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« Dis Papet, c’est quoi des lotentiques ? » – Chronique estivale #1

Je faisais le ménage dans ma boîte aux lettres, une vingtaine de spams quotidiens dans la corbeille, lorsque tout à coup ce message retint mon attention : « Vous partez en vacances et personne ne peut arroser vos plantes pendant votre absence ? Apportez vos plantes dans votre magasin et nos vendeurs se chargeront de les arroser. »

Une belle campagne

Au milieu des « Save 30 cents !! » et autres « profitez de nos offres à -50% », comment faire en sorte que votre message promotionnel ne finisse pas à la corbeille ?

Il y a quelques années, une agence parisienne faisait une pub d’auto promotion, au gré des panneaux d’affichages bradés l’été : une belle photographie de paysage ; et en signature « au milieu de toutes ces réclames, cela fait du bien de voir une belle campagne ». Joli. Mais se distinguer par l’originalité suffit-il à être efficace ?

What does it do to me ?

Je suis sur-sollicité. Le client est sur-sollicité. Nous sommes sur-sollicités. Cela me rappelle mon éditrice. A chaque nouveau chapitre que je lui présentais pour relecture, elle commençait invariablement par la même question, « what does it do to me ? ». Ses yeux rieurs roulaient comme deux billes d’acier sur mon visage. Et plus d’une fois j’ai repris la plume, non sans un certain effort : « Ok, mettons nous à la place du client. Alors, what does it do to me ? ». Ajouter l’utile à l’original voilà donc une bonne façon de sortir du lot. M’apporter quelque chose d’unique. Et mieux, m’enchanter ou m’enlever une épine du pied…

Youtility

Vos plantes vertes sont entre de bonnes mains, vous allez pouvoir faire votre valise, acheter la crème solaire, et bien sûr quelques livres à bouquiner sur la plage. Je vous recommande un livre : YOUTILITY, de John Baer (1) « How to be genuinely and inherently useful ». Le livre tient sa promesse : comment repenser votre marketing (et peut être plus) pour être « authentique et utile ». 
La thèse : Smart marketing is about Help, not hype. Une forme de retour aux sources ?

Si vous avez l’humeur plus pastorale, vous pouvez aussi relire Pagnol. Relire la scène où Jean de Florette s’installe au pays. Mais cette fois-ci, lisez à la lumière du jeu concurrentiel actuel, du nouvel entrant qui va innover – Jean de Florette – et des acteurs installés – Ugollin et son Papet – qui entendent bien « continuer à faire comme on a fait tout le temps » !

Jean de Florette :
« Je ne m’intéresse plus qu’à ce qui est vrai, sincère, pur, large, en un seul mot, l’authentique. Je suis venu ici pour cultiver l’authentique. »
Ugolin se retournera, désemparé, vers l’ancien :
« Dis Papet, c’est quoi des lotentiques ? »
Le papet :
« ça doit être une plante qui pousse dans les livres »

Je vous souhaite un bel été !

(1) http://www.youtilitybook.com

Crise économique et reprise d’entreprise

Beaucoup de repreneurs, impactés par la crise actuelle, cèdent à la tentation, bien compréhensible, consistant à économiser sur les frais de conseil. Certes, dans le contexte actuel, la tentation est grande pour le repreneur de tenter une recherche de cibles par soi-même, de « rogner » sur les frais d’audits, ou d’engager les experts-comptables ou les avocats les moins-disant. C’est pourtant une très mauvaise idée : seuls les repreneurs ayant vraiment professionnalisé leur approche peuvent espérer aboutir dans leur projet d’acquisition, ce pour plusieurs raisons.

Le sourcing de dossiers :

La crise économique, les performances en baisse des entreprises et l’instabilité fiscale que nous avons connu ces derniers temps a encouragé un grand nombre de patrons de PME en âge de passer la main à reporter leur projet de cession, provoquant une raréfaction des affaires à reprendre (2 à 3 fois moins de dossiers que dans les « grandes années du LBO», 2005 / 2006/ 2007 !).

Comme le savent les repreneurs expérimentés, le sourcing constitue le nerf de la guerre de tout projet d’acquisition, et justifie largement de s’adjoindre les compétences de cabinets spécialistes en « chasse d’entreprises ».

Les négociations :

Elles se sont largement complexifiées (voir notre dernier ouvrage : « Reprise d’entreprise – Tout pour réussir votre négociation »). Les raisons sont connues : raréfaction des dossiers plaçant en position de force les cédants, arrivée massive de repreneurs sur le marché (multiplication des PSE), déséquilibrant encore plus le marché de l’offre et de la demande, avec pour corollaire, une augmentation des prix, augmentation des prétentions de certains cédants pour pallier à la surfiscalisation des transmissions, refus par les banques et les fonds d’investissement de dossiers survalorisés, volonté des cédants de vendre leur entreprise à des prix « d’avant-crise » malgré la baisse de résultats sur les dernières années, …

Là encore, les repreneurs on tout intérêt à se faire accompagner par des spécialistes de la négociation.

La levée de fonds :

Les choses ne sont pas simples là non plus. Les financeurs demandent généralement au repreneur d’apporter en fonds propres 30 à 40% (voire plus) du prix d’acquisition, les retraitements comptables (rémunération du dirigeant, frais divers, …) sont sujets à discussions, les excédents de trésorerie de la cible participant au montage financier du repreneur sont remis en question par les banquiers.

Plus que jamais, le repreneur peut bénéficier de l’expertise des spécialistes en recherche de financement.

Bien sûr, tous ces conseils coûtent de l’argent au repreneur, mais, tout compte fait, seuls les mauvais conseils sont chers. Les bons vous feront gagner de l’argent !

Pour conclure, choisissez bien vos conseils, mais abandonnez la pire des idées : celle du « repreneur DIY » (Do It Yourself).

Pour promouvoir l’entrepreneuriat en France

Du 7 octobre au 2 novembre 2013, Tvdesentrepreneurs.com organise le MOOC « Passeport pour Entreprendre », en partenariat avec Dynamique Entrepreneuriale.

Description du MOOC « Passeport pour Entreprendre »

Le MOOC « Passeport pour Entreprendre » est gratuit. Il est ouvert aux porteurs de projets de création, reprise, franchise, les enseignants et les étudiants.

Les modalités détaillées de l’organisation seront expliquées à partir du 9 septembre sur le site : www.passeportpourentreprendre.com

Les participants inscrits pourront ainsi avoir accès gratuitement à :
– 100 formations enregistrées en vidéo par des experts de l’entrepreneuriat et de l’entreprise
(avocats, experts comptables, notaires, banquiers, consultants, coachs, etc.) et diffusées en streaming sur www.tvdesentrepreneurs.com.
– Des exercices de validation de connaissances
– Des possibilités d’échanges entre les participants au MOOC sur des forums dédiés et sur les réseaux sociaux.

Calendrier 

– 09 septembre au 09 octobre : inscriptions
– 07 au 13 octobre : formations gratuites sur www.tvdesentrepreneurs.com
– 10 au 20 octobre : validation des connaissances et remise du « Passeport pour Entreprendre » aux lauréats
– 21 octobre au 02 novembre : rendez-vous avec les experts participant au MOOC.

Pour plus d’informations : www.passeportpourentreprendre.fr

Expatriez-vous pour faire du business à l’étranger !

Comment réussir son expatriation en créant sa société à l’étranger ? Un choix encore peu courant mais qui tente de plus en plus de Français. Si l’expatriation n’est pas réservée aux seuls salariés, l’aventure ne s’improvise pas !

Entreprendre loin de l’hexagone c’est possible sous certaines conditions et le phénomène prend de l’ampleur.

C’est un sujet qui devient d’actualité car de plus en plus de français jeunes et moins jeunes débarquent dans les pays étrangers pour y créer une entreprise. Ces nouveaux patrons globe-trotter ne quitte pas forcément la France par dépit. Ils ont une vision mondiale de leur business et ciblent l’endroit qui sera le plus adapté à leur nouvelle activité. Pour eux le potentiel de développement sera le principal critère de choix.

Partir à l’étranger ne s’improvise pas. Sur la check list du créateur d’entreprise à l’étranger de nombreux points sont à vérifier : la forme juridique de la société, partenariat local, l’étude de marché, la protection social de l’entrepreneur, le recrutement des salariés…Sans oublier tous les aspects financiers. A quels impôts mon entreprise est –elle assujettie localement ? Comment transférer son investissement ? En cas d’échec, comment rapatrier mes capitaux en France ? A anticiper aussi les conditions de création d’une entreprise. Selon une étude de IFC/OCDE cela prendrait 120 jours en moyenne au Brésil contre une seule journée en Nouvelle-Zélande et 3 jours à Singapour.

Voici une sélection des meilleures sources d’informations pour préparer votre projet.

Quel pays choisir ?

Vous trouverez sur le site d’Ubifrance des analyses de marché par pays, ainsi que de la documentation sur l’environnement réglementaire par secteur et par pays. Il sera possible de demander à l’organisme public une étude de marché. Reste le choix délicat de la ville pour des grandes nations. Le réseau des conseillers du commerce extérieur, composé de cadres dirigeants installés sur place, peut vous aider à faire le bon choix. Aux Etats Unis par exemple, Washington sera préférable à New-York pour se développer sur la côte Est. Vous pouvez aussi utiliser les réseaux sociaux professionnels : Viadéo, Linkedin, Xing et le petit dernier Beeleev qui pourront vous connecter avec des pro qui vous informeront sur le marché local. Mais le mieux reste de se rendre sur place et de prendre le pouls de la vie, de la ville des coutumes locales.

Comment trouver un partenaire local ?

La question du partenariat local sera cruciale. Dans certains pays (Inde, Brésil, Arabie Saoudite…) c’est même un passage obligé. Pour trouver la perle rare, la chambre française de Commerce et d’Industrie du pays visé peut vous mettre en contact avec des dirigeants ou des professionnels locaux. Vous pouvez contacter les bureaux d’Ubifrance (ex-missions économiques) implantés dans la ville que vous aurez choisis. Leurs experts pourront vous orienter dans votre recherche ou vous organiser sur place des rencontres BtoB à l’occasion d’un salon professionnel.

Quel sera mon statut fiscal, comment assurer ma protection sociale ?

La Maison des Français de l’Etranger (MFE) qui dépend du Ministère des Affaires Etrangères pourra vous aider à y voir plus clair dans ces domaines et à effectuer toutes les démarches administratives. Pour le chef d’entreprise, se posera la question du transfert de son investissement et en cas d’échec comment le rapatrier ? La MFE peut aussi vous fournir des informations sur le marché du travail local si vous avez l’intention de recruter.

Témoignage de Grégory C, créateur expatrié à Singapour

Selon cet entrepreneur de 28 ans la ville-Etat est la base idéale pour développer son business en Asie du Sud-Est.

En quelques heures, en quelques clics et pour 130 euros on peut créer une entreprise à Singapour. Pour Grégory C la réputation du micro Etat asiatique comme l’endroit au monde où il est le plus facile d’entreprendre n’est pas usurpé. Avec un ancien camarade de promo de l’Essec il a lancé en octobre 2010 un site d’achats groupés. Deux ans plus tard, la startup réalise un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros avec 80 salariés.

La facilité d’entreprendre n’est pas la seule raison qui l’a poussé à choisir la « Suisse asiatique ». Ce paradis de la finance internationale regorge de Business Angels prêts à investir dans des secteurs d’avenir comme le e-commerce. Depuis sa création, Asia Deal Group a levé 3 millions de dollars US, notamment auprès de Singapouriens aisés. Une partie de cette manne a servi à monter un bureau de développement informatique au Sri Lanka. Dans le cas d’une activité grand public, Singapour a aussi l’avantage d’être un marché « mature » avec une population à fort pouvoir d’achat, concentrée sur un territoire peu étendu.

La grande limite à prendre en compte : cet Etat mouchoir de poche ne rassemble que 5 millions d’habitants. Son potentiel est donc relativement réduit. Il faut appréhender Singapour comme une plateforme test d’où on partirait pour se développer dans les pays asiatique voisins indique l’entrepreneur. Après avoir validé le concept auprès de clients singapouriens, il s’est lancé en Thailande, au Vietnam, en Malaisie il vient d’aborder l’Indonésie. Dans ces pays, les réglementations y sont plus rigides et plus complexes que dans la très libérale Cité-Etat. Mais il est plus facile de contourner ces obstacles en étant basé à Singapour que depuis un lointain bureau parisien.

PROJET CASH : PME prenez votre destin en main

Tout le monde aujourd’hui se plaint de l’absence de cash, en particulier court terme pour financer l’activité. Hors, tout le monde sait qu’il est indispensable à la survie des entreprises. Dans cette recherche de cash, les sociétés font souvent appel à des sources externes.

Voici les principales sources externes :

  • Les banques : on constate le resserrement du crédit, en particulier court terme. Ceci constitue une nouvelle donne de notre économie. La mise en place de Bâle 3, impose des contraintes supplémentaires aux banques qui réduisent fortement les lignes de trésorerie court terme (hors affacturage). Les PME sont souvent démunies et ne sont pas vraiment en position pour négocier avec leurs banques. 
  • La bourse des PME : lancé le 23 mai dernier, EnterNext représente un pas important mais les moyens qui lui sont alloués restent largement insuffisants pour répondre aux besoins des PME.
  • Les investisseurs restent une possibilité, mais ils imposent des contraintes de rentabilité que beaucoup de PME ne remplissent pas, de plus, cela nécessite l’ouverture du capital, ce que beaucoup de dirigeants ne souhaitent pas.
  • Le « love money » : c’est un mode de financement dont on parle de plus en plus, mais cela reste encore relativement confidentiel. C’est souvent pour des montants faibles. Toutefois cela existe et sera, sans doute, appelé à se développer. Les PME peuvent y faire appel.

Le constat est simple sur le financement court terme, les possibilités aujourd’hui sont réduites. Elles seront d’autant plus grandes que vous pourrez montrer que votre société est bien gérée, qu’elle a des projets et qu’elle a déjà travaillé sur son cash.

La solution interne

Si l’argent est difficile à trouver en externe, il reste l’interne : le cash qui dort dans votre société, ou celui qui ne tourne pas assez vite. Beaucoup de dirigeants de PME sont persuadés d’avoir déjà fait tout ce qu’ils pouvaient en matière de cash notamment en ayant renforcé leur relance client. L’expérience montre que cela est très loin d’être vrai dans la plupart des cas. A titre d’exemple, vous êtes vous posé la question du temps qu’il se passe entre la prise de commande et la livraison. Tout ce temps c’est de l’argent immobilisé. Si vous arrivez à le réduire vous aurez un double impact : votre cash rentrera plus vite parce que vous accélérez votre facturation. Votre entreprise pourra satisfaire les clients plus rapidement et utiliser cela comme un argument de vente.

Mettez en place un Projet Cash au sein de votre entreprise. L’objectif est d’arrêter de raisonner en fonction du résultat, pour centrer vos actions en les basant sur le cash. Attention, nous ne parlons pas ici du cash court terme. Il ne s’agit pas, par exemple, de supprimer le service Recherche pour gagner du cash immédiatement en tuant l’entreprise demain. L’optimisation recherchée du cash doit être pérenne. Ainsi votre relance client n’est pas qu’un simple outil pour faire rentrer le cash plus vite. Cela devient un outil qualité car l’objectif est de comprendre pourquoi le client ne règle pas. Si c’est un mauvais payeur, il faut travailler autrement avec lui ou ne plus travailler avec lui. S’il y a un litige, il faut le comprendre, le résoudre et prendre en interne les mesures qui éviteront que cela se reproduise. Il s’agit bien ici d’une amélioration du cash sur le long terme.

La réussite du projet cash passe par deux éléments clés :

  • Mettre le client au centre : votre source de cash au sein de l’entreprise c’est le règlement des clients. Si vous voulez plus de cash il faut que les clients vous règlent plus rapidement et / ou qu’ils vous règlent plus (plus de vente, ou de meilleures marges). L’activité de la société doit entièrement être tournée vers cet objectif, ce qui implique par exemple de réduire les cycles de production, de diminuer le nombre des litiges et de les régler plus vite, de ne pas conserver des stocks que le client n’achètera pas, de travailler avec vos fournisseurs pour qu’ils vous aident dans la réalisation de vos objectifs …
  • Décloisonner l’entreprise : le cash dans votre société n’est pas pour partie au commercial, pour une autre à la production ou à la finance. Non, le cash circule dans l’entreprise. Si vous voulez accélérer les flux, il faut que vos équipes se parlent. Les litiges clients concernent aussi bien les commerciaux que la finance, ou la production. Si le litige n’est pas résolu, l’argent ne rentre pas (problème de la finance), le commercial en entendra parler lors de sa prochaine visite client …etc.

Le projet cash est l’unique source de cash que vous maîtrisez en tant qu’entreprise. Il passe par une évolution forte de la culture d’entreprise avec la remise du client au centre de toutes les actions et le décloisonnement des services. L’amélioration du cash aura immanquablement un impact positif sur le résultat, car elle vous oblige à produire plus vite, mieux et en tenant compte de ce que veut vraiment le client.

Le Projet Cash vous permet de prendre votre destin en main, en renforçant votre indépendance financière. Si malgré cela vous avez encore besoin de cash externe vous serez dans une position beaucoup plus favorable pour obtenir du financement des tiers.

Développez votre visibilité sur LinkedIn

Le premier volet consacré à la mise en valeur de votre profil sur LinkedIn, détaillait les étapes à soigner pour utiliser de façon optimale ce réseau. Vous avez ainsi pu optimiser votre profil et votre utilisation de LinkedIn. Intéressons nous dans cette deuxième partie aux invitations de contacts, à la création de groupe ou à votre participation au sein des discussions. Pour terminer, nous nous intéresserons dans le 3ème volet à la création de votre page entreprise. Dans le but, encore et toujours, de soigner votre image, votre e-réputation et votre personal branding, afin de gagner en notoriété et augmenter votre visibilité sur LinkedIn.

Invitation de contacts

Définition : « Un réseau social est un ensemble d’entités (personnes, groupes ou institutions) qui échangent entre eux par des liens forts ou faibles créés et vécus lors des interactions sociales. Il se manifeste par des relations entre personnes dans le cadre :

  • de relations de proximité, d’amitié, de collaboration professionnelle ou scientifique […] etc.
  • de relations accessibles et mises en œuvre via Internet, souvent qualifiées de Réseautage social. »

(source : http://fr.wikipedia.org)

Afin d’échanger avec d’autres professionnels, la première étape consiste à créer et étoffer votre réseau, en invitant ou en acceptant les invitations d’autres personnes.

Quelques conseils :

  • Utilisez le moteur de recherche pour trouver des contacts par nom, métier, zone géographique, nom d’entreprise… dans la recherche basique ou avancée.
  • Personnalisez votre demande de contact. Facilitez l’approbation de la personne que vous sollicitez en lui remémorant dans quelles circonstances vous vous êtes rencontrés par exemple, ou quelle connaissance commune vous lie, une passion ou un intérêt commun… N’hésitez pas à indiquer tout élément qui permettra à votre interlocuteur de vous situer dans son réseau et d’accepter votre demande.

Rien de plus impersonnel qu’une invitation neutre, modèle intégré identique pour tous, paramétré automatiquement par Linkedin qui ne donne pas d’indice sur vos intentions, vos motivations et votre envie réelle de vous connecter au destinataire.

– Lorsque vos contacts acceptent votre demande de mise en relation sur Linekdin, il est intéressant de « gérer » les étiquettes ensuite (secteurs, entreprises, lieux ou activité récente…) dans le carnet d’adresses, ce qui permet ensuite de faciliter les recherches ou de segmenter vos envois.

Participation aux discussions de groupes

Pourquoi rejoindre un groupe ?

Les groupes permettent d’échanger avec vos pairs ou futurs clients bien sûr, mais également de montrer votre expertise, d’effectuer une veille, et d’augmenter votre visibilité.

Vous pouvez trouver un groupe existant via le moteur de recherche intégré, il suffit de sélectionner « groupes » dans le menu déroulant à coté de la recherche. Lors du choix d’un groupe, intéressez-vous au nombre de membres, à l’activité générale du groupe, y compris aux statistiques.

Une fois le groupe trouvé, vous pouvez « rejoindre le groupe » s’il est public ou demander à y être accepté s’il est privé.

Astuces

Présentez vous, cela vous donnera une visibilité supplémentaire. Lire et commenter, aimer ou partager les publications sont les différents choix qui s’offrent à vous.

Plus les échanges qui suivront seront riches et pertinents, plus votre profil gagnera en notoriété, et vous pourrez assoir une réputation d’expert dans votre domaine. Attention aux messages promotionnels, une catégorie est prévue à cet effet.

Evitez de dupliquer un contenu identique sur tous vos groupes, cela est assimilé à du spam et est généralement mal perçu.

Si vous partagez un article, un lien, annotez ou commentez-le, donnez votre avis ou soulignez sa pertinence.

Création de groupe

Pourquoi créer un groupe ?

Si vous souhaitez échanger avec une liste définie de personnes, il est intéressant de créer un groupe, celui-ci sera alors généralement privé.

Si le sujet qui vous motive n’existe pas encore, là encore, profitez-en pour créer votre groupe, vous aurez l’avantage de la primauté.

Faites vivre votre groupe, lancez des discussions, commentez celles des autres membres, modérez les demandes d’adhésions, les commentaires et les posts…

Pensez à rédiger les règles du groupe pour une meilleure interactivité.

Et ensuite ?

Comme tout réseau social (physique et/ou virtuel), il se nourrit d’échanges et de partages. Votre profil, vos groupes, vos contacts méritent une attention régulière. Oui, cette activité peut se révéler chronophage dans un premier temps. N’oubliez pas, les retombées seront à la hauteur du temps et de l’implication que vous y consacrerez.

Acheter des followers sur twitter : c’est mal, docteur ? (Episode 2)

Vous venez d’ouvrir un compte sur Twitter et la frustration vous gagne car, malgré vos efforts, personne (ou presque) ne vous suit …

C’est alors qu’une publicité vous tape dans l’oeil (#révélation)…

Et que vous dit cette publicité? “Achetez des Followers Humains sur Twitter !

Dans un premier temps, vous froncez les sourcils (#perplexité) en pensant que forcément, vous cherchez des Followers Humains et pas des Tamagotchi ou des Nintendogs.

Vous continuez à lire (#pitch) : “1,000 Followers pour 40€ : Impressionnez vos amis, communiquez à l’échelle planétaire”

Après réflexion, même si vous ne doutez pas que vos tweets (#gazouillis) sont susceptibles d’intéresser plusieurs millions de personnes, “communiquer à l’échelle planétaire” vous semble un poil ambitieux.

En revanche, “impressionnez vos amis”, c’est un concept franchement tentant !

Bon, pas forcément les amis, mais vous pensez tout de suite au type du marketing Steeve, celui qui frime avec son dernier Samsung Galaxy S4 (“Tu as vu la taille de l’écran 5 pouces, une puissance de 2600 mAh pour la batterie, compatible 4G, 13 Megapixels pour l’appareil photo!”), alors que vous vous trainez avec un iPhone 3GS depuis 2 ans dont vous avez cassé la vitre il y a belle lurette (vous n’aviez pas l’assurance anti-bris, bien sûr, et vous devez attendre 11 mois la fin de votre abonnement!).

Bref, “1,000 Followers” permettrait de se venger un peu, même si une vengeance à 40€, c’est un peu cher payé.

Vous sortez la carte bleue, vous payez (#fébrilité), vous retournez sur www.twitter.com et vous vous postez devant votre écran (#attente), en attendant le Graal !

Au bout de 5 min, vous passez de 4 Followers à … 3 Followers, puisque Steeve (du Marketing) vient de vous #unfollow.

Vous regardez nerveusement votre Carte bleue, en espérant qu’elle s’excuse (#sorry) … mais elle reste muette.

Au bout de 40 mn, au moment où vous vous dites qu’avec 40€, vous auriez pu 
– acheter l’intégrale de la Saison VI de Kaamelott;
– une cafetière Nespresso en solde au Bon Coin;
– prendre un café (sans sucres) au Café Costes

… vous constatez que çà marche (#Eureka): les Followers arrivent d’abord par dizaines, puis par centaines, jusqu`à atteindre le chiffre de … 1,003 Followers (entre temps, votre soeur Camille, qui vous avait suivi, dans un premier temps, vous a laissé tomber).

Devant tant de succès, vous êtes sur le point de pleurer, quand tout à coup …

(à suivre ! …)

Innovation responsable : 2 dispositifs à connaître !

Plusieurs aides ont été mises en place en Ile de France, afin d’encourager les entreprises à innover de façon responsable. C’est ainsi le cas de l’Aide à l’Innovation Responsable et du dispositif C2D – Opération compétitivité et développement durable en Ile-de-France.

L’aide à l’innovation Responsable :

Les objectifs de ce dispositif sont nombreux :

  • Encourager l’éco-innovation
  • Soutenir les PME innovantes qui fondent leur modèle de développement sur des innovations responsables 
  • Favoriser la création d’entreprises innovantes – Financer les nouveaux projets d’innovation en Ile-de-France 
  • Faire de l’Ile-de-France la première écorégion européenne. 

Peuvent être éligibles à ce dispositif tous types d’innovation :

  • Services
  • process
  • organisationnels
  • design
  • produits

Le montant de la subvention est limité à 80 000 €.

Les projets sélectionnés devront remplir des critères rigoureux en matière environnementale, sociale et éthique :

  • bilan carbone,
  • bilan énergétique,
  • rejet dans le milieu naturel,
  • biodiversité,
  • cohésion sociale,
  • équité économique,
  • etc. ;

Le dispositif C2D – Opération compétitivité et développement durable en Ile-de-France

L’objectif de ce dispositif est d’accompagner l’intervention des entreprises sur leur site, leurs process ou leurs produits (écoconception) pour :

  • maîtriser leur impact environnemental dès la source (eau, air, déchets, etc.), 
  • optimiser leur consommation énergétique,
  • recourir à des écotechnologies (implantation de lignes de traitement, procédés de dégraissage alternatifs, substitution des produits toxiques, etc.).

L’opération comprend un accompagnement individuel et un accompagnement collectif.

ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL :

  • Étape 1 : identification du ou des impact(s) prioritaire(s) à traiter (effluents, COV, déchets, énergie, etc.): enquête et diagnostic, réalisation d’un bilan d’impact (deux jours) ;
  • Étape 2 : élaboration du plan d’action : définition des actions à mettre en œuvre, planification, évaluation économique et réalisation d’un plan d’action technico-économique (8 jours) ;
  • Étape 3 : mise en œuvre du plan d’action : assistance à maîtrise d’ouvrage : conseil, expertise et réalisation d’un rapport de projet pour le ou les impact(s) environnemental(aux) retenu(s)(5 jours par projet).

ACCOMPAGNEMENT COLLECTIF :

  • Séminaire de mise en commun d’une demi journée : recueil et hiérarchisation des besoins des entreprises en termes d’information (récupération de chaleur, REACH, usinage à sec, peinture, air comprimé, etc.) ;
  • Ateliers thématiques d’une demi-journée : échanges et partage d’expériences sur les sujets identifiés en séminaire ;
  • Bilan : réunion de fin de parcours et retours d’expériences.

L’action s’adresse prioritairement aux PMI implantées en Ile-de-France ayant un outil de production notamment à celles des filières automobile, aéronautique et spatial, caoutchouc et polymères, mécanique….

Ce dispositif prend en charge une partie du financement de l’étape 2 et 3 de l’accompagnement individuel.

L’étape 1 et l’accompagnement collectifs sont gratuits.

Ce dispositif est accordé dans le respect du régime européen d’exemption par catégorie « de minimis » qui limite à 200 000 € sur 3 exercices consécutifs le montant total d’aides publiques accordé par entreprise.

Trois conseils pour vendre, concevoir et innover

J’ai récemment fait la connaissance de Denis Brulé, co-fondateur de Moodstocks. Nous nous sommes croisés au festival Futur en Seine dans lequel ma société, Melusyn, était présente et nous avons discuté du rôle éminent du vendeur pour affiner le produit. J’en ressors trois points cardinaux dans le triptyque vente-produit-innovation.

1. Vendre tôt pour concevoir le produit plus rapidement

Au démarrage d’un nouveau produit, les managers et innovateurs sont confrontés à une question essentielle : quelles fonctionnalités ? Et dans quel ordre ? En effet, on ne peut pas tout sortir en même temps et il est bon d’identifier par quel bout commencer. Il apparaît un point essentiel : il faut vendre tôt pour comprendre vite ce qu’il faut concevoir. Il ne faut pas hésiter à prendre son produit en V0 et à commencer à le vendre. Sans cesse. J’ai eu l’occasion de le remarquer moi-même, c’est lorsque l’on donne un prix et que l’on accomplit un acte de vente que le prospect, « dos au mur » pour ainsi dire, commence à vous livrer les fonctionnalités clef qu’il n’a pas encore vues dans votre première itération produit.

Il est donc nécessaire de vendre pour faire le produit. Du coup, le chef de produit-vendeur est face à au fameux dilemme de la poule et de l’œuf : quoi vendre et quand commencer la vente ? Un conseil : rompez ce cycle sans débouché et commencez à vendre au plus tôt. Récoltez des « non » et affinez votre produit sur ces « non ».

2. No free meal

Nous l’avons vu, c’est la vente qui vous permettra de faire le produit. Aussi, la pire des choses est de proposer votre produit en version d’essai gratuite. C’est donc mon second conseil : pas de gratuit en phase de conception. C’est une erreur que nous avons faite chez Melusyn : nous avons proposé des tests gratuits, ce qui a ralenti notre conception du produit car les prospects étaient alors trop relax pour nous donner des insights pertinents. Pas de gratuit au démarrage : vendez ! Mais… à quel prix ? En effet, si la vente vous donnera les fonctionnalités à placer dans votre roadmap et dans quel ordre, quid du prix de votre MVP, sans les fonctionnalités encore attendues ?

Ici, mon conseil est le suivant :

A. Fixez un prix pour votre version « idéale ». Ce prix doit bien sûr prendre en compte les tarifs pratiqués par la concurrence, ainsi que la valeur générée. C’est votre prix « business plan », celui du produit en phase de scaling lorsque vous serez sortis du mode start-up pour entrer dans la vente d’un produit finalisé en V1.C’est bien ce prix-là que vous proposerez d’abord à vos prospects, pour déclencher le « non ».

B. Puis, une fois ses retours UX et fonctionnalités pris en compte, proposez du coup un discount. Identifiez à combien de pourcentage vous êtes du produit fini. Si vous estimez être à 50%, alors divisez votre prix par deux et vendez à ce tarif-là. Si vous êtes à 75%, réduisez-le de 25%, etc. Si votre client vous demande quand arrivent les nouvelles fonctionnalités qui lui sont nécessaires, soyez direct en lui précisant qu’il y aura bien de nouvelles fonctionnalités et qu’elles augmenteront par conséquent le prix de votre solution.

C. Vendez à ce prix discounté afin d’obtenir du cash.

3. 70% de vos efforts sur les clients, 30% sur les prospects

Chez Melusyn et comme vu précédemment, nous vendons notre produit au prix « juste », c’est-à-dire au prix discounté prenant en compte les fonctionnalités qui n’ont pas encore été développées. Nous proposons ensuite à nos premiers clients un discount « early-bird » sur les fonctionnalités à venir, afin d’encourager nos premiers utilisateurs à adopter notre plateforme. Ils sont ainsi gagnants : ils nous adoptent tôt mais récoltent des bénéfices par la suite grâce à des fonctionnalités supplémentaires à prix préférentiel.

S’il est interdit de faire du gratuit, il est en effet possible – voire conseillé – de proposer des offres à vos premiers clients. Ils doivent être choyés et sortir gagnants de cette relation et de la confiance qu’ils vous ont accordée.

Pour résumer, voici les principaux conseils de ce triptyque vente-produit-innovation :

  • Ventre pendant la conception produit et non « après » ; il n’y a en fait pas d’après, si vous n’avez pas vendu en phase de conception il y a de fortes chances que votre produit ne soit pas bon à la sortie
  • Pas d’offre gratuite : le client doit payer quelque-chose ; il doit au moins enregistrer sa carte bancaire sur une offre « satisfait ou remboursé ».
  • Proposez d’abord un prix complet pour écouter les vrais besoins de vos prospects puis offrez un prix juste, discounté, pour en faire des clients heureux.
  • Travaillez à fond avec vos clients pour les fonctionnalités suivantes : demandez leur avis, jouez la carte de la proximité, développez le produit avec eux sans perdre votre direction.

Article par Denis Brulé

Informatique : convergence des solutions grand public et professionnelles

Le mot convergence est utilisé depuis longtemps dans le monde des réseaux : convergence filaire et sans fil, convergence voix et données… Je vous propose d’analyser aujourd’hui une convergence qui aura un impact majeur sur l’informatique des entreprises : la convergence des solutions grand public et professionnelles.

L’informatique grand public a pris le pouvoir

Comment ont évolué les solutions grand public et professionnelles sur la période 1990 — 2015 ?

  • Avant 1995, l’entreprise était mieux équipée que le grand public en PC, messagerie….
  • A partir de l’année 2000, l’essentiel des innovations est né dans le grand public (smartphones, tablettes, Webmail…)
  • Les entreprises ne pourront plus jamais rattraper ce retard ; elles ont maintenant deux options :
  • Maintenir un délai court, de l’ordre de 18 mois à 3 ans : ceci offre l’avantage de profiter de solutions qui ont déjà été testées et éprouvées dans le grand public.
  • Laisser ce retard ce creuser ; c’est dangereux, car elles peuvent rapidement devenir des entreprises à l’image ringarde où plus personne n’aura envie d’aller travailler.

Des solutions grand public… meilleures que les solutions professionnelles

Cette inversion des priorités a eu comme principale conséquence que… les solutions grand public sont maintenant bien meilleures que les solutions professionnelles.

La convergence des familles de solutions amène aux solutions professionnelles tous les avantages des solutions grand public :

  • Ergonomie et facilité d’usage : les 450 millions d’utilisateurs de gMail n’ont aucun numéro de téléphone «hot line» à leur disposition et s’en sortent très bien !
  • Performance et fiabilité : Le taux de disponibilité des réseaux ADSL, des box Internet, des Webmail, des réseaux 3G est très élevé. La capacité des boîtes mail (10Go+) ou des stockages Web, Box, Dropbox ou Gdrive est souvent supérieure à celle dont disposent les mêmes personnes dans leurs activités professionnelles.
  • Coûts zéro ou très bas : que ce soit en version gratuite ou premium, les outils grands publics sont toujours moins chers que leurs équivalents professionnels.
  • Disponibilité sur la majorité des objets mobiles, smartphones, tablettes ou PC portables, indépendamment des OS et des versions.

Cette situation perturbe beaucoup les fournisseurs historiques qui tiennent encore un discours du genre : « prenez la version professionnelle, elle est plus chère (c’est toujours vrai !), et plus fiable (c’est faux !) que la version grand public.

Il y a heureusement de plus en plus d’informaticiens qui ont compris cette mutation du marché et tiennent le raisonnement suivant :
«Chaque fois que je pourrai mettre en œuvre dans le monde professionnel une solution cousine germaine d’une solution grand public, je le ferai, car c’est toujours la meilleure solution».

Les exemples en sont très nombreux :

  • Les tablettes Android ou iOS face aux tablettes Surface Pro de Microsoft.
  • Google Apps, version professionnelle de Gmail, plus fiable, plus ergonomique et beaucoup moins chère que les antiquités Exchange ou Notes.
  • Les versions pros de Box ou DropBox.
  • Typepad pour les blogs.

Spécificités du monde professionnel

Cette convergence ne veut bien sur pas dire que toutes les solutions d’entreprise viendront du grand public. De même qu’il existe des camions, autobus ou tracteurs à côté des voitures particulières, il existe des dizaines d’applications professionnelles qui n’ont pas leurs équivalents dans le grand public : CRM, gestion des ressources humaines, applications cœur métier…

Par contre il est urgent que ces applications professionnelles se calquent sur les applications grand public en termes :

D’ergonomie : je ne vois pas pourquoi les clients internes seraient condamnés à utiliser des applications moches et difficiles à maîtriser. La prochaine fois que vous irez dans un magasin Darty, FNAC ou autre Conforama, regardez ce qu’il y a sur l’écran de la personne qui prend votre commande ; vous serez édifié !

D’accès depuis tout poste de travail, PC, Mac, tablette ou smartphone : la tyrannie des applications «réservées» aux PC Wintel doit cesser.

De coût : les solutions SaaS, Software as a Service, ont montré le chemin et proposent des applications professionnelles de très haute qualité, très fiables et à des prix raisonnables.

Résumé : Fan des solutions grand public, demain tu seras

Dans le domaine des usages, cette convergence est bien avancée pour la participatique, tous les usages universels tels que messagerie, chat, blogs, bureautique, wikis et réseaux sociaux.

Il reste un double grand chantier pour les responsables informatiques :

  • Confier à des applications SaaS, aux qualités très «grand public», tous les usages supports.
  • Transformer leurs applications cœur métier, pour lesquels il n’existe pas de solutions SaaS, en applications aussi sympathiques et simples d’usage que les applications grand public.

Cela devrait les occuper quelques années…