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Ramette papier : Où en acheter en grande quantité ?

Vous utilisez beaucoup de ramettes de papier dans votre activité ? Découvrez notre astuce pour les acheter en très grande quantité !

Acheter des ramettes de papier en gros, notre solution !

Même à l’heure du numérique, le papier tient encore une place importante dans toute entreprise qui a de nombreux dossiers et documents à gérer. C’est votre cas et une ramette de papier ne dure pas longtemps chez vous ? Pensez à acheter en gros, voici notre solution !

Pourquoi acheter une ramette de papier en gros ?

Lorsque vous utilisez beaucoup de ramettes de papier, si vous les achetez à l’unité et au fur et à mesure de vos besoins, le prix peut vite monter. En choisissant d’acheter en gros, vous aurez moins souvent besoin de renouveler votre achat, ce qui vous fera gagner du temps mais aussi de l’agent !

En effet, cela vous permet de pouvoir négocier les tarifs auprès des fournisseurs. Si vous achetez en grande quantité, vous pouvez demander à bénéficier d’un tarif préférentiel pour avoir une ramette de papier moins chère que vendue à l’unité. Généralement, cela est possible à partir de l’achat de 5 ramettes, notamment si vous passez commande sur internet. L’économie sera alors petite mais plus vous en prendrez une grande quantité et plus vous la ressentirez. Vous avez ainsi du papier en quantité suffisante et vous payez moins cher !

Société Bernard pour répondre à tous vos besoins de papier

Pour avoir du papier qui soit de qualité et adapté à vos besoins, il vaut mieux vous tourner vers un spécialiste du domaine comme l’entreprise Bernard créée depuis près de 50 ans. En effet, il faut savoir qu’il existe des papiers de différentes tailles avec les formats A3, A4, A5 mais aussi divers grammages pouvant aller de 60 à 430 g en fonction de la ramette de papier. Selon l’utilisation que vous en faites, la blancheur est également importante.

Bernard propose à ses clients tous les types de papier, que vous recherchiez une qualité supérieure, idéale pour les impressions en couleur, un papier business qui est de qualité moyenne mais qui convient parfaitement pour être mis dans l’imprimante sans provoquer de bourrage. Il existe aussi le premier prix qui est adapté pour tous les travaux de bureau ou encore une ramette de papier recyclée qui est respectueuse de l’environnement. Quelle que soit votre utilisation, vous trouverez les feuilles de papier qui conviendront !

Tous les produits proposés par l’entreprise Bernard sont d’ailleurs écologiques ce qui leur permet de recevoir de nombreux labels comme PEFC et FSC, le label AB et la certification APUR.

Tous ces types de papier peuvent être commandés en gros pour satisfaire vos besoins. Pour cela, il vous suffit de passer commande sur le site en sélectionnant le type de papier que vous souhaitez, le format et la quantité que vous voulez avoir. Vous pourrez alors constater les tarifs promotionnels dont vous pourrez bénéficier en fonction de la quantité désirée.

Vous êtes hésitant ? L’entreprise Bernard offre la possibilité de faire des devis pour toutes les demandes spécifiques comme c’est le cas lorsque vous commandez en gros. Cela leur permet de répondre à toutes les demandes de façon précise pour la satisfaction de ses clients et cela peut être l’occasion pour vous de faire la demande d’une remise supplémentaire si la quantité est vraiment importante et que vous devenez un client régulier car vous commanderez souvent.

Enfin, si vous êtes pressé car vous n’avez bientôt plus de ramette de papier et que vous avez peur de tomber en rupture, vous pouvez opter pour une commande express qui vous sera livrée dans les plus brefs délais.

Si vous pensez utiliser trop de papier et souhaitez réduire votre consommation, ce site vous donne tous les gestes à adopter !

Foodtech, une nouvelle manière de vivre

Foodtech, la nouvelle manière de vivre touche de nombreux services : des services du restaurant, comme les outils de réservation en ligne, la restauration à domicile et la restauration innovante via les réseaux sociaux pour manger entre amis sans se soucier de faire la cuisine. Focus sur ces entreprises Foodtech.

NPD Group, l’un des leaders mondiaux des études de marché s’est penché sur la livraison de plats en France. Il souligne que le secteur est en plein développement puisqu’il a enregistré depuis un an une croissance de 20 % en restauration commerciale (chiffres à septembre 2018), notamment grâce à la restauration rapide.Véritable phénomène de société, la livraison pèse aujourd’hui 160 millions de visites en restauration commerciale (hors cantines), soit 3 % des visites.

Entre 2007 et 2018, le nombre d’établissements de restauration rapide a ainsi quasiment doublé. On en compte aujourd’hui 41 000 contre 24 000 en 2017. Quant au chiffre d’affaires, il se révèle exponentiel : 19 milliards d’euros l’an dernier contre 7,3 milliards dix ans plus tôt. Un marché dont l’offre ne cesse de grimper. Les enseignes se sont multipliées faisant une concurrence féroce aux deux leaders habituels du marché.

Quels sont donc les plats plébiscités ?

  • 28 % Pizza
  • 22 % Sushi
  • 15 % Burger
  • 4e et 5e position pour l’Indien et le Chinois
  • 8e position pour le Tacos.

Sources Just Eat des plats les plus livrés en France en 2018. 

Just-Eat, not cook !

Just-Eat (anciennement Allo Resto, ndlr) fait partie des sociétés lancées dans le secteur du Delivery. Depuis l’acquisition en 2012 de la start-up Allo Resto, fondée par Sébastien Forest, l’entreprise peut se vanter d’être le numéro un de la restauration livrée en France.

Sodexo a racheté Foodchéri. Sodexo souhaite s’’adresser à différents marchés : des restaurants en entreprise, en hôpitaux et des chèques restaurants mais souhaite s’adresser aux PME et les et l’acquisition de  Foodchéri lui permet de le faire . Le groupe a investi près de 13 millions d’euros dans Foodchéri pour développer les synergies. C’est dire qu’il pense que cette alliance sera porteuse de croissance.

 

Alantaya, améliorer sa santé avec la diététique connectée

Télé-conseils, bilans diététiques et application qui proposent des menus en fonction des besoins et contraintes santé de ses utilisateurs, tel est le concept d’Alantaya. Spécialisée dans la diététique connectée et fondée par Yannick Taes, la start-up a vu le jour en 2013. « Aujourd’hui, 81 % des Français pensent qu’une alimentation variée, saine et équilibrée est le critère le plus important pour préserver la santé », affirme le fondateur. Afin de proposer des repas complets conformes aux différentes pathologies et selon l’activité quotidienne de chaque individu, la technologie prend en compte divers paramètres tels que le niveau de cholestérol, le diabète, la tension artérielle, des maladies cardiovasculaires ou encore l’activité physique.

La livraison, un bouquet de concurrents

Très connues des consommateurs, les entreprises de la Foodtech s’implantent dans le secteur de la livraison à domicile. Les géants comme Ubereats ou encore Alloresto sont des modèles qui plaisent aux start-ups et génèrent un flot de création plus ingénieuses les unes que les autres.

Ubereats : ce géant de la Foodtech dérivé de Uber a su s’imposer au sein de l’Hexagone. Reconnu partout dans le monde, l’entreprise a su convaincre les consommateurs grâce à sa politique de coursier inspiré de sa première application Uber.

Les coursiers Deliveroo, Foodora, Allo Resto et autre Frichti sillonnent dans tout Paris. Depuis fin 2015, la livraison de repas à domicile explose en France, à commencer par la capitale. Selon le cabinet d’études spécialisées dans la restauration NPD Group, ces coursiers ont effectué 125 millions de livraisons à domicile, entre octobre 2016 et fin mars 2017, soit 35 % de plus en un an.

2016 a été la plus belle année du secteur depuis son lancement : 1,7 milliard d’euros de commandes ont été livrées. La progression s’annonce encore à deux chiffres en 2017.

Pour l’emporter, toutes les acteurs du secteur se livrent une concurrence impitoyable. Elle est d’autant plus féroce qu’Amazon et Uber sont bien décidés à se faire une place de choix.

Les jours fériés de mai, l’eldorado des français

Les jours fériés du mois de mai 2019 dans l’hexagone, ont de quoi faire pâlir d’envie nos voisins européens et de bien d’autres pays réputés pour avoir peu de vacances. Ils donnent lieu aux traditionnels ponts et sont parfois liés aux vacances dites de Pâques comme cette année pour une partie de la France. Un moment pour souffler ou pour paniquer pour les entreprises ? Focus sur le travail en mai.

Jours fériés de mai 2019, héritage de notre histoire et de notre tradition religieuse, s’égrènent pendant tout le mois de mai : fête du travail (le 1er mai), armistice 1945 (le 8 mai), ascension (le 30 mai). Lorsque ceux-ci tombent à proximité d’un week-end, ils donnent lieu à une tradition bien française, le pont. Pour les entrepreneurs, l’organisation du travail en est bousculée tant avec les salariés qu’avec les clients, fournisseurs et partenaires.

Une tradition, la manne de certains secteurs

Cette tradition chérie par les français ne manque pas de ranimer le débat entre partisans et opposants de ces jours chômés car elle oppose productivité et art de vivre à la française. L’entrepreneuriat est au cœur de ce paradoxe. Néanmoins, tous les entrepreneurs ne sont pas perdants, loin de là ! Le bonheur des uns fait le malheur des autres !

Les heureux : tourisme, loisirs et bricolage et bien d’autres encore comme les fleuristes et le muguet.

Les secteurs de la restauration, de l’hôtellerie, des loisirs, de certaines formes de distribution, ne peuvent que se réjouir de cette avalanche de week-ends. Pour peu que le soleil soit au rendez-vous, les français ne manqueront pas de garnir les terrasses de cafés, les salles de restaurants, les chambres d’hôtels, d’arpenter les sites touristiques et de dévaliser les rayons des enseignes de bricolage. Pour ces secteurs, ce mois de mai est synonyme de chiffre d’affaires !

Un obstacle majeur pour d’autres secteurs

Gagner des marchés dans une économie mondialisée, et donc fortement concurrentielle, ne se fait pas sans compétitivité. Que l’on appartienne au CAC40, que l’on soit une PME ou une TPE, cette réalité économique s’impose à tous. Nombre d’entreprises, soucieuses de répondre de manière personnalisée à leurs clients, travaillent désormais en flux tendu. Dans ce contexte, honorer une commande, sans stock préalable, nécessite un maintien des cadences de production. Pour ces entrepreneurs, l’approche du mois de mai est vécue avec hantise. L’accumulation de jours chômés anéantit la productivité et brouille l’image de l’entreprise française à l’étranger. Celles qui luttent contre des concurrents pour qui le mois de mai n’est que le cinquième mois de l’année, sont les grands perdants de cette spécificité française.

Un problème réel à relativiser

Selon les calculs de l’INSEE, les jours fériés coûtent 0,1% de point de croissance à la France. L’impact en termes d’image est non quantifiable même s’il n’est pas négligeable. Il convient cependant de relativiser le problème lorsqu’on l’aborde à l’échelle annuelle.

Le record du nombre de jours fériés accordés aux salariés est détenu par Chypre, la Bulgarie et la Slovaquie avec un total de 15, la Croatie, l’Espagne, la Grèce et Malte (14 jours). La France se situe en réalité dans la moyenne de l’UE, à 11 jours. L’Italie, la Suède, la Finlande et la Hongrie se placent à la même position. Le Luxembourg vient de se doter d’un jour supplémentaire car le Parlement a voté l’adoption d’un jour férié supplémentaire, qui aura lieu le 9 mai pour marquer la fête de l’Europe. Les pays les moins bien lotis sont le Royaume-Uni et les Pays-Bas avec 8 jours fériés.

Et le Japon ?

Et le Japon, réputé comme un pays où les vacances n’existent pas a aussi ses ponts et au mois de mai, il a ce que l’on appelle « Golden Week ». Eh oui ces travailleurs infatigables en profitent pour visiter leur famille, apporter les incontournables cadeaux, utiliser les transports, visiter les sites touristiques…bref, ils font marcher l’économie comme les français et peut-être choisiront-ils la France pour dépenser toutes leurs économies !

Cette année, un nouveau jour férié s’ajoute : le 1er mai pour l’intronisation du Prince Naruhito qui succède à l’Empereur Akihito.

  • Samedi 28 avril au dimanche 6 matin
  • 29 avril : Shôwa no hi, le jour de commémoration à l’anniversaire de l’empereur Showa, fête nationale
  • 3 mai : kenpô kinenbi, le « jour de la constitution » (de 1947)
  • 4 mai : midori no hi, le « jour de la nature »
  • 5 mai : kodomo no hi, le « jour des enfants » (à vrai dire plutôt des garçons)

Parce qu’on ne refait ni l’histoire ni les traditions religieuses, gageons que le mois de mai en France restera encore longtemps celui du muguet avant d’être celui des records de production mais les nouvelles technologies imposent leurs lois et nombre de français se connecteront pendant leurs ponts et dérogeront à leurs habitudes pour permettre à leur entreprise de ne pas en subir le contrecoup et les entrepreneurs en profiteront certainement pour peaufiner leur stratégie.

Comment déterminer la franchise faite pour vous ?

Ca y est ! Votre décision est prise de vous lancer dans l’entrepreneuriat. Vous vous êtes informé sur la franchise et celle-ci vous paraît une bonne option pour de multiples raisons. Le souci ? Vous ne savez pas encore laquelle choisir même si vous en avez peut-être déjà repéré quelques-unes qui pourraient vous intéresser.

Avant de vous lancer dans la franchise

Comme pour la création d’entreprise classique, il reste nécessaire, avant de vous lancer de prendre en considération qu’il s’agit d’un vrai projet de vie. Il ne suffit pas d’aimer vos produits pour réussir dans la création d’entreprise ou non, que ce soit en franchise ou non. La création même en franchise implique que vous devrez mettre la main à la pâte et que votre carrière en tant que cadre supérieur prend fin. Même si votre équipe se développe rapidement, elle n’aura surement pas le même profil que celle que vous encadriez dans un grand groupe.

Pour commencer, posez-vous des questions sur vous-même : ai-je vraiment envie de créer mon entreprise ? Si oui, pourquoi ? Ma surface financière le permet-elle ? Est-ce que je suis prêt à être dans l’opérationnel ? Pourrais-je m’adapter à une liberté réduite d’action ? Est-ce que j’ai l’énergie suffisante pour réussir ?

Avant de vous engager avec la première qui vous sélectionnera, prenez en compte que vous misez votre avenir, que ce soit pour les capitaux investis ou en termes d’investissement personnel. Notez qu’une fois signé, vous ne pourrez pas revenir sur les bases contractuelles. Il vous faudra donc regarder attentivement l’ensemble des clauses afin de négocier les clauses comme la zone d’exclusivité, l’approvisionnement ou encore la capacité à communiquer par vous-même sur votre zone de chalandise. Si certaines clauses peuvent être difficiles à négocier, d’autres pourront plus facilement trouver un terrain d’entente.

Attention également à ne pas croire que la franchise exclut tout risque. Même si vous disposez du savoir-faire du franchiseur, vous n’êtes pas à l’abri de la faillite et ce sera votre manière d’agir qui déterminera le succès ou non de votre aventure.

Evaluer la rentabilité du point de vente

Si votre franchiseur connaît de toute évidence la rentabilité moyenne de ses magasins, il ne pourra vous affirmer avec exactitude le chiffre d’affaires que vous allez réaliser. Vous restez le chef d’entreprise et celui-ci sera dépendant de votre performance. Pour garantir votre succès, il vous faudra analyser votre marché sur votre zone de chalandise.

D’autres questions essentielles doivent trouver une réponse et notamment celle relatives :

  • Aux sources d’approvisionnement des marchandises. Vous devez vous informer sur ses sources d’approvisionnement ainsi que sa logistique. Il s’avère indispensable de savoir ce qui se passe en cas de rupture d’une source de livraison car vous devrez être livré tout au long de l’année ou revoir les services en temps réel. Demandez-vous s’il existe une plateforme logistique de répartition des produits.
  • A la réputation du franchiseur. Comme toute entreprise, elle possède déjà une réputation. Si vous n’êtes pas expert du domaine dans lequel vous souhaitez vous lancer, il peut se révéler très utile de vérifier que l’image de marque n’est pas déjà écornée auprès des consommateurs, surtout que vous aurez rarement le contrôle de la communication.
  • A l’expérience du franchiseur. Il ne suffit généralement pas d’avoir créé une franchise pour que toutes les autres fonctionnent. Si vous n’êtes pas tout à fait convaincu du succès de l’entreprise, intéressez-vous au « savoir-faire » que le franchiseur vous apporte et s’il pourra garder son avantage concurrentiel notamment en innovant et en évoluant. Il s’agit de comprendre que le succès d’un type de produit peut n’être que temporaire et qu’une évolution du marché est peut-être à venir.
  • Aux prestations offertes ainsi qu’au service qu’il vous apporte. En dehors de l’approvisionnement c’est tout un savoir-faire qu’il va vous apporter notamment en termes de formation et d’assistance. Il faudra donc vous intéresser au suivi des prestations et des services offerts par le franchiseur. Vous devez vérifier s’il est à même de vous apporter un véritable soutien notamment sur l’acquisition future de connaissance.
  • Aux coûts directs et indirects.Il s’agit de regarder dans les détails comment la franchise fonctionne afin de ne pas vous retrouver écrasé par un fonctionnement trop onéreux notamment dans le cas courant où vous devriez verser des royalties.
  • Aux clauses d’exclusivité. Certaines franchises induisent que le franchiseur peut continuer à vendre ses produits par d’autres réseaux ou opte, à l’inverse, pour une exclusivité de distribution sur un territoire

Comment trouvez votre franchise ?

Pour trouver les franchises qui fonctionnent, il existe en général deux grandes méthodes : utiliser un annuaire en ligne ou tout simplement vous rendre sur le salon de la franchise.

Le premier demeure le moyen le plus utilisé afin de vous renseigner sur les différentes franchises et sur les nombreux sites spécialisés dans la franchise. Vous pouvez ainsi comparer les différentes franchises et leur mode de fonctionnement.

Les salons représentent également un excellent moyen notamment car ils vous permettent de rencontrer physiquement votre franchiseur. Des salons comme franchise expo paris sont des références. Vous allez vous engager sur le temps donc autant le rencontrer car la franchise est avant tout une affaire de relation humaine.

S’implanter en Chine créer une entreprise ou choisir le portage salarial ?

La Chine attire de plus en plus d’entrepreneurs Français qui désirent s‘y implanter. Nul ne doute plus que le marché offre de multiples opportunités et avantages. Cependant, compte tenu des obligations juridiques souvent complexes, l’installation requiert un certain nombre de compétences qu’il ne faut pas sous-estimer. Comment choisir le type de structure adapté à vos besoins? Trois formes d’implantations sont possibles pour votre entreprise. Explications.

La création d’une entreprise: WFOE (« Wholly Foreign Owned Enterprises »)

Comme son nom l’indique, une WFOE est une entité juridique détenue entièrement par des étrangers. Le gouvernement chinois encourage les entreprises étrangères à investir en Chine notamment au travers d’incitations fiscales et tarifaires et par l’intermédiaire de subventions et facilités administratives.

La WFOE, ou Société à capital 100% étrangers, s’est avérée être un élément clé de la croissance exponentielle de l’économie chinoise, qui représente un énorme marché de consommation intérieure soutenue par le faible coût de production et de main-d’œuvre.

À l’heure actuelle, la WFOE demeure un concept de plus en plus usité par les investisseurs étrangers. Elle apparaît comme l’une des méthodes les plus bénéfiques grâce aux atouts suivants : entité juridique indépendante, contrôle de gestion dans les lois chinoises, autorisation de devises étrangères, facilité de clôture et liquidation, mise en place simplifiée, responsabilité limitée des actionnaires, renforcement de la protection des marques, brevets ou propriété intellectuelle. Par-dessus tout, la caractéristique la plus attractive des WFOE est l’absence d’exigence d’un sponsor local chinois.

Il faut spécifier que les livres comptables et les documents imprimés par WFOE doivent être écrits en chinois. La vérification ainsi que l’audit ne peuvent être effectués que par des experts-comptables chinois. Il est obligatoire pour la WFOE de présenter ses bilans annuels avec déclarations des pertes et profits aux autorités financières et fiscales pour l’enregistrement.

Une autre obligation importante pour une WFOE est la contribution d’au moins 10% de ses bénéfices annuels à une réserve légale pour un certain nombre d’années. Si vous envisagez l’ouverture d’une usine ou vous implanter dans le secteur industriel par exemple, vous devrez passer par la création d’une entreprise.

Un bureau de représentation (aussi appelé Rep Office)

Il s’agit d’une technique bien implantée en Chine. Plus facile à mettre en place qu’une société, cela permet de découvrir le marché chinois à moindre risque. Un Rep Office représente un intermédiaire qui ne nécessite pas de capital de départ et pourra mener des études de marché et rechercher des contacts.

Il permet aussi à une compagnie étrangère d’embaucher du personnel en Chine. L’organisme ne peut cependant représenter l’entreprise que dans les missions suivantes : conduite de réunions d’affaires, promotion une marque, analyse de marché et audit, activités marketing ou échanges de technologies pour des activités autorisées en Chine.

A noter que le bureau de représentation ne permet pas aux sociétés étrangères de réaliser directement des affaires en Chine. Facturer des clients et faire des bénéfices locaux ne peuvent être effectués que par la société mère à l’étranger à l’aide d’un partenaire local situé en Chine.

Le bureau de représentation ne peut recevoir les paiements de vos clients et il vous revient d’envoyer de l’argent à l’étranger pour payer les dépenses. De plus, au cas ou vous ne feriez pas de bénéfices vous devrez tout de même vous acquitter des taxes exigées par le gouvernement chinois, estimées en fonction des dépenses.

Le Portage Salarial

Il s’avère être une solution rapide et peu coûteuse pour s’implanter en Chine, et l’une des plus flexibles pour la création de votre business en vous domiciliant via une société partenaire..

Le Portage Salarial en Chine repose sur l’utilisation d’une entreprise locale de portage pour gérer les ressources humaines (la société de portage salarial fait office d’employeur). Ce partenaire assiste sur mesure les entreprises étrangères pour le recrutement et l’embauche des salariés. Il se charge de l’intégralité des formalités RH et administratives au nom et pour le compte de ses clients et agit en tant qu’employeur local.

L’entreprise cliente garde une totale autonomie ainsi que les avantages sociaux du pays d’origine et délègue seulement la gestion administrative et fiscale à l’entité de portage. Cela comprend la préparation et la rédaction de contrats de travail bilingues (anglais-chinois), les formalités administratives d’embauche des nouveaux employés et l’enregistrement à la sécurité sociale chinoise, la possibilité de bureaux de travail (format open-space ou bureau privé), les formalités d’immigration, de visa et permis de travail.

Cette option se révèle présenter de nombreux atouts pour réussir son implantation en Chine sans avoir à attendre plusieurs mois comme c’est le cas pour la création d’une WFOE. Cette solution est principalement intéressante pour les entreprises de prestations de service et de conseil, avec un nombre limité de salariés.

Une stratégie soignée et bien réfléchie sera nécessaire pour réussir votre implantation sur le marché chinois, prometteur mais complexe. Il convient de choisir sa zone de développement en Chine avec attention, les politiques fiscales ou légales différents selon les régions. En fonction de votre domaine d’activité et votre structure, vous devrez étudier avec précision le système le plus adapté au profil de votre entreprise.

La maison Faubourg Saint-Sulpice : l’entreprise qui vous donne envie d’avoir un costume sur-mesure !

L’entreprise qui vend des costumes, chemises et accessoires sur-mesure a su faire sa place depuis 10 ans dans ce marché du masculin et connaît une belle croissance qui ne devrait pas s’arrêter. Zoom sur une entreprise qui fait de l’excellence son crédo.

L’aventure commence à la fin des études de Géraud Lamazere, passionné de mode et de vêtements, où il fait un constat : « Nous nous sommes aperçus qu’il n’existait pas des marques de costumes mais surtout des marques d’uniforme. A l’époque, j’en ai discuté avec celui qui est devenu mon associé et nous avons constaté qu’il n’y avait pas vraiment de marque qui vous permettait d’exprimer votre singularité, votre différence sans pour autant sortir des codes habituels de l’entreprise. L’offre était et reste toujours très pauvre ». Après quelques discussions dans un Starbuck avec un ami, le concept s’affine et ils décident de créer ensemble l’entreprise.

Ils intègrent un incubateur en 2009 jusqu’en 2011 où ils présentent leur projet et remportent un prix qui leur permet d’obtenir une subvention pour créer le premier prototype. Pendant plus d’un an et demi, ils visitent des centaines d’ateliers où ils acquièrent des savoir-faire et se rendent à la rencontre des experts. Pour le gérant, pas de doute sur l’avantage de ne pas avoir hérité du métier : « le plus beau des héritages est de ne pas en avoir eu car j’ai choisi ce métier. Je ne l’ai pas eu en héritage donc personne ne m’a obligé à le faire et j’ai eu la chance de le découvrir. » C’est ainsi qu’est née la maison Faubourg Saint Sulpice.

Ils ouvrent leur première boutique à Paris dans le 7ème arrondissement en 2011 qui connaît rapidement le succès leur permettant de se développer dans les deux boutiques voisines qu’ils acquièrent en 2012 puis 2014. Pour le gérant, le succès de la maison vient du fait qu’ils apportent une offre qui marque votre singularité : « notre clientèle sont des personnes qui portent majoritairement le costume au quotidien même si parfois certains en achètent pour des évènements particuliers comme le mariage. Ils ont une certaine maturité et cherchent à avoir des conseils sur l’ensemble de leur silhouette. Ils viennent chercher une approche globale car ils en ont assez d’avoir un uniforme ou un bleu de travail pour col blanc. Ils ne veulent plus du costume de jeune premier et cherchent à se différencier. Ils veulent maîtriser leur image et exprimer leur singularité. Ils n’éprouvent pas le besoin de se fondre dans la masse. C’est pourquoi à Faubourg Saint Sulpice nous proposons le service sur-mesure adapté. Nous proposons aux clients de créer eux même leur propre costume sur-mesure sous les conseils de nos créateurs. »

Mais ce n’est pas tout car les équipes semblent jouer un rôle fondamental : « il faut se développer avec la confiance en ses équipes. Il faut leur donner de l’autonomie, déléguer, co-créer, être transparent par rapport à la formation. Il faut les laisser devenir responsables et j’aime voir l’énergie de tout dévorer dans mes équipes. Cela montre que tout est possible ! » ainsi que par l’aspect qualitatif pour le même prix que dans le prêt-à-porter haut de gamme : « Lorsque les clients viennent chez nous, ils s’aperçoivent qu’ils paient le même prix pour un produit beaucoup plus qualitatif et un service infiniment plus qualitatif. Nous ne vendons pas des choses préétablies, et nous répondons à une demande simple puisque nous leur fournissons les vêtements qui correspondent à ce qu’ils sont et aspirent à être. Quand vous avez budget de 800-900€, vous pensez que cela n’a aucun sens d’aller dans le prêt-à-porter ! Nous tester c’est nous adopter ! ».

Alors que le chiffre d’affaires continue de croître, le cofondateur décide de partir en février 2016 par « choix de vie ». Géraud Lamazere poursuit son extension au-delà de Paris par l’intermédiaire de trois autres points de ventes en corner à Montpellier (2016) puis Lyon et enfin Bordeaux en 2019 grâce à un nouveau partenaire.

Si l’entreprise s’est toujours bien développée, le dirigeant nous confirme que l’entrepreneuriat n’est pas un long fleuve tranquille mais qu’il faut peut-être s’en réjouir. « Les difficultés ? Nous en avons rencontré un million ! Je pense qu’il faut aimer les difficultés et les prendre comme un cadeau car la vie est courte. Elles nous enrichissent et nous permettent de grandir. Rien n’est insurmontable ou très peu de choses, seulement les choses qui sont graves comme la maladie ou la mort. Alors si ce n’est pas insurmontable, vous le surmonterez si vous en avez la certitude, c’est cela qui vous fait grandir et vous rend plus riche que la veille car vous multipliez vos connaissances et vous vous développez humainement ».

Géraud Lamazere et son équipe de créateurs de costume sur-mesure proposent chaque année une nouvelle collection. Il s’agit de costumes d’inspiration destinés à guider les clients dans leurs choix. Cette collection comporte une ligne de costume de marié ainsi qu’une autre ligne de costumes davantage axée business. La création de la collection découle des tendances du moment. Les vêtements du marié sont réfléchis aussi bien en fonction de la robe de la mariée Ainsi chaque ligne raconte une histoire qui se dessine photo après photo dévoilant chaque costume mis en situation.

Le gérant ne compte pas en rester ici puisque Nantes et Strasbourg sont en projet et l’acquisition d’une nouvelle boutique à Paris dans le 8ème arrondissement devrait voir le jour du fait de la très forte demande sur la cible business. C’est tout ce que nous lui souhaitons !

Faubourg Saint Sulpice en quelques chiffres :

  • 10 salariés
  • Moyenne d’âge : 24 ans
  • Date de création : 2009
  • 3 magasins en propre

Cabinet de conseil en management, le partenaire de votre réussite

Découvrez pourquoi il peut être judicieux de recourir à un cabinet de conseil en management et organisation pour optimiser ses performances.

Pourquoi faire appel à un cabinet de conseil en management et organisation?

Dans un contexte de mutation continue des différents pans de l’économie, les entreprises n’hésitent plus à se repenser et opérer des changements majeurs dans leur organisation. Les objectifs poursuivis visent autant à optimiser leurs coûts, gagner en compétitivité et renforcer leur agilité.

Soucieuses de mener à bien leurs projets, elles sont de plus en plus nombreuses à recourir aux services d’un cabinet de conseil en management. Dans quel cadre ces cabinets interviennent-ils? Comment s’organisent leurs missions? Focus sur une activité très prisée dans le monde entrepreneurial.

Qu’est-ce que le conseil en management?

Selon la définition de l’OPIIEC, Observatoire des métiers du Numérique, de l’Ingénierie, des Études et du Conseil et de l’Événement, «le Consultant en Management participe à des missions de conseil en organisation et management. Il intervient chez le client selon un cadre de mission prédéfini, sous la responsabilité du responsable de la mission. Il met en œuvre des outils et méthodes relevant de sa spécialité et/ou de son secteur d’intervention.»

Autrement dit, un cabinet de conseil en management, selon qu’il est généraliste ou spécialisé, conseille et accompagne les entreprises à concrétiser leurs projets ou résoudre un problème dans différents domaines : production, ressources humaines, marketing, finance, informatique, comptabilité, qualité…

Quelle est la valeur ajoutée d’un cabinet de conseil en management?

Sur certaines problématiques, les entreprises savent bien identifier les freins dans leur fonctionnement quotidien. Mais, la plupart du temps, elles peinent à trouver les origines des dysfonctionnements, mais surtout à choisir les bons outils et les bonnes méthodes pour les résoudre. Si cela constitue un handicap pour n’importe quelle entité, cela est encore plus pénalisant pour une TPE/PME, dont le dirigeant n’a pas le recul nécessaire pour prendre la bonne décision au bon moment. Ainsi, il est de moins en moins rare de faire appel à un cabinet de conseil en management dont l’expérience rassure.

Suivez le monde du conseil avec Entreprise-et-compagnie.fr.

Quelles qualités sont recherchées auprès d’un cabinet de conseil en management?

En sollicitant le soutien d’un cabinet de conseil en management, un dirigeant souhaite des conseils et un accompagnement sur-mesure qui puise son inspiration dans cinq valeurs fortes.

1. Fiabilité

La signature reconnue d’un cabinet atteste de sa fiabilité et participe au capital confiance dont il dispose. Il est ainsi crédible auprès du chef d’entreprise qui le consulte afin de l’accompagner dans ses prises de décision.

2. Expertise

L’expertise d’un cabinet de conseil en management dans un ou plusieurs domaines particuliers assure le dirigeant d’une parfaite maîtrise des défis qu’il est amené à relever, et ce, tout au long de la mission de consulting. Conseillé, bénéficiant d’approches innovantes sur ses métiers-clés, il traite ainsi efficacement les problèmes critiques qui empêchent son entité de grandir.

3. Objectivité

Avec son regard extérieur, sans parti pris, un cabinet de conseil exerce sa mission indépendamment de tout intérêt personnel. Son objectivité appuie la force de ses diagnostics et préconisations délivrés au chef d’entreprise et à ses collaborateurs.

4. Réactivité et disponibilité

Lorsqu’une mission est contractualisée, la durée et le nombre de consultants affecté sont déterminés. Chaque consultant met tout en œuvre pour offrir un service sur-mesure et agile : diagnostic rapide et préconisations optimales sont ainsi effectués dans les meilleurs délais.

5. Confidentialité

L’une des plus grandes valeurs de ce métier est la confidentialité. Elle est indispensable pour assurer le plus grand secret des missions effectuées pour une entreprise, notamment auprès de ses concurrents et des employés de ces derniers.

Pour conclure, un cabinet de conseil en management propose un service d’accompagnement optimal aux entreprises désireuses d’être accompagnées sur diverses problématiques, comme la conduite de changement, l’optimisation de process, etc. L’expertise des consultants leur permet de gagner un temps précieux dans la conduite de projets et de capitaliser sur des approches innovantes pour optimiser leur organisation.

Les défis des commerciaux en 2019

Des commerciaux qualifiés, avec comme qualités essentielles leadership et persuasion mais qui utilisent les réseaux sociaux pour être davantage performants tel est le portrait et les défis des commerciaux 2019. Qu’en est-il de l’impact réel des réseaux sociaux sur leurs stratégies ?

Le rapport annuel « Tendances des ventes BtoB en France » de LinkedIn  réalisé auprès de 505 commerciaux et 500 acheteurs résidant en France met en exergue leurs attentes, les techniques et technologies qu’ils emploient, et leur regard sur leurs pratiques.

L’étude s’est appuyée sur les caractéristiques des meilleurs commerciaux afin de mieux cerner l’efficacité de différentes stratégies commerciales.

Selon l’analyse de LinkedIn dans la région EMEA (acronyme pour désigner la zone économique qui comprend L’Europe, Middle East, Afrique), le leadership commercial s’impose dans le top 10 suivi par la persuasion.

Le numérique, la révolution

Le numérique transforme le processus de vente et les attentes des acheteurs envers les vendeurs. Il leur est demandé d’avoir l’expertise et les compétences traditionnelles des commerciaux mais avec l’appui de la technologie. Celle-ci leur permet de répondre aux nouvelles exigences des clients, et de l’autre. Quant aux millennials, ils souhaitent une approche davantage personnalisée de la venteIls gagnent en influence dans la population active, puisqu’ils représenteront 46% des professionnels d’ici 2020.

Les réseaux sociaux, une stratégie incontournable

Les réseaux sociaux constituent l’un des premiers endroits où les acheteurs réalisent leurs investigations (26% s’informent de cette façon). Ils sont ainsi, avec les revues spécialisées, la source d’informations la plus utilisée au début du parcours d’achat, devant le bouche à oreille, les comparateurs et les livres blancs.

Les professionnels de la vente reconnaissent le rôle crucial des réseaux sociaux dans le processus de décision de leurs prospects, et le temps passé sur les sites de networking social s’en ressent. 76% des commerciaux se décrivent comme “actifs” ou “très actifs” sur LinkedIn à des fins professionnelles, juste derrière Facebook (avec 82%) mais l’on peut constater que les autres réseaux sociaux ne déméritent pas.

 

Les technologies, un appui essentiel

Les commerciaux ont besoin pour la majorité d’entre eux de la technologie pour optimiser le temps qui leur reste en dehors des tâches administratives, des réunions internes, la maintenance de bases de données et la formation. Elle leur permet en effet d’améliorer l’alignement avec le marketing via le CRM, d’optimiser la prospection, de gagner du temps et de remporter plus de contrats. Environ 80% des commerciaux utilisent déjà des outils d’aide à la vente une fois par semaine, et 34% d’entre eux s’en servent au quotidien.  La moitié affirme utiliser la technologie deux fois plus que l’année dernière. Ils envisagent d’ailleurs de les utiliser davantage dans l’avenir.

La confiance, La fiabilité et la transparence

Pour remporter un contrat, la confiance prend le pas sur le prix. En effet, 33% des commerciaux en France considèrent la confiance comme le facteur essentiel pour remporter un contrat. Elle est d’ailleurs citée presque deux fois plus souvent que le prix (17%), confirmant ainsi leur rôle crucial des relations avec les clients. Mais les acheteurs eux aussi sont en quête de cette confiance à travers le lien humain. Il est à noter que 32% des acheteurs ont mentionné la fiabilité et 31% ont opté pour la transparence, classant ainsi ces deux qualités dans le top 5.

Les données fiables, un critère d’excellence

Les meilleurs commerciaux qui font partie du top (ceux qui ont dépassé leurs objectifs d’au moins 25%), souhaitent obtenir des connaissances fiables et les appliquer aux entreprises de leurs prospects. Pour eux, la capacité à démontrer l’intérêt d’un produit ou service ou le ROI qu’il peut générer est le facteur clef dans la signature des contrats. Le niveau de conseil stratégique (analyse des tendances du secteur et réponse appropriée) qu’ils peuvent offrir arrive en deuxième position. La confiance se classe à la troisième place. Elle est citée par 21% des meilleurs commerciaux et 37% de ceux un peu moins performants.

Les commerciaux les plus efficaces ne comptent pas seulement sur leur charisme pour gagner la confiance de leurs clients, ils effectuent des recherches et font preuve de réactivité.

Un tandem avec le marketing

Le lien avec l’équipe marketing offre un énorme avantage concurrentiel d’après les commerciaux du Top.Il leur donne l’opportunité d’avoir un soutien et possède une influence notable dans le parcours d’achat des clients. Les meilleurs commerciaux de l’étude étaient presque deux fois plus susceptibles de dire qu’ils travaillaient “en étroite collaboration” avec les marketeurs (59%, contre 31% pour l’ensemble des commerciaux), et ils étaient presque trois fois plus susceptibles de décrire la qualité des prospects obtenus via les initiatives marketing comme “excellente” (60%, contre 22%).

Cette étude met en exergue que les réseaux sociaux et les liens humains constituent la base de la réussite dans la vente.

 

Très actifs

Actifs

Facebook

LinkedIn

YouTube

Twitter

Instagram

46%

42%

33%

32%

29%

36%

34%

29%

32%

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Comment réussir à l’international ?

Vouloir s’implanter ou faire des affaires à l’international demandent d’avoir acquis les bases fondamentales afin de contourner les écueils des différences linguistiques, culturelles, juridiques.

Or, posséder une connaissance approfondie de la langue, de la culture, des coutumes demande un investissement considérable. Cela ne peut se faire en un jour et seulement après avoir lu quelques articles. Les affaires à l’international demandent de développer modestie et persévérance.

Les statistiques sont significatives car elles montrent que sur 100 entreprises, 50 échouent. La plupart des entrepreneurs se lancent dans l’aventure de l’implantation avec une totale méconnaissance du pays et avec de nombreux a priori.

En effet, même si la technologie, le produit que vous proposez est devenu un produit phare dans l’hexagone, pour qu’il devienne une référence dans d’autres pays, il faudra vous armer de persévérance et de compétences.

Les Etats-Unis par exemple donnent l’image d’un pays facile d’accès pour les entreprises françaises en raison de la maîtrise de l’anglais par de nombreux entrepreneurs. Cependant, au-delà il est incontournable de comprendre leur mentalité, leur façon de percevoir les affaires et surtout de connaître de manière approfondie les coutumes, le système hiérarchique.

Ne jamais croire que l’on nous attend

Ainsi en Chine, Il est préférable d’avoir recours à un expatrié qui connaît parfaitement la Chine, soit d’une personne directement sur place. Ce partenaire aura pour mission d’apporter à l’entreprise une parfaite compréhension de l’organisation du système local. Il doit être expert du fonctionnement du pays pour détecter tous les pièges tendus par les chinois ou leur administration. Ce fait demeure également valable pour les autres pays. En Chine plus particulièrement, l’organisation de chaque province est différente et les modalités d’obtention d’un terrain ou d’énergies peuvent beaucoup varier car il n’y a pas d’uniformisation des législations comme en France. Il faut savoir choisir judicieusement sa région et son emplacement car, même si tout dépend du produit et de ce que l’on souhaite réaliser, il faut pouvoir disposer d’un minimum de moyens logistiques et organisationnels au niveau territorial.

Enfin, les chinois n’attendent pas les français pour entreprendre et pour créer des produits adaptés à leur marché. Il faut donc se donner toutes les chances de sa crédibilité vis-à-vis des chinois en leur montrant la mise en place des moyens conséquents en amont. Les chinois ne feront pas de commerce avec vous s’ils ne voient pas les moyens que vous êtes prêt à investir.La difficulté réside au niveau de la structure hiérarchique, dans le sens où celle-ci est affiliée au système. Au niveau de l’administration tout prend énormément de temps et l’on n’a jamais affaire au décideur lui-même. Il existe une réelle opacité au niveau de la structure décisionnelle des sociétés et notamment dans son comportement vis-à-vis de la société étrangère. Ainsi, au sein de la direction générale de chaque entreprise on trouve un homme du parti que l’on ne connaît pas forcément d’ailleurs.

Aux Etats-Unis

Quant aux Etats-Unis, il s’agit d’un environnement où l’aspect juridique reste omniprésent. On ne peut pas travailler sans l’assistance d’un avocat. Dans ce pays, les règles comptables sont, elles aussi, très complexes et nécessitent l’assistance d’un cabinet spécialisé. Dans le cas d’une implantation aux Etats-Unis, il faut bien garder en tête que vous abordez un grand pays. De plus, le choix de la zone d’implantation se révèle stratégique (NB : la Californie est la 5e puissance économique du monde).

La prudence, une qualité essentielle

On entend souvent parler de la solution qui consiste à engager des partenaires sur place. Il peut s’agir d’une méthode efficace mais dont il faut bien peser les avantages et les inconvénients. Cela permet notamment de faire fabriquer ou d’être distribué avec plus de facilité mais il faut rester très vigilant. L’enseignement que l’on peut tirer des implantations organisées de la sorte est que, si l’on ne protège pas très rapidement le produit, il peut être facilement copié. Le partenaire peut imiter le produit tout en s’assurant le transfert de technologie. On a pu voir ainsi des entreprises ayant fait la malheureuse expérience d’un partenaire qui construit une industrie produisant la même technologie, à une trentaine de kilomètres et à prix inférieur.

De nombreuses entreprises françaises ont également fait le choix de rentrer en partnership avec des sociétés américaines ou chinoises par exemple mais n’ont réussi que celles qui ont su se protéger avec des patentes.

Quelques conseils

Avant de signer quoi que ce soit avec un partenaire, rapprochez-vous d’un cabinet juridique local maîtrisant parfaitement l’environnement légal du pays. Trop d’entreprises échouent par méconnaissance des règles juridiques. La bonne connaissance de la culture du pays est également un facteur à ne pas négliger pour faire réussir son projet.

La culture a une influence sur le choix du partenaire local ou l’installation de l’entreprise mais également sur l’embauche, et cela passe automatiquement par un effort d’adaptation aux coutumes locales. Il ne faut pas tenter d’imposer sa propre culture, tendance très française. On n’embauche pas de la même manière en France qu’aux Etats-Unis.

Enfin, il faut vraiment comprendre que la conception juridique française n’est pas la seule existante et que le : « on pourra toujours s’arranger » n’est pas toujours valable ! Dans les autres pays, le business c’est le business et le professionnalisme, on le retrouve aussi bien aux Etats-Unis que dans les pays asiatiques ! Il faut donc être avant tout professionnel, pragmatique et prudent.

Loi PACTE : enfin deux mesures pour les micro-entrepreneurs

L’Assemblée Nationale a voté mercredi 10 avril, la loi PACTE. Celle-ci comporte deux avancées pour les micro-entrepreneurs : la fin d’un compte bancaire dédié lorsque le chiffre d’affaires annuel est inférieur à 5 000 euros mais aussi la suppression du stage préalable à l’installation.  Quelques explications.

Définitivement adoptée par l’Assemblée Nationale, la loi PACTE comporte deux mesures qui intéressent les micro-entrepreneurs. Tout d’abord, la fin de l’obligation d’ouvrir un compte bancaire dédié à leur activité professionnelle lorsqu’ils réalisent un chiffre d’affaires annuel inférieur à 5 000 €/an. La mesure qui va concerner un auto-entrepreneur sur deux, allégera les coûts administratifs et financiers qui pèsent sur l’exercice des plus modestes. Selon Jérôme TARTING, PDG d’Evo’Portail. “ 51% des micro-entreprises réalisent actuellement un chiffre d’affaires annuel inférieur à 1000 € et on estime le coût moyen annuel d’un compte professionnel à 240 euros

Afin que le seuil de 5 000 € hors taxes ne constitue pas un frein au développement de l’activité, le législateur a prévu une tolérance. Un micro-entrepreneur devra dépasser ce chiffre d’affaires deux années consécutives pour se voir imposer l’obligation d’ouverture d’un compte bancaire dédié.

Le SPI devient facultatif

Autre mesure pour les micro-entreprises du secteur artisanal : la fin du stage de préparation à l’installation (SPI). Jugé inadapté et coûteux, le législateur vient de le rendre facultatif. En effet, “le SPI génère jusqu’à 30 jours en moyenne de retard pour un micro-entrepreneur qui souhaitait débuter son activité” précise Jérôme TARTING, PDG d’Evo’Portail. En plus de ce manque à gagner, son coût en moyenne de 400 euros, a longtemps été considéré comme une charge trop importante au lancement d’une micro-entreprise. Désormais optionnel, le stage de préparation à l’installation, dont le coût a été fixé à 194 €, permettra de réduire les coûts et les délais de la création d’une micro-entreprise dans le secteur artisanal. “Le créateur pourra commencer son activité à sa convenance et choisir d’être accompagné au moment où il considère en avoir le plus besoin.” selon Jérôme TARTING.

Un baromètre de l’Insee, très explicite sur le record

L’INSEE a publié fin janvier 2019, le baromètre statistique de la création d’entreprises en France au titre de l’année 2018 qui atteignent un nouveau record avec 691 000 entreprises créées, soit 17 % de plus qu’en 2017. Les immatriculations de micro-entrepreneurs sont particulièrement dynamiques (+ 28 %) comme les créations d’entreprises individuelles classiques (+ 20 %). Les créations de sociétés augmentent beaucoup plus modérément (+ 2 %).

Quels secteurs ?

Le secteur des transports et de l’entreposage (+ 68 %) contribue le plus à la hausse globale. En particulier, les immatriculations dans les autres activités de poste et de courrier (qui incluent la livraison à domicile) s’envolent, essentiellement sous le régime du micro-entrepreneur.

Quelles sont les régions ?

La création d’auto-entreprises s’accroît fortement dans toutes les régions. L’Île de France tient le haut du palmarès, avec l’essor des services de transport de courriers et prestations postales privées où s’activent 8000 micro-entrepreneurs. C’est aussi la région où les créations sont les plus courantes sous le régime du micro-entrepreneur (53 % contre 41 % en province). Viennent ensuite la Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Normandie avec +19% d’augmentation en matière de créations d’auto-entreprises.

Quelles en sont les raisons ?

– les mesures fiscales incitatrices

Les analyses voient dans ces 66 500 immatriculations supplémentaires le motif des évolutions législatives favorables entrées en vigueur depuis le 1er janvier 2018, notamment le doublement des seuils de chiffre d’affaires permettant d’accéder au régime fiscal simplifié de la micro-entreprise.