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1er avril : la réforme de la formation

Le 1er avril, ce n’est pas un poisson d’avril, la réforme de la formation entre en vigueur. Les nouveaux acteurs de la formation professionnelle c’est-à-dire les « opérateurs de compétences » (Opco), vont remplacer OPCA.

Ce sont des organes paritaires, gérés par les partenaires sociaux, qui ont pour mission :

  • D’accompagner les entreprises de – de 50 salariés dans le développement des compétences
  • De renforcer l’appui aux branches dans l’analyse des besoins et évolution des certifications professionnelles
  • De financer les premières ouvertures de CFA ou sections d’apprentissage non conventionnés par les régions

Les arrêtés portent agrément au 1er avril de onze «opérateurs de compétences», les nouveaux acteurs de la formation professionnelle, sont parus le 29 mars au Journal officiel.

Cette réforme de la formation professionnelle prévoit que les 20 opérateurs paritaires collecteurs agréés («Opca») ne collectent plus les cotisations formation – transférées à l’avenir à l’Urssaf – et soient transformés en opérateurs de compétences («Opco»).

Treize dossiers d’agrément avaient été déposés fin décembre, mais le ministère du Travail n’en a que onze
Neuf opérateurs ont été acceptés sas difficultés :
1. Agriculture et agroalimentaire
2. Industrie
3. Construction
4. Mobilités
5. Commerce
6. Services financiers et conseil
7. Santé
8. Culture et médias
9. Cohésion sociale.

Cependant, le gouvernement avait refusé en janvier quatre projets qui faisaient l’objet de discussions intra-patronales et syndicales et leur a accordé deux mois aux branches concernées pour renégocier des accords correspondant à « des secteurs économiques pertinents ». La conclusion en est qu’il y aura :

  • un opérateur des entreprises de proximité
  • un opérateur des entreprises et salariés des services à forte intensité de main d’œuvre (secteur de l’intérim, de la propreté, de l’hôtellerie-restauration, etc.).

Quelles sont les branches qui entrent dans le champ d’application ?

  • Convention collective nationale du bricolage, vente au détail en libre-service
  • Convention collective nationale des commerces de gros de l’habillement, de la mercerie, de la chaussure et du jouet
  • Convention collective nationale des entreprises de vente à distance
  • Convention collective nationale du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire (entrepôts d’alimentation, supérettes, supermarchés, hypermarchés, grande distribution)
  • Convention collective nationale du commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie
  • Convention collective nationale du commerce de détail de fruits et légumes, épicerie et produits laitiers
  • Convention collective nationale des commerces de détail non alimentaires : antiquités, brocante, galeries d’art, arts de la table, coutellerie, droguerie, équipement du foyer, bazars, commerces ménagers, modélisme, jeux, jouets, périnatalité et maroquinerie (œuvres d’art)
  • Convention collective nationale du commerce des articles de sports et d’équipements de loisirs
  • Convention collective nationale des maisons à succursales de vente au détail d’habillement
  • Convention collective du commerce succursaliste de la chaussure
  • Convention collective nationale des commerces et services de l’audiovisuel, de l’électronique et de l’équipement ménager
  • Convention collective nationale du personnel des coopératives de consommation
  • Convention collective nationale des grands magasins et des magasins populaires
  • Convention collective nationale des entreprises de commerce et de commission importation exportation
  • Convention collective nationale du négoce de l’ameublement
  • Convention collective nationale des commerces de détail de papeterie, fournitures de bureau, de bureautique et informatique [et de librairie]
  • Convention collective Nationale des professions de la photographie
  • Convention collective nationale des jardineries et graineteries
  • Convention collective nationale de l’optique-lunetterie de détail
  • Convention collective nationale des maisons d’alimentation à succursales, supermarchés, hypermarchés, “gérants mandataires” (grande distribution)
  • Convention collective nationale du personnel de la reprographie

Réforme de la fiscalité, un souhait des dirigeants

La fiscalité reste un sujet très sensible auprès des dirigeants. Celle-ci grève les budgets des entreprises mais aussi ceux des foyers qui ont des difficultés à faire face dans ce contexte économique difficile.

Selon la consultation réalisée par OpinionWay pour CCI France, La Tribune et LCI sur les actions prioritaires que le Gouvernement doit conduire, la fiscalité apparaît comme une urgence. Notamment celle des entreprises (51%) mais aussi celle des ménages (34%).

Ils allient donc la réalité fiscale des entreprises à celle des ménages. Or, ils expriment le souhait que les services d’assurance publique soient réformés. Mais cela aussi bien sur le plan les retraites (38%) que sur le plan de l’assurance chômage (31%). A contrario, réformer les institutions ou l’Union européenne (respectivement 26% et 24%) ne fait pas partie de leurs priorités.

Le secteur du bâtiment, le plus ardent défenseur de la réforme

Les dirigeants dont l’entreprise évolue dans le secteur de la construction sont les plus nombreux à souhaiter une remise à plat de la fiscalité des entreprises. 72% contre 47% à 51% pour les dirigeants des autres secteurs. Il faut reconnaître que ce secteur est très fortement impacté par la fiscalité en 2018 par les différentes mesures prises dans ce secteur.

La décentralisation : une réponse à la fracture sociale ?

Accélérer la décentralisation apparaît comme la première réponse à apporter à la fracture sociale. Celle-ci bouleverse le pays en ce moment avec la crise des gilets jaunes (39%). En effet, elle se situe avant le renforcement de la présence physique des services publics dans les territoires (31%) et l’investissement dans les infrastructures clefs dans les territoires les moins favorisés (29%, 38% dans l’industrie). Cependant, les dirigeants sont davantage partagés sur les réponses à apporter au sentiment de fracture territoriale.

Toujours confiants malgré tout

L’indicateur de l’optimisme affiche une hausse de dix points pour se situer à 106 points. En fait, le niveau le plus haut depuis octobre 2018 depuis le début de la crise des gilets jaunes.

C’est l’adjectif « confiant » qui est choisi par les chefs d’entreprise pour caractériser leur état d’esprit actuel (60%, +9 points). L’optimisme, à 49%, affiche une hausse importante (+27 points). Elle lui permet de revenir à des niveaux observés avant la crise des gilets jaunes.

Une majorité d’entre eux estime que « c’est très bien en ce moment » (58%, +6 points). Néanmoins, moins d’un tiers a le sentiment que c’était mieux hier (32%, -2 points). Cela est fort significatif de leur état d’esprit et qui exprime leur espoir dans l’avenir. En effet, ils se montrent confiants pour les perspectives de leur entreprise dans les 12 prochains mois (82%, +12 points). Toutefois, ils sont plus inquiets vis-à-vis de l’économie française (33%, – 2 points), un chiffre stagnant depuis la chute importante observée à l’automne dernier.

Quelle influence le Brexit et ses rebonds ?

Alors que la date butoir est sans cesse repoussée et que l’issue est difficile à déterminer, les dirigeants redoutent avant tout les conséquences que cela aurait sur le libre-échange. 39% citent spontanément l’impact négatif sur les échanges et le commerce. 16% soulignent les difficultés causées par la fermeture des frontières et le durcissement des contrôles douaniers. Enfin, 12% l’impact négatif sur le tourisme et les déplacements de personnes. Un impact négatif global, sans vraiment de raisons précises évoquées, est également craint par 22% des répondants et 16% considèrent qu’un Brexit « dur » signerait la fin de la relation privilégiée entre France et Royaume-Uni.

1er avril, la RATP vous invite à faire des blagues

La RATP vous propose de piéger ses proches, amis, collègues…. en faisant des selfies dans le métro… Vraiment chaque année on est ravi de leur créativité que l’on attend d’ailleurs ! Ah le poisson d’avril, un moment de bonne humeur dans le métro !!!

Ainsi, le réseau de transports en commun a transformé plusieurs de ses stations de métro et intérieurs de wagon sur le thème du voyage. C’est le moment de s’évader le temps d’une journée et pourquoi pas de faire des blagues !

Les affiches publicitaires, de 12 m2 (4 par 3 mètres), sont remplacées par des photos liées aux noms des stations et suscitent le sourire et pourquoi pas des idées pour s’amuser dans cette journée symbolique :

  • un avion est en train de décoller à Charles-de-Gaulle-Etoile et même un aéroport ligne 2
  •  un chameau dans le désert avec les pyramides en fond pour Pyramides ligne 7
  • un glacier à Glaciaire ligne 6
  • la fontaine de Trevi à Rome ligne 2,
  •  des montagnes à la station Pyrénées ligne 11
  • la tour de Pise à la station Place d’Italie ligne 6
  • pour les stations Bel air et Opéra c’est le suspens !

De plus, pour guider les voyageurs à réaliser des poissons d’avril, des indications au sol expliquent aux voyageurs comment réaliser un selfie avec ces décors qui suscitent c’est le moins qu’on puisse dire l’envie de voyager.

Prenez l’avion dans le métro !

Vous pouvez même imaginer que vous prenez l’avion dans les métros des lignes 9 et 14 : des trompe-l’œil hublots sur les vitres avec vue du ciel, vous laissent croire que vous être à bord d’un avion. Les voyageurs de la ligne 9 et de la ligne 14 auront aussi le choix entre le « côté couloir » ou le « côté hublot » grâce à des trompe-l’œil avec vue du ciel imprenable, répartis sur les vitres des rames.
Il ne reste plus qu’à envoyer ces photos à vos proches en faisant croire à un départ en vacances :
« C’est décidé, je vais aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs »
« J’ai mis la clef sous la porte »…

Mais pourquoi pas devenir la star …

Si vous postez les clichés sur les réseaux avec le hashtag #StationdAvril vous serez peut-être sélectionné par la RATP qui publiera un top 5 des meilleurs selfies en fin de journée sur ses comptes et devenir photographe professionnel.

Par ailleurs, les stations Quatre-Septembre et Bonne Nouvelle regroupent l’ensemble des visuels présents sur les autres stations et proposant également une distribution d’accessoires et de faux billets d’avion pour laisser vagabonder votre imagination et pourquoi pas aller réserver des billets et partir !!!
La RATP nous avait proposé de sourire, en détournant les noms de stations

Une Bastille pour la gorge ? De la Gentilly sur tes fraises ? Si j’aurais su, Jaurès pas venu. Qui a éteint la Laumière ?…Cette année, elle va plus loin et nous invite à agir…

C’est le moment de déposer votre projet

Cette année encore, Aviva France a décidé de récompenser les entrepreneurs utiles et innovants. Avec une dotation conséquente, la Fabrique Aviva pour sa 4ème édition fait peau neuve. Zoom sur ce prix qui pourrait vous être utile.

Les entreprises visées

La Fabrique Aviva, le grand concours d’Aviva France, cherche à récompenser les initiatives entrepreneuriales à fort impact social et/ou environnemental. L’assureur Aviva France, s’est investi dans une démarche RSE depuis de nombreuses années autour de 3 axes clés : le climat, l’investissement responsable et l’inclusion.

Cette initiative a vocation à soutenir financièrement des projets innovants, conciliant performance économique, impact social et environnemental. Vous êtes particulièrement concerné si vous êtes dans les domaines de la santé, l’environnement, l’inclusion et l’emploi.

Les domaines restent diversifiés: économie circulaire, circuits courts, consommation collaborative, prévention, réinsertion professionnelle, agriculture durable, un grand nombre de projets entrepreneuriaux ayant une utilité sociale, environnementale et/ou sociétale…

Vous devez avoir au moins de 7 ans d’existence (la date de dépôt des statuts, ou tout autre document officiel prouvant la date de début du projet faisant foi)

4 catégories suivantes sont récompensées :

  • « Alimentation et santé : aider à vivre mieux dans un monde où la pollution, l’appauvrissement du sol et les problèmes liés à la nutrition poussent à nous adapter.
  • Environnement et transition énergétique : préserver l’environnement et participer à la lutte contre le changement climatique, apporter des solutions à notre impact sur la biodiversité et adapter notre consommation énergétique.
  • Inclusion et emploi : rompre les barrières générationnelles, sociales, communautaires, et favoriser la réinsertion professionnelle en redynamisant le bassin de l’emploi.
  • Assurance responsable et prévention : soutenir les solutions d’assurance innovantes de demain, qui bénéficieront à tous. »

Les dates et fonctionnement du concours

Les candidatures s’effectuent du 8 mars à 10h au 19 avril 2019 à 12h sur la plateforme web collaborative dédiée à l’opération.

Les votes s’effectuent du 6 mai 2019 au 3 juin 2019 avec 1 000 projets (250 par catégorie) sélectionnés pour l’entrée en compétition.

Le 14 juin 2019, les 100 projets (25 par catégorie) qui ont récolté le plus de votes seront finalistes.

Du 24 au 28 juin 2019, les différents finalistes seront auditionnés par des jurys régionaux composés d’entrepreneurs, d’experts locaux, d’agents et de collaborateurs Aviva.

A l’issue :

  • 40 gagnants qui recevront des dotations financières réparties cette année en deux types de récompenses (Amorçage ou Décollage) selon le degré de maturité́ du projet.
  • 2 projets (un dans la catégorie amorçage et un dans la catégorie décollage) seront élus coup de cœur des agents Aviva et recevront un bonus de 10 000 €.
  • 12 gagnants seront désignés pour une session de « pitch » devant un jury national à Paris le 11 juillet 2019 pour tenter de remporter une dotation de la catégorie décollage à 35 000 € ou 65 000 €.

Les innovations de cette édition

De nombreuses innovations viennent enrichir cette nouvelle édition de la Fabrique Aviva avec, notamment, une toute nouvelle plateforme plus fluide et plus sociale, ainsi qu’un programme d’accompagnement des gagnants.

La plateforme a notamment pour vocation de devenir le leader dans le financement des entrepreneurs sociaux et environnementaux en France.  Ainsi, vous pourrez notamment durant la phase de votes interagir avec votre communauté.

Celle-ci devrait bientôt être complétée par des « solutions d’assurance-vie responsables permettant à nos clients de financer des projets issus de la Fabrique Aviva » selon Patrick Dixneuf, Directeur Général d’Aviva France.

Le concours en lui-même

Créé il y a 3 ans, les jurys locaux et nationaux ont désigné 157 Grands Gagnants qui se sont partagés pas moins de 3 millions d’euros. Avec 4 000 entrepreneurs sociaux fédérés autour du concours, ce ne sont pas moins de 8,5 millions de votes du grand public qui ont départagé les candidats.

A propos d’Aviva France

Aviva France est un des premiers assureurs vie et dommages en Europe. Avec 180 ans d’expérience en France, l’entreprise propose une gamme complète de produits et services à près de 3 millions de clients, particuliers, artisans commerçants, professions libérales et petites et moyennes entreprises.

Avec 4 300 collaborateurs, Il demeure un assureur de référence pour les TPE et PME et investisseur engagé dans le financement des entreprises françaises

A noter : En 2014, en partenariat avec INCO, l’entreprise  a lancé un fonds d’investissement aujourd’hui doté de 30 millions d’€, et destiné au financement de l’Economie Sociale et Solidaire « Aviva Impact Investing France » doté désormais du label Finansol.

Aviva France offre 1 million d’euros pour 40 entrepreneurs

Cette année encore, Aviva France a décidé de récompenser les entrepreneurs utiles et innovants. Avec une dotation conséquente, la Fabrique Aviva pour sa 4ème édition fait peau neuve. Zoom sur ce prix qui pourrait vous être utile.

Les entreprises visées

La Fabrique Aviva, le grand concours d’Aviva France, cherche à récompenser les initiatives entrepreneuriales à fort impact social et/ou environnemental. L’assureur Aviva France, s’est investi dans une démarche RSE depuis de nombreuses années autour de 3 axes clés : le climat, l’investissement responsable et l’inclusion.

Cette initiative a vocation à soutenir financièrement des projets innovants, conciliant performance économique, impact social et environnemental. Vous êtes particulièrement concerné si vous êtes dans les domaines de la santé, l’environnement, l’inclusion et l’emploi.

Les domaines restent diversifiés: économie circulaire, circuits courts, consommation collaborative, prévention, réinsertion professionnelle, agriculture durable, un grand nombre de projets entrepreneuriaux ayant une utilité sociale, environnementale et/ou sociétale…

Vous devez avoir au moins de 7 ans d’existence (la date de dépôt des statuts, ou tout autre document officiel prouvant la date de début du projet faisant foi)

4 catégories suivantes sont récompensées :

  • « Alimentation et santé : aider à vivre mieux dans un monde où la pollution, l’appauvrissement du sol et les problèmes liés à la nutrition poussent à nous adapter.
  • Environnement et transition énergétique : préserver l’environnement et participer à la lutte contre le changement climatique, apporter des solutions à notre impact sur la biodiversité et adapter notre consommation énergétique.
  • Inclusion et emploi : rompre les barrières générationnelles, sociales, communautaires, et favoriser la réinsertion professionnelle en redynamisant le bassin de l’emploi.
  • Assurance responsable et prévention : soutenir les solutions d’assurance innovantes de demain, qui bénéficieront à tous. »

Les dates et fonctionnement du concours

Les candidatures s’effectuent du 8 mars à 10h au 19 avril 2019 à 12h sur la plateforme web collaborative dédiée à l’opération.

Les votes s’effectuent du 6 mai 2019 au 3 juin 2019 avec 1 000 projets (250 par catégorie) sélectionnés pour l’entrée en compétition.

Le 14 juin 2019, les 100 projets (25 par catégorie) qui ont récolté le plus de votes seront finalistes.

Du 24 au 28 juin 2019, les différents finalistes seront auditionnés par des jurys régionaux composés d’entrepreneurs, d’experts locaux, d’agents et de collaborateurs Aviva.

A l’issue :

  • 40 gagnants qui recevront des dotations financières réparties cette année en deux types de récompenses (Amorçage ou Décollage) selon le degré de maturité́ du projet.
  • 2 projets (un dans la catégorie amorçage et un dans la catégorie décollage) seront élus coup de cœur des agents Aviva et recevront un bonus de 10 000 €.
  • 12 gagnants seront désignés pour une session de « pitch » devant un jury national à Paris le 11 juillet 2019 pour tenter de remporter une dotation de la catégorie décollage à 35 000 € ou 65 000 €.

Les innovations de cette édition

De nombreuses innovations viennent enrichir cette nouvelle édition de la Fabrique Aviva avec, notamment, une toute nouvelle plateforme plus fluide et plus sociale, ainsi qu’un programme d’accompagnement des gagnants.

La plateforme a notamment pour vocation de devenir le leader dans le financement des entrepreneurs sociaux et environnementaux en France.  Ainsi, vous pourrez notamment durant la phase de votes interagir avec votre communauté.

Celle-ci devrait bientôt être complétée par des « solutions d’assurance-vie responsables permettant à nos clients de financer des projets issus de la Fabrique Aviva » selon Patrick Dixneuf, Directeur Général d’Aviva France.

Le concours en lui-même

Créé il y a 3 ans, les jurys locaux et nationaux ont désigné 157 Grands Gagnants qui se sont partagés pas moins de 3 millions d’euros. Avec 4 000 entrepreneurs sociaux fédérés autour du concours, ce ne sont pas moins de 8,5 millions de votes du grand public qui ont départagé les candidats.

A propos d’Aviva France

Aviva France est un des premiers assureurs vie et dommages en Europe. Avec 180 ans d’expérience en France, l’entreprise propose une gamme complète de produits et services à près de 3 millions de clients, particuliers, artisans commerçants, professions libérales et petites et moyennes entreprises.

Avec 4 300 collaborateurs, Il demeure un assureur de référence pour les TPE et PME et investisseur engagé dans le financement des entreprises françaises

A noter : En 2014, en partenariat avec INCO, l’entreprise  a lancé un fonds d’investissement aujourd’hui doté de 30 millions d’€, et destiné au financement de l’Economie Sociale et Solidaire « Aviva Impact Investing France » doté désormais du label Finansol.

Créer une start-up dans le digital

Les pure-players ou sociétés dédiées uniquement au digital se sont fortement développées en peu de temps. Certaines parmi elles sont même devenues des licornes (société valorisée à plus d’un milliard et ayant moins de 10 ans d’existence) comme Blablacar avec des services uniquement digitaux. Comment monter une entreprise dans le digital et éviter les écueils ?

Les pure-players ou sociétés dédiées uniquement au digital se sont fortement développées en peu de temps. Certaines parmi elles sont même devenues des licornes (société valorisée à plus d’un milliard et ayant moins de 10 ans d’existence) comme Blablacar avec des services uniquement digitaux. Comment monter une entreprise dans le digital et éviter les écueils ?

Les atouts indéniables du digital

L’atout majeur du digital et de son fonctionnement en tant que tel demeure qu’il nécessite la plupart du temps moins d’apports financiers importants. Vous n’avez même plus besoin aujourd’hui pour démarrer d’avoir vos propres locaux , ni parfois la nécessité de consacrer du temps à rencontrer physiquement vos clients. Vous pouvez gérer la plupart de vos actions à distance et profiter de l’automatisation de la plupart de vos actions pour gagner du temps. Internet représente avant tout un lieu exceptionnel où vous pouvez vendre au plus grand nombre sans pourtant vous être déplacé de chez vous, sans investir un argent considérable, ni posséder de magasin physique qui est la source de coûts financiers élevés et de salariés.

L’importance de l’équipe

Vendre du digital ne signifie pas que vous n’aurez pas besoin de compétences spécifiques au sein de votre équipe. Il s’agit rarement de mettre en place un site internet et de le « laisser tourner » pour que l’ensemble des visiteurs se précipitent sur votre plateforme. Vous devrez la faire évoluer tout au long de la vie de l’entreprise afin qu’elle s’adapte aux avancées technologiques. Ainsi, une des compétences clés demeurent souvent de maîtriser en interne le développement de votre site. Mais ce n’est pas tout, une autre compétence souvent exigée pour développer votre entreprise : celle du marketing qui vous permettra de faire connaître votre entreprise.

La stratégie d’acquisition avant tout

Si l’on pense souvent que le digital ne coûte rien, cela n’est pas tout à fait vrai. Aujourd’hui il est devenu difficile de se démarquer sur la toile où une concentration des acteurs est en train de s’opérer. La rude concurrence sur le web a généré une bataille pour se retrouver en tête des moteurs de recherche et il est devenu parfois très difficile de se démarquer sur certains mots clés sans avoir recours à des stratégies de SEA. Pour commencer, n’oubliez pas que les serveurs ont un coût (même minime) mais aussi que vos actions pour vous faire connaître en auront également. Vous pouvez avoir le meilleur produit/service sans pour autant que votre site n’arrive à percer sur le web. Contrairement aux start-ups qui vendent leur produit de manière physique vous pouvez ainsi être noyé dans ce monde où votre place se joue à l’international. Certains termes comme Content Marketing, Big Data, Panda et Penguin, Native Advertising, Campagne marketing Automation doivent faire partie de votre langage.

La transformation du client

Si internet représente une grande place où de nombreuses personnes circulent, la liberté de l’internaute est également un obstacle majeur puisqu’il peut décider en un clic de sortir de votre magasin. Il ne sert à rien d’avoir des millions de personnes qui passent sur votre site s’ils ne vous rapportent rien. Pour ce faire, vous pouvez commencer à penser votre site en termes d’expérience client mais aussi en termes de transformation. Il vous faudra prendre en compte les clics pour arriver au paiement et les conditions d’utilisation de votre service (mobile, tablette, pc fixe… ?) et parfois redésigner votre vitrine pour générer une transformation plus efficace. De nombreux logiciels ont été créés en ce sens pour vous permettre de mieux suivre le parcours de votre visiteur.

La nécessaire réactivité

Qui dit web dit réactivité. Les internautes sont devenus impatients autant pour obtenir leur devis qu’une confirmation de leur commande ou de la bonne prise en compte de leur paiement. Les délais de livraison sont souvent scrutés et vous devrez penser tout en automatisation. Il s’agit la plupart du temps pour vous de réduire les coûts au maximum liés à l’intervention humaine et d’automatiser tout ce qui pourra l’être.

N’oubliez pas les spécificités comme les mentions légales

Certaines mentions spécifiques liées à internet sont désormais imposées et il vous faudra éviter d’oublier de les mentionner ainsi que de bien suivre l’ensemble des nouvelles règles liées à la RGPD, comme l’explique 1&1 IONOS dans son article dédié, afin de mettre en conformité votre site. Toute collecte de données personnelles doit faire l’objet d’une déclaration préalable auprès de la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés). Dans la majorité des cas, il s’agit de fichiers de prospects et de clients, dans le cas des entreprises.Avant de procéder à votre déclaration, vous devez avoir vérifié que votre fichier répond à toutes les obligations légales et avoir déterminé que sont sa finalité, sa durée, la confidentialité, la sécurité.

Une entreprise comme les autres

Finalement en dehors de quelques aspects spécifiques au web, il ne vous faut pas oublier que les sociétés sur le digital demeurent comme les autres sociétés. Elles obéissent aux mêmes règles et vous devrez établir des factures comme tout le monde. La plupart des règles de gestion demeure les mêmes et vous devrez donc ne pas oublier de vous y conformer.

Fiscalité du PERP : Les versements effectués en 2018 sont-ils imposables ?

L’instauration du prélèvement à la source (PAS) cette année pose de nombreuses questions. L’une d’entre elles est l’impact sur les versements réalisés en 2018 sur le PERP et sur leur imposition.

Le PERP en quelques mots

L’épargne PERP est une méthode d’épargne pour la retraite. Il s’agit de vous constituer un capital afin de vous assurer une meilleure retraite. Ce type de dispositif à long terme donne droit à des avantages fiscaux non négligeables. L’année 2018 étant une année blanche sur le plan fiscal, il est donc légitime de se poser la question de savoir ce qui se passe. Avant de prendre toute décision, en ne considérant que le caractère fiscal, envisagez l’impact négatif sur votre épargne à long terme que si vous arrêtez de verser en 2018 et 2019 de l’argent sur votre PERP.

Les changements liés au PERP

D’abord il faut comprendre que, sauf revenus exceptionnels, les versements 2018 sont privés d’intérêt fiscal. Autrement dit, les revenus de 2018 n’étant pas imposables, les déductions n’ont elles aussi aucune raison d’être sur vos impôts 2018.

Le cas le plus simple demeure celui où l’ouverture de votre PERP a été faite en 2018 ou en 2019 : la totalité des versements effectués en 2019 sera déductible.

Si votre ouverture a été faite en 2017 ou avant, le législateur a pris plusieurs mesures afin que les épargnants ne cessent pas leurs versements : il a, en effet, prévu qu’en 2019, les versements PERP restent déductibles pour 100% de leur montant. Une condition tout de même : les versements 2018 ne doivent pas être inférieurs à ceux de 2019, ce qui est souvent le cas pour ceux qui ont arrêté leur versement. Une exception cependant s’ils sont supérieurs à ceux de 2017.

Pas de panique dans le cas inverse, puisque vous bénéficierez tout de même d’une déduction à hauteur de la moyenne des cotisations PERP 2018 et 2019. Ainsi, si vos versements 2018 ont été inférieurs à ceux de 2017 et de 2019, la moyenne des versements effectués entre 2018 et 2019 deviendra déductibles. Pour résumer, si vous avez suspendu ou diminué vos versements en 2018 vous risquez d’être pénalisé puisque ce sera la moyenne des deux années 2018 et 2019 qui va être prises en compte.

Quelques exemples pour mieux comprendre

  • Si vous avez versé 100 en 2017, 2018 et 2019, ils resteront identiques en 2019
  • Si vous avez versé la même 100 en 2017 et 2019 mais que vous vous êtes interrompus en 2018 ce sera la moyenne de 2018 et 2019 donc 50 seulement qui seront déductible en 2019.
  • Si vous verser 100 en, 2017, 0 en 2018 et mis 200 sur 2019, vous aurez 100 de déductibles en 2019.

Les autres possibilités

L’utilisation du conjoint ou du partenaire de PACS. Dans le  cas où il n’a pas de PERP, vous pouvez lui en faire un ouvrir un. Grâce à cette démarche, le dispositif « anti-abus » ne s’appliquera pas à vous. Votre foyer fiscal bénéficiera de la déduction des 100% des versements sur ce PERP en 2019. Une astuce efficace car si vous n’avez pas effectué de versement en 2018, vous pouvez faire un versement complémentaire puisque le PERP vous permet de récupérer sur 3 ans la « quotité fiscale à laquelle vous avez droit et que vous n’avez pas utilisée vous, votre conjoint, ou votre partenaire de PACS. »

Vous pouvez également prendre en compte les revenus exceptionnels et financiers (intérêts, dividendes, plus-values, retraits sur contrats d’assurance-vie) qui ne sont pas affectés. Vous pouvez ainsi très bien utiliser la défiscalisation pour les rachats de contrat d’assurance vie et verser les produits sur votre PERP par exemple. Cette technique est d’autant plus utile si vos contrats d’assurance vie ont des mauvaises performances

Une autre solution, pour ceux qui ont suspendus leur versement en 2018, consisterait à suspendre à nouveau en 2019 pour  tout reporter sur 2020.

Plus d’informations sur service-public.fr

Comment améliorer la productivité de votre entreprise grâce au mobilier

Les entreprises émettent souvent le désir d’augmenter leur productivité, élément qui permet d’augmenter considérablement leur chiffre d’affaires, mais également d’investir dans de nouveaux projets. Et pourtant la productivité est une notion encore difficile à comprendre, malgré une importance somme toute cruciale dans le développement de l’entreprise. En dépit de quelques postes susceptibles d’accroître la productivité, le mobilier, par le biais de son ergonomie, a cette faculté d’améliorer la productivité de la société.

Définition de la productivité

Dans les sciences économiques, la productivité est la relation entre une production effectuée, que ce soit dans le domaine de biens ou de services, et l’ensemble des moyens mis en place pour l’atteindre. De ce fait, elle permet d’évaluer la performance de ces desdits moyens. Par exemple, une progression du chiffre d’affaires engendrée par une augmentation des moyens de production est la résultante d’une diminution de la productivité. A contrario, une croissance de la productivité est en mesure de trouver des solutions, par exemple, dans la réduction de ses dépenses.

Pour bénéficier d’une meilleure productivité, il existe de nombreux critères sur lesquels le chef d’entreprise peut influer. Le management a cette capacité à influencer la productivité des salariés. Motivation, concentration, cohésion sont des leviers de réussite pour l’accroître.

L’utilisation de l’Internet a également augmenté la productivité. En effet, le web a réduit les coûts de fonctionnement comme dans le secteur de la vente. En effet, il n’est plus nécessaire d’avoir un local commercial pour vendre.

La sous-traitance et l’externalisation sont également des choix stratégiques pour augmenter la productivité. Certains services comme le call-center ou le secrétariat sont des postes d’économies pour une entreprise.

L’ergonomie au secours de la productivité

La productivité d’une entreprise a la possibilité d’être améliorée par des moyens beaucoup plus « humains », notamment par le mobilier. Et c’est tout l’intérêt d’intégrer l’ergonomie dans la vie d’entreprise. En effet, les troubles musculo-squelettiques représentent un véritable coût pour la société. Maladies professionnelles, absentéismes sont le lot commun des TMS.

Dans la plupart des cas, le réaménagement du poste de travail est la solution pour les employés. Un changement de mobilier à l’image des chaises ergonomiques, pour une fonction administrative, offre de nouvelles perspectives de travail. Le principal avantage d’une assise ergonomique est que l’employé de bureau peut l’adapter à sa mesure, contrairement aux modèles standards. Autrement dit, la chaise ergonomique s’ajuste à la morphologie de l’individu au moyen de tous ses éléments qui la composent. Par exemple, les accoudoirs sont réglables, de même que le dossier, un appui-tête est directement intégré au fauteuil. Sans oublier bien évidemment le repose-pieds pour adopter une position adéquate devant son écran d’ordinateur.

Le mobilier ergonomique, indépendamment de la chaise, intègre d’autres matériels pour augmenter la productivité d’une entreprise. Le bureau réglable en hauteur permet justement de considérer le bien-être de l’employé sur son poste de travail. Ainsi, il a la possibilité de régler son bureau, de la position assise à la position debout et inversement, pour améliorer ses performances dans ses tâches.

En d’autres termes, l’ergonomie, au sein de l’entreprise, permet de concilier le bien-être au travail et la productivité d’une société.

Des bonnes idées à la pelle

Les bonnes idées peuvent surgir tout azimut et constat est fait que les entreprises françaises et canadiennes arrivent à trouver des idées qui marchent dans tous les domaines. Les investisseurs ne s’y trompent pas et ses entreprises sont souvent sélectionnées quand il s’agit d’investir.

Il s’agit peut-être d’un hasard mais il faut bien constater que les sociétés françaises et  canadiennes rencontrent un succès auprès des investisseurs. Les deux pays francophones ont la côte : exception française ou double culture canadienne, on ne saura jamais. Quelques exemples.

Le covoiturage par BLABLACAR

La société aujourd’hui leader dans le domaine du covoiturage a été fondée en 2006 par Frédéric Mazzella et rapidement rejoint par Francis Nappez et Nicolas Brusson. Elle compte pas moins de 70 millions de membres dans 22 pays et peut afficher fièrement 25 millions de voyageurs par trimestre. Pour réaliser son développement,  elle a su séduire les investisseurs à plusieurs reprises. Une première fois en 2010 (1.5 millions d’euros), en 2012 (7.5 millions), en 2014 (100 millions), en 2015 (200 millions) et en 201 (100 millions). Des chiffres révélateurs sur le succès que remporte l’entreprise auprès des investisseurs !

L’agriculture par AGRICOOL

La société a été fondée en 2015 par Guillaume Fourdinier et Gonzague Gru. Originaire d’ile de France (Saint-Denis – 93), la start-up vient de réussir sa levée de fonds de 25 millions d’euros afin de développer son système de production de fruits et légumes en containers. De nombreuses nouvelles unités sont prévues dans le monde dans les années à venir. Un très bon lancement pour une start-up encore toute jeune.

Les cartes de crédit récompense

Les canadiens ont développé des cartes de crédit récompense. Il existe d’ailleurs un classement des meilleures cartes de crédit récompense. Le principe de ce type de carte est simple puisqu’il s’agit de carte qui ont des programmes de récompenses dans différents formats. Le fonctionnement réside sur le fait qu’il s’agit de gagner des points lorsque vous dépenser de l’argent. Il existe différents types de récompenses suivant les cartes. Encore une idée qui marche !

La santé et les objets connectés par DREEM (ex-Rythm)

Fondée en 2014 par Hugo Mercier et Quentin Soulet de Brugière, la société s’illustre par son casque qui permet d’analyser l’activité cérébrale pendant que vous dormez. Ce dernier améliore votre sommeil en envoyant des stimulations sonores au cerveau; L’entreprise a réussi à levée par 2 fois en 2016 et 2017 la bagatelle de 11 millions d’euros. Elle s’illustre en 2018 par une levée de fonds de 35 millions d’euros.

La Fintech par PROGRESSA

La société canadienne Progressa vient de réussir son tour de table de 84 millions de dollars  en actions et en prêts afin de de «débloquer un nouveau programme d’achat de prêts à terme» et ne devrait pas s’arrêter là puisqu’elle prépare une introduction en bourse avant fin 2019. Soutenues notamment par les banques d’investissement, la société propre des solutions logicielles pour les entreprises.

La production de photos et vidéos par MEERO

L’entreprise est encore toute jeune puisqu’elle n’existe que depuis 2016. Ses fondateurs (Guillaume Lestrade et Thomas Rebaud) viennent de réussir une levée de fonds de pas moins de 48 millions d’euros en série B. Il avait déjà réussi l’année précédente une opération à 15 millions d’euros. L’entreprise qui a développé son propre centre de recherche en intelligence artificielle, propose un Service de production de photos et vidéos.

La mobilité en scooter par CITYSCOOT

Créée depuis 2014 par Bertrand Fleurose, l’entreprise vient de réussir une levée de fonds de 40 millions d’euros en série B. L’entreprise propose des scooters électriques en libre-service. Elle désire aujourd’hui étendre son maillage de l’entreprise sur le territoire français et à conquérir plusieurs villes européennes. Elle n’en est pas à  ses débuts puisqu’elle avait déjà réussi une levée de 15 millions d’euros.

Comment créer un logo d’entreprise en ligne : Astuces et services pratiques

Le logo est une œuvre graphique utilisée pour renforcer la reconnaissance de votre entreprise. C’est un élément clé sur lequel repose votre identité de marque. Le logo est un moyen intelligent de dire à votre public cible dans quoi vous évoluez. Votre design est responsable de la première impression de votre marque auprès de vos clients. On n’a jamais de deuxième chance de faire une bonne impression, n’est-ce pas ? En ayant cela en tête, la tâche de création d’une icône d’entreprise ne doit pas être négligée.

1. Les éléments clés du logo

L’icône

Il est important de choisir une icône qui va avec votre industrie par rapport au thème et au style. Autrement, vous risquez de transmettre le mauvais message et de perdre votre public. Avant de travailler sur votre design, prenez le temps de définir ce que votre industrie représente et quelles sont vos valeurs et objectifs. Assurez-vous que votre icône reflète ces informations.

La couleur

En logo design, les couleurs populaires sont entre autres le rouge, le jaune, le bleu, l’orange, le vert, le violet et les couleurs achromatiques. Avec une aussi large variété de tons, le choix du schéma de couleurs peut être délicat. Renseignez-vous sur les connotations psychologiques des différentes couleurs et la manière dont elles affectent votre public.

Le nom et le slogan

En utilisant le nom de votre entreprise ou votre slogan, vous pouvez communiquer des informations de manière plus directe. Ajouter du texte à votre logo est un moyen efficace de dire à vos potentiels clients quels produits et services vous proposez. Assurez-vous que votre texte est direct et concis. Pour plus d’informations sur le choix du nom de votre entreprise, cliquez ici.

La police

La police que vous choisissez doit aller avec votre icône (image) et renforcer l’identité de votre logo. Pour les logos ayant plus d’un mot, utilisez au maximum deux polices qui vont ensemble. N’en faites pas trop avec des polices décoratives. La plupart d’entre elles seront illisibles en réduisant la taille, ce qui veut dire que vous aurez du mal à reproduire votre design. Vous trouverez ici une collection des meilleures polices pour logo. Vous trouverez ici des exemples pratiques de typographie en logo design.

2. Exemples de logos d’entreprise créatifs

Voici d’excellents designs de logos d’entreprises. Vous trouverez plus d’idées ici.

https://lh6.googleusercontent.com/Z4awUSlu6NTyiJo4feZFJJzn1let5CqY_L0qJxGYp7Efqc9xczXBFiIXnp6eg6nClepqu7VtrTn-99boq22w43m-_a0mZ03I09r7Nt0QaohUstNppOPrti8m2DcxHuW7taH0WSHs

3. Les manières de créer un logo d’entreprise

Il y a en tout six manières de créer un logo pour représenter votre marque :

Le faire soi-même

Si vous voulez obtenir un logo gratuitement, préparez-vous à investir 10 à 20 heures pour le créer vous-même. Ce qui est bien avec cette approche, c’est que vous pouvez le contrôle sur tout et avoir un design exactement comme vous le souhaitez. Cependant, si votre vision artistique et vos compétences en dessins ne sont pas suffisamment développés, vous risquez de vous retrouver avec un logo amateur. Une icône mal faite peut faire que vos potentiels clients et partenaires ne prennent pas votre entreprise au sérieux.

Recruter un designer

Cette méthode nécessaire une certaine quantité de temps et d’argent. Selon les compétences de votre designer, un logo vous coûtera entre 50 à 100$ et 500 à 1000$. Préparez-vous à attendre jusqu’à deux semaines pour voir le résultat. La plupart des designers sont suffisamment qualifiés pour la tâche, donc attendez-vous à avoir un design professionnel. Cependant, gardez à l’esprit que vous n’aurez pas un contrôle total sur le processus de création. Vous ne pouvez pas être sûr que votre logo sera exactement comme vous l’avez imaginé. En plus, vous prenez le risque que votre fournisseur vous lâche en disant être malade, en abandonnant la tâche ou tout simplement en rompant toute communication.

https://lh5.googleusercontent.com/VDSeZ9A_DVNMCVTroSzrDIEFgED3x5ZmQhygF07QCjpNhPP5s0Zv6ekygP4zVAODL7WqNfkdcaX9TbUTVdpbA75CbZbDWHHE9n-haTPYOK6FrBBbZ8lKqJRuTKAj-OuxKDdluMKX

Travailler avec un studio de design

Si vous n’avez pas de problèmes d’argent, vous pouvez envisager de faire confiance à un studio de design pour la conception de votre icône. Si les prix des petits studios démarrent à 1000$, les grandes entreprises facturent 20 000 à 50 000$. Soyez patient. Les délais de livraisons varient entre une semaine et deux mois. Contrairement au designer en freelance, ici vous pouvez être sûr que le studio répondra à tous vos besoins et livrera le meilleur résultat possible.

Le Crowdsourcing

Un budget de crowdsourcing varie entre 100 et 200$. Si cette méthode comporte des deadlines et autres, vous pouvez obtenir un logo en seulement deux à quatre jours. Intenet propose plusieurs sites de crowdsourcing tels que DesignCrowd (à partir de 240$ par design) et 99designs (99$, mais les icônes ne sont pas uniques). Créez un compte, définissez vos besoin et un budget. Vous recevrez des logos venant de designers du monde entier. Vous pouvez choisir une ou plusieurs options. Si vous n’aimez aucun des logos proposés, vous devez quand même choisir le meilleur design et le payer.

L’éditeur en ligne

Avec les programmes d’édition en ligne, vous pouvez créer un logo pour environ 20 à 50$. Selon vos compétences, il vous faudra 30 minutes à trois heures pour créer votre design. Les éditeurs en ligne sont programmes d’édition similaires à Photoshop utilisés pour créer des logos. Si vous pouvez choisir parmi une grande variété d’icônes, polices et couleurs, vous ne pouvez pas modifier votre design une fois qu’il est terminé. Il faut noter que vous aurez quand même besoin de compétences de base en design. Le bon côté c’est que vous n’aurez pas d’avances à payer. Si vous n’aimez pas votre design, vous pouvez ne pas le payer.

Utilisez le créateur de logo en ligne Logaster

Avec le créateur de logo en ligne Logaster, vous pouvez créer une petite icône (pour les sites web et les réseaux sociaux) entièrement gratuitement. Les designs plus grands en raster et en vecteur commencent à 9,99$ (pas d’avances à payer). La création d’une icône ne vous prendra que 20 minutes. Le bon côté de cette méthode est que vous n’avez pas besoin de compétences en design ou avec Photoshop pour créer une icône efficace et belle. Tout ce que vous avez à faire, c’est entrer le nom de votre entreprise et sélectionner votre industrie. Logaster vous proposera des dizaines de designs correspondant à votre industrie. Vous pouvez modifier le design que vous avez sélectionné autant que vous le souhaitez. Logaster vous donnera des astuces pratiques concernant la taille ou le schéma de couleurs de votre icône. Si vous avez besoin de plus de temps pour réfléchir, vous pouvez enregistrer votre design et y revenir plus tard. De plus, vous pouvez utiliser votre logo pour créer d’autres éléments de votre identité de marque avec Logaster.

4. Comment créer un logo d’entreprise avec Logaster

Pour commencer, ouvrez le site, cliquez sur le bouton « créer un logo ».

https://lh5.googleusercontent.com/PC4mWgvzkDVMkKHbjWLWwQ1ThGYriYbxVdVuWvDp-eJG3WiFTQf-HQ_4DVyAa0ZGcnRTVe1wGMI96HK-5GmZze6LLeixX5SevOq15g6HulxlPkzVD5fEJB0kfH_v7V4ACd1h2dVh

Entrez le nom de l’entreprise et cliquez sur “créer un logo”.

https://lh6.googleusercontent.com/4rsVNU0xS-vmmjzkUieRmg418lPdyMow1mq-3ZS1owjcIfVMtczZ3kTKOG9l0uPCN26VOXmb29-htWFlk-20OHByyqj10H9ZDMC2SGVC7cMzcOOYGV825kUEEi9FkOmn9MlSupNn

Sélectionnez le type d’activité et si vous le souhaitez, ajoutez le slogan de l’entreprise.

https://lh6.googleusercontent.com/4BlPSR7yGU1uGuypSJy5_khKxQfrSXJ-jxa5-Yx_ieRzsjdBXfZlmv6sKmio5KhE_IPbDlxIPsA8uxMxz5-9wLE27pf_lkhkL8_C1rGhrNhCNyj4sVm2E1q7B2jDNYh1TD16rSCJ

Dans les options, sélectionnez celle que vous préférez.

Regardez ce que donne le logo sur différents supports, puis cliquez sur “télécharger”.

https://lh3.googleusercontent.com/pP7ZbaWT6sC_jDCmx6XNKhBh0BvzJdTk2oh1WgtiJAWAtFQsivmYACOZURIgXJ55jBM_Jg35UVK0YIz5wLwscSr0wdE3MyjL0SeNRSDjZ7qqODjTuoxjujCTDdY5RtECKX55urEK

Si nécessaire, apportez  les changements nécessaires au logo dans l’éditeur.

https://lh3.googleusercontent.com/0xCkxKSnqN4Ql1Y1I5IwYRo1tifjddLqIRmsUzz0jvs3FuiFy2JkX-oFbZtX4m32h17tyJBB1ILqNjR0HtFLfcIRK7MSXTGj6agWp1MLqwKSsF9cxRf3e4ZkXChKuhZhgz14biib

Téléchargez gratuitement une petite version du logo, ou téléchargez-le en taille complète à partir de 9,9$.

N’attendez pas trop longtemps pour créer un beau logo pour votre entreprise. Nous espérons que nos astuces vous aideront à obtenir le résultat que vous souhaitez.