manière constructive et amusante. Voici quelques astuces humoristiques qui vous aideront à gérer ces personnalités uniques sans perdre la raison :

1/ L’humour décalé 

Lorsque vous rencontrez le collègue qui arrive toujours déguisé en super-héros, n’hésitez pas à jouer le jeu en créant une ligue de justiciers de bureau. Proposez des missions secrètes pour régler les problèmes du quotidien et laissez votre imagination déborder. Qui sait, peut-être que votre collègue finira par sauver le monde… ou au moins la machine à café.

Imaginez-vous dans une réunion ennuyeuse, où les chiffres et les graphiques vous donnent envie de vous endormir. Soudain, le « Super Comptable » entre dans la pièce, vêtu d’une cape et d’un masque. Il se met à parler de bénéfices et de pertes en utilisant des termes dignes d’un super-héros. « Les profits sont en hausse, grâce à mon superpouvoir de gestion financière ! », lance-t-il avec un sourire malicieux. Vous ne pouvez pas vous empêcher de rire, et même les plus sérieux d’entre vous se détendent. Bientôt, tout le monde participe au jeu et la réunion devient une expérience mémorable et hilarante.

2/ La diplomatie créative 

Si vous êtes confronté à un amateur de conversations interminables sur les théories du complot, essayez de détourner habilement la discussion vers des sujets plus inoffensifs et divertissants. Par exemple, demandez-lui son avis sur l’existence des extraterrestres et s’il pense qu’ils portent des chapeaux ridicules. Vous pourriez être surpris de voir à quel point une telle diversion peut fonctionner !

Dans une pause-café, vous êtes coincé avec le collègue passionné par les théories du complot. Il commence à vous expliquer en détail comment les reptiliens contrôlent le monde et comment les aliens ont construit les pyramides. Plutôt que de vous lancer dans une discussion sans fin, vous décidez d’apporter un peu d’humour à la situation. Vous lui dites que vous avez découvert une théorie encore plus folle : les extraterrestres utilisent des chapeaux extravagants pour se fondre parmi nous sans être repérés. La conversation dérive alors vers des hypothèses farfelues sur les modes extraterrestres et vous parvenez à détendre l’atmosphère tout en évitant les sujets délicats.

3/ Le pouvoir des accessoires 

Si vous travaillez aux côtés d’une personne qui aime décorer son espace de travail avec des objets insolites, n’hésitez pas à ajouter un peu de piquant à votre propre espace. Placez des nains de jardin sur votre bureau ou affichez des citations absurdes. Bientôt, votre collègue excentrique sera fasciné par vos choix décoratifs et vous pourrez échanger sur l’art d’être original.

Votre collègue du bureau voisin est un véritable magicien de la décoration. Son bureau est un kaléidoscope de couleurs, d’objets étranges et de photos loufoques. Vous décidez de rejoindre le mouvement en apportant votre touche personnelle. Vous commencez par placer un nain de jardin sur votre bureau, qui se trouve être le voisin parfait pour sa licorne en peluche. Bientôt, une compétition amicale commence entre vous deux pour voir qui trouvera l’objet le plus loufoque à exposer. Cette petite rivalité apporte une dose de légèreté à votre quotidien et crée une atmosphère de camaraderie entre vous.

La tolérance en rires

En fin de compte, il est important de rappeler que la diversité des personnalités excentriques contribue à la richesse de notre vie professionnelle. Alors, embrassons ces particularités avec bienveillance et rions ensemble des bizarreries qui font de notre lieu de travail un endroit unique. L’humour et la compréhension sont des outils précieux pour créer un environnement de travail plus joyeux et harmonieux.

Imaginez-vous une journée typique au travail. Votre collègue « l’Artiste Déjanté » entre dans la salle de réunion avec un chapeau en forme de méduse et une cravate fluorescente. Il commence à raconter une blague absurde qui vous fait éclater de rire. Même si ses goûts vestimentaires sont un peu excentriques, vous réalisez à quel point il est important d’apprécier la diversité des personnes qui nous entourent.

En célébrant les personnalités excentriques, nous enrichissons notre environnement professionnel. Ces individus hors du commun apportent de la couleur, de la créativité et une perspective unique à notre quotidien. Ils nous rappellent qu’il est essentiel de ne pas se prendre trop au sérieux et d’embrasser la folie de temps en temps.

En conclusion 

En naviguant dans les eaux turbulentes des personnalités excentriques au travail, n’oubliez pas d’apprécier la couleur et la diversité qu’elles apportent à votre quotidien professionnel. Utilisez l’humour comme une arme pacifique pour interagir avec ces oiseaux rares et transformez votre bureau en un véritable spectacle comique. Rappelez-vous toujours que la tolérance et l’acceptation sont les clés d’une cohabitation réussie. Alors, embrassons la folie, faites preuve de créativité et préparez-vous à vivre une expérience professionnelle hors du commun !

Rappelez-vous que le travail ne doit pas être uniquement une corvée, mais aussi une source de plaisir et de connexion avec les autres. En adoptant une approche humoristique et bienveillante, vous pouvez créer un environnement de travail où chacun se sent accepté et apprécié pour sa singularité. Alors, préparez-vous à rire, à vous émerveiller et à construire des relations professionnelles solides avec ces personnalités excentriques. Après tout, ce sont elles qui rendent votre lieu de travail véritablement unique et mémorable !

Les erreurs de communication à éviter à tout prix !

La communication est un processus indispensable qui assure également le bon fonctionnement d’une entreprise. En ce sens, les erreurs de communication conduisent à détruire tous les efforts faits en amont. Comment éviter les erreurs de communication ?

Pour qu’une société puisse se développer et fidéliser des clients, un plan de communication est de rigueur. Avec une politique communicationnelle bien pensée, vous allez pouvoir vous bâtir un avantage concurrentiel certain, ce qui signifie, plus de parts de marché, et plus de bénéfices. Quelques conseils pour écharper aux erreurs.

Ne pas définir avec précision sa cible ou ses cibles

Prenons l’exemple d’une personne qui va partir sans connaître sa destination. Cette personne sera toujours dans le doute jusqu’à ce qu’il connaisse sa destination. C’est exactement la même chose avec une entreprise qui a établi un plan de communication sans avoir pris le soin de définir la cible ou les cibles. À chaque plan de communication, sa cible ou ses cibles, font partie des règles incontournables. Si vous désirez que votre plan de communication puisse porter ses fruits, il vous faudra avant tout définir quels seront vos interlocuteurs et ils peuvent se révéler nombreux selon le produit ou service. Une erreur de communication facile à éviter.

Ne pas cerner ses objectifs

Certaines entreprises ne connaissent pas « le pourquoi » de leur plan de communication, c’est-à-dire leurs objectifs à court, moyen et long terme qui obligent à penser aux difficultés qui vont poindre leur nez mais aussi les bénéfices. De facto, il est quasi impossible que ces entreprises puissent parvenir à atteindre leurs objectifs. Avant de lancer une politique précise, il faut anticiper les résultats. C’est de cette façon que l’on parvient facilement à vendre, à faire connaître un produit et à se bâtir une image de marque

Choisir un message mal adapté, une erreur de communication à éviter

Transmettre un message pas adapté à la cible, ou à le faire passer à un moment inapproprié est loin d’être judicieux. La communication est une science dont il faut maîtriser les fondements, sinon, c’est l’échec assuré. Le message ou la campagne entreprise par chaque entreprise doit être unique et doit susciter l’intérêt des interlocuteurs. Il est donc important que votre message soit adapté à votre cible et aux résultats que vous souhaitez obtenir auprès d’eux. 

Éliminer des supports 

L’erreur qui se présente souvent à ce niveau est l’utilisation des supports de communication qui ne sont pas adaptés à vos cibles. Si vous utilisez un support papier alors que vos clients sont déjà à l’ère numérique, vous devrez opérer une mise à niveau. Il est donc important de faire des analyses sur les tendances de vos clients. Cependant, il est bon de retenir que les français possèdent presque tous une boîte aux lettres. Ils la consultent de manière générale au moins une fois par semaine et donc exclure le support papier viendrait à se priver d’une clientèle qui est captive. Une étude préalable vous permettra de les atteindre le plus rapidement possible. 

Ne pas savoir détecter les obstacles

En général, les cibles ne perçoivent jamais la communication de la même façon. C’est ce qui est à l’origine de leurs hésitations et de leurs blocages. La meilleure manière de les éviter est d’établir dès le départ des systèmes ou encore des stratégies qui sont sûres de pouvoir déterminer l’obstacle qui se pose. De cette manière, il serait plus facile pour vous de les corriger avec le temps. Il arrive qu’une campagne publicitaire qui a bien commencé rencontre un obstacle de taille comme dans le cas du footballeur Neymar. Celui-ci entraîné une pluie de critiques et de réactions négatives à la suite de son aventure de vie privée. Personne n’est à l’abri. Il faut donc toujours envisager la situation la plus défavorable.

L’Arabie saoudite : un marché prometteur pour les entreprises françaises (Choiseul)

Porté par son Plan Vision 2030, l’Arabie saoudite est aujourd’hui un pays offrant de grandes opportunités aux entreprises françaises. Un constat relayé dans une note stratégique de l’Institut Choiseul, que son Président Pascal Larot a exposé lundi 19 juin lors du Forum sur l’investissement franco-saoudien.

L’Arabie saoudite s’est lancée un défi en 2016 : transformer son économie dépendant de la manne pétrolière grâce à un projet de développement à 360 degrés, appelé Plan Vision 2030, comprenant des réformes économiques, sociales, juridiques et politiques. En clair, il s’agit pour le Royaume de diversifier son économie et ses sources de revenus pour devenir, entre autres, un marché plus attractif pour les entreprises et les investisseurs du monde entier d’ici 7 ans.  

Lancé par le prince héritier Mohammed ben Salmane (MBS), le programme Vision 2030 offre de réelles opportunités pour les entreprises françaises, comme l’a rappelé une note de l’Institut Choiseul (think tank consacré aux questions économiques et aux relations internationales) relayée par son Président Pascal Lorot le 19 juin dernier lors du Forum sur l’investissement franco-saoudien.

Une économie saoudienne diversifiée et en plein boom :

Conscient de la nécessité de réduire sa dépendance au pétrole, l’Arabie saoudite s’est engagée dans un processus de diversification économique ambitieux. Le programme 2030 prévoit bon nombre de « giga-projets » suscitant la création de nouveaux secteurs tels que le tourisme, les énergies renouvelables, l’environnement, le nucléaire, l’urbanisme, la culture ou encore l’extraction minière. Ces domaines en pleine croissance sont des opportunités d’investissement pour les entreprises françaises possédant une expertise et des technologies avancées en la matière. 

Les entreprises françaises peuvent également coopérer sur des secteurs plus traditionnels, mais toujours essentiels, comme la défense, les transports, les infrastructures, les produits de luxe et l’agro-alimentaire. « La participation des entreprises françaises à ces nouveaux secteurs peut représenter un levier de croissance significatif dans la réalisation de la Vision 2030 soutenue par le gouvernement saoudien », précise l’Institut Choiseul. 

En grande forme, l’économie saoudienne a de quoi taper dans l’œil des investisseurs hexagonaux. Le pays affiche en 2022 une croissance de 7,6%, une inflation de 2,1% et un taux de chômage en baisse de 9,7%. Selon le think tank, les réformes du marché boursier ont permis aux Royaume de figurer parmi les plus grands indices internationaux et de se classer à la 9ème place boursière mondiale.   

Des réformes réglementaires et sociales 

Pour attirer les investisseurs étrangers, l’Arabie saoudite a entrepris des larges réformes visant à simplifier les procédures administratives, à renforcer la protection des droits de propriété intellectuelle et à assurer une plus grande transparence dans les affaires. Ces mesures créent un environnement business favorable, propice aux groupes privés du monde entier. Reconnues pour leur savoir-faire et leur professionnalisme, les entreprises françaises sont en mesure de bénéficier de ce cadre de travail pour opérer au mieux dans le pays. 

Depuis 2016, l’Arabie saoudite organise un nombre grandissant d’événements culturels, artistiques, sportifs et culinaires attirant des visiteurs du monde entier. Objectif : devenir un pays ouvert sur l’extérieur, redorer son image, et répondre aux nouveaux besoins de sa jeune population. 

« Cette transformation sociale s’accompagne de progrès en matière de droits des femmes tels que la suppression de l’obligation d’une autorisation masculine pour certains services, l’autorisation aux femmes de conduire, la liberté de voyage et de vie indépendante ainsi que la responsabilité parentale », affirme l’Institut Choiseul. Les femmes saoudiennes peuvent aussi assister à des événements sportifs et culturels, ou encore travailler dans différents secteurs, comme la police et les forces armées. 

Tous ces progrès récents prouvent que l’Arabie saoudite est aujourd’hui un Royaume moderne et accueillant pour les visiteurs et les investisseurs internationaux. « La mise en œuvre de la Vision 2030 permettra au royaume de d’avoir une économie diversifiée et durable tout en offrant un environnement de vie de qualité pour sa population en pleine croissance », conclut le think tank. 

La formation : une manière de motiver et d’attirer !

Outre les avantages opérationnels, la formation contribue à la motivation et à l’engagement des salariés. Lorsque l’employeur investit dans le développement professionnel des employés, il renforce leur sentiment d’appartenance et leur engagement envers leur travail.

Ce qu’apporte la formation à vos salariés

La formation leur offre des perspectives de progression de carrière, stimule leur motivation intrinsèque et favorise une culture de développement au sein de l’entreprise. Les salariés formés sont ainsi plus enclins à apporter des contributions significatives et à s’investir pleinement dans la réussite de l’entreprise.
Dans un monde professionnel en perpétuelle évolution, les entreprises sont constamment à la recherche de moyens pour favoriser la motivation et l’engagement des salariés. Parmi les stratégies efficaces figure la formation, qui offre bien plus que des avantages opérationnels. En effet, elle contribue à nourrir leur motivation et à renforcer leur engagement envers l’entreprise.

Motivé, oui, mais pourquoi ?

  1. La formation constitue un investissement dans le développement personnel des salariés, démontrant ainsi la confiance et l’intérêt que l’entreprise leur accorde. Lorsque les salariés se sentent soutenus dans leur croissance professionnelle, cela renforce leur motivation intrinsèque et leur sentiment d’appartenance à l’entreprise. Elle témoigne d’une forme de reconnaissance de leurs compétences et de leur potentiel, ce qui les pousse à donner le meilleur d’eux-mêmes et à s’investir pleinement dans leurs responsabilités.
    En offrant des opportunités, les entreprises envoient un message fort aux salariés : elles investissent dans leur avenir et reconnaissent leur valeur en tant qu’individus. Cette reconnaissance nourrit un sentiment de fierté et d’accomplissement chez les salariés, les poussant à se dépasser et à s’engager davantage dans leur travail. Ils se sentent soutenus et encouragés à relever de nouveaux défis, ce qui stimule leur motivation et leur passion pour leur métier.
  2. Elle permet aux salariés de développer de nouvelles compétences et de progresser dans leur carrière, ouvrant ainsi des perspectives d’évolution au sein même de l’entreprise. Cette possibilité d’avancement motive les salariés à se former et à acquérir des compétences pour gravir les échelons. Ils sont encouragés à se fixer des objectifs ambitieux et à travailler activement pour les atteindre, sachant que leur investissement dans leur développement professionnel sera reconnu et récompensé.
  3. Un autre aspect clé en relation avec la motivation des salariés est la valorisation de leur potentiel. Lorsqu’un salarié a la possibilité de participer à des formations, il se sent reconnu en tant qu’individu avec des capacités uniques à exploiter. La formation offre une plateforme pour développer et mettre en valeur leurs talents, ce qui renforce leur estime de soi et leur confiance en leurs compétences. Cela se traduit par une plus grande motivation à exceller et à contribuer activement à la réussite de l’entreprise. 

Une action sur l’ambiance de travail

La formation favorise également un climat de travail dynamique et stimulant. Lorsque les salariés ont la possibilité d’apprendre et de se développer, ils se sentent plus engagés dans leur travail quotidien. Ils sont constamment stimulés par de nouvelles connaissances, de nouvelles compétences et de nouvelles perspectives, ce qui maintient leur enthousiasme et les préserve de la routine. L’environnement de travail devient alors propice à la créativité et à l’innovation, ce qui bénéficie à l’ensemble des équipes.

La rétention des talents

Un autre avantage majeur réside dans sa contribution à la rétention des talents. Les salariés qui bénéficient de possibilités de formation et de développement sont davantage susceptibles de rester fidèles à leur entreprise, évitant ainsi les coûts élevés associés au recrutement. En investissant, les entreprises créent un environnement propice à la croissance et au développement des compétences, ce qui renforce la fidélité et la satisfaction des salariés. L’un des principaux facteurs qui influence la décision des salariés de rester dans une entreprise est l’opportunité de se développer professionnellement et d’avoir une valeur ajoutée sur le marché du travail. A ce titre, la formation offre aux salariés la possibilité d’élargir leurs compétences, d’acquérir de nouvelles connaissances et de développer leur expertise. En investissant dans le développement de leurs employés, les entreprises envoient un message clair : elles se soucient de leur croissance professionnelle et sont prêtes à investir dans leur potentiel !

L’effet sur le sentiment d’appartenance à l’entreprise

La formation contribue également à la fidélisation des salariés en renforçant leur sentiment d’appartenance à l’entreprise. Lorsque les employés sont investis dans des programmes, ils se sentent partie prenante de la culture de l’entreprise et de ses objectifs. Ils deviennent les ambassadeurs de l’organisation, partageant leurs connaissances et leurs compétences avec leurs collègues, ce qui consolide le tissu social et favorise une atmosphère de collaboration et d’épanouissement professionnel. Un autre aspect clé de la rétention des talents réside dans le renforcement du lien entre les salariés et l’entreprise. Lorsque les employés bénéficient de programmes de formation, ils développent un sentiment de loyauté envers l’organisation qui investit dans leur croissance. Ils se sentent redevables et reconnaissants envers leur employeur, ce qui crée un lien émotionnel fort et les incite à rester engagés.

Une attraction des talents

Dans un contexte professionnel compétitif où la guerre des talents fait rage, elle joue donc un rôle clé dans l’attraction des employés talentueux au sein des entreprises. En offrant des possibilités de développement et de formation, les entreprises attirent des talents et évitent ainsi les coûts élevés associés au recrutement. Les possibilités offertes par une entreprise sont également perçues comme un avantage compétitif sur le marché du travail. Les salariés talentueux et ambitieux recherchent activement des employeurs qui investissent dans leur développement professionnel. Lorsqu’une entreprise se positionne comme un employeur qui valorise et soutient la formation, elle devient un aimant pour les talents, attirant les meilleurs candidats et les retenant à long terme. Elle favorise la stabilité et la continuité dans l’entreprise. 

14 conseils pour fidéliser ses clients !

Considérer un client acquis comme fidèle à tout jamais, est un comportement dépassé. Se dire : un client de perdu, dix de retrouvés est une attitude désinvolte et arrogante, ni plus ni moins. Les entreprises s’évertuent, sans cesse, à conquérir de nouveaux clients. Cependant, ils ne prêtent pas la même attention aux clients déjà acquis. Or les entreprises pour développer leur chiffre d’affaires devraient se concentrer davantage à fidéliser leurs clients. Comment fidéliser les clients ?

Quelle est la réalité pour fidéliser les clients ?

La plupart des sociétés investissent 80 % de leur budget pour gagner 20 % de nouvelles activités. Une nouvelle affaire coûte en moyenne 7 fois plus chère que celle qui est déjà en place. Pour bien commencer, il suffit simplement de transférer 20 % du temps consacré à conquérir de nouveaux clients au profit des clients qui sont déjà dans votre portefeuille.

Une erreur classique

Les entreprises demandent souvent aux commerciaux en priorité de rechercher de nouveaux clients au lieu de se consacrer aux clients déjà acquis. Ainsi, dès la première commande, le vendeur détourne son attention du nouveau client pour repartir à la conquête afin de réaliser l’objectif que lui fixe son entreprise. Or, une commande initiale de 1 € va au final en général générer 10 € sur la durée de vie du produit (logiciels, fournitures, formation, maintenance…). De plus, si vous avez des produits diversifiés les clients déjà acquis auront tendance à commander vos autres produits par facilité et pour gagner du temps mais aussi grâce à la confiance établie lors des premières commandes et générer par voie de conséquence un chiffre d’affaires supplémentaire.

Alors pourquoi mettre en priorité la recherche de nouveaux clients quand ceux qui sont là peuvent générer un chiffre d’affaires sans multiplier vos efforts ? Il est démontré que 46 % des clients quittent leur fournisseur après la 1ère commande, 24 % après la seconde, 14 % après la 3e et 12 % après la 4e. Ceci signifie qu’un client est véritablement acquis seulement après la 3e commande. N’hésitez pas à maintenir votre effort pour y parvenir. La fidélité passe par votre persévérance !

Offrez la qualité du produit envers et contre tout

Votre client attend de vous, lorsqu’il consomme vos produits de trouver la qualité promise dans vos descriptifs ou vos argumentaires commerciaux. Si vous souhaitez qu’il reste et devienne votre plus fidèle client vous devez garder en tête le principe qu’un client satisfait en parle à deux personnes alors qu’un insatisfait en parle à dix. Tâchez de respecter l’éthique que vous vous êtes fixée afin de préserver la satisfaction des clients. Tous les jours, la presse met à la une des rappels de produits pour qualité défectueuse et qui portent parfois atteinte à la santé. Ils ternissent la réputation de la marque : le lait Lactalis, la plante toxique dans les haricots verts de Leclerc et Carrefour en sont les derniers exemples.

Soyez attentif à la qualité de la livraison, la facilité et la sécurité des paiements

La réactivité fait partie des clés de la fidélisation et donc vous devez prêter attention aussi bien à la qualité de la livraison qu’à la facilité et la sécurité des paiements. Anticipez les difficultés rencontrées par les clients et soyez réactif à leurs demandes ou questions. Considérez-les comme une opportunité unique pour nouer une relation plus étroite et les fidéliser. Ce n’est pas les difficultés rencontrées qui sont un obstacle mais votre comportement dans la manière dont vous réagissez lors d’une réclamation. Si vous voulez conserver vos clients, fixez-vous des délais de temps de réponse que vous affichez clairement sur votre site par exemple ou bien dans les engagements du commercial et respectez-les. Si vous pensez que vous ne serez pas en mesure d’honorer vos promesses, dites-le avant que le client ne soit obligé de vous interpeller.

Faites de vos clients des supporters.

Un client est acquis non pas lorsque vous avez répondu à son besoin, mais dès que vous avez réussi à créer une relation de confiance. Vos clients souhaitent avant tout réaliser des affaires avec des hommes, pas avec des entreprises. Si vous réussissez à créer cette relation forte, vos clients deviendront vos meilleurs supporters. En effet, au-delà de vous recommander auprès des autres clients, certains clients n’hésitent pas à jouer un rôle plus important. Ils deviennent alors des véritables vecteurs de communication de la marque et parfois même dans les échanges sur les réseaux sociaux n’hésitent pas à répondre à votre place aux autres clients.

Nouez des liens de proximité pour fidéliser vos clients

La recommandation client se révèle fort efficace pour acquérir de nouveaux clients. Votre client peut devenir votre commercial à son insu car un client satisfait représente une excellente source de transformation et d’acquisition. Il est rarement isolé et rencontre vos prospects dans des endroits les plus inattendus. Or au fil des conversations, il peut communiquer sur un achat et fédérer de nouveaux acheteurs. Vous pouvez également le solliciter en lui octroyant le rôle de parrain. Lorsqu’un client « parrain » permet l’acquisition d’un nouveau client, récompensez-le à travers cadeaux ou offres promotionnelles : vous pouvez, de cette manière, le fidéliser davantage et vous l’incitez également à amener de nouveaux clients.

Remerciez vos clients

Remerciez vos clients pour la confiance qu’ils vous témoignent. Invitez-les à partager des moments de convivialité avec des prospects. Considérez chaque client comme unique et donnez-lui une place privilégiée. Vous pouvez créer un club VIP dans lequel vous inscrirez tous vos bons clients. Profitez de toutes les occasions pour l’inciter à venir et avoir ainsi un contact convivial dans des circonstances indépendantes de la vente.

Créez un sentiment d’appartenance

La fidélisation doit aussi créer un sentiment d’appartenance chez votre client. Après avoir acheté, il doit se sentir proche de votre entreprise par ses valeurs, son histoire. La confiance établie mène à réitérer le processus d’achat et à ne pas se tourner vers vos concurrents. Avec des cartes de fidélité, ou même des ventes privées, le client sera conforté dans l’idée d’être lié à votre entreprise. Mais attention ! Si aucune relation n’a été instaurée auparavant, ces programmes n’auront pas d’impacts. De nombreux consommateurs possèdent des cartes de fidélité dans leur portefeuille qu’ils n’utilisent pas.

Sollicitez vos clients.

Dans un monde qui bouge constamment, les enjeux des clients évoluent aussi et les confrontent à de nouveaux besoins. Vous devez donc évoluer avec eux et les aider à trouver des solutions toujours plus innovantes. Pour cela, les interroger sur leurs préoccupations peut vous servir de point d’appui pour offrir une réponse significative. Sollicitez vos clients régulièrement par des enquêtes de satisfaction. Ils auront ainsi le sentiment de contribuer à l’amélioration de votre société. Prenez en compte leurs critiques et leur avis pour vous perfectionner davantage.

Transmettez les informations clefs.

Créez une newsletter mensuelle ou des vidéos conférences. Devenez plus intime avec vos clients en créant des communautés sur Twitter, LinkedIn … afin d’en faire les avocats de votre entreprise.

Organisez de jeux concours et des animations

Les jeux concours et les animations demeurent très appréciés des clients. Ils ont tendance à valoriser l’image de la marque. Il s’agit d’un excellent moyen également pour animer votre communauté et de la récompenser pour ses achats. Mettez en avant ces jeux concours à travers vos réseaux sociaux : vous attirerez de nouveaux clients.

Proposez des réductions

Proposer des réductions, c’est susciter l’envie d’acheter. Adaptés aux articles de faible valeur ou pour lesquels un déstockage rapide est recherché, ces offres sont plébiscitées par le client : coupons de réduction ou offre spéciale limitée dans le temps. Pour des produits plus onéreux (articles électroménagers, véhicules, etc.), la reprise d’un produit usagé est particulièrement attractif.

Offrez des cadeaux

Il s’agit ici d’offrir un cadeau au client lors de son achat. L’achat comprend l’article acheté et le cadeau, disponible en nombre limité afin de faire venir au plus vite le client en boutique par exemple. Vous pouvez faire appel à la prime différée. Celle-ci nécessite de collecter des points sur les emballages ou des preuves d’achat à envoyer pour obtenir le cadeau. Sa valeur augmente selon le nombre de preuves d’achat. C’est un argument de vente puissant. Enfin, la prime du produit en plus convient bien pour les denrées ou pour les produits ménagers, avec un prix identique mais un pourcentage de produit supplémentaire offert.

Proposez des offres d’essai, des échantillons et des démonstrations

Les offres premiums : les clients sont sensibles aux propositions d’offres d’essai, d’échantillons et de démonstration. Pour de nouveaux produits, cette technique de vente est judicieuse. Les services en ligne et les logiciels se prêtent particulièrement à des offres d’essai d’un mois. Ils permettent aux clients de les tester gratuitement avant de passer à une offre premium ou d’acquérir le logiciel. Un grand nombre de sites de presse utilisent la possibilité d’accéder à l’information à deux niveaux avec l’adoption du modèle freemium. Les échantillons sont performants pour les produits pouvant être proposés en petits conditionnement et offerts à des clients. Ils sont systématiquement offerts dans les instituts de beauté par exemple. La démonstration est pertinente pour les articles techniques (comme un produit de nettoyage), un professionnel pouvant convaincre le public de son efficacité. La dégustation fait fureur dans les salons lors d’opérations promotionnelles.

Sollicitez les conseils des clients

Votre client connaît la concurrence car elle est à sa portée en quelques clics seulement. Il sait les raisons pour lesquelles il vous a choisi. Ce ne sont peut-être pas les critères auxquels vous pensez et lui demander les raisons de son choix vous donnera des idées.

Anticipez les besoins des clients

Votre produit possède certaines caractéristiques qui seront améliorées dans le temps même si vous avez le produit le plus innovant à l’instant T. Anticipez les évolutions technologiques !

Comment augmenter ses revenus de 1000 € par mois à la retraite ?

L’inflation constitue une préoccupation majeure pour les retraités qui s’efforcent de maintenir un niveau de vie stable. Pourtant, au fil du temps, cette hausse des prix grignote progressivement le pouvoir d’achat des retraités, entraîne une augmentation de leurs dépenses alors que leurs économies perdent de la valeur. Dans cet article, découvrez comment vous prémunir efficacement contre l’inflation, protéger votre pouvoir d’achat et augmenter vos revenus à la retraite.

Comment se protéger de l’inflation à la retraite ?

L’inflation est synonyme de l’augmentation générale des prix et donc de l’augmentation des charges, les retraités peuvent alors rencontrer des difficultés à maintenir leur niveau de vie. Qu’il s’agisse de payer les factures de sa résidence principale ou d’un bien locatif, les charges augmentent alors que la rémunération de l’épargne reste bien inférieure à l’inflation.

Par ailleurs, nombres de retraités possèdent d’importantes sommes d’argent sur des compte peu ou non-rémunérateur ce qui revient à s’appauvrir en période d’inflation. Pour contrer l’inflation et augmenter son pouvoir d’achat, il est recommandé d’investir son argent sur les placements qui suivent l’inflation, en effet, à la retraite il est judicieux d’inclure à son patrimoine des investissements peu volatiles, liés à l’inflation. Par exemple, des obligations indexées sur l’inflation ou encore de l’immobilier, comme les SCPI de rendement, particulièrement adaptées aux retraités, puisqu’elles n’engendrent pas de gestion et permettent de percevoir un complément de revenus récurrent sur leur compte en banque. 

Lorsqu’on établit une stratégie pour protéger son patrimoine de l’inflation, il est fondamental de diversifier ses investissements, en effet, trop nombreux, sont les retraités qui ont placé la majorité de leur épargne sur le fonds en euros des assureurs dont le rendement est pourtant très faible… Une répartition équilibrée offre une meilleure protection contre les fluctuations économiques. Enfin, pour lutter contre l’inflation à la retraite rien de vaut la création de revenus complémentaires. En effet, les retraités qui souffrent le moins de l’inflation, sont bien ceux qui possèdent plusieurs sources de revenus.

Comment investir son épargne en 2023 ?

En 2023, le proverbe « il faut vivre avec son temps » n’a jamais été aussi vrai, en effet, le temps est venu d’arbitrer son épargne pour protéger son patrimoine. Les placements tangibles et historiques comme les SCPI qui depuis 60 ans font leurs preuves et servent des rendements supérieurs à 6% sont alors à favoriser.

Les SCPI, Sociétés Civiles de Placement Immobilier, constituent effectivement une solution intéressantes puisqu’elle permettent d’investir collectivement dans l’immobilier sans gestion. Les retraités deviennent alors propriétaires d’actifs immobiliers diversifiés, puisque les parcs immobiliers peuvent être composés de murs de bureaux, de commerces, d’entrepôts logistique, ou de soins situés en France ou en Europe.

Investir son argent dans les SCPI offre plusieurs avantages. D’abord, le placement SCPI offre une forte mutualisation des risques car l’investissement est réparti sur une multitude de biens immobiliers et diverses zones géographiques. Ensuite, les propriétaires de parts bénéficient de la gestion de professionnels de l’immobilier qui s’occupent d’acquérir les biens et de la gestion locative. Un bol d’air frais pour les épargnants qui souhaitent profiter pleinement de leur retraite !

Les revenus générés par les SCPI sont directement versés sur le compte des investisseurs, ce qui leur permet d’accroître leur niveau de vie et de faire face à l’inflation croissance.

Voici quelques exemples d’arbitrages intéressants pour un retraité en 2023 :

  • Réaliser un rachat sur le fonds en euros de son assurance vie
  • Vendre un bien locatif dont la gestion est onéreuse et chronophage
  • Investir une part de l’argent qui dort sur des comptes courants

Finalement protéger son patrimoine et maintenir un niveau de vie stable n’est pas difficile, cela nécessite simplement de comprendre les mécanismes de l’inflation et de faire les bons choix pour son épargne afin d’optimiser ses revenus.

Comment réaliser un placement SCPI ?

Pour réaliser le meilleur investissement SCPI en 2023, oubliez votre banque et tournez-vous plutôt vers des spécialistes du placement comme La Centrale des SCPI, www.centraledesscpi.com,  la  plateforme met notamment à disposition des épargnants les classements SCPI régulièrement mis à jour, des guides et un la possibilité de souscrire en ligne ou par voie postale.

Son équipe de consultants se tient également à disposition des investisseurs pour sélectionner avec eux des SCPI performantes et complémentaires, selon leurs objectifs et leurs échéances. Un accompagnement personnalisé qui différencie La Centrale des SCPI des établissements bancaires dont les conseils sont souvent décevants, et permet aux retraités d’investir sereinement leur argent.

Exemple d’un investissement en SCPI :

Fin 2022, Madeleine et Jean-Pierre, un couple de retraités, ont contacté La Centrale des SCPI au 01 44 56 00 23, car ils ont réalisé un arbitrage de leur patrimoine pour investir en SCPI.

Détenteur d’un patrimoine de 600 000€, Madeleine et Jean-Pierre ont fait le choix de vendre un appartement locatif au prix de 150 000 € dont le rendement s’amenuisait du fait de nombreuses vacances locatives et de plusieurs travaux d’entretien. Le couple possédez également 100 000 € sur une assurance vie dont le rendement ne leur permettait pas de contrer l’inflation, ils ont donc réalisé un rachat de 30 000 € et ont également investi 25 000 € placés sur divers livrets bancaires.

Finalement Madeleine et Jean-Pierre ont investi 200 000 € dans un portefeuille de SCPI diversifié avec l’aide de leur consultant de La Centrale des SCPI. Ils perçoivent aujourd’hui un complément de revenus avoisinant 1000 € par mois. Un revenu qui permet au couple de faire face à la hausse des prix et d’assumer les dépenses liées à l’entretien de leur résidence principale.

Dans un contexte inflationniste, il est crucial de trouver des solutions d’investissement pour faire face aux défis du quotidien liés à l’inflation. Il est essentiel d’évaluer ses objectifs et de diversifier son patrimoine. Les SCPI dont la diversification intrinsèque est importante permet aux retraités d’accroitre leur patrimoine sans contraintes de gestion et de percevoir des revenus réguliers, le placement constitue donc une stratégie intéressante pour faire face à l’inflation à la retraite.

Avertissement

L’investissement dans une SCPI n’est pas garanti, tant du point de vue des dividendes perçus que de celui de la préservation du capital. Les SCPI dépendent en effet des fluctuations des marchés immobiliers.

Avant toute décision d’achat de parts de SCPI, faites-vous conseiller par un professionnel afin d’être certain(e) que ce placement correspond à votre profil patrimonial.

Enfin, comme tout investissement immobilier, tenez compte du fait que les SCPI sont des placements de long terme dont la durée de détention minimale ne saurait être inférieure à huit ans.