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Investissement dans la pierre, toujours le vent en poupe ?

Le Télétravail, les nouvelles méthodes de travail, la mobilité géographique vont-ils modifier l’investissement immobilier. Pour la 5e année consécutive, le réseau immobilier Optimhome, par le biais d’une étude menée avec l’Ifop, s’est penché sur le comportement des français concernant le marché de l’immobilier face aux enjeux socio-économiques.

L’enquête a été réalisée du 26 février au 4 mars 2019 par l’institut Ifop auprès d’un échantillon de 1 503 personnes représentatif de la population française âgée de 25 à 65 ans. Parmi elles : 330 Millenials (25-34 ans, nés entre 1984), 241 Xennials (35-41 ans, nés entre 1977 et 1983) et 424 Génération X (42-52 ans, nés entre 1966 et 1976)

Devenir propriétaire, toujours un engouement

Pour devenir propriétaire, l’endettement ne fait pas peur. En effet, Les Français sont prêts à s’endetter plus longtemps pour devenir propriétaires. Près de la moitié des personnes interrogées ont eu recours à un crédit de plus de 21 ans cette année (48%) contre seulement 32% en 2018. D’ailleurs, le recours à un crédit pour acquérir sa résidence principale est stable et toujours très élevé. 82% des personnes concernées y ont en effet eu recours c’est-à-dire un score identique à celui de 2018).

Quelle méthode pour trouver le bien immobilier ?

Les Français n’hésitent pas à utiliser tous les moyens qui sont mis à leur disposition : utiliser des portails d’annonces 73%, 67% le site PAP, 28% les applications pour smartphone ou tablette, et 22% les réseaux sociaux comme Facebook.

Cependant, l’importance des relations humaines est soulignée que ce soit des informations issues de professionnels de l’immobilier 71%. Mais l’impact des vitrines des agences immobilières est loin d’être négligeable 70%.

Pourquoi choisir un professionnel de l’immobilier ?

Les attentes à l’égard d’un conseiller immobilier sont plurielles : réactivité (25%) ; sa réputation (23%) ; la personnalisation de ses conseils (22%), et ses qualités d’écoute (22%). Toutefois, les services les plus attendus de la part d’un professionnel de l’immobilier sont avant tout financiers. Comme en 2018, 71% des Français attendent des professionnels de l’immobilier qu’ils fassent une estimation la plus fiable possible de la valeur du bien sur le marché (premier service cité parmi la liste proposée).

Le constat est que le recours aux professionnels de l’immobilier progresse fortement cette année, qu’il s’agisse d’un achat ou d’une vente : 68% y ont recours pour l’achat cette année et 74% pour la vente. Il est particulièrement significatif dans le cas de la vente de la résidence principale : il enregistre en effet une hausse remarquable sur trois ans (74% contre 62% en 2016).

Le digital, un appui pour trouver le bien immobilier

Dans la recherche de bien immobilier, le digital est apprécié pour ses services innovants et facilitateurs lors de la visite. Cependant, Il ne remplace pas la présence physique lors de l’étape clé de la signature.

La mobilité géographique, une incitation

Une forte proportion des Français envisagent la mobilité géographique est concrètement. 40% pourraient réaliser une mobilité géographique dans les cinq prochaines années. L’intention de mobilité n’est toutefois pas homogène selon les différentes catégories de population.

Les transports, un levier de mobilité

L’efficacité des moyens de transport (44%) constitue le principal levier permettant de déclencher une mobilité géographique, suivi par une plus grande facilité à être en télétravail (21%). Ce dernier constat démontre que, pour beaucoup de Français, la corrélation des conditions de travail plus confortables est étroitement corrélée à une perspective de mobilité géographique.

Bordeaux et Nantes toujours plébiscitées

Bordeaux et plus généralement l’Ouest de la France demeurent particulièrement attractifs pour investir dans l’immobilier. Elle arrive encore en tête (citée par 19%) devant Nantes (12%) qui précède cette année Paris (11%).

Le télétravail, un enjeu ?

Le lien entre enjeux immobiliers et télétravail est significatif. La pratique du travail à distance se trouve en effet chez 45% des acheteurs récents d’une résidence principale ; 55% de ceux d’un bien immobilier locatif, 54% des vendeurs d’une résidence principale et 58% de ceux d’un bien immobilier locatif. Or, près d’un tiers des Français actuellement en poste ont recours au télétravail (32%). La pratique du télétravail est différente selon les situations. Elle atteint 37% chez les Millenials, 62% chez les cadres et 41% chez les habitants de l’agglomération parisienne. Pour 72 % des 25-65 ans actifs occupés, le recours au télétravail incite à réaliser une mobilité géographique, dont 76% chez les femmes et 69% chez les hommes.

Le logement durable, un critère essentiel

La performance énergétique du logement s’impose de surcroît comme un enjeu dans l’immobilier. Ainsi, 85 % des Français estiment que la valeur d’un logement dépendra de sa performance énergétique dans l’avenir proche. Ils acccordent une attention particulière à l’espace environnant des habitations et aux politiques durables de la ville dans la décision d’achat des Français. Près de la totalité des 25-65 ans estime que la présence d’un espace vert à proximité est importante (91%). De même, plus de huit sur dix jugent « qu’une politique volontaire de la ville en faveur du développement durable, et notamment en matière de tri des déchets », est importante au moment d’acheter un bien immobilier (84%, +2 points).

Les mesures gouvernementales incitatrices :

La reconduction jusqu’en 2021 du prêt à taux zéro (PTZ) : 87% estiment que cela aura des conséquences plutôt positives ainsi que la suppression de la taxe d’habitation 82%.
La reconduction jusqu’en 2021 du dispositif de défiscalisation Pinel, qui permet à tout investisseur achetant un logement neuf dans le but de le louer, de bénéficier d’une réduction d’impôt (77%).

L’insertion professionnelle des jeunes cadres s’améliore

L’insertion professionnelle des diplômés de l’enseignement supérieur serait en bonne voie surtout pour les jeunes cadres après six mois d’obtention du diplôme, selon le dernier baromètre de l’association pour l’emploi des cadres (Apec) publié jeudi 11 avril. Focus sur ce baromètre empli d’enseignements.

Deux bonnes nouvelles

94% des jeunes diplômés de niveau bac +5 et plus de la promotion 2017 ont déjà eu une expérience professionnelle dans l’année qui a suivi l’obtention de leur diplôme. Le taux d’insertion demeure élevé par rapport à l’année précédente (94% pour la promotion 2016) et s’améliore par rapport à la promotion 2015 (92%).
De plus, les jeunes diplômés(es) 2017 (niveau Bac +5 et plus) se sont insérés(es) encore plus rapidement et dans de meilleures conditions que les promotions précédentes. La part des jeunes diplômés (es) en emploi 6 mois après leur diplôme progresse (76 %). Le taux d’emploi à 12 mois reste élevé (85 %). Les jeunes diplômés(es) en poste 12 mois après l’obtention de leur diplôme sont plus souvent cadres (62 %) et en CDI (68 %) que les promotions précédentes.

Des écarts en hausse entre filières et certains profils

Il est difficile on peut le constater malgré les évolutions des emplois de diminuer l’écart entre les filières. Le taux d’emploi à 12 mois reste plus élevé dans les filières scientifiques et économiques. De plus les écarts avec d’autres autres filières se creusent : par exemple, 88 % en droit, économie, gestion contre 81 % en sciences humaines et sociales. Les jeunes à la recherche d’un emploi ne partagent pas le sentiment général d’amélioration : leur optimisme sur leurs perspectives est en baisse (61 %).

Les jeunes diplômés(es)en recherche d’emploi moins optimistes

On leur demande souvent de faire des concessions qui ne doivent pas être sous-estimées tant sur la rémunération que sur lieu du travail. Pour garder des talents dans ces conditions, le recrutement sera moins aisé.

La situation des jeunes diplômés (es) de la promotion 2017 en recherche d’emploi 12 mois après la fin de leurs études apparaît moins favorable que pour les promotions précédentes. Le nombre d’entretiens obtenu ainsi que le nombre d’entreprises où des entretiens ont été passés sont tous deux en baisse. Parmi les 78 % de jeunes qui en ont passé, le nombre moyen est de 7 entretiens dans 6 entreprises différentes.

L’idée de devoir faire des concessions pour obtenir un emploi s’est généralisée. Le taux de jeunes qui n’en accepte aucune tombe cette année à zéro. C’est sur le fait de déménager et le montant de la rémunération que cette acceptation est la plus marquée, tandis que sur l’idée d’un contrat temporaire, elle baisse un peu mais demeure à un niveau très élevé (86 %). Par rapport à la précédente promotion, les jeunes diplômés(es) de la promotion 2017 en recherche s’affichent plus pessimistes (39 %), ce qui traduit très vraisemblablement l’accroissement des difficultés qu’ils rencontrent.

Méthode : cette vague du baromètre repose sur l’interrogation de 500 jeunes diplômés de niveau Bac +3/4 et Bac +5, et de 1.000 jeunes diplômés(es) de niveau Bac +5 ou plus, âgés de 20 à 30 ans au moment de l’enquête, ayant obtenu leur diplôme en 2017 et résidant en France métropolitaine. Le terrain téléphonique entre le 22 janvier et le 16 février 2019 par l’institut Praxidia, à partir de fichiers externes à l’Apec exclusivement.

Les automobilistes urbains prêts à renoncer à leur véhicule personnel ?

Symbole de position sociale, signe de richesse mais aussi de commodité et de liberté, la voiture individuelle semble ne plus être le moyen favori pour se déplacer en zones urbaines.

L’étude réalisée, par l’Ifop à la demande de la société de location Sixt, sur les mobilités partagées et la multimodalité menée auprès de 1 500 urbains adultes habitant dans des communes de plus de 20 000 habitants met en exergue que 60% des Français urbains estiment être dépendants de leur véhicule personnel, dont 28% très dépendants.

Les causes, on les connaît, et elles se trouvent dans l’offre des transports en commun qui ne répond pas aux besoins des habitants des grandes villes. L’utilisation des vélos et trottinettes, qui s’est imposée de manière spontanée, ne remplace pas les nombreux atouts de la voiture individuelle (enfants, transports de colis après achat…)  mais aussi parce que la voiture individuelle représente la liberté et un gain de temps. Pour 42% des personnes interrogées, le manque d’offres de transports alternatives justifie cette dépendance au véhicule personnel. Il est évident que les nombreux interdits et qui sont loin d’être anecdotiques comme par exemple dans les autobus de transporter des objets qui dépassent un certain format rendent difficile la suppression de la voiture.

Pourtant, tout porte à abandonner la voiture individuelle

95% des automobilistes urbains affirment rencontrer des freins à l’utilisation de leur voiture. Le coût à l’usage cité par 60% des automobilistes, le coût à l’acquisition (38%), les difficultés de stationnement (38%), les difficultés liées au trafic (32%) ou de la volonté d’être plus respectueux de l’environnement (21%).

Et les urbains n’hésitent pas diversifier leurs modes de déplacement, les adaptant à leurs besoins. Si les bouchons se multiplient, ils abandonnent leur voiture pour les transports en commun, si les parkings sont trop onéreux comme pour Paris, ils n’hésitent pas à laisser leur voiture aux portes de Paris…Ils adaptent avec subtilité et bon sens leurs modes de déplacement. Ainsi, ils sont 66% à effectuer régulièrement des trajets multimodaux et 1/4 d’entre eux le font plusieurs fois par semaine.

Voiture en location, en libre-service ou partagée, les solutions alternatives ?

Un utilisateur régulier de véhicules partagés sur deux (49%) considère qu’il aura un usage plus fréquent des véhicules en location dans les prochaines années. Plus d’un tiers des individus n’ayant jamais utilisé de véhicules partagés (28%) envisage de le faire sous peu. Ainsi, ils sont 64% à se projeter dans l’utilisation de véhicules en libre-service et 63% dans la location de voitures. Les mentalités changent doucement mais sûrement.

Quelles en sont les raisons ?

L’étude montre que 69% des Français urbains considèrent que les véhicules partagés permettent de réduire la congestion du trafic dans les villes, ainsi que le coût global des transports quotidiens. De même, ils sont 65% à considérer que c’est un bon moyen de lutter contre la pollution de l’air.

Quelles sont les idées innovantes ?

Selon l’étude 32% seraient prêtes à renoncer à leur véhicule personnel au profit des mobilités partagées. Cette proportion s’élève à 44% pour ceux qui ont déjà utilisé des véhicules partagés et à 77% pour ceux qui en utilisent de manière régulière.

« Les alternatives à l’utilisation du véhicule personnel offrent de nombreuses réponses au défi climatique comme à ceux de la révolution des mobilités ou du désenclavement des territoires… il sera nécessaire de développer les mobilités alternatives dans leur diversité : transports en communs, micro-mobilités, co-voiturage, autopartage, location de véhicules à des professionnels et des particuliers, véhicules en libre-service, etc. Plus l’offre sera large et diverse, plus les Français auront la possibilité d’adopter des solutions de mobilités alternatives correspondant réellement à leurs besoins. » comme le souligne Jean-Philippe Doyen, Président de Six France

Parmi les solutions qui pourraient les inciter à utiliser plus fréquemment des offres de mobilité partagée, les Français urbains citent en priorité « une densité accrue des offres de transports en commun » et « un coût des transports collectifs et de l’autopartage réduit » mais également « une offre plus importante de véhicules partagés » ou « des voies de circulation réservées aux transports partagés ».

Les Français urbains sont 90% à considérer qu’il est primordial (55%) ou important (35%) de renforcer la densité de l’offre de transport collectif, mais aussi 77% à soutenir le développement des services de mobilités partagées sur l’ensemble du territoire.

De l’importance d’organiser son lieu de travail

Légende : Un espace rangé, un travail plus efficace

Le diable se trouve dans les détails, et ces détails ont souvent une grande importance et peuvent finir par être ce qui fait la différence entre une compagnie qui survit et une compagnie qui réussit. Cette règle très générale est une vérité pour absolument tous les composants d’une entreprise et concerne donc également ce que l’on appelle couramment le plan de travail, à savoir l’espace dans lequel vos employés vont évoluer. Même s’il est difficile de donner des chiffres précis, il a été prouvé à de nombreuses reprises qu’un lieu de travail organisé de manière efficace et agréable augmente de manière sensiblement significative l’efficacité des personnes y travaillant.

Bien entendu, pour vous aider, nos amis américains, passés maîtres dans tout ce qui concerne la vie de l’entreprise et la gestion de celle-ci, ont développé une méthode assez simple pour savoir comment ranger et ordonner le lieu de travail. Ils ont appelé cela la méthode des 5S, pour Sort, Straighten, Shine, Standardize et Sustain. Une traduction française adéquate a toutefois été trouvée pour les moins anglophones d’entre vous, et qui se retrouve sous l’acronyme ORDRE, pour Ordonner, Ranger, Dépoussiérer, Rendre évident et Être rigoureux. Tel un joueur de poker en ligne, qui nous servira d’exemple tout au long de cet article, la plupart de votre temps sera passé assis devant un ordinateur, et de nombreux réflexes sont bons à prendre pour pouvoir rester à votre poste sans se fatiguer, comme un joueur de poker peut jouer des nuits entières sans perdre sa concentration.

Ordonner

Au fil des mois et des travaux différents, une entreprise a souvent tendance à accumuler de nombreux dossiers et objets aux alentours du lieu de travail, mais il est très important, de temps en temps, de réévaluer l’utilité de la présence de tel ou tel item sur le bureau. Ainsi, que ce soit sur votre bureau personnel ou les étagères communes de la compagnie, il va falloir regarder chaque objet et déterminer son degré d’importance. Est-ce que j’utilise ce stylo tous les jours ? Est-ce que j’accède à ce fichier de manière régulière ? Est-ce que ce classeur est daté et ne sert plus qu’occasionnellement ?

Tous les items qui s’utilisent tous les jours pourront garder leur place. Ceux qui ne servent qu’une ou deux fois à la semaine devraient être rangés plus loin mais dans un lieu facilement accessible. Et ceux qui ne servent presque jamais doivent être enlevés et remisés dans les archives. Cette méthode fonctionne aussi bien pour les objets réels sur votre bureau de travail que les fichiers fictifs sur le bureau de votre ordinateur. Un joueur de poker, qui sait qu’il ne peut que rarement quitter son siège, fera tout son possible pour avoir tout ce dont il a besoin à portée de main pour pouvoir jouer sans avoir à se lever toutes les 20 minutes.

 

Ranger

Une fois que vous avez estimé quels objets avaient encore leur place sur votre lieu de travail, il faut désormais les ranger de manière logique et efficace. Un des leitmotivs de toute compagnie insistant sur ce côté « rangement » est devenu fameux suite au film L’Auberge Espagnole : « Chaque chose à sa place, et une place pour chaque chose. ». Avec ces idées en tête, vous pourrez organiser votre bureau de manière à pouvoir accéder de manière immédiate à tous ces items nécessaires au quotidien. Une chose très importante est la labellisation des classeurs et des dossiers, mais aussi des tiroirs ou des poubelles par exemple, pour que chacun sache immédiatement où trouver ce qu’il cherche et où ranger ce qu’il n’utilise plus. En continuant sur l’exemple du joueur de poker en ligne, il saura à chaque nuit garder ses habitudes, avoir sa boisson et sa nourriture aux mêmes endroits pour être le plus efficace possible.

Dépoussiérer

Cette étape veut exactement dire ce qu’elle veut dire. Il s’agit de nettoyer régulièrement le plan de travail, de ne laisser aucun déchet traîner dans les environs, d’enlever la poussière des écrans d’ordi et des étagères et de recycler les papiers inutiles dès que possible. Outre le fait d’éviter des accumulations de détritus et de poussières qui sont visuellement désagréables et ne motivent pas le travailleur à faire des tâches pénibles, cela permet aussi un meilleur entretien du matériel qui s’abîmera plus lentement. Cela pourrait aussi avoir un impact sur la santé des utilisateurs du lieu de travail, et éviter ainsi des congés-maladies trop fréquents. Ces mesures sont importantes dans les bureaux, mais encore plus dans les usines où les saletés et les dangers sanitaires sont bien plus présents. Si on pourrait avoir le cliché d’un joueur de poker croulant sous les paquets de chips vides devant son écran, la vérité des professionnels du Texas Hold’em est toute autre avec un environnement propre et sain pour jouer tout en prenant du plaisir.

En Milieu De Travail, Imac, Bureau, Creative, Écran

Légende : Chaque chose à sa place, et une place pour chaque chose

Rendre évident

Les trois premières étapes sont les plus faciles et les plus évidentes, mais c’est cette quatrième étape qui sera peut-être la plus importante, puisqu’il s’agit de faire en sorte que cette amélioration du lieu de travail ne soit pas qu’un événement ponctuel et que tout ne retombe dans le désordre 1 mois plus tard. Il faut donc rendre évident le fonctionnement des trois premières étapes, le faire en groupe et l’expliquer de manière cohérente à chaque étape, prendre des photos du travail fini et rappeler que c’est ce à quoi doit ressembler un environnement de travail avec la méthode 5S, et enfin établir un planning mensuel où il faudra réévaluer la qualité du lieu de travail par rapport au 5S.

Être rigoureux

Cette étape va de pair avec celle d’avant, et a pour but d’inclure la culture du 5S dans l’ADN de la compagnie et des travailleurs, et dans votre propre routine. Le but sur le long terme est de systématiser l’utilisation de la méthode 5S jusqu’à devenir un réflexe, à pouvoir identifier immédiatement les choses à ordonner, les espaces à ranger, les ordinateurs à dépoussiérer de manière évidente et rigoureuse. Là-encore, le joueur de poker le plus en réussite sera celui qui saura organiser au mieux son plan de travail, mais surtout celui qui saura le maintenir dans cet état optimal. Si les joueurs de poker sont capables de passer des jours et des nuits devant leur ordi sans avoir mal au dos, souffrir des yeux ou perdre de l’énergie inutilement, les patrons de compagnie doivent s’inspirer d’eux pour importer la méthode 5S sur leur lieu de travail.

Robotisation et IA : une révolution dans l’expérience client

La robotisation et l’IA sont au cœur des préoccupations des entreprises, des collaborateurs et des consommateurs. Tous ces acteurs pressentent une révolution dont la priorité est de remettre l’humain au cœur de l’expérience client.

Le salon Stratégie Clients dévoile les résultats de l’étude réalisée par MARKESS by exægis en co-partenariat avec WEYOU  pour tenter de comprendre comment la robotisation et l’IA se mettent au service de l’humain, qu’il s’agisse des managers et des collaborateurs en relation avec les clients (agents dans les centres de contacts, conseillers ou chargés de clientèle, vendeurs en magasin, commerciaux…) et des clients eux-mêmes.

Cette étude repose sur les entretiens en ligne de 155 professionnels du marketing, des ventes, de la relation client et du digital conduits en février et mars 2019 et nous donne une approche explicite des enjeux de demain.

Chatbots, voicebots et assistants vocaux, les acteurs incontournables

 34% des professionnels interrogés ont déjà déployé ou testé des agents conversationnels (chatbots) et devraient être 66% d’ici 2021.

Les voicebots et d’assistants vocaux, bien qu’ils soient les derniers arrivés, intègrent la reconnaissance vocale selon 19% des professionnels début 2019 et par 37% d’ici 2021.

Grâce au machine learning (ML), les chatbots sont capables de répondre à des questions clients de plus en plus complexes et sont disponibles en 24/7. C’est une solution pertinente pour 33% des professionnels interrogés qui cherchent à étendre la disponibilité de leurs services dans la journée, compte tenu que les consommateurs peuvent interroger aux heures qui leur conviennent le mieux les entreprises par le biais de leur site.

Quels sont les objectifs prioritaires des projets de robotisation et d’IA ?

Pour 68% des professionnels, l’objectif prioritaire du déploiement de ces solutions est de supprimer les tâches manuelles répétitives, chronophages et sans valeur ajoutée exécutées par les collaborateurs.

Selon Emmanuelle Olivié-Paul, Directrice Associée de MARKESS by exægis :

« Par automatisation et robotisation, MARKESS by exægis entend la mise en place de systèmes ou de solutions technologiques permettant d’enchaîner plusieurs actions ou tâches successives sans intervention humaine. L‘intelligence artificielle regroupe, quant à elle, l’ensemble des méthodes et dispositifs permettant la résolution de problèmes complexes ou d’actions récurrentes via des algorithmes et/ou des cheminements logiques, le plus souvent auto-apprenants. » 

Enfin, se consacrer davantage à l’humain

61%des professionnels attendent de ces projets l’accélération de certains processus, pour répondre aux demandes des clients et leur apporter des réponses appropriées. L’automatisation de tâches à faible valeur ajoutée doit permettre aux collaborateurs de mieux se consacrer à l’aspect humain de la relation client. Les professionnels interrogés évoquent ainsi les notions de “relation ou conversation client augmentée” ou de “collaborateur augmenté”.

Les deux autres grandes missions de ces projets pour respectivement 57% et 50% des professionnels interviewés font partie de la volonté de développer le chiffre d’affaire grâce à l’amélioration de la connaissance client et la réduction des coûts liés à des tâches aisément robotisables.

Toujours simplifier le parcours client

Les données récoltées leur donnent l’opportunité   de mieux saisir les problématiques clients et de mieux y répondre. 78% des professionnels interrogés constatent que l’IA améliore notamment la satisfaction des collaborateurs et agents en contact avec les clients. 

Ces technologies sont également indispensables à l’analyse en temps réel de volumes conséquents de données et au ciblage client qui en découle via des processus de segmentation, profiling, tracking différencié, attribution…

Elles permettent de générer automatiquement des actions commerciales et marketing ciblées, comme des recommandations de produits ou services, et de les diffuser sur les canaux privilégiés des consommateurs.

D’ici 2021, 65% de ces professionnels envisagent aussi ces solutions comme moyen de simplifier le parcours client. Ils comptent sur de tels projets pour, par exemple, mieux identifier et lever les points irritants du parcours, ou encore pour délivrer rapidement des réponses à des requêtes clients via l’usage de chatbots et de voicebots.

Quels sont les freins majeurs à lever d’ici 2021 ? 

Des freins au déploiement de ces projets d’IA et de robotisation existent cependant : 56% des professionnels interrogés ont peur d’une expérience client déshumanisée, 47% évoquent le manque de compétences en interne pour mener à bien ces projets et 46% craignent l’inconfort des clients dans l’échange avec les machines.

C’est une certitude : début 2019, 78% des professionnels interrogés sont convaincus que l’usage de la robotisation et de l’IA dans leurs métiers peut aider l’humain (collaborateur/client) à faire vivre ou à vivre une meilleure expérience client. 

« Si l’utilisation de l’IA spécifiquement dans les processus de vente et de relation client des entreprises n’en est encore qu’à ses prémices, son potentiel laisse présager d’une véritable révolution dans l’expérience client tant du côté des consommateurs, avec des offres de plus en plus pointues et proactives, que du côté des collaborateurs comme assistant dans leurs missions. », selon Ghislaine de Chambine, Directrice du salon Stratégie Clients.

En conclusion, mettre l’humain au cœur de l’expérience client sera la révolution engendrée par la robotisation et l’IA.

Paylib, le paiement mobile instantané entre particuliers

« Donne-moi ton numéro de portable pour que je te rembourse. » Paylib résume le paiement mobile instantané entre particuliers par cette phrase magique qui correspond à l’immédiateté si tendance.

Enfin, d’ici l’été, depuis l’application de leur banque, en utilisant Paylib, Les Français pourront envoyer instantanément de l’argent de leur compte bancaire.

Les banques françaises Crédit Agricole, BNP Paribas, La Banque Postale, Société Générale, Banque Populaire, Hello bank ! Arkea, Boursorama Banque, Caisse d’Épargne ou encore Crédit Mutuel et CIC proposeront un nouveau service de paiement instantané via smartphone entre particuliers.

Plus de délai, un service instantané

En 2018, Paylib avait lancé auprès des clients des grandes banques françaises un service de paiement mobile de personne à personne. Mais, le transfert d’argent nécessitait un délai d’un à deux jours, voire plusieurs jours.

« Ce service se perfectionne encore et devient instantané ».  Plus la peine d’attendre pour que la somme créditée soit sur le compte bancaire du bénéficiaire. Ce nouveau service correspond à l’évolution des habitudes bancaires des Français et de leur utilisation des nouvelles technologies qui font partie intégrante de leur vie quotidienne.

Selon Paylib « En utilisant Paylib depuis l’application de leur banque, les Français pourront envoyer instantanément de l’argent de compte bancaire à compte bancaire en saisissant le numéro de téléphone mobile d’un bénéficiaire »,

 

Le service de paiement mobile  entre particuliers est directement accessible dans les applications bancaires.   Il ne nécessite pas de s’inscrire chez un tiers ni de télécharger une application qui souvent est rédhibitoire car l’immédiateté est souveraine.  Les paiements s’effectuent directement de compte bancaire à compte bancaire sans avoir besoin d’utiliser un intermédiaire.

Si le bénéficiaire n’a pas encore activé Paylib, il reçoit un SMS qui le convie à renseigner, sur le site Paylib, son numéro d’IBAN. La somme est alors versée sur son compte bancaire et cette démarche une fois effectuée ne nécessitera plus d’y revenir.

Gratuit ou payant ce service ?

La banque Arkéa propose à ce jour un service gratuit. Qu’en sera-t-il des autres banques, nous le saurons d’ici quelques jours mais il sera à la discrétion de chaque banque tant sur les plafonds qui pourront être par jour, par semaine ou par mois que sur le montant à payer pour les transactions.

Lancé en 2013 par les banques BNP Paribas, Banque Postale et Société Générale, Paylib est l’offre mobile de paiement pour les particuliers et commerçants intégrée par les principales banques françaises revendique 1,8 million d’utilisateurs grâce à trois services accessibles depuis un téléphone mobile : le paiement en ligne, le paiement en magasin et le paiement entre particuliers.

Simplicité avant tout

Avec Paylib, pas besoin de communiquer ses coordonnées bancaires, l’ensemble des données personnelles restant protégées au sein du service bancaire du client.

Paylib se veut être la référence française de paiement mobile simple, sécurisé et utile au quotidien. Présent sur les différents réseaux sociaux et au sein des applications mobiles des banques qui signalent son utilisation dès la page d’accueil et qui conduisent les client à se sentir en sécurité puisque ce service est  proposé par leur banque.

Les vacances de printemps toujours plébiscitées

Trois tranches de vacances de pour les scolaires qui s’étalent du 6 avril au 6 mai mais aussi plusieurs ponts. Ainsi le pont de Pâques avec le lundi 22 avril et le pont du 1er mai qui permettent de s’évader quelques jours.

33% des Français, selon le « Sondage OpinionWay pour Mondial Assistance » réalisé entre le 13 et 14 mars 2019, partiront en vacances lors des vacances de printemps. Les intentions de départ sont à la hausse cette année pour les vacances de Printemps. Pour ces vacances de printemps, 69% des Français choisissent les destinations hexagonales pur s’échapper quelques jours.

La durée des séjours ?

Pour ces congés, 1 Français sur 3 partira en vacances et ce pour une durée moyenne de huit jours. Ce chiffre est stable par rapport à 2018. Cependant, la durée des séjours tend à s’affirmer : 43% des vacanciers interrogés choisissent des séjours courts de moins d’une semaine   alors que 35% choisissent un séjour long de plus d’une semaine. Le sondage souligne que seule une minorité opte pour une durée de séjour classique de 7 jours.

Les vacances en famille privilégiée

67% des Français ont pour projet de passer le week-end de Pâques en famille. Pour souligner l’aspect familial et traditionnel la moitié des parents d’enfants âgés de moins de 18 ans organiseront une chasse aux œufs à cette occasion (48%).

L’Europe, une destination toujours plébiscitée

Comme chaque année, les séjours à l’étranger enregistrent un pic à cette période. 1 vacancier sur 3 s’envolera au-delà des frontières françaises et principalement en Europe (21 %). On peut constater que l’âge est un critère déterminant pour les départs en Europe. Les jeunes de moins de 35 ans (26%) et les personnes de plus de 65 ans (24%) sont les populations qui partent le plus à la découverte du continent européen.

Quels sont les profils de ceux qui partent ?

Trois profils de personnes se dessinent :

  • les franciliens (40% contre 31% des personnes habitant en régions),
  • les personnes appartenant aux catégories socioprofessionnelles supérieures (43% contre 24% des personnes issues des catégories populaires)
  • les personnes ayant des enfants de moins de 18 ans (39% contre 30% pour les personnes sans enfant ou ayant des enfants de plus de 18 ans).

Et s’ils avaient le choix ?

S’ils pouvaient vivre une expérience, symbole d’évasion, pour ces vacances de printemps 2019, les Français choisiraient en priorité de faire une croisière dans les Cyclades en Grèce (57%). La navigation sur les flots helléniques éclipse le trek au Sahara (13%), le festival de Coachella en Californie (12%) ou encore la visite du Vatican à l’occasion de la célébration de Pâques (10%).

Et les réseaux sociaux en vacances ?

Même en vacances, pas de répit, 51% des vacanciers continueront à utiliser les réseaux sociaux mais ce qui est intéressant c’est qu’ils les utiliseront à des fins personnelles pour échanger avec leurs proches (33%) et d’ailleurs 1 vacancier sur 5 postera des photos et vidéos de son lieu de villégiature (20%). Mais aussi pour suivre l’actualité 26%.

Et le budget ? 933 euros

Identique à l’année dernière, l’enveloppe moyenne consacrée à ces vacances sera de 933€. Cependant, 49% des personnes interrogées ne comptent pas dépenser plus de 600€ pour ces vacances de printemps.

En ce qui concerne les  vacances à l’étranger 57% consacrera un montant égal ou supérieur à 600€ alors que 59% des personnes voyageant en France vont en majorité consacreront une somme inférieure.

Comment ?

1 vacancier sur 3 aura recours à une solution collaborative notamment pour l’hébergement (28 %) et les activités sur place (21 %) Il faut noter que les solutions collaboratives sont toujours principalement envisagées par les jeunes de moins de 35 ans (62%).

Les vacances de printemps sont après l’hiver, les tensions un moment pour se ressourcer.

Le Palmarès Best Workplaces 2019, au cœur d’un mouvement sociétal

Great Place To Work®, expert de l’accompagnement de la transformation managériale et culturelle des entreprises, dévoile le 17e Palmarès des entreprises où il fait bon travailler en France et pour recruter des talents, il est évident que ce palmarès représente un sésame. Il a pour objectif de distinguer les entreprises françaises.

  • moins de 50 salariés,
  • 50 à 500 salariés,
  • 500 à 5000 salariés
  • et plus de 5000 salariés)

qui s’engagent à offrir à leurs collaborateurs une qualité des environnements et des conditions de travail.

Le choix est très sélectif puisque sur 304 postulants cette année, seulement 97 entreprises sont lauréates, soit un pourcentage de 32%.

Dans ce palmarès, en plus d’entreprises françaises dans le palmarès y prennent place et représentent les deux tiers des lauréats et la parité semble s’instaurer. Aujourd’hui, le tiers des entreprises du palmarès sont dirigées par des femmes.

Quelle méthodologie pour le palmarès ?

Le Palmarès s’appuie sur une méthodologie précise basée sur deux outils complémentaires et uniques auxquels se soumettent toutes les organisations postulantes :

  • l’enquête Trust Index© contenant 64 questions, envoyée à l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise qui compte pour 2/3 de la note finale de l’entreprise ;
  • le dossier Culture Audit© vise à évaluer la qualité et la diversité des pratiques managériales mises en place par l’entreprise qui compte pour 1/3 de la note finale.

Mais cette année Great Place To Work® a mis en place un comité scientifique d’intégrité qui mène des enquêtes sur les postulants pour vérifier qu’ils ont bien respecté notre charte éthique et qu’ils n’ont pas cherché à influencer les collaborateurs dans leurs réponses.

97 entreprises lauréates : un cocktail gagnant

Il existe en France de plus en plus d’entreprises où il fait bon travailler et d’entrepreneurs qui ont à cœur de favoriser des environnements propices au développement des individus. Des organisations innovent et osent remettre en cause leurs propres modèles. C’est le cas des 97 entreprises lauréates qui créent les conditions nécessaires au quotidien pour que leurs collaborateurs se sentent en confiance, soient fiers de leur travail et expriment pleinement tout leur potentiel.

Selon Patrick Dumoulin, Président de Great Place To Work® France : « Les attentes des Français sur les questions de la qualité de vie au travail se sont encore accrues cette année. Au-delà d’actions cosmétiques, ils attentent de véritables engagements au niveau des transformations managériales de l’entreprise. Cette 17e édition du palmarès s’inscrit donc dans cette nouvelle dynamique en mettant à l’honneur 97 entreprises ayant impulsé des stratégies de transformations ambitieuses. »

EY, Salesforce, Novencia Group et Utopies en tête du Palmarès

Alors que certaines entreprises conservent leur place cette année (comme Mars France, Salesforce ou Wavestone), d’autres font une entrée significative dans le Palmarès (EY France, Ubisoft).

plus de 5000 salariés

  • Alors que 12 entreprises de cette catégorie avaient présenté leur candidature cette année, seules 2 d’entre elles ont obtenu les résultats requis pour figurer au Palmarès des entreprises où il fait bon travailler.
  • EY France, l’un des plus importants cabinets d’audit financier et de conseil au monde, obtient la 1ère place du podium cette année dans la catégorie + de 5000 salariés ;
  • L’entreprise Norauto, qui fait également son entrée au palmarès.

500 à 5000 salariés

  • Le classement des entreprises comptant entre 500 et 5000 salariés, comprend 25 lauréats. Le podium reste inchangé avec Salesforce, n°1 mondial du logiciel de gestion client, qui garde la 1ère place du classement, suivi par Extia (2ème) et Mars France (3ème).
  • Le Groupe Leboncoin progresse une fois de plus cette année en se hissant de la 7ème à la 4ème place.
  • De nombreuses entreprises connues du grand public et faisant partie intégrante du quotidien des Français se positionnent parmi les entreprises où il fait bon travailler : c’est le cas notamment d’Ubisoft (6ème), Electro Dépot (9ème), American Express Carte (10ème), Krys Group (15ème), DHL Express France (21ème) et Cofidis (22ème).

50 à 500 salariés

  • Le retour en première position de l’entreprise Novencia Group, partenaire des plus grands noms de la finance sur des problématiques IT et Métiers
  • Les professionnels du consulting et des solutions en services informatiques sont très présents dans le haut du classement : Adone Conseil (2ème), Web-Atrio (6ème), SAS France (9ème) et Listen too (10ème).
  • De nombreuses entreprises intègrent le Palmarès cette année, à commencer par Yélé (4ème) qui met l’accent sur l’engagement solidaire. D’autres entreprises comme Ama (26ème), CSP The art of training (28ème), Creatis (31ème) sont également mises à l’honneur.
  • Il faut également saluer l’entrée du palace parisien, le Shangri-La Hotel, qui rentre pour sa première participation à la 36ème place du classement.

moins de 50 salariés

Pour la première fois, les entreprises de moins de 50 salariés font leur entrée au palmarès.

  • Utopies, cabinet de conseil en stratégie et développement durable s’illustre cette année en prenant la tête du classement
  • Sagarmatha et Intuit Quickbooks France, respectivement à la 2ème et 3ème place du classement, se démarquent en portant une vraie ambition sur la qualité de vie au travail
  • Les entreprises de conseil sont nombreuses dans cette catégorie : Timspirit (4ème), Ovalo (5ème), MeltOne Advisory (7ème) et R&B Partners (13ème) notamment se disputent la première partie du classement.

Quel investissement pour les entreprises candidates ?

Pour les moins de 50 salariés, les tarifs commencent à 3.500 euros hors taxes et pour les plus grosses entreprises il faut compter au minimum 5.900 euros HT.

Comment faire de votre espace de travail un lieu convivial

Nul ne doute plus que le bien-être passe par un espace de travail convivial. Bien agencé, il favorise la productivité, met la bonne humeur dans vos équipes et favorise le sentiment d’appartenance à votre entreprise. Quelques conseils pour faire en sorte que votre lieu de travail devienne le symbole de l’attention que vous portez à vous salariés et pour que votre entreprise ne passe pas inaperçue.

La décoration intérieure

Dans le cas où vous possédez de vos propres locaux, commencez par choisir des couleurs qui reflètent votre entreprise et l’ameublement qui ira avec l’esprit que vous souhaitez donner. L’agencement et la décoration de vos bureaux joue un rôle fondamental. N’hésitez pas à être dans l’originalité et à mettre des objets que l’on ne trouvera pas ailleurs. Il s’agit de donner une âme à votre lieu et de lui donner vie. Vous pouvez faire appel à vos salariés pour vous aider à chiner des produits originaux ou leur demander leur avis afin qu’ils s’approprient l’espace.

Si vous résidez dans un espace de coworking ou que vous êtes en openspace, la question ne semble pas se poser puisque ce sont les gérants des lieux qui sont en charge de la décoration du lieu. Pourtant rien ne vous empêche de signaler la présence de votre entreprise par l’intermédiaire d’un logo en relief par exemple. En ce moment, les startups comme les grands groupes craquent pour les logos végétaux de la société française LetterShop. Mais la gamme est vaste et il y en a pour tous les goûts. Une belle façon de se démarquer de vos concurrents !

La signalétique à soigner

Si vous disposez de vos propres locaux, la signalétique est en réalité présente un peu partout. Elle sert d’abord à informer sur la localisation des services, des bureaux mais aussi d’apposer la signalétique liée aux différentes réglementations : sortie, entrée, consignes de sécurité…Les entreprises de grande taille adaptent régulièrement leur signalétique pour les visiteurs (clients, fournisseurs…) ou les équipes internes afin que chacun puisse aisément se repérer sans perdre de temps. Elle met également en exergue la qualité d’accueil et aide le public en le guidant. La signalétique doit être de qualité, fonctionnelle, esthétique et personnalisée. Encore une fois, LetterShop est la solution idéale car on peut commander en ligne, mais également en direct en faisant une demande sur-mesure !

 Votre logo, un peu partout.

La signalétique peut également servir pour votre logo. Que ce soit pour l’enseigne à l’entrée de vos bureaux ou bien à l’intérieur de vos locaux sur vos murs, il n’est pas rare d’adapter celui-ci sur différents supports. Il n’est pas rare d’adapter son logo à tous types de support pour réaliser des rappels. Pour que votre signalétique soit réussie, vous devez créer un design qui soit en cohérence avec l’image de marque de l’entreprise et le mettre sous différentes formes. Il s’agira souvent d’adapter un logo sur papier et de le transformer en logo avec des lettres en relief ou  en logo 3D.  Pour cela, il vous faudra l’adapter à différentes dimensions suivant ce que vous souhaitez en faire : exposition dans salon ou lors d’un événement, présence sur les murs de l’entreprise ou sur les tables de vos collaborateurs… En négliger la conception en amont deviendra un véritable casse-tête alors n’hésitez pas à y passer un peu de temps. Certaines sociétés comme LetterShop proposent des mises en situation numériques (et gratuites) de votre logo. C’est une excellente façon de se rassurer avant l’achat.

 

Des contraintes à prendre en compte à l’extérieur

Si vous souhaitez apposer votre logo en dehors de votre entreprise, n’oubliez pas qu’elles peuvent être exposées aux intempéries, à la chaleur, à l’humidité… Votre signalétique doit non seulement pouvoir résister mais aussi garder leur fraîcheur et le lettrage et sa composition exigent des expertises pour que le temps ne les érode pas. Pensez également au poids de celle-ci notamment si vous en avez une utilisation événementielle. En été, les logos en polystyrène (que vous trouverez aussi chez LetterShop) sont parfaits : légers avec un effet wow garanti ! Dans tous les cas, votre décoration professionnelle doit être de qualité afin d’impacter positivement ceux qui la verront.

   

Investir en Bourse : les Français face aux investissements boursiers

Les Français sont méfiants à l’idée d’investir en Bourse. Quels placements privilégient-ils ? Pourquoi ils auraient tout intérêt à prendre un peu de risque pour leurs placements.

Quels rapports ont les Français face aux investissements en Bourse

L’investissement en actions souffre de nombreux préjugés auprès des Français qui délaissent cette classe d’actifs et préfèrent investir dans des placements sans risques à capital garanti. Pourtant, investir en Bourse recèle de nombreux atouts et l’on aurait tort de faire une croix sur ce type de placement. Découvrez pourquoi.

Les Français des épargnants frileux

Les Français sont des épargnants particulièrement averses au risque. S’ils épargnent massivement et régulièrement, c’est-à-dire qu’ils mettent de l’argent de côté à une fréquence donnée (souvent mensuelle) et ne dépensent pas la totalité de leurs revenus, ils n’investissent pas ou peu. L’épargne immobilière représente les deux tiers de l’Épargne des Français (remboursement d’un crédit immobilier le plus souvent) et l’épargne financière, minime donc, n’est que très peu souvent investi sur des actifs risqués.

Les Français privilégient en effet les placements sans risques que sont les placements à capital garanti (on est sûr de récupérer l’intégralité de son capital) et les placements liquides qui permettent de récupérer son capital à tout moment. La Bourse, souvent peu connue et mal comprise, est elle vue comme un coup à tout perdre. Elle est aussi dans l’imaginaire collectif associée aux grandes fortunes et les actions pour la plupart des Français sont réservés aux plus riches, ce qui est évidemment faux. Investir en Bourse n’est donc clairement pas la priorité des Français qui délaissent les marchés actions jugés trop peu sûrs et trop compliqués. Pourtant, investir en Bourse, c’est investir dans des sociétés, plus ou moins grandes, y compris des PME et des start-ups, c’est soutenir l’économie réelle, accompagner des chefs d’entreprise dans la mise en œuvre de leurs projets entrepreneuriaux, miser sur des concepts qui nous parlent, sur des valeurs auxquelles on est attaché, via l’investissement labellisé ISR (Investissement Socialement Responsable) par exemple.

Sur quoi investissent les Français ?

On l’a vu, les Français investissent peu mais épargnent massivement. Que font-ils donc de leurs sous ? C’est regrettable mais les Français sont des champions en matière de dépôt sur le compte courant. En 2018, on recensait en effet 37,4 milliards d’euros laissés sur ces comptes qui, rappelons-le, sont non rémunérés et affichent donc un rendement nul, négatif même si l’on prend en compte l’inflation et les éventuels frais de tenue de compte.

Les livrets d’épargne ont également la cote auprès des Français qui placent des sommes colossales sur ces produits bancaires très faiblement rémunérés. Ainsi, en janvier 2019, la collecte du livret A a atteint les 4 milliards d’euros selon le journal Les Echos, un record inégalé depuis janvier 2013. Et pourtant, avec 0,75 % de rendement, un taux inférieur à l’inflation, ce placement ne rapporte rien. Il coûte même.

L’assurance-vie, autre enveloppe plébiscitée par les Français (plus de 50 % d’entre eux déclarent en posséder une), pourrait donner lieu de se réjouir car les rendements affichés sont bien supérieurs et ce produit permet d’investir en Bourse via les unités de compte. Mais, en réalité, ce sont les fonds euros, majoritairement investis en obligations et affichant des rendement anémiques et en perte de vitesse constante depuis le début des années 2000 qui remportent tous les suffrages. Ils représentent environ 80 % des sommes investies sur des contrats d’assurance-vie. Pourtant, avec un rendement moyen net de frais et hors prélèvements sociaux de 1,80 % en 2018, ils ne couvrent pas non plus l’inflation.

Cependant, certains Français ont compris l’intérêt d’investir en Bourse et se positionnent sur le marché actions au travers des unités de compte de leur contrat d’assurance-vie mais aussi via un plan d’épargne action (PEA) qui possède de nombreux avantages fiscaux mais dont les titres éligibles sont limités aux sociétés dont le siège social est situé dans l’Union Européenne, ou bien via un compte-titres qui, depuis l’instauration de la Flat Tax, bénéficie d’une fiscalité plus douce avec une taxation à 30 % et permet d’investir dans n’importe quelle entreprise dans le monde sans aucune restriction.

Développer la pédagogie du risque

Débuter en Bourse demande un certain courage. Non parce qu’il s’agit de se lancer dans une activité très compliquée mais parce que cela nécessite de repenser son rapport au risque et d’accepter que, pour obtenir des rendements plus élevés, il faille accepter une dose de risque. C’est le fameux couple rendement-risque. Plus le risque est élevé, plus le rendement potentiel l’est aussi. Et à l’inverse, moins le risque est élevé, moins le rendement potentiel l’est aussi. Comme le risque zéro ne rapporte plus aujourd’hui (la situation était différente auparavant, dans les années 1990 par exemple), il convient de se positionner sur des actifs plus risqués mais aussi plus rémunérateurs.

Les Français auraient donc intérêt à débuter en Bourse. Il est intéressant de constater que les actions, sur le long terme, sont le moyen le plus efficace de faire croître son épargne. À long terme, elles constituent même « un placement étonnamment sûr » à en croire l’étude Allianz de 2014 « Les actions : un vrai potentiel à moyen terme » qui souligne que les actions US, depuis 1800, affichent « des performances réelles positives sur chaque période glissante de trente ans ». Et que dire alors du CAC 40 qui depuis sa création en 1986, si l’on prend en compte les dividendes réinvestis, a progressé de 8,5 % en moyenne par an ? Les actions rapportent et, pour peu que son horizon d’investissement soit suffisamment éloigné, elles constituent un placement idéal pour qui veut faire fructifier son patrimoine. Investir en Bourse implique forcément un risque de perte en capital, mais en investissant seulement une partie de son capital, sur le long terme, pour pouvoir sortir au moment le plus opportun, vous pourriez récolter de belles plus-values.

Plus que de chercher à tout prix à éviter le risque, les Français feraient mieux de l’accepter et de chercher à le maîtriser au maximum. L’objectif doit être de choisir les placements présentant le couple rendement-risque optimum en fonction de votre objectif d’investissement (financer sa retraite ou les études de ses enfants par exemple), de votre horizon d’investissement (5 ans, 10 ans, 15 ans, etc.) et votre goût de risque. Par exemple, on évitera d’investir en Bourse dans des PME du secteur des Biotech hyper volatiles si le risque vous donne des sueurs froides et l’on se tournera plus volontiers vers les poids lourds du CAC40 et les leaders européens de leurs secteurs qui versent des dividendes dans la durée.

Ce qu’il faut bien garder à l’esprit si l’on veut débuter en Bourse, c’est que l’on doit mettre le couple rendement-risque au cœur de sa stratégie d’investissement. Vos investissements doivent vous garantir un rendement suffisant et un risque contrôlé. La diversification vous permettra d’y parvenir. Pour cela, il convient d’investir en Bourse pour profiter des rendements offerts par les marchés boursiers, en variant les secteurs d’activités, zones géographiques et types d’entreprise dans lesquelles vous aurez investis, mais aussi, pour lisser le risque, d’investir en parallèle sur le marché immobilier, le marché des taux et le marché obligataire. Un patrimoine diversifié est plus à même de vous protéger des cycles économiques qui pourraient toucher un marché, un secteur ou une classe d’actif en particulier.