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Pourquoi utiliser de la vidéo pour communiquer sur Internet ?

Il y a quelques années, on disait « tout le monde veut avoir son site Internet ». Aujourd’hui, on pourrait dire que « tout le monde veut sa vidéo » ! Tout comme une carte de visite papier ou un site Internet, une vidéo peut-être un outil puissant de communication pour votre entreprise si elle est bien pensée. Confucius disait « Une image vaut mieux que mille mots ». Aujourd’hui, je dirais qu’une vidéo vaut mieux qu’un dossier de 60 pages ! 

Les avantages de la vidéo

La vidéo a ses avantages : elle permet de transmettre un message rapidement et de se positionner vis-à-vis de sa cible et de ses concurrents. D’un point de vue statistique en France, 1 internaute sur 4 partage des vidéos sur des blogs ou sur les réseaux sociaux. Comme les photos, les internautes consomment énormément de vidéo et les réseaux sociaux sont un des meilleurs vecteurs de communication sur le web actuellement.

Mais attention ! Il ne faut pas faire de la vidéo pour faire de la vidéo. Il faut que celle-ci ait un but précis et qu’elle s’inscrive dans votre stratégie globale de communication. 

La vidéo : un outil de stratégie de communication globale

Tout le monde s’accorde aujourd’hui pour dire que chaque internaute est noyé dans vingt mille types de contenu différent. Il est donc important de sortir son épingle du jeu lorsque l’on cherche à communiquer sur Internet. Avec la prédominance des outils Google (Moteur de recherche, Gmail, Google+, etc.) et depuis que ce dernier a racheté YouTube en 2006, la vidéo est devenu un média qui est de plus en plus pris en compte dans les requêtes. La preuve en est, les publicités Google AdWords for video sur YouTube qui vous encourage à faire de la vidéo depuis le début de l’année. 

Mais la vidéo ne fait pas tout, tout comme sur un site Internet, le titre puis la description de la vidéo et son contenu participent à un bon référencement web. Attention néanmoins à bien penser ses mots clés et sa vidéo car le bad buzz guette et l’on peut vite devenir la risée du web. Privilégiez ainsi des petites pastilles vidéo ou découpez une séquence en plusieurs parties. Vous aurez plus de chance de conserver l’attention de l’internaute.

La vidéo est un contenu roi

La vidéo est devenue un outil fondamental pour une communication réussie sur Internet. Il suffit de regarder ce qui fait le buzz sur Internet : c’est elle ! De plus, la démocratisation du matériel permet maintenant de réaliser à moindre coût un film pour son entreprise, ses services ou ses produits. Il est pertinent par exemple de formaliser un métier méconnu ou mal compris par une vidéo pour communiquer auprès de ses clients ou de ses partenaires. Et n’oubliez pas, une vidéo de quelques minutes peut aisément remplacer un dossier de 60 pages. C’est pourquoi, pour le confort de vos clients et la conquête de nouveau marché, l’outil vidéo devient indispensable !

8 exemples concrets de Content Marketing pour TPE et PME

Le content marketing (ou marketing de contenu) consiste à offrir des contenus de qualité pour attirer les prospects et les convertir en clients. Il a aussi pour but de fidéliser la clientèle existante et renforcer l’image de l’entreprise.

On peut penser à tort que le content marketing ne concerne que les grandes entreprises mais c’est un atout de taille pour les TPE et PME. Même à petite échelle, le content marketing apporte des retours très intéressants : augmentation du trafic et des leads, amélioration du positionnement sur les moteurs de recherche, création d’une relation de confiance… C’est le moyen idéal pour se différentier.

Vous êtes dans une petite entreprise ? Voici 7 exemples concrets de marketing de contenu pour s’y mettre dès maintenant !

Article de blog

Où : Sur le blog de votre site web (si possible) ou sur des plateformes comme Tumblr
Que faire : Très vaste, parlez de votre secteur d’activité, des actualités/nouveautés, des conseils, etc.

Etude de cas

Où : Sur votre site web/blog ou sur des plateformes comme Behance
Que faire : Vous travaillez sur des projets ? Expliquez les différentes étapes d’un projet réel, détaillez votre façon de travailler et montrez le résultat final.

Tutoriels / exercices

Où : YouTube, site web, blog, etc.
Que faire : Vos clients doivent acquérir une compétence particulière ? Formez-les ! Rien ne vaut une bonne vidéo explicative pour bien les former et montrer que l’expert, c’est vous.

Guest posts (billets d’invité)

Où : Sur les blogs influents de votre secteurs d’activité
Que faire : Contacter les bloggeurs pour leur proposer d’écrire un article sur leur blog en échange d’une brève présentation de vous (ou votre entreprise) et d’un lien retour. Rédigez ensuite un bel article comme si c’était votre blog.

Pitch / Conférences physiques

Où : Où vous pouvez. Une présentation dans vos bureaux est valable.
Que faire : Faire une présentation sur un sujet attractif. Filmez-vous et postez la vidéo sur YouTube et votre PowerPoint sur Slideshare.

Galerie Photo / vidéo

Où : Sur votre site, sur Flickr, sur Instagram, Facebook, etc.
Que faire : Si vous avez quelque chose de visuel à présenter, faites-le sous forme d’album photo et partagez-le.

Créer un guide ou une liste 

Où : Sur votre blog, réseaux sociaux, etc.
Que faire : Votre expertise vous permet peut être de lister des éléments dans votre secteur : produits, prestataires, logiciels, techniques,etc. Vous avez du temps ? Faites un guide consultable en ligne ou à télécharger.

Portfolio / Réalisations

Où : Sur votre site, sur des plateformes spécialisées comme Fubiz ou Dribbble
Que faire : Si vous êtes dans un domaine créatif, vous pouvez exposer vos réalisations et les commenter pour vous faire connaître.

Comment trouver la bonne thématique ?

De quoi allez-vous parler ? Le contenu que vous allez créer doit être intéressant et utile pour vos prospects/clients. Même dans un secteur dont on ne parle pas beaucoup à priori, on peut toujours trouver des sujets. Posez-vous la question : Qu’est ce qui intéresse mes clients ?

Un magasin de football peut par exemple faire une liste des terrains de foot à louer dans la région ou annoncer des évènements concernant ce sport. On remarquera aussi le blog Vélib (vélos en libre-service à Paris) qui, plutôt que de nous parler de la mécanique de ses bicyclettes, nous présente les coins insolites de la capitale que l’on peut visiter en Vélib.

Loin de la publicité, ce contenu doit offrir une réelle valeur ajoutée et une information d’un point de vue neutre et non-orienté. Soignez votre rédaction et préférez les contenus visuels et agréables, vous abordez peut être les lecteurs dans leur temps libre.

Dernière chose : Une fois le contenu publié, donnez-lui un coup de pouce en le partageant sur les réseaux sociaux !

Les PCA sont-ils vraiment efficaces ?

Au-delà des contraintes règlementaires, la mise en place d’un Plan de Continuité d’Activité (PCA) répond à un objectif purement opérationnel : il doit permettre à une entreprise de pouvoir faire face à tout évènement de nature à affecter le fonctionnement « normal » de ses activités critiques.

Aussi, le déclenchement d’un PCA survient uniquement dans des circonstances « extraordinaires » ou « exceptionnelles » ; circonstances pendant lesquelles les membres de la cellule de crise doivent avoir toute confiance dans les moyens qui sont mis à leur disposition.

Plusieurs questions se posent alors : comment, dans ces circonstances, et plus largement à tout moment, maintenir ce niveau de confiance ? Quels sont les critères sur lesquels se reposer et qui permettent de l’évaluer ?

La notion de « maturité » permet de répondre à ces questions. Or, il n’existe à ce jour aucune méthodologie efficace permettant d’évaluer la maturité d’un dispositif de continuité d’activité ; même si l’on peut en mesurer l’efficacité. Elle peut, en effet, être évaluée lors de tests ou lors d’un déclenchement (face à une situation particulière).
La maturité, quant à elle, relève plus de la capacité à garantir l’efficacité et la fiabilité des dispositifs de continuité.
En l’absence de modèle normalisé pour l’évaluation de la maturité des dispositifs de continuité d’activité, il est possible de s’inspirer du modèle CMMI (Capability Maturity Model Integration). Le CMMI est un modèle de référence qui définit un ensemble structuré de bonnes pratiques ainsi qu’une échelle de mesure de la maturité à cinq niveaux transposable de la manière suivante:

  • Niveau 1 : « Initial » / Initial : le dispositif de continuité ne repose que sur les compétences et connaissances des collaborateurs
  • Niveau 2 : « Piloté » / Managed : les principales phases du dispositif de continuité sont implémentées et formalisées
  • Niveau 3 : « Standardisé » / Defined : le premier cycle ISO 22301 est effectué ; la culture de la continuité d’activité se développe
  • Niveau 4 : « Quantifié » / Quantitatively managed : un processus de MCO est défini et formalisé ; une surveillance permanente est mise en place
  • Niveau 5 : « Optimisé » / Optimizing : l’ensemble du dispositif de continuité d’activité (projet PCA et processus MCO) est piloté et fait l’objet d’une surveillance permanente

Une fois les niveaux de maturité définis ; il est nécessaire de déterminer des critères de maturité pertinents qui nous permettront d’évaluer et de suivre la maturité du dispositif de continuité dans le temps.
Ces critères peuvent alors se définir selon des axes organisationnel (existence d’un budget, identification des acteurs et des rôles associés,etc.) méthodologique & opérationnel (réalisation et formalisation des phases essentielles du projet PCA, test des solutions de secours mises en place, etc.) et documentaire (réalisation et formalisation des principaux livrables PCA, intégration de la notion de continuité d’activité dans les kits d’accueil des nouveaux arrivants, etc).

Il est alors possible, via l’utilisation de questionnaires basés sur des questions fermées et des descriptions de situation, de juger la maturité des dispositifs de continuité mais aussi de les modéliser graphiquement donnant ainsi la possibilité d’en suivre l’évolution dans le temps et d’alimenter un tableau de bord.

Ce tableau de bord permet de piloter, apprécier et faire progresser le niveau de maturité. La valorisation de la « maturité » renforcera la confiance dans le dispositif de continuité et impliquera davantage les différents acteurs pour la mise en œuvre d’un processus d’amélioration continue.

4 start-ups qui réinventent leur secteur avec un business model atypique

Certaines entreprises qui subissent un ralentissement de leurs activités n’hésitent pas à changer leur business model pour survivre. Voici quatre start-up qui réinventent leur secteur avec un business model atypique.

L’Edito

L’entreprise adapte le modèle du crowdfunding au secteur du mobilier. Le site permet aux internautes de co-financer des projets de designers. Les internautes investissent dans des projets qui leurs plaisent et, lorsqu’une somme nécessaire est atteinte, le site fait fabriquer les meubles et les commercialise. L’internaute ayant investi dans la production du meuble peut l’acheter 20% moins cher et touche des royalties sur les ventes. 

Malheureusement depuis peu, L’édito s’est arrêtée.

HumbleBundle.com

L’internaute paye le prix qu’il souhaite pour s’offrir un jeu ! Il décide ensuite de la façon dont sera répartie la somme payée entre le site et différentes associations caritatives. Les prix fixés par les autres utilisateurs sont publiés, afin d’encourager les paiements.

PayWithaTweet.com 

Les utilisateurs de ce site peuvent payer des produits ou services en publiant des infos sur leurs réseaux sociaux. Cette plateforme marketing joue sur l’effet viral de l’exposition de marques sur les réseaux.

Free car project 

Une vision complètement novatrice de l’industrie automobile. L’idée de l’entrepreneur, qui lance cette année son projet, est de réinventer la façon de financer sa voiture. En gros, le conducteur achète sa voiture et ses déplacements lui permettent de se la faire rembourser. Lorsqu’il se rend avec sa voiture chez un commerçant partenaire, celui-ci lui offre des bons d’achat qui amortissent sa voiture, voire qui lui permettent à terme de gagner de l’argent. 

Pourquoi s’implanter à Taiwan ?

Certains pays d’Asie se développent et sortent de leurs anciennes conditions précaires. Taiwan fait partie de ces pays asiatiques émergents et reste encore pour beaucoup l’un des quatre dragons asiatiques. Cependant, Taiwan souffre encore d’une mauvaise réputation concernant les produits qu’elle fabrique. Pourtant, le pays a changé, s’est développé rapidement et les entrepreneurs et exportateurs français trouveront de nombreuses opportunités que ce soit sur le marché taïwanais ou plus largement sur le marché asiatique.

Le dragon « Taiwan » est connu pour être une île stratégique pour s’implanter sur le marché asiatique et atteindre les grandes entreprises mondiales de cette région. Le pays regorge d’opportunités dans de nombreux secteurs pour les entrepreneurs français qui souhaitent s’implanter là-bas mais cela ne sera pas quand même pas sans difficultés…

Un pays aujourd’hui développé

Taiwan est une petite île située au sud-est de la Chine continentale, au sud du Japon et au nord des Philippines. Ce pays possède des atouts géographiques certains pour les entrepreneurs voulant conquérir le marché asiatique. Taiwan est au centre du marché asiatique et beaucoup de grandes entreprises mondiales y fabriquent leurs produits en raison en partie de sa proximité avec les autres pays asiatiques. Taiwan dispose du 3ème PIB /Habitant d’Asie (en parité du pouvoir d’achat) et dépasse aujourd’hui le Japon, la Corée du Sud et la majorité des pays européens !

Taiwan, un dragon en constant changement

Le pays s’est fait connaître autrefois par une production à bas coût mais à faible valeur-ajoutée. Malgré les considérables évolutions à ce niveau, cette image a continué à coller à la peau de Taiwan malgré la migration de la production des grandes entreprises. L’île afin de tirer son épingle du jeu a décidé d’évoluer et d’adapter son industrie aux constants changements mondiaux afin de coller aux tendances du marché. Ainsi, dans les années 1980, elle s’était spécialisée dans l’industrie du textile et les biens de consommation qui dominaient le marché. Désormais, le développement des technologies de l’information et de la communication a renversé la tendance et l’industrie est aujourd’hui largement spécialisée dans les activités liées aux nouvelles technologies. Ces dernières représentent ainsi désormais 30 % de l’industrie Taïwanaise.

Taiwan veut désormais se démarquer de son passé et le pays investit massivement dans la même logique dans la recherche et le développement (environ 2,9 % de son PIB). Gardant les nouvelles technologies sur l’île et délocalisant une majorité de sa production dans des pays à plus bas-coûts de main d’œuvre, Taïwan a ainsi décidé de délocaliser 80% de son industrie électronique, preuve de son changement et comme l’affirme le Directeur Ubifrance de Taïwan, il vous faudra oublier : « les tee-shirts pas chers et les bassines en plastique ».

Une position géographique stratégique

Le pays bénéficie d’atouts géographiques. Taiwan est une puissance émergente considérée comme un lieu stratégique pour exporter sur le continent asiatique. Exporter en Chine ou dans le reste de l’Asie est possible depuis Taiwan puisque seulement 700 kilomètres la sépare d’Hong Kong et à la différence de nombreux autres pays asiatiques « il n’existe aucun problème de propriété intellectuelle » comme l’affirme François Cotier. De plus, la présence de transport maritime pour le commerce international est un atout clé de Taiwan. Celui-ci étant l’une des grandes réussites de l’économie taïwanaise. Le fret maritime est, en volume, le premier moyen de transport de marchandises à Taïwan.

Taiwan reste un « petit » pays avec 35 980 km² pour plus de 23 millions d’habitants. Le marché de Taiwan est donc restreint, en volume, mais est un des premiers d’Asie en valeur. Par ailleurs, un implantation à Taïwan est une excellente base afin d’atteindre le marché asiatique environnant, la Chine en particulier, pays sur lequel les taïwanais sont aujourd’hui les premiers investisseurs.

L’écologie, le secteur clé pour les entrepreneurs à Taiwan

La question de l’environnement prend de l’ampleur à Taiwan. Les professionnels de l’environnement sont invités à prendre leurs billets puisque le pays veut intégrer une dimension environnementale à son économie. Taiwan, en raison de son statut international particulier, reste en dehors des Traités internationaux liés à l’écologie. De ce fait, les taïwanais sont demandeurs d’entreprises, de techniques et d’innovations dans l’environnement.

L’île reconnaît le savoir-faire français dans ce secteur, comme dans les technologies du biogaz qui seraient plus avancées que dans d’autres pays européens. Taïwan est à la recherche également de solutions pour la maîtrise de l’énergie. Le pays est demandeur en techniques, entreprises ou systèmes qui permettront une économie d’énergie ou de meilleures performances dans le domaine de la pétrochimie ou qui apporteront des solutions écologiques pour les traitements de déchets chimiques et de fumées toxiques pour les industriels.

L’écologie et bien vivre à l’échelle de la population

L’écologie dans la construction peut être une opportunité pour les entrepreneurs français. Développer des infrastructures, des bâtiments, des résidences voire des maisons plus écologiques et moins polluantes pour les clients taïwanais semblent être un des futurs secteurs porteurs.

Dans le domaine de l’automobile ou de l’équipement d’automobiles électriques qui se démocratise peu à peu dans le pays, les entrepreneurs français peuvent essayer de s’affirmer sur ce marché. Les autorités publiques projettent la construction de plusieurs quartiers « zéro carbone » qui pourrait ravir certains entrepreneurs. Même si la part de l’agroalimentaire dans le PIB est de plus en plus réduite, les taïwanais feraient de plus en plus attention à leur santé et essaieraient de trouver des produits agroalimentaires adaptés, un secteur que les français connaissent particulièrement bien.

Conclusion

Taiwan est aujourd’hui un espace incontournable pour conquérir le marché chinois et asiatique. Son économie évolue vers d’intéressantes perspectives. Elle est un lieu stratégique pour exporter en Chine étant donné les liens spécifiques entre ces deux économies. Le pays est demandeur dans le secteur de l’environnement et de l’écologie dans tous les domaines. Il faudra exporter le savoir-faire des entreprises françaises dans le domaine de l’écologie et de l’agroalimentaire. La parité du pouvoir d’achat est bonne et les taïwanais ont tendance à consommer plus qu’avant.

Les 4 activités pour apprendre l’anglais (partie 2) – Listen & Speak

Pour maitriser une langue étrangère, il est nécessaire de maitriser 4 activités : lire (en anglais Read), écrire (Write), écouter (Listen), parler (Speak). C’est avec une combinaison de ces 4 activités qu’on arrive à communiquer efficacement. La maîtrise de la langue de Shakespeare est souvent déterminante pour les entrepreneurs. Même si vos clients se situent pour l’instant en France, rien ne vous dit que dans quelques mois ou années vous n’aurez pas à faire une présentation en anglais devant un investisseur ou client intéressé par votre entreprise.

Pour voir ce que j’ai dit sur Read et Write vous pouvez vous référer à mon précédent article. Cette fois je vais parler de Listen et Speak.

Pour communiquer dans la vie quotidienne, pour la plupart des gens, ce sont les activités Listen et Speak qui sont les plus attrayantes et sont les plus nécessaires. Elles sont celles qui vous aident à communiquer directement avec votre interlocuteur, et elles s’avèrent particulièrement nécessaires lorsque vous travaillez dans un environnement international.

Naturellement le Listen et le Speak se pratiquent le mieux avec un beau Anglais ou une belle Americaine, mais c’est rarement possible – alors il faut essayer d’autres solutions.

Listen

La communication commence avec le Listen et puis continue avec le Speak. Le Listen est aussi important que le Speak mais des gens trouvent que s’exercer à l’écoute est difficile parce que… « they speak too quickly, so I don’t understand »…

Heureusement pour le Listen il y a des solutions qui existent pour s’exercer en anglais grâce a l’arrivée de l’internet. Par exemple sur Youtube ou Dailymotion on peut voir des vidéos en anglais par des professeurs d’anglais. On peut écouter le radio, regarder le TV, les films…

Mais il y a une autre solution, moins connu, qui s’avère très intéressante et utile – le site web de Voice of America (le radio international du gouvernement des Etats-Unis).
www.learningenglish.voanews.com
La singularité et utilité de ce site est qu’on peut écouter les textes des articles de Voice of America, et simultanément on peut voir les textes en écrit. Ca aide à comprendre, puis à améliorer votre vocabulaire et votre construction grammaticale.

Pour bien communiquer on a aussi besoin de comprendre les anglophones culturellement, avec Voice of America on est exposé aux idées des vrais Americains – et la on voit que le monde vu des Français n’est pas le même que le monde vu par les anglophones.

Je vais finir avec le Speak

Hélas pour s’exercer en parlant anglais il n’y pas de solutions – il faut trouver un/e anglophone ou un/e professeur.

Quand vous parlez anglais n’oubliez pas

  • Stay cool – plus on est stressé, plus on a des difficultés
  • Speak slowly (comparez votre vitesse avec les présentateurs de Voice of America !). 
  • Essayez votre anglais avec des gens sympas

Comment améliorer sa relation aux autres avec le carré de Ofman

Le carré fondamental de Daniel Ofman (appelé Core Quadrant en anglais) repose sur un schéma simple et représente un outil très intéressant dans la régulation des relations interpersonnelles et l’amélioration de la connaissance de soi.

Il se présente sous la forme suivante :

Afin d’éclairer le lecteur, en voici l’articulation, le fonctionnement et son champ d’application dans une démarche de coaching, qu’elle soit personnelle ou professionnelle.

Les qualités fondamentales (Core Qualities) et les allergies

Selon Daniel Ofman, chacun de nous possède des qualités humaines fondamentales innées qui nous définissent et nous caractérisent en tant qu’individu et que les autres nous attribuent d’ailleurs bien volontiers. Elles sont à ne pas confondre avec les compétences qui relèvent quant à elles de l’ordre de l’acquis. Ainsi, nous aurons naturellement tendance à mieux nous entendre avec les personnes qui les possèdent également. Dans le cas illustré ci-dessus, si je me caractérise comme quelqu’un de modeste, je vais apprécier la compagnie de personnes qui le sont également à mes yeux et donc par conséquent juger négativement voir rejeter les personnes qui me semblent être à l’opposé, c’est à dire arrogantes (c’est ce que Ofman dénomme « l’allergie » en bas à gauche du quadrant). Elle peut donc être définie comme l’inverse en négatif de la qualité mise en avant.

En psychologie, on peut dire que ce qui nous énerve chez les autres, par effet miroir, renvoie à une partie de soi que l’on n’a pas intégrée…

« When you judge another, you do not define them, you define yourself ! » Wayne Dyer.

Le piège ou Pitfall

Revenons à notre exemple : si dans mon environnement je suis quelqu’un de modeste et que je cultive et développe cette qualité intrinsèque à l’excès, je peux ainsi devenir totalement invisible auprès de mes proches, collègues de travail, managers ou encore de ma direction : c’est le revers de la médaille !

Bien évidemment, si je prends conscience de cette réalité, je vais avoir naturellement tendance, et avec le même excès, à vouloir contrebalancer cet aspect et tendre vers ce que je rejetais à l’origine (l’arrogance) et révéler aux autres, par la même occasion, ma faiblesse d’origine (une trop grande modestie) : c’est le piège !

C’est d’ailleurs ainsi que les personnes qui s’évertuent à ne surtout pas vouloir ressembler à d’autres finissent par devenir exactement comme elles. Les cas d’école qui illustrent cette loi ne sont pas difficiles à trouver…

Le challenge

Toujours dans notre exemple, on se rend alors compte que le challenge qui se propose à moi dans cette situation sera de trouver un point d’équilibre par un travail d’intégration (et non de rejet) entre mon allergie de départ (l’arrogance) et le piège ainsi mis en évidence (la transparence ou l’effacement). C’est à dire de trouver en moi une nouvelle qualité ou ressource positive qui annihile le piège. En l’occurrence, il s’agira ici de développer ma présence dans un équilibre symbolisé par les flèches et les signes + dans le carré.

Utilisation dans une démarche de coaching 

Cet outil simple d’utilisation s’avère très utile dans un travail d’accompagnement quand sont en jeu des difficultés relationnelles voire conflictuelles abordées dans une approche systémique ; c’est-à-dire la personne dans son environnement et son interaction avec celui-ci (voir article sur le coaching centré sur la solution).

Cet exercice peut également être conduit de manière individuelle comme outil de connaissance de soi. Alors, à partir des qualités que l’on vous reconnaît, saurez-vous déceler quels sont vos pièges potentiels liés à vos allergies et relever ainsi les challenges correspondants ?

L’écoconception, une démarche aux multiples visages, source d’innovation et de créativité

Les principes du développement durable prennent une place de plus en plus importante dans la stratégie des entreprises, que ce soit d’ailleurs par simple opportunisme ou par conviction profonde d’une nécessité de changer nos modes de production et de consommation. Dans ce premier article consacré à la notion de d’écoconception, nous allons voir de quoi il en retourne réellement et quels peuvent être ses principaux avantages.

Mais qu’entend-on par écoconception ?

L’écoconception vise à prendre en compte les impacts environnementaux d’un produit tout au long des étapes de son cycle de vie, du « berceau à la tombe », depuis l’extraction des matières premières jusqu’à l’élimination des déchets, en intégrant l’ensemble des parties prenantes concernées dans le cycle du produit. Selon la norme iso 14006, l’écoconception est une démarche qui vise à l’intégrer l’environnement dans la conception du produit avec une vision sur l’ensemble du cycle de vie. Pratiquement, « Il s’agit d’une démarche d’ouverture à 360 degrés qui permet de faire les choix les moins nocifs pour l’environnement en identifiant les principaux impacts » comme le précise très bien Philippe Schiesser du cabinet Ecoeff, spécialisé en écoconception.

Une démarche globale et complexe à première vue !….Allons donc voir de plus près ce qui pousse ces entreprises à aller dans ce sens…

Des moteurs de motivation diverses et variés

Le contexte actuel est en tout premier lieu très incitatif ; d’après l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), environ 70% de la contribution des ménages français à l’effet de serre sont imputables aux produits que nous consommons. Produire et consommer des produits à moindre impact sur l’environnement constitue donc un enjeu primordial. Du point de vue des consommateurs, les écolabels, l’étiquette-énergie, et bientôt, l’affichage environnemental sur les produits de grande consommation, sont là pour éclairer leurs choix et les orienter dans la voie d’une consommation plus responsable. L’Union Européenne veut d’ailleurs promouvoir la qualité écologique des produits, des textes existent déjà dans ce sens (la PIP, politique Intégrée des Produits, est une politique européenne visant à faciliter le développement du marché des produits écologiques, etc.), d’autres sont à l’étude… et engager une démarche d’écoconception permet quelque part d’anticiper ce déluge de textes réglementaires à venir…

Prenons notamment l’exemple des produits électriques et électroniques, la directive ERP (Energy Related Product), dont on attend la prochaine version fixe notamment un cadre en la matière sur les produits consommateurs d’énergie : elle fixera des normes de consommation électrique mais définira aussi certainement les contraintes écologiques du produit tout au long de son cycle de vie…

L’application du principe pollueur payeur dès la conception du produit à travers la mise en place de la REP (Responsabilité Elargie du Producteur qui vise à rendre le fabricant responsable de l’élimination du déchet issu de son produit en fin de vie) est sans conteste aussi un levier incitatif qui va pousser les entreprises à aller vers la conception de produits écologiques et donc vers l’écoconception.

De plus, il est aujourd’hui capital de travailler sur les enjeux environnementaux importants pour répondre au défi du développement durable : pour ne pas rentrer dans un discours hypocrite et mensonger, il est donc de plus en plus urgent d’avoir des méthodes fiables capables d’identifier où nous devons axer nos efforts. D’ailleurs, pour se prémunir des dérives de greenwashing et répondre aux attentes d’une société aux aguets sur les problématiques de développement durable, un reporting RSE solide et crédible est exigé désormais des grosses PME (plus de 500 employés) : cette exigence va sans nul doute accélérer le mouvement de ces démarches d’écoconception basées sur des indicateurs de performance fiables et précis, et pourvoyeuses de plus de transparence avec les parties prenantes.

Néanmoins, les leviers réglementaires ne sont pas les seuls à inciter l’entreprise à se lancer dans une démarche d’écoconception : selon une étude de 2008 du Pôle Ecoconception de la CCI de Saint-Etienne, la politique volontariste de l’entreprise convaincue du bien–fondé d’une démarche RSE est la première source de motivation, loin devant la réglementation et les attentes du marché. La réduction des coûts dans une logique d’optimisation des process est bien aussi souvent un des moteurs du lancement de la démarche. Et comme le souligne Philippe Schiesser, « Bien souvent, même en B to C, l’entreprise ne s’engage pas forcément dans une démarche d’écoconception pour communiquer ou simplement bénéficier d’un avantage marketing différencient, elle pilote plutôt sa démarche par des changements technologiques, une entrées stratégique, de l’ingénierie ou bien encore dans une logique d’innovation ». En effet, il faut savoir que 53 % des brevets déposés sont liés à des écotechnologies.

Il est vrai que la période de crise ralentit aujourd’hui les démarches d’écoconception qui demandent des compétences et capacités internes importantes : de plus, l’écoconception étant souvent portée par les sous-traitants, la crise a réduit drastiquement les budgets de R&D nécessaires à cette démarche d’innovation.
L’innovation, maître mot de l’écoconception ? Allons creuser le sujet…

Une réelle façon d’innover

Il faut savoir que les démarches d’écoconception ont été initiées dans les années 90 par des analystes qui cherchaient avant tout à diminuer les impacts environnementaux du cycle de vie du produit via une analyse environnementale poussée : mais à l’époque, ces démarches d’écoconception, déconnectées du business de l’entreprise et concernant quelques experts seulement, ne parlaient pas forcément aux entreprises portées avant tout par la création de valeur ajoutée pour le client : depuis quelques années, cette approche s’est heureusement démocratisée pour renforcer le lien avec le business en intégrant l’environnement dans le développement du produit impactant ainsi l’ensemble des fonctions de l’entreprise. Aujourd’hui, de plus en plus de démarches d’écoconception amènent les entreprises à éco-innover, l’environnement devenant alors le levier pour créer de nouvelles fonctionnalités pour le client : en plaçant le bénéfice client au cœur de la démarche et l’éco-innovation au cœur de leur stratégie,les entreprises peuvent même aller jusqu’à remettre en cause leur business model où l’environnement devient une source de nouvelle valeur ajoutée et de créativité , et non pas relégué au seul statut de réduction d’impacts . Citons pour preuve le cas de l’entreprise Notox qui a développé des planches de surf éco-conçues à base de fibres de lin qu’elle parvient à vendre plus chère compte tenu des performances techniques supérieures qu’elles apportent au client.

En gros, dans le premier cas, l’entreprise fait une analyse environnementale classique sur le cycle de vie et diminue ses impacts en veillant bien à ne pas créer de transferts de pollution. « Elle fait la même chose avec moins tous simplement », comme l’explique très bien Samuel Mayer du Pôle Ecoconception de la CCI de Saint-Etienne.

Dans l’autre cas, elle ne se focalise pas sur des réductions d’impacts mais part de l’amélioration fonctionnelle du produit, et Samuel Mayer conclue dans ce cas « l’entreprise fait autrement, et l’environnement lui permet d’innover ».

Pour exemple, la société Malongo, leader historique du café issu du Commerce équitable pour la France a su parfaitement utiliser la démarche d’éco-innovation pour répondre aux attentes des clients et parler au consommateur autrement. Malongo a inventé la machine Ek’oh, une machine expresso conçue pour durer, utilisant des matériaux high-tech. Ek’Oh c’est aussi un ensemble de modules assemblés par clips, facilement démontables et remplaçables, une machine éthique et fabriquée en France, argument auquel sont sensibles les consommateurs. Ek’Oh propose une crème encore plus onctueuse et savoureuse pour les papilles des consommateurs ! Cette machine est le fruit du travail main dans la main de plusieurs savoir-faire de pointe français, avec un SAV total en plus proposé aux clients. Bref, un produit innovant et éco conçu qui apporte une réelle valeur ajoutée au client.

La suite dans un prochain article, consacré cette fois à la mise en place et la stratégie !

Comment réussir à contracter un emprunt bancaire quand on est un jeune entrepreneur ?

Il s’agit sans aucun doute du baptême du feu pour les jeunes entrepreneurs. En effet, comment convaincre un banquier de croire en notre projet lorsque l’on a ni garantie ni historique d’activité ? 

Cela semble fastidieux, et l’est en réalité encore plus qu’il n’y paraît !

Mais bien que l’épreuve paraisse difficile, elle n’en est pas insurmontable, et en se penchant sur les cas de certains entrepreneurs qui ont réussi à gagner la confiance de leur banque, on en ressort certaines astuces pour être convainquant face à son banquier.

Matthieu et Jules, fondateurs de www.solendro.com, le grand magasin en ligne des sous-vêtements pour homme, qui a vu le jour en Septembre 2012, ont mis plus de 3 mois et contacté une quinzaine d’agences avant d’obtenir un prêt de 70K€ pour lancer leur activité. De cette expérience difficile ressortent quelques conseils pour les entrepreneurs à la recherche d’un emprunt bancaire :

Présenter un business plan irréprochable

Ce que le banquier va rechercher en priorité dans votre business plan est la rentabilité de l’activité pour être certain que votre entreprise sera en mesure de rembourser ses créances. Contrairement à un investisseur, la banque n’a pas particulièrement d’intérêts à ce que ce votre business plan présente un résultat net très élevé dès la première année. Au contraire cela pourrait lui paraître trop optimiste voire vous faire perdre en crédibilité !

Rentable donc dès la première année, cela est absolument nécessaire mais pas trop bénéficiaire non plus.
Pour asseoir votre crédibilité, l’idée est de montrer que toutes les éventualités ont été prises en compte en présentant 3 scénarios : un pessimiste, un réaliste et un plus optimiste. Bien sûr dans ces trois cas, même le plus pessimiste, votre activité est rentable et vous serez à même de rembourser vos créances.

A qui s’adresser ?

Chaque banque a plus ou moins sa spécialité en termes d’analyses crédits. Par exemple, Le Crédit du Nord ou Le Crédit Mutuel seront plus ouverts à un projet dans le domaine de l’e-commerce alors que le Crédit Agricole sera plus enclin à financer un projet dans l’artisanat. 
Par ailleurs, l’analyse est souvent faite en agence et non centralisée au niveau du réseau, ainsi une agence peut refuser votre demande de crédit alors qu’une autre agence de la même banque l’acceptera.
Ainsi pour accroître vos chances d’acceptation, entrez en relation en priorité avec des banques mutualistes ou régionales qui seront plus susceptibles d’accorder un prêt à la création. Ciblez également les agences spécialisées dans votre secteur d’activité et surtout multipliez le nombre d’agences contactées.

Les banques ne sont pas forcément spécialisées dans votre secteur d’activité et peuvent avoir du mal à en comprendre tous les rouages, c’est pourquoi faire valider préalablement votre projet par un réseau d’accompagnement (Paris Initiative, Réseau Entreprendre etc.) à la création d’entreprise mettra la banque en confiance.
D’ailleurs pourquoi vous en priver ? Les réseaux d’accompagnement sont gratuits, ils vous apportent de précieux conseils et certains d’entre-eux se portent même garants des prêts bancaires jusqu’à 70% !

Enfin, il est très rare d’obtenir un prêt dès son premier rendez-vous avec son banquier. Dans cette optique il est préférable de commencer par rencontrer des banques identifiées comme les plus difficiles à convaincre, quitte même à essuyer quelques refus formateurs, pour vos prochains rendez-vous.

Bon courage à tous les entrepreneurs qui sont actuellement à la recherche d’une banque pour les aider à se lancer !

Mon bailleur peut-il m’interdire de compléter mon activité ?

Que ce soit pour préserver la vie au village ou pour pallier les effets de la crise, nombreux sont les commerçants qui souhaitent compléter leur activité principale pour générer des revenus complémentaires.

Le parfait exemple est celui du buraliste qui complète son activité par un dépôt de pains. Dans la majorité des baux commerciaux figure la clause de destination définissant l’activité exercée dans les locaux. Cette destination, large ou restreinte interdit aux locataires d’exercer dans les lieux d’autres activités. Cette destination ne peut être modifiée unilatéralement par le preneur qui doit la respecter sous peine de risquer la résiliation de son bail ou un refus de renouvellement, cette obligation étant notamment prévue par l’article 1728 du Code civil. 

Le Code de commerce autorise le locataire d’adjoindre à l’activité prévue au bail des activités connexes ou complémentaires. On parle alors de déspécialisation partielle ou restreinte laquelle doit intervenir selon une certaine procédure. Ainsi, un commerçant est en droit de compléter son activité principale à la condition que l’activité secondaire envisagée coexiste avec celle initialement autorisée. Le commerçant doit également indiquer à son bailleur sa demande avant tout commencement de l’activité secondaire. La déspécialisation plénière, qui est le changement total de l’activité du locataire, doit respecter une procédure spéciale régie par les articles L.145-48 à 145-55 du Code de commerce.