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Ces start-up françaises qui ont été rachetées 

Voici 5 start-up françaises qui ont été rachetées.

Wit.ai

Basée à San Francisco, cette start-up fondée par trois français et spécialisée dans la reconnaissance vocale a été rachetée par le géant américain Facebook le 5 janvier dernier. Après avoir levé 3 millions de dollars en octobre 2014, l’entreprise vient de franchir une nouvelle étape.

FlexyCore

Cette start-up rennaise créée en 2008 a mis au point un logiciel qui multiplie la rapidité d’affichage des téléphones fonctionnant sous Android. En 2013, la firme américaine Google dépense près de 17 millions d’euros pour racheter l’entreprise.

Wipolo

Plateforme web qui permet de vous accompagner dans vos voyages, Wipolo a été rachetée en octobre 2014 par le groupe français Accor.

Kolor

Le 28 avril dernier, GoPro annonçait le rachat de la start-up française Kolor. Fondée en 2004, cette entreprise est spécialiste dans la production de contenus panoramiques ou sphériques en haute définition.

Sparrow

Spécialisée dans la gestion d’e-mails pour les produits Apple, la start-up a annoncé son rachat par Google le vendredi 20 juillet 2012. Le montant de la transaction serait de 25 millions de dollars. Un chiffre non confirmé par le cofondateur Dominique Leca.

Les voitures préférées des chefs d’entreprise

Quelles sont ces autos dans lesquelles les cadres aiment rouler des mécaniques ? Berlines, SUVs, breaks, tous les goûts sont dans la nature quand il s’agit de cumuler des kilomètres tout au long de l’année. Et en France comme ailleurs, les dirigeants ont leur préférence en matière de voitures de fonction. Laquelle aimeriez-vous conduire si vous en étiez ?

Vous avez déjà un véhicule de fonction et la trésorerie vous donne le feu vert pour le rachat de votre voiture d’occasion au profit d’une nouvelle ? Voici un petit tour d’horizon des favorites de nos PDG et responsables d’entreprise.

Du côté des berlines tricolores

Tout le monde le sait, les Français sont chauvins, y compris en matière de véhicule de fonction. Et pour défendre la manufacture tricolore, il n’y a pas mieux que les cadres et dirigeants. Parmi leurs marques nationales préférées, on retrouve la nouvelle Citroën DS5 compacte. Celle-ci offre des options pour rester “connecté” à l’extérieur du bureau comme par exemple le Mirror Link. Ce système reproduit le contenu des smartphones Android sur un écran tactile 7 pouces. Cette technologie devrait pouvoir s’adapter aux iPhone 5 et 6 d’ici à la fin de l’année.

Pour ce qui est des berlines françaises, la Peugeot 508 familiale est une parfaite vitrine publicitaire. Particulièrement spacieux et confortable, ce diesel présente des matériaux haut de gamme dont la sellerie en cuir Alcantara. Chez certaines firmes comme Veolia et Eurofeu, on privilégie justement la marque au lion. Pour les plus exigeantes d’entre elles, ce modèle est disponible en versions break et hybride-diesel.

Les japonaises : trapues et attirantes

Passons côté nippon tout en restant chez les cadres moyens. Ils sont nombreux à avoir un certain penchant pour les crossovers. Et à ce jeu-là, c’est la Nissan Qashqai qui gagne. La petite japonaise se distingue par son allure plutôt trapue lui donnant son côté agressif si caractéristique. La sortie de la version hybride Qashqai ZEO est prévue pour 2018.

Les voitures allemandes privilégiées par les cadres supérieurs

Quels bolides germaniques occupent les places de parking réservées ? Malgré des débuts un peu chaotiques (problèmes de freinage entre autres), la Mercedes-Benz Classe A a fini par se démocratiser. En 2012, ses atouts lui ont valu le titre de plus belle voiture de l’année au Festival international automobile. Quatre ans plus tard, elle continue à faire des envieux sur les lieux de travail.

Les supérieurs et manageurs préfèrent quant à eux la BMW X5 ! Ce SUV haut de gamme est le plus imposant des crossovers de ce classement. D’un poids de 2 à 2,3 tonnes, le BMW X5 F15 (sorti en 2013) est équipé d’une boîte à 8 vitesses, pour une capacité de réservoir de 85 L : de quoi parcourir des kilomètres “aux frais de la boîte” !

Pour aller plus loin : 20 applications dont vous ne pourrez plus vous séparer pour votre automobile

Suivre le secteur de l’apprentissage de la conduite

Le permis de conduire représente le premier examen de France avec plus de 1,5 million de candidats chaque année. Depuis l’arrivée d’internet, le secteur de l’apprentissage de la conduite connaît une véritable mutation. Les codes ont changé, de nouvelles entreprises ont vu le jour. Focus.

Quels chiffres pour le secteur ?

Selon une étude de l’Insee datant de 2008, le nombre d’entreprises dans le secteur de l’enseignement de la conduite a diminué de 16 % entre 1998 et 2008 passant de 10 184 à 8 590. Paradoxalement, le nombre de salariés a quant à lui augmenté de 43 % sur la même période. Depuis, le nombre d’entreprises est reparti à la hausse puisqu’il existait 10 592 auto-écoles en France en 2013. Si ce marché n’est pas très connu du grand public, il représentait tout de même un chiffre d’affaires d’1,677 milliard d’euros en 2011. En 2007, ce secteur employait 21 829 salariés en France selon les chiffres de l’Unedic. Parmi eux, il existait autant d’hommes que de femmes et la moyenne d’âge atteignait les 40 ans.

La taille moyenne des entreprises du secteur en augmentation

En 2007, ce secteur reste fortement composé de petites structures. En effet, 43 % des salariés du secteur travaillaient dans une entreprise de moins de 5 salariés. Au fil des années, cette tendance commence à s’inverser avec une augmentation du nombre d’entreprises qui comptent plus de 10 salariés. Entre 1998 et 2008, la part de ces sociétés a été multipliée par trois, passant de 1,2 % à 3,9 %. Si cette part reste encore dérisoire, il demeure important de noter son augmentation et d’en déterminer les causes. Deux explications peuvent être données : le rachat des petites entreprises par les grandes structures et la plus grande polyvalence des activités au sein des auto-écoles. Celles-ci ne se limitent plus seulement à la formation du permis de conduire mais proposent également des activités de sensibilisation à la sécurité routière ou des séances de formation professionnelle.

Un marché qui mise sur la proximité…

Aujourd’hui, la part des entreprises de moins de 10 salariés représenterait encore 96,1 % de l’ensemble des entreprises du secteur. Pour la plupart, il s’agit de TPE isolées dans des zones rurales qui misent avant tout sur le bouche-à-oreille pour se faire connaître, ainsi que sur la convivialité avec ses clients pour entretenir son image. La proximité joue également un rôle prépondérant pour les candidats dans le choix de leur auto-école. L’assiduité aux cours étant primordiale dans la formation, favoriser un établissement proche de son lieu d’étude, de travail ou d’habitation reste souvent un facteur privilégié par les clients. S’installer près d’un lycée ou dans un village semble donc constituer une bonne stratégie pour les entreprises du secteur.

… Mais qui est tombé dans une guerre des prix

Toutes les auto-écoles ont pour obligation d’afficher leurs prix sur la vitrine de l’établissement afin que ceux-ci soient visibles depuis l’extérieur. Chaque auto-école a le droit de pratiquer les tarifs qu’elle veut mais lorsque ces derniers s’avèrent trop élevés face à la concurrence, certains établissements préfèrent ne pas l’afficher. Cette pratique illégale concernerait 10 % d’entre eux selon une étude datant de 2013, menée par l’association de consommateur CLCV. L’affichage des prix demeure indispensable pour une transparence totale vis-à-vis du client. Si le coût moyen du permis de conduire s’élève aujourd’hui à 1 067 euros, il existe une réelle disparité selon les territoires. Selon cette même étude, le coût varie du simple au double en fonction du lieu d’habitation du candidat. Un client qui habite à Lille payera en moyenne 780 euros, quand un candidat qui passe son permis à Paris devra débourser 1 425 euros. Une situation difficile pour les clients. Le passage du permis de conduire serait devenu un luxe.

Des start-up qui donnent un coup de pied dans la fourmilière

En plus des tarifications à la hausse, ce marché demeure vieillissant ou en tout cas n’a pas connu d’évolution majeure depuis des dizaines d’années. L’arrivée d’internet au début des années 2000 ne semble pas avoir modifié la donne. Certaines écoles proposent encore les cours de théorie de la conduite sous format papier alors que des boîtiers électroniques qui enregistrent directement les réponses existent ! Il faut attendre l’année 2014 pour qu’une mini-révolution se produise dans ce secteur avec l’arrivée d’Ornikar, une entreprise qui propose de passer son permis de conduire sans se rendre dans une auto-école physique. Tout le processus d’inscription est géré en ligne et les tarifs semblent imbattables. Dès le lancement de la start-up, d’autres auto-écoles en ligne sont progressivement apparues, comme la start-up lyonnaise PermiGo ou l’entreprise Auto-ecole.net, à la seule différence qu’elles disposent d’un local commercial permettant l’inscription des candidats.

Grogne des acteurs traditionnels et réglementations

L’arrivée de ces nouveaux acteurs ne plaît évidemment pas aux auto-écoles dites traditionnelles. En juin 2014, des associations et syndicats de moniteurs d’auto-école ont porté plainte contre Ornikar pour « exercice illégal de l’enseignement de la conduite ». Si la start-up a gagné la première bataille en 2014, elle a perdu en appel l’année et a été condamné à 10 000 euros d’astreinte. L’entreprise, qui diffusait jusqu’à présent uniquement des cours théoriques sur son site internet a également été condamné à l’arrêt de son activité, jusqu’à l’obtention de l’agrément préfectoral indispensable au lancement de son activité de conduite. En somme, si les start-up du secteur semblent face à un potentiel de développement certain, elles ne parviennent pourtant pas à développer leur business model.

Top 10 des entreprises françaises qui cartonnent à l’international

Voici un top 10 d’entreprises françaises qui cartonnent à l’international, illustrant l’innovation, le savoir-faire et l’influence de la France sur la scène mondiale.

BlaBlaCar

Fondée en 2006 par Frédéric Mazzella, Francis Nappez et Nicolas Brusson, la société spécialisée dans le covoiturage regroupe plus de 20 millions de membres dans 19 pays.

Seb

Le groupe spécialisé dans les produits d’électroménager mise sur une stratégie internationale. 84 % de ses 4,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2015 sont réalisés en dehors de l’Hexagone.

Poma

Leader mondial du transport par câble pour les personnes et les matériaux, l’entreprise grenobloise est présente dans 80 pays et dispose de 6 filiales aux Etats-Unis, en Colombie, au Brésil, en Suisse, en Russie et en Chine.

Bic

Créé en 1945 par Marcel Bich et Edouard Buffard à Clichy, le groupe qui confectionne notamment des stylos et des briquets commence à s’internationaliser à partir de 1954. Aujourd’hui, il est présent dans 160 pays.

Lejay – Lagoute

Productrice de crème de cassis à Dijon, la société remporte en 2006 le Trophée Cap Export du meilleur exportateur vers le Japon.

Poittemill – Forplex

Basée à Bethune dans le nord de la France, cette entreprise qui conçoit des broyeurs réalise 90 % de son chiffre d’affaires à l’étranger. Ses produits sont présents dans plus de 100 pays.

Naturex

Experte dans l’extraction végétale et le développement d’ingrédients naturels, Naturex est présente sur les cinq continents. En 2014, 44 % de ses ventes demeurent réalisées sur les continents américains, 42,9 % en Europe et Afrique et 13,1 % en Asie Pacifique.

Armor

Leader en Europe de la production de cartouche jet d’encre, le groupe Armor réalise 80 % de son chiffre d’affaires à l’export, sur 4 continents et dans 19 pays.

Doublet

Spécialisée dans la conception de support de communication, cette société exporte ses produits dans 70 pays. Elle dispose également de nombreuses filiales notamment en Allemagne, en Espagne et aux États-Unis.

Aplix

Spécialiste de l’auto-grippant, elle dispose en plus de ses usines en France, deux usines aux Etats-Unis, une au Brésil et une en Chine.

Ces idées de business complètement farfelus

Découvrez 7 idées de business complètement farfelus … mais qui marchent réellement !

1. Louer un paparazzi

Comme toute idée d’entreprise naît d’un besoin chez le client, l’américaine Tania Cowher s’est saisie de cette tendance pour monter un business farfelu certes, mais prometteur. Grâce à cette entreprise, vous pouvez désormais avoir votre moment de gloire et vivre comme une vraie star le temps d’une journée. Celeb4aday vous donne la possibilité de circuler en limousine, d’être harcelé par des paparazzis, d’être entouré de gardes du corps… Tout ce qu’il faut pour que vous ayez l’impression d’être une personnalité célèbre.

2. Fabriquer des bréchets industriels

En France, mais surtout aux Etats Unis, le bréchet n’est pas uniquement une partie de la cage thoracique du poulet. C’est aussi le support d’un jeu de chance ancestral. Celui qui obtient la partie la plus grande obtient un gage de bonheur et de prospérité. C’est ainsi que l’entreprise Lucky Break Whishbone a vu le jour. Née d’une idée simple, ce business compte aujourd’hui plus de 674 000 euros de chiffre d’affaires avec 360 000 de bréchets fabriqués chaque année.

3. Le pigiste du père-noël

Si les enfants du monde occidental ont un seul rêve ce serait de recevoir une lettre du père noël. Cette fantasmagorie : les rois du business l’ont bien comprise ! C’est pourquoi il existe plus d’une entreprise aux Etats Unis, en Grande Bretagne et en France qui proposent ce type de service : une lettre personnalisée et timbrée du pôle nord. Le leader dans ce domaine reste l’entreprise américaine Santamail qui a envoyé plus de 200 000 lettres depuis 2002, date de sa création.

4. Un vol spécial pour les animaux

Avec ces chiens blessés en soute, effrayés et parfois même égarés, l’idée d’une compagnie aérienne spécialement dédiée aux chiens s’est imposée d’elle-même. Fondée en 2008 aux Etats-Unis, Petairways propose des formules complètes pour satisfaire des clients aguichés de leurs animaux de compagnie et très soucieux de leur bien-être.
Cependant, les animaux voyagent seuls. Comptez pour un vol New-York Chicago un billet de 200 dollars.

5. Vendre ses cheveux

Dans l’univers féminin, qui dit glamour dit longue chevelure. Jacalyn Elise, co-fondatrice de Thehairtraider.com a alors eu l’idée de monter un site internet qui met en relation des vendeurs et acheteur de cheveux naturels. Ces cheveux servent à confectionner des extensions, des perruques et des postiches. Une tendance qui ne risque pas de s’éteindre de sitôt !

6. Adopter un olivier

Si les pays méditerranéens regorgent d’arbres d’oliviers, les pays occidentaux en comptent de nombreux adeptes. Des entreprises proposent alors d’adopter un olivier avec un certificat authentique qui vous permet de recevoir toute sa récolte en huile d’olive, soit 1 à 3 litre par an. Encore un business qui surfe sur la vague du bio ! Si l’adoption des oliviers en France en est à ses débuts, celui des ruches a une certaine avance. L’entreprise « Un toit pour les abeilles » vous propose 6 pots de miel pour seulement 70 euros par an.

7. Louer une famille

Finissons par un business aussi farfelu qu’amusant : la location de parents ! Au Japon, l’entreprise Hagemashi Tai, fondée en 2006, met à la disposition de sa clientèle des mères ou pères pour aider les enfants à faire les devoirs, à discuter, sortir. Une réelle solution (ou pas) pour les parents célibataires qui souhaitent offrir un certain équilibre affectif pour leurs enfants !

5 personnalités politiques proches de l’entrepreneuriat

Il existe depuis toujours de nombreuses similarités entre le monde politique et celui de l’entreprise. Politique et économie semblent en effet indissociables de nos jours, alors quelles sont ces personnalités politiques favorables à l’entrepreneuriat ?

Un ex président en faveur des entreprises

Nicolas Sarkozy constitue sans nul doute l’exemple typique de l’homme politique qui a su garder un lien très fort avec le monde de l’entreprise. Ami de longue date de Martin Bouygues et Bernard Arnault qui font partie des plus grandes fortunes de France, Nicolas Sarkozy n’a eu de cesse de supporter l’entrepreneuriat français. À l’origine de nombreuses mesures fiscales incitatives comme le projet de suppression des 35h, l’allègement de la taxe professionnelle ou encore la création d’un fonds public d’intervention et d’aide aux entreprises, l’ex président de la République a souvent œuvré en faveur des grands patrons et des PME.

DSK et le monde des affaires

Homme politique à la réputation sulfureuse et ancien directeur général du Fonds Monétaire International, Dominique Strauss-Kahn a toujours soutenu le monde entrepreneurial. Ancien avocat d’affaires rompu au monde financier et économique, DSK a aussi été ministre de l’Économie du gouvernement Lionel Jospin en 1997. Celui-ci a même créé en septembre 2012 la société de conseil Parnasse, et s’est associé l’année suivante avec l’homme d’affaires Thierry Leyne dans la banque d’affaires luxembourgeoise LSN. Le Cercle de l’Industrie créé en 1993 en association avec Raymond Lévy, l’ancien PDG de Renault, avait alors pour but de défendre l’industrie française et faire du lobbying à Bruxelles.

Femme politique et femme d’affaires

Autre figure qui a toujours exercé ses fonctions pour soutenir l’entrepreneuriat, Christine Lagarde a collaboré au sein du gouvernement François Fillon entre 2007 et 2011 sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Brillante avocate d’affaires qui a travaillé pour Baker & McKenzie, l’un des plus importants cabinets d’avocats au monde, celle-ci est classée 5ème femme d’affaires en Europe par le Wall Street Journal Europe. En tant que ministre, Christine Lagarde a œuvré pour l’entrepreneuriat en adoptant des mesures de défiscalisation des heures supplémentaires et d’allégement des droits de succession. Sur son initiative, la loi de modernisation de l’économie de 2008 avait pour but d’encourager les entrepreneurs en raccourcissant notablement les délais de paiement et en imposant de sévères sanctions aux mauvais payeurs.

Le trésorier et spécialiste des mesures fiscales incitatives

Actuel maire de Chantilly, Éric Woerth a été secrétaire d’État et ministre entre 2004 et 2010. Chargé pendant longtemps du poste informel de trésorier et de collecteur de fonds pour l’ex RPR puis l’ex UMP, Éric Woerth a toujours soutenu les dirigeants de nombreuses multinationales françaises. Ce dernier est en effet proche des principaux actionnaires du groupe L’Oréal, dont Liliane Bettencourt l’héritière et 10ème personne la plus riche au monde avec plus de 40 milliards de dollars de revenus. Celui-ci dans un souci de soutien aux entreprises a lutté contre l’évasion fiscale afin de soutenir la compétitivité française et protéger les revenus nationaux des grands groupes industriels de la fuite des capitaux à l’étranger.

Le spin doctor à la française

Jacques Attali est sans doute l’une des personnalités les plus influentes du monde politique. L’ancien conseiller de François Mitterrand puis de Nicolas Sarkozy multiplie les casquettes. À la fois essayiste, économiste et proche des personnalités politiques influentes, Jacques Attali a également fondé de nombreuses entreprises dont Positive Planet et Attali et Associés, et est également membre de plusieurs conseils de surveillance et d’administration chez Kepler Cheuvreux, Pharnext et Slate.fr. Il est ainsi à l’origine de nombreux projets pour les entreprises, dont la commission pour la libération de la croissance française ou celle pour l’économie positive visant à améliorer la compétitivité des entreprises.

Salon de l’entreprise Aquitaine

Descriptif de l’événement

Le Salon de l’Entreprise Aquitaine, événement référent pour la création et le développement d’entreprises le salon de l’entreprise aquitaine accompagne, informe et conseille les entreprises dans leurs différentes phases de développement telles que la création, la reprise ou la transmission.

Depuis plus de 15 ans, cet événement est l’occasion pour les entrepreneurs de rencontrer et d’échanger avec plus de 100 partenaires prêts à partager leur expérience, leur savoir-faire et surtout à trouver avec chaque visiteur les moyens d’avancer.

Pour favoriser les échanges et présenter aux visiteurs une offre en adéquation avec leurs ambitions, le salon est organisé en 3 zones :

  • La boîte à idées
  • Monte ta boîte
  • Booste ta boîte

Retrouver également Franchise et Commerce Associé DAYS, un salon dans le salon totalement dédié à cette forme d’entrepreneuriat !

Organisé par l’association entreprendre il a une vocation pédagogique et partenariale très affirmée qui lui offre un caractère à la fois professionnel et convivial.

Lieu de l’événement

Palais des congrès de Bordeaux
Avenue Jean Gabriel Domergue 33300 Bordeaux

Dates et horaires de l’événement

6 & 7 AVRIL 2016 – (9h/18h et 9h/17h30)

A qui s’adresse cet événement ?

Porteurs de projets, créateurs d’entreprise, chefs d’entreprise

Frais de participation

Gratuit

Site internet

www.salon-entreprise.com

Lien d’inscription

La Maison blanche sur Snapchat : analyse d’une stratégie de communication

Le lundi 11 janvier 2016, la Maison Blanche des États Unis faisait son entrée sur Snapchat. Elle poursuivait de la sorte une communication connectée avec ses citoyens engagée depuis déjà quelques temps. Sa souscription à Snapchat permet de toucher un nouveau public, d’instaurer une relation de proximité entre les pouvoirs publics et la population et enfin de mettre en valeur les actions politiques engagées. En quoi cette stratégie de communication est-elle la bonne ? Pourquoi les entrepreneurs peuvent-ils s’en inspirer ?

La jeunesse, une nouvelle cible

En perpétuelle croissance depuis sa création, Snapchat enregistre 100 000 millions d’utilisateurs dont 60% des utilisateurs américains se situant entre 13 et 34 ans. La Maison Blanche souhaite se rapprocher de ses jeunes citoyens « là où ils se trouvent ». Sa présence sur Snapchat vise d’abord à les intéresser, en tant que futur électorat, aux questions politiques et sociales, et permet ensuite d’être à leurs côtés de manière innovante et créative. Lors du premier débat des primaires républicaines, par exemple, on a noté un suivi de la part des jeunes davantage depuis leurs réseaux sociaux que depuis un poste de télévision.

Un accélérateur de communication

Snapchat est le réseau social de l’instantané. La communication traditionnelle, à l’heure de la technologie, a ses limites. Le complément par un volet 2.0 offre une relation de proximité entre les citoyens et l’Etat, alors qu’il était souvent reproché à ce dernier d’être déconnecté de la réalité. Il n’existe plus d’intermédiaire entre la Maison Blanche et l’utilisateur. De plus, les images ont plus d’impact que ne pourraient en avoir les mots parfois.

La mise en valeur des actions politiques engagées

Les journalistes ne sont plus les seuls à faire circuler l’information. Le fait pour la Maison Blanche, à travers cette application, d’utiliser les médias sociaux, de partager et de commenter l’information permet une valorisation de sa politique. Il y a un apport rapide et continu de ses actions, qui par ailleurs demeure contrôlé par les pouvoirs publics eux-mêmes. Snapchat permet également de partager des informations exclusives. Par exemple, la Maison Blanche a souhaité faire partager l’envers du décor du traditionnel dernier discours sur l’état de l’union du Président Obama, créant ainsi une certaine transparence et pouvant donc mener à une relation de confiance nouvelle entre les acteurs politiques et la population. Les chiens du Président américain ont également contribué à ce nouvel effort vers une recherche constante de confiance. Enfin, l’application donne l’opportunité d’interagir avec les utilisateurs ce qui répond à la volonté de la population d’être associée aux actions du gouvernement.

Dès lors, l’apparition de la Maison Blanche sur snapchat est presque révolutionnaire mais s’insère dans une nouvelle conception de la communication déjà revendiquée. La croissance exponentielle de l’application confirme un choix stratégique réussi. Et les entrepreneurs pourraient s’en inspirer pour mieux communiquer sur le web !

Forum Entreprendre MXL

Acteur incontournable de l’entrepreneuriat en PACA le Forum Entreprendre MXL (ancien génération entreprendre) est le rendez-vous des porteurs de projet, jeunes entrepreneurs d’aujourd’hui et de demain et entrepreneurs expérimentés.

Descriptif de l’événement Forum Entreprendre MXL

Il est consacré à la création, à la reprise et au développement d’entreprise. Les professionnels du monde de l’entrepreneuriat (acteurs privés, structures publiques, institutionnels, monde associatif) se retrouvent sur deux jours pour conseiller les visiteurs et les guider dans leur prise de décision.

Organisé par l’association entreprendre il a une vocation pédagogique et partenariale très affirmée qui lui offre un caractère à la fois professionnel et convivial.

Lieu de l’événement

Parc Chanot
Palais des congrèsRond point du Prado13 009 Marseille

Dates et horaires de l’événement

Jeudi 24 mars 2016 de 10h à 18h
Vendredi 25 mars 2016 de 10h à 16h

A qui s’adresse cet événement ?

Aux entrepreneurs et porteurs de projet

Frais de participation

Gratuit

Mutuelle obligatoire : contrainte ou opportunité pour les entrepreneurs ?

Depuis le 1er janvier 2016, l’intégralité des chefs d’entreprise, à l’exception de ceux du secteur public, ont l’obligation de proposer à leurs salariés une mutuelle santé de groupe. La complémentaire proposée doit au moins couvrir un minimum de garanties aux bénéficiaires, telles que définis par la loi, et le chef d’entreprise doit participer au moins à hauteur de 50% de la cotisation. Mais au-delà de la stricte application de la loi, quelles sont les conséquences pour un entrepreneur de la mise en œuvre d’une telle mesure? Est-ce une vraie contrainte ? Ou l’entrepreneur peut-il en tirer un avantage ?

La contrainte de l’application de la mesure de complémentaire de santé pour le chef d’entreprise

La première contrainte imposée par la complémentaire santé obligatoire résulte du coût d’une telle mesure pour les entreprises. En effet, l’entrepreneur doit désormais s’acquitter d’au moins la moitié de la cotisation de l’ensemble de ses salariés, ce qui représente une dépense de fonctionnement nouvelle, qui peut parfois mettre en péril la santé financière de petites entreprises déjà fragilisées. De même, cette nouvelle obligation augmente le coût de revient d’un salarié, ce qui n’est pas en faveur du recrutement de nouveaux salariés. Enfin, la complémentaire santé choisie par l’entreprise s’impose aux salariés présents et futurs (sauf cas particuliers comme ceux bénéficiant déjà d’une mutuelle avant la signature des accords, à condition que la convention collective le prévoit, ou ceux couverts en qualité d’ayant droit par la mutuelle de leur conjoint), ce qui peut donner lieu à des désaccords entre le chef d’entreprise et le salarié. Certains salariés y voient en effet un sérieux obstacle à leur choix de ne pas adhérer à une complémentaire de santé, qu’ils peuvent considérer comme une dépense supplémentaire, ou inadaptée.

L’obligation de proposer une complémentaire de santé peut être un avantage pour l’entrepreneur

A condition d’être préparée suffisamment en amont, la mise en place de l’obligation de complémentaire santé au sein de l’entreprise peut être une mesure bénéfique pour l’entrepreneur. D’un point de vue fiscal, les dépenses de complémentaire santé pour les salariés ouvrent droit à des réductions fiscales sur le bénéfice imposable de l’entreprise. De même, les contributions patronales bénéficient d’une exonération de charges sociales. Enfin, au-delà de simples avantages fiscaux, dans le cadre de la nouvelle réglementation, la cotisation est partagée entre l’entrepreneur et le salarié. Mais pour le chef d’entreprise, la complémentaire santé proposée à ses salariés constitue également un avantage en nature, qui permet d’attirer des salariés, et de fidéliser ceux déjà employés. Il s’agit donc d’une vraie mesure entrepreneuriale en faveur des salariés, dont le coût reste modéré et maîtrisé par l’entrepreneur. De même, une vraie couverture santé complémentaire pourrait permettre de réduire le taux d’absentéisme, pour raisons de santé notamment, des salariés au sein de l’entreprise.

Il s’agit donc d’un réel investissement de votre part si vous envisagez d’embaucher un apprenti ou un jeune en contrat pro.