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Top 10 des couples d’entrepreneurs

Certains sont véritablement faits pour travailler ensemble. Ces couples d’entrepreneurs, complémentaires ou même identiques, ont su tirer de leur complicité et de leur ambition commune de quoi nourrir leurs projets. Découvrez notre Top 10 des couples d’entrepreneurs.

• Jay-Z et Beyoncé : ils connaissent la chanson ! 

Leur fille, Blue Ivy, est sans doute le seul bébé au monde dont le prénom soit une marque déposée. Ces rois des chartes, propriétaires d’un label, de lignes de vêtements, de parfums, de club de basket, de bars et de boîtes de nuit, ont bien évidemment le sens des affaires.

• David et Victoria Beckham : de la célébrité au business

Femme de footballeur, l’ex-Spice Girl est aussi Top Entrepreneur de l’année 2014 au Royaume-Uni et mère de 4 enfants. La force du couple ? Ils ont su utiliser leur image afin de préparer en avance leur reconversion.

• Brad Pitt et Angelina Jolie : toujours glamour

Le vin produit dans leur propriété provençale constitue leur dernière aventure en date. L’acteur le mieux payé d’Hollywood enchaîne les films et les publicités. Quant à Angelina Jolie, elle s’impose dans les lignes de vêtements, les restaurants, les clubs de football, les missions humanitaires et pour les enfants…

• David et Cathy Guetta : les rois de la nuit

Complémentaires, le DJ et l’organisatrice de soirées ont régné pendant vingt ans sur la musique électronique, les nuits de Paris, d’Ibiza et d’ailleurs. Récemment divorcés, ils ont créé ensemble, un véritable empire !

• Bill & Melinda Gates : de Microsoft à la philanthropie

En 1989, « L’homme le plus riche du monde » a rencontré sa femme sur le parking de Microsoft. Ils co-président aujourd’hui la Fondation Bill & Melinda Gates, investie dans l’éducation et la santé.

• Pierre Bergé et Yves Saint Laurent : passion haute couture

En 2014, 2 biopics retracent l’ascension d’Yves Saint Laurent. Pierre Bergé est passionné de théâtre, d’opéra, mécène et homme de presse. Cet homme d’affaires accompagne le talent créatif d’Yves Saint Laurent de 1958 jusqu’à sa mort en 2008.

• Carley Roney et David Liu : le mariage est un business

Quelle meilleure idée que de créer un business autour du mariage en couple ? Ainsi est né The Knot, le guide du mariage en ligne créé par les américains Carley Roney et David Liu. Devenu aujourd’hui XO Group Inc., il est coté en bourse.

• Marco Moreira et Ann Makovitsky : l’amour des bonnes choses

Marco Moreira, chef d’origine brésilienne, a rencontré sa femme à New York et ils créent ensemble Marco Polo Traiteur, puis le restaurant Le Tocqueville, devenu incontournable à Manhattan. Restaurant de sushis, brasserie, et récemment cuisine brésilienne, mais où s’arrêteront-ils ?

• Charline Sagnard et Sylvain Bruyère : l’aventure e-commerce

En couple depuis leurs études, Charline Sagnard et Sylvain Bruyère ont créé la startup Cadeau Maestro en se partageant les tâches. Avec une double compétence informatique et marketing, il est le responsable web et achats, tandis qu’elle gère la comptabilité et la logistique.

• Bérengère et Hervé Lecat : ils ont beaucoup à nous apprendre

Depuis 15 ans à la tête de Complétude, numéro 2 du soutien scolaire à domicile en France, le couple d’entrepreneurs fait l’inverse de ce qu’il professe : ne jamais travailler à la maison. Un bon conseil puisqu’ils viennent de créer Kinougarde, un service de garde d’enfants.

Epris de réussite, entrepreneurs passionnés, dans quel couple vous reconnaissez-vous ?

Créer son entreprise en franchise : où trouver les financements ?

Monter une entreprise en franchise limite considérablement les risques d’échec et de surendettement. Vous commercialiserez non pas un produit ou service anonyme mais un nom qui a déjà fait ses preuves.

Néanmoins, le manque de ressources financières s’annonce comme un obstacle incontournable pour la plupart des entrepreneurs. Comment trouver alors les financements ?

Etape 1 : l’autofinancement

Les réseaux de financement traitent chaque dossier d’entreprise naissante indépendamment des autres. Ainsi, chacun d’entre eux est soumis à des règles de financement spécifiques. Néanmoins, il est impératif pour la création d’une entreprise en franchise de disposer d’au moins 30% du montant nécessaire pour la réalisation de cet investissement.

Comme apport personnel, le futur entrepreneur peut choisir la « love money ». Cette démarche consiste à faire appel à des financements obtenus de la part de votre entourage (amis, famille, proches). Le montant rassemblé peut être ajouté au financement personnel dont vous disposez. Ainsi, vous pouvez augmenter votre apport et élargir votre marge d’autofinancement.

Le prêt à taux zéro est également considéré comme une alternative d’autofinancement profitable. Pour investir dans votre entreprise en franchise, vous pouvez bénéficier de cet emprunt délivré par trois organismes : l’Aide à la reprise et la création d’entreprise (Arce), Initiative France et Réseau entrepreneur.

Etape 2 : Les solutions externes de financement

Une franchise est, par définition, une filière d’une entreprise à succès. Pour cela, il faut compter un financement minimum de 100 000 euros pour monter votre entreprise. Même si vous disposez d’un autofinancement intéressant, vous aurez sans doute besoin d’un apport plus important. Sachez alors que vous avez la possibilité de rassembler ce montant en passant par :

– votre banque : demandez-lui un prêt bancaire ou un crédit-bail. Pour mettre toutes les chances de votre côté, vous devez avoir à votre actif au moins 30% du montant demandé. Autrement, votre emprunt risque d’être refusé.

– la banque publique d’investissement (Bpifrance) : vous pouvez obtenir un emprunt sans garantie auprès de cet organisme financier. Aucune caution personnelle ne vous sera demandée. De plus, elle peut se montrer garante jusqu’à 70% de l’ensemble du prêt, à condition que le montant total du financement ne dépasse pas les 45 000 euros. Vous aurez également la possibilité de rembourser ce montant sur 5 ans.

Etape 3 : le système de la franchise participative

Certains investisseurs semblent ignorer cette alternative de financement lorsqu’ils souhaitent créer une entreprise en franchise. Pourtant, cette solution reste possible et fort profitable. En effet, si le franchiseur lui-même croit en votre projet, il peut vous fournir les fonds nécessaires pour sa réalisation. Pour cela, plusieurs franchiseurs ont mis en place un système de « franchise participative » à travers laquelle ils présentent une aide financière importante pour les entreprises qui souhaitent commercialiser leurs produits ou services. Attention ! Vous devez vous assurer que le montant obtenu de votre franchiseur ne dépasse pas les 40% du chiffre global investi dans ce projet.

Il existe toutefois plusieurs critères de sélection auxquels vous devez être éligibles avant de prétendre à ce type de financement. Pas besoin d’un surcoût initial pour créer votre entreprise en franchise. Ces solutions de financement peuvent donner un réel appui pour la réalisation de votre projet.

5 entreprises françaises qui innovent dans l’e-santé

Voici 5 entreprises françaises qui innovent dans le secteur en plein boom de l’e-santé.

1. MEDISSIMO

La start-up française qui a été récompensée au CES de Las Vegas pour son pilulier communiquant, Imedipac, a pour but de rappeler à son utilisateur qu’il doit prendre son médicament. Créée en 2004, la société emploie aujourd’hui 24 personnes.

2. SANTECH

Est une start-up spécialisée dans l’édition de logiciels pour la santé et notamment l’accompagnement des malades. Travaillant en B to B to C, elle propose aussi une solution d’aide à l’autonomie et au maintien à domicile des personnes âgées.

3. ETIAM 

Est une société rennaise qui commercialise une plateforme de services collaboratifs connue sous le nom de « One-Click Télémédecine ». Cette technologie permet de capturer, échanger et diffuser les données médicales des patients entre les différents professionnels de santé.

4. SERPHYDOSE

A développé Dose-Watch, un logiciel permettant le suivi et l’optimisation de l’exposition des patients aux rayons X. Un travail récompensé, en 2011, par un prix au concours Alsace Innovation, et par l’intérêt de GE Healthcare, qui a acquis l’entreprise.

5. IMAGINE EDITIONS

Est une société qui fabrique des logiciels dont l’objectif est d’informatiser les dossiers des patients pour les médecins. L’entreprise compte 800 clients, 130 salariés et réalise aujourd’hui 9 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Les entrepreneurs féminins et masculins sont-ils si différents ?

Une étude parue hier et réalisée par Axa Entreprises sur un panel de 500 dirigeants de TPE, PME et ETI (hommes et femmes confondus), soulève une seule dissemblance majeure dans le management de l’entreprise entre entrepreneurs féminins et masculins. 

Le capital humain, un élément essentiel pour les entrepreneures

Le bien-être au travail, lutter contre le stress, la mise en place d’une mutuelle santé pour leurs salariés, sont autant d’enjeux primordiaux pour les femmes chefs d’entreprise. Les hommes, toutefois, concernés par ce capital humain, semblent néanmoins moins impliqués que les femmes dans le management des Ressources humaines. 77 % des femmes chefs d’entreprise ont intégré un contrat de prévoyance pour leurs salariés contre 65% pour les hommes.

Parfois, ces nuances dans la gestion d’entreprise suivent une certaine logique. Les femmes ne rencontrent pas les mêmes difficultés dans leur vie professionnelle que les hommes et sont donc plus concernées par certains points sur lesquels elles insistent dans leur politique managériale. C’est le cas par exemple de la lutte contre la discrimination. Les femmes semblent plus soumises à des situations discriminantes dans leur vie professionnelle, ce qui influence les entrepreneures à placer cet élément dans leurs priorités de manager.

Une vision similaire de l’entrepreneuriat entre hommes et femmes

Cette étude nous dévoile finalement que les femmes possèdent les mêmes préoccupations et les mêmes obstacles (à l’exception d’un parcours plus ardu pour y parvenir) que les hommes sur la gestion d’entreprise. Par exemple, 91 % des femmes regrettent que le statut d’entrepreneur ne soit pas assez valorisé en France et 93 % des hommes partagent cet avis.

6 plateformes pour faire de l’achat groupé

Si vous souhaitez vous lancer dans l’achat groupé, voici six plateformes incontournables à explorer, qui vous permettront de profiter d’offres avantageuses et de maximiser vos économie

1. PMEcentrale.fr 

Groupement d’achat de PME indépendantes qui réunit plus de 4 000 entreprises à travers la France issues des secteurs du bâtiment, du paysage, des industries, des services et du commerce. 

2. Placedesenergies.com 

Propose gratuitement aux professionnels de réaliser des économies dans un domaine de dépense important, celui des énergies (que ce soit électricité, gaz, granulés de bois, fioul ou bûches densifiées…)

 3. Haxoneo.com 

Centrale qui permet la mutualisation des volumes d’achats que ce soit des fournitures industrielles, de la location de voiture, de l’équipement de protection, des mutuelles, de l’impression, des emballages ou dans le domaine de la santé. 

4. Reducbox.com 

Abonne votre entreprise à recevoir des offres de réduction dans le domaine des loisirs. à destination des comités d’entreprise et des TPE/PME, le site permet de récompenser les salariés en leur donnant du pouvoir d’achat.

5. Novalto.fr 

Novalto agit sur deux volets : la réduction des coûts de fonctionnement grâce à l’optimisation des frais hors production (bureautique, téléphonie…) et la valorisation des salariés grâce à des remises permanentes sur leurs achats. 

6. lafi.fr 

Plateforme d’achats spécialisée dans les produits informatiques, numériques, audio-visuels et consommables. Permet aux entreprises de toutes tailles de réaliser leurs achats IT au travers d’un portail web privé et personnalisé.

Le groupe Beaumanoir lance un nouvel accélérateur de start-ups

Spécialiste du prêt-à-porter, le groupe Beaumanoir crée un nouvel incubateur de start-up, intitulé le Silicon B, dédié aux projets connectés innovants. Les premiers appels à projets devraient voir le jour avant le début de l’été. 

Un accélérateur pour les start-ups du e-commerce

C’est à l’occasion du forum Start-West qui a eu lieu le 9 avril dernier à Saint-Malo que le groupe Beaumanoir a révélé son nouveau projet pour lequel le groupe investit plus de 10 millions d’euros. Il s’agit de Silicon B, un accélérateur de start-ups spécialisé dans le commerce connecté. La structure accueillera une dizaine de jeunes entreprises de la sphère du e- commerce, toutes sélectionnées selon des critères bien précis : être à la fois une société de moins de 2 ans, avoir réalisé moins de 200 000 euros de chiffre d’affaires au moment de l’inscription et développer un service innovant pour le consommateur.

Profiter de l’effervescence du numérique

Ce projet devrait permettre au groupe Beaumanoir de profiter de la croissance de l’e-commerce tout en se diversifiant le plus possible. Pour l’entreprise, il ne s’agit plus de se cantonner à la filiale du textile mais de s’étendre à l’ensemble du commerce connecté et être au plus près de la demande du consommateur en développant, notamment, son offre en BtoB.

Pour les jeunes entreprises qui intégreront ce projet, l’enjeu est simple : elles pourront bénéficier d’un accompagnement de 3 mois intensif et gratuit qui leur permettra d’optimiser l’utilisation des nouvelles technologies grâce à des « mentors experts » du commerce et à des entrepreneurs du Web et du mobile. Leurs problématiques pourront être résolues car ils auront la possibilité de tester leurs solutions auprès de vrais clients des marques partenaires de Silicon B. A l’issue des 3 mois, les start-ups pourront participer à un Demo Day et proposer leur projet à un ensemble d’industriels et d’investisseurs qui pourront éventuellement le financer.

Comprendre le Web-to-store

Internet est devenu un média utile à tous les commerçants, grande société comme petit artisan, de par la possibilité qu’il offre de pouvoir toucher une plus grande clientèle. Mais ce média a-t-il éclipsé l’intérêt des boutiques physiques ?

L’émergence d’Internet a complètement refondé les méthodes de distribution de toutes les entreprises. Le magasin physique a perdu sa toute-puissance et aujourd’hui, il est devenu nécessaire pour les entreprises désireuses de rester compétitives (et surtout dans l’esprit des clients !) et de trouver un savant équilibre entre magasin physique et boutique en ligne.

Un renversement des méthodes d’achat

Pour bien comprendre l’importance de l’intégration d’internet dans le parcours d’achat, il est intéressant d’étudier le fait que le rapport client-vendeur a été complètement bouleversé avec l’arrivée du web. Le vendeur, il y a une vingtaine d’années à peine, restait un des seuls vecteurs d’informations pour l’achat, le seul à pouvoir transmettre toutes les informations nécessaires au client, quitte à user de cette possibilité pour accélérer la vente.

Aujourd’hui, l’acheteur en saurait presque plus que le vendeur avant de se rendre dans le magasin. Un rapide tour sur Internet pour collecter le maximum d’informations sur le produit suffit à faire passer n’importe quel vendeur pour un amateur dans sa profession. Le rapport client-vendeur s’est vu renversé, et c’est là une donnée primordiale pour les entreprises, qui doivent s’adapter en proposant une stratégie commerciale alliant point de vente physique et présence en ligne. C’est ce que l’on appelle les techniques de « web-to-store », littéralement : du web vers le magasin.

Comment drainer des clients vers la boutique ?

Force est de reconnaître qu’une présence sur le web peut attirer des clients vers votre boutique. Mais comment faire ? Un simple site ne suffit pas toujours. N’hésitez pas à multiplier votre présence sur les annuaires en ligne, et à vous appuyer sur les technologies de géolocalisation pour montrer immédiatement au visiteur où votre boutique se situe.

En ce sens, mette en place des technologies de « store locator » (littéralement : localisation des magasins) s’avère intéressant. Il s’agit concrètement d’une carte, qui permet à l’internaute de trouver le(s) point(s) de vente le(s) plus proche(s) de lui. Cela vous permet de faire en sorte que le produit parvienne directement au client, et qu’il soit ainsi invité à se rendre dans votre boutique physique pour y demander plus de renseignements. Nombre de petits commerces s’efforcent ainsi d’assurer leur visibilité en ligne pour attirer des gens dans leur boutique physique.

Quelques exemples

De nombreuses entreprises, même parmi les plus importantes, ont bien compris cela. L’exemple de la FNAC qui a réussi une bonne transition depuis l’arrivée d’Internet, en partageant son activité en ligne et la présence de ses magasins dans les plus grandes villes de France, ceci pour retrouver le chemin de la rentabilité. L’enseigne Décathlon ou encore Yves Rocher sont quant à eux des champions français du store locator, puisqu’ils affichent sur leur site web une carte détaillée de leurs différentes boutiques, une page dédiée pour chacune qui contient des informations actualisées sur leurs magasins (adresse, numéro de téléphone, horaires), le plan pour y accéder, etc. Ces techniques adoptées par les grandes enseignes peuvent être facilement répliquée, à leur échelle, par les boutiques individuelles et les artisans.

Aucun doute : une stratégie de web-to-store est désormais un incontournable pour toute activité commerciale qui nécessite une boutique physique. En ce sens, opposer web et magasin n’a pas de sens, puisque l’un est au service de l’autre dans un but unique : la vente ! Alors n’hésitez pas à assurer votre présence en ligne et conserver vos boutiques en physique, car une stratégie mêlant les deux possibilités est vouée à la réussite si elle est rondement menée !

Pour aller plus loin

Bientôt un indice

Fraîchement lancé par EnterNext, la filiale du groupe Euronext, dans le cadre de son programme pour la facilité d’accès aux marchés financiers des PME-ETI, l’indice Tech 40 permet d’identifier les jeunes entreprises axées sur la technologie.

40 entreprises nominées

L’initiative a permis à 40 entreprises d’être sélectionnées selon les critères d’EnterNext. En plus des critères sur la performance boursière, les compétences financières et économiques des sociétés seront prises en considération. Le public a eu connaissance de la liste des nominées le 27 avril dernier, et ce, en présence d’Axelle Lemaire, la secrétaire d’État chargée du numérique. Il semble que 67 % des entreprises œuvrent dans le domaine du numérique et le reste touche les secteurs des cleantechs et des sciences de la vie. La majorité des entreprises sont françaises (27), et on retrouve de grands noms comme AuFeminin.com, 1000Mercis, LDLC.com ou encore MGI Digital. On retrouve également 2 sociétés portugaises, 4 Néerlandaises et 7 sociétés belges pour compléter le groupe, qui affiche une valeur boursière totale de 13,9 milliards d’euros.

Un hub européen dans la Tech

Dans un communiqué, Éric Forest, PDG d’EnterNext, a déclaré vouloir que cet indice devienne une référence européenne pour le secteur de la Tech. Outre l’avantage d’être au premier rang des cibles des investisseurs potentiels, les entreprises élues bénéficieront d’un dispositif d’accompagnement spécifique durant une année entière. Elles pourront ainsi participer aux événements commerciaux comme les roadshows, et accéder au club des 40 dirigeants. Les entreprises labellisées seront également cotées sur les marchés grand public d’EnterNext qui regroupent 320 entreprises Tech.

Capgemini va s’offrir les services de la société Igate

Capgemini, spécialiste français du conseil et services informatiques, va absorber Igate, société américaine de technologie, pour un montant de 4 milliards de dollars. Une volonté affichée de s’installer outre-Atlantique, région qui représentera approximativement 30% de l’activité globale de Capgemini dans le monde.

Renforcer sa présence aux USA

Pour bien ancrer sa présence en en Amérique du Nord, Capgemini ne lésine pas sur les moyens et s’offre ainsi un spécialiste du marché nord-américain. Igate affiche un chiffre d’affaires de 1,3 Mds de dollars en 2014 et l’Amérique du Nord représente environ 79% de son chiffre. Cette acquisition permettra à Capgemini de renforcer à la fois son cœur de métier dans les services informatiques, d’infrastructure et dans les activités d’externalisation de services d’ingénierie, mais également de consolider sa présence aux USA dans les secteurs de la grande distribution, de la santé et de l’industrie.

Synergies commerciales et économies en perspective

Avec cette acquisition qui sera effective dès le 2ème semestre de cette année, le groupe informatique comptera dorénavant près de 200 000 salariés à travers le monde. Les responsables du groupe Capgemini estiment que la fusion des deux entreprises permettra des synergies commerciales allant de 100 à 150 millions de dollars, et ils prévoient également des économies de l’ordre de 75 à 105 millions de dollars d’ici 3 ans grâce à l’efficacité opérationnelle qui sera générée.

La start-up MisterBnB lève 2 millions de dollars

Lancée en 2013 à Paris et installée à San Francisco en 2014, la plateforme MisterBnB a récemment annoncé qu’elle a réussi une collecte de fonds de 2 millions de dollars sur le territoire américain, afin d’étendre ses services dans d’autres pays. 

Plusieurs investisseurs en coulisse

Le 21 avril dernier, la plateforme MisterBnB, spécialisée dans les services d’hébergement gay-friendly a annoncé l’obtention de 2 millions de dollars auprès de plusieurs investisseurs américains. Intégré dans la 12e promotion de 500 Startups, l’accélérateur de start-ups installé dans la la Silicon Valley, à proximité de San Francisco, la plateforme MisterBnB a donc réussi son pari en récoltant cette somme astronomique auprès d’investisseurs de renom comme AngelVest, Capital, China Growth, Pole Capital et MicroVentures. Des business angels ont également pris part à cette aventure, comme Jacky Leclerc, fondateur de gayplanet.com.

Développer MisterBnB dans d’autres pays

En regroupant plus de 15 000 hôtes présents dans 130 pays, MisterBnB est aujourd’hui l’un des acteurs majeurs du marché de l’hôtellerie gay mondial estimé à plus de 200 milliards de dollars. Afin de mieux répondre aux attentes de sa clientèle, les administrateurs de la plateforme ont décidé d’étendre leurs services dans d’autres villes. Cette collecte de fonds leur permettra ainsi d’implanter les services de leur site à New York, à San Francisco, à Lisbonne, à Bruxelles, à Londres, à Berlin et à Amsterdam.