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Des idées de business autour de la salle de bains

La salle et bains est devenue en quelques années une pièce où il fait bon vivre. Ses accessoires de plus en plus luxueux et connectés apportent un confort et un bien-être qui permet de se détendre. Les toilettes souvent intégrées au sein de la salle de bains avec leurs innovations suscitent un intérêt sans égal .

Les toilettes Toto

Invention japonaise, elles sont en train de conquérir le monde. Si vous les essayez, vous ne pourrez plus vous en passer ! En vous asseyant sur les toilettes, vous découvrirez l’agréable sensation d’une lunette chaude. Puis, vous pourrez en appuyant sur les boutons mis à votre disposition actionner une douchette qui viendra vous nettoyer et vous sécher en appuyant sur un autre bouton. Le nec plus ultra !

JACUZZI®

JACUZZI® est l’inventeur de la première baignoire balnéo (1968) et du premier spa. Jacuzzi est le nom d’une marque de commerce de bains tourbillons, du nom de l’inventeur italien Roy Jacuzzi . La marque appartient à la société américaine Jacuzzi Inc. JACUZZI® FRANCE fait partie de Jacuzzi® Brands Corporation, un groupe mondial avec des milliers d’employés qui œuvrent tous pour un même but : l’excellence dans le bien-être. Le groupe Jacuzzi détient en 2010 plus de 250 brevets originaux, portant sur des systèmes de pompes, la technologie des buses mais aussi l’ergonomie et le design.

Les saunas

3 millions de saunas pour 5,5 millions d’habitants en Finlande, le rêve ! Véritable art de vivre et de bien-être, le mot sauna est international et l’institution s’est exportée dans le monde entier. Les Finlandais ont toutes les raisons d’être heureux, le sauna est un secteur en pleine expansion et les meilleurs fabricants de saunas au monde sont finlandais. L’association finlandaise Sauna From Finland a constitué un réseau de 170 entreprises issues du secteur du sauna afin de faire la promotion du sauna dans la pure tradition finlandaise. Et si vous en installiez un chez vous !

Le hammam, cabine douche

Il est possible d’installer un hammam cabine douche pour de petits espaces. Il est possible de faire une installation rapide en se raccordant aux arrivées d’eaux prévues pour la douche. Sa  température varie entre 5 °C et 50 °C ou bien entre 40 °C et 50 °C. .

Le miroir multimédia

Sa caméra et son scanner permettent analysent aussi le grain de peau afin de vous prodiguer des conseils sur l’hydratation de la peau et les soins à lui apporter. Mais ce miroir est aussi un outil multimédia ! Il permet d’écouter son émission radio préférée, de checker ses mails, de regarder les infos du matin tout en se préparant.

La balance connectée

La balance connectée permet de calculer l’IMC, mais aussi de donner des informations plus précises que le poids : elle indique la masse osseuse, la masse graisseuse, la masse musculaire… De plus, elle adopte des styles épurés et très design, pour se faire oublier. Reliée à une tablette ou à un smartphone, elle permet de suivre l’évolution du poids.

La robinetterie high tech

Le robinet équipé d’un programmateur électronique vous permet de régler la température de l’eau et son débit. Une alternative au mitigeur thermostatique pour améliorer votre confort et faire encore plus d’économies d’énergie et d’eau. Au niveau du lavabo, les robinets peuvent aussi se commander de façon tactile avec un galet digital qui gère la température, la pression et l’écoulement.

Pour voyager sereinement

Il est commun de penser que dans tous les pays , nous allons trouver la même couverture de réseaux qu’en France et cela particulièrement si vous allez au Japon qui est considéré comme le pays à la pointe des nouveaux moyens technologiques. Or ce n’est pas le cas, puisqu’il vous faudra avoir à portée de main un outil de connexion. Chaque pays fait des choix différents et donc avant de partir à l’aventure et particulièrement s’il s’agit d’un voyage d’affaires, il est bon de se renseigner en amont des outils que vous pouvez utiliser. Zoom sur quelques informations qui pourraient vous être utiles . N’oubliez pas avant de partir de connaître les réseaux et les moyens d’y accéder où que vous soyez.

Pour voyager connecté au Japon.

Au pays du soleil levant, les accès Wifi gratuits sont encore rares, contrairement à ce que l’on pourrait croire. La location d’un Pocket Wifi au Japon est idéale si vous recherchez un accès internet rapide et illimité durant toute la durée de votre séjour. Son poids plume et sa grande autonomie vous garantissent un accès à internet où que vous soyez, et sur tout type d’appareil (iPhone, smartphone Android, ordinateur portable…). Vous pouvez faire livrer votre Pocket Wifi à votre hôtel au Japon ou le récupérer dans les aéroports. Ainsi dans la banlieue d’Osaka, vous pouvez vous retrouver sans connexion si vous n’avez pas le boitier magique.

Pour voyager connecté dans l’hexagone.

Vous souhaitez pouvoir vous connecter à internet et retrouver à tout moment votre environnement de travail sur votre tablette ou votre ordinateur portable que vous soyez au fin fond de votre province dans votre maison de campagne, à l’Ile d’Oléron vous pouvez dans dans tous vos déplacements grâce à uncen 4G avec ou sans engagement, continuer à travailler ou échanger. Cette connexion internet est possible où que vous soyez avec votre tablette ou votre ordinateur portable grâce aux réseaux 4G d’Orange. 

Pour voyager connecté en Afrique.

My Webspot vous fournit un accés internet illimité pendant votre voyage en Afrique sous la forme de forfait jour. Chaque forfait jour Afrique inclut 512 Mo / jour en haut débit (4G / LTE) et un débit réduit au-delà et jusqu’au lendemain, lors de l’activation du prochain forfait jour. Quand vous arrivez Afrique, allumez votre Webspot et voyagez plus libre partout où vous allez. Avec un accès illimité à internet vous aurez la possibilité de profiter de vos applications préférées, le GPS où n’importe quoi d’autres que vous avez l’habitude de faire à la maison. Alors profitez de votre voyage en Afrique sans vous soucier de votre connexion. 

Pour être connecté de n’importe où

C’est un petit boitier qui permet de se connecter au réseau 4G local, où que l’on se trouve dans le monde (ou presque). Vous profitez ainsi d’une connexion haut débit partout et tout le temps, pas seulement dans le hall de l’hôtel…
Phenix Telecom couvre 110 pays, qui devraient inclure en principe votre prochaine destination ! Enfin sauf exception : Cuba n’ayant pas son propre réseau 4G, il est évidemment impossible d’y connecter un boitier wifi…

En 2020, je réduis les déchets dans mon entreprise

Les activités de bureau produisent chaque année 2,4 millions de tonnes de déchets. Or il est tout à fait possible d’en recycler une grande partie dont la liste : papiers, déchets d’emballage, fournitures, gobelets de machine à café, mobilier, lampes basse consommation, matériel informatique, téléphones, piles, accumulateurs, toners…Il faut devenir conscient de notre consommation et décider d’améliorer notre comportement pour protéger la planète. La protection de la planète, cela commence par mon entreprise !

Comment faire ?

• Les supprimer
• Les sélectionner et les trier
Mais dans tous les cas votre implication est indispensable !

8 Bonnes résolutions

1ère bonne résolution, je protège ma santé et celle des autres

Tri des déchets | Ministère de la Transition écologique et solidaire

2ème  bonne résolution, je suis éco citoyen à la pause-café

Eh oui la pause-café est source de déchets : emballages de sucre, dosettes diverses, couverts en plastique, et surtout gobelets de carton ou de plastique.
Alors qu’allez-vous faire ? Tout d’abord, offrez des mugs ou de jolies tasses à café à tout le monde, la vaisselle lavable et réutilisable. Et ensuite, achetez les produits en grands conditionnements (café, sucre, biscuits…) et faites en plus des économies !

3ème bonne résolution, je respecte les consignes de tri du papier

Selon, l’ADEME, chaque employé consomme en moyenne 80 kg de papier par an, soit l’équivalent de 30 ramettes. Sur les 900 000 tonnes de papiers de bureau jetés chaque année en France, seulement 35 % est recyclé.
Alors qu’allez-vous faire ? En respectant bien les consignes de tri du papier, vos déchets de papier ne partiront plus en décharge ou à l’incinération mais pourront avoir une deuxième vie et être utiles à tous
Mais quels papiers peuvent être triés ?
En général, vous pouvez trier : les enveloppes, les papiers graphiques, les papiers d’emballages, les papiers bureautiques.
Vous pouvez laisser les agrafes, les reliures, les fenêtres des enveloppes, le système de traitement s’en chargera.

4ème bonne résolution, j’utilise des rechargeables

81 millions de cartouches d’impression pour imprimantes, photocopieurs et fax sont utilisées chaque année (entreprises et particuliers confondus) ce qui représente environ 19 400 tonnes de déchets dont les 2 / 3 sont collectés séparément.
Alors, qu’allez-vous faire ? Choisir des toners réutilisables et des cartouches d’encre rechargeables

5ème bonne résolution, je contrôle les déchets toxiques

Les piles et accumulateurs
Ce sont des déchets dangereux dont une grande partie peut être récupérée et recyclée comme matière première : oxyde de zinc, manganèse, ferraille essentiellement. Leur taux de collecte est aujourd’hui d’environ 33 % seulement.
Les lampes basse consommation et les tubes fluorescents
Ils contiennent du mercure et sont à ce titre également classés dans les déchets dangereux. Ils sont recyclables en quasi-totalité.
Alors, qu’allez-vous faire ? Installez une borne dans votre entreprise pour les collecter et ensuite les adresser aux personnes compétentes.

6ème bonne résolution, je paramètre les veilles et je règle les équipements en mode « économie d’énergie ».

Eh oui, les tablettes sont configurées pour passer en veille très rapidement afin d’assurer le plus d’autonomie possible.
• J’utilise le mode veille sans modération.4% des écrans et 15% des unités centrales sont laissés inutilement allumés en permanence ;
• De plus, j’éteins totalement mon ordinateur : au-delà d’une heure d’absence ;
• Par ailleurs, j’évite d’installer des économiseurs d’écran animés qui empêche l’ordinateur de se mettre en veille.

7ème bonne résolution, j’envoie à bon escient les mails 

Envoyer un e-mail d’un méga-octet (1 Mo) à une personne équivaut à une heure de consommation d’une ampoule de 25 watts. Un e-mail sans pièce jointe équivaut à 5 watts.
Pour les rendre moins énergivores,

  • Je cible cibler les destinataires,
  • Je limite de limiter les pièces jointes
  • Je ne réponds pas en renvoyant la pièce jointe associée)
  • Je supprime les messages devenus inutiles en renvoyant un mail

8ème bonne résolution, je choisis le navigateur le moins énergivore

Certains navigateurs lors des recherches sur internet consomment plus d’énergie que d’autres, Chrome étant « un des plus gourmands (27 watts pour 1 000 pages vues) devant Internet Explorer et Firefox ». Ainsi selon, l’ADEME, les recherches internet consomment de manière exponentielle. Nous en faisons en moyenne 949 chaque année, ce qui correspond à l’émission de 287 600 tonnes équivalent CO2, soit l’énergie nécessaire pour parcourir 1,5 million de kilomètres en voiture ! Elle propose : créer une liste de favoris pour réduire le nombre de requêtes faisant appel à moteur de recherche, et privilégier un navigateur moins énergivore.

Protégeons ensemble la santé de la planète et de ses habitants

Des infos qui piquent la curiosité

Etre curieux est un vilain défaut dit l’adage et bien non. Car même les infos les plus anodines peuvent nous donner des idées pour notre propre business et le courage d’affronter l’adversité.

Criteo : L’entreprise n’a pas toujours eu le même business model. L’entreprise a effectué trois pivots en deux ans. La société aujourd’hui est devenue un géant mondial du « retargeting publicitaire ». Or, à sa création, elle présentait des produits culturels aux internautes. Elle s’est repositionnée ensuite en B2B aux sites d’e-commerce.

Netflix : La société a réussi une percée exceptionnelle. L’entreprise compte désormais plus de 75 millions d’abonnés dans 190 pays. La plateforme de SVOD Netflix ferait même environ 23 % du trafic Internet ! Google serait quant à lui à 17 %.

Frank and Oak : La société montréalaise de vente en ligne de vêtements a transformé son modèle de vente au détail pour améliorer la navigation en ligne et mobile. Elle a ainsi perfectionné la récupération de datas afin de mettre en avant les produits désirés.

Lego : Alors que la société connaissait des difficultés dans le début des années 2000, elle a décidé de travailler à la rationalisation de sa supply chain et de ses chaînes de production. On a réduit le nombre de pièces uniques. DE nouveaux capitaux ajoutés et de nouvelles méthodes de production ont permis à la chaîne de retrouver la rentabilité.

Jeff Bezos Président-directeur général d’Amazon : aime les horloges. Il a d’ailleurs investi 42 millions dans la sienne qui devrait donner l’heure pendant 10 000 ans. Le but ? S’intéresser aux objectifs à long terme pour les humains. Difficile d’accès puisqu’il faut quasiment un jour de marche pour se rendre dans la propriété cachée du milliardaire.

Le clavier Azerty provient de la machine à écrire. On a placé les touches à la fin du XIXème siècle pour limiter au maximum le nombre de coups des brindilles métalliques sur le papier. Aujourd’hui, de nombreux spécialistes conseillent une nouvelle disposition pour renforcer son efficacité.

Facebook paie très bien ses stagiaires. Facebook s’illustre avec 8 000 dollars par mois et un logement pour un stagiaire. Il faut parfois savoir attirer les talents et y mettre le prix.

Starbucks : le nom de Starbucks est tiré du nom d’un des personnages du roman Moby Dick : l’officier Starbuck. Ce nom évoquerait notamment « une haute mer de légende et la tradition maritime des premiers négociants en café ».

Häagen-Dazs : Häagen-Dazs n’aurait aucune signification. Si le nom peut avoir une consonance scandinave, elle est en réalité américaine. Le choix du nom aurait été fait afin de donner aux glaces une image artisanale et rappeler la fraicheur.

Duralex : Duralex est une marque bien connue des consommateurs. Ce qui l’est moins c’est l’origine du nom des fameux verres. Il proviendrait du latin Dura lex, sed lex littéralement « La loi est dure, mais c’est la loi » afin d’évoquer la résistance de ces derniers.

Ali Baba : Jack Ma, la première fortune de Chine, a collectionné les échecs avant de rencontrer la réussite : 3 fois au test d’entrée au Lycée, 2 fois celui de l’Université, 10 fois au concours d’entrée à Harvard. Il aurait également postulé pour trente jobs différents sans être retenu pour aucun après l’université.

Mammouth : vous vous souvenez des hypermarchés Mammouth avec leur fameux slogan « Mammouth écrase les prix, Mamie écrase les prouts » ? Sachez que le dernier magasin de l’enseigne a fermé ses portes en France en 2009.

LG : si le logo de LG semble montrer de façon évidente un visage qui sourit, ce qui l’est moins c’est la forme d’un bouton qui reste un symbole pertinent pour une entreprise spécialisée dans l’électronique. Autre donnée : LG aurait choisi un cercle rouge pour représenter l’amitié, la communauté et l’endurance.

Bio : la marque Bio de Danone n’aurait pas changé sa marque en Activia pour rien. Le changement pour ne pas avoir à modifier entièrement le mode de production car le produit n’aurait rien de bio.

Amazon : selon une étude Brandwatch (spécialisé dans l’analyse les données sociales media), Amazon, qui a développé Amazon Pay, arrivait en première place des marques les plus visibles en ligne avec notamment 7 431 193 de tweets incluant le logo.

Nextdoor : le leader européen des relations de voisinage, Nextdoor, vient d’annoncer une levée de fonds de 123 millions de dollars. L’entreprise serait aujourd’hui valorisée à 2,123 milliards de dollars. Nextdoor est présente dans plus de 8 400 quartiers et plus 2 400 villes et villages de France.

Sega : l’entreprise qui rivalisait avec Mario le plombier à l’aide de Sonic le hérisson n’a pas disparu. L’entreprise autrefois constructeur de consoles est passée dans l’édition de jeux vidéo notamment mobiles, un changement brutal de business model qui en a surpris plus d’un.

Rassurez votre banque avec les garanties !

Vous avez besoin d’un prêt et vous le savez-bien la banque peut se montrer frileuse à vous l’accorder et même la banque vous refuse votre prêt.  Peut-être est-ce parce que vous n’apportez pas les garanties nécessaires. Pour la convaincre, il vous suffit de diminuer sa part de risque. 

Vous porter garant

La quasi-totalité des banques vous demanderont de vous porter caution personnelle. Cette exigence n’est pourtant pas une obligation. Vous pouvez refuser de le faire. Se porter caution personnelle représente un véritable risque : en cas d’échec, vous pouvez vous retrouver dans une situation particulièrement difficile. Pour offrir des garanties à votre banque, d’autres solutions existent telles que la Garantie Oséo-bpi, France Active ou la SIAGI. Les études ont montré que plus l’apport personnel était faible, plus le risque de défaillance de l’entreprise était élevé. Ceci nous donne une meilleure compréhension des risques encourus par les banques et les financiers.

Oséo- bpi Garantie

La garantie Oséo-bpi porte sur la perte finale encourue par la banque en cas de défaillance de l’emprunteur. Elle bénéficie à la banque et non à l’emprunteur lui-même. La banque peut vous demander de vous porter caution personnelle du prêt à hauteur maximum de 50 %. En revanche, elle ne peut pas prendre une hypothèque conventionnelle ou judiciaire sur votre résidence principale ou vous demander une saisie immobilière pour le recouvrement de la créance garantie.

Restez vigilant car certaines banques ne se privent pas quelquefois. En cas de litige, vous pouvez vous adresser à Oséo-bpi Garantie. Et dans le pire des cas (il faut l’envisager) où malgré tout, la banque prend une hypothèque judiciaire (attention, c’est déjà arrivé !), sachez que vous pouvez en demander la main levée en justice. La garantie Oséo-bpi prélève 1,5 % de la somme totale durant l’année de l’encours de crédit. Ce montant est prélevé au même rythme que le remboursement du crédit de la banque. Dans le cas de petites opérations (65 000 €), elle est perçue en une seule fois. Aujourd’hui, Oséoest  devenue par Oséo-Bpifrance.

France Active

France Active Garantie (FAG) propose des garanties de crédits bancaires aux personnes sans emploi ou en situation de précarité économique qui souhaitent créer leur entreprise et aux entreprises solidaires et associations d’utilité sociale. Elle propose des garanties qui couvrent des prêts compris entre 5 000 et 100 000 € en échange d’une rémunération de 2,5 % maximum du montant garanti.

Siagi

Elle s’adresse aux projets dans les secteurs de l’artisanat et des services de proximité. Elle vous dote d’une pré-garantie (de 20 %) en vous permettant d’améliorer votre présentation pour la banque. Si cette dernière accorde le prêt, elle peut demander à la SIAGI de transformer la pré-garantie en garantie couvrant jusqu’à 70 % du prêt. La garantie SIAGI peut aller jusqu’à 80 % (en partenariat) dans le cas de la création d’une EIRL. La validation est formalisée par un accord remis au chef d’entreprise et destiné à la banque. Pour prendre contact, adressez-vous au conseiller professionnel de votre banque, au service économique de votre chambre des métiers et de l’artisanat ou tout simplement à la SIAGI. Dans le contexte du COVID, elle est présente pour soutenir les entrepreneurs.

S’inspirer (ou pas) des personnages de l’histoire

Dans les interventions, les managers ou dirigeants formés dans de écoles réputées ont appris qu’il peut être valorisant de citer des locutions latines ou des personnages de l’histoire ou de parsemer leur intervention de citations. Ces personnages historiques ont réussi à faire inscrire leurs noms dans les pages de l’Histoire. Certains ont réalisé de belles choses autour d’eux, alors que d’autres n’ont pas œuvré au bien de l’humanité… Toujours est-il qu’ils possédaient tous un côté  « manager » qu’ils ont développé chacun à leur façon. Faut-il s’inspirer des personnages de l’histoire, ou pas ? À vous de juger !

S’inspirer des bonnes pratiques…

Franklin D. Roosevelt… La réussite malgré les difficultés 

Il s’agit d’un personnage fort de l’Histoire ayant un caractère d’acier et toujours prêt à relever les défis. Depuis son enfance, il rêve de devenir dirigeant mais sa condition physique ne lui permet pas d’assouvir sa grande ambition. Conseillé par son père, il se bâtit corporellement à l’aide du sport, le tout malgré la contraction d’une maladie neuromusculaire qui l’empêche de se déplacer sans aide extérieure. En 1933, Roosevelt  devient le président des États-Unis, homme politique aimé du peuple, et seul président réélu à quatre reprises ! Afin de ne pas afficher une image dégradée en public, il se montre fort en se déplaçant à l’aide d’attelles orthopédiques, mais chez lui, il utilise un fauteuil roulant. Franklin Delano Roosevelt savait motiver son pays et lui donnait bien souvent l’envie de remporter des victoires. Un manager dans la peau de Roosevelt aurait sans aucun doute un caractère déterminé, n’ayant aucune peur des obstacles et qui montrerait à son équipe à quel point elle peut être fière de sa réussite malgré les difficultés.

Martin Luther King… L’influence positive

Si vous adoptez la « Luther King attitude », sachez alors que vous êtes un manager influenceur. Vos paroles sont claires et vos remarques pertinentes. Ces dernières impactent vos équipes avec efficacité et vous savez faire passer un message. Vous faites preuve de dignité, et vous parvenez à transmettre ce sentiment à l’ensemble de vos équipes. Après leur passage chez vous, vos salariés ne pourront sûrement pas vous oublier car ils auront été touchés, non seulement en raison de votre attitude et des leçons que vous leur avez apprises, mais également à cause des sacrifices que vous avez faits pour eux au sein de l’entreprise. Vous prouvez réellement au quotidien votre intérêt pour chaque personnalité faisant partie de votre organisation. Tous les membres de votre équipe sont devenus plus efficaces depuis que vous les managez et ils savent que vous donnerez tout pour que chacun s’épanouisse dans son domaine. Ce que pensent les détracteurs vous importe peu car vous connaissez votre objectif et ne vous laisserez pas mener en bateau facilement.  

Nelson Mandela… La persévérance jusqu’au bout

Devenir un manager à la « Nelson Mandela » implique des sacrifices. « Réussir à tout prix », telle serait sa devise, qui le pousserait même à accomplir les tâches de ses salariés à leur place. Conscient que rien ne se matérialise du jour au lendemain, le manager Mandela développerait une patience hors du commun et bâtirait une entreprise ayant pour but de devenir un royaume indestructible… Un futur Google ? Son équipe serait composée d’employés déterminés à suivre leur leader peu importe les difficultés. Un tel manager sait comment utiliser l’émotion pour dynamiser la volonté de ses équipes car c’est de cette manière qu’il trouverait une place dans le cœur de tous ses collaborateurs professionnels. Même en son absence, il réussirait à rendre ses employés aussi efficaces que s’il était présent. Et surtout, il leur aurait inculqué l’idée de ne jamais perdre espoir quelles que soient les circonstances.

Ne pas accumuler les mauvaises…

Mouammar Kadhafi… Le manager instable

Avec Kadhafi, responsable rime avec instable ! Ce manager finira certainement par faire tomber son entreprise un jour. Sa vision change autant de fois que le soleil se lève et ses objectifs n’apparaissent jamais précisément au grand jour. Le manager Kadafi désire la perfection mais ne l’obtiendra pas en raison de son caractère changeant et de l’incohérence de ses demandes. Leader d’hommes par défaut, il ne voit son intérêt ni dans les relations humaines, ni dans la croissance et le développement. Seules les finances ont leur mot à dire au sein de sa boîte. Si le chiffre d’affaires n’augmente pas, il réduira le salaire de tous ses employés. Ces derniers se plaignent sans cesse de son comportement quasiment incompréhensible. Ils lorgnent quotidiennement sur d’autres contrats de travail car leur entreprise ne leur plaît plus depuis bien longtemps. Ils doivent supporter leur manager pingre et dénué de sentiments. Attention ! Car il est clair que le manager Kadhafi devra tenter de préciser ses demandes et ses objectifs, sous peine de voir ses employés partir et son entreprise mettre la clé sous la porte. 

Hitler… Manipulation, chantage et amoralité

Rien ne compte plus que l’objectif qu’il a en tête. Quitte à être sournois et déloyal, ce qui importe le plus reste la mission qui doit absolument être accomplie. S’il existe – et on ne le souhaite pas ! – le manager Hitler affiche un caractère mesquin, sans scrupule, qui écrasera tous les membres de son équipe pour arriver à ses fins ! À l’aide de sa structure entrepreneuriale, ce dirigeant soutient une cause totalement en contradiction avec la morale humaine. Malgré cela, il possède une équipe solidaire le soutenant dans chacune de ses démarches et décisions. Étrange. Sans doute peut-on y voir l’usage de méthodes de chantage et de manipulation à une échelle puissante, qui ferait de ses salariés des personnes fidèles par contrainte et non par le bon vouloir. Tous demeurent sous sa direction car personne n’ose perdre son salaire ni voir sa réputation salie par ce manager colérique et entêté.

Fidel Castro… La pression comme stratégie de management

Ce manager est un dur à cuire. Pour obtenir des résultats concrets ainsi que la productivité constante de ses équipes, il use et abuse de la pression. Certes, cela marche, mais laisse un goût amer dans la bouche des collaborateurs qui œuvrent au sein de l’entreprise. Peu de personnes lui font réellement confiance. Ce n’est qu’une question de temps avant que la grève n’éclate. L’atmosphère qui règne dans la société est bien souvent la tristesse menant à la dépression. Le manager Castro possède un complexe d’infériorité le poussant à se débarrasser de tout employé qui affiche un désaccord avec ses principes. Les licenciements et le turnover massifs induisent ainsi des problèmes dans la pérennité des équipes et le manager Castro pourrait bien perdre beaucoup plus qu’il ne gagne à utiliser la pression comme stratégie de management

Les idées françaises qui font sourire

Les Français regorgent d’idées françaises qui font sourire et parfois même des plus farfelues et pourtant ces idées créées l’engouement au delà de nos frontières. Chacune de ces entreprises génère le sourire car leur communication ne s’embarrasse pas du carcan des idées reçues. Ils allient de plus le besoin du consommateur à la fantaisie qui dans ces temps de pandémie sont bien nécessaires.

Le slip français, un pari et une réussite à la clef.

En 2018, la startup a réalisé 20 millions d’euros de chiffre d’affaires et a vendu 800 000 produits. Elle a embauché 100 employés, dont la moitié à Paris. Elle possède aussi 42 ateliers de fabrication et 16 boutiques en France et de plus le Slip Français réalise 70 % de ses ventes en ligne. Guillaume Gibault, 33 ans, est le fondateur de la marque de sous-vêtements.

Le Slip Français a démarré l’aventure du Slip Français en 2011, sur un pari avec des amis. Le jeune homme cherchait une idée d’entreprise de vente en ligne. Les sous-vêtements se prêtaient parfaitement à ce modèle car ils ne s’essaient pas et sont petits et légers à envoyer. Depuis, la fantaisie, l’élégance des slips ne cessent de plaire aux consommateurs. A chaque collection, une surprise savoureuse et une communication qui vous donne envie d’offrir un slip pour la fête des pères, par exemple. Pourquoi pas ?

Payote, l’espadrille séductrice.

L’été est à nos portes. La tenue décontractée et les espadrilles sont des invités d’honneur pour nos pieds délicats. La marque catalane a misé sur le « storytelling » pour créer le buzz autour de ses chaussures en toile. Design, humour, made in France. Le catalogue propose des chaussures les plus amusantes qui permettent de se chausser avec originalité. Olivier Gelly connaît tous les secrets des réseaux sociaux et d’ailleurs le résultat en est qu’il a écoulé 50 000 exemplaires en trois ans.

Plus de 17 000 followers sur Facebook, près de 12 000 sur Instagram. L’entrepreneur a même détecté un besoin récurrent chez les consommateurs : celui de résoudre le problème des mauvaises odeurs. Présente au BHV Marais et aux Galeries Lafayette, la marque est distribuée dans une cinquantaine de boutiques revendeurs et a pour objectif 2019 : 60 000 ventes, pour atteindre un chiffre d’affaires d’un million d’euros et l’ouverture du site à l’international. Cet été dans l’hexagone, elles feront fureur.

K-way, une création française indémodable.

Pour 300 grammes seulement, le chiffre d’affaires atteignait presque les 5 millions d’euros en 2017. Si son nom a pour origine une tendance à la mode liée aux anglicismes, le mot « way » liée à l’idée du créateur : « en cas » de pluie : K-way. Affrontant les intempéries météorologiques et les modes, cette maison française a su faire évoluer ses produits pour rester à la pointe de l’innovation.

Le K-way se fait réversible, indéchirable avec des matières respirantes… tout en gardant son ADN ! K-Way a signé pour l’automne-hiver 2018 – 2019 une collaboration inattendue avec Kappa afin de séduire les plus jeunes et s’introduire dans de nouveaux réseaux de distribution comme par exemple Citadium « Vraiment K-way, toujours indispensable ! » Le kway, indispensable pour celles et ceux qui voudront prendre le large à partie de nos côtes puisqu’il nous est recommandé de rester près de l’hexagone. Il faut reconnaître que pour les stages de voile ou de bateau, ils sont super adaptés.

Le saviez vous : l’origine de 12 noms d’entreprise

L’origine des noms d’entreprise est parfois rocambolesque. On imagine souvent que les noms ont été créés à la suite d’une longue réflexion . Et bien détrompez- vous ? La preuve ces quelques exemples.

Milka : Saviez-vous d’où vient le célèbre nom de la marque à la vache mauve. Il vient tout simplement des composants puisque la marque est issue de milch (lait) en allemand et de kakao (cacao).

Nutella : La marque a changé de nom et s’appelait autrefois Supercrema. Son ancien nom était même différent en termes de commercialisation en France (La Tartinoise). Ce n’est qu’en 1964 que la marque devient Nutella, encore une fois pour les composants (nut – noisette) et le suffixe italien (ella).

La vache qui rit : Dans notre série « vache » mais d’où vient le nom de la marque ? Elle provient de la Wachkyrie et d’un jeu de mots avec valkyrie. En 1921, Léon Bel s’inspira d’un dessin de Benjamin Rabier pour créer le logo de sa marque. Celle-ci ornait les camions de transport de viande fraîche pendant la Première Guerre mondiale.

Snap : L’entreprise qui s’appelait autrefois Snapchat a décidé en septembre 2016 de raccourcir son nom. Elle souhaitait montrer qu’elle n’était pas seulement une messagerie. Mais elle n’en était pas à son premier changement de nom puisqu’elle s’appelait Picaboo lors de sa création en juillet 2011.

Orange : Afin d’être plus international, le géant français a décidé de laisser derrière lui le nom de France Télécom en juillet 2013 mais aussi pour marquer la privatisation en 1996 et afin de souligner la transition avec l’ancienne direction. Un cas également atypique où une société rachetée voit son nom généralisé par l’acheteur.

DASSAULT : S’il porte le nom de Marcel Dassault, c’est parce qu’il a changé de nom à son retour en France à la fin de la guerre. Après avoir été déporté en Allemagne dans un camp de concentration pour avoir refusé de collaborer, celui-ci a choisi pour nom Marcel en référence au pseudonyme qu’utilisait son frère dans la résistance, « Char d’assault ».

ADIDAS & PUMA : les deux marques ont pour origine un conflit familial entre Adolf et Rudolf Dassler. Adolf s’étant séparé de son frère rebaptise son entreprise « Adidas », une contraction de son surnom « Adi » et de son nom de famille. Rudolf, quant à lui, il crée Puma pour les capacités de l’animal.

ADOBE : Pour trouver son nom de marque en 1982, le fondateur John Warnock n’a pas cherché bien loin. Il s’agit du nom de la rivière qui coule à côté de sa maison : Adobe Creek. Une manière de choisir le nom de sa marque pour le moins originale.

BMW : le sigle de signifie « Bayerische Motoren Werke » (entreprise de motorisation Bavaroise, ndlr). À l’origine spécialisée dans les moteurs d’avions, l’entreprise a dû faire une reconversion après la défaite de l’Allemagne lors de la 1ère guerre mondiale (1914 – 1918).

AMAZON : Le nom fait référence à la plus grande rivière du monde et a été choisi car il commençait par la première lettre de l’alphabet. A l’origine, l’entreprise s’appelait Cadabra mais la confusion avec le mot Cadaver (cadavre, ndlr) a entraîné ce changement.

EBAY : L’entreprise n’aurait pas dû s’appeler ainsi puisqu’à l’origine son fondateur voulait l’appeler Echo Bay Technology. Le nom étant déjà déposé, il a décidé de le raccourcir pour éviter toute confusion.

H&M : Il s’agit en réalité de la fusion d’une marque féminine et masculine. La première « Hennes » (Pour elles » en suédois, ndlr) et la seconde « Mauritz Widforss ». Ainsi le groupe H&M était à l’origine « Hennes och Mauritz » (Hennes et Mauritz).

Créer son blog, facile et c’est utile pour la notoriété

Avoir un blog que l’on ne s’y trompe pas est chronophage d’autant plus si celui-ci est lié à des sujets liés aux entreprises. Aujourd’hui, consulter des blogs fait partie des nouvelles habitudes mais il est nécessaire de bien cerner les tenants et les aboutissants pour que celui-ci devienne une référence. Créer un blog est souvent le premier pas vers la création d’un site internet car sa création ne demande pas un savoir-faire complexe et une entreprise peut en tirer de nombreux bénéfices.

Quel est l’intérêt d’un blog ?

L’intérêt d’un blog est de pouvoir insérer des informations en ligne sous la forme d’un journal, de permettre aux lecteurs de réagir aux articles publiés, de fédérer une communauté qui sera fort utile à votre notoriété et donc de partager des informations sous tous supports (écrit, vidéo, son,…). C’est pourquoi le blog est surnommé « web communautaire interactif ». En effet le blog donne la possibilité pour son administrateur de poster des informations, son avis, ses connaissances,… Et pour les visiteurs de commenter ! Un moyen donc de relier les individus entre eux à travers des échanges, des partages de connaissances.
Si l’argent est le nerf de la guerre pour les entreprises, la communication est un muscle important également. De nombreux dirigeants rêveraient de passer sur Télé Matin de France 2 ou BFM afin de déclencher un pic de visites sur leur site Internet, voire même de ventes. Mais y parvenir se révèle être un parcours du combattant.
Faire parler de son activité sur les blogs peut être un excellent moyen de commencer à communiquer à moindres frais et avec un maximum d’impact. Pourquoi ? Les blogueurs ont peut-être moins d’audience que les médias classiques, mais ils ont souvent une communauté plus engagée.

Comment choisir un hébergeur ?

Le choix d’un hébergeur dépend du coût car certains hébergeurs sont gratuits, des fonctionnalités offertes et de l’interface. Pour ouvrir un compte sur l’hébergeur de blog, il vous suffira de remplir un formulaire d’inscription. Rien de plus simple !

Comment publier son blog ?

La publication d’un blog se fait tout simplement à l’aide de formulaires. Un simple clic suffit pour poster une note, un commentaire, une image, une photo, une vidéo.
Toutefois, afin que votre blog puisse être lu sans difficulté, vous devrez activer l’option « Syndication de contenu » ou « Fil RSS » afin de générer automatiquement un fichier utilisable par les autres blogueurs pour publier vos notes sur leur blog !

Comment choisir le moteur de blog ?

Il existe de très nombreux moteurs de blogs sur la toile. Le plus efficace, c’est de les consulter. Vous pourrez les tester en visiteur ou en administrateur. Il ne vous restera plus qu’à faire votre choix.

Comment choisir son nom de blog ?

Ce n’est guère le plus facile : alors faites du brainstorming avec vos amis mais si vous voulez générer du trafic, choisissez un nom de blog qui commence par une des premières lettres de l’alphabet. Vous serez ainsi toujours en haut des blogrolls car ils sont par défaut par ordre alphabétique, sinon, insérez une étoile devant le nom de votre blog. N’hésitez pas à relier votre blog à vos réseaux sociaux comme Facebook, Google+ ou Twitter afin de permettre aux lecteurs de votre blog de vous contacter facilement.

Mettez votre blog à jour, un incontournable 

Un contenu régulièrement mis à jour sur votre blog permet d’attirer plus de visiteurs. Votre blog sera mieux positionné sur les moteurs de recherche comme Google. Un contenu actualisé le propulse sur les moteurs de recherche et donc à la lecture des internautes.
N’oubliez pas les formulaires de contacts !
Permettre à vos visiteurs de vous contacter et vous donner leur feedback, pensez aussi à découvrir quel est votre lectorat.

Pensez au gagnant-gagnant

Si vous contactez un blogueur avec l’intention de « profiter de visibilité gratuitement », cela se ressentira, même à travers des échanges de mails. D’où, encore une fois, l’importance de l’empathie en réfléchissant à ce que pourrait gagner le blogueur en parlant de vous sur son site. Si vous arrivez à trouver une collaboration motivante pour chaque partie, alors vous verrez plus facilement votre entreprise figurer sur le blog que vous avez ciblé.
Enfin vous l’aurez compris, pour muscler votre communication sur les blogs, la clé sera l’empathie.

À savoir :
Pour un site non professionnel d’une personne physique (site non commercial ou blog d’un particulier par exemple), les mentions légales obligatoires sont les suivantes : nom, prénom, adresse et numéro de téléphone de l’hébergeur.
Dans ce cas, le créateur du site peut :
– soit indiquer les mentions légales le concernant en plus de celles de l’hébergeur ;
– soit garder son anonymat dès lors qu’il a transmis de façon correcte les mentions légales le concernant à l’hébergeur.
L’hébergeur sera tenu de communiquer ces informations, mais uniquement dans le cadre d’une procédure judiciaire.

LE NACRE, aide à la création et à la reprise d’entreprise

Le NACRE, dans cette période où tous les projets doivent prendre vie pour soutenir l’économie se révèle être un dispositif essentiel au rebond. Le nouvel accompagnement individuel à la création ou la reprise d’entreprise (NACRE) permet à certains bénéficiaires de créer ou reprendre une entreprise en étant accompagnés pendant 3 ans. Le NACRE permet d’avoir accès à un prêt à taux zéro en phase 2 qui peut aller jusqu’à 10 000 € . Cependant, l’entreprise ne doit pas être créée. Ce prêt qui doit être accompagné nécessairement d’un prêt bancaire. Il aide au montage du projet de création ou de reprise, à la structuration financière et au démarrage de l’activité.

Information essentielle !


Depuis le 1er janvier 2017, le NACRE est une compétence des régions.
L’article 7 de la loi n° 2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République a modifié certaines dispositions relatives au NACRE. Depuis le 1er janvier 2017, le NACRE est une compétence des régions.
Cependant, la partie réglementaire du code du travail doit être modifiée.
Il est totalement pris en charge par l’état. par ailleurs, il s’adapte aux besoins des demandeurs d’emploi, salariés licenciés, jeunes et personnes en difficulté ou bénéficiaires de minima sociaux.

3 phases d’accompagnement dites « métier » :

• Phase 1 : Aide au montage du projet
• Phase 2 : Appui pour le financement du projet
• Phase 3 : Appui au développement de l’entreprise Chaque phase peut être suivi de l’autre ou être intégrée directement en fonction de la maturité de votre projet.

Quand intégrer l’accompagnement NACRE ?

Il est possible d’entrer dans le parcours NACRE en phase 1 ou directement en phase 2. Toutefois, l’entreprise ne doit pas être créée. L’entrée directe en phase 3 est possible uniquement pour les chefs d’entreprises immatriculées depuis moins de deux ans.
Il est piloté par le ministère de l’Économie, de l’industrie et de l’emploi, dans le cadre d’un partenariat avec la Caisse des dépôts.
Information essentielle 

Le parcours d’accompagnement NACRE est destiné aux porteurs de projets qui pensent être capables de créer ou reprendre une entreprise dans un délai raisonnable. Si vous désirez intégrer ce parcours en phase 1, il convient de maîtriser déjà, au moins partiellement, les grands équilibres financiers et économiques de votre projet. Qu’il s’agisse d’une création ou d’une reprise d’entreprise. Il importe aussi que vous ayez une connaissance suffisante concernant le(s) produit(s), les fournisseurs, les clients ou encore les besoins en financements, équipements et investissements.

Pour bénéficier de NACRE, vous devez répondre à deux critères : 

  1. Premier critère 

Appartenir à l’une des catégories suivantes. Le parcours d’accompagnement NACRE concerne les porteurs de projet créateurs ou repreneurs d’entreprise ainsi qu’aux nouveaux entrepreneurs qui relèvent des publics « emploi » pour lesquels une création/reprise d’entreprise pérenne de même que son développement ne pourraient être envisagés sans un accompagnement s’appuyant sur l’utilisation de fonds publics. La cible administrative reprend la teneur des articles L.5141-1, L.5141-2 et R.5141-7 du Code du travail relatif à l’Accre et à l’Eden.

Liste des potentiels bénéficiaires

  • Demandeurs d’emploi non indemnisés inscrits sur la liste des demandeurs d’emploi pendant 6 mois au cours des 18 derniers mois
  • Demandeurs d’emploi indemnisés par le régime d’assurance chômage au titre de l’aide au retour à l’emploi (Are)
  • Demandeurs d’emploi indemnisés par le régime de solidarité au titre de l’allocation temporaire d’attente (ATA)
  • Demandeurs d’emploi susceptibles d’être indemnisés au titre de l’aide au retour à l’emploi (Are)
  • Demandeurs d’emploi susceptibles d’être indemnisés par l’allocation prévue en cas de convention de reclassement personnalisée (Crp)
  • Demandeurs d’emploi indemnisés par le régime de solidarité au titre de l’allocation de solidarité spécifique (ASS)
  • Bénéficiaires du revenu minimum d’insertion (Rmi/Rsa)
  • Bénéficiaires de l’allocation parent isolé (Api)
  • Bénéficiaires de l’ancienne aide Eden (Encouragement au développement d’entreprises nouvelles)
  • Bénéficiaires du complément de libre choix d’activité (Clca)
  • Personnes salariées ou licenciées d’une entreprise soumise à l’une des procédures de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaires prévues aux titre II, III et IV du code de commerce qui reprennent tout ou partie de cette entreprise dès lors qu’elles s’engagent à investir en capital la totalité des aides et à réunir des apports complémentaires au moins égaux à la moitié des aides accordées
  • Personnes remplissant les conditions d’éligibilité à un emploi jeune de 18 à moins de 25 ans révolus
  • Personnes remplissant les conditions d’éligibilité à un emploi jeune de plus de 25 ans et moins de 30 ans
  • Personnes bénéficiant d’un emploi jeune dont le contrat se trouve rompu avant le terme de l’aide prévue
  • Personnes de 50 ans et plus inscrites sur la liste des demandeurs d’emploi
  • Personnes créant une entreprise implantée au sein d’une zone urbaine sensible

Pour bénéficier de NACRE, vous devez :

  1. Deuxième critère 

Avoir au minimum amorcé une formalisation de votre projet.
Il vous faut maîtriser au moins partiellement les grands équilibres financiers et économiques de votre projet, posséder une connaissance du ou des produits, des clients potentiels, des fournisseurs ou encore des besoins en financements, équipements et investissements.

Les 3 phases détaillées

PHASE 1 : aide au montage du dossier

Durant cette étape, l’opérateur d’accompagnement apporte une assistance technique. Il aide à élaborer un dossier solide pour présenter votre projet aux financeurs.

Durant cette phase, vous pouvez également bénéficier d’une expertise spécialisée (voir en fin d’article) si vous en avez besoin.
Cette phase vous permet de :

  • aboutir à une finalisation technique de votre projet de création ou de reprise d’entreprise,
  • d’être en mesure de le présenter à un tiers (partenaire, financeur,…etc.),
  • d’anticiper le démarrage de votre entreprise et les éventuelles difficultés des premiers mois d’activité.

Conditions d’entrée :

  • que l’entreprise ne soit pas encore créée,
  • que le projet soit techniquement formalisé. L’entrée peut être de votre propre initiative ou sur le conseil d’un réseau prescripteur (Service public de l’emploi local, …), d’une banque, etc.

Durée : 4 mois maximum pour un projet de création et 6 mois maximum pour un projet de reprise.
Officialisation. Cette entrée est officialisée par la signature d’un contrat d’accompagnement qui lie l’opérateur d’accompagnement et le porteur de projet pour la création ou la reprise d’entreprise NACRE. Dès lors, chacun s’engage à respecter les délais et orientation en cas d’échec, à se montrer assidu, …

PHASE 2 : appui pour le financement du projet

Au cours de cette deuxième étape du parcours, l’opérateur d’accompagnement vous épaule pour valider la structure du plan de financement de votre projet et sa pertinence d’un point de vue économique. Cet accompagnement trouve à jouer dans vos rapports avec les banques pour favoriser l’obtention d’un prêt bancaire complémentaire et mobiliser un prêt à taux zéro NACRE.

Cette phase vous permet de :

  • obtenir des financements adaptés à votre projet, dont le prêt à taux zéro NACRE couplé obligatoirement à un prêt bancaire complémentaire ;
  • valider la structure du plan de financement de votre projet et sa pertinence d’un point de vue économique pour disposer d’une solution de financement équilibrée ;
  • être accompagné dans vos démarches de recherche de financement auprès des banques ;
  • mobiliser, si nécessaire, une garantie de l’État sur votre emprunt bancaire.

Si vous sollicitez l’obtention d’un prêt, l’opérateur d’accompagnement s’engage à ce que puissiez au moins disposer d’un dossier d’instruction du prêt, de la notification de décision relative à son attribution. S’il vous est accordé, d’un contrat de prêt. Par ailleurs, Il vous fournit une fiche de synthèse du prêt complémentaire et des services bancaires obtenus ainsi qu’une préconisation d’accompagnement après la création ou la reprise d’entreprise.
Le prêt NACRE n’est attribué qu’après expertise du projet de création ou de reprise d’entreprise en procédant notamment à une validation du bon équilibre du plan de financement. Si le prêt NACRE est recommandé, l’opérateur d’accompagnement phase évalue le montant nécessaire et sollicite l’octroi du prêt NACRE auprès d’un organisme qui gère le décaissement et le recouvrement des prêts NACRE en France.
Attention : conformément aux articles L. 511-6-5 et R. 518-57 et suivants du Code monétaire et financier, le prêt à taux zéro ne peut être attribué qu’à la condition d’avoir obtenu un prêt bancaire ou assimilé. Remboursable dans un délai maximum de 5 ans, le prêt à taux zéro NACRE s’accompagne de mensualités constantes sans différé d’amortissement.
L’obtention du prêt à taux zéro NACRE suppose l’acceptation d’un accompagnement pendant les trois ans qui suivent la création ou la reprise de l’entreprise.

Les conditions d’entrée 

  • Vous pouvez entrer dans le parcours en phase métier 2, de votre propre initiative ou sur le conseil d’un réseau prescripteur (Service public de l’emploi local, …), d’une banque, etc.
  • Lorsque votre entreprise n’est pas encore créée et que la structuration de son plan de financement doit être finalisée pour faciliter sa bancarisation.
  • A la suite de la phase métier 1.

Durée : 4 mois maximum pour un projet de création et 6 mois maximum pour un projet de reprise.
Officialisation : L’entrée dans la phase métier est officialisée par la signature d’un contrat d’accompagnement pour la création/reprise d’entreprise NACRE. Ce contrat est signé par l’opérateur d’accompagnement et vous-même avec les mêmes obligations que dans la phase 1. Si vous obtenez un prêt NACRE, vous vous engagez également à le rembourser dans les délais prescrits par l’opérateur, et à être accompagné pendant les trois années qui suivront la création ou la reprise de l’entreprise.

PHASE 3 : appui au développement de l’entreprise

Encourager et stimuler les trois premières années de l’entreprise

Durant cette étape, l’opérateur d’accompagnement vous accompagne pendant les trois premières années qui suivent la création ou la reprise de votre entreprise.
En tant que nouveau dirigeant, vous êtes accompagné dans vos choix relatifs à la gestion, au développement de l’entreprise, au recrutement,…
Durant cette phase, vous pouvez également bénéficier d’une expertise spécialisée (voir en fin d’article) si vous en avez besoin. Cette phase vous permet de :
• de ne pas rester isolé et d’assumer pleinement votre rôle d’entrepreneur ;
• disposer d’un accès permanent à un support technique qui répondra à vos questions relatives au démarrage ou au développement de votre activité ;
• anticiper d’éventuelles difficultés financières ;
• être accompagné dans vos choix de développement.
Conditions d’entrée :
• Vous pouvez entrer dans le parcours en phase métier 3, de votre propre initiative ou sur le conseil d’un réseau prescripteur (Service public de l’emploi local, …), d’une banque, etc.
• Vous pouvez entrer directement,
– si l’entreprise est immatriculée depuis moins de 2 ans,
– si vous bénéficiez de l’Accre, si vous avez besoin d’un appui au démarrage,
– si vous éprouvez des difficultés financières ou de gestion
– si vous avez des perspectives de développement à court terme (via notamment l’embauche de salariés).
• A la suite de la phase métier 2.

Durée : 36 mois au total, décomposés en 3 périodes de 12 mois, à compter de l’immatriculation de l’entreprise.
Officialisation : Cette entrée est officialisée par la signature d’un contrat d’accompagnement pour la création/reprise d’entreprise NACRE. Ce contrat lie l’opérateur d’accompagnement et le porteur de projet qui s’engage à respecter les engagements figurant au contrat : respect des délais, assiduité, orientation en cas d’échec…
L’opérateur d’accompagnement s’engage à fournir, a minima, un plan de démarrage de l’entreprise, un diagnostic complet à la fin de la première année d’exercice et une simulation du développement. Il réalise aussi lors de la première année des points de gestion trimestriels. Il suit enfin le remboursement du prêt NACRE, s’il a été accordé en phase métier 2.

Les expertises spécialisées

Financement : L’achat d’expertises spécialisées est financé par l’État selon les modalités suivantes :
– pour une expertise mobilisée en amont de la création/reprise par un opérateur d’accompagnement de la phase 1, l’État finance 100% de son coût total pour les bénéficiaires de minima sociaux et 75% pour les autres publics éligibles ;
– pour une expertise mobilisée après la création/reprise (entreprise immatriculée) par un opérateur d’accompagnement de la phase 3, l’État finance 75% du coût total pour tous les publics éligibles.
En phase métier 1 et/ou en phase métier 3, il est possible d’accéder à des expertises spécialisées, en complément de l’accompagnement réalisé par votre opérateur NACRE.
Cette prestation doit répondre à un besoin spécifique que vous avez déterminé pour votre projet. Par exemple, il peut s’agir des conseils relatifs au dépôt d’un brevet, d’une formation sur les réglementations propres à un secteur d’activité particulier,…etc.
Aidé par l’opérateur d’accompagnement, vous pouvez préciser votre besoin et identifier l’expert qui vous apportera une réponse adaptée. À noter que ces experts s’engagent à vous fournir une prestation de qualité.
L’achat de cette expertise est ensuite réalisé par votre opérateur d’accompagnement selon les modalités de financement prévues.

À qui s’adresser ?

Vous faites votre demande d’accompagnement par courrier RAR auprès d’un organisme ayant passé une convention avec l’État et la Caisse des dépôts et consignations.
L’organisme compétent varie selon les régions. Pour trouver le bon organisme accompagnateur, mettez-vous directement en relation avec la Direccte de votre région.
Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (Direccte) – Pôles T (Travail) et 3E (Entreprises, emploi, économie) nouvelle fenêtre