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Les titres-restaurant, toujours les bienvenus

Donner aux salariés des titres-restaurant pour leurs repas est un avantage généralement très apprécié. Quelles sont les obligations, le montant que vous devez prendre en charge ou encore les avantages liés à ces titres ? Quelques précisions.

L’employeur peut remettre des titres-restaurant à ses salariés sous plusieurs formats :

  • Ticket Restaurant, 
  • Carte tickets-restaurant
  • Chèque Déjeuner, 
  • Chèque de Table, 
  • Pass Restaurant…

Par ailleurs, le salarié ne peut utiliser les titres-restaurant en sa possession que pour régler la consommation :

  • d’un repas,
  • de préparations alimentaires directement consommables,
  • de fruits et légumes.

Ce titre peut être émis sur support papier ou sous forme dématérialisée. Par ailleurs, la carte ticket restaurant n’est toujours pas obligatoire en 2023.

A savoir !

Par mesure de tolérance, les Urssaf considèrent que la participation patronale sur les titres restaurant attribuée aux mandataires sociaux ont droit à une exonération des cotisations de Sécurité sociale. Néanmoins, Il n’est pas nécessaire de rechercher l’existence d’un lien de subordination entre le mandataire social et la société (contrat de travail et attributions spécifiques distinctes de celles de son mandat social…).

Avantage ? Lequel ?

C’est donc un avantage social. Il doit donc être accordé sur une base égalitaire aux membres du personnel.

  • Un salarié ne peut recevoir qu’un titre-restaurant par repas compris dans son horaire de travail journalier.
  • Un salarié travaillant 5 jours par semaine de 9 heures à 17 heures pourra bénéficier de 5 titres-restaurant par semaine.

Attention ! Les salariés absents (congés annuels, maladie…) ne bénéficient notamment pas des titres-restaurant pour les jours d’absence.

Où les utiliser ?

Les salariés ne peuvent notamment  utiliser leurs titres-restaurant que :

  • dans les restaurants
  • auprès des organismes ou entreprises assimilés
  • auprès des détaillants en fruits et légumes.

Ainsi, Ils permettent d’acquitter en tout ou en partie le prix d’un repas. En outre, l’utilisation des titres-restaurant, papier ou dématérialisés, est limitée à un montant maximum de 25 € par jour

A savoir !

L’émetteur des titres-restaurant dématérialisés peut mettre en œuvre par conséquent une fonctionnalité de blocage automatique assurant le respect de cette condition.

Des limites d’utilisation

En effet,lLes salariés ont jusqu’au 15 mars 2023 pour échanger gratuitement leurs titres-restaurant 2022 non utilisés au format papier auprès de leur employeur, contre des titres-restaurant 2023.

Les titres-restaurant ne sont pas en principe utilisables les dimanches et jours fériés, sauf décision contraire de l’employeur au bénéfice exclusif des salariés travaillant pendant ces mêmes jours. De plus, l’émetteur des titres-restaurant dématérialisés doit mettre en œuvre une fonctionnalité de blocage automatique assurant le respect de cette condition.

Le montant ?

L’employeur détermine librement le montant de la valeur libératoire des titres-restaurant qu’il octroie à son personnel. Aucune disposition de la réglementation en vigueur n’impose par ailleurs de valeur minimale ou maximale des titres. Toutefois, la valeur des titres-restaurant est influencée indirectement par les limites légales imposées à la contribution financière des employeurs.

Les exonérations pour l’employeur ?

Pour être exonérée de cotisations de Sécurité sociale, la contribution patronale au financement de l’acquisition des titres-restaurant doit respecter deux limites :

  • comprise entre 50 et 60 % de la valeur nominale du titre

Une exonération de cotisations sociales, sous conditions

La participation de l’employeur aux titres-restaurants de ses salariés est exonérée des cotisations de sécurité sociale, dans la limite de 6,50 € à partir du 1er janvier 2023. Au-delà de ce montant, cette contribution sera réintégrée dans l’assiette de calcul des cotisations.

Exemple : Si l’employeur prend charge 50 % du titre, celui-ci ne doit pas dépasser une valeur totale de 13 € pour rentrer dans le seuil de l’exonération.

Le montant du titre-restaurant est libre

L’employeur fixe librement la valeur faciale des titres-restaurants donnés à ses salariés. Toutefois, ce montant est « de fait, influencé indirectement par les limites légales imposées à la contribution financière des employeurs », précise la Commission nationale des titres-restaurant (CNTR). À savoir le seuil d’exonération de cotisations sociales et la prise en charge de 60 % maximum par l’employeur

A savoir !

Jusqu’au 31 décembre 2023, les titres-restaurant peuvent être utilisés par les salariés, pour acquitter en tout ou en partie le prix de tout produit alimentaire, qu’il soit ou non directement consommable.

Depuis le 1er octobre 2022, le plafond journalier d’utilisation des titres-restaurant est fixé à 25 €.

Les titres-restaurant pas obligatoires

En tant qu’employeur, vous n’avez pas l’obligation de fournir de titres-restaurant à vos salariés. Toutefois, vous pouvez prendre en charge leur restauration par un autre moyen, comme :

  • une prime de déjeuner
  • la mise en place d’un restaurant d’entreprise.

A savoir !

Si vos salariés souhaitent manger sur leur lieu de travail, vous devez prévoir un emplacement pour le faire. A partir de 25 salariés, vous devez mettre à disposition un véritable local de restauration, avec notamment :

  • des installations pour conserver
  • réfrigérer
  • réchauffer les aliments.

Quelques précautions à prendre avant de choisir le nom de sa boîte

Si c’est une étape qui peut à première vue sembler facile à franchir, le choix du nom de son entreprise est pourtant crucial. Il nécessite bien plus d’attention et de difficultés que ce à quoi l’on pourrait s’attendre. Voici quelques conseils à ne pas négliger pour être sûr de faire le bon choix du nom de votre boîte.

Cerner l’impact marketing de votre nom de la boîte

En termes de communication, le nom que vous choisirez pour votre société doit respecter certaines règles de bases si vous voulez optimiser un message :

  • Il doit relativement court, simple à comprendre et surtout simple à retenir.
  • Il doit être intemporel, au risque de ne plus être à la page dans dix ans. Évitez ainsi d’y inclure des chiffres comme des années. Par exemple, les entreprises qui ont choisi l’année 2000, année importante dans le calendrier étant donné son passage à une nouveau millénaire l’ont regretté par la suite. Il a perdu sa valeur en raison du temps qui passe. 
  • Bien évidemment, l’idéal serait qu’il rappelle directement votre activité. Dès la première lecture, chacun doit être en mesure d’imaginer quel type de produits ou services sont vendus par votre société. Cependant, souvent ils sont déjà pris par la concurrence et donc ce choix va vite devoir être écarté.
  • En fonction de la cible que vous souhaitez toucher, n’hésitez pas à opter pour un nom qui passera à l’international. C’est notamment utile pour les entreprises de logistique, de commerce ou de marketing. Attention cependant, à bien vérifier que vous ne véhiculez pas un mauvais message dans d’autres langues ou cultures. Les termes choisis seront donc fondamentaux. De plus nombre de syllabes ou voyelles n’existent pas dans certaines langues et donc rendent la prononciation complexe. Attention aux chiffres qui possèdent une valeur négative comme le chiffre 4 en Chine qui est le chiffre de la mort. On ne se marie pas d’ailleurs en avril en Chine car le chiffre 4 porte malheur.

Pour ajouter une petite touche de fantaisie, le nom de votre entreprise peut également être une référence ou être imagé. Jouez sur l’imaginaire du public et donnez envie juste avec un nom.

Des obligations légales 

Afin d’être sûr que le nom de votre entreprise sera unique, prenez soin de vérifier qu’il n’a pas préalablement été déposé par quelqu’un d’autre. Cela pourrait vous attirer des ennuis au niveau de la loi.

Dans cette optique, des sites tels qu’Infogreffe ou l’INPI vous permettent de vérifier l’existence préalable d’un nom. Et même de rechercher les noms qui s’en rapprochent. Il est également conseillé de ne pas choisir un nom qui se rapproche trop de celui d’une grande enseigne. Vous risquez de vous voir poursuivi en justice, et ce même si les produits et services vendus diffèrent totalement. C’est également le cas même si le nom désiré est votre patronyme.

De plus, afin de pouvoir à votre tour faire protéger et déposer le nom, optez pour un nom qui ne comporte pas de nom commun dit « descriptif ». Par exemple, si vous souhaitez ouvrir un commerce spécialisé dans les costumes et déguisements, évitez l’appellation « La boutique d’Halloween ». Ce nom est très restrictif car il n’englobe pas tous les déguisements et donc pourrait vous écarter de clients potentiels.

Enfin, le nom que vous choisirez ne doit en aucun cas induire en erreur sur l’activité exercée par votre société, sauf en cas d’autorisation délivrée. C’est pourquoi le nom de votre société ne peut pas utiliser des termes relatifs à la comptabilité notamment. Par la suite, le nom de votre société pourra, voire devra, être accompagné d’un logo performant et parlant. De plus, la charte graphique devra être en accord avec vos valeurs et services. Celle-ci pourra être déclinée de multiples façons : vêtements, voitures, papeterie, etc. et qui nécessitera lui aussi d’être protégé et déposé auprès de services comme la CNIL.

Les marques françaises ont le vent en poupe

Les marques françaises, grâce à leurs atouts incontestables, gardent la confiance des consommateurs mais aussi parce qu’elles répondent à leurs critères. Quels sont-ils ?

Top 30 – Palmarès général des marques 2023

L’Observatoire 2023 des Marques Préférées des Français nous montre que les Français restent très attachés aux marques du quotidien, surtout aux marques alimentaires, sucrées comme salées :

La Laitière est la grande gagnante en 2023, et gagne 3 places par rapport à 2022. Elle retrouve ainsi la place de n°1 qu’elle avait occupée en 2017 ex æquo avec LU, qui est 2ème cette année, devant Lindt (3ème). C’est le fruit d’une rénovation de la saga publicitaire qui remet l’emphase sur la qualité produit et qui précise le territoire d’authenticité de la marque : avec La Laitière « C’est si bon de prendre le temps ».

L’alimentaire cède néanmoins un peu de place dans le Top 30. 6 marques non-alimentaires occupent aujourd’hui le top 30, contre 4 en 2022. La 1ère marque non alimentaire est Samsung, en 13ème position qui gagne 7 places. Elle fait d’ailleurs partie des marques les plus innovantes cette année pour les Français.

Les marques Bic (16ème) et Boursin (28ème) progressent dans le cœur des Français en intégrant cette année le haut du classement.

Une autre étude significative

A l’occasion de son évènement #ÇA MARQUE ! consacré aux marques et à l’efficacité, qui a eu lieu, le jeudi 18 avril, l’UDA dévoile les résultats de l’étude exclusive Kantar réalisée pour l’UDA sur la confiance des Français dans les marques, sur un échantillon national représentatif de la population française du 11 au 15 mars.

Laurent Guillaume, Directeur Général du groupe Kantar en France, met en exergue la volonté des Français d’avoir des marques responsables et transparentes dans le fait qu’ils plébiscitent les marques françaises : « Cette étude sur la confiance souligne non seulement la force des marques dans l’environnement des Français mais cela se double d’une exigence toujours plus forte que les marques soient porteuses de sens et de plus d’engagement par rapport à leurs promesses. Pour les entreprises qui les commercialisent, cela impose donc un vrai centrage ou recentrage sur les attentes des clients/consommateurs et que toute l’organisation de l’entreprise, toutes ses équipes, ses process soient véritablement alignés derrière cet objectif. Une condition indispensable pour une croissance réelle et durable ! »

Les marques françaises régionales, un lien inconditionnel !

90% des consommateurs affirment se fier aux marques françaises. Les marques régionales et locales arrivent même en tête du palmarès avec un taux de confiance de 92% : un chiffre en hausse puisque 22% des répondants affirment avoir davantage confiance depuis cinq ans.

Et les marques internationales ?

Les marques internationales n’emportent l’adhésion que de 56% des interrogés et 37% déclarent même avoir moins confiance en elles qu’il y a cinq ans. Il faut dire que les nombreux buzz dont elles ont fait l’objet, à raison sans doute, ont diminué leur côte de crédibilité. Les consommateurs sont devenus des observateurs et font attention aux informations qui circulent.

La confiance et la qualité, garants de la réputation des marques

La confiance entre le consommateur et les marques et leurs critères transparents et respectueux de leur engagement font partie des incontournables. Certes, les consommateurs sont attachés aux produits et souhaitent que leurs achats correspondent à la promesse de la marque (77%) mais la qualité est un élément essentiel : pour 75% d’entre eux, la durée de vie du produit/service arrive en 2ème position des critères de confiance. Finalement, on peut constater que la qualité est un garant du lien pérenne entre le consommateur et la marque.

La transparence

Les Français attendent des marques qu’elles communiquent et agissent en toute transparence (71%). 72% des répondants estiment même que ces dernières doivent être capables de reconnaître leurs erreurs et de s’excuser. Ils souhaitent également pouvoir échanger avec les marques par exemple en pouvant contacter facilement le service client (68%). Le dialogue et l’échange sont des éléments importants à prendre en compte mais les consommateurs ne souhaitent pas pour autant que les marques s’immiscent dans leur vie personnelle sans consentement (67%).

Attention !

Les marquent doivent prêter attention à la préservation et à la demande d’autorisation préalable des données personnelles.

Les Français : une exigence des marques responsables

Les Français sont davantage préoccupés par les critères d’éthique et de responsabilité. Ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à changer leurs modes de consommation. Toujours plus informés, ils ont des attentes nouvelles, deviennent plus exigeants et souhaitent que les marques s’adaptent à leurs nouvelles habitudes. Plusieurs raisons justifient la perte de confiance dans une marque, par exemple si celle-ci ne prend pas en compte :

  • les enjeux de santé ou d’environnement (23%),
  • la conformité des valeurs de la marque avec celles des consommateurs (23%)
  • un impact négatif de la marque sur la vie des gens (22%).

Face à une perte de confiance, la réaction des Français est sans appel : 53% d’entre eux décident d’arrêter d’utiliser les produits ou les services de la marque et 29% d’entre eux transmettent également leur avis défavorable à leur entourage.

Jean-Luc Chetrit, Directeur Général de l’UDA souligne « Cette étude prouve une nouvelle fois que la confiance est un facteur primordial dans la relation avec les marques. C’est pourquoi nous avons choisi de mettre ce sujet au cœur des échanges de la première édition de #ÇA MARQUE !, afin d’apprendre ensemble des marques de tous secteurs et toute taille qui ont trouvé les leviers pour développer la confiance de leurs publics et ainsi gagner en efficacité »

*Etude réalisée du 11 au 15 mars 2019 sur un échantillon national représentatif de la population française : 1020 individus hommes et femmes âgés de 18 à 65 ans.

Les métiers du digital : une nécessité selon Koancy !

Dans le paysage professionnel contemporain, Kobla André Cyrille et son équipe de koancy mettent en lumière l’importance accrue des profils numériques. À l’heure de l’ère technologique et numérique dominante, la visibilité en ligne et l’expertise numérique sont devenues des facteurs déterminants pour le succès et la croissance des entreprises. Avec un monde en perpétuelle évolution, la capacité d’adaptation aux nouvelles technologies et tendances émergentes s’impose.

L’impératif numérique pour les entreprises d’aujourd’hui

La présence en ligne des entreprises, comme le souligne Kobla André Cyrille de Koancy, est essentielle, car elle assure une visibilité nécessaire. Une présence en ligne optimisée est cruciale pour toutes les entreprises, qu’il s’agisse d’une boutique en ligne, d’un site web d’information ou de profils sur les réseaux sociaux. Les profils numériques renforcent la visibilité de l’entreprise, permettent d’atteindre de nouveaux clients et de fidéliser les clients existants.

Dans cette optique, l’expertise en marketing numérique n’est plus un luxe mais une nécessité pour la plupart des entreprises souhaitant promouvoir efficacement leurs produits et services. Ces profils numériques comprennent les stratégies de marketing en ligne, la publicité sur les réseaux sociaux, le référencement (SEO), le marketing par e-mail, etc. Ces compétences permettent aux entreprises d’atteindre leur public cible de manière plus efficace et de générer des prospects qualifiés.

L’importance de l’engagement client

Pour Kobla André Cyrille et son équipe chez Koancy, l’engagement client est un élément essentiel du succès d’une entreprise. Les profils numériques jouent ici un rôle capital. En effet, ils favorisent l’interaction directe avec les clients grâce aux médias sociaux, aux commentaires sur les blogs, aux forums de discussion, aux chats en direct, etc. Ces canaux de communication en ligne offrent une opportunité unique d’engager des conversations en temps réel avec les clients, de répondre à leurs questions, de résoudre leurs problèmes et de recueillir leurs commentaires.

Qu’il s’agisse de campagnes de fidélisation, de gestion de la réputation en ligne, de suivi et d’analyse des données, ces nouvelles compétences sont aujourd’hui demandées en tout lieu. En investissant dans des profils numériques compétents, les entreprises peuvent créer des expériences en ligne positives, interactives et personnalisées pour leurs clients. Cela favorise l’engagement des clients, renforce leur fidélité à la marque et contribue à la croissance à long terme de l’entreprise.

La demande croissante de personnalisation

La personnalisation du contenu nécessite de nouveaux profils numériques pour aider les entreprises à créer et à diffuser du contenu résonnant avec leur public cible. Grâce à l’analyse des données et à la compréhension des comportements des clients en ligne, les profils numériques, comme ceux formés par Koancy, peuvent adapter leur contenu pour répondre aux besoins spécifiques des clients. Cela permet de créer une expérience plus pertinente et engageante pour les clients, renforçant ainsi leur attachement à l’entreprise.

Une profession en constante évolution

Les métiers du numérique évoluent constamment pour s’adapter aux nouvelles technologies, aux tendances du marché et aux besoins changeants des entreprises. Certains domaines nécessitent des mises à jour permanentes, Pour ces raisons et pour des questions d’éthique et de responsabilité numérique, certaines formations, comme celle dispensée par Koancy, proposent même un suivi à vie pour permettre à ses apprenants d’acquérir des compétences théoriques et surtout pratiques.

Pourquoi les chefs d’entreprise doivent se former aux métiers du numérique

Kobla André Cyrille et son équipe chez Koancy estiment que la première raison pour laquelle les chefs d’entreprise doivent se former au métier du numérique est la compréhension des enjeux numériques.. Cette compréhension permet de prendre des décisions stratégiques éclairées pour votre entreprise.

En outre, la formation aux métiers du numérique permet de s’adapter à un marché en constante mutation. Les comportements des consommateurs évoluent rapidement vers des interactions en ligne, des achats sur Internet et des recherches d’informations numériques. En se formant, les chefs d’entreprise peuvent identifier les attentes des consommateurs, saisir les opportunités de croissance en ligne et maintenir leur compétitivité. La communication et le marketing performants sont également des compétences clés acquises grâce à la formation aux métiers du numérique, tout comme la gestion des données.

Enfin, la formation aux métiers du numérique favorise l’innovation et la croissance des entreprises. Les chefs d’entreprise formés peuvent identifier de nouvelles technologies, développer de nouveaux modèles d’affaires et trouver des moyens créatifs d’améliorer leurs produits, services et processus. En résumé, Koancy, avec Kobla André Cyrille à sa tête, offre des formations approfondies et continues en matière de numérique, essentielle à l’ère actuelle.

Des emballages adaptés à la protection de l’environnement et de la santé

L’emballage est devenu le centre de toutes les attentions et une priorité dans la protection de la santé et de l’environnement. Les déchets plastiques et en tous genres font l’objet d’articles quotidiens. Ces derniers pointent du doigt le besoin impératif de réduire la pollution des emballages.

Les entreprises se doivent de devenir novatrices et de proposer des emballages qui répondent aux besoins des consommateurs et aux normes imposées par l’Etat et l’Europe. Il doit, de plus, généralement également prendre en compte des problématiques de coûts dans une période d’inflation. C’est pourquoi de nombreuses entreprises font appels à des sociétés spécialisées dans l’emballage professionnel.

Pas si facile de séduire les consommateurs

Les médias martèlent sur l’emploi à mauvais escient des plastiques et des emballages cartons. Si une entreprise ne veut pas se retrouver avec des produits invendus, il lui est nécessaire de s’adapter le plus rapidement possible à la législation en vigueur mais aussi aux désidératas des consommateurs. Ces derniers sont de plus en plus avertis et donc regardants. Il suffit d’un mauvais bouche-à-oreille pour attirer l’attention et il s’agit donc de prendre en compte cette contrainte. Il est préférable que vos emballages soient porteurs de développement de valorisation de votre marque grâce à des emballages adéquats.

L’emballage alimentaire, la conservation et la protection de la santé

Chaque jour, les courses sont le quotidien des consommateurs et donc de tous les Français. Ils constatent que certaines marques s’adaptent aux nouvelles normes et contraintes et même devancent les nouveaux comportements. Ils sont donc enclins à prendre les produits les moins polluants. Ils vont donc choisir les marques et les entreprises qui proposent des emballages qui ont pour valeur la protection de l’environnement et de la santé.

La conservation et l’écologie doivent aller de pair. Par exemple, les restaurants depuis le confinement avec le « click and collect » sont de plus en plus nombreux à proposer la vente à emporter. Il est donc significatif de s’équiper d’emballages écologiques qui valoriseront votre enseigne. Il faudra de plus que sur l’emballage le client sache que vous êtes un protecteur de la santé. De manière générale, les produits alimentaires sont sous emballages et donc les emballages doivent être méticuleusement choisis.

L’emballage en carton au service des professionnels

L’emballage en carton est plébiscité car quand il n’est pas utilisé, il peut se plier et donc occuper une place réduite. Mais là encore, il est nécessaire d’utiliser des cartons écoresponsables. Rien n’est plus exaspérant pour le client que de recevoir un produit dont l’emballage mal adapté multiplient les épaisseurs et de plus se révèle difficile à ouvrir. Ces emballages ont un impact négatif sur l’achat du produit. Aujourd’hui, force est de constater que les envois par colis sont de plus en plus fréquents en raison des sites e-commerce et donc contraignent les entreprises à sélectionner les emballages les plus performants. Il serait intéressant de savoir si les emballages répondent aux labels de protection de l’environnement. Il s’agit aussi de proposer des produits et des solutions d’emballage optimisées pour réduire les déchets mais aussi le travail lié à cette réduction.

Pourquoi et comment ne pas se négliger ?

Il est courant pour les entrepreneurs notamment ceux retranchés dans leur « garage » de se négliger autant personnellement que dans leur environnement. Ils considèrent souvent que la priorité reste le développement de l’entreprise et qu’ils auront bien le temps de voir plus tard pour le reste. Pourtant, c’est bien l’inverse qui se passe.

Les raisons de ne pas vous négliger

Parce que vous …

  • Parce que vous vous sentirez mieux. Que vous négligiez votre intérieur ou vous-même n’est pas une bonne chose pour votre productivité. Se sentir bien est essentiel que ce soit dans sa peau ou dans son environnement pour votre confiance en vous et votre bien-être. Ces derniers renforcent votre productivité. Alors, prenez du temps pour vous.
  • Parce que vous attirez plus. Il est presque inutile de le rappeler mais il est toujours plus agréable de se trouver en présence de quelqu’un de soigné que de quelqu’un de négligé. En business et dans certains cercles, vous ne serez d’ailleurs pas forcément bien considéré si vous vous négligez de trop et pourrez faire fuir certaines personnes qui sont tatillonnes sur le sujet.
  • Parce que vous accumulez. Que l’on parle de propreté ou de vous, sachez que ne pas s’occuper de soi ou de son intérieur, revient à s’exposer plus tard à de longues et pénibles heures à réparer les pots cassés. Plutôt que d’accumuler ce qui représentera une tâche démentielle par la suite, autant vous y attaquer au fur et à mesure et y consacrer du temps.
  • Parce que vous perdez du temps à y penser. Votre linge n’est pas propre ou encore vous n’avez pas encore mis vos costumes au nettoyage alors que vous allez participer à un concours déterminant ? Votre esprit vagabonde toute la journée et se dit sûrement : « n’oublie pas que je dois faire ceci ». Alors allégez-lui la tâche en faisant ce que vous avez à faire.

Votre santé, un capital

  • Parce que votre santé est essentielle. L’entrepreneuriat représente plus un marathon qu’un 100 mètres alors vous devrez tenir sur le temps. Prendre du temps pour soi au travers d’activités sportives, de déjeuner équilibré, … est donc essentiel si vous devez tenir sur la durée. Sans vous, votre entreprise ne sera pas debout très longtemps donc éviter de trop tirer sur la corde

Penser aux autres, une richesse inestimable

  • Parce que vous n’êtes peut-être pas seul. Votre entreprise est importante et le challenge que vous voulez relever est évidemment colossal. Il faut pourtant savoir prendre du temps pour soi et notamment pour la famille. Vous ne pouvez pas devenir un homme des cavernes ou encore délaisser vos tâches sous prétexte que vous n’en avez plus le temps. Vous devez garder un bon équilibre vie familiale-vie professionnelle même si celles-ci sont souvent imbriquées.

Les réflexes à avoir si vous vous négligez.

La négligence, votre pire ennemi

Si vous vous êtes aperçu que votre négligence commençait à pointer le nez, voici quelques réflexes utiles pour un retour à l’ordre.

  • Commencez par vous rappeler les bonnes raisons pour lesquelles vous devriez prendre soin de vous. Vous en avez déjà quelques-unes un peu plus haut
  • Considérez le fait de prendre soin de vous comme une obligation. Elle doit être mise au même rang que vos obligations professionnelles car cela vous permet d’être plus productif et donc de gagner du temps
  •  Insérez toutes les tâches personnes dans une to do list à part ou même dans votre to do list principale. A la manière de vos objectifs professionnels, ils deviendront ainsi des objectifs personnels à atteindre. N’hésitez pas à aller loin dans le détail de votre to do list en y inscrivant chaque détail ou chaque tâche ménagère découpée individuellement. Vous pourrez ainsi cocher à chaque fois que vous aurez terminé une ou plusieurs tâches et ressentir la satisfaction du devoir accompli.
  • Prenez note des améliorations. Cela peut paraître évident mais plus vous prendrez soin de vous, plus vous aurez des améliorations qui vont être visibles sur le temps. Votre teint, votre forme physiques, la propreté de votre intérieur… N’hésitez pas à noter les améliorations dans votre quotidien qui peuvent aller de « je respire mieux » en passant par « j’ai meilleure mine » pour aller à « je me sens beaucoup plus productif ». Vous pourriez rapidement observer les changements dans certains domaines ou recevoir même certains compliments.

Faites appel à un coach personnel.

  • Si vous n’avez toujours pas le courage de vous lancer, vous pouvez faire appel à un coach
    spécialisé dans le développement personnel afin d’obtenir un soutien et des encouragements dans votre reprise en main ou dans votre démarche d’amélioration. Si vous n’en avez pas les moyens vous pouvez vous confier à un ami ou à un membre de votre famille dont vous êtes proche sur vos objectifs et faire un bilan régulier.

Comment gagner du temps ?

Le manque de temps fait souvent partie du quotidien du chef d’entreprise. Il a souvent l’impression qu’il n’en dispose pas assez pour accomplir toutes les tâches de la journée. Certains réflexes utiles peuvent vous faire gagner du temps et démultiplier votre productivité. Zoom sur certains d’entre eux.

Décalez vos horaires de travail, si cela est possible

Il s’agit d’un bon réflexe à adopter lorsque l’on dirige une entreprise. Venir plus tôt sur votre lieu de travail ou commencer ainsi vous permet d’être dans le calme et de ne pas être sollicité par les nombreux coups de fils, emails ou encore demandes de vos collaborateurs. Vous bénéficiez de calme et vous pouvez organiser une journée de travail sans être perturbé par des facteurs extérieurs qui vous ralentissent. Vous évitez également des causes de stress comme l’encombrement de la circulation ou des transports et la perte de temps qui va avec.

Se déconnecter pendant une tâche

Lorsque vous vous lancez dans une tâche, vous devez être perturbé le moins possible par votre environnement. Il est conseillé de vous déconnecter de votre téléphone ou encore de votre boite email afin de ne pas être perturbé toutes les cinq minutes, une évidence, certes, mais qui souvent est occultée. Faites appel à une assistante virtuelle pour votre téléphone ou indiquez par réponse automatique sur l’impossibilité de répondre immédiatement. N’hésitez pas à donner un numéro d’urgence à un de vos collaborateurs dans le cas où une véritable urgence se présenterait.

Être organisé, une évidence mais pas si facile à mettre en place

L’organisation fait partie des pratiques majeures pour gagner du temps. Alors oui, certains vous parleront de « bordel organisé » . Pourtant, il reste quand même plus simple de pouvoir aussi bien retrouver facilement votre scotch, que le dossier sur lequel vous travaillez de manière virtuelle ou physique que de rechercher en vous stressant ou en stressant vos collaborateurs où il est bien passé ou d’avoir rempli tout votre écran de documents. Prenez le temps de ranger et d’archiver les dossiers afin de gagner du temps ! Votre bureau ordinateur est votre premier classeur intelligent.

Préparer la veille ce que vous devez faire pour le lendemain

Pour gagner du temps le lendemain, rien ne vous empêche d’organiser votre journée, la veille. Vous pouvez bien entendu organiser l’ensemble de vos tâches avant de partir du bureau, ce qui vous permettra de dormir l’esprit tranquille. Vous pouvez également préparer votre déjeuner ou vos affaires afin d’avoir l’esprit serein dès le matin et pouvoir vous concentrer sur vos tâches sans être perturbé.

Faire le plus difficile dès le matin

Il reste de manière générale considéré que la productivité est plus intense le matin. Si vous avez des tâches difficiles à exécuter, n’hésitez pas à les positionner dès le matin afin que votre cerveau les appréhende facilement. Vous éprouverez du plaisir à les avoir terminées. Alors, vous pourrez vous lancer dans des activités plus plaisantes l’après-midi avec en prime une bonne humeur qui boostera la productivité.

Intercaler des tâches ménagères lorsque vous vous déconcentrez

Il s’agit d’un conseil principalement pour ceux qui travaillent à la maison. Lorsque vous sentez que votre concentration diminue, rien ne vous empêche de positionner une tâche peu intellectuelle comme le ménage. Vous avancerez ainsi personnellement et professionnellement en vous délestant de tâches qui n’accaparent pas votre cerveau et qui pourtant vous trottent dans la tête. Le fait de les réaliser vous évitera également de les cumuler, ce qui a pour revers de vous décourager et de plomber votre moral.

Prendre du temps pour vous

Le temps que vous prenez pour vous n’est pas du temps perdu. Notamment, en ce qui concerne le sport. Il participe à votre bien-être et donc à votre productivité. Vous n’êtes pas une machine. Sans vous en rendre compte, votre productivité diminue avec le temps, si vous ne faites que travailler. Alors ne culpabilisez pas et prenez le temps de vous ressourcer afin d’accroître votre productivité.

Ne jamais procrastiner ou faire l’autruche

Il y a certaines tâches que l’on reporte toujours au lendemain. On ne sait pas trop pourquoi mais elles vous rebutent à un tel point que vous n’arrivez pas à vous y mettre. N’importe quelle excuse sera donc bonne pour ne pas l’exécuter. Or, remettre au lendemain ce que vous pouvez faire aujourd’hui c’est l’assurance certaine de perdre du temps par la suite. Déjà parce qu’une demande non traitée entraîne souvent une autre demande. Alors, lancez-vous ! Vous aurez l’impression qu’une dizaine de personnes seront en train de vous applaudir quand vous aurez fini ! Pensez-y !

Faites des réunions efficaces, un point c’est tout

Certes, cela peut paraître valorisant de multiplier les réunions. Mais c’est loin d’être constructif ! Lorsque vous organisez une réunion, il ne s’agit pas de tomber dans la réunionite. Elles doivent être préparées en amont. Certains n’hésitent pas à faire leur réunion debout afin que chacun veuille aller à l’essentiel. N’hésitez pas à informer les participants de son contenu ou des réflexions à avoir en amont de la réunion.

Faites des pauses ! Mais oui !

On aura beau le dire et le répéter, les pauses sont fondamentales pour votre cerveau. Vous ne pouvez enchainer 12h de boulot en prenant seulement une pause de 20 minutes le midi. Il est nécessaire pour votre cerveau de s’oxygéner. Prenez donc des pauses régulières (sans culpabiliser) afin d’amplifier votre performance.

Mettre en place ce qui peut vous faire gagner du temps par la suite

Qu’on parle d’applications, de process ou de logiciels, il est essentiel de mettre en place ce qui peut vous faire gagner du temps. Vous en avez marre de taper 150 fois le nom de votre banque dans un moteur de recherche puis de vous rendre sur votre compte bancaire. Prenez le temps de le mettre dans vos favoris. Cette réflexion s’applique particulièrement à l’informatique où vous pouvez gagner énormément de temps en créant par exemple votre signature électronique, des raccourcis, …

Les conseils pour gagner du temps pourraient être bien plus nombreux mais en voici une synthèse qui pourrait bien se révéler utile.

Comment se protéger ainsi que l’environnement des produits dangereux ?

Les dirigeants et les professionnels utilisent souvent pour des besoins divers des produits toxiques, dits dangereux. Les multiples situations et circonstances de la vie professionnelle les conduisent à prendre en compte cet aspect. Ils ont la responsabilité de protéger leurs collaborateurs, leurs clients, leurs visiteurs… et bien sûr l’environnement. Comment procéder ?

Depuis quelque temps, les accidents et incidents relatifs aux circonstances les plus diverses se multiplient. Ils sont souvent liés à la méconnaissance et à la négligence. Or, dès qu’un problème survient la responsabilité du dirigeant ou de ses collaborateurs est engagée. Il est donc essentiel en amont d’anticiper et de répondre à toutes les obligations légales de protection des personnes et de l’environnement et de s’équiper du matériel nécessaire.

Stocker les produits dangereux, une évidence

Les produits toxiques sont de toutes les tailles et sont inhérents à tous les secteurs d’activité. Il est donc indispensable d’avoir des contenants adaptés à chaque situation qui permettent d’une part de stocker les produits avant utilisation et d’autre part de les jeter une fois utilisés dans des contenants adéquats. Les législations anti-pollution obligent d’isoler certains produits extrêmement inflammables et dangereux. Ainsi, il faudra vous équiper d’armoires pour produits inflammables. Vous devrez parfois vous équiper d’armoires phytosanitaires pour produits infectieux comme c’est le cas dans les centres de santé. 

Le matériel anti-pollution à avoir

N’oubliez pas de vous équiper de matériel anti-pollution. Le sujet de l’écologie est aujourd’hui une priorité absolue et pour montrer que son entreprise est au top et acquérir crédibilité et visibilité, s’équiper de matériel anti-pollution indispensable.  Par exemple, lorsqu’il s’agit de substances liquides dangereuses ou de déversements accidentels, il faut vous équiper. Avec des bacs de rétention, vous avez une structure conçue pour recueillir et contenir les fuites, les déversements ou les débordements de liquides potentiellement polluants, tels que les produits chimiques, les hydrocarbures, les huiles ou les déchets industriels.

Signaler le b.a.-ba de la protection

La signalisation, c’est avertir des dangers et donc inciter chaque personne à la prudence. Elle occupe un rôle déterminant dans la sécurité des personnes car elle déclenche un comportement de prudence et donc elle réduit le risque d’accidents. Il faut pour cela vous équiper de ce matériel non seulement pour les besoins quotidiens mais aussi pour les situations exceptionnelles comme celle de travaux qui peuvent survenir dans votre entreprise. Il s’agit d’attirer l’attention et de signaler les dangers et même imposer des consignes dans l’action de tous les salariés. En bref : anticipez avant tout !

Equiper vos collaborateurs de matériel de protection, l’incontournable

Les dirigeants le savent et les chefs d’équipes aussi. Certains matériels sont obligatoires, selon les réglementations spécifiques à chaque métier. Vous devez équiper vos collaborateurs du matériel nécessaire à leur protection : gants, lunettes de protection, masques de protection, casques, vêtements, bottes… N’hésitez pas à établir dans ce cas un diagnostic en demandant l’aide de professionnels. Vous devrez bien sûr obliger vos équipes à les porter en le notifiant également dans des affiches posées à divers endroits mais aussi dans toute communication.

Informer vos collaborateurs 

Il vous faudra pour chaque produit bien informer vos collaborateurs de comment les utiliser mais aussi où ils doivent et comment les stocker. Pour les petits déchets ou pour les petits produits toxiques, il ne faudra pas hésiter à vous munir d’étagères qui permettront à tout un chacun d’avoir les comportements appropriés. Certes, dans les grandes entreprises le comité d’hygiène et de sécurité est là pour le rappeler à chaque instant mais dans le cas d’une petite entreprise ou start-up, il est indispensable de veiller constamment à la protection des clients, des visiteurs par exemple.

Inspecter, contrôler et vérifier, une obligation constante

Il est obligatoire d’effectuer des inspections en France. La loi stipule que toute entreprise doit assurer en permanence le maintien en état et la conformité de tous ses équipements.  Celles-ci doivent être notifiées à l’aide d’un matériel qui permettra à tout contrôleur de constater que vous êtes bien dans le respect de la réglementation et que vous effectuez régulièrement des inspections.

La Prévoyance, réflexe nécessaire de l’entrepreneur

« Ça y est, c’est décidé, je crée mon entreprise ! Mon idée est géniale, mon Business Plan béton, les clients vont se précipiter, … Je mesure les risques que je prends, je sais que je m’engage dans un chemin difficile mais je suis sûr de moi et j’ai hâte de développer cette activité qui me correspond, dans laquelle je vais enfin pouvoir me réaliser ».

Cette sensation est grisante et donne un sentiment de quasi invulnérabilité puisque rien ne semble devoir entraver la réussite du nouveau dirigeant d’entreprise. Celui-ci ressent une motivation, une énergie qui vont lui permettre de triompher de tous les obstacles.

Les trois dernières années ont contraint nombre d’entrepreneurs à acquérir une plus grande sagesse. C’est une bonne nouvelle. Les embûches ne sont pas que pour les autres. Il faut donc envisager, même si l’on est un optimiste né, les circonstances exceptionnelles. Les crises, les maladies, les grèves, les manifestations… et donc anticiper et donc prévoir. C’est justement notre sujet.

Une sensation à pondérer.

Cet état d’esprit positif, indispensable à la réussite d’un tel projet, ne doit pas masquer un minimum de lucidité et doit pousser l’entrepreneur à envisager toutes les hypothèses avec sérénité. Or, une hypothèse ne peut être écartée : l’accident ou la maladie qui empêche l’entrepreneur de travailler.

Un problème pourtant peu envisagé

Bien souvent l’entrepreneur a travaillé en tant que salarié avant de décider de se lancer dans la création d’une entreprise. La question du maintien de son niveau de vie en cas d’accident ou de maladie, ne lui est jamais venue à l’esprit tant elle semble évidente. Chaque mois, il a constaté sur son ancienne fiche de paye que différentes retenues étaient opérées. A ces retenues étaient associées des garanties qui le protègent en tant que salarié. Qui va se charger de maintenir le niveau de vie de l’entrepreneur si celui-ci n’est plus en mesure de travailler ? Pourquoi se poser une telle question alors que l’on est en pleine confiance ? Voilà un « non » sujet, qui plus est anxiogène et perçu comme compliqué. N’a-t-il pas mille choses plus urgentes et importantes à faire ?

La Prévoyance : Un réflexe à mettre en place.

La création d’entreprise reste une entreprise à haut risque pour la famille, le mode de vie et tout ce que l’on a construit. Si de nombreux entrepreneurs ne se paient pas et considèrent qu’il s’agit d’un risque, mettre en place des garanties au moins équivalentes à celles d’un salarié est loin d’être un luxe et ne représente pas une charge insurmontable. Rappelons que le coût de cette protection est imputable en charge.

L’un des premiers réflexes de l’entrepreneur devrait être de mettre en place une prévoyance car le jeu en vaut la chandelle.

A savoir !

Depuis 2020, tous les Travailleurs Non Salariés (TNS), auto-entrepreneurs inclus , dépendent de la Sécurité Sociale des Indépendants (SSI), elle-même affiliée au régime général de la sécurité sociale. Cependant, la Sécurité sociale n’indemnise pas indéfiniment vos pertes de revenus en cas d’arrêt de travail. C’est pour cela que les prévoyances santé (ou assurance maintien de revenu) viennent directement compléter votre couverture santé de base. 

Cet article a pour but d’expliquer avec des mots simples, le domaine essentiel de la protection sociale de l’entrepreneur.

Stratégie anti-morosité : déployez votre image de marque

En cette période économique fort tendue, la plupart des dirigeants ont tendance à devenir frileux. C’est pourtant le moment idéal pour vous distinguer en renforçant vos actions de communication qui vous permettront d’amplifier votre visibilité et de déployer une image de marque solide, crédible et rassurante.

Aujourd’hui, nous avons à portée de mains des outils qui nous permettent toutes les fantaisies. Mais attention fantaisies ne veut pas dire incohérence. La charte graphique est la boussole de la communication. N’oubliez jamais de vous y référer

Le rôle des supports de communication

Vos supports de communication ne doivent pas seulement informer, mais exprimer la singularité de votre entreprise, marquer et convaincre les cibles. Il n’y a pas de « petite marque ». Que vous soyez PME, TPE ou consultant, sur un secteur B2B ou B2C, que vous vendiez des cosmétiques, de l’ingénierie automobile ou des conseils juridiques, votre identité de marque est votre premier support d’information auprès de votre clientèle. Il vous faut donc la prendre très au sérieux. Elle véhicule des éléments objectifs et subjectifs qui feront la différence au moment de la prise de contact puis de l’acte d’achat, et vous aideront à maintenir votre prix de vente. Une image de marque solide rassure les prospects et facilite l’action commerciale.

Image de marque : bien étudier chaque support

Logotype, signature, charte graphique, contenu rédactionnel, choix des photographies ou illustrations participent à votre valeur perçue auprès de vos cibles. Bien conçue, votre identité doit renforcer l’impact et la crédibilité de votre entreprise auprès de vos clients comme de vos partenaires. Faites une veille régulière sur vos marchés pour évaluer votre positionnement par rapport à la concurrence.

La démarche sur les vecteurs de communication

Prenez le temps de recenser l’ensemble des vecteurs de communication de votre marque et veillez à leur cohérence. Passez en revue votre charte graphique et tous vos supports de communication :

  • cartes de visite, plaquettes commerciales,
  • flyers, site Internet,
  • emailings,
  • pages de réseaux sociaux,
  • argumentaires et présentations des commerciaux,
  • sans oublier les modèles de devis, de factures, de rapports …

Il vous faudra vérifier leur homogénéité et vous poser différentes questions : véhiculent-ils une image d’excellence ? Sont-ils cohérents avec votre vision et l’image que vous souhaitez projeter ? Soyez exigeant, traquez la moindre imperfection et ne négligez aucun détail. Vos interlocuteurs y seront sensibles, particulièrement si ce n’est pas habituel dans votre secteur.

Un portrait pour les dirigeants

Si vous êtes indépendant, consultant, profession libérale, dirigeant, ne négligez pas votre portrait. Avec votre logotype, il doit être présent et cohérent sur tous vos supports de communication, en particulier les réseaux sociaux. Chaque occasion de contact est importante. Investissez dans votre image de marque et faites appel à un photographe professionnel qui saura vous mettre en valeur en fonction de vos objectifs et de votre secteur d’activité. 

Une vidéo d’entreprise professionnelle, courte et dynamique peut être également un investissement efficace pour renforcer votre message et gagner en impact

Du besoin au désir

Avant le discours rationnel, faites appel à l’émotion, que ce soit par l’humour, l’esthétique ou l’humain, pour toucher vos interlocuteurs. C’est un facteur de mémorisation puissant, qui favorise l’attractivité de vos messages et les affinités avec votre marque. Dans la grande consommation, une marque telle que Michel et Augustin a su se positionner en rupture avec les codes habituels, et émerger sur un secteur encombré. Apple crée un lien très fort à sa marque et à ses produits. Quelle que soit votre activité, réfléchissez aux façons de vous démarquer, de renforcer le lien avec vos clients et de créer des affinités avec votre entreprise.