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Top 10 des sociétés insolites qui ont rencontré un franc succès

Les idées les plus étranges ne riment pas forcément avec échec, bien au contraire. Il suffit parfois que ce soit pratique ou original pour séduire le consommateur. Certains ont osé et ont réussi à fonder leur société, à en vivre, et même parfois à faire fortune. L’équipe de Dynamique Entrepreneuriale a choisi dix sociétés insolites aux idées farfelues et qui ont connu un étonnant succès.

1. La société Wham-O avec le Hula hoop

Ce simple cercle en plastique a séduit petits et grands. Le principe ? Réussir à le faire tourner le plus longtemps possible autour de son bassin… Il s’est vendu à plus de 100 millions d’exemplaires !

2. La société Doggles avec les lunettes de soleil pour chien

La société a créé des lunettes de soleil spécifiques au meilleur ami de l’homme. Ce marché génère actuellement des millions de dollars. La société a obtenu une renommée mondiale.

3. La société Lasermonks pour remplir les cartouches d’imprimantes vides

L’idée semble toute bête et pourtant, Bernard McCoy est le premier à y avoir pensé : remplir des cartouches d’encres vides, pour les proposer ensuite à un prix concurrentiel dans le but de récolter des fonds pour l’abbaye. Le succès a été fulgurant. Bernard McCoy a décidé de profiter de cette médiatisation pour étendre son business à d’autres fournitures de bureau. Et le succès a perduré puisque le chiffre d’affaires réalisé en 2005 atteint les 2,5 millions de dollars.

4. La société qui répond aux lettres du Père Noël

L’idée de Byron Reese : créer une société qui répond aux lettres envoyées par les enfants au Père Noël. Le chiffre parle de lui-même puisque seulement quelques années après, la société a généré plus d’un million de chiffre d’affaires.

5. La société de ramassage de crottes de chien Pet Butler

Créé par Matthew Osborn, la société Pet Butler (entreprise de ramassage d’excréments canins) a fait fureur ! Elle est devenue un leader dans le ramassage de déchets animaliers et compte à son actif plus de 3 000 clients.

6. La société The Excused Absence Network qui rédige vos justificatifs d’absence

Cette société falsifie de nombreux documents qui permettent de justifier les absences des étudiants ou des travailleurs américains. Vous pouvez donc obtenir grâce à The Excuses absence Network des attestations d’audition judiciaire, des certificats de décès ou des certificats médicaux. Rapidement, The Excused Absence Network séduit et pas moins de 15 000 commandes sont passées par mois.

7. La société Mathmos avec la Lava-Lamp

Cette lampe destinée à la décoration réalise des boules colorées de cire fondue. Ces dernières donnent un effet original et très esthétique. Elle a eu un succès considérable, aussi bien auprès des jeunes que des moins jeunes.

8. La société créatrice d’un site de rencontre pour personnes mariées

Noel Biderman, ex-avocat et paradoxalement marié, a eu l’idée de créer un site web destiné aux personnes souhaitant tester l’adultère. Ce concept assez controversé a pourtant rencontré un succès considérable. Plus de 11 millions de membres sont inscrits sur ce site.

9. La société qui vend des pixels sur un écran de page web

Un étudiant anglais, Alex Tew, décide d’élaborer « The Million Dollar Homepage ». Son objectif est particulier : il souhaite vendre pour 1 $ tous les pixels d’un écran (pas moins de 1 000 x 1 000). Rapidement, le million de pixel s’est transformé en un million de dollars.

10. La société qui a fondé le Pet Rock

Le concept suit le même raisonnement que si vous deviez vous occuper d’un animal de compagnie sauf qu’il s’agit d’un caillou. Le pet rock est vendu avec de la paille et une notice pour devenir le maître du dressage. Ce concept pour le moins farfelu lancé par Gary Dahl, a pourtant été vendu à plus de 15 millions d’exemplaires.

Les écosystèmes européens qui concurrencent la Silicon Valley

Durant les années soixante-dix, la vallée de Santa Clara en Californie fût qualifiée de Silicon Valley en raison de sa concentration inédite d’entreprises spécialisées dans les semi-conducteurs et l’informatique. C’est dans cette vallée devenue mythique qu’apparut le phénomène des start-ups, ces jeunes pousses qui, émergeant du néant, se hissent aujourd’hui au rang de géant technologique. Ce succès de la concentration de matière grise a depuis fait des émules. L’Europe a créé plusieurs « Silicon Valley » ayant vocation à concurrencer leur modèle américain.

Une ambition à l’échelle européenne

Comme toute « success story« , la Silicon Valley fait rêver y compris au sein de la commission européenne. La commissaire en charge de la société numérique, Neelie Kroes, a en effet déclaré que cette dernière était « cool et sexy » pour expliquer son attractivité. Dans les faits, les dirigeants européens souhaitent encourager la création d’incubateurs d’entreprises par pôle et renforcer la crédibilité et la notoriété de ceux existants en facilitant leur interconnexion. Et l’Europe compte déjà de nombreux écosystèmes incubateurs de start-ups ! Arrêtons-nous sur trois des plus dynamiques.

1. Sophia Antipolis

Fondée en 1969 dans le département des Alpes-Maritimes, elle s’étend sur 2400 hectares, compte 1400 entreprises, 5000 étudiants chercheurs et génère 31000 emplois et 6 milliards d’euros de PIB par an ! Elle est la plus importante technopole de France et d’Europe consacrée aux technologies de l’information et de la communication (TIC), du multimédia, des sciences de la vie (médecine, biochimie et agronomie), de l’énergie, de la gestion de l’eau, des risques et du développement durable.

Parmi ses grandes réussites, on note par exemple, la définition de la norme GSM. En son sein, l’incubateur PACA-EST, créé en 2001, valorise des compétences et le transfert des technologies issues des laboratoires universitaires et organismes de recherche publics pour favoriser l’émergence de start-ups. Il a déjà soutenu plus de 100 projets.

2. Londres Tech City

Né en décembre 2010, le programme Tech City vise à faire de Londres un centre technologique de niveau mondial. Situé autour du quartier émergeant du Silicon Roundabout, dans l’Est de la capitale, il attire depuis de nombreux designers, créatifs et jeunes entrepreneurs. Un programme baptisé « Future 50 » fait office d’incubateur en facilitant la croissance des start-ups les plus prometteuses. Sur les 50 sélectionnées, quatre ont réussi leur introduction en bourse et treize autres ont levé des fonds pour un total de 260 millions de livres. Elles ont créé plus de 15 000 emplois.

3. Berlin, la Silicon Allee

Très innovantes, les start-ups berlinoises se regroupent dans la Schönhauser Allee, surnommée localement Silicon Allee. Le gouvernement fédéral et la mairie de Berlin ont pris de nombreuses initiatives favorisant le développement de ce secteur à Berlin. Plusieurs incubateurs et pépinières à start-ups y sont implantés : la Factory de Google, la Start-Up Academy et la fameuse Rocket Internet. Cette dernière s’est rendue célèbre en lançant, avec le succès que l’on sait, Zalando et Jamba. En outre, un nouvel hub à start-ups devrait voir le jour sur l’ancien aéroport de Tempelhof.

Force est de constater que l’Europe ne manque pas d’écosystèmes aptes à concurrencer la Silicon Valley et que la France s’y positionne par ailleurs très bien. Le futur technopôle de Paris-Saclay en cours d’aménagement devrait regrouper à terme entre 20 et 25 % de la recherche scientifique française. La Silicon Valley n’est décidément plus seule !

L’entreprise qui surfe sur la vente de voitures d’occasion

Lancé en France en août 2014, le site vendezvotrevoiture.fr permet aux particuliers souhaitant vendre leur véhicule d’obtenir rapidement et simplement une offre de rachat et ce quels que soient l’âge et l’état de la voiture. Focus sur ce concept venu d’Allemagne.

A l’origine de l’entreprise…

Débarqué sur le web francophone à l’été 2014, le site vendezvotrevoiture.fr appartient à l’entreprise allemande wirkaufendeinauto.de. La société a vu le jour à Berlin en novembre 2011 à l’initiative de deux entrepreneurs : Christian Bertermannn et Hakan Koc. Les deux créateurs du concept sont partis d’un constat simple : vendre sa voiture est devenu un véritable parcours du combattant pour un particulier, tant les sites d’annonces sont nombreux. La multiplication des annonces rend les comparaisons difficiles et il n’est de plus pas rare de tomber sur des arnaques ou des vendeurs qui affichent peu de sérieux. Face à ce constat, les créateurs de la plateforme en ligne ont donc décidé de simplifier et de sécuriser le processus à l’extrême.

Une solution simple et exempte de démarches administratives

La solution proposée par vendezvotrevoiture.fr est simple : après une estimation en quelques clics du véhicule, réalisée grâce à la compilation de quelques données telles que la marque, le modèle, l’année de construction ou le kilométrage, le particulier obtient un rendez-vous en agence lors duquel un expert effectue une analyse complète du véhicule. L’expert propose ensuite une offre de rachat immédiate qui peut être supérieure à l’estimation faite en ligne, selon les équipements en option et les accessoires dont la voiture est équipée.

L’ensemble de ces services est entièrement gratuit et sans obligation de vente. Le site se charge également de réaliser les démarches administratives auprès de la Préfecture et le client n’a aucun contrôle technique à effectuer avant la vente. Une fois le rachat effectué, il reçoit un paiement comptant par virement sécurisé, sous 24 à 48 heures. Tous les véhicules sont concernés par ce service, quels que soient leur état, leur ancienneté, leur marque et leur kilométrage. Même les voitures endommagées ou destinées à la casse peuvent bénéficier d’un rachat au meilleur prix.

Un concept qui cartonne en Europe

Avec ce concept novateur, les deux entrepreneurs se sont rapidement fait connaître en Europe. À l’heure actuelle, une dizaine de pays européens ont d’ailleurs développé leurs propres filiales et la succursale France a ouvert une vingtaine d’agences en un peu moins d’un an d’existence, réparties en région parisienne et dans les principales villes de province. Le particulier peut ainsi prendre rendez-vous avec un expert pour une estimation complète de son véhicule à Paris, Nantes, Bordeaux, Montpellier, Grenoble, Lille, Strasbourg, Toulouse, Aix-en-Provence, Tours, Rouen, Rennes, Lyon, Caen et bien d’autres villes du territoire, preuve que le concept cartonne dans tout l’hexagone !

Les secteurs d’avenir pour l’entrepreneur

Face à la constante évolution du monde des affaires, il s’avère difficile de se positionner sur un marché porteur pour entreprendre. Les opportunités sont innombrables. Mais, avant de se lancer dans l’aventure, la question qu’il faut se poser est la pérennité de l’activité. Pour vous accompagner dans la création de votre propre entreprise, voici quelques bons créneaux qui parviennent à rebondir malgré le climat morose actuel ainsi que des secteurs d’avenir.

Secteur des énergies renouvelables : de belles opportunités à exploiter

À l’heure où les besoins en énergies renouvelables se font de plus en plus ressentir et où la préservation de l’environnement résonne partout dans le monde, ce secteur est en plein boom. De nombreux ménages se laissent actuellement séduire par cette source énergétique écologique. La demande des clients de plus en plus sensibles est loin de diminuer. Selon la prévision des spécialistes, en 2020, les énergies renouvelables occuperont 10 à 15 % de la consommation énergétique en général, voire même plus, contre une consommation actuelle de 3 % en France, de 6 % au Royaume-Uni et 16 % en Espagne.

C’est surtout grâce à l’optimisation des implantations des champs éoliens et des centrales solaires ainsi qu’à la qualité des prévisions météorologiques et à l’évolution constante des unités de production. Si vous vous lancez dans ce secteur d’activité qui a un grand avenir devant lui, vous bénéficierez en plus de différents accompagnements techniques et financiers dans le cadre de la politique mondiale envers les énergies renouvelables. Mais encore faut-il vous rappeler que pour vous positionner dans ce marché, fortement concurrentiel, vous devrez représenter des marques bénéficiant d’une grande notoriété.

Service d’externalisation : des débouchés garantis

Le secteur d’externalisation connaît un fort essor ces dernières années. C’est une tendance relativement récente, surtout dans les pays moins industrialisés où les salaires sont moins élevés comme l’Inde, le Vietnam, les pays de l’Europe de l’Est, la Russie et le Maghreb. Par définition, ce concept consiste à prendre en charge l’application informatique ou certains services d’une société étrangère. Il existe différents services d’externalisation : des données, du secrétariat ou encore de la paie. De plus en plus d’entreprises s’essayent à ces prestations, dont 40 % sont des sociétés américaines. Mais, sachez que le lancement de cette activité nécessite un certain goût du risque et un grand dynamisme face à l’envergure du projet. Mais il est fort probable d’en tirer parti.

Les cosmétiques : un secteur prometteur pour investir 

Les cosmétiques connaissent depuis quelques années, un important succès notamment avec l’arrivée des nouveaux produits bio et l’avancée incontestable de l’industrie du luxe. Que ce soit dans la parfumerie, les produits de toilette et d’hygiène, les produits capillaires et cosmétiques, ce secteur occupe une place importante grâce à un potentiel d’innovation et à une mise en valeur des produits naturels. En France et en Chine, c’est l’un des fleurons de l’industrie nationale. Selon une estimation, la croissance de ce marché sera doublée dans près de 15 ans.

Actuellement, l’Europe Occidentale occupe 60 % du marché mondial. La Chine, quant à elle, se hisse à la 6e place. Rassurez-vous, le marché des cosmétiques bio est en plein essor. Cette idée business est porteuse pour créer une entreprise pérenne et rentable. Il suffit juste de bien déterminer vos cibles et de vous renseigner sur vos potentiels concurrents avant d’investir.

La guerre des sexes en entreprise : existe-t-il des secteurs « masculins » et « féminins » ?

Les entreprises sont régies en majorité par des hommes, mais de plus en plus de femmes tentent l’aventure. Elles prennent leurs marques dans le monde de la gestion où près d’une entreprise sur trois est créée par une femme. Et même si l’entrepreneuriat évolue grâce aux mesures gouvernementales avec notamment « Entreprendre au féminin », on constate que ce n’est pas gagné pour autant dans tous les secteurs d’activité.

Des secteurs d’activité ayant encore de fortes disparités

Selon une étude réalisée par Dares Analyses en 2013, les métiers dits masculins sont très nombreux et concernent en tout 44 métiers spécifiques en 2011. La part des hommes reste plus importante dans la gastronomie, la réparation automobile, la technologie, l’informatique et l’agriculture. Même si le monde agricole tend vers une féminisation progressive (on comptait 8 % de femmes en 1970 contre 27 % en 2010), elles restent encore minoritaires dans cette branche professionnelle. Quant aux métiers dits « purement » féminins, ils demeurent deux fois moins nombreux puisqu’on en dénombre 23 en 2011.

En ce qui concerne l’univers entrepreneurial, les hommes sont très présents dans l’activité des transports et dans l’activité financière. 87 % des hommes évoluent dans les métiers liés à la construction et à l’industrie. Dans le monde du bâtiment, un secteur encore majoritairement masculin, la part des femmes toutes catégories professionnelles confondues est évaluée à 11,1 % et elles ne sont que 6% à être chefs d’entreprise dans ce secteur.

Les entrepreneures sont davantage présentes dans les secteurs tels que le service aux particuliers, l’éducation, la santé et dans le secteur des actions sociales. Les entreprises dites masculines sont majoritairement des PME, allant de 10 à 250 salariés. De manière générale, les femmes entrepreneures sont à la tête de TPE (Très Petite Entreprise), allant de 1 à 10 salariés.

À la recherche de la mixité

Selon cette même étude, on comptabilise 19 métiers « mixtes » en 2011 dont la moitié concerne des métiers de cadres professionnels du droit, des arts et du spectacle, de la communication et de l’information.

Peu à peu, certains secteurs se « féminisent », non pour des raisons d’égalité entre hommes et femmes, mais simplement parce que les sociétés manquent de main d’œuvre. C’est le cas pour les secteurs de l’industrie et du bâtiment où les femmes représentent 10 % des salariés. On remarque que 18 femmes sur 100 salariés sont engagées dans le domaine des transports et 35 % des femmes s’imposent dans le monde industriel. Le commerce aussi est à la portée des femmes, qui sont aujourd’hui 31 % dans ce secteur.

Sécurité sur internet : quels enjeux pour une entreprise ?

L’année dernière, près de 50% des entreprises perdaient encore de l’argent à cause des différents problèmes liés à l’informatique. Un chiffre peu étonnant, quand on sait que seules 30% d’entre elles veillent à la sécurisation des données transmises sur internet.

Quels sont les risques d’une faille de sécurité ?

Un défaut de sécurité au sein du système informatique peut avoir plusieurs répercussions sur la santé de l’entreprise. Si les virus et les programmes malveillants constituent les risques les plus communs, n’oublions pas que les emails frauduleux et le piratage peuvent également venir endommager l’état des appareils informatiques.

Le bon fonctionnement de l’entreprise peut être mis à mal par l’espionnage industriel, qui tend de plus en plus à se développer entre les sociétés d’un même secteur. Les erreurs de manipulation et la malversation peuvent également venir entraver le travail des employés.

Une mauvaise politique de sécurité sur internet peut avoir une répercussion directe sur le fonctionnement de l’entreprise, notamment dans la relation avec les clients. Une faille dans la sécurité peut vous faire perdre des informations confidentielles, ce qui peut non seulement engendrer la perte de votre avantage concurrentiel, mais également une baisse de confiance de vos clients ou fournisseurs concernés par ces informations. Le tout ayant pour conséquence ultime la perte de chiffre d’affaires…

La sécurité sur internet au quotidien

La sécurité sur internet dans les entreprises passe par quelques gestes simples à effectuer au quotidien. Les mots de passe ne doivent en aucun cas être divulgués à des tierces personnes et doivent être redéfinis intégralement tous les mois ou tous les deux mois. Dans le cas d’une réception de mail de la part d’un expéditeur inconnu, mieux vaut en analyser le contenu avant de l’ouvrir. Le numéro de la carte bancaire de l’entreprise ne doit jamais être envoyé par mail ou donné sur un site. Les échanges dématérialisés provoquent de plus en plus d’intrusions de la part des pirates, mieux vaut donc limiter les risques en adoptant ces gestes simples.

Quelles solutions pour une sécurité sur internet irréprochable ?

Pour que la sécurité internet soit garantie au sein d’une entreprise, il demeure indispensable de protéger l’accès au web grâce à des outils comme la solution SiteLock d’Amen. Le réseau informatique doit se trouver protégé dans sa globalité, au même titre que le contenu du site internet de l’entreprise. Ce dernier reste en effet la vitrine principale de la compagnie et l’image qu’il renvoie doit impérativement refléter le sérieux et le professionnalisme de la société.

D’autres astuces simples peuvent permettre d’assurer la sécurité internet d’une entreprise comme la sauvegarde des données informatiques sur un disque dur externe. Ces dernières représentent à la fois tout l’historique d’une entreprise mais également sa base de travail. Il est donc primordial qu’elles soient protégées au maximum. Les courriers électroniques doivent eux aussi être filtrés manuellement ou à l’aide d’un anti-spam automatique. Afin d’anticiper et de prévenir des éventuels accidents de sécurité sur internet, mieux vaut enfin former et sensibiliser le personnel aux différents risques.

Les 10 logiciels à connaître en tant qu’entrepreneur

En tant qu’auto-entrepreneur, il est indispensable d’avoir de bons outils informatiques pour nous aider. Factures, gestion du personnel, prise de rendez-vous, gestion des stocks… A priori beaucoup de logiciels sont sur le marché, mais quels sont les dix logiciels indispensables à avoir en tant qu’entrepreneur ?

1. CIEL AUTO-ENTREPRENEUR

Ciel est le logiciel par excellence, des TPE et PME. CIEL AUTO-ENTRPRENEUR a été conçu en partenariat avec l’APCE (Agence Pour la Création d’Entreprise). Ciel vous aide pour la gestion des contacts clients et fournisseurs, la réalisation de devis, l’édition des factures, et le suivi de votre activité. Logiciel gratuit, il est téléchargeable sur PC ou MAC.

2. SOLEGIS AUTO-ENTREPRENEUR

Solegis est un logiciel commercial dédié aux auto-entrepreneurs. Ce logiciel gère les ventes de vos produits, vos achats, la réalisation de devis, les commandes, l’édition des factures… Solegis vous permet, par ailleurs, d’inclure la fonction de géolocalisation de Google Maps.

3. EBP AUTO-ENTREPRENEUR

Au service des entrepreneurs depuis 1984, EBP vous propose toute une gamme de logiciels pour Windows. EBP (Entreprise de bureautique professionnelle), a conçu divers programmes afin que vous puissiez gérer : la comptabilité, les finances, le secteur commercial, la gestion des clients, et même la paie ! Vous pouvez opter, soit pour télécharger des modèles séparés, soit pour télécharger le pack complet.

4. GESTAN

Gestan est familièrement appelé « le couteau suisse de la gestion d’entreprise ». Gestan est un PGI (ou ERP) c’est-à-dire un logiciel de gestion qui regroupe plusieurs fonctions en une. Gestan vous permet également de suivre votre projet avec précision, ou de calculer le temps passé, par chaque intervenant, sur une tâche précise.

5. MEMSOFT OXYGENE

Le logiciel de comptabilité Oxygène est un logiciel haut de gamme. Il permet la saisie guidée des écritures comptables. Il intègre la gestion de la TVA, le bilan, le compte de résultat, les rapprochements bancaires automatiques…

Le logiciel de gestion commerciale Oxygène couvre les principales fonctionnalités de gestion des ventes comme la gestion des articles et des clients, les devis, BL, règlements…

6. MYAE.FR

Ce logiciel gratuit de facturation en ligne, a déjà été plébiscité par des millions d’auto-entrepreneurs. Ici, le facturier est hébergé et bénéficie d’une sécurité de ses données. L’éditeur peut également accompagner l’auto-entrepreneur dans ses déclarations fiscales.

7. AUTOENTREPRENONS.FR

ComptAE est un logiciel de gestion de facturation gratuit dédié aux auto-entrepreneurs. ComptAE est utilisable sur le site de l’éditeur après inscription. Il permet de réaliser facilement des devis, d’établir des factures et de satisfaire aux obligations comptables. Ce service, offert par Fiducial, vous permet d’être accompagné pendant votre projet.

8. MYFACTURE.COM

MYFacture.com vous propose un outil de gestion très simple, afin de gérer votre portefeuille clients en ligne. Toutes les données sont sécurisées. Les fichiers sont  disponibles à chaque instant et vos factures et vos catalogues sont édités avec le logo de votre entreprise.

9. MACOMPTA.FR

Si vous ne possédez aucune notion de comptabilité, MaCompta.fr est un programme qui vous propose de prendre en charge votre comptabilité. Un tableau de bord vous permet de suivre votre situation financière. Vos données sont sauvegardées quotidiennement.

5 exemples de Junior-Entreprises en France

Les Junior-Entreprises s’adressent à de jeunes étudiants qui travaillent souvent pour des grandes entreprises. Ce sont des associations, à but non lucratif, implantées au sein d’une université ou d’une école (souvent, des écoles de commerce ou d’ingénieur). Aujourd’hui, on ne dénombre pas moins de 165 Junior-Entreprises en France, mais nous ne citerons que cinq des plus dynamiques.

1. Junior ESSEC

Il n’était pas possible de ne pas évoquer une des Junior-Entreprises les plus renommées, à travers la France et l’Europe : Junior ESSEC. Pionnière du secteur, créée en 1967, la Junior Essec se situe dans les locaux de l’école de commerce ESSEC, à Cergy-Pontoise et conserve sa place de leader sur ce marché. Pour l’année 2012 – 2013, la Junior ESSEC représente : 1,6 million de chiffre d’affaires, 5 % de croissance, plus de 80 % des entreprises du CAC 40 ont eu recours à ses services.

2. Marketing Méditerranée

Créé en 1969, cette Junior-Entreprise est implantée directement sur le campus de Marseille dans l’école de commerce Kedge Business School. Spécialisée dans l’audit, le conseil aux entreprises et le marketing, cette Junior-Entreprise se distingue par son ancienneté avec un budget avoisinant les 500 000 €, qui lui permettent notamment de mettre en place de nombreuses initiatives.

3. Junior ESC Grenoble

L’école de commerce de Grenoble est déjà réputée pour faire partie des meilleures écoles et la Junior- Entreprise. Junior ESC Grenoble est spécialisée dans les secteurs de l’industrie et des nouvelles technologies. Elle a déjà séduit et bénéficier de la confiance d’entreprises comme Optic 2000, Seb ou encore Lafarge. Certifiée ISO 9001, Junior ESC Grenoble a réussi à se forger une importante réputation et se classer parmi les meilleures.

4. Altéo Conseil

L’école de commerce Néoma Business School de Rouen a la chance d’accompagner chaque année, plus de trente étudiants. Altéo Conseil est née de la volonté mutuelle de l’école et de nombreux étudiants, de mettre en place une association spécialisée dans la communication, la stratégie et le marketing. Malgré un budget plus faible que les autres Junior-Entreprises, l’association connaît un franc succès et se classe parmi les Junior-Entreprises les plus reconnues, et ce, depuis sa création en 1971.

5. Escadrille Toulouse Junior Conseil

Créée en 1978, ESCadrille Toulouse Junior Conseil est la Junior-Entreprise de Toulouse Business School anciennement Groupe ESC Toulouse. Elle est spécialisée dans les domaines du marketing, de la communication et de la stratégie d’entreprise. L’association réalise de nombreuses prestations dont des études de marché et de satisfaction, des audits RSE et organisationnels… Escadrille Toulouse Junior Conseil se compose d’une trentaine d’étudiants. Parmi les clients de cette Junior-Entreprise, on recense de grands groupes tels que SNCF, Groupama ou encore Vinci.

TOP 5 des plus grosses levées de fonds

Depuis quelques années, les start-ups constituent les principaux centres d’intérêt des investisseurs. Récemment, des sociétés d’envergures variables ont réalisé des levées de fonds exceptionnelles.

1. Uber : 2,8 milliards de dollars

2,8 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros), telle est la somme collectée par la start-up californienne au début de cette année 2015. En révolutionnant la location de véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC) Uber n’a eu de cesse de susciter l’intérêt des investisseurs. La première dotation s’élevant à 1,6 milliard de dollars provenait de la banque d’investissement Goldman Sachs au mois de janvier. Elle a été suivie d’un autre apport de 1,2 milliard de dollars en février. Au cours des 5 dernières années, les fonds levés par Uber se chiffrent à quelque 5 milliards de dollars, grâce à la contribution de plusieurs investisseurs, dont Google Ventures, Wellington Management et Sequoia Capital.

2. Delivery Hero : 523 millions de dollars

Delivery Hero a conclu l’année 2014 sur l’annonce de la collecte de 523 millions de dollars (456,8 millions d’euros) suite à la conclusion de 3 tours de tables. La société allemande spécialisée dans la livraison de repas à travers des commandes en ligne bénéficiait de trois apports, de 88 millions de dollars en janvier, 85 millions en avril et 350 millions en septembre 2014. La société Rocket Internet quant à elle, a injecté 568 millions de dollars (496 millions d’euros) en février 2015 pour acquérir 30 % des actions de la société allemande.

3. Ayden : 250 millions de dollars

Ayden a réalisé une levée de fonds de 250 millions de dollars (218 millions d’euros) en décembre 2014 grâce aux apports de Temasek, General Atlantic, Index Ventures et Felicis Venture. La société néerlandaise propose une solution de paiement en ligne, sur mobile et en magasin physique, supportant 187 devises. Ayden a géré des transactions à hauteur de 14 millions de dollars à travers 250 méthodes de paiement en 2013 et dispose d’un portefeuille de 3 500 clients, dont Facebook, Evernote et Groupon. Grâce à cet apport dans son capital, elle ambitionne de renforcer sa présence internationale, notamment en Asie-Pacifique et Amérique du Nord.

4. Ozon : 150 millions de dollars

Ozon détient désormais le record russe de la plus grosse levée de fonds. La société de commerce en ligne a enregistré un apport de 150 millions de dollars (131 millions de dollars) en avril 2015. Cet apport provient de la société russe de holding, Sistema et de l’opérateur télécom, Mobile TeleSystems. Ozon doit son expansion à l’amélioration de la connectivité à internet dans en Russie. Elle ambitionne désormais de développer ses démembrements, Ozon.ru, Solutions Ozon, Ozon.Travel, O-Courrier et Sapato.ru.

5. Sigfox : 114 millions de dollars

Sigfox, la start-up française de télécommunication a annoncé en février 2015, avoir levé des fonds à hauteur de 114 millions de dollars (100 millions d’euros). Ce troisième tour de table constitue un record pour la société qui a déjà collecté un total de 27 millions d’euros en 2014. Sigfox doit ce nouvel apport à BPIfrance, Partech Ventures, IXO PE, Elaia, Air Liquide, GDF Suez, Telefónica, SK Telecom, Eutelsat et Elliot Managment Corporation. Anne Lauvergeon, PCA de la société annonce que la boîte se concentrera désormais sur sa future présence internationale et sur la stratégie marketing y afférant. En proposant, une alternative au GSM a déjà installé 1 300 antennes de réseaux à bas débit pour couvrir plusieurs localités françaises, espagnoles, et belges.

Quelles aides à la création d’entreprise ?

Le sujet des aides destinées à faciliter la création d’entreprise revient très régulièrement sur le devant de la scène. D’un côté, les chefs d’entreprises et les nouveaux créateurs d’entreprises estiment que ces aides sont insuffisantes pour assurer leur survie. De l’autre, les organismes chargés de verser ces aides souhaiteraient voir leurs montants réduits. Alors qu’en est-il vraiment? Petit tour d’horizon des dispositifs existants et de leurs conditions d’obtention.

Les aides permettant de créer son entreprise avec plus de facilité

Les débuts d’une entreprise pouvant être difficiles et coûteux, l’Etat et les collectivités locales proposent des aides destinées à faciliter la création d’activité ou la reprise d’activité pour les porteurs de projet.

Il peut s’agir du versement d’une prime telle que la prime d’aménagement du territoire qui peut atteindre 15 000€ par emploi créé.

Le Nouvel Accompagnement à la Création ou à la Reprise d’Entreprise a quant à lui vocation à aider les personnes en recherche d’emploi à créer ou reprendre leur entreprise, grâce à un prêt à taux zéro d’un montant de 1 000€ à 8 000€.

Le Contrat d’Appui au Projet d’Entreprise met à votre disposition des moyens techniques et financiers pour faciliter le montage de votre projet, grâce à la signature d’un contrat d’une durée de 12 mois, renouvelable deux fois. Le montant de l’avantage concédé dépend du projet soutenu et des avantages proposés.

Enfin, l’Etat favorise largement la création d’entreprise dans les domaines innovants ou dans certains secteurs en perte de vitesse tels que l’agriculture, grâce à des aides comme l’aide à l’installation des jeunes agriculteurs, qui peut atteindre 35 900€ selon la région d’installation choisie.

Chaque créateur d’entreprise ne sera bien sûr pas éligible à l’ensemble de ces aides, mais il est important d’obtenir la vision la plus large possible des aides existantes, afin que les nouveaux chefs d’entreprise puissent être en mesure d’aller frapper à toutes les portes.

Les aides permettant de faciliter le fonctionnement des entreprises et de dégager de la trésorerie

Une fois l’entreprise créée, les charges peuvent se révéler importantes et limiter la marge de manœuvre des entrepreneurs. L’Etat propose ainsi une exonération d’impôt sur les bénéfices des entreprises installées dans des zones prédéfinies. Cette exonération est totale pendant les 24 premiers mois de vie de l’entreprise, puis dégressive pendant les trois années suivantes.

De même, il existe une exonération de la part revenant à l’Etat sur les impôts locaux de ces mêmes entreprises, permettant ainsi de redynamiser certaines zones. Certaines collectivités locales font également le choix de mettre en place des dispositifs complémentaires à ces exonérations, pour favoriser l’installation et le maintien sur leur territoire. Il convient de prendre l’attache des services compétents pour savoir si votre projet est éligible.

L’Aide au Chômeur Créant ou Reprenant une Entreprise permet une exonération de charges et cotisations sociales pendant une durée d’un an pour les chômeurs qui ont fait le choix de créer leur propre emploi.

Le dispositif d’aides permettant la création d’entreprise semble donc très complet. N’hésitez pas à solliciter toutes les personnes ressources, car votre projet peut sûrement être éligible à certains contrats d’aides.